Catégorie : ACTUALITÉS EN BREF

  • Lancement du « TI-Innovator Hub « , un outil de classe qui initie aux bases du codage et à l’ingénierie de la conception

    Lancement du « TI-Innovator Hub « , un outil de classe qui initie aux bases du codage et à l’ingénierie de la conception

    Texas Instruments lance en Europe, le TI-Innovator Hub équipé du TI LaunchPad Board,   une nouvelle solution STEM (Science, Technology, Engineering, and Mathematics). Présentation d’un outil de classe qui met la puissance du codage et de l’ingénierie de la conception entre les mains des étudiants.

    Texas Instruments annonce le lancement européen de son TI-Innovator Hub équipé du TI LaunchPad Board, un outil de classe qui initie les élèves aux bases du codage et à l’ingénierie de la conception pour les préparer aux emplois de demain.

    La plupart des professeurs et des experts s’accordent sur le fait que le codage est une compétence si importante que chaque apprenant a besoin d’en connaître les bases pour réussir dans un monde qui évolue rapidement. Les activités de codage en classe suscitent un intérêt croissant dans plusieurs pays européens comme la France, le Royaume-Uni et les Pays-Bas, qui travaillent à les mettre en application dans leur programme scolaire.

    Le TI-Innovator Hub, un boitier qui tient dans la paume de la main et muni d’un microcontrôleur intégré, se branche à une calculatrice graphique que de nombreux élèves du secondaire possèdent déjà, comme la TI-83 Premium CE, ou la  TI-Nspire CX CAS. Il permet d’analyser et d’expliquer le monde qui les entoure.

    Il a été créé à l’aide de la TI LaunchPad Board, la même technologie utilisée par des ingénieurs du monde entier pour concevoir des produits de pointe allant des montres intelligentes aux imprimantes 3-D.

    Par exemple, les élèves peuvent commencer par apprendre à écrire un programme pour jouer une seule note de musique, puis rassembler des sons à différentes fréquences pour jouer un morceau de musique complet.

    « Le TI-Innovator est une solution unique en son genre qui exploite la curiosité naturelle des élèves pour les aider à apprendre à utiliser les principes de codage, des mathématiques, des sciences et de la conception technique pour analyser et expliquer le monde qui les entoure », explique Alexandre Titin-Snaider, Directeur de TI Education Technology Europe.
    « Le codage est devenu l’une des compétences essentielles de l’éducation du 21ème siècle et il y a désormais une demande croissante pour enseigner aux élèves comment coder. Le TI-Innovator permet aux élèves de se familiariser avec cette technologie et ceci sans se rendre compte qu’ils apprennent des principes importants de STEM, comme le codage, qu’ils doivent maîtriser en classe aujourd’hui, au collège demain et dans leur future carrière ».

    « Le TI-Innovator Hub permet aux élèves d’acquérir de l’autonomie, des connaissances et de développer leur compétences en informatique. Ils mettent en œuvre la démarche de projet, le travail collaboratif et l’approche par essai-erreur afin de comprendre concrètement le lien entre ce qui est appris en classe et la “vie réelle”. Par exemple ils vont expérimenter et comprendre le fonctionnement d’un radar anti-recul de voiture » explique Florent Girod, enseignant de mathématiques en lycee général.

    Le TI-Innovator Hub a été spécifiquement conçu pour être utilisé dans une salle de classe, partagé entre plusieurs élèves et possède un boîtier protecteur en cas de chocs.

    Le TI-Innovator Hub sera immédiatement disponible à l’achat dans les pays suivants en Europe : France, Allemagne, Autriche, Suisse, Suède, Belgique, Pays-Bas et Portugal.

    Pour plus d’informations : www.education.ti.com

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  • Éduquer à la climatologie

    Éduquer à la climatologie

    Présentation d’un MOOC visant à diffuser et sensibiliser les enseignants, animateurs et formateurs au modèle de l’éducation par la recherche dans le domaine de la climatologie. L’objectif pour chaque participant est de mettre en œuvre son propre projet Savanturiers.

    Ce MOOC intitulé Éducation par la recherche : climatologie à l’École offre la possibilité de choisir entre deux parcours possibles de formation : un parcours initial qui permet de mieux comprendre les principes et enjeux d’un projet d’éducation par la recherche appliqué aux domaines de la climatologie en consultant les ressources du MOOC et en participant aux activités proposées; un parcours projet dont l’objectif est de concevoir un projet de classe notamment grâce à un portfolio personnel alimenté par les recherches et les activités faites en cours.

    Modalités de participation

    Voir l’article sur eduscol

    Réseaux et médias sociaux

    Source : eduscol

  • Le bien-être dans l’éducation : un objet de recherche pour les sciences humaines et sociales

    Le bien-être dans l’éducation : un objet de recherche pour les sciences humaines et sociales

    Colloque « Le bien-être dans l’éducation : un objet de recherche pour les sciences humaines et sociales », sous le haut patronage du Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, les 2, 3 et 4 octobre 2017 à Paris.

    Les recherches sur le bien-être en milieu scolaire se développent rapidement depuis les années 1970. Elles connaissent un essor important depuis le début du millénaire, dans un contexte marqué par de profondes mutations socio-économiques, alors qu’une attention croissante est accordée au développement des personnes tout au long de la vie.

    Dans le cadre de l’arrivée du numérique, des transitions sociales que nous vivons et de changements que nous observons dans l’éducation, nous avons souhaité faire le point sur le fait qu’il n’y a pas d’éducation sans sécurité physique et psychique et que l’intégration du bien-être dans l’éducation est essentielle. Nous avons choisi de décliner le bien-être en éducation selon trois thématiques :

    . la première, Approches théoriques et pratiques du bien-être dans l’éducation, se situe dans la lignée des savoir-être et de la question de la capacitation (empowerment)
    . la deuxième, Espaces d’apprentissage et bien-être, renvoie à l’environnement d’apprentissage qu’il soit physique ou numérique
    . la troisième, Climat scolaire et vivre ensemble, renvoie au fait que le bien-être doit aussi être pensé dans le cadre d’un collectif
    Quel que soit l’axe, les recherches peuvent concerner les définitions du bien-être dans différentes disciplines, son évaluation – qualitative aussi bien que quantitative –, des projets de recherche-action ou d’intervention visant à améliorer le bien-être des enfants ou des enseignants, ainsi que ses liens avec la santé, la pédagogie, la réussite éducative, etc.

    Focus sur la thématique 2. Espaces d’apprentissage et bien-être

    Depuis la fin des années 90 et les travaux de Marie Claude Derouet-Besson sur l’évolution des bâtiments scolaires, il apparaît clairement que les liens entre pédagogie, architecture, urbanisme, économie et politiques sont complexes et soumis parfois à des tensions contradictoires [1]. Les profondes mutations sociétales induites par le numérique demandent de revisiter complètement ces questions. L’intégration de nouvelles technologies et des usages du numérique appellent ainsi une reconfiguration de l’espace scolaire, voire à « reconceptualiser les espaces d’apprentissage » [2].

    Cette nouvelle réflexion imposée par le numérique replace la question du bien-être des acteurs et utilisateurs de l’école comme paramètre clé du design des lieux, en particulier les questions de l’accueil, de la circulation ou de la communication se trouvent posées aujourd’hui en des termes nouveaux [3]. La modularité des espaces devient alors un objet de nouvelles pratiques pédagogiques, c’est ainsi qu’apparaissent de nouveaux lieux dans les établissements comme les fab labs.

    L’objet des communications proposées dans le cadre de cet axe pourra donc être, sans que ce soit limitatif :

    -> des études sur les liens entre le bien-être et la circulation au sein des espaces d’apprentissage ou plus globalement l’ergonomie de ces espaces.
    On appréciera particulièrement les réflexions sur l’aménagement de la classe, par exemple, en îlots, en forme de U, ou celui des espaces hors apprentissage tels que les cantines ou les foyers, ainsi que les liens avec la pédagogie, l’ambiance de travail et les rapports entre entre élèves et enseignants.

    -> des recherches sur l’aménagement de l’espace qui peut se décliner selon le niveau (primaire, secondaire, universitaire), la discipline enseignée, mais aussi selon le contexte d’apprentissage. La notion d’environnement capacitant et d’ergonomie professionnelle a également toute sa place dans cet axe.

    -> des recherches sur l’évolution de la forme scolaire au travers de la prise en compte du bien-être et des transformations des espaces d’apprentissage liées à l’impact du numérique. On pourra notamment traiter à ce titre des questions de l’ergonomie sonore, des formes d’échanges et de communication médiatisées par le numérique (en présentiel, à distance), les espaces et les temps d’apprentissage dans et hors école.

    Plus d’infos : les appels à communication sont ouverts jusqu’au 1er mars
    well-being-educ.sciencesconf.org/

    [1] Derouet-Besson Marie-Claude (1998). Les Murs de l’école. Paris : Métailié.

    [2] Oblinger Diana G. (dir.) (2006). « Space as a change agent ». In Learning Spaces. Washington: Educause.

    [3] Mazalto Maurice, Bonnault Marie-Claude & Boudjémaï Zahra (dir.) (2008). Architecture scolaire et réussite éducative. Paris : Fabert.

  • EIDOS 64 : éclairage sur les débats avec Catherine Becchetti-Bizot et Mireille Lamouroux

    EIDOS 64 : éclairage sur les débats avec Catherine Becchetti-Bizot et Mireille Lamouroux

    EIDOS 64 est un évènement sur une journée qui a lieu dans les Pyrénées Atlantiques, une année en Béarn, une année côté Basque ; mercredi 25 janvier, ce fut l’occasion de découvrir plusieurs conférenciers et plusieurs ateliers, autour du thème « L’élève hacker de son apprentissage : savoir connecter ses neurones ».

    Catherine Becchetti-Bizot, inspectrice générale de l’éducation nationale chargée de mission numérique et pédagogie, a été le grand témoin de la matinée, suite aux conférences animées par Eric Tardif sur « Neurosciences et éducation : un éclairage nouveau sur les fondamentaux de la pédagogie » et André Giordan sur « A l’ère du numérique, faut-il encore apprendre » ?

    Dans l’interview ci-contre, elle nous offre un condensé de ce qu’il faut retenir.

    « Les enseignants sont de plus en plus désireux de connaître les résultats de la Recherche » .
    « Nous avons déconstruit pas mal de “neuromythes“ ce matin
    « .

    Sur le rapprochement Recherche-enseignants, Catherine Becchetti-Bizot rappelle que La ministre de l’Education a confié à François Taddéi une mission, « Apprendre demain« , qui vise à réfléchir aux meilleurs moyens opérationnels pour que l’enseignement puisse bénéficier de la Recherche et que l’enseignement se fasse aussi par une démarche de recherche ; « former à la Recherche, former par la Recherche, un peu dans l’esprit des Savanturiers« , ajoute t-elle.

     

     

    Enfin, Mireille Lamouroux, chargée de mission à la Direction du Numérique pour l’Education, nous propose quelques éléments de réflexion sur la journée et sur la problématique choisie, « qu’elle trouve particulièrement intéressante car elle a permis de continuer à travailler sur des thèmes qui nous sont chers : apprendre à apprendre à l’ère du numérique, comment travailler en synergie avec la Recherche, comment lier le monde de la Recherche avec le terrain« , parmi quelques exemples de pistes de travail que mène la DNE.

    Elle dresse le constat que la prise de conscience est aujourd’hui évidente, de la part de tous les membres de la communauté éducative, « mais qu’il y a encore des freins et des résistances et que nous devons continuer à travailler dans ce sens ». Des évènements comme EIDOS 64 aident à avancer dans cette voie…

     

    Tous les articles et interviews d’EIDOS 64, janvier 2017, sont à retrouver sur www.ludovia.com/tag/Eidos-64-2017 et sur notre chaîne Youtube.

  • Deuxième édition du MOOC pour apprendre à contribuer à Wikipédia

    Deuxième édition du MOOC pour apprendre à contribuer à Wikipédia

    Web

    Qui ne connaît pas Wikipédia, cette encyclopédie en ligne, collaborative et sous licence libre, dont la fiabilité des informations est parfois remise en cause ?

    Wikipédia est le sixième site web le plus visité au monde, et le premier site sans but lucratif. Le fonctionnement de ce projet d’encyclopédie collaboratif n’en demeure pas moins largement méconnu du grand public. Et les enseignants du secondaire et du supérieur sont souvent réticents à l’égard de Wikipédia en raison des mauvais usages qui en sont faits, par leurs élèves notamment.

    Un nombre croissant d’enseignants voient néanmoins désormais en Wikipédia un outil pédagogique et y font contribuer leurs étudiants. Tant pour former leur esprit critique (réflexion sur la fiabilité des sources) que pour leur faire découvrir des pratiques collaboratives de construction du savoir, sans oublier évidemment les apports disciplinaires plus classiques lorsque les étudiants rédigent des articles sur leur discipline d’études.

    Pour toutes ces raisons, une douzaine de contributeurs et contributrices bénévoles de Wikipédia, soutenus par l’association Wikimédia France, ont créé en 2016 le WikiMOOC, un MOOC pour apprendre à contribuer à Wikipédia en six semaines, sur la plateforme France université numérique (FUN).

    Le cours, destiné tant au grand public qu’aux publics de l’éducation, comprend des vidéos, des tutoriels interactifs et des quizs ; il met l’accent sur les interactions entre les apprenants et avec l’équipe pédagogique, au moyen d’un forum dédié.

    Le MOOC permet aux internautes de découvrir les règles fondamentales de l’encyclopédie, d’apprendre à modifier les articles et de se familiariser avec le fonctionnement (sans hiérarchie) de la communauté bénévole. À la fin du MOOC, chaque apprenant crée son premier article.

    La première édition du WikiMOOC s’est déroulée de février à mars 2016 et a rassemblé plus de 6 000 inscrits, dont 2 000 participants actifs. La seconde session aura lieu du 6 mars au 19 avril 2017.

    Plus d’infos :

    Il est possible de s’y inscrire (gratuitement) sur FUN jusqu’au 20 mars 2017 (deux semaines après le début du cours).

  • Le Projet Voltaire, un service d’apprentissage en ligne pour les élèves de l’école primaire

    Le Projet Voltaire, un service d’apprentissage en ligne pour les élèves de l’école primaire

    Pour lutter contre la baisse du niveau en orthographe, un service en ligne d’entraînement individualisé vient soutenir l’effort des enseignants de l’école primaire.

    Acquérir tôt et correctement les bases de la grammaire et de l’orthographe est fondamental pour favoriser l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Afin de donner aux enfants du primaire toutes les chances d’y parvenir, l’école cherche à adapter son enseignement aux difficultés et aux besoins de chaque élève.

    Or, cela est très difficile avec une classe de 25 élèves, voire davantage. De plus, les programmes scolaires se sont fortement enrichis ces 30 dernières années (anglais, code de la route, éducation civique…), obligeant les enseignants à diviser de moitié le temps consacré à l’apprentissage de l’orthographe et de la grammaire. Par ailleurs, c’est jusqu’à 10 ans que les automatismes les plus forts se créent chez l’enfant. L’enjeu est de taille.

    C’est pourquoi le Projet Voltaire a créé « Les Fondamentaux », une solution d’apprentissage en ligne auto-adaptative, pour aider l’enseignant du CE1 au CM2 dans sa pédagogie, et fournir à l’enfant un moyen personnalisé et ludique de progresser.

    L’outil a été créé à partir des programmes officiels du primaire et avec la collaboration de 100 écoles pilotes, afin de répondre aux besoins réels des enseignants.

    Toute la puissance du Projet Voltaire au service des élèves du primaire.

    ProjetVoltaire3_200117« Les Fondamentaux » permet aux enseignants d’accompagner leurs élèves dans l’apprentissage de la grammaire et de l’orthographe grâce à un outil ludique et simple d’utilisation. Mis au point par le Projet Voltaire, no 1 de la remise à niveau en orthographe en ligne, les modules reposent sur son savoir-faire et sur la technologie de l’Ancrage Mémoriel.

    Le système repère les lacunes de l’élève, qui peut ainsi s’entraîner à son rythme via un parcours totalement personnalisé : le moyen idéal d’individualiser l’enseignement, chose difficile à faire en classe.

    Grâce à une plateforme totalement dédiée aux écoles primaires, le Projet Voltaire permet aux enseignants d’être autonomes dans la création des comptes et le suivi des progrès de leurs élèves.

    Aucune installation de logiciel n’est nécessaire, il suffit à l’établissement d’être équipé d’un poste informatique (ou de tablettes) avec un accès à Internet, et de se rendre directement sur le site www.les-fondamentaux.fr.

    L’établissement s’inscrit en ligne pour une durée de 12 mois (renouvelable à volonté), et les enseignants créent leur(s) classe(s) et les comptes de leurs élèves (manuellement ou via un simple import du fichier de la liste de leurs élèves).
    Chaque élève possède alors son propre code d’accès (communiqué par exemple via le carnet de liaison pour les parents) afin de pouvoir s’entraîner en classe ou à la maison (pas d’adresse internet ou de nom à renseigner sur le web : simple et sécurisé !).

    Un outil ludique en appui de l’enseignant

    Le contenu de ces nouveaux modules pédagogiques est exclusivement basé sur la mise en situation des points vus en classe. Il existe un cursus propre à chaque niveau, du CE1 au CM2, conforme aux nouveaux programmes scolaires.

    Ces modules ne se substituent pas à la pédagogie de l’enseignant. Ils viennent en appui. Chaque professeur peut l’utiliser pour inciter ses élèves à s’entraîner sur les notions étudiées en classe, et ce de manière auto-adaptative. Si l’enfant l’utilise aussi à la maison, le professeur pourra alors se connecter avec ses codes pour suivre en détail la progression sur les différents niveaux et règles.

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    « Les Fondamentaux » en pratique

    « Les Fondamentaux » propose de 39 règles, réparties sur 15 niveaux, pour les CE1 à 101 règles sur 27 niveaux pour les CM2. Chaque niveau correspond à un thème (ex. : adjectif et adverbe, pluriels particuliers, l’utilisation de la cédille…), libre à l’enseignant de faire travailler ses élèves en fonction du programme en cours : les niveaux peuvent être lancés indépendamment les uns des autres, en fonction aussi des besoins de l’enfant.

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    Lorsque l’enfant lance un des niveaux, le système le fait jouer sur les notions du niveau lancé. Il lui explique les règles mal maîtrisées, au fur et à mesure. Il va automatiquement mettre de côté les règles maîtrisées pour focaliser l’attention sur les notions qui le nécessitent. Ce système intelligent d’Ancrage Mémoriel, développé par le Projet Voltaire, s’adapte directement au rythme et aux lacunes de son utilisateur. L’outil accompagne ainsi l’élève jusqu’à ce qu’il soit autonome sur les règles pour lesquelles il avait du mal au début de l’apprentissage.

    Un outil créé pour et par les écoles primaires

    500 écoles s’étaient inscrites en 2015 pour faire partie des établissements pilotes qui ont testé l’outil. 100 d’entre elles ont participé à une grande enquête d’utilisation de l’outil. Grâce à leurs retours, les modules et la plateforme de suivi ont évolué pour proposer aux écoles un outil abouti, correspondant à leurs besoins.

    Les écoles nous en parlent

    Viviane Chambon, enseignante à l’école Saint-Joseph Le Rosaire au Puy-en-Velay : « Je connaissais le Projet Voltaire pour les adultes. Vu les grosses difficultés de mes élèves en orthographe, je n’ai pas hésité à le mettre en place dans ma classe, et je ne le regrette pas. La méthode est super : les élèves acquièrent des automatismes d’une autre façon que par les livres, et chacun peut avancer à son rythme. »

    Madame Baylé, enseignante à l’école Ozanam de Lyon : « Le concept du Projet Voltaire m’a plu et m’a donné envie de l’utiliser pour encourager mes élèves. Ils sont ravis du côté ludique de l’outil et certains l’utilisent même de chez eux. Ce qui me plaît également, c’est que tant que la notion ne semble pas acquise, des exercices correspondant aux difficultés rencontrées sont proposés. »

    Après le Projet Voltaire pour les collégiens, les étudiants et les professionnels, les élèves du primaire peuvent désormais profiter d’un module adapté à leurs besoins.

    Plus d’infos :

    Et pour tester gratuitement « Les Fondamentaux » : http://www.projet-voltaire.fr/demo-fondamentaux

     

     

     

     

     

     

  • Le numérique au service des échanges

    Le numérique au service des échanges

    Armande Le Pellec Muller, recteur de la région académique Occitanie, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités, et Béatrice Angrand, secrétaire générale l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse ont ouvert le jeudi 12 janvier, la journée franco-allemande 2017 sur le thème « le numérique au service des échanges ».

    Convaincue que l’apprentissage des langues, la mobilité, le dialogue interculturel et l’ouverture européenne sont indispensables à la formation des citoyens et un atout considérable pour la réussite de tous les élèves, l’académie de Montpellier organise chaque année depuis 2005 une journée franco-allemande à destination des enseignants du 1er degré au supérieur, des assistants et des inspecteurs. Les croisements entre l’enseignement de l’allemand et les autres enseignements seront au cœur des échanges de cette année, avec au programme : présentation d’outils et de ressources pédagogiques, de projets plurilingues et interdisciplinaires, ateliers.

    Cette journée sera cette année consacrée aux échanges franco-allemands et plus particulièrement aux dispositifs et outils numériques qui permettent de les préparer, les faire vivre, les enrichir, avec au programme : présentation d’outils et de ressources pédagogiques, de projets interdisciplinaires, ateliers.

    L’apprentissage de l’Allemand dans l’académie de Montpellier

    • 4,9% d’élèves qui étudient cette langue en primaire (5ème académie de France)
    • 72 dispositifs bilangues anglais/allemand (dès la 6ème lorsque l’apprentissage a débuté dans le 1er degré)
    • 25 collèges proposant l’allemand en LV2 (dès la 5ème depuis la rentrée 2016)
    • 12 lycées proposant une section européenne
    • 3 lycées proposant une section Abibac 
    • le développement de l’apprentissage de l’allemand dans les formations professionnelles : 3 parcours franco-allemands dans le domaine de l’hôtellerie, de la gastronomie et du tourisme

     

  • Algoréa, le concours qui prend la suite du « Castor informatique »

    Algoréa, le concours qui prend la suite du « Castor informatique »

    Vous connaissez peut-être le Castor Informatique, organisé par France-ioi l’ENS Paris Saclay et Inria, il a réuni prés de 475 000 élèves du CM1 à la terminale en novembre 2016. Ce concours, avec pour objectif d’initier à la pensée algorithmique a une suite : Algoréa.

    Le premier tour du concours Algoréa a débuté le 3 janvier 2017 et se déroule jusqu’au 17 janvier. L’objectif est d’encourager les jeunes français et françaises à progresser en programmation et algorithmique. Sa particularité est qu’il est ouvert à tous. Les élèves peuvent participer seuls de chez eux en s’entraînant avant sur la plateforme de France ioi ou participer en classe sous la responsabilité de leur professeurs.

    A la différence du Castor Informatique, les participants commencent à utiliser un langage informatique.

    Le premier tour est une épreuve de 45 minutes constituée d’exercices de programmation, dans les langages Scratch, Blockly et peut-être Python, mais accessible sans ou avec peu d’expérience en programmation.

    De janvier à mai, les participants vont pouvoir résoudre des défis à la difficulté croissante. Les meilleurs de chaque catégorie auront la possibilité de se qualifier pour le stage final, et d’y remporter de nombreux lots.

    Les épreuves des éditions précédentes peuvent être testées à ce lien.

    La plateforme de France-ioi permet aussi de s’exercer et de progresser en programmation et algorithmique en toute autonomie :

    Pour plus d’informations :
    www.france-ioi.org/concours/algorea

  • Le 1er test universel de culture numérique présenté à Marseille le 21 janvier

    Le 1er test universel de culture numérique présenté à Marseille le 21 janvier

    En partenariat avec le Crédit Agricole Alpes Provence, le TANu, premier test universel de culture numérique, sera présent sur le Salon du lycéen et de l’étudiant de Marseille le samedi 21 janvier. Il présentera plusieurs ateliers sur le thème : « TANu, Klout et SSI, boostez votre CV avec des indicateurs numériques » : l’occasion d’insister sur l’importance, lors d’une recherche de stage ou d’emploi, de mettre en avant ses capacités à aider son futur employeur à effectuer sa transition numérique et ainsi de proposer de vrais arguments de différenciation vis-à-vis d’autres candidats.

    Le TANu est le premier test en ligne qui permet de diagnostiquer et d’évaluer – selon un même référentiel – les connaissances numériques d’un collaborateur ou d’un candidat potentiel en informatique, internet, réseaux sociaux, technologie et économie numérique.

    Il se présente sous la forme d’un QCM de 90 questions, avec 3 réponses possibles, à réaliser dans un temps imparti de 30 minutes. Les questions posées de façon aléatoire dans une base de données de 1400 questions sont revues régulièrement en fonction de l’actualité numérique. A l’issue du test, le candidat peut visualiser son score global (notifié par une note sur 100), ainsi que son score pour chacun des 5 domaines de connaissance. Il reçoit également par e-mail un « passeport» avec un commentaire sur le score réalisé, téléchargeable en version pdf, et qu’il peut rendre accessible en ligne.

    A l’invitation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Alpes Provence, le TANu sera présent sur le Salon du lycéen et de l’étudiant de Marseille le samedi 21 janvier.

    Pour l’occasion, l’équipe du TANu proposera plusieurs ateliers tout au long de la journée sur le thème : TANu, Klout et SSI, boostez votre CV avec des indicateurs numériques.

    L’occasion de voir qu’il est important lors d’une recherche de stage ou d’emploi :
    -de mettre en avant ses capacités à aider son futur employeur à effectuer sa transition numérique
    -de proposer au recruteur de vrais arguments de différenciation vis à vis des autres candidats

    Bien entendu les visiteurs qui assisteront aux ateliers pourront par la suite passer le test TANu.
    Retrouvez le TANu toute la journée du 21 janvier sur le stand  V4 (Village 15-24 ans) du Crédit Agricole Alpes Provence qui utilise le TANu depuis quelques mois déjà dans le cadre de sa transformation numérique.

    Plus d’infos :
    Sur le TANu : Développé par l’agence Immersive Lab, le 1er test de culture numérique TANu permet d’accompagner les TPE, PME et grandes entreprises, dans le cadre de leur transformation numérique. Le test peut être utilisé par les services des ressources humaines lors d’un processus de recrutement : il permet de s’assurer qu’un candidat possède une culture numérique suffisante pour faire face aux enjeux de l’organisation. Il permet aussi détecter les besoins en formation de collaborateurs et/ou futurs collaborateurs et d’y apporter une réponse adaptée. Enfin, le test est l’occasion de détecter au sein des équipes les profils agiles, susceptibles d’aider leurs collègues, ou de porter des projets internes de transformation numérique. Pour organiser des sessions de test TANU, les entreprises peuvent se connecter sur la plateforme Saas www.tanu.io. @tanu_rh