Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • La diffusion des technologies de l’information et de la communication dans la société française

    La diffusion des technologies de l’information et de la communication dans la société française

    Ce rapport du CRÉDOC analyse la place des technologies de l’information et de la communication en France en 2014. Sont analysés les équipements et les différents modes et lieux de connexions, le profil des utilisateurs, les pratiques quotidiennes de l’ordinateur, de l’internet, de la téléphonie, de la télévision, les points de vue relatifs aux précautions par rapport à la santé et à la protection des données personnelles.

    La présente étude a été réalisée à la demande du Conseil Général de l’Économie, de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies (CGEIET) et de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP). Les résultats présentés dans ce rapport sont issus de l’enquête de juin 2014, menée auprès d’un échantillon représentatif de la population française âgée de 12 ans et plus, sélectionné selon la méthode des quotas : 2 220 personnes ont ainsi été interrogées « en face à face » à leur domicile. Deux types de questionnaires ont été proposés aux répondants : le premier à destination des individus âgés de 18 ans et plus, le second visant uniquement les 12-17 ans.

    Équipement et connexions

    En matière d’équipement la progression est nette concernant  les tablettes tactiles (29 % d’individus équipés, + 12 points) et les smartphones  (46 % d’équipement, + 7 points). Le taux d’équipement en micro-ordinateur (au moins un ordinateur 82 %), connexion à internet (82 %), téléphone fixe (90 %)  ou téléphone mobile (89 %) ne bouge pratiquement pas,  73 % des français cumulant les trois équipements (ligne de téléphone fixe, téléphone mobile, et internet à domicile).

    Aujourd’hui davantage de personnes possèdent un smartphone (46 %), qu’un téléphone mobile (43 %).

    En Europe, la France se place désormais au 5ème rang s’agissant de l’équipement des ménages en internet à domicile (78 %, ce pourcentage diffère des 82 % enregistrés dans la présente enquête,  car il repose sur les ménages et non les individus). La France gagne une place et a rattrapé la Finlande et dépassé le Luxembourg.

    En ce qui concerne la télévision, c’est le moyen privilégié pour regarder les programmes en direct (93 %) mais 42 % des personnes interrogées regardent des émissions de télévision en replay et  27 % regardent des vidéos par d’autres moyens (vidéo à la demande, téléchargement streaming) sur la télévision et 29 % sur ordinateur.

    L’usage de tablettes ou de téléphones mobiles pour regarder des vidéos restent faibles (7 à 10 %).

    La proportion d’internautes varie peu en 2014 (83 % , + 1 point). Les usages liés à l’internet sur téléphone mobile progressent  : navigation sur internet (43 %, + 6 points), consultation des courriels (36 %, + 6 points), téléchargement d’applications (36 %, + 7 points).  Les connexions sur ordinateur portable ou tablette tactile concernent 74 % des 18-24 ans.

    Par ailleurs, plus d’un Français sur quatre (28 %) utilise la géolocalisation sur son mobile pour trouver un restaurant, un bar, un musée ou un magasin

    Usages d’internet

    En moyenne, un internaute déclare passer 17 heures par semaine sur le net (contre 15 heures en 2013), Les 12-17 ans interrogés se situent exactement dans la moyenne : ils consacrent 17 heures par semaine à internet.  En revanche les cadres consacrent 21 heures hebdomadaires et les 18-24 ans 27 heures. 50 % des parents déclarent poser des limites quant à l’utilisation d’internet par leurs enfants; de la même manière, un parent sur deux instaure des règles quant au temps passé par ses enfants devant les écrans (jouer à des jeux vidéos – utiliser internet – regarder la télévision – téléphoner ou envoyer des SMS).

    En ce qui concerne les usages d’internet, 8 usages d’internet ont été passés en revue, certaines pratiques étant plus fortes (56 % écoute de musique, 54 % achat sur internet, 51 % recours à l’e-administration, 48 % usage des réseaux sociaux)  et d’autres pratiques plus sélectives (30 % téléphone par Skype ou MSN, 24 %  recherche d’offres d’emploi ou 22 % visionnage de la télévision). 77 % des personnes interrogées déclarent au moins un des usages étudiés.

    Dans ces usages, des écarts entre les adolescents et les adultes peuvent être  importants : 49 points d’écart pour la musique, 32 points sur les réseaux sociaux, 23 points sur les vidéos).

    A lire aussi « Précautions par rapport à la santé » et « protections des données personnelles »
    Source : http://eduscol.education.fr/

    Le rapport complet à découvrir ici

  • Appel à enseignants premier degré pour test applis

    Appel à enseignants premier degré pour test applis

    Edumaths_080114

    Il recherche actuellement des enseignants du premier degré, désireux d’évaluer ses applications.

    En effet il vient de sortir deux nouvelles applications pour les écoles primaires présentes sur le store Google Play :
    EduMath calcul  CM1 et CM2https://play.google.com/store/apps/details?id=fr.edapps.edumathcm1cm2
    EduMath CE1CE2  https://play.google.com/store/apps/details?id=fr.edapps.edumathce1ce2

    Ces deux applications proposent un moyen intuitif et efficace  d’apprendre à un élève à calculer.
    Il y a deux modes d’utilisation : le mode test avec un compte à rebours et  le mode apprentissage

    Les versions IPad et Windows sont en cours de développement.

    « J’ai déjà à mon actif la famille d’applications de mathématiques Edumath Terminale S et Edumath Troisième présentes sur les store Apple,Google et Windows« .

    Pour le contacter :  edumath@edapps.fr et sur Twitter : @m_jombe

  • Internet à l’école, lancez-vous !

    Internet à l’école, lancez-vous !

    A travers des astuces et des exemples concrets d’activités, cet ouvrage, sur un ton complice et déculpabilisant, fait le lien entre la réalité du terrain et les bénéfices à enseigner connecté. Il démontre aux enseignants qu’ils possèdent bien souvent assez de connaissances sur le web et de matériel pour relever maintenant le défi du numérique ! Et ce, dans une pratique quotidienne, naturelle et indissociable de leur enseignement.

    Le premier chapitre permet aux enseignants d’y voir clair sur leurs envies et affinités avec le web (notamment grâce à un test psycho) mais aussi sur leurs possibilités de formation et le matériel.

    Les autres parties détaillent des usages possibles (réseaux sociaux, blogs, espaces numériques de travail (ENT), vidéos) tout en explicitant les activités proposées et en guidant les enseignants pour s’y mettre. Les compétences mises en œuvre et les intérêts de ces pratiques numériques y sont analysés : faire des élèves des internautes responsables, améliorer leurs compétences à l’écrit, motiver leurs apprentissages…

    Des encadrés pratiques, des fiches de préparation ainsi que des documents types apportent des réponses précises aux questions des enseignants concernant les aspects administratifs, légaux et techniques du web en classe (droit à l’image, charte d’utilisation des réseaux sociaux, demande d’équipement …). Et aussi : un glossaire et une sitographie qui permettent aux plus débutants de se lancer !

    Des interviews d’enseignants ponctuent le guide d’expériences inspirantes.

    Véritable mode d’emploi d’Internet à l’école et plaidoyer pour un usage rationnel des nouvelles technologies en classe, cet ouvrage concret et ludique s’adresse autant aux professeurs des écoles peu familiers du web qu’aux utilisateurs déjà convaincus.

    Au sujet des Auteurs :

    Katrin Acou-Bouaziz, journaliste spécialisée sur la famille a publié plusieurs guides pratiques (notamment aux éditions First et Fleurus).

    Alexandre Acou, professeur des écoles, est initiateur de twittclasses à Paris. Défenseur du numérique à l’école, formateur au CLEMI, il a participé à des conférences sur l’utilisation du numérique à l’école.

    En vente sur : editions-retz.com – parution 22 Janvier 2015

    Acou_ouvrageinternet_080115

  • L’Agence universitaire de la Francophonie appuie la création de « l’Université Numérique de Côte d’Ivoire »

    L’Agence universitaire de la Francophonie appuie la création de « l’Université Numérique de Côte d’Ivoire »

    Ce projet vise à moderniser le système d’’enseignement supérieur et de recherche du pays par le déploiement des technologies de l’’information et de la communication pour l’éducation (TICE) et de la formation ouverte et à distance (FOAD).

    Le ministre ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Gnamien Konan a sollicité l’expertise de l’AUF pour le démarrage de la phase de création de l’UNCI. La convention de partenariat signée le 12 décembre 2014 confie notamment à l’AUF les missions d’assistance suivantes :

    . l’’établissement d’un inventaire des cours en ligne de niveau universitaire, accessibles gratuitement, et des formations ouvertes et à distance diplômantes et payantes ;
    . la sélection d’une partie de ces cours en adéquation avec les besoins ivoiriens et la formation d’enseignants pour créer des parcours de formation ciblés utilisant les cours en ligne sélectionnés, ou des cours créés par eux, qui seront utilisés par l’UNCI ;
    . la création d’une « fabrique à CLOM / MOOC » pour la production de cours filmés, accompagnée de la formation des enseignants à la conception de ce type de dispositif de formation à distance ;
    . la mise en œoeuvred’’un dispositif de formation en partie à distance en informatique et Internet pour les étudiants de 1er cycle.

    Le projet d’université numérique de Côte d’’Ivoire permettra de faire face au nombre accru d’étudiants entrant dans les cycles d’enseignement supérieur en recourant massivement à la formation à distance au sein des universités et grandes écoles du pays.

    « Le déploiement des TICE est déterminant pour le développement et l’avenir du système ivoiriend’’enseignement supérieur et de recherche qui doit faire face, comme la plupart des pays en émergence, à une massification croissante de ses étudiants. L’Agence œoeuvre depuis de nombreuses années à la promotion de ces outils dans les systèmes éducatifs. Nous sommes donc fiers que les autorités ivoiriennes aient sollicité notre savoir-faire humain et technique pour ce projet ambitieux », indique Bernard Cerquiglini, Recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie.

    Pour plus d’’informations : www.auf.org

  • @miclik, le jeu sérieux qui fait entrer les enfants dans la culture numérique : genèse du projet

    @miclik, le jeu sérieux qui fait entrer les enfants dans la culture numérique : genèse du projet

    Quand on sait le budget et l’énergie qu’il faut déployer pour la mise en place d’un tel outil qu’est le serious game, on se doit de poser la question : pourquoi un service de l’Education Nationale s’est-il attaqué à ce vaste chantier ?

    Production de serious games dans l’éducation nationale : n’est ce pas antinomique ?

    « La genèse de l’idée d’un jeu sérieux est venue de l’Université d’été de Ludovia que Stéphane Bois, conseiller pédagogique du Loiret, me représentant lors de cet événement, a visité en 2013. Il a rapporté dans ses bagages, de nouvelles idées sur les serious game, notamment après avoir eu de longues discussions avec Julian Alvarez, enseignant chercheur reconnu dans le domaine », explique Dominique Pichard.

    En effet, le jeu sérieux n’est pas encore une pratique courante dans l’enseignement ; non pas qu’il ne soit pas adapté ou boudé mais faute en est plutôt à son coût d’acquisition encore trop élevé.

    @miclik, un jeu sérieux pour favoriser des usages raisonnés des réseaux sociaux. Pourquoi avoir choisi ce thème ?

    La réflexion de l’équipe s’est portée sur les réseaux sociaux en s’appuyant sur l’étude réalisée par Lionel tordeux, IEN à la Direction du Numérique pour l’Education (étude à découvrir dans nos pages) ; au travers de ses différents constats, Lionel Tordeux met en lumière notamment, « le nombre d’enfants qui ont un compte Facebook alors que c’est interdit aux moins de 13 ans », souligne Dominique Pichard.

    Pour accompagner les résultats de Lionel Tordeux, la DSDEN du Loiret a mené une enquête auprès de 1000 élèves et « nous sommes arrivés au même résultat, allant même jusqu’à constater que dans des classes de primaire, c’est près de 50% d’élèves qui ont un compte Facebook », ajoute t-il.

    L’idée a donc germé dans la tête de l’équipe de la DSDEN du Loiret de créer un outil pédagogique mais néanmoins ludique pour apprendre aux enfants à, tout simplement, utiliser les réseaux sociaux.

    J’insiste sur le mot enfant car il ne s’agit pas uniquement d’élèves puisque le jeu sérieux @miclik est destiné à la fois aux classes mais également ouvert aux familles.

    L’équipe de réalisation se compose de huit personnes comprenant des conseillers au numérique (dont un, avec des compétences en graphisme et un autre, avec des compétences en programmation) et des conseillers pédagogiques; la partie pédagogique est très importante aux yeux de Dominique Pichard car, comme il le rappelle très justement : « le jeu sérieux ne peut atteindre ses objectifs que si on suit bien le scénario pédagogique avec un guide pédagogique à destination des enseignants ».

    Le projet a bien entendu été validé et soutenu par le Directeur Académique du Loiret qui a mis à disposition les moyens nécessaires pour qu’il puisse aboutir.

    A suivre dans un prochain épisode : @miclik, le jeu sérieux construit de toute pièce par une équipe Education Nationale : mode d’emploi

    Plus d’infos :
    pour accéder au jeu et jouer, connectez-vous ici.

  • Les Collèges Connectés, des lieux de référence pour faire évoluer les pratiques numériques

    Les Collèges Connectés, des lieux de référence pour faire évoluer les pratiques numériques

    D’ici la fin d’année scolaire 2014-2015, le nombre de Collèges Connectés devrait atteindre la centaine.

    Le programme avait démarré à la rentrée 2013 avec 23 établissements répartis sur l’ensemble du territoire national. Aujourd’hui, avec 72 collèges, le projet couvre la quasi totalité des académies.

    « L’objectif principal est de diffuser les pratiques numériques innovantes dans les situations d’apprentissage auprès des élèves », décrit Max Aubernon.

    Collaboration étroite et active entre institutions via des conventions tripartites : la condition indispensable pour devenir CoCon

    « Dans ce programme, il s’agit aussi de mettre en place un nouveau mode de travail avec les collectivités ».

    Pour ce faire, un conventionnement est établi entre l’établissement, la collectivité et le rectorat. Cette convention engage les parties prenantes à un certain nombre d’actions :

    . Pour les collectivités, elles s’engagent au niveau des équipements, du matériel, du débit fourni dans les classes et de toute l’infrastructure nécessaire, sans oublier la maintenance.

    . Le rectorat doit assurer la formation des enseignants et l’accompagnement des établissements.

    . Enfin, l’établissement s’engage à intégrer le numérique dans tous les volets du projet d’établissement.

    Du Très Haut Débit pour tous les CoCons ?

    Même si le Très Haut Débit est largement encouragé, Max Aubernon rappelle que le critère pertinent est que le débit fourni ne constitue pas à un frein aux usages du numérique.

    Le CoCon, une candidature réservée à des collèges déjà équipés ?

    Un collège qui souhaite devenir Collège Connecté ne doit pas nécessairement être déjà suréquipé, comme le précise Max Aubernon : « si l’établissement prouve qu’il mène un plan d’équipement avec la collectivité et qu’il a une volonté de développer des pratiques numériques, c’est un élément que nous prenons en compte dans le choix des candidats ».

    Avoir une équipe pédagogique dynamique et qui souhaite s’orienter vers des pratiques numériques, est une condition qui prime pour se lancer dans le projet.

    Collège Connecté : une qualification qui sous-entend des obligations mais qui a aussi ses avantages

    La reconnaissance et la qualification de votre établissement en Collège Connecté vous apporteront notamment un fond d’impulsion du Ministère de l’ordre de 10 000 euros, « qui permet d’investir au niveau des ressources numériques » ; sans oublier le conventionnement mis en place qui garantit un accompagnement de l’établissement par l’ensemble des acteurs.

    Ces Collèges Connectés doivent devenir des lieux « d’incubation » pour les projets territoriaux et nationaux, des lieux de formation ; bref, « des espaces ressources sur un territoire avec l’idée que par essaimage, par capillarité, nous puissions diffuser les pratiques numériques ».

    « Idéalement, il faudrait arriver à ce que chaque collège de France soit un Collège Connecté mais aujourd’hui, nous sommes encore sur une démarche innovante par laquelle nous souhaitons créer des endroits de référence, pour travailler en réseaux, avec les écoles primaires parfois ou encore les lycées ; des lieux où l’on peut trouver des compétences, du matériel et un accompagnement pour développer les pratiques numériques ».

    Plus d’infos : retrouvez le reportage de Ludomag dans le collège de Yutz en Moselle

    Veuillez nous excuser pour la qualité plus que moyenne du son de la vidéo, cette interview ayant été réalisée sur le Salon Educatice en novembre 2014, près des démos « robots » et « machines ». Merci de votre indulgence.

    2014_carte_collegesConnectes

  • Ne manquez pas les journées Villardigital 2015, évènement couvert par Ludomag !

    Ne manquez pas les journées Villardigital 2015, évènement couvert par Ludomag !

    Le succès de la notion de génération Y  (regroupant des personnes nées approximativement entre le début des années 1980 et le début des années 2000) dans les entreprises prend appui sur le déphasage entre les besoins et attentes des jeunes de la génération Y et le mode de fonctionnement de l’entreprise.

    Les différences générationnelles s’expliqueraient par une accélération du changement, l’apparition des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication), une hiérarchisation différente dans les transmetteurs de valeurs notamment.

    Durant ces trois jours de rencontres, de conférences et de débats intergénérationnels autour des Digitals natives – l’autre nom de la génération Y – les intervenants, accompagnés de grands témoins, réfléchiront d’une part sur la place de cette classe d’âge au sein des organisations, d’autre part sur les modifications marketing induites par leurs us et coutumes consuméristes.

    Le vendredi sera, quant à lui dédié à la formation, avec la tenue exceptionnelle de 6 conférences du SEO Snow camp – l’association nationale des référenceurs web – et d’une formation d’Isère tourisme réservée aux offices de tourisme du département. Les journées Villardigital, à l’initiative de Chantal Carlioz, Maire de Villard de Lans et Conseillère générale de l’Isère, s’inscrivent comme le rendez-vous incontournable des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication depuis janvier 2013.

    Ainsi notre territoire continuera d’associer à merveille ruralité et excellence numérique. Une alchimie que l’on ne retrouve que dans le Vercors.

    Autre nouveauté, une grande soirée débat sur le thème « web 2025 » se tiendra mercredi soir au Rex. Lors de cette soirée, tout un chacun pourra exposer sa vision de l’Internet dans 10 ans. Seule contrainte, une présentation de  plusieurs diapositives pour  5 minutes de gloire sur scène devant un public enthousiaste et varié.

    Si vous souhaitez y participer, inscrivez-vous gratuitement auprès du Secrétariat général de la Mairie (04 76 94 09 03).

    Plus d’infos : www.villardigital.com
    Le programme est accessible  ici : programmeVillardigital

  • La « révolution numérique », une révolution des cultures de l’information

    La « révolution numérique », une révolution des cultures de l’information

    Pour expliquer le nouveau, c’est parfois bien de revisiter le passé.

    C’est ainsi que Divina a choisi d’introduire son propos sur sa vision de la « révolution numérique ».

    D’après elle, le passé le plus proche par rapport à la révolution des savoirs, c’est l’époque de la Renaissance, « qui arrive environ deux siècles après la révolution de l’imprimerie », précise t-elle.
    Instinctivement, on ne pense pas à la Renaissance quand on pense « révolution numérique » ; pourtant, c’est bien cette époque qui a amené les différents supports du papier, comme les encyclopédies ou les romans par exemple, donc des « nouvelles formes d’expression ».

    Avec le numérique, tout contenu peut être multi supports

    « Si on fait la même chose avec le numérique et que tout devient numérique comme tout est devenu papier après la Renaissance, il va y avoir des personnes spécialistes du numérique et du code comme il y a des spécialistes du livre et de l’imprimerie », explique t-elle pour introduire l’idée du positionnement à adopter par rapport à cette « révolution numérique ».

    Actuellement, le numérique a un côté « inhibant » et « panique » pour les personnes qui n’arrivent pas à l’utiliser, se cachent des autres, n’osent pas l’avouer et font semblant.

    L’accompagnement dans cette « révolution » est donc primordial pour éviter ce type de comportements. Pour Divina, le cœur du phénomène, « ce sont les cultures d’information ».

    La seule vraie caractéristique du numérique est qu’il enlève tout contenu de son support d’origine.

    « Et c’est cela, la « révolution numérique : le support numérique permet de transférer à tous les autres supports, c’est ce qui fait sa force », ajoute t-elle.

    La révolution numérique, la culture ou les cultures de l’information

    Au-delà de cet atout, il ne faut pas oublier le contenu et donc l’information à mettre sur tous ces supports.

    « L’enjeu est véritablement l’information ; si on ne sait pas la référencer, elle se perd ; si on ne sait pas la contre vérifier, on tombe dans la rumeur ou la désinformation ; si on ne sait pas la valoriser, elle ne va pas savoir être utilisée par les enfants etc ».

    Aujourd’hui, l’information est souvent réduite à la data ; pour Divina, même si la data est une pièce maîtresse de l’information, il ne faut pas réduire l’information à cela ; l’information englobe aussi les documents numériques, les informations audiovisuelles ou de la presse papier qui crée le « bouillon de culture » qui va inviter à la curiosité et à l’exploration.

    D’ailleurs, Divina préfère parler d’exploration que d’exploitation de l’information.

    « Nous sommes plus dans l’appropriation, la maîtrise, le transfert et l’augmentation de cette information ».

    « Je reste sur la métaphore légère du surf de l’internet plutôt que la métaphore lourde de la mine dans laquelle on exploite des gisements de données de manière très coûteuse », conclut-elle.

    A suivre dans le prochain épisode : La “Small“ Data : un nouveau concept à utiliser pour l’enseignement ?

  • Sciences & Jeux : faire le lien entre l’école, le temps périscolaire, le centre de loisirs… et la maison !

    Sciences & Jeux : faire le lien entre l’école, le temps périscolaire, le centre de loisirs… et la maison !

    sciencesetjeuxune_030115

    Anthony Romagné crée Sciences & Jeux pour animer la semaine des 4 jours et demi

    Enfant, Anthony Romagné occupait son temps à réaliser des constructions, des décorations, à adapter des jeux à sa façon.

    sciencesetjeux2_030115L’enfant a grandi mais sa passion est restée… Devenu adulte, il crée des contenus d’animations à partir de ses souvenirs d’enfance et devient naturellement animateur auprès des enfants.

    Après avoir débuté dans l’animation sportive, il intervient en accueil de loisirs, lors de séjours touristiques, puis se spécialise sur les temps scolaires et périscolaires en assurant la gestion de sites scolaires et la coordination d’animateurs.

    Depuis 13 ans, il propose ainsi des animations créées sur-mesure, essentiellement axées sur les découvertes des sciences.

     

    Quand je suis devenu animateur, j’ai remarqué que les enfants prenaient beaucoup de plaisir autour des constructions extraordinaires, des expériences scientifiques, des découvertes… Petit à petit, je me suis donc lancé dans l’élaboration d’outils pédagogiques spécifiques pour les écoles et déclinés de façon plus ludique pour les temps hors scolaires.

    En 2012, Anthony Romagné crée le blog Sciencesjeux.com pour partager avec les professionnels de l’enfance et les parents ses idées d’animations. Face au succès remporté tant auprès des enfants que des adultes, il décide de lancer sa société pour proposer en Bretagne, des prestations d’animations à destination des 5-12 ans.

    Découvrir, apprendre, s’amuser et s’adapter aux nouveaux rythmes scolaires !

    Grâce à un programme varié d’animations originales, à la fois pédagogiques et ludiques, Sciences & Jeux s’adapte au rythme de l’enfant pour répondre aux besoins des écoles et structures d’accueil autour d’un maître-mot : la découverte.

    Nos animations peuvent être déclinées sous des aspects plus ou moins éducatifs ou ludiques. Cela permet d’intervenir à la fois dans le cadre du programme scolaire, sur des temps périscolaires ou de loisirs.

    “La fascination et les souvenirs inoubliables qu’en gardent les enfants sont d’autant plus satisfaisants qu’il arrive assez souvent qu’ils ne se rendent même pas compte que certains de ces contenus font partie du programme scolaire“.

    sciencesetjeux_030115Tout en privilégiant les matériaux usagés et le recyclage, Sciences & Jeux propose par exemple :

    – des découvertes scientifiques : volcans, illusions d’optique, etc.
    – des constructions extraordinaires : maquettes médiévales (châteaux, catapultes…), fusées, etc.
    – des activités manuelles ludiques : voitures-ballons, constructions de jeux, land-art, etc.

    Plus d’infos :

    Découvrez toutes les prestations d’animations Sciences & Jeux sur http://prestations-animations-sciences-jeux.com

    En plus des animations sur les temps scolaires, périscolaires et d’accueil de loisirs, Sciences & Jeux intervient également auprès des clubs de sciences, des entreprises, lors de goûters d’anniversaires et d’événements.

    Le blog : http://www.sciencesjeux.com