Pourquoi venir à Ludovia ?
« J’aime cet événement qui me permet de retrouver tous les acteurs du domaine de l’éducation et du numérique ».
Coup de cœur Ludovia 2013 :
« les lignes ont enfin bougé »
« Je me suis enrichie, enfin, d’une vision de l’externalisation de l’école ».
Pascale tient à souligner qu’elle a noté un changement dans les discours qui se sont tenus à Ludovia 2013 mettant en avant qu’aujourd’hui, on n’apprend pas uniquement à l’intérieur de l’école mais aussi à l’extérieur et qu’on apprend différemment. Enfin !
Elle a ressenti davantage de perspectives sur « comment on pouvait faire l’école autrement ».
Pas uniquement avec un outil qui nous permettait de faire comme avant mais avec des exemples de vraies méthodes novatrices : inverser la classe, la multiplication des plateformes qui permettent d’apprendre de pair à pair…
La prise de conscience que l’enseignant n’est plus seulement le « passeur » de connaissances et qu’il est aussi là pour créer des compétences qui viennent de connaissances acquises à l’extérieur, « c’est une vraie révolution ».
Coup de gueule : encore trop d’argent public dépensé à tout-va
C’est le constat que dresse Pascale : il y a encore beaucoup de projets engagés avec l’argent public, tout aussi intéressants les uns que les autres et légitimes ; mais sur ces projets, qui sont souvent subventionnés pour les 2/3 par nos impôts, on ne voit pas d’aboutissement ou de résultats concrets qui expliquent dans quelles circonstances cet outil est meilleur que l’autre, ce qu’il apporte réellement, et donc une absence de « retour sur investissement ».
Peut-être faudrait-il fédérer davantage mais aussi s’inspirer parfois de modèles déjà expérimentés ailleurs sans vouloir toujours « réinventer la poudre », « ce qui est typiquement franco-français« , ajoute t-elle.
« On ne s’appuie pas suffisamment sur la co-production, c’est à dire se servir du travail des uns et des autres pour aller plus loin ».
Merci à Pascale d’avoir bien voulu donner ses impressions sur Ludovia 2013