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  • Infobésité et big data : faites parler les données!

    Infobésité et big data : faites parler les données!

    Stéphane Chauvin dirigeant de la société R2C System et de mydataball.com est venu témoigner de son point de vue en tant que représentant de la filière numérique, sur la thématique de cette année à savoir le big data. En effet, le c2E, au-delà des chercheurs, fait venir de nombreux intervenants extérieurs pour ouvrir les points de vue sur la thématique.

    « Nous sommes des industriels de l’analyse et nous avons une mécanique qui va prendre depuis les données jusqu’aux besoins des décideurs à transformer la donnée en connaissance utilisable et pertinente« .

    Exemples de ce travail et utilisation concrète de la data illustrés par le propos de Stéphane Chauvin dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    A propos de mydatball.com : mydataball.com

     

  • L’enjeu des Learning Analytics

    L’enjeu des Learning Analytics

    Serge Garlatti est professeur à Télécom Bretagne et responsable du département informatique, membre du laboratoire LabSTICC, du CSV du pôle Images et réseaux, président de l’ATIEF et membre de l’AFIA.Il est intervenu sur le C2E sur l’un des volets de la thématique annuelle du big data à savoir l’analyse des données d’apprentissage. Il a utilisé quelques cas d’études dans le cadre du projet Hubble.

    « Cela fait maintenant environ 15 ans que je travaille à l’intersection des domaines de l’Intelligence Artificielle et des EIAH. Mes activités de recherche portent sur les domaines de la e-Education, de la E-Formation (apprentissage tout au long de la vie) et de la médiation culturelle pour des apprentissages formels et informels.
    Je m’intéresse à des problématiques de conception d’environnements d’apprentissages et de médiation culturelle fondés sur des démarches par investigation ou le connectivisme, en utilisant des média sociaux dans des environnements ouverts de type MOOC.

    D’un point de vue informatique, il s’agit de problématiques d’acquisition et de représentation de connaissances, de traces et d’analyses de ces dernières, de web sémantique et de Linked Data, de sensibilité au contexte et d’adaptation, de learning analytics, et de génération dynamique de tableaux de bord pour accompagner toutes les parties prenantes ».

    L’enjeu des Learning Analytics aujourd’hui est d’être capable d’analyser le comportement des apprenants sur des plateformes numériques, de plus en plus utilisées.

    « Le but est bien d’adapter, grâce à ce travail d’analyse, les outils à chaque apprenant ou à chaque groupe d’apprenant et il y aura de biens meilleurs résultats au niveau des apprentissages« , explique t-il.

    Retrouvez toute sa réflexion sur le sujet dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

     

     

  • Création du GIS INEFA et lancement du premier projet commun : REMASCO

    Création du GIS INEFA et lancement du premier projet commun : REMASCO

    Vincent Rosseli, chef de projet ENT à la direction de l’éducation du conseil régional Nouvelle Aquitaine, était présent sur le C2E en tant que représentant de la Région mais aussi en tant que directeur du GIS INEFA, nouvel organisateur du Campus Européen d’été.

    La présence de nombreux acteurs locaux mais aussi nationaux (Canopé, CNED, ESENESR etc) a fait naître le besoin de créer un groupement d’intérêt scientifique, GIS, intitulé INEFA pour « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages ».

    La vocation du GIS INEFA est de travailler ensemble pour apporter le savoir-faire de chacun et monter des projets qui répondront aux attentes de tous, sur le volet ressources et usages.

    Le premier projet fédérateur du GIS est le projet REMASCO, « réinventer le manuel scolaire au sens numérique« .

    Pour la région, l’intérêt d’appartenir au GIS est un levier d’innovation pour l’économie et l’emploi ; la dynamique autour de projets comme REMASCO entre bien dans ce champ de compétences puisqu’ils font appel aux savoirs-faire d’entreprises spécialisées dans le numérique.

    Explications avec Vincent Rosseli dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Mario Cottron, directeur de l’ESPE de Poitiers et partenaire membre du GIS INEFA dans l’organisation du Campus Européen d’été, était au micro de Ludomag pendant l’évènement. Pour lui, faire partie de ce GIS est une évidence.

    En effet, dans les objectifs fixés à la création de l’ESPE, le numérique et spécialement le numérique éducatif, est une des quatre priorités.

    « Nous n’allons pas former les enseignants et n’enseigner demain qu’avec le numérique, cela serait stupide de penser ça ; penser qu’on peut aujourd’hui enseigner sans le numérique est tout aussi stupide », souligne t-il en début d’interview.

    Retrouvez Mario Cottron dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • L’EMF de Poitiers, partenaire culturel incontournable du C2E 2016

    L’EMF de Poitiers, partenaire culturel incontournable du C2E 2016

    L’Espace Mendès France de Poitiers fait partie du GIS INEFA, Groupement d’Intérêt Scientifique « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages » ; déjà partenaire du Campus Européen d’été avant la fondation de ce groupement, c’est tout naturellement que l’EMF a accueilli l’évènement encore cette année sur une journée entière autour de deux sujets reliant la thématique 2016 du Big Data : « Quand l’art et l’engagement associatif questionnent le big data » et « Instaurer de nouveaux rapports aux données, entre nouveaux services, Droit et Art ».

    « Cette problématique du big data et plus généralement du numérique est traité toute l’année à l’Espace Mendès France au travers de nos activités autour des activités numériques, des cultures numériques, de l’information des publics, des ateliers de formation etc« , précise Thierry Pasquier, responsable communication à l’EMF.

    « Je pense que ce qu’on attend de nous au C2E est d’apporter ce regard décalé par rapport à la thématique, d’autant plus que le Campus européen d’été n’est pas réservé aux universitaires mais est ouvert à tout type de public« , ajoute t-il.

    Retrouvez l’intégralité de l’interview de Thierry Pasquier dans la vidéo ci-contre.

     

  • Les équipements mobiles et leur massification  : où en est-on ?

    Les équipements mobiles et leur massification : où en est-on ?

     Réponse avec Pascale Montrol-Amouroux, Cheffe du département Usages et valorisation des pratiques à la DNE au MENESR, au micro de Ludomag et interviewée par Michel Guillou lors de la 13ème édition de l’Université d’été de LUDOVIA.

    Avec le plan numérique en cours, les équipements mobiles vont peu à peu se multiplier dans les classes et mettre les enseignants au défi de venir « composer » avec ces nouveaux usages.

    « Notre rôle au Ministère est de parvenir à organiser toutes ces ressources nouvelles et en faire ressortir une dizaine qui soient vraiment emblématiques de l’utilisation des équipements mobiles tout en croisant avec les nouveaux programmes du collège et du cycle 3 notamment« , explique Pascale Montrol-Amouroux.

    Ces exemples ne sont pas exhaustifs ; ils sont composés d’une fiche pratique avec une vidéo présentant une activité comme, par exemple, la fonction de publication etc.

    « L’idée est de construire une collection en collaboration avec les académies ».

    Plus d’information dans la vidéo ci-contre.

  • Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    La société française Speechi, spécialiste des solutions interactives, lance la gamme de vidéoprojecteurs interactifs SPE-400W, premiers vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale pouvant fonctionner sans ordinateur : une tablette géante et connectée de 2,80m de diagonale.

    Quand le vidéoprojecteur interactif devient une tablette tactile géante et connectée

    Muni de son boîtier interactif Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400 devient une véritable tablette tactile géante. Il n’est plus nécessaire d’y brancher un PC, le boîtier Android est directement intégré au vidéoprojecteur, qu’il contrôle.

    L’interface Android simplifiée développée par Speechi est intuitive, elle convient aussi bien aux besoins dans la salle de classe qu’en entreprise. Le logiciel interactif d’annotation est notamment inclus, ce qui permet aux fonctions interactives habituellement réservées au PC ou au MAC d’être accessibles sur Android.

     interface android pour vidéoprojecteur interactif

    Pourquoi Android ? Autonomie, ergonomie, réactivité et applications.

    Le système Android embarqué avec ces nouveaux vidéoprojecteurs apporte des usages radicalement nouveaux. Les qualités de ces nouveaux vidéoprojecteurs sont nombreuses :

    • l’ergonomie ainsi obtenue rend le vidéoprojecteur aussi facile à utiliser qu’une tablette ;
    • la réactivité est parfaite, aucune latence n’est visible ;
    • l’ordinateur n’est plus obligatoire ;
    • les applications sous Android sont nombreuses. Speechi a développé un écosystème d’applications partenaires, sans publicité et gratuites, accessibles via le SpeechiStore, qui est fourni dans le boitier interactif Android.

    vidéo présentation vidéoprojecteur tactile speechiCliquez ici pour découvrir le vidéoprojecteur tactile et son boîtier Android en vidéo.

    La société Speechi a été précurseur dans l’utilisation du système Android pour du matériel interactif: elle est devenue en 2015 le premier constructeur français d’écrans interactifs fonctionnant sous Android. Cette année, elle intègre, pour la première fois, le système Android dans un vidéoprojecteur interactif.

    Un vidéoprojecteur tactile adapté au plan numérique « tablettes »

    vidéoprojecteur interactif androidLe vidéoprojecteur  SPE-400W est parfaitement adapté au nouveau plan numérique mis en place par l’Education Nationale, qui comprend entre autres l’équipement en tablettes tactiles des salles de classe. Le système Android du boîtier est compatible avec les tablettes des enseignants et des élèves, la communication entre les deux appareils se fait le plus naturellement du monde.

    Sans parler bien sûr de la simplicité d’usage : de nombreuses personnes utilisent déjà le système d’exploitation Android sur leurs tablette et smartphone personnels.

    La possibilité d’afficher l’écran sur une surface de projection allant jusqu’à 2,80m de diagonale et interactive permet aussi d’établir un rapport plus proche avec les élèves, qui peuvent lever le nez de leur tablette.

    Le vidéoprojecteur interactif idéal pour la présentation en classe ou en réunion

    Indépendamment des atouts du système Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400W est un formidable outil de présentation, à l’école comme en entreprise.

    videoprojecteur tactile multitouch pour la collaboration

    Plus d’ombre portée, qualité d’image supérieure et 3D Ready

    Grâce à son ultra-courte focale, aucune ombre portée ne vient perturber la présentation. L’image projetée est plus grande, plus nette et claire qu’avec un vidéoprojecteur classique, il n’y a plus d’éblouissement ni de reflet.

    L’interaction se fait comme sur une tablette tactile géante.

    Installation et calibration simplifiées

    Le principal problème du vidéoprojecteur tactile, toutes marques confondues, c’est la difficulté de la calibration initiale (lors de la première installation). Jusqu’à présent, le réglage du tactile se faisait en partie à l’aveugle, car la technologie tactile des vidéoprojecteurs interactifs est basée sur un rayonnement laser de fréquence invisible à l’oeil nu.

    C’est pourquoi l’installation d’un VPI tactile devait toujours être réalisée par un installateur spécialisé et formé.

    Avec cette nouvelle gamme de vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale, plus besoin d’être un spécialiste pour régler le vidéoprojecteur tactile :

     

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  • Les six avantages de l’écran interactif en école

    Les six avantages de l’écran interactif en école

    Alors que de nombreux écrans tactiles interactifs remplacent les autres solutions interactives, les utilisateurs du secteur éducatif s’attendent à une surface d’écran utile et plug & play comparé aux vidéoprojecteurs interactifs.

    Les systèmes numériques sont de plus en plus présents dans les établissements scolaires comme dans les entreprises. Avec le plan numérique du gouvernement, de nombreux établissements scolaires ont déjà investis dans des tableaux numériques (TNI) et des vidéoprojecteurs interactifs (VPI). Or, avec la progression de l’ecran interactif, devenu de véritable appareil tout-en-un qui intègre toutes les commodités nécessaires pour les salles de classe, la tendance des établissements scolaires pour les dispositifs interactifs se voit changer.

    Pourquoi alors cet engouement pour l’écran interactif, et quels sont ses avantages face au vidéoprojecteur interactif ?

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    Le principe de base

    Dans les deux cas il s’agit de projeter sur un tableau numérique ou une surface blanche murale l’image d’un écran d’ordinateur. On pilote l’ensemble avec le doigt ou un stylet. Ces systèmes permettent de rendre les séances plus vivantes, plus motivantes. Ils favorisent le travail collaboratif et facilitent les interventions à plusieurs.

     

    L’écran interactif présente de très nombreux avantages face au vidéoprojecteur interactif. On peut lister au moins six raisons de choisir un écran interactif.

    ‘’Premier avantage : une durée de vie nettement plus longue’’

    Dans un vidéoprojecteur il y a différents composants dont une lampe indispensable. Cette lampe dégage une forte chaleur et s’use rapidement. Les filtres doivent être régulièrement nettoyés. Il faut la changer environ toutes les 2 000 heures pour conserver de bonnes performances. La durée de vie d’un écran interactif est dix fois supérieure avec 50 000 heures. L’écran interactif utilise la technologie Led. Ces lampes ne chauffent pas et sont nettement plus résistantes.

    On a donc moins de maintenance mais également une consommation énergétique réduite d’environ 50 %.

    ‘’Un fonctionnement silencieux’’

    Le deuxième avantage de l’écran tactile interactif sur le vidéoprojecteur interactif est son silence de fonctionnement. Lorsqu’il est en marche, ce dernier émet en permanence un bruit de fond. Le ventilateur qui limite la chaleur de la lampe tourne en continue ce qui est un facteur de stress et de fatigue pour tous les participants. Avec un écran interactif, les lampes Led ne dégagent pas autant de chaleur et la présence d’un ventilateur n’est pas nécessaire.

    Le fonctionnement est silencieux ce qui est beaucoup plus agréable.

    ‘’Une qualité d’image supérieure’’

    Avec un vidéoprojecteur interactif, la qualité de la présentation n’est jamais excellente. La luminosité perfectible, les couleurs mal rendues, l’image floue, les ombres portées sont très fréquentes avec ce type de projecteur. L’écran interactif a toujours une résolution qui est au moins Full HD avec 1 920 x 1 080 pixels.

    On a même de plus en plus souvent une résolution ultra HD ou 4K. La dalle graphique du grand écran interactif est ultra performante, très résistante et anti-reflets. La netteté est particulièrement bonne, les couleurs très réalistes ce qui permet d’obtenir une présentation plus dynamique, plus motivante et captivante. De plus, la taille de 70 pouces des écrans interactifs est une taille idéale parfaitement adaptée aux salles de classe et n’altère pas la vue des enfants.

    ‘’Un fonctionnement immédiat’’

    Quand on utilise un vidéoprojecteur interactif, il faut d’abord attendre que la lampe soit suffisamment chaude pour avoir l’affichage de l’écran de l’ordinateur connecté. Ce temps d’attente est inévitable. Avec un écran tactile interactif, l’utilisation est immédiate. L’écran est immédiatement opérationnel même quand on branche un nouvel appareil.

    La synchronisation est directe et il n’est pas nécessaire de rajouter un driver ou de procéder à une calibration.

    Cela donne un grand confort d’utilisation et pas d’attente pour des élèves.

    ‘’Cinquième avantage : la mobilité’’

    Un appareil facilement déplaçable est toujours un atout. Or, le vidéoprojecteur interactif est à courte focale. C’est-à-dire qu’il doit impérativement être installé de manière définitive au-dessus du tableau ou du mur d’affichage. Il est extrêmement difficile le passer d’une salle à l’autre. Dans un établissement scolaire, il faut donc que toutes les salles soient équipées ou que les classes tournent dans celle dédiée au vidéoprojecteur.
    Cela entraine une organisation compliquée.

    Avec un grand écran interactif, le problème ne se pose pas. Il est compatible avec différents types de supports qui peuvent être fixes ou mobiles.

    Dans le cas d’un support mobile, il est très simple de déplacer l’écran d’une salle à l’autre en fonction des besoins.

    ‘’Aucune ombre portée’’

    Avec un vidéoprojecteur interactif, l’ombre portée sur le tableau gêne la visibilité. Cette ombre est inévitable puisque l’intervenant se trouve obligatoirement entre la source lumineuse et l’écran. Avec un écran interactif, ce problème n’existe pas puisqu’il émet sa propre lumière. Quelle que soit la position de la main qui pointe un endroit de l’écran, elle ne se trouve jamais entre la lumière et l’écran. Il n’y a pas de gêne et tout le public peut suivre au mieux.

    De plus, la luminosité s’adapte aux différentes circonstances. Une utilisation prolongée n’entraîne pas de fatigue visuelle.

     

    Voici un résumé en vidéo illustrant les avantages de l’écran interactif :

    En conclusion, cette tendance enregistrée pour les écrans interactifs est très générale au niveau des marchés internationaux. La disponibilité des technologies alternatives avancées telles que les écrans plats interactifs avec plus de fonctionnalités et pas ou très peu de coûts d’entretien sont les principales raisons pour la croissance des écrans tactiles interactifs au détriment des TBI et VPI.

    Reste à savoir, comment choisir un écran interactif adapté à l’usage souhaité ? Plusieurs critères sont à prendre en considération …

     

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  • Ressources : La #BRNEDU cycles 3 et 4, Banque de ressources numériques pour l’Ecole, aujourd’hui disponible !

    Ressources : La #BRNEDU cycles 3 et 4, Banque de ressources numériques pour l’Ecole, aujourd’hui disponible !

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    Alain Thillay, Chef du Département du développement et de la diffusion des ressources numériques à la DNE au MENESR, était au micro de Ludomag lors de l’Université d’été de Ludovia pour nous parler du développement des ressources engagé depuis plusieurs années par la DGESCO devenue la Direction du Numérique pour l’Education il y a deux ans.

    Professeur agrégé d’histoire-géographie et expert national de cette discipline pour le développement du numérique à l’école entre 2008 et 2011, Alain Thillay a toujours eu à coeur de développer les usages du numérique en classe. Pour cela, il oeuvre à mettre le plus d’outils possible à disposition des enseignants et notamment des ressources numériques gratuites, faciles d’accès.

    Aujourd’hui, dans le cadre du plan numérique pour l’École et de la mise en œuvre de la réforme des programmes à la rentrée 2016, des banques de ressources numériques éducatives (BRNE) sont gratuitement mises à disposition des enseignants et des élèves du CM1 à la 3ème et sont organisées par cycles d’apprentissage.

    Initiées dans cinq domaines d’enseignement, elles associent des contenus multimédias, enrichis et interactifs et des services pour concevoir des séances et proposer des activités d’apprentissage variées aux élèves, en ligne ou hors ligne (téléchargement). Elles permettent plusieurs démarches pédagogiques disciplinaires et collaboratives en français, mathématiques, sciences, LVE, histoire-géographie mais aussi interdisciplinaires pour les projets, les EPI, l’EMC et l’EMI.

    « Les contenus sont aujourd’hui associés à des services, afin que les enseignants puissent avoir à disposition non pas de simples banques d’images, de textes ou d’exercices mais bien des outils numériques pour aménager des parcours, pour créer, utiliser, réutiliser, individualiser ou encore adapter les apprentissages en lien avec les nouveaux programmes ».

    La première vague de contenus, soit onze banques ont été ouvertes au 31 août dernier.

    Détails et décryptage dans la vidéo ci-contre, notamment la complémentarité avec le portail Eduthèque déjà existant depuis 2013.