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  • Importance de la donnée dans les nouveaux métiers de la communication et de l’information

    Importance de la donnée dans les nouveaux métiers de la communication et de l’information

    David Pucheu, enseignant chercheur au laboratoire MICA de l’université Bordeaux Montaigne est intervenu, lors du C2E 2016 organisé par le GIS INEFA de Poitiers, sur une table ronde sur le sujet de « comment former aux données ».

    David Pucheu est formateur dans les métiers de la communication et de l’information et depuis une dizaine d’année, avec l’arrivée des nouveaux médias, il réalise à quel point l’évolution vers de nouveaux métiers a été importante.

    « Une évolution qui va vers une fuite en avant en permanence, ce qui est lié à l’évolution technologique et à l’accélération fulgurante que le numérique a induit« , souligne t’il.

    Surtout très vite,  nous avons vu l’importance des données dans ces métiers-là et le community management, par exemple, s’est transformé.

    L’importance de la capacité à mettre en relation les données issues des utilisateurs peut être une nouvelle compétence, par exemple.
    Il est donc désormais indispensable aujourd’hui de former les étudiants au traitement et à l’analyse des données et à avoir un recul critique sur ce traitement.

    Un enjeu crucial pour ces nouveaux métiers est de développer une intelligence de la mise en relation des données car fondamentalement, ce sont ça les nouveaux « Business Model » d’aujourd’hui.

    Retrouvez l’intégralité de l’interview de David Pucheu dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

     

  • Learning analytics et éthique

    Learning analytics et éthique

    Vanda Luengo, Professeure des universités en informatique à l’Université Pierre et Marie Curie, chercheure au LIP6 (laboratoire informatique de Paris VI) dans l’équipe MOCAH, chercheure dans le domaine des EIAH (Environnement interactifs pour l’apprentissage humain), du diagnostic des connaissances, de la modélisation du feedback épistémique, et du learning analytics, a présenté au C2E 2016 les recherches actuelles et les défis dans le domaine du learning analytics.

    « Les analyses autant que les données doivent avoir un regard éthique« , souligne t-elle.

    Les différentes dimensions doivent être prises en compte à savoir comment on fait l’analyse et à quoi va servir l’analyse. En tant qu’informaticien, c’est aussi expliquer comment fonctionne un algorithme pour que, d’un point de vue éthique, l’utilisateur final puisse savoir ce qu’il y a derrière cet algorithme, comment les calculs sont faits et pourquoi il prend telle ou telle décision…

    « Dans nos projets, nous essayons de militer pour cette transparence« , explique Vanda Luengo.

    Elle donne ensuite quelques exemples, notamment aux Etats-Unis, sur des modèles prédictifs.. à suivre dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sur le thème du big data, sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Prim à bord, le portail numérique pour le premier degré

    Prim à bord, le portail numérique pour le premier degré

    Présentation de ce portail par Malika Alouani au micro de Ludomag, interviewée par Christophe Batier, au cours de l’Université d’été de Ludovia#13.

    « Je pense qu’il est important que les enseignants ayant des pratiques novatrices puissent diffuser, communiquer ce qu’ils ont pu faire dans la classe« .

    Le portail sert en effet à valoriser et à mutualiser les pratiques pédagogiques utilisant le numérique dans le premier degré.

    Tout le monde peut accéder à Prim à Bord mais il est plus destiné aux enseignants du premier degré pour les aider à intégrer le numérique dans leur enseignement. C’est un portail tout jeune qui date de février 2015 et il évolue de jour en jour.
    Par exemple, la possibilité pour les académies de pouvoir publier leurs propres ressources.

    Le portail va vraiment devenir une co-construction au niveau national dans le but de valoriser les usages dans chaque académie.

    Tous les détails sur le portail et son évolution dans la vidéo ci-contre.

    Plus d’infos : eduscol.education.fr/primabord

  • Quand le collège et l’école se rencontrent. Coopération autour d’un livre numérique sur le programme Argonautica

    Quand le collège et l’école se rencontrent. Coopération autour d’un livre numérique sur le programme Argonautica

    Marie-Noëlle Martinez, professeur des écoles à Mazères et Sandrine Larrieu-Lacoste, enseignante en mathématiques au collège exposent leur retour d’expérience avec un projet proposé par le CNES et le programme “Argonautica” ( pollution des océans par les plastiques) .

    Ce projet a permis une prise de conscience de la part des élèves : ils sont citoyens du monde et pas uniquement d’une commune de la banlieue toulousaine . Grâce au numérique, les échanges se sont vus favorisés et ils ont développé de nombreuses compétences et notamment la coopération et la collaboration.

    « Les élèves se sont sentis engagés dans le projet et ont travaillé plus facilement« , explique Marie-Noëlle au micro de Ludomag, interviewée par François Jourde.

    Veuillez nous excuser pour la qualité en fin de vidéo ; interview réalisée dans des conditions du direct, sans montage.

  • Classe inversée, démarche de projet et parcours individuels

    Classe inversée, démarche de projet et parcours individuels

    Martial Gavaland, professeur de sciences physiques à Nantes croit beaucoup au numérique comme un élément du changement de pédagogie. Il nous décrit sa philosophie de pensée au micro de ludomag, interviewé par Michel Guillou à l’Université d’été de Ludovia#13.

    « Derrière cette technologie, se cache la pédagogie ; et si la technologie peut enfin faire émerger, modifier une posture ou en tout cas amener à une vraie prise de conscience, nous aurons peut-être atteint l’objectif ».

    Martial Gavaland fait également partie de l’association « Inversons la classe » ; il croit en ce dispositif pour « améliorer les temps où il y avait une totale opacité : que fait l’élève chez lui« , explique t-il.

    Point de vue et retours d’expérience à découvrir dans la vidéo ci-contre.

  • Big data et Big Datathon : échanges et collaboration d’une nouvelle dimension au C2E du GIS INEFA

    Big data et Big Datathon : échanges et collaboration d’une nouvelle dimension au C2E du GIS INEFA

    Le C2E 2016 a eu lieu comme chaque année à Poitiers autour de nombreux partenaires, regroupés aujourd’hui en un groupement d’intérêt scientifique : le GIS INEFA. Autour du big data, thématique phare de l’évènement et thématique forte de notre quotidien, les publics ont pu échanger, débattre et collaborer pour donner ce qu’on pourrait communément appeler « un bon cru 2016 ».

    Le C2E existe depuis une dizaine d’années et s’est beaucoup transformé au cours de cette période. Au départ, plutôt lié à une formation universitaire et un master international, l’événement s’organise aujourd’hui autour et avec de nombreux acteurs de l’éducation et du numérique du territoire, anciennement Picto-Charentais et désormais Nouvelle Aquitaine.

    Ces acteurs se sont d’ailleurs regroupés autour d’un Groupement d’Intérêt Scientifique intitulé « GIS INEFA » pour « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages » afin d’engager, au-delà du Campus Européen d’été, une réflexion commune autour du numérique.

    Nouvelle dimension du C2E autour d’un nouvel organisateur : le GIS INEFA

    Le GIS INEFA se compose d’acteurs locaux mais aussi nationaux puisque, rappelons-le, Poitiers a la chance d’avoir sur son territoire des entités comme Canopé, le CNED ou encore l’ESENESR et des locaux telles que les entreprises et acteurs publics (rectorats, etc) et pas moins de cinq universités en Nouvelle Aquitaine.

    Le C2E est donc devenu en 2016 la manifestation du GIS INEFA, comme le précise également Vincent Rosseli, chef de projet ENT à la direction de l’éducation du conseil Régional Nouvelle Aquitaine et directeur du GIS INEFA.

    Une thématique d’envergure : le big data.

    Sur le choix de la thématique du C2E, le principe est le même chaque année à savoir que le comité de programmation réfléchit à un sujet dans le champ de la e-éducation autour de l’actualité scientifique, de l’actualité professionnelle – « ce qui se passe sur le terrain »- ou encore de l’actualité industrielle et économique.

    « Avec le choix du big data cette année, je crois qu’il est inutile de démontrer qu’il est d’une grande actualité », souligne Jean-François Cerisier, Directeur du Laboratoire Techné de l’Université de Poitiers.

    Sur une semaine, il a donc été question de big data autour de trois axes de réflexion principaux à savoir :

    . Comment utiliser la collecte et l’analyse de données pour mieux comprendre les apprentissages des élèves et mieux orienter leur trajectoire d’apprentissages, soit plus communément le « Learning Analytics ».

    . Comment utiliser les techniques, modèles et méthodes du big data comme des ressorts de nouvelles activités d’apprentissage.

    . Enfin, une dernière question essentielle, « à la fois parce qu’elle est très critique aujourd’hui », est : comment éduquer aux données et aux algorithmes qui évidemment sont associés à ces données.

    Une autre dimension pour un événement accueillant des participants de nouveaux horizons.

    L’originalité et une des richesses de l’événement repose aussi par la présence d’un public international, rappelant les origines de l’événement (autour du master international et du Consortium « Euromime », Master Erasmus Mundus en Ingénierie des Médias pour l’Education), et de retours d’expérience et présentation d’ateliers par des personnes « qui ne viennent pas nécessairement des pays auxquels on pense le plus spontanément quand on évoque le numérique » ( Pérou, Brésil, Chili, Mexique etc), mais qui font aussi toute la richesse de ces échanges, ce que relève Jean-François Cerisier.

    « Comment avancer sans échanger dans d’autres contextes économiques, culturels éducatifs » ?

    C’est aussi l’avis d’un habitué du C2E car faisant partie du consortium Euromime, Jacques Viens, directeur du département de psychopédagogie et d’andragogie de l’Université de Montréal.

    Le campus européen d’été C2E et le cadre d’Euromime se rejoignent dans le sens où ils permettent à des chercheurs, à des étudiants de contextes de vie différents, de regarder et de partager leurs expertises. Pour lui, « la recherche isolée qui n’est pas intégrée dans des situations réelles sert bien peu ».

    En effet, comme l’aime à le rappeler Jean-François Cerisier, la réflexion est indissociable de la pratique c’est aussi pourquoi le C2E programme, au-delà des traditionnelles tables rondes et conférences, des ateliers et autres formes d’engagement et de pratiques comme une CryptoParty (un rendez-vous convivial pour échanger sur les outils et les bonnes pratiques), par exemple.

    Nouvelle dimension donnée aux pratiques : l’exemple du hackathon pédagogique devenu « Big Datathon pédagogique ».

    C’est aussi dans ce sens qu’a été proposé l’année dernière le premier Hackathon pédagogique et qu’est né cette année le Big Datathon pédagogique, organisé sur une durée de 6 mois et dont le dénouement a eu lieu pendant la semaine du C2E dans les locaux de Canopé Poitiers, partenaire de l’événement au même titre que le SPN (Réseau Professionnel numérique Poitou-Charentes).

    « Nous avons eu la chance aussi de pouvoir l’organiser avec un partenariat très élargi à Grand Poitiers, à l’AUF, à l’OIF et au groupe des ambassadeurs francophones en France, ce qui nous a permis d’accueillir à distance et en présentiel 72 équipes de toute la francophonie en mai 2016 », rappelle Jean-François Cerisier.

    Des pays « dont on peut penser, à tort, que ce ne sont pas les premiers concernés » ont proposé plusieurs projets comme c’est le cas pour Madagascar, par exemple.

    Ce partenariat avec les acteurs de la francophonie a également permis de faire venir, pendant la semaine du C2E, pour participer à l’atelier « d’accélération », une équipe marocaine et une équipe du Gabon, lauréats parmi les 6 équipes sélectionnées à l’issu de la première étape.

    « L’atelier d’accélération consiste à aider les équipes sur trois jours, à partir de l’idée qu’elles ont eu et sur laquelle elles ont travaillé depuis le mois de mai, à transformer cette idée en un projet », explique Jean-Michel Perron, Directeur de la R&D sur les usages du numérique éducatif au Réseau Canopé.

    « L’idée du processus Big Datathon n’est pas seulement le hackathon lui même mais aussi la production de projets qui, nous l’espérons, seront diffusés d’une manière ou d’une autre et au travers de structures qui pourraient devenir des starts-up créées par les lauréats », souligne Jean-François Cerisier.

    Le C2E, un des résultats d’une collaboration vraiment partagée entre acteurs impliqués dans le numérique, dans un environnement à dominante rurale.

    C’est bien la synthèse que nous pouvons faire de cet événement « Campus européen d’été » ou « C2E » : la dimension multi-facettes qu’il affiche autour d’une dynamique commune.
    Et c’est ce que se plaît à rappeler Jean-François Cerisier, en fin d’interview : « nous avons la chance d’être dans une région à dominante rurale et qu’ici on peut se connaître très facilement et, si on a envie de travailler ensemble, c’est vraiment très simple ».

    Autour du GIS INEFA ou encore du label French Tech fraîchement obtenu en juillet dernier, très fédérateur, et enfin autour d’événements comme le C2E, les outils sont là pour collaborer, « avec une méthode de travail qui elle-même est génératrice de collaboration puisque tous les partenaires ne sont pas seulement ceux qui mettent la main au portefeuille pour financer une manifestation annuelle, ce sont des structures qui toutes se réunissent pour travailler tout au long de l’année sur ces sujets ».

    En effet, c’est bien habilement que Jean-François conclut sur cette image du « partenaire qui n’est pas uniquement là pour payer » et c’est aussi ça qui fait toute la différence…

     

     

     

  • Viaéduc : les analytics pour mesurer les usages !

    Viaéduc : les analytics pour mesurer les usages !

    François Catala, directeur du dispositif Viaéduc au réseau Canopé, est venu présenter à nouveau le réseau social conçu pour les enseignants dans un contexte de data, ou comment les données recueillies sur ce réseau pourraient aider à comprendre les évolutions du métier d’enseignant.

    Le réseau Viaéduc existe depuis 18 mois maintenant. « Il a été lancé pour répondre à une problématique qui était d’accroître la dimension collaborative du travail entre enseignants« , rappelle François Catala.

    Aujourd’hui, ce sont près de 40 000 utilisateurs qui évoluent sur le réseau et une des spécificités de Viaéduc par rapport aux réseaux privés que tout le monde connaît « est que, au regard des données personnelles, nous avons une politique extrêmement stricte ; nous ne nous servons pas des data à des fins commerciales« , argument François Catala.

    En revanche, ces données anonymisées doivent servir à comprendre comment les enseignants travaillent entre eux : « Qui vient, pour quoi faire, de quelle académie viennent-ils, quel comportement ont-ils sur Viaéduc etc » ; et c’est uniquement dans ce sens que les data du réseau peuvent être mises à profit.

    Grâce à ces données, déjà des constats se dressent que François Catala détaille dans la vidéo ci-contre.

    « Compte tenu du fait que Viaéduc doit devenir un « hub », soit un centre de socialisation pour d’autres plateformes, en s’interconnectant avec Myriaé, M@gistère, ou encore Canoprof, Viéduc va être une plateforme qui permet de socialiser les autres services ».

    En terme d’analytics, cela devrait permettre d’avoir aussi une vision sur l’utilisation des autres plateformes.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    Plus d’infos sur Viaéduc : www.viaeduc.fr

  • L’Edutainment : le projet du SPN lauréat de la French Tech en ex-Poitou-Charentes

    L’Edutainment : le projet du SPN lauréat de la French Tech en ex-Poitou-Charentes

    Fabien Audat est chargé de mission French Tech pour le SPN, le réseau des professionnels du numérique en ex-Poitou-Charentes. Le réseau, membre du GIS INEFA, a profité du C2E 2016 pour lancer le label French Tech, fraîchement obtenu le 25 juillet dernier à Laval.

    Le Cluster a candidaté pour l’obtention du label French Tech avec un projet intitulé « Edutainment », « qui est en fait « l’apprentissage de façon ludique avec la production de nouveaux contenus enrichis et attractifs« , explique Fabien Audat.

    Le SPN porte ce projet pour animer l’écosystème régional sur cette thématique avec les agglomérations d’Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers et tous les partenaires du GIS INEFA.

    « Une de nos grosses ambitions avec le label, c’est d’accompagner des entreprises qui sont déjà positionnées sur cette filière dans leur développement mais aussi de permettre à toute entreprise du numérique de se positionner sur ces nouveaux marchés en développant des technos en lien avec l’Edutainment« .

    Le Label est décerné pour une durée de deux ans. Le SPN l’a obtenu au même titre que 14 autres écosystèmes français, « ce qui veut dire que nous allons pouvoir établir des collaborations à l’échelle nationale et construire de nouveaux plans d’action qui seront favorables au territoire« .

    Sans parler de ce que cela apporte en terme de marketing territorial et d’image de marque ainsi que de l’aide consentie par le ministère de l’économie en matière d’outils d’internationalisation des entreprises, « afin de permettre que nos entreprises françaises soient en capacité d’aller chercher des marchés à l’international et si possible dans l’espace francophone« , a souligné Fabien Audat lors de la conférence qui a eu lieu sur le C2E et dont vous retrouverez un extrait dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    Plus d’infos sur le label French Tech : www.lafrenchtech.com/la-french-tech/utiliser-la-marque

  • Learning Analytics : des questions au coeur de la réflexion du NumériLab de la DNE

    Learning Analytics : des questions au coeur de la réflexion du NumériLab de la DNE

    Claudio Cimelli est responsable du NumeriLab, autrement dit la mission d’incubation à la Direction du Numérique pour l’Education au MENESR. Il a participé au C2E 2016 à Poitiers sur la thématique du big data et évoque lors de cette interview, le positionnement de la DNE par rapport à ces enjeux des Learning analytics.

    « La DNE s’intéresse aux learning analytics car elle s’intéresse aux apprentissages et à la manière dont on peut travailler sur les apprentissages« , souligne Claudio Cimelli.

    Il rappelle que dans les premiers appels à projets, il y a déjà eu des propositions de solutions faites par des éditeurs et des industriels de mise en oeuvre d’outils d’analytics « qui sont des outils au service des apprentissages ».

    La DNE se pose toutes sortes de questions sur le sujet et notamment l’intérêt de ces outils du point de vue des élèves et des enseignants.

    « Globalement les Learning analytics, c’est une façon d’analyser de ce qu’on est entrain de faire » ;

    « et de bénéficier de l’analyse de traces et de données d’apprentissage pour à la fois étayer soit l’élève, soit étayer l’enseignant pour qu’il puisse aider l’élève et puisse lui permettre de parfaire un parcours de formation ».

    Les questions que se posent le NumériLab sont surtout liées à l’évolution extrêmement rapide dans ce domaine notamment au niveau des solutions industrielles. Et Claudio Cimelli prend l’exemple des Etats-Unis où le phénomène est particulièrement étendu.

    Questions d’éthique, questions juridiques et questions de « est ce que cela sert vraiment à faire progresser les élèves ? »…

    Retrouvez la totalité de l’interview dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.