Étiquette : elearning

  • Reconnaître les apprentissages informels : l’initiative Open badges de Mozilla

    Reconnaître les apprentissages informels : l’initiative Open badges de Mozilla

    « Open badges est né de la nécessité de reconnaître les apprentissages informels ».

    Il dresse le constat qu’il existe un certain nombre de dispositifs assez disparates avec un problème « qui est celui de la reconnaissance formelle des apprentissages informels ».

    « Est-il possible de mettre sur un pied d’égalité la reconnaissance formelle et la reconnaissance informelle ».

    C’est ce qui a conduit à la création des Open badges de Mozilla.

    Serge Ravet poursuit ses explications et met en parallèle le badge et le portfolio. « Dans un portfolio, on a des narrations, des preuves de compétences, des témoignages etc ». Le badge en quelque sorte, serait un portfolio « réduit ».

    « Avec le badge, on a un objet très simple qui nous permet de faire du “bricolage“ ».

    Il prend comme analogie les Légos : au départ, les Légos étaient des blocs qui développaient l’imagination et amenaient à toute forme de construction, où tout était permis. Puis, petit à petit les Légos ont été mis dans des boîtes avec des maquettes à construire ; « on a donc perdu l’imagination avec un assemblage bien défini ».

    Pour Serge Ravet, le portfolio représente les Légos dans les boîtes avec une conception à réaliser et conçue par quelqu’un de l’extérieur ; le badge, c’est la brique élémentaire, le Légo « de base » « à partir duquel on va pouvoir faire rebondir notre imagination ».

    Comment avoir confiance dans le badge ?

    La question pour Serge Ravet est : « est-on dans une approche où l’on cherche à se protéger ou est-on dans une approche où l’on cherche à se valoriser » ?
    Si l’individu cherche trop à se protéger, il ne parviendra pas à se valoriser.

    Ce qui va donner de la confiance dans le badge, c’est la multiplication des badges.

    « Le badge est une relation ».

    Si quelqu’un présente un badge, même créé par la personne elle-même, le réseau social va tout de suite apparaître. « Et on va être capable de faire la différence entre un badge autour duquel il n’y a pas de réseau social et un badge pour lequel il y a un vrai réseau social ».

    Autant il paraît simple de construire un badge fictif, autant construire un réseau social fictif paraît bien difficile d’après Serge Ravet.

    « La sécurité du badge vient du fait que c’est un objet social et c’est donc son inclusion sociale qui va le protéger à contrario des systèmes de protection qu’on imagine avec des barrières et des murs épais », conclut Serge Ravet.

    Plus d’infoswww.openbadges.org

    crédit photo : Manolo Guizar

  • Le dispositif de formation m@dos

    Le dispositif de formation m@dos

    Le dispositif de master M@dos pour la formation continue des personnels d’encadrement de l’Education nationale a été lancé en 2009.

    C’est un parcours de formation continue en e-learning à destination des personnels d’encadrement de l’éducation (chefs d’établissement scolaire, inspecteurs…).

    Initié par l’Ecole Supérieure de l’Education Nationale qui en assure une partie du financement, il s’appuie sur un consortium de sept universités (universités de Paris-Est Marne-la-Vallée (IAE Gustave Eiffel), Angers, Charles-de-Gaulle – Lille 3, Lorraine (ISAM-IAE Nancy), Poitiers (IAE de Poitiers et depuis 2013 l’Espé de Versailles (université de Cergy-Pontoise) et l’université de Limoges)). Il conduit à la délivrance d’un titre de Master.

    Le programme du M2 Professionnel destiné aux cadres de l’éducation vise à la fois l’acquisition de certains outils indispensables au métier et une meilleure connaissance des enjeux sociaux, économiques, politiques et pédagogiques qui constituent le contexte dans lequel se développe leur activité.

    Le dispositif M@DOS propose une formation hybride, collaborative, qui s’appuie sur une démarche active d’apprentissage soutenue par des techniques innovantes de l’enseignement à distance (espaces numériques partagés, classes virtuelles…).

    c’est un dispositif hybride, trois quarts distanciel et un quart présentiel, sur la totalité des 300 heures, précise Jean Duchaine dans la vidéo

    Plus d’infosmados.unilim.fr

    crédit photo : Manolo Guizar

  • Vers de nouvelles perspectives pour les plateformes e-learning, intégration de Claroline

    Vers de nouvelles perspectives pour les plateformes e-learning, intégration de Claroline


    Ce travail s’inscrit au sein d’un projet de l’Université Mohammed Premier qui est membre du Consortium Claroline.

    Notre but est d’ajouter à la plateforme Claroline des canaux pour intégrer des logiciels facilitant la gestion ainsi que la consultation des emplois du temps tout en restant dans le même cadre de la plateforme e-learning.

    On compte également ajouter un canal pour intégrer le logiciel de gestion de scolarité pour informatiser la demande des attestations de scolarité, des relevés de notes, etc… Cette démarche va informatiser toute procédure visant à demander une pièce administrative ou consulter un emploi du temps à travers la même plateforme e-learning.

    L’intérêt de l’intégration de la plateforme Claroline avec ces nouveaux services est de dépasser les limites de l’utiliser comme une simple plateforme e-learning dédiée seulement à l’apprentissage en ligne, et la rendre un espace numérique de travail en la transformant en une plateforme qui offre de nouveaux services facilitant la communication entre l’étudiant, le professeur et l’administration.

    Cet objectif va permettre aux étudiants de se familiariser avec cette plateforme et leur facilitera plusieurs tâches quotidiennes ainsi que l’accès aux cours.

    Retrouvez toutes les vidéos et communications en ligne sur notre page « plateau TV » ici

  • Apprendre l’anglais, c’est une question d’outils

    Apprendre l’anglais, c’est une question d’outils

    Un constat : les français sont plus que moyens en anglais

    Une très récente étude annuelle menée par Education First (EPI 2013) montre que la France et les français possèdent un indice de maîtrise de l’anglais plutôt faible (le pays se classe 35ème sur 60 pays concernés par l’étude). Quelle en est l’explication ?

    Les jeunes adolescents ne sont pas assez exposés à l’anglais et peinent à assimiler cette nouvelle langue ne pouvant compter que sur l’école. Quant aux nouveaux actifs, ils trainent un mauvais niveau tout au long de leur carrière. Faute de temps ils ne peuvent se replonger dans les études.

    Le tour d’horizon des outils d’apprentissage : le e-learning en passe de devenir la solution

    Les cours de langues en école ou institution.
    Retourner à l’école, suivre une formation d’anglais en groupe, dans une salle de classe pourquoi pas ? Cependant cette solution offre très peu de souplesse. Horaires contraignants, obligation de présence et de suivi de cours à heures fixes sans compter le coût (celui des cours et celui des transports et du temps perdu).

    Les voyages linguistiques.
    L’immersion à l’étranger est une solution éprouvée, sans doute une des plus bénéfiques mais elle suppose une longue période de temps libre et un certain budget. Cette solution souvent retenue par de jeunes étudiants n’est définitivement pas à la portée de tout le monde et surtout pas des salariés.

    Les applications basiques d’anglais.
    L’Apple store et autre Google regorgent de solutions amusantes et ludiques. Leur aspect est engageant, leur coût modique, mais leur efficacité est assez réduite. Elles sont à privilégier pour les enfants ou les débutants cependant elles n’offrent pas suffisamment d’atouts pour engager un réel processus d’apprentissage et ne s’avèrent pas suffisantes pour la pratique orale… On perd vite ses bonnes résolutions.

    Et le E-learning ?
    Une solution en ligne rassemble en effet beaucoup d’avantages à l’image du service offert par Englishtown sur PC et sur tablettes (iPad et Android) qui permet de rencontrer des professeurs, des outils d’apprentissage variés, une salle de classe virtuelle,le tout en un seul et même endroit disponible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. L’école en ligne offre 16 niveaux de cours allant de débutant à avancé et permet l’obtention d’un diplôme certifié par L’école de commerce international Hult à chaque unité validée.

    Andrew Wait, Président de EF Englishtown déclare :
    « Nous avons la ferme conviction que si vous voulez progresser en anglais et décrochez de nouvelles opportunités au travail, dans vos études ou dans votre vie personnelle vous avez besoin d’une véritable école à vos côtés. Une école qui vous permet d’interagir avec des professeurs dévoués, repousse vos limites et qui vous encourage à utiliser le langage dont vous avez besoin dans la vie réelle. Si vous avez simplement besoin de savoir commander un plat ou dire bonjour il existe une multitude de solutions basiques et petits jeux mais cela lorsqu’il s’agit de d’acquérir une réelle confiance à l’oral, cela ne sera pas suffisant ».

    Pourquoi le e-learning surpasse les solutions classiques ?

    Les solutions de e-learning seraient les plus efficaces comme en témoigne des spécialistes et des utilisateurs :

    Aurélien, blogueur sur Anglais 5 minutes pour est spécialiste du e-learning et cite :
     » Le gros problème des cours en présentiel c’est que lorsque les élèves en sortent ils ont l’impression qu’ils n’ont plus rien à faire jusqu’au prochain cours. Or, apprendre une langue ça demande d’en faire un peu tous les jours. Internet permet justement de le faire facilement, à temps choisi et en variant les exercices grâce à la grande diversité de contenu gratuit qu’on y trouve. C’est une révolution, et c’est ce qui m’a permis d’apprendre l’anglais, moi qui était un véritable « nul » en langues jusqu’à mes 24 ans.  »

    A la question : « En quoi les solutions de e-learning sont elles plus efficaces dans les cycles d’apprentissage, notamment dans l’acquisition d’une langue étrangère ? »

    Marie Prat, spécialiste du e-learning et auteur du livre « Réussir votre projet e-learning pédagogie, méthodes et outils de conception, déploiement, évaluation... » répond :

    « le e-learning place l’apprenant au coeur du dispositif de formation. Il permet une individualisation des parcours et une souplesse accrue dans les rythmes d’apprentissage.

    Pour ce qui concerne l’apprentissage des langues,  ce qui est important c’est l’écoute et la pratique de la langue, la distance permet de rendre les enseignants plus facilement accessibles pour les apprenants ».

    Quelques étudiants qui sont passés par l’apprentissage à distance évoquent les mêmes remarques :
    Sophie,
    Une école qui donne envie
    « 57 ans est un âge un peu avancé pour retourner sur un banc d’école. C’est cependant ce que j’ai fait en m’inscrivant à Englishtown. Tout est fait pour donner envie d’apprendre. Les cours sont assez ludiques. La méthode d’apprentissage est très au point. Le plus de la méthode, ce sont les cours particuliers : Un prof rien qu’à soit pendant 45 mn (par leçon) c’est le top ! Surtout ne pas hésiter à se lancer ».

    Plus d’infos et témoignages :
    www.trustpilot.co.uk

    www.englishtown.fr
     

  • Kamskool, la start-up qui s’attaque au géant des cours particuliers

    Kamskool, la start-up qui s’attaque au géant des cours particuliers

     

    Qu’est-ce que Kamskool ?

    Kamskool est une plate-forme internet de mise en relation instantanée entre des élèves et des professeurs créée en janvier 2013. Les élèves et leurs parents ont accès à une solution complète de soutien scolaire 24h/24, 7j/7 allant des cours à domicile de 2 heures aux cours d’urgence en ligne de 15 minutes. Sur Kamskool tous les petits cours de France et d’ailleurs peuvent être échangés à tous les prix et à toutes les heures.

    Interview de Nicolas, son fondateur :

    Comment vous est venue l’idée ?

    « De ce MMS envoyé à 20h par une de mes élèves à Sydney ».

    « Je donnais des cours de mathématiques à domicile à Rachel, une élève du lycée français de Sydney. Bloquée à la question 5, elle m’envoie à 20h un MMS montrant son exercice. J’étais moi-même bloqué, mais à une soirée, et ne pouvais lui répondre. Je me suis dit que si les cours en ligne ne remplaceraient pas les cours à domicile, ils les complèteraient merveilleusement tant par leur instantanéité que par leur flexibilité. L’originalité de Kamskool tient en cette double offre domicile / en ligne« .

    Est-ce que c’est cher ?

    Pas du tout ! Nous proposons à la plupart des élèves de Kamskool de tester le service en ligne gratuitement. Après cela les tarifs sont les mêmes que dans votre boulangerie : ils sont fixés par les professeurs qui s’inscrivent auxquels s’ajoute une commission décroissante de 15 à 9% selon le nombre d’heures prises dans le mois. Ainsi si vous avez juste besoin d’aide pour quelques minutes, vous ne paierez que quelques euros. Mais si vous devez travailler une heure ou plus avec votre professeur, cela sera abordable également !

    Comment ça marche ?kamskol2_151113

    Les élèves se connectent sur Kamskool et nous disent dans quelle matière ils ont besoin d’aide. A partir de là, ils voient les professeurs connectés et ceux hors ligne. Quand un professeur est contacté, nous le prévenons par SMS, par Gtalk et par Facebook pour garantir une réponse immédiate !

    L’élève peut choisir d’être facturé sur la base d’un prix par minute, mais il peut aussi convenir en avance du temps à passer avec le professeur. Notre interface de cours en ligne comprend un chat-vidéo, un paint, un éditeur simultané de texte, et un partage de documents. De plus, après chaque cours un rapport est envoyé par le professeur aux parents.

    Comment recrutez-vous vos professeurs et qui sont-ils ?

    Tout le monde peut s’inscrire sur Kamskool : de la personne bilingue en espagnol, au polytechnicien en passant par le professeur à la retraite. Nous vérifions les diplômes de nos professeurs, et les sensibilisons à l’utilisation de la plate-forme. Après chaque cours, les élèves ont la possibilité d’évaluer leur professeur sur différents critères (pédagogie, méthodologie, communication, et ponctualité), il est donc facile de voir si un professeur n’est pas compétent, auquel cas nous déterminons s’ils sont faits pour rester sur Kamskool ou travaillons avec eux pour résoudre les éventuels problèmes.

    Quel est la portée sociale de Kamskool ?

    Démocratiser les cours particuliers ! Le but de Kamskool est de se rapprocher d’un idéal de méritocratie en France. J’ai été sensibilisé via mon passage à la prépa Sainte-Geneviève à l’égalité des chances, qui disons-le franchement est une utopie dans notre pays : les élites ne se renouvellent pas. Mais ce n’est pas une fatalité.

    En période de crise, l’éducation reste le principal espoir de parents soucieux pour l’avenir de leurs enfants. J’ai créé Kamskool pour briser le clivage géographique et permettre à tous d’apprendre au contact des meilleurs professeurs à des prix deux fois inférieurs en moyenne à ceux d’Acadomia. Chaque élève doit pouvoir trouver les moyens de sa réussite sur notre espace communautaire.

    Vous dites que vous démocratisez les cours particuliers mais cela reste payant…

    Oui, « mais » ! Pour ceux pour qui même à 50% du tarif Acadomia, les cours restent trop chers, Kamskool a créé le programme « Dreamstudent ». Ce programme permet à des élèves doués mais issus d’un milieu social non favorisé de prendre des cours gratuits avec les professeurs participant au projet (environ 30% des professeurs de Kamskool). Kamskool établit un partenariat avec l’association des Colis de l’Espoir de M. Jean Hennin pour des cours avec les orphelins de Madagascar.

    Est-ce facile de commencer avec Kamskool ?

    Oui ! Pour les cours à domicile, c’est évident, et pour les cours en ligne maintenant toutes les connexions internet fonctionnent ! Venez tester gratuitement nos cours de maths !

     Plus d’infos : www.kamskool.com

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  • Lancement d’un Mooc « Arithmétique » à l’université Lille 1

    Lancement d’un Mooc « Arithmétique » à l’université Lille 1

    Moocarithemetique_110913Qu’est ce qu’un Mooc ?

    Un Mooc (Massive Open Online Course) est un cours ouvert à tous utilisant les moyens d’internet (vidéos, polycopiés en ligne, qcm, forum de discussions).
    C’est un phénomène en plein développement initié par les grandes universités américaines.

    Ce cours de mathématiques d’un niveau première année de licence a pour objet l’arithmétique. Pour le rendre plus motivant l’arithmétique est immédiatement appliquée à la cryptographie, le but étant de comprendre comment sont sécurisées les communications sur internet.

    Ce cours démarre début octobre pour une durée de six semaines. Il est conçu et animé par Arnaud Bodin et François Recher, enseignants-chercheurs en mathématiques à l’université Lille 1.

    Plus d’infos :
    Les inscriptions sont gratuites et se font sur la plateforme Canvas.net.
    Lien du cours.

    francoisREcher_110913
    François Recher et Arnaud Bodin sont Maîtres de Conférences en mathématiques à l’université de Lille 1 ; ils contribuent tous deux également au projet Exo7, un projet national de fiches d’exercices de mathématiques à destination des étudiants et des professeurs, voir à ce sujet l’article de Ludovia

    ArnaudBodin_110913

  • La révolution numérique selon les Africains

    La révolution numérique selon les Africains

    elarningafrica_110613Voici l’une des conclusions surprenantes du Rapport eLearning Africa 2013. Lancé aujourd’hui (jeudi) au Safari Conference Centre de Windhoek par le ministre namibien des TIC, l’Honorable Joel Kaapanda, le rapport pose un nouveau regard sur les utilisations complexes de la technologie dans l’éducation en Afrique, du point de vue des Africains eux-mêmes.

    « J’ai été particulièrement encouragé par les échecs en eLearning exprimés ouvertement », a déclaré le ministre, « ainsi que par l’attention portée cette année au contenu numérique local et à l’intégration des langues africaines ».

    En fournissant une vision générale unique du développement des TIC sur le continent, le Rapport eLearning Africa va au-delà des statistiques et donne la parole à des centaines d’Africains impliqués dans la pratique de l’eLearning sur le terrain. L’objectif est de refléter les « les anecdotes, les opinions et les expériences des professionnels du continent et leur contribution au grand récit africain de l’eLearning ».

    Ces expériences offrent un aperçu étonnant. Si, par exemple, 40 % des personnes interrogées indiquent que ces technologies créent des contenus locaux, seul 16 % est rédigé dans les langues africaines. Tandis que les médias sociaux et la mobilité gagnent en popularité, l’accès aux ressources en ligne et l’apprentissage en salle de classe demeurent les utilisations les plus courantes de la technologie.

    « Le rapport confirme que l’Afrique connaît une mobilité accrue en termes d’apprentissage et d’enseignement au niveau de l’éducation et du développement des compétences, mais que cette augmentation n’a pas encore supplanté les approches traditionnelles de l’enseignement », a affirmé Shafika Isaacs, rédactrice du rapport, qui précise « alors que nous débattons du programme de développement post-2015, la grande priorité reste de relever les défis dans le domaine de l’éducation ».

    Le rapport, distribué gratuitement sur Internet en français et en anglais, est destiné à un large public non seulement d’Afrique mais du monde entier.

    Voir le Rapport eLearning Africa 2013 : www.elearning-africa.com

    Notes à l’attention des rédacteurs
    eLearning Africa, 8e Conférence internationale sur les TIC appliquées au développement, à l’enseignement et à la formation
    du 29 au 31 mai 2013
    Safari Conference Centre, Windhoek, Namibie
    Organisateurs : ICWE GmbH (www.icwe.net), gouvernement de la République de Namibie
    eLearning Africa 2013 est soutenue par le Sponsor Platine DELL Wyse, les Sponsors d’Or Microsoft et NComputing ainsi que les Sponsors d’Argent Samsung, PC Training & Business College, ITIDA et Egypt On. Les autres sponsors de la Conférence sont les suivants : JP SA Couto, Gilat Satellite Networks, Teachers Media International (TMI), SES Broadband Service, les Éditions Éburnie, IEEE, E-Course, Telecom Namibia, MTC, UNICEF, PWC et MTN.

  • Former au E-learning, former en E-learning

    Les Journées du E-learning est un colloque international annuel rassemblant des spécialistes d’horizons et disciplines différents autour de la thématique de l’enseignement par Internet.

    Le colloque de cette année, pour sa 6ème édition à Lyon, a pour thème «Former au E-learning, former en E-learning». Dans la lignée des éditions précédentes, ce colloque s’intéresse à tous les aspects de la question du E-learning en matière de formation, en adoptant un axe d’étude qui est désormais primordial et essentiel : l’encadrement et l’efficacité des dispositifs en E-learning.

    Le colloque propose ainsi une approche organisée autour de 2 axes majeurs :

    • l’encadrement des savoirs et des compétences afin de maîtriser le processus de E-learning ;
    • les conditions et les modalités d’un E-learning efficace.

    Les points forts de cette édition :

    • Doit-on protéger ses droits d’auteurs ?

    A l’heure du tout numérique, le choix du modèle juridique de protection des œuvres s’impose comme un préalable à toute action de formation par Internet.
    Intervenant : Christian Le Stanc, professeur à l’Université de Montpellier 1 et avocat spécialisé en propriété intellectuelle.

    • Plagiat : la formation par la prévention

    Le recours à la fonctionnalité «copier-coller» comporte un risque juridique important : la contrefaçon. Mais au-delà de la sanction, il est primordial de sensibiliser les apprenants au respect de la propriété intellectuelle et ainsi prévenir ces actes délictueux.
    Intervenant : Michelle Bergadaà, Professeur de marketing et communication à l’Université de Genève.

    • Maitriser sa E-réputation

    A l’heure de la société de l’information, pour «exister», il est nécessaire d’être présent sur ce média. Maîtriser son E-réputation devient donc un enjeu majeur.
    Intervenant : Nicolas Bermond, consultant social Networking.

    Cette année, parallèlement à la conférence plénière, des Ateliers-formation sont proposés aux participants, privilégiant une approche pragmatique et opérationnelle. Ils s’organisent autour de 4 parcours : juridique, E-réputation, formateurs, formation professionnelle.

    Plus d’infos sur le programme : www.journees-elearning.com