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  • Une journée à l’école du futur

    Une journée à l’école du futur

    A Grenoble Ecole Management (GEM), Les technologies révolutionnent l’enseignement, et s’il y a un mot que l’on entend dans toutes les bouches, que ce soit des enseignants ou des élèves c’est le mot innovation. GEM a fait du Management de la Technologie et de l’Innovation un des piliers de son développement.

    Créée en 1984, accueillant chaque année 6000 étudiants de 134 nationalités différentes, GEM est l’une des meilleures écoles de management française ; classée 6eme au rang nationale et 25eme au rang européen. L’institution compte 4 écoles :

    • L’ESC Grenoble
    • Grenoble Graduate School of Business
    • L’Ecole de Management des Systèmes d’Information (EMSI)
    • Doctoral School

     Entrevoir l’école du Futur :

    « Une réforme radicale dans les méthodes et contenus des enseignements est en marche. Les entreprises, les nouvelles générations, les participants en formation continue n’acceptent plus l’enseignant comme seul dépositaire du savoir et la salle de classe comme unique lieu d’apprentissage.« , explique Loïc Roche, Directeur, « c’est le moment d’y aller. »

    La première innovation donc c’est la diversité. Diversité des publics (étudiants en situation de handicap, diversité sociale…), diversité des parcours (150), diversité des outils (ordinateurs, tablettes smartphone, TNI, imprimante 3D…) et enfin diversité des pédagogies (face à face, par l’action,  à l’anglo-saxonne, chez les partenaires, en entreprise, en alternance…)

    Cette diversité est non seulement voulue par l’école mais aussi par les entreprises car «De la confrontation des publics nait de l’innovation» nous dit Jean-François Fiorina, Directeur adjoint de GEM et Directeur de l’ESC.

    « l’objectif de l’école, notre mission, c’est que les étudiants aient le métier de leur rêve, dans l’entreprise de leur rêve, le plus rapidement possible et au salaire de leur rêve. » conclut  t’il.

    Mais que se passe t’il concrètement à GEM ?

    La Classe SMART

    Lors de cette journée de découverte plusieurs expériences nous on été présentées. Nous sommes installés dans la salle SMART. Opérationnelle depuis quelques semaines, cette salle de 18m2 constitue le point relais SMART et représente un véritable laboratoire pour l’école du futur.
    Elle est équipée de trois tableaux numériques interactifs SMART Board®, d’une dalle interactive à stylet SMART Podium™ et d’un câble de lancement automatique SMART GoWire™. Elle devrait également intégrer, courant mars, un vidéo projecteur interactif au doigt.
    L’école dispose également de cinq salles de cours équipées d’une dalle interactive à stylet SMART Podium, d’un système d’écran interactif SMART Board, des logiciels SMART Meeting Pro et Notebook™ dédiés à l’apprentissage collaboratif, ainsi que d’un amphithéâtre équipé d’une dalle interactive à stylet SMART Podium.

    Les MOOC
    Régis Faubet, Web Manager, est en charge des projets numériques publics au sein de l’école. Il s’est intéressé aux « MOOC » Massive Open Online Course ou, en français, cours en ligne massivement ouvert, c’est à dire une nouvelle méthode de partage de connaissances et de travail en réseau. Son objectif était de voir et comprendre les mécanismes d’apprentissages de ces nouvelles plate-formes et la valeur de ce qu’on pouvait en retirer.
    Il n’y a rien de nouveau en matière de technologie puisqu’il s’agit d’un cursus traditionnel basé sur des cours magistraux en vidéo avec des périodes d’apprentissages et d’évaluation. L’innovation est dans la portée et l’ouverture de ces plate-formes, les cours sont suivis par des dizaines de milliers d’étudiants, l’innovation majeur étant l’évaluation entre apprenants.
    « Cela va créer un bouleversement sur toute la chaîne d’apprentissage, le recrutement, le packaging des formations, le rôle des enseignants et la formation continue » constate Régis Faubet

    Pour plus d’informations sur les MOOC, voir le blog de Régis Faubet 

    L’imprimante 3D
    GEM vient de faire l’acquisition d’une imprimante 3D, là aussi dans le but de faire de la prospective afin d’évaluer dans quelles mesures tout ce qui va être industrialisés va être bouleversés, puisque cette technologie va être très prochainement accessible au grand public
    Les expérimentations avec l’imprimante 3D se déroulent dans le cadre des TD Innovations.

    Les TD Innovations
    Constitué, depuis la rentrée 2010, de 35 d’étudiants de 1ère année, le TD Innovation est un laboratoire d’expérimentations et d’innovations pédagogiques. Sélectionnés sur leur motivation et leur sensibilité aux problématiques de l’innovation, les étudiants sont soumis à un régime très particulier et sont des «testeurs en innovation pédagogique». Ils suivent le même programme en termes d’acquisitions de connaissances et de compétences que les autres étudiants de 1ère année et sont également soumis aux mêmes évaluations. C’est sur la «forme» que le parcours est différent. En effet, les étudiants « pré-testent » un grand nombre d’expérimentations pédagogiques, de nouveaux matériels, de nouveaux logiciels ou services, parmi lesquels des machines hybrides comme l’iPad, ou les tablettes.

    Des cours en simultané avec le Japon
    Ici également la volonté d’innover. Comment faire travailler des étudiants séparés par 10.000 km à travers plusieurs outils et comment vont ils vivre cette expérimentation ?
    Les 20 étudiants, 10 de GEM et 10 de l’université de Tsukuba (la Science City japonaise) ont choisi de se lancer dans cette aventure « pédagogico-technologique » et ont suivi 5 sessions de 2h30 de cours de marketing international en visio-conférence, assisté de 4 enseignants, 2 à Grenoble et 2 à Tsukuba.
    Pour les travaux en groupe (5 groupes de 4), les étudiants se sont servis de Moodle, Sype ou encore DimDim.
    « La plus grosse difficulté à été le décalage horaire et donc de persuader les étudiants grenoblois d’assister à des cours tard le soir, le samedi ou le dimanche » explique Olivier Aba, Professeur d’innovation pédagogique.
    voir la vidéo sur youtube

    Voir aussi :
    Digital Natives 
    5000 Km les séparent et ils innovent ensemble

  • Grenoble Ecole de Management et Orange créent la Chaire « Digital Natives »

    Grenoble Ecole de Management et Orange créent la Chaire « Digital Natives »

    Jean-Philippe VANOT, Directeur général adjoint en charge de la Qualité et Responsabilité Sociale d’Entreprise de France Télécom-Orange, Jean VAYLET, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Grenoble et Thierry GRANGE, Président du Conseil Stratégique de Grenoble Ecole de Management, ont le plaisir d’annoncer le lancement de la Chaire « Digital Natives ».

    Cette chaire d’enseignement et de recherche sera placée sous la responsabilité de Benoît Meyronin, professeur titulaire à Grenoble Ecole de Management. Pour Orange, la responsabilité de la création et du suivi de la chaire Digital Natives sera assurée par Stéphanie Hospital, Directrice exécutive d’Orange Digital, la division Audience et Publicité d’Orange, et ancienne élève de Grenoble école de Management.

    Elle a pour vocation d’étudier la culture « Digital Native » et d’analyser ses usages, ainsi que ses conséquences en termes d’expérience client, de relation client, de pratiques culturelles numériques et de modèles économiques et managériaux.

    La Chaire, instituée pour une durée de trois ans à compter du 1er décembre 2012, prévoit la mise en place des dispositifs suivants :

    • « L’Observatoire de la Culture Digitale Native », qui vise à mieux connaître et interpréter les pratiques numériques des jeunes générations, notamment en matière de réseaux sociaux.
    • Le « SchooLab », un terrain d’expérimentation au sein de Grenoble Ecole de Management qui permettra d’analyser les pratiques culturelles en lien avec les technologies numériques de générations ayant entre 20 et 23 ans (pratiques actuelles, émergentes et en croissance) ;
    • Le Mastère Spécialisé « Internet Strategy & Web Management », destiné à former de nouveaux cadres bilingues capables d’utiliser Internet comme vecteur de rentabilité et de notoriété ;
    • Actions dans le cadre de La Doctoral School. Des doctorants aux profils internationaux permettront d’apporter une contribution interculturelle forte par leurs travaux de recherche en lien avec les thématiques de la chaire.

    Grenoble Ecole de Management associera Orange à l’ensemble de ces travaux : des experts de l’entreprise interviendront dans les cours dispensés et, parallèlement, des études et projets seront réalisés conjointement dans ce cadre.

    Thierry Grange explique : « Grenoble Ecole de Management est positionnée depuis son origine sur le Management de la Technologie & de l’Innovation. Grace à ce partenariat avec Orange, elle ambitionne de mettre en place l’« Ecole de l’économie numérique »  qui formera ainsi des étudiants aux business-modèles et aux métiers de demain dans une économie qui va être de plus en plus impactée par le digital. L’autre grand enjeu de ce partenariat est de pouvoir accompagner les organisations et les entreprises dans leur mutation vers l’économie digitale en produisant des contenus pertinents (documents de travail, analyses, formations…).»

    Jean-Philippe Vanot ajoute : « La génération Y et celles qui la suivent sont nées avec les technologies de l’information et de la communication. Ces utilisateurs très à l’aise avec le monde numérique constituent un public de plus en plus large, qui a des usages spécifiques : il est primordial pour Orange de mieux connaître leur comportement et leurs attentes. Ce partenariat avec Grenoble Ecole de Management portant sur la thématique des Digital Natives nous permettra d’approfondir nos connaissances de ce public grâce à de nombreuses expérimentations et synergies entre la formation théorique et l’expérience terrain. »

  • 5 000 km les séparent mais ils innovent ensemble

    5 000 km les séparent mais ils innovent ensemble

    Grenoble Ecole de Management fait vivre à des étudiants une expérience interdisciplinaire inédite : concevoir une application Smartphone avec des étudiants qu’ils ne connaissent pas et situés de l’autre côté de la planète. Explications de Barthélémy Chollet, enseignant-chercheur de cette école.

    Ils sont 600 étudiants de trois institutions, Grenoble Ecole de Management, Georgia Tech et George Mason University, à participer à cette expérimentation de grande ampleur réalisée sur deux ans. L’objectif pour les enseignants-chercheurs à l’origine de cette expérience est d’identifier les structures de leadership et de communication qui conduisent à la meilleure performance en termes de management d’équipes virtuelles et d’innovation. Mais c’est aussi tout simplement de proposer aux étudiants une expérience hors du commun en matière de collaboration virtuelle.

    Les participants sont répartis en équipes réunissant trois disciplines : écologie, psychologie et management, avec pour cahier des charges la conception d’un concept d’application Smartphone en lien avec le développement durable. Aux Etats-Unis, se trouvent les étudiants en écologie, qui ont pour rôle de cerner la problématique de développement durable, et les étudiants en psychologie, qui réfléchissent aux leviers capables de faire évoluer les comportements. En France, les étudiants issus du MIB grenoblois doivent définir un modèle économique viable. Ils utilisent l’outil professionnel de collaboration virtuelle Webex pour se réunir, partager des documents, transmettre des fichiers, etc.

    « Le cadre dans lequel nous réalisons ces travaux de recherche est très proche de celui des entreprises qui mènent des projets innovants » explique Barthélémy Chollet, enseignant – chercheur à Grenoble Ecole de Management. Il ajoute «La plupart de ces étudiants seront amenés à travailler dans un contexte international et à collaborer avec différentes disciplines. Cette expérience est un vrai plus car il ne s’agit plus de suivre une étude de cas dans une salle de cours mais de vivre la conception et la gestion d’un projet dans des conditions quasi-réelles de fonctionnement d’une entreprise. »

    Les étudiants qui ont vécu cette expérience ont ainsi touché du doigt les problématiques liées à l’éloignement géographique mais aussi à la barrière des disciplines. Ils ont dû composer avec les décalages horaires pour fixer leur meeting, avec le jargon professionnel spécifique à chaque discipline, ou encore les aléas de fonctionnement des outils de collaboration virtuelle.

    La finalité de cette expérimentation est double pour l’Ecole. « La collaboration virtuelle et multidisciplinaire se développe de plus en plus dans les entreprises et nécessite des compétences particulières. Il est important pour l’école de former dès maintenant les futurs managers à cette problématique. Mais cela va plus loin qu’un simple bénéfice pour l’étudiant: cette expérience génère une très grande quantité de données, que nous pouvons analyser pour comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans la collaboration virtuelle. De cette analyse, émergent des recommandations pour les managers qui eux sont aujourd’hui sur le terrain » conclut Barthélémy Chollet.

  • Prix Etudiant du Jeu Vidéo 2012 : Tiny White Stones à l’honneur !

    Prix Etudiant du Jeu Vidéo 2012 : Tiny White Stones à l’honneur !

    Le Prix Etudiant du Jeu Vidéo 2012 revient cette année au projet Tiny White Stones réalisé par une équipe d’étudiants de SUPINFOGAME située à Valenciennes. Organisé dans le cadre du Forum des Métiers du Jeu Vidéo, il récompense le meilleur projet de jeu vidéo réalisé par les étudiants d’établissements de formation français.

    Geoffreoy Calis, Lou Lubie, Aurélien Carlier, Nils Velay, Corentin Lemasson et Guillaume Nassi ont conçu un jeu pour PC, Playstation 3 et Xbox360 basé sur la coopération d’un frêre et d’une soeur oeuvrant ensemble pour leur survie dans un univers aussi féerique qu’inquiétant.

    En plus des possiblités de coopération classiques que l’on peut retrouver dans ce type de jeux (franchissement d’obstacles, résolution d’énigmes), l’excellente idée de Tiny White Stones est de proposer aux joueurs deux visons distinctes de l’environnement, le frêre pouvant voir des élements du décor ou des passages différents de sa soeur.

    Le Jury composé de professionnels de l’industrie : Pierre Ghislandi (Konami), Alexis Deville, (Game One), Philippe Dubois (MO5) et Mehdi Cherifia (Agence France Presse) a tenu à souligner l’extrême qualité des projets proposés en compétition, notamment Shadow Diver de l’Université Lumières Lyon 2 (Lyon) – Gamagora (shadowdiver-game.com) pour sa réalisation technique impressionnante et Sphere de l’ENJMIN (Jouer à Sphere) pour son concept original et son ambiance soignée.

    Preuve si besoin en est que la France reste pour le jeu vidéo, tout comme le cinéma et l’animation, un grand vivier de talents créatifs et techniques.

    Rappel des écoles et projets en compétition :

    • Université Lumières Lyon 2 (Lyon) – Gamagora – Shadow Diver – PC
    • Ecole nationale du jeu et des médias interactifs numériques (Angouleme) – Sphere – PC
    • LISAA (Paris) – Trap Factory – PC
    • Creajeux (Nimes) – Mambow – Xbox 360
    • EPITECH (Paris) – Selfish Friendship – PC
    • ITECOM (Paris) – Nightmare Factory – PC
    • Gobelins (Paris) – Typerider – PC
    • Ingésup (Bordeaux) – Ecosya – Windows Phone
    • Isart Digital (Paris) – Warships – Android
    • Institut de Création et Animation Numériques (Paris) – Extrude – PC

    Le Forum des Métiers du Jeu Vidéo est organisé avec le soutien du Ministère du Redressement Productif, de la Direction Générale de la Compétitivité de l’Industrie et des Services, et de nVidia partenaire technologique de l’événement. SUPINFOGAME recevra une carte Geforce GTX 680 pour offrir à ses étudiants un poste de travail optimal.

    Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.forumemploiformation.com

  • Les Éonautes, pour l’apprentissage du Français

    Les Éonautes, pour l’apprentissage du Français

    Le premier serious game conçu pour l’apprentissage du Français Langue Étrangère /F rançais Langue Seconde

    Le jeu sérieux Les Éonautes est né du besoin identifié chez les enseignants de langues de s’adapter à l’utilisation des nouvelles technologies dans leur classe tout en respectant les préconisations méthodologiques du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (Conseil de l’Europe, 2001).

    Pour répondre à la demande croissante des professeurs face à ces nouvelles formes d’apprentissage, la société Almédia, soutenue par le Ministère de l’Éducation Nationale, a développé le jeu sérieux Les Éonautes.

    Un complément de cours innovant
    Cette ressource a été élaborée afin de compléter les cours des enseignants de manière ludique. Dans cette perspective, le logiciel reprend des principes inspirés des jeux de rôles ou des jeux vidéo pour immerger les apprenants dans la langue et la culture françaises, leur permettre d’interagir en langue cible et minimiser l’aspect didactique des objectifs linguistiques et communicatifs à acquérir.

    Il sollicite l’intérêt des apprenants en les plongeant dans un univers d’aventure attrayant, où ils réalisent des missions qui font travailler les compétences langagières « lire », « écrire » et « écouter ». Il correspond aux objectifs du niveau A2/B1 du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues et s’appuie sur les principes de la perspective actionnelle.

    Ce jeu propose 30 séquences didactiques d’une durée moyenne de 45 minutes. Il permet à l’enseignant de mettre en place des parcours individualisés selon les besoins et les acquis de ses apprenants. En effet, le dispositif inclut une console spécifique qui permet à l’enseignant de créer et gérer des groupes, de suivre les progressions et de guider chacun face aux difficultés. Il comprend également un système d’évaluation des compétences langagières et communicatives.

    Des univers de jeux passionnants
    En 2992, un problème informatique a effacé les connaissances du passé. La mission de l’apprenant est de chercher le savoir perdu en voyageant dans cinq époques :

    • Le temps des Gaulois
    • L’époque médiévale
    • Les jardins de Versailles au XVIIème siècle
    • L’exposition universelle de 1900
    • Les années 1960

    Le jeu propose à l’apprenant de découvrir des univers monolingues à identité culturelle forte afin de communiquer en français, d’améliorer sa compréhension orale, sa compréhension écrite ainsi que son expression écrite.

    Le jeu est accessible en ligne à l’aide d’un navigateur web et est disponible en deux versions : une version Éducation destinée à un usage en classe avec un professeur (avec abonnement) et une version Individuelle à utiliser en autonomie (sans abonnement, prix fixe).

    Vous pouvez retrouver la ressource sur le Catalogue Chèque Ressources du plan numérique.

    Pour tout savoir sur Les Éonautes, rendez-vous sur le site du jeu www.eonautes.com et sur notre page www.facebook.com/eonautes

    Une version de démonstration est accessible sur demo.eonautes.com.

    Pour tout savoir sur la société Almédia, rendez-vous à l’adresse www.almedia.fr.


  • Ingésup s’exporte à Londres pour la rentrée 2013

    Pour l’année scolaire 2013/2014, Ingésup ouvre une école outre-Manche !

    En phase avec sa vocation d’école experte à l’esprit pionnier, Ingésup décide de valoriser l’importance de la formation en anglais, à l’heure où le marché de l’informatique est incontestablement synonyme d’ouverture à l’international.

    Aujourd’hui plus que jamais, l’anglais est ainsi incontournable dans l’enseignement des activités d’avenir dans le secteur. Le constat est indéniable : les CV se doivent de valoriser les cursus, les compétences et l’expérience professionnelle à l’étranger.

    En avant-première, voici quelques-uns des avantages exclusifs qui seront proposés aux étudiants inscrits en ING1 (3e année) et ING2 (4e année) pour 2013 :

    – Étudier à Londres « sur-mesure »
    Les frais de scolarité seront identiques à ceux encourus par un étudiant Ingésup enFrance.
    Le cursus des étudiants sera rythmé par un emploi du temps adapté avec des semaines de cours pleines et un stage de longue durée en entreprise (londonienne ou française). En plus des cours habituellement organisés par Ingésup en France, les étudiants anglais pourront bénéficier de modules d’approfondissement de la langue anglaise. Tous les cours seront donnés en anglais par des intervenants professeurs/entreprises anglophones.

     – Un accompagnement privilégié
    Le concept de CREE (Chargés de Relations-Entreprises) d’Ingésup s’exporte en Angleterre !
    Dans le cadre de la recherche de logement, de stages ou pour toutes les questions attenantes à la vie quotidienne, les CREEI – Chargés de Relations-Entreprises à l’International – d’Ingésup seront les meilleurs conseillers des étudiants.

     – Etudier sérieusement sans se prendre au sérieux …
    Et comme les années d’apprentissage sont également rythmées par une qualité de vie propice à l’épanouissement personnel, les étudiants pourront pleinement profiter de la vie londonienne, connue pour ses fantaisies et son ouverture sur le monde.

    Last but not least, les étudiants détenteurs de la carte ISIC (carte d’étudiant international) pourront profiter des avantages offerts par ce statut si convoité.

    À propos d’Ingésup 
    Ingésup forme depuis 1984 à Paris des experts des systèmes d’information sur un cursus de 5 ans directement après le baccalauréat. Pour permettre l’accès à la formation au plus grand nombre, Ingésup propose également des admissions parallèles de la 2e  à la 5e année.
    L’école prépare au Titre d’Expert en Informatique et Systèmes d’Information, certifié par l’État au plus  haut niveau, le niveau 1 (Bac +5) et largement reconnu auprès des entreprises. Aujourd’hui, l’école Ingésup est présente sur 4 sites à Paris, Bordeaux,Toulouse et Aix-en-Provence, et offre à ses étudiants un enseignement d’excellence pour favoriser leur immersion rapide dans la vie professionnelle.
    L’expérience professionnelle est favorisée et se concrétise par des stages réguliers en cours d’année et des stages longs de 2 à 6 mois en fin d’année scolaire. En 5 ans, un étudiant Ingésup peut faire valoir près de 3 ans d’expérience professionnelle, un vrai plus pour les recruteurs.

    Plus d’infos sur www.ingesup.com

     

  • Le réseau IT d’Euridis : l’atout recrutement

    Euridis, Ecole Supérieure de Commerce des Hautes Technologies, recrute par concours de nouveaux talents pour intégrer ses formations. Pour cela rien de mieux que la cooptation !

    Le recrutement par réseaux, est non seulement très efficace mais également un gage de fiabilité sur la qualité des profils. Dans des secteurs de pointe tels que les nouvelles technologies de l’information et de la communication, il représente dans certains cas pas moins de 20% des embauches.

    L’École Euridis, spécialisée en Hautes Technologie, accorde de plus en plus d’importance au parrainage et au réseau. Ces cinq dernières années, Euridis a recruté près d’un quart de ses étudiants grâce à ses anciens élèves, ses élèves actuels, ou mêmes à ses entreprises partenaires, développant ainsi la notoriété de l’École de manière rapide. Il est en effet courant que des entreprises recrutent des apprentis en direct et souhaitent que la formation de leur alternant soit effectuée au sein d’Euridis.

    Pour aller au-delà du simple bouche à oreilles, l’École décide de motiver ses étudiants et ses anciens élèves sous la forme d’incentives. Un bon coopteur qui permet le recrutement trois personnes au sein de l’École Euridis remporte un iPad, offert par l’École ! Un concours atypique qui offre de nombreux avantages à l’École notamment un gain de temps et une fidélisation.

    Avec ces nouveaux moyens de communication et de recrutement, Euridis obtient de nouveaux candidats, fidélise ses étudiants, entretient ses liens avec ses anciens et avec ses entreprises partenaires.

    Enfin, l’École utilise les réseaux sociaux comme de véritables outils collaboratifs. Ils sont efficaces car à ce jour, près de 530 étudiants, actuels et anciens, sont présents sur la page Viadeo Euridis Alumni …
    Ces interfaces sont des aubaines pour la cooptation !

    www.euridis-ecole.com

  • L’IIM devient l’institut de l’internet et du multimedia

    L’Institut
 International
 du
 Multimédia 
du
 Pôle 
Universitaire
 Léonard
 de
 Vinci,
 change
 de
 nom 
et 
devient
:
«
l’Institut
 de
 l’Internet
 et
 du
 Multimédia ».
 L’IIM
 affirme
 ainsi
 son
 positionnement
 afin
 de
 mieux
 refléter
 son
 offre
 pédagogique.
 Il
 entend
 également
 promouvoir
 le
 développement
 de
 son
 périmètre 
de 
formation
 aux 
métiers 
de 
l’Internet,
 du 
multimédia
 et 
plus 
largement
 du
 numérique.

    Fort
 de
 quinze
 années 
d’existence, 
le
 temps
 est
 venu 
pour 
l’IIM
 de
 porter,
 sous
 un
 terme
 moins
 générique,
 le
 nom 
qui
 reflète 
le 
mieux 
son
 offre
 pédagogique 
et 
la 
spécificité 
de
 ses
 formations.
 Aujourd’hui,
 sans
 rien
 perdre 
de 
son 
identité,
    c’est 
dans 
une
 approche
 globale, 
stratégique 
et
 cohérente que 
l’Institut
 place
 le 
mot 
Internet
 au
 cœur
 de
 sa
 marque
 !
    Retour
 sur 
le
 parcours
 d’une
 école
 pionnière
 :
 depuis
 1996, 
date 
de
 sa
 création, 
l’IIM
 a
 vu 
se 
transformer 
profondément
 l’internet,
 notamment
 en
 terme
 de
 professionnalisation
 et
 de
 prise
 en
 compte
 de
 son
 évolution
 (le
 premier
 navigateur
 Web 
est 
apparu 
en 
1993 
!).

    Initiés 
à 
la 
révolution 
de 
l’internet 
et 
à 
son
 formidable 
impact
 sur 
l’économie, 
les
 fondateurs
 de 
l’IIM,
 Monika
 SIEJKA
 et 
Claude 
VOGEL,
 ont
 su 
adapter 
et 
développer
 en 
permanence 
le 
périmètre 
de 
formation 
de 
leur
 école
 et
 concevoir 
une 
offre 
innovante 
intégrant
 les 
sciences 
et 
technologies 
les 
plus 
récentes.

    Véritable
 référence
 de
 son
 secteur,
 l’IIM
 forme,
 avec
 succès,
 de
 nombreux
 étudiants
 aux
 nouveaux
 métiers
 engendrés
 par
 l’univers
 du
 Web.
 Son 
titre 
de
 «
Chef 
de
 projet 
multimédia »
 est 
reconnu
 par 
l’Etat.

    Plus d’infos sur : www.iim.fr

  • 25 Millions de plus pour le programme « Ecole Numérique Rurale »

    L’amendement a été adopté par 17 voix pour, 2 contre et 3 abstentions, malgré l’avis défavorable du gouvernement et des rapporteurs de la commission des finances. «Cet amendement est tentant pour l’élu rural que je suis, a déclaré Luc Chatel, mais en tant que ministre, je ne puis y être favorable : ne commençons pas à prolonger un plan de relance qu’il s’agit de clore !», a-t-il poursuivi. Autre argument développé par le ministre : «Il y a 55.000 écoles dans notre pays, dont la plupart sont rurales. Vous proposez d’en équiper 2.500. C’est peu.»

    Il y a quelques jours, Luc Chatel, on le rappelle, présentait son plan de développement du numérique pour l’école de demain…