Étiquette : E-LEARNING

  • Le plan FUN après 9 mois de MOOC à la française

    Le plan FUN après 9 mois de MOOC à la française

    Un bilan et prospectives du plan FUN et des MOOC à la française a été l’occasion d’une table ronde sur les JEL à Lyon. Nous avons interviewé Thierry Koscielniak, Directeur TICE à l’université Paris Descartes qui nous en a parlé.

    Côté enseignants, les retours sont excellents depuis la création des MOOC ; des ingénieurs pédagogiques et des ingénieurs multimédia pour créer des grains de contenus en vidéo ont été mis à leur disposition.

    Unanimement ils nous disent revoir leur enseignement différemment, même le présentiel.

    Côté utilisateurs, les retours sont tout aussi bons.

    Nous recevons beaucoup de remerciements des participants, qui sont ravis de pouvoir avoir accès à des contenus d’un expert du domaine.

    Quelques conseils de Thierry Koscielniak en fin d’interview sur les personnes qui voudraient se lancer dans la création d’un MOOC, à écouter absolument !

    Voir aussi le témoignage de Catherine Mongeret de France Université Numérique qui reprend un bref historique des MOOC sur FUN puis bilan et perspectives ici.

    Toutes les vidéos des Journées du ELearning à retrouver ici

  • Bernard Stiegler aux JEL, vers l’université numérique…

    Bernard Stiegler aux JEL, vers l’université numérique…

    L’introduction du numérique dans le système académique, comme l’appelle Bernard Stiegler, doit se faire par le haut.

    il est évident que les technologies numériques doivent aujourd’hui être mises en oeuvre massivement dans le champ académique mais que le champ académique doit s’en saisir, ce qui ne signifie pas acheter la dernière version de technologie de tel ou tel constructeur.

    Dans cette déclaration, Bernard Stiegler ne tient pas du tout à dévaloriser ces solutions mais il tient juste à donner son point de vue par rapport aux  géants tels que Microsoft, Google ou autres qu’ils nomment « les cavaliers de l’apocalypse » pour dire que ce ne sont pas eux qui doivent prescrire.

    Il conseille même aux grands éditeurs scolaires de travailler avec les jeunes start-up et surtout en collaboration avec les universitaires…

    car il ne faut pas laisser le marché piloter mais bien la science ; ce qui suppose de créer une nouvelle « Taskforce ».

    Discours à suivre dans la vidéo ci-contre.

    Toutes les vidéos des Journées du E-Learning à retrouver ici

  • Journées E-Learning : La qualité au profit de l’apprentissage, la démarche itérative

    Journées E-Learning : La qualité au profit de l’apprentissage, la démarche itérative

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    Au- delà des Mooc penser la massification des usages numériques dans la formation

    Les Mooc, ces cours d’enseignement par Internet accueillant des dizaines de milliers de personnes, ont installé dans le paysage de la formation (tant universitaire que professionnelle) la massification des dispositifs d’enseignement. Ce fut le sujet central de l’édition 2013. Aujourd’hui il convient d’aborder la question de la massification des usages numériques dans la formation, ou comment faire en sorte que demain toute formation recourt largement au numérique.

    Intégrer le numérique et gérer la conduite du changement liée à cette massification du numérique n’est pas une fin en soi mais répond à une exigence bien plus supérieure : améliorer la qualité de l’apprentissage.

    Pour sa 9ème édition les Journées du E-Learning traiteront de l’apport des processus de gestion dela qualité dans la mise en œuvre des projets d’enseignement avec le numérique : l’approche itérative.

    Cette année le colloque abordera plusieurs thèmes et notamment :
    • la massification du E-Learning,
    • l’adaptation du droit aux nouveaux usages du E-Learning et plus généralement du numérique,
    • les nouveaux modes d’intégration du numérique dans les dispositifs E-Learning,
    •Les perspectives d’usages du numérique pour l’apprentissage.

    Des universitaires et spécialistes de renommée nationale et internationale viendront à la rencontre du public.

    Cette manifestation est organisée avec le soutien du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la
    Recherche, de l’Université de Lyon, des trois Universités lyonnaises, de l’Université de St Etienne, de l’INSA de Lyon, de l’ENS de Lyon, de l’Ecole Centrale de Lyon et de VétagroSup.

    Ce colloque est ouvert à tout public.

    Plus d’infos :
    Site du colloque : http://www.journees-elearning.com

  • Le Forum E-learning Tunisie, une seconde édition riche en découvertes

    Le Forum E-learning Tunisie, une seconde édition riche en découvertes

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    L’objectif revendiqué par le  forum est de devenir, en Tunisie, un rendez-vous incontournable, regroupant  des professionnels de l’éducation, de la formation, de la recherche, de l’entreprise et du secteur public.

    Si l’affluence de cet événement, encore débutant, semble encore modeste, la qualité des conférences, l’espace salon, l’encadrement et le lieu sont de premiers ordres.

    Outre l’espace dédié aux exposants qui met en synergie les visiteurs et curieux avec les acteurs effectifs dans le domaine du E-learning, le forum a fait appel a plus de 30 conférenciers nationaux et internationaux afin d’animer des conférences et ateliers ouverts autour du thème «L’E-learning comme levier stratégique du développement des compétences».

    Sur 2 jours, conférences et ateliers se sont donc succédés autour de thématiques actuelles et abondamment relayées dans le secteur de l’E-learning, les MOOCS et le mobile learning . Outre des présentations assez larges sur des retours d’expériences au niveau européen, un focus particulier fut mis sur la mise en évidence du niveau atteint par les compétences locales dans l’e-Learning.

    Les MOOCS, retour d’expérience

    Sujet actuellement très tendance, pas un jour ne passe sans qu’un ou plusieurs articles ne soient édités sur le sujet, les MOOCs se sont également invités dans les discussions.

    Entre véritables opportunités pour des économies éducatives émergentes, mondialisation et monétisation de la formation,  les échanges se sont focalisés autour des expérimentations réalisées cette année dans l’espace francophone.

    Baromètre de l’E-learning

    Le fait marquant de cette deuxième édition fut la présentation des chiffres du premier baromètre e-Learning tunisien.  L’objectif de ce baromètre vise à mettre en perspective la place de l’e-Learning au regard des stratégies de formation et à mieux comprendre les usages de l’e-Learning selon 3 axes :

    –       Place et évolution de l’E-learning

    –       Modalités de déploiement et champs d’application

    –       Conditions de succès et indicateurs de suivi

    Pour cette première étude, les promoteurs ont essayé de toucher les entreprises ayant déjà une expérience active dans le secteur de l’e-Learning. Si les données rassemblées ne démontrent pas une  forte implication des entreprises tunisiennes dans le secteur, elles permettent cependant d’esquisser des tendances dans les usages concernant la formation à distance.

    La Tunisie se place donc résolument grâce à ce forum et ce baromètre comme un futur acteur de la scène de la formation à distance en Afrique du nord.

    C’est dans cette optique que le ministre de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique par la voix de son conseiller Mohamed Ghribi a placé son discours d’ouverture.

    « La Tunisie qui a adhéré au e-learning, vit, aujourd’hui, une révolution scientifique » annonce t-il . « La Tunisie oeuvre ainsi à renforcer tous les domaines d’enseignement et à exploiter les techniques de l’information et de la communication pour promouvoir le système éducatif. »

    Plus d’infoshttp://forumelearningtunisie.com/

     

  • Environnement Numérique de Travail et d’apprentissage à distance, entre promesses pédagogiques et imaginaires technologiques

    Environnement Numérique de Travail et d’apprentissage à distance, entre promesses pédagogiques et imaginaires technologiques

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    Dorothée Danielewski
    , modératrice, fait l’introduction de cette table ronde en précisant que plutôt que des promesses, les intervenants parleront des espoirs portés par les ENT. Faute d’intervenant du supérieur, elle précise également qu’il n’y aura pas d’intervention sur les MOOC.

    Premier constat, les ENT ont 10 ans et 28 académies sur 30 ont des projets d’ENT.

    Première question : qu’est-ce qui a changé depuis les premiers projets, qu’est-ce qui distingue aujourd’hui un ENT ? Et en premier lieu au second degré.

    Roger Masson de la Région Rhône-Alpes intervient : la Région comprend 268 lycées publics dont 20 agricoles et potentiellement 500 000 utilisateurs. Le projet initial est le fruit d’une concertation entre différents acteurs. Le projet est centré sur la relation pédagogique profs/élèves. Une seule identification pour le prof ou pour l’élève, surtout pour le prof, précise-t-il !

    Evolution du projet initial : l’ENT évolue en fonction des besoins des utilisateurs, enseignants ou élèves. Parmi les points forts, Roger Masson cite les ressources numériques en accès légal et sa souplesse.

    Dorothée Danielewski : Qu’en est-il maintenant au premier degré ?
    Premier constat, le panorama des ENT du primaire est très morcelé, il n’y a pas de modèle pour le premier degré. Elle s’adresse à Benjamin Viaud, qui commercialise des ENT au primaire sur les caractéristiques et usages qu’il  a constaté ?

    Benjamin Viaud (Beneylu school/ATOS) : Dans un premier temps, on a cherché à adapter des ENT du 2e degré pour le 1er degré. Ce ne fut pas une bonne solution en raison d’une plus grande fragmentation des établissements, car localement c’est très éparpillé (une commune, une communauté de communes, 37 000 communes en France…). Les projets sont très dépendants des initiatives locales. Pour lui, il n’y a pas de généralisation possible en l’état actuel. L’égalité des territoires reste largement utopique, car l’implantation repose sur le volontariat des acteurs.

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    Les pratiques du 1er degré sont beaucoup plus axées sur la pédagogie qu’au 2e degré. Ceci est facilité par le fait qu’il y a un enseignant par classe. L’ENT s’insère dans les pratiques de manière plus naturelle (projets de classe, chasse au trésor, rallye web, correspondance de classe, échanges scolaires). Le gros du travail de conception d’ENT au primaire porte sur l’ergonomie (nombre, couleurs, libellé des boutons…).

    L’ENT primaire doit pouvoir s’adresser à des élèves non lecteurs, petits lecteurs et lecteurs sans “faire bébé” pour les plus grands… un défi !

    Dorothée Danielewski souligne la facilité d’usage et de prise en main dans le primaire. On oublie l’outil pour réaliser des activités. Que va-t-il se passer ces prochaines années ?

    Marie Deroide (DGESCO) : Démarche de consultation des acteurs par la DGESCO. Elle note la généralisation des ENT dans presque toutes les régions. 8 régions offrent un ENT à tous leurs lycées, 35 départements ont un ENT dans tous leurs collèges.

    Sur l’utilisation des ENT, on est capable, au niveau statistique, de dire que le cahier de texte perce à côté de la gestion des notes et de la gestion des absences. On observe également l’audience des parents qui, lorsqu’ils disposent d’un compte, sont bien présents.

    On n’a hélas que des données quantitatives, il manque des informations qualitatives sur les usages.

    Elle observe également une montée en puissance des utilisateurs et des usages. L’augmentation est régulière et constante, notamment les attentes des utilisateurs en termes d’outils et d’utilisations plus novatrices. Par ailleurs, il est important de fixer des objectifs à l’utilisation des ENT.

    Dorothée Danielewski : 10 ans et encore des envies. c’est très bien. Que met-on derrière les ENT en Wallonie ?

    Isabelle Marx intervient au titre de l’expérience de mise en place de l’ENT dans son établissement en Wallonie. La démarche a débuté par une information sur une solution technique. Les enseignants recherchaient plus de convivialité.

    Le projet présenté et adopté est très coloré, l’ENT est vu comme un « jouet« . La gestion de l’ENT est effectuée par le professeur qui dispose d’une grande liberté d’usage et d’appropriation. L’outil a été créé à la demande de l’équipe pédagogique. Il ne s’agit donc pas d’une démarche institutionnelle comme en France. Le travail en équipe permet une mutualisation des expériences par l’équipe pédagogique, une formation par les pairs et un accompagnement personnalisé.

    Une enseignante de l’établissement a des heures dégagées pour accompagner ses collègues. Le cahier de texte devient maintenant une demande de l’enseignant et non pas une prescription institutionnelle. L’ENT est aussi utilisé pour préparer les élèves de terminale au e-learning qu’ils rencontreront dans le supérieur.

    Dorothée Danielewski présente ensuite un invité surprise sur les question de l’apprentissage à distance : Jean-Michel Leclercq, du CNED.
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    Jean-Michel Leclercq : Où positionne-t-on le LMS ? Au CNED, il n’existe pas de lien en présentiel ; la présence physique de l’enseignant est moindre ou inexistante, les interactions sont plus faibles. L’absence de relation en présentiel de l’enseignant et de l’élève existait déjà avant l’arrivée du numérique. Il n’y a pas de vie d’établissement, les étudiants s’inscrivent à des formations.

    Actuellement, le CNED dispose de 303 LMS, un par formation. Les outils utilisés sont principalement Moodle et Blackboard, ils comportent généralement un système de forum, un annuaire et des cours traditionnels portés au format numérique. Pour J.-M. Clerc, la typologie de l’espace d’apprentissage est à réfléchir en fonction de la formation dispensée.

    Après cette dernière intervention, la parole est donnée à la salle. La première question portera sur l’interopérabilité des données. La deuxième question d’un parent d’élève qui évoque le risque d’enfermement de l’ENT. Une troisième question portera sur la place de la production de contenu des éditeurs dans les ENT.

    Concernant la première question, la structure administrative française est clairement un frein à l’inter-opérabilité des données. Se rajoute le fait que les ENT sont réalisés majoritairement par des entreprises privées et des solutions propriétaires. La solution passe par du code libre et l’utilisation d’ENT en open source. Il nous faut noter une obsession du cadre légal et de la protection juridique de la part des responsables… on perd de vue l’élève et ses besoins !

    L’ENT court le risque de devenir « la mare aux canards » des usages du numérique.

    À la question d’un parent d’élève, Benjamin Viaud répond que la clôture existe pour protéger les données des enfants, mais que les usages permettent les échanges et peuvent donc favoriser l’ouverture (exemple de la correspondance scolaire).

    Concernant les contenus des éditeurs dans les ENT, les mêmes problèmes d’opérabilité se posent comme l’obsession des questions de droits.

    Conclusion de Dorothée Danielewski : Les ENT suscitent encore énormément d’espoirs et d’attentes !

    La conclusion des rapporteurs et synthèse :

    La table-ronde a mis en évidence, d’un côté, la mise en place au secondaire d’ENT répondant d’abord à des besoins institutionnels et administratifs (gestion des notes, des absences, etc.) et, d’un autre côté, au primaire, la mise en place d’ENT répondant aux besoins pédagogiques des enseignants. Peut-on faire de l’ENT un mouton à 5 pattes qui serait LA solution unique à la gestion et la pédagogie de l’école, soit un objet total ? Nous en doutons… ne risque-t-il pas d’être plutôt un frein et un facteur d’enfermement ?

    Ne faudrait-il pas changer de tactique et inverser la tendance en partant des demandes des équipes enseignantes comme en Wallonie, pour une démarche plus porteuse favorisant l’adoption de l’environnement et les pratiques collaboratives ?

    Enfin, on peut à nouveau regretter l’absence d’usagers et de chercheurs à la table-ronde, qui auraient pu apporter des témoignages et des observations sur les usages effectifs des ENT.

     

  • Ilearning Forum 2013 : l’édition de tous les records

    Ilearning Forum 2013 : l’édition de tous les records

    ILearning Forum et le Salon du Talent Management ont réuni, les 12 et 13 Février2013, 4500 visiteurs et créent ainsi l’évènement incontournable des Ressources Humaines et de l’innovation en France : TOTAL TALENT

    iLearning Forum Paris 2013

    iLearning Forum Paris, l’événement n°1 en France dédié à l’usage des technologies au service l’apprentissage individuel et organisationnel, et le Salon Talent Management, le rendez-vous des professionnels de la gestion des talents et des experts du management, a eu lieu à l’Espace Champerret de Paris les Mardi 12 et Mercredi 13 février 2013, et s’est achevé sur un grand succès avec 4500 visiteurs.
     
    L’édition 2013 en quelques chiffres
    56 exposants parmi lesquels 14 sponsors : e-doceo, Cornerstone OnDemand, MOS MindOnSite, Demos eLearning, Speexx, Symetrix,  Altissia, Certpoint Systems, Futurskill, MeetingOne, Strass E-Learning, Tell Me More, Cegid et Cubiks.
    84 intervenants de renommée internationale avec des cas d’études dans les grandes multinationales et dans les PME, des présentations pragmatiques des outils les plus innovants et des retours d’expérience concrets, le tout sur 3 salles au cœur de l’évènement.
    Au total ce sont près de 500 sièges qui ont été occupés pendant deux jours non-stop de 9h30 à 18h00. Une mention spéciale à nos intervenants de renom tels que Stéphane Diébold, Président du GARF, Donald Talyor, Chairman of the Learning and Performance Institute, sans oublier Sally-Ann Moore récemment nommée parmi le « Top 10 Movers and Shakers of e-learning in Europe » !
    4500 visiteurs essentiellement français. Parmi ces visiteurs français il faut noter la présence des grandes entreprises avec des profils très qualifiés ainsi qu’une recrudescence du monde de l’éducation.
     
    L’aspect international du salon a également été un grand axe de développement lors de cette édition avec de nombreuses délégations étrangères francophones (Belgique, Suisse, Canada et Afrique), mais aussi internationales (Etats-Unis, Royaume-Uni, Afrique anglophone, Brésil, Chili, Espagne, Italie, Inde, Arabie Saoudite, Kuwait…).
      
    La prochaine édition d’iLearning Forum: 11 et 12 Février 2014 à l’Espace Champerret
    Afin d’inscrire l’évènement dans la continuité et dans la logique des grandes manifestations européennes que sont Learning Technologies à Londres et Learn Tec à Karlsruhe, notre prochaine édition aura lieu les 11 et 12 février 2014.
    En 2014 notre confiance ira encore une fois au Hall A de l’Espace Champerret  afin de pouvoir accueillir encore plus d’exposants et de visiteurs.
    Enfin certaines nouveautés seront attendues (nouveau site web, médias sociaux…) dans le courant de l’année. En 2014 nous prévoyons enfin trois grandes salles de conférences : deux pour les thématiques de gestion des talents et deux pour les sujets e-learning avec une salle pour les conférences et français et une salle pour celles en anglais avec des experts et gurus internationaux qui viendront partager des expériences vécues et leurs enseignements. Enfin nous prévoyons des pauses entre chaque atelier thématique afin de favoriser le dialogue et les rencotnres entre les intervenants et les visiteurs.
     
    « iLearning Forum 2014 est une année à savourer ! Beaucoup  de nouveaux visiteurs toujours plus qualifiés et plus concernés par le e-learning et la gestion des talents, mais aussi un marché structuré comme jamais, conquérant comme toujours et à la pointe de l’innovation avec des outils toujours plus incroyables et ingénieux. Les conférences permettent de plus aux professionnels de se projeter dans la réalité avec des cas concrets et pragmatiques», déclare Sally-Ann Moore, Directrice et Fondatrice d’iLearning Forum.
  • KTM advance mise sur la croissance

    KTM advance mise sur la croissance

    Véritable société de croissance, KTM Advance a vu son chiffre d’affaires tripler en trois ans et ses effectifs passer d’une poignée à 82 collaborateurs. Visionnaire depuis l’origine, KTM Advance veut étendre sa position de leader sur le marché de la formation numérique, e-learning et serious games, à celle d’acteur incontournable sur le marché de la formation globale en Europe. La Caisse des Dépôts et Consignations, CM-CIC Capital Finance, Finorpa et OSEO soutiennent KTM Advance.

    Aussi, pour accompagner sa croissance, KTM Advance a fortement renforcé son équipe de direction et s’est entourée de talents seniors, avec :

     Sébastien Beck tout d’abord, au poste de Directeur Opérationnel.

    Ingénieur de formation, spécialiste en développement logiciel, Sébastien est surtout un manager expérimenté, expert des applications ludo-éducatives. Après avoir développé des simulateurs de vol chez Dassault Aviation et des programmes de réalité virtuelle pour Medialab, il se dote d’une première expérience de création d’entreprise et de management en cofondant Realviz, société éditrice de logiciels d’effets spéciaux. Il intègre ensuite la société Dæsign début 2003, en prend la direction en 2005 et la positionne sur le marché des Serious Games.

    Il va désormais s’appuyer sur sa riche expérience pour accompagner la croissance de KTM Advance en épaulant Yves Dambach, président du groupe. Il va notamment mettre en œuvre la stratégie de développement de la société au niveau opérationnel.

     De Michel de Koubé ensuite, au poste de Directeur d’Edit Up.

    Sociologue de formation, il s’est spécialisé, au sein de diverses sociétés de service, dans la définition de solutions liées aux problématiques complexes de formation blended. Ensuite, en tant que Directeur de la formation réseau de Nissan Europe, il a conçu une stratégie de formation globale adaptée au contexte multiculturel, avec pour objectifs d’accroître les ventes grâce à l’amélioration des compétences individuelles.

    En tant que Directeur d’Edit Up, Michel de Koubé va maintenant développer la stratégie éditoriale et commerciale de la nouvelle offre générique de KTM Advance, une offre inédite de formation personnalisée et personnalisable, articulée autour du serious game.

    De Valérie Giai enfin, au poste de Directrice du Pôle Conseil et Conduite du changement.

    Elle a exercé sa carrière dans les métiers de l’accompagnement au changement, pendant 8 ans en société de services, éditeur de solutions de CRM dédiés aux laboratoires pharmaceutiques, puis pendant 10 ans chez Cegos en tant que Responsable de comptes, en charge des grands déploiements de systèmes d’information, sur tous les domaines fonctionnels de l’entreprise. De 2010 à 2012, elle prend la direction du développement chez BcomBest.

    Elle rejoint aujourd’hui KTM Advance pour compléter les solutions sur mesure existantes avec une offre de conseil transverse et compléter ainsi l’offre globale de KTM Advance.

    La complémentarité de ce nouveau team, conjuguée aux compétences du reste de l’équipe permettra à KTM Advance de relever les nombreux défis.

    www.ktm-advance.com

  • Une journée à l’école du futur

    Une journée à l’école du futur

    A Grenoble Ecole Management (GEM), Les technologies révolutionnent l’enseignement, et s’il y a un mot que l’on entend dans toutes les bouches, que ce soit des enseignants ou des élèves c’est le mot innovation. GEM a fait du Management de la Technologie et de l’Innovation un des piliers de son développement.

    Créée en 1984, accueillant chaque année 6000 étudiants de 134 nationalités différentes, GEM est l’une des meilleures écoles de management française ; classée 6eme au rang nationale et 25eme au rang européen. L’institution compte 4 écoles :

    • L’ESC Grenoble
    • Grenoble Graduate School of Business
    • L’Ecole de Management des Systèmes d’Information (EMSI)
    • Doctoral School

     Entrevoir l’école du Futur :

    « Une réforme radicale dans les méthodes et contenus des enseignements est en marche. Les entreprises, les nouvelles générations, les participants en formation continue n’acceptent plus l’enseignant comme seul dépositaire du savoir et la salle de classe comme unique lieu d’apprentissage.« , explique Loïc Roche, Directeur, « c’est le moment d’y aller. »

    La première innovation donc c’est la diversité. Diversité des publics (étudiants en situation de handicap, diversité sociale…), diversité des parcours (150), diversité des outils (ordinateurs, tablettes smartphone, TNI, imprimante 3D…) et enfin diversité des pédagogies (face à face, par l’action,  à l’anglo-saxonne, chez les partenaires, en entreprise, en alternance…)

    Cette diversité est non seulement voulue par l’école mais aussi par les entreprises car «De la confrontation des publics nait de l’innovation» nous dit Jean-François Fiorina, Directeur adjoint de GEM et Directeur de l’ESC.

    « l’objectif de l’école, notre mission, c’est que les étudiants aient le métier de leur rêve, dans l’entreprise de leur rêve, le plus rapidement possible et au salaire de leur rêve. » conclut  t’il.

    Mais que se passe t’il concrètement à GEM ?

    La Classe SMART

    Lors de cette journée de découverte plusieurs expériences nous on été présentées. Nous sommes installés dans la salle SMART. Opérationnelle depuis quelques semaines, cette salle de 18m2 constitue le point relais SMART et représente un véritable laboratoire pour l’école du futur.
    Elle est équipée de trois tableaux numériques interactifs SMART Board®, d’une dalle interactive à stylet SMART Podium™ et d’un câble de lancement automatique SMART GoWire™. Elle devrait également intégrer, courant mars, un vidéo projecteur interactif au doigt.
    L’école dispose également de cinq salles de cours équipées d’une dalle interactive à stylet SMART Podium, d’un système d’écran interactif SMART Board, des logiciels SMART Meeting Pro et Notebook™ dédiés à l’apprentissage collaboratif, ainsi que d’un amphithéâtre équipé d’une dalle interactive à stylet SMART Podium.

    Les MOOC
    Régis Faubet, Web Manager, est en charge des projets numériques publics au sein de l’école. Il s’est intéressé aux « MOOC » Massive Open Online Course ou, en français, cours en ligne massivement ouvert, c’est à dire une nouvelle méthode de partage de connaissances et de travail en réseau. Son objectif était de voir et comprendre les mécanismes d’apprentissages de ces nouvelles plate-formes et la valeur de ce qu’on pouvait en retirer.
    Il n’y a rien de nouveau en matière de technologie puisqu’il s’agit d’un cursus traditionnel basé sur des cours magistraux en vidéo avec des périodes d’apprentissages et d’évaluation. L’innovation est dans la portée et l’ouverture de ces plate-formes, les cours sont suivis par des dizaines de milliers d’étudiants, l’innovation majeur étant l’évaluation entre apprenants.
    « Cela va créer un bouleversement sur toute la chaîne d’apprentissage, le recrutement, le packaging des formations, le rôle des enseignants et la formation continue » constate Régis Faubet

    Pour plus d’informations sur les MOOC, voir le blog de Régis Faubet 

    L’imprimante 3D
    GEM vient de faire l’acquisition d’une imprimante 3D, là aussi dans le but de faire de la prospective afin d’évaluer dans quelles mesures tout ce qui va être industrialisés va être bouleversés, puisque cette technologie va être très prochainement accessible au grand public
    Les expérimentations avec l’imprimante 3D se déroulent dans le cadre des TD Innovations.

    Les TD Innovations
    Constitué, depuis la rentrée 2010, de 35 d’étudiants de 1ère année, le TD Innovation est un laboratoire d’expérimentations et d’innovations pédagogiques. Sélectionnés sur leur motivation et leur sensibilité aux problématiques de l’innovation, les étudiants sont soumis à un régime très particulier et sont des «testeurs en innovation pédagogique». Ils suivent le même programme en termes d’acquisitions de connaissances et de compétences que les autres étudiants de 1ère année et sont également soumis aux mêmes évaluations. C’est sur la «forme» que le parcours est différent. En effet, les étudiants « pré-testent » un grand nombre d’expérimentations pédagogiques, de nouveaux matériels, de nouveaux logiciels ou services, parmi lesquels des machines hybrides comme l’iPad, ou les tablettes.

    Des cours en simultané avec le Japon
    Ici également la volonté d’innover. Comment faire travailler des étudiants séparés par 10.000 km à travers plusieurs outils et comment vont ils vivre cette expérimentation ?
    Les 20 étudiants, 10 de GEM et 10 de l’université de Tsukuba (la Science City japonaise) ont choisi de se lancer dans cette aventure « pédagogico-technologique » et ont suivi 5 sessions de 2h30 de cours de marketing international en visio-conférence, assisté de 4 enseignants, 2 à Grenoble et 2 à Tsukuba.
    Pour les travaux en groupe (5 groupes de 4), les étudiants se sont servis de Moodle, Sype ou encore DimDim.
    « La plus grosse difficulté à été le décalage horaire et donc de persuader les étudiants grenoblois d’assister à des cours tard le soir, le samedi ou le dimanche » explique Olivier Aba, Professeur d’innovation pédagogique.
    voir la vidéo sur youtube

    Voir aussi :
    Digital Natives 
    5000 Km les séparent et ils innovent ensemble

  • L’apprentissage en Afrique : tradition, changement, innovation

    L’apprentissage en Afrique : tradition, changement, innovation

    eLearning Africa 2013 : l’appel à propositions est lancé !

    Avec quelque 10 pays africains figurant parmi les croissances les plus dynamiques au monde, la position de l’Afrique dans le paysage économique mondial est en train de radicalement changer. Les nouvelles technologies, combinées à un esprit visionnaire tendant à l’amélioration de la vie, modifient en effet déjà profondément les méthodes d’apprentissage et de travail, les manières de jouer, de penser et d’imaginer des Africains.

    Mais les changements apportés aux systèmes éducatifs et de développement des compétences sont-ils réellement durables ? Comment les jeunes Africaines et Africains façonnent-ils leurs identités, comment se meuvent-ils dans les nouveaux espaces éducatifs, à l’aide de ces nouvelles technologies ? Les nouvelles technologies sont-elles fondamentalement attentatoires à la tradition ?

    Ce sont là quelques-unes des questions clefs qui seront au centre des débats lors de la Conférence eLearning Africa 2013 qui se tiendra du 29 au 31 mai 2013 au Centre de Conférence Safari de Windhoek, en Namibie.

    L’appel à propositions est dès à présent ouvert ; il sera clos le 11 janvier 2013. Placée sous le thème global « tradition, changement et innovation », eLearning Africa 2013 appelle à un examen ouvert des expériences, projets, investissements, politiques, partenariats et recherches qui façonnent le paysage de l’apprentissage sur le Continent.

    eLearning Africa, le plus grand rassemblement consacré au développement des capacités dans le secteur de l’éducation et la formation renforcées par les TIC en Afrique, invite les pionniers africains du numérique, les visionnaires, les innovateurs, les libres-penseurs, la jeunesse et tous ceux qui s’intéressent au secteur de l’apprentissage renforcé par les TIC en Afrique, à nous soumettre une proposition et à partager leurs points-de-vue sur les sous-thèmes suivants :

    – Le présent : innovation et apprentissage sous le ciel Africain
    – Le passé : les riches traditions et héritages d’apprentissage Africains
    – Le futur de l’apprentissage en Afrique

    eLearning Africa met en avant pour la huitième année consécutive un large éventail de formats, comprenant documents de recherche, démonstrations, ateliers, tweetups, hackathons, blogfests et présentations.
    Se tenant chaque année dans un pays différent, eLearning Africa est le lieu de rencontre où se retrouvent annuellement les hauts décideurs et les professionnels qui façonnent le secteur de l’apprentissage renforcé par les TIC en Afrique. La conférence eLearning Africa est accompagnée d’un salon et d’une aire de démonstrations où les exposants ont l’opportunité de promouvoir leurs activités, exposer leurs produits, tenir des réunions et établir des contacts professionnels importants avec les distributeurs et les décideurs politiques du secteur de l’éducation et de la formation en Afrique, et ce devant une audience comprenant plus de 1500 participants. Pour plus d’informations et soumettre une proposition, veuillez vous rendre sur le site : www.elearning-africa.com