Étiquette : DNE

  • Ressources : La #BRNEDU cycles 3 et 4, Banque de ressources numériques pour l’Ecole, aujourd’hui disponible !

    Ressources : La #BRNEDU cycles 3 et 4, Banque de ressources numériques pour l’Ecole, aujourd’hui disponible !

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    Alain Thillay, Chef du Département du développement et de la diffusion des ressources numériques à la DNE au MENESR, était au micro de Ludomag lors de l’Université d’été de Ludovia pour nous parler du développement des ressources engagé depuis plusieurs années par la DGESCO devenue la Direction du Numérique pour l’Education il y a deux ans.

    Professeur agrégé d’histoire-géographie et expert national de cette discipline pour le développement du numérique à l’école entre 2008 et 2011, Alain Thillay a toujours eu à coeur de développer les usages du numérique en classe. Pour cela, il oeuvre à mettre le plus d’outils possible à disposition des enseignants et notamment des ressources numériques gratuites, faciles d’accès.

    Aujourd’hui, dans le cadre du plan numérique pour l’École et de la mise en œuvre de la réforme des programmes à la rentrée 2016, des banques de ressources numériques éducatives (BRNE) sont gratuitement mises à disposition des enseignants et des élèves du CM1 à la 3ème et sont organisées par cycles d’apprentissage.

    Initiées dans cinq domaines d’enseignement, elles associent des contenus multimédias, enrichis et interactifs et des services pour concevoir des séances et proposer des activités d’apprentissage variées aux élèves, en ligne ou hors ligne (téléchargement). Elles permettent plusieurs démarches pédagogiques disciplinaires et collaboratives en français, mathématiques, sciences, LVE, histoire-géographie mais aussi interdisciplinaires pour les projets, les EPI, l’EMC et l’EMI.

    « Les contenus sont aujourd’hui associés à des services, afin que les enseignants puissent avoir à disposition non pas de simples banques d’images, de textes ou d’exercices mais bien des outils numériques pour aménager des parcours, pour créer, utiliser, réutiliser, individualiser ou encore adapter les apprentissages en lien avec les nouveaux programmes ».

    La première vague de contenus, soit onze banques ont été ouvertes au 31 août dernier.

    Détails et décryptage dans la vidéo ci-contre, notamment la complémentarité avec le portail Eduthèque déjà existant depuis 2013.

     

  • L’EMI au coeur des priorités de la Direction du Numérique pour l’Education

    L’EMI au coeur des priorités de la Direction du Numérique pour l’Education

    Richard Galin, Chef de projet EMI et culture numérique, département de la valorisation des usages et de la diffiusion des pratiques,  DNE, MENESR, a été interviewé sur le plateau TV de Ludomag lors de l’Université d’été de Ludovia sur le sujet de l’éducation aux médias. Il faisait partie de la délégation de la DNE venue nombreuse pour cet évènement.

    « Un de mes principaux travaux est d’identifier et de valoriser tout ce qui peut se faire en EMI que ce soit les nouveaux programmes, les parcours m@gistère, les différents MOOCs etc ; c’est assez foisonnant« , explique t-il.

    Il évoque également les TRAAMS EMI (Travaux Académiques Mutualisés) qui sont co-pilotés par la DNE et l’inspection générale.

    L’EMI occupe une place importante également dans la réforme du collège et la mise en place des EPI.

    De nombreuses activités et scénari ont été mis en place par la DNE et autres partenaires tel que Canopé, mais aussi dans les académies et à disposition des enseignants.

    Plus d’infos : voir aussi  « L’EMI et la stratégie du numérique » sur eduscol

    Les travaux menés en académie sur les programmes et l’EMI

    Source visuel home page : tiré de l’infographie réalisée par l’Académie d’aix-Marseille

  • Et si jouer en primaire n’était plus tabou ?

    Et si jouer en primaire n’était plus tabou ?

    Lors du salon Educatice à Paris en mars dernier, Christèle Ramaugé, professeur des écoles en CM2, maître formatrice à l’école Jean Jaurès du Pré St Gervais en Seine-Saint-Denis dans l’académie de Créteil a fait une démonstration de comment elle utilise les jeux numériques en classe.

    Le contexte

    « Mon usage du numérique en classe est plutôt parti de la mairie qui nous a proposé du matériel et un peu comme une aventurière, j’ai décidé d’essayer et j’ai fait des recherches sur ce qu’on peut faire avec le numérique en classe et comment on s’y prend », explique Christèle Ramaugé.

    L’école Jean Jaurès bénéficie d’un très bon équipement depuis plusieurs années à savoir un Tableau Numérique dans chaque classe, des ordinateurs de fond de classe dont un relié à internet et une salle informatique, « ce qui me laisse la possibilité d’utiliser le numérique comme je l’entends », souligne Christèle Ramaugé.

    Elle avoue avoir tout de suite changé sa manière de voir les choses et sa façon d’enseigner. Quand elle a commencé à tester des jeux numériques en classe, c’est par tâtonnement qu’elle s’est lancée dans l’aventure.

    Des jeux numériques intégrés au programme scolaire et au socle commun des connaissances.

    « Quand on commence, on est un peu timide ; on a même un peu peur car on a toujours le côté très traditionnel de la maîtresse qui nous dit qu’il faut bien faire, être dans les programmes, très cadré etc ».

    Et finalement on se rend compte que les élèves, au lieu de bavarder ou faire autre chose, ils sont là, entrain de travailler, face à leur écran.

    Le numérique ne l’a pas du tout fait sortir du « cadre » et lui a permis de travailler sur la mémoire et la faculté d’invention, sur le raisonnement et l’imagination, sur l’attention et l’apprentissage de l’autonomie, sur le respect des règles et l’esprit d’initiative et enfin sur l’acquisition du socle commun de connaissances et de compétences.

    Elle fait remarquer d’ailleurs à propos de l’esprit d’initiative « qu’un élève qui ne prend aucune initiative n’avancera pas dans son jeu ».

    D’après elle, avec le jeu numérique, « ça avance tout seul et l’enseignant est juste là pour guider ».

    Mise en pratique avec « Mission Zigomar » et « Brain Pop »

    Dans sa démonstration, elle présente notamment le jeu « Mission Zigomar » qui met en lumière les collections de la ville de Paris sous forme de musée et, parmi d’autres avantages que Christèle souligne dans la vidéo ci-contre, développe notamment la curiosité des enfants.
    Elle prend l’exemple d’une fois où les élèves sont allés au musée et ont découvert des œuvres qu’ils avaient déjà vues dans le jeu et « ils sont contents de voir les choses pour de vrai », souligne Christèle Ramaugé.

    Sur un autre exemple comme l’utilisation du jeu Brain Pop, où les élèves sont fans des personnages et trépignent à l’idée de les retrouver avant même de savoir sur quoi va porter la séance, Christèle Ramaugé avoue avoir réussi à « enrôler » ses élèves.

    J’arrive plus facilement à les mettre rapidement au travail en projetant l’interface de Brain Pop au TNI plutôt que mon ancien tableau vert et noir qui n’était pas forcément très accueillant.

    Ils jouent mais travaillent-ils vraiment ?

    Souvent, on pose la question à Christèle : « est ce qu’ils apprennent vraiment quelque chose tes élèves en jouant » ?

    Elle précise bien que le jeu est un support de cours et comme toute leçon, chaque élève va en ressortir un pourcentage d’apprentissage différent. Soit elle utilise le jeu en guise d’amorce pour d’autres séquences derrière, soit elle le met à profit sur une séance de réinvestissement de connaissances.

    « C’est comme une leçon apprise en classe, je ne me dis pas : « j’ai fait la leçon, c’est bon, ils savent ». Avec le jeu numérique, c’est pareil ; on fait le jeu mais ce n’est pas suffisant pour qu’ils aient acquis des connaissances à 100% ».

    Et l’enseignant dans tout ça, doit-il plus travailler ?

    En termes d’investissement en temps pour l’enseignant, Christèle Ramaugé ne cache pas que c’est très chronophage ; c’est aussi pour cela qu’elle encourage les enseignants motivés comme elle « à débroussailler le terrain », « ce qui va permettre aux enseignants un peu plus frileux ou qui ont moins de temps » de recevoir quelques conseils sur l’utilisation de tel ou tel jeu.

    Maintenant, elle reconnaît que de nombreux outils existent et qui apportent une aide précieuse et font gagner du temps ; elle cite notamment le portail Eduthèque ou encore le nouveau portail « Apprendre avec le jeu numérique ».

    Christèle Ramaugé ne détourne pas beaucoup de jeux à des fins éducatives ; d’abord, parce que c’est aussi très chronophage et aussi parce qu’elle se sert principalement de jeux ludo-éducatifs « qui sont dans un esprit d’apprentissage ».

    « Surtout qu’avant, c’était déjà tabou de dire : « il joue en classe, il ne travaille pas« . Aujourd’hui, on joue et on travaille« .

    Alors peut-être que maintenant, on va plus se permettre et oser avoir recours à des jeux qui ne sont pas issus du ludo-éducatif pour les détourner et les utiliser en classe, conclut-elle.

     

  • Créer, produire et communiquer tout simplement avec le numérique en maternelle

    Créer, produire et communiquer tout simplement avec le numérique en maternelle

    Véronique est passée par plusieurs étapes (de une seule tablette au départ) avant d’avoir sa tablette personnelle dans son cartable et cinq tablettes iPad2 et iPad3 à disposition pour sa classe.

    Actuellement à l’école rue d’Orsel du 18ème arrondissement de Paris, elle enseigne aux petites sections de maternelle, de manière tout à fait normale, comme elle s’en défend, sauf qu’elle y ajoute la petite « touche » numérique qui rend tellement de services, notamment quand il s’agit de partager des moments sympathiques avec les parents pour leur rendre compte des inventions et progrès de leurs jeunes bambins.
    Et dieu sait qu’on a besoin de savoir quand on est parent d’un enfant de 3 ans !

    Il peut y avoir des jours où les tablettes restent dans le placard car on en a pas besoin ; et si on les sort, ce sera vraiment au fils des besoins de la classe.

    Certains enfants n’ont pas trois ans à leur entrée en septembre donc apprendre les règles de la classe, apprendre à se séparer de sa famille sont des exemples de priorités données en septembre, comme l’explique Véronique Favre.
    « Et puis, petit à petit, d’une application avec une grenouille, d’une application avec des lettres, d’une application en numération, etc », les élèves vont se faire à la présence de la tablette en classe de manière naturelle.

    IMG_2548L’idée aussi, c’est de pouvoir laisser des traces, comme exemple les faire s’enregistrer pour raconter une histoire sur un dessin animé qu’ils ont vu au cinéma ou encore les filmer lors d’une séance de motricité pour qu’ils se voient.
    « Toute occasion est bonne », souligne Véronique.

    Et le gros avantage des tablettes est qu’elles sont mobiles car « à contrario d’un ordinateur qui serait posé sur une table où les enfants s’y relaient, la tablette, elle, se déplace ; selon le lieu où elle va être, ce sont les enfants qui s’organisent autour ».

    Véronique a également créé un blog qu’elle alimente elle-même et sur lequel elle ne fait pas participer les enfants ; d’une part, parce qu’elle n’a pas d’ordinateur et de connexion internet dans sa classe et d’autre part parce que les enfants sont un peu petits.

    Le blog, c’est vraiment pour montrer aux parents ce qu’on fait avec le numérique, pour le désacraliser en quelque sorte et de montrer que les enfants de 08h20 à 16h30 ne sont pas le nez sur un écran, précise t-elle.

    Véronique est une passionnée du numérique et des arts visuels ; elle prend donc plaisir à intégrer le numérique dans son enseignement. « C’est passionnant car les développeurs avec qui je peux être en contact sortent toujours des applications et c’est à nous de faire le tri ».

    « J’aime le numérique en classe car cela me permet de faire des choses que je ne faisais pas avant ; j’aurais pu m’en lasser ? Ben non, pas encore, car je découvre encore des choses », conclut-elle.

     

    Source photos : Véronique Favre

  • « Pour un usage responsable d’internet » : un concours du ministère sur les traces des trophées EDUCNUM de la CNIL

    « Pour un usage responsable d’internet » : un concours du ministère sur les traces des trophées EDUCNUM de la CNIL

    « Dès mai 2013, nous avons réuni une cinquantaine d’acteurs, appelé le « collectif EDUCNUM », issus du monde de l’éducation, de la recherche, des fédérations professionnelles, des fondations d’entreprises et des institutions publiques pour engager des actions autour de la notion du citoyen responsable autour du numérique », explique Carina Chatain, responsable Education Numérique à la CNIL, qui a présenté le projet à l’occasion d’Educatice sur le stand du Ministère.

    Parmi ces actions, on retrouve les trophées EDUCNUM. Le but de ce concours était de faire concourir des jeunes de 18 à 25 ans qui doivent proposer des projets sur n’importe quel type de support, numérique ou non d’ailleurs, qui visent à sensibiliser les plus jeunes aux bons usages du web.

    En 2015, le grand prix du jury a été attribué à des étudiants de l’université Pantéon-Sorbonne représenté par Pacôme Henri, pour un web documentaire destiné aux enfants de 6 à 10 ans qui raconte les aventures d’une pomme de terre sur internet ;

    une manière d’aborder les sujets liés à la protection de la vie privée sur le web de manière ludique et pédagogique pour intéresser ces jeunes publics.

    La fondation AXA Prévention octroie une somme de 10 000 euros au(x) lauréat(s) ; une somme qui servira à donner vie au(x) projet(s) qui, au départ, est (sont) un(des) prototype(s).

    « Nous avons eu la chance d’être récompensés par ce prix et on s’est dit l’aventure peut continuer et on peut vraiment faire cette série », souligne Pacôme Henri lors de sa présentation à Educatice.

    De plus, les trophées et la réalisation d’un web documentaire en technique « Stop Motion » par Pacôme et son équipe ont donné des idées au ministère et à la DNE, comme l’explique Patrick Arceluz, IEN et responsable du développement des usages pour le premier degré à la DNE.

    Dans le cadre d’un partenariat établi avec la CNIL, nous avons réfléchi ensemble à la continuité que nous pouvions donner à ces trophées EDUCNUM.

    La DNE et le service de Patrick Arceluz ont donc mis en place, dès janvier 2016, un concours à destination des écoles élémentaires, cycle 2 et cycle 3.
    L’idée de ce concours est de cibler les usages responsables d’internet autour de trois axes :
    . les traces laissées sur internet,
    . la protection des données personnelles
    . le respect des droits d’autrui.

    Le concours est une réussite puisque 50 écoles et toutes les académies ont répondu présentes et doivent réaliser d’ici la mi-avril, une vidéo de trois minutes en utilisant les techniques « Stop Motion ».

    « Par ce concours, nous nous inscrivons dans la continuité des trophées EDUCNUM mais en mettant encore plus l’accent sur l’aspect pédagogique qui vient s’articuler autour de ce concours et qui est important à nos yeux », conclut Patrick Arceluz.

    Plus d’infos :
    http://eduscol.education.fr/cid97188/concours-pour-un-usage-responsable-d-internet.html
    http://men.tice.crdp-creteil.fr/concours/

  • France Médias Monde affirme son rôle dans l’éducation aux médias et signe une convention avec le Ministère de l’Education nationale et le réseau Canopé

    France Médias Monde affirme son rôle dans l’éducation aux médias et signe une convention avec le Ministère de l’Education nationale et le réseau Canopé

    Signature en présence de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Education nationale,Marie-Christine Saragosse, PDG de France Médias Monde et Jean-Marc Merriaux, directeur général de Canopé/Clémi.
    Signature en présence de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education nationale,Marie-Christine Saragosse, PDG de France Médias Monde et Jean-Marc Merriaux, directeur général de Canopé/Clémi.

    Cet accord vise à mettre à profit l’expertise internationale des rédactions du groupe et la diversité des journalistes originaires de 66 nationalités et souvent porteurs d’une double culture, pour aider les élèves en France et dans le réseau des établissements français de l’étranger, à mieux décrypter les médias audiovisuels, aiguiser leur esprit critique et se forger une opinion.
    La distinction entre information et propagande, la réflexion sur la liberté de la presse et les liens qu’elle entretient avec la démocratie et la laïcité, ou encore la valorisation de la diversité, sont autant de problématiques que les équipes de RFI, France 24 et Monte Carlo Doualiya traitent quotidiennement, en 15 langues, et pour lesquelles elles sont pleinement mobilisées.

    C’est dans ce contexte que le Ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, France Médias Monde et Canopé ont décidé de formaliser leur partenariat.

    A travers ce partenariat, France Médias Monde s’engage à :

    – faire office d’ambassadeur de la réserve citoyenne en mobilisant ses journalistes volontaires dans les établissements scolaires lorsque cela est nécessaire ;
    – participer de manière active à la Semaine de la presse et des médias dans l’école, par l’implication significative de journalistes auprès des élèves (en 2016, comme en 2015, une trentaine de journalistes et correspondants sont mobilisés) ;
    – étudier les possibilités de parrainage de classes avec délocalisations d’émissions dans les établissements scolaires et des invitations d’élèves dans les émissions ;
    –  mettre à disposition du Clémi des outils audiovisuels pédagogiques pour expliquer dans les classes la différence entre information et manipulation sur Internet, à l’image du programme court « Info ou Intox » réalisé par France 24 depuis 2015 ;
    – prolonger sa démarche dans les lycées français à l’étranger avec les correspondants du groupe sur les cinq continents, mais aussi dans les langues vivantes étrangères pratiquées par le groupe ;
    –  s’appuyer sur le site RFI Savoirs pour mettre  des contenus à disposition des enseignants, en supports de cours dispensés dans les grandes disciplines

     

    Crédit photo : Copyright : PR Worms – FMM

  • #HackÉduc, le hackathon de l’#ÉcoleNumérique

    #HackÉduc, le hackathon de l’#ÉcoleNumérique

    Le ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche a organisé avec ses opérateurs (Canopé, Cned, Onisep) durant le salon Educatec-Educatice, #HackÉduc, le Hackathon de l’Éducation nationale pour la création de ressources numériques par les enseignants, pour les enseignants. A retrouver en vidéo…une réalisation Ludomag.

    Plus d’infos :
    Tous les résultats du Hackathon et l’interview de Jérôme Bonaldi, animateur du #HackÉduc ici

  • Apprendre avec le jeu numérique, portail thématique lancé lors d’Educatice

    Apprendre avec le jeu numérique, portail thématique lancé lors d’Educatice

    Cadre général du portail

    A travers un sujet thématique le portail « Apprendre avec le jeu numérique » vise les objectifs suivants :

    • Encourager et soutenir la culture professionnelle par la communication de références issues de la recherche et traitant de l’exploitation du jeu numérique dans l’enseignement.
    • Accompagner les professionnels de l’éducation dans l’identification et la mise en oeuvre de jeux numériques favorables aux apprentissages, par la mutualisation de pistes pédagogiques.

    Plus d’infos :
    voir la suite de l’article sur eduscol.education.fr

  • Prim à bord, le portail numérique pour le premier degré

    Prim à bord, le portail numérique pour le premier degré

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    Prim à bord, c’est quoi ?

    Le portail « Prim à bord » est un espace consacré au numérique et à destination de tous les enseignants du premier degré.
    Il rassemble tous les sites et services numériques existants au national comme en académie.

    Prim à bord est organisé afin d’apporter une aide concrète et une plus grande visibilité de l’offre numérique. Il permet aux enseignants de s’informer autour de l’actualité numérique et de préparer la classe.
    Il propose également un accès direct à tous les services métiers.

    Prim à bord, comment ça marche ?

    Le portail est en accès libre ; il est possible de personnaliser son profil utilisateur en déterminant son académie et son cycle afin de présélectionner ses recherches.

    Organisation du portail :

    Prim à bord est architecturé par onglets. Trois entrées sont proposées : un onglet « au national », un onglet « mon académie » et un onglet « en académies »:

    • La rubrique « nationale » donne accès à une actualité, aux publications institutionnelles, à un que « sais-je ? » sur des questions d’infrastructure et à un ensemble de sites et services numériques proposé par le ministère.
    • La rubrique « en académie » valorise certains sites et services académiques sélectionnés par des experts pédagogiques.
    • La rubrique « mon académie » renvoie sur une page académique du portail. Elle permet d’accéder à un certain nombre de liens académiques et à tous les services métiers dédiés aux professionnels du premier degré.

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    La boîte à outils pour se former au portail Prim à bord

    Plus d’infos :
    Accéder au portail : eduscol.education.fr/primabord

    source : eduscol