Étiquette : Apprentissage des langues

  • 5 conseils pour motiver votre enfant à apprendre l’anglais dés aujourd’hui

    5 conseils pour motiver votre enfant à apprendre l’anglais dés aujourd’hui

    Dans un contexte d’internationalisation du monde du travail, avoir une formation solide et complète ainsi que parler des langues étrangères est devenu primordial. Aujourd’hui, pour occuper un poste de cadre au sein d’une entreprise française, plus d’un recruteur sur deux exigent que le candidat ait au minimum une maîtrise moyenne de l’anglais (niveau B2).

    De nombreuses études montrent que cette tendance devrait s’accentuer dans les années à venir. Si pour les parents parler cette langue était perçu comme un « plus », pour leurs enfants, cela sera un « must ».

    Kids&Us, académie spécialisée dans l’apprentissage de l’anglais pour les enfants de un à dix-huit ans, révèle cinq astuces malignes pour inciter les enfants à apprendre la langue de Shakespeare dès le plus jeune âge.

    PARAMÉTRER TOUS LES APPAREILS ÉLECTRONIQUES

    Aujourd’hui, les nouvelles technologies sont accessibles à un nombre grandissant de Français. Nous les utilisons tous les jours. Les enfants aussi. Alors pourquoi ne pas en profiter ?
    Afin de favoriser l’apprentissage de l’anglais des jeunes, il suffit d’un geste simple et rapide : paramétrer les appareils électroniques (Smartphones, tablettes, ordinateurs, etc.) en anglais. Ainsi, ils prendront l’habitude de lire et suivre des instructions basiques dans cette langue.

    TÉLÉCHARGER DES APPLICATIONS LUDIQUES POUR APPRENDRE L’ANGLAIS

    Il existe un grand nombre d’applications pour Smartphone spécialisées dans l’enseignement de l’anglais et adaptées aux niveaux de chacun. Voilà une occasion parfaite pour permettre aux enfants de jouer avec un téléphone tout en apprenant.
    Kids&Us vous en conseille quelques-unes comme T&T Homed In, iDod ou d’autres applications avec des personnages comme Betty the Black Sheep ou Gina Ginger Sleep Fairy, disponibles sur Google Play ou App Store.

    REGARDER DES VIDÉOS ADAPTÉES EN V.O

    Youtube est également un outil utile pour introduire l’anglais dans la vie de tous les jours des enfants. En effet, l’avantage principal de ce site est le vaste choix de vidéos, ce qui permet à chacun de regarder ce qui lui plaît, à tout moment de la journée, depuis n’importe quel dispositif mobile, et le tout en version originale.

    Consommer des contenus audiovisuels intéressants, courts et adaptés est un élément clé dans l’apprentissage naturel d’une langue étrangère.
    Kids&Us propose sa chaîne Youtube avec les épisodes de Betty Sheep, idéal pour les enfants entre 2 et 4 ans, et Telekids pour les 4 à 10 ans, pour que les enfants puissent profiter de contenus en anglais sur Youtube tout en s’amusant.

    PARTICIPER À DES STAGES D’ÉTÉ EN ANGLAIS

    Pour familiariser les enfants avec l’anglais, il est important d’associer l’apprentissage de cette langue à différentes activités et ludiques. Apprendre en s’amusant, rien de plus efficace ! L’adaptation en anglais des activités extrascolaires est une bonne solution pour motiver les enfants.
    De cette manière, ils retiendront plus vite les informations et utiliseront des expressions anglophones sans même s’en rendre compte.

    Dans ce sens, Kids&Us propose des stages d’été d’une semaine appelés « Fun Weeks ». Au programme : théâtre, chansons, travaux manuels et autres activités ludiques, tout en anglais.

    LIRE EN ANGLAIS

    La lecture est une activité primordiale pendant l’éducation. Elle permet de développer le sens de l’imagination et facilite l’acquisition du langage. Lire des livres en anglais est donc un moyen simple et efficace pour que l’enfant assimile la grammaire et engrange du vocabulaire anglais.

    Kids&Us met à votre disposition sa collection « Read me a Story », une sélection d’histoires adaptées aux enfants non anglophones, mais sans tomber dans le piège de la simplification excessive du langage. Cette collection « Read me a Story » est disponible dans les centres Kids&Us.

    Enfin, Kids&Us propose aux enfants une méthode très amusante pour qu’ils puissent apprendre à prononcer correctement : le Talking pen. Il s’agit d’un stylo digital avec lequel les enfants apprennent la prononciation anglaise de manière agréable et divertissante.
    Il suffit de placer le Talking Pen sur les étoiles qui apparaissent dans les histoires pendant les cours Kids&Us alors le stylo lit le texte et les personnages prennent vie.

    À propos de Kids&Us et la méthode Natural English
     
    Kids&Us utilise une méthode d’apprentissage basée sur le processus naturel d’acquisition de la langue maternelle, un processus infaillible qui se déroule dans un ordre particulier, naturel et spontané.
     
    Les bébés viennent au monde dotés d’un cerveau où la plupart des circuits neuronaux sont totipotents, y compris ceux de la langue. Pour connecter et activer ce réseau puissant, il faut l’entourer de stimuli importants qui maximisent leurs capacités innées à apprendre. Kids&Us veut exploiter et optimiser l’ensemble de ces mécanismes s’activant dans les premières années de la vie pour qu’ils contribuent dans l’apprentissage d’une deuxième ou troisième langue.
     
    Pour Kids&Us, l’anglais devrait faire partie de la vie quotidienne de l’enfant. Pour cette raison, cette académie de langues favorise l’apprentissage au-delà de la salle de classe, à travers de contes, jeux en famille, applications mobiles en anglais, ateliers de cuisine, etc.
     

  • Salon Expolangues – Osez le monde !

    Salon Expolangues – Osez le monde !

    expolanguesLe Salon Expolangues – osez le monde ! encourage l’apprentissage des langues et le dialogue interculturel en permettant aux professionnels et au grand public de découvrir des cultures et des pays à travers leur patrimoine linguistique.

    Organisé par le Groupe Express-Roularta, il est devenu LE rendez-vous de tous ceux qui souhaitent échanger, débattre, s’informer et rencontrer les acteurs du marché linguistique et de la mobilité internationale.

    Focus et temps fort du salon

    Le Village « Traduire l’Europe » : Un village de la Commission Européenne est entièrement consacré aux métiers de la traduction et aux programmes de mobilité européens.
    À cette occasion, divers acteurs du monde de la traduction sont présents afin d’éclairer les visiteurs sur le métier de traducteur et sur les enjeux du multilinguisme unique de l’Union européenne : 24 langues officielles pour 552 combinaisons linguistiques possibles… ! Institutions européennes, traducteurs de tous horizons, formateurs et associations répondent aux questions du public sur leurs stands ainsi qu’au gré d’un riche programme d’ateliers et d’animations.

    Le Pavillon Canada : « Etudier au Canada » : Là où l’apprentissage d’une langue est une seconde nature.
    Le Canada est un pays bilingue, considéré comme un chef de file mondial pour la formation linguistique. L’enseignement du français et de l’anglais comme première et seconde langues est au cœur même de l’éducation dans ce pays. Au cours des 10 dernières années, de plus en plus d’étudiants étrangers ont choisi de poursuivre leur éducation au Canada. En 2013, ils étaient près de 300 000, soit une augmentation de 84% par rapport à 2003. Pourquoi une telle popularité? Une qualité de vie incomparable, des programmes d’études de haut niveau, l’ouverture des Canadiens à l’immigration, ainsi que, bien évidemment, la renommée de ce pays dans le domaine de la pédagogie des langues secondes.

    Le Pavillon Allemagne : Le CIDAL (Ambassade d’Allemagne), le Goethe Institut, l’OFAJ, l’Université Franco-Allemande, Alleo, Deutsch Bahn, Deutsch ­­­Mobil, DAAD et Paris Berlin : les exposants de ce pavillon se sont regroupés pour apporter toutes informations aux visiteurs en quête d’étude, de formation, de travail, d’expatriation, de voyages ou d’échanges culturels avec l’Allemagne…

    Le Pavillon Espagne : L’Institut Cervantes, des écoles de langues ainsi que les offices de tourisme se rassemblent pour représenter l’Espagne.

    Les universités étrangères répondent aux questions des visiteurs sur les modalités d’études à l’étranger (Royaume-Uni, Allemagne, Suisse…).

    Erasmus + : programme de l’Union européenne pour l’éducation, la formation, la jeunesse et le sport, 2014-2020.
    · Un programme plus efficace pour l’emploi des jeunes.
    · Un programme plus simple dans son utilisation, qui privilégie les projets de territoire.
    · Un programme plus innovant qui met en avant la coopération entre acteurs éducatifs et économiques.
    · Un programme plus ouvert sur le monde, en particulier vers les pays du voisinage européen

    L’OTAN est présent sur le salon pour recruter des traducteurs. Stand M9
    Le service Traduction de l’OTAN intervient également lors d’une conférence pour présenter leur offre de postes, jeudi à 11h30 au Workshop : La traduction au sein d’une organisation internationale : le cas de l’OTAN.

    Les sites dédiés à l’expatriation : www.expat.com/fr et www.pvtistes.net sont présents pour accom­­­pagner les futurs expatriés. Ils permettent de tout savoir sur les programmes Vacances-Travail et répondent aux questions en donnant des informations concrètes sur les problématiques essentielles d’une expatriation : formalités, visas, emploi, logement, santé, éducation, etc. Stands M3 & M4

    Les ambassades du Canada et d’Allemagne, entre autres, sont également présentes afin de guider les futurs expatriés et répondre à leurs questions en matière de travail, éducation (écoles, universités), documents, formalités de séjour, assurances, etc…

    Le Pavillon mobilité de la Région Ile-de-France rassemble des organismes délivrant des bourses pour aider les jeunes à partir. La Région accompagne les jeunes demandeurs d’emploi dans leur projet de mobilité internationale. Stand M7

    Les conférences thématiques à ne pas manquer :
    Des conférences seront également ouvertes pour répondre plus spécifiquement aux questions et besoins des visiteurs.
    · Conférence « L’expatriation est-elle l’une des composantes de la marque « employeur » ? » : le jeudi 5 février à 10h en Salle Panama. Table ronde animée par Dominique Pécout, consultante en mobilité internationale.
    · Conférence « Atouts de la langue française à l’étranger » : le samedi 7 février à 10h15 en Salle Panama. Animée par Alain Rey et Baptiste Liger et organisée par le Robert en partenariat avec le magazine l’Express.

    Les cours de langues :
    Des cours de Letton, Russe, Arabe, Japonais, Chinois, langues d’Asie du Sud Himalaya, Indomalais, Arménien, Coréen, Portugais du Brésil, Anglais, Gallois, Italien ou encore Français langue étrangère seront donnés durant les 3 jours du salon.

    Détail et planning des conférences, animations et cours sur www.expolangues.fr

  • Le labo multimédia : une vraie solution pour l’enseignement des langues

    Le labo multimédia : une vraie solution pour l’enseignement des langues

    Notre enseignante convaincue nous explique le choix de KallyLang : «nous avons établi un tableau comparatif sur les fonctionnalités proposées par chaque labo de langues, en s’interrogeant sérieusement sur ce que nous voulions en faire et en demandant des présentations de chaume des solutions (…)».

    C’est finalement la solution développée par la société Kallysta sur plateforme Apple qui a été retenue car c’est celle qui nous est apparue la plus ergonomique tout en remplissant les fonctionnalités attendues à  savoir la compréhension orale, l’expression orale et le « pairing » (mise en relation de deux élèves pour qu’ils puissent produire ensemble un exercice oral) sans pour autant mettre de côté l’écrit ou la vidéo… (possibilités multiples de combinaisons d’exercices qui sont aussi offertes par KallyLang).

    Le « pairing », qu’elle utilise systématiquement (entre deux élèves et même à trois ou quatre!)… , est une fonctionnalité très importante comme le précise Lucie Fréchard.
    En effet, «investir dans un laboratoire de langues qui ne permettrait pas de faire parler les élèves nous paraissait contradictoire et inconcevable (…)».

    Au lycée, chaque euro est précieux et doit être dépensé de manière réfléchie. C’est donc avec des arguments concrets, après cinq années de réflexion, que le corps enseignant et la Direction ont présenté cette demande d’équipement au Rectorat et à la Région.

    Outre le facteur coût qui est toujours en point de mire, il a fallu passer la « barrière » mentale de la « plateforme » dans l’enseignement. En effet,  le « Mac » n’est pas le type de matériel qui est fréquemment utilisé et les « financeurs » (à savoir la Région) avaient besoin, à juste titre, de valider le bien fondé de cette démarche.

    La salle, refaite en totalité, représentait un investissement conséquent et le résultat est à la hauteur des espérances, tant sur le mobilier de qualité choisi que sur l’équipement réseau et les ordinateurs.

    La motivation des élèves est sans commune mesure avec un autre labo de langues ou une manière traditionnelle d’enseigner. A la découverte du labo de langues, les élèves étaient stupéfaits ; leur première réaction fut : «wouaouh c’est super, c’est beau», «et ça marche», ajoutera Lucie Fréchard.

    Aujourd’hui, ce sont 10 enseignants de langue sur 18 qui utilisent KallyLang, alors que le labo n’est installé que depuis la rentrée de septembre. Apparemment, même les enseignants un peu « hermétiques » aux nouvelles technologies se sont lancés dans l’aventure avec succès.

    Une adoption rapide et en peu de temps par la majorité des enseignants de langues de l’établissement

    Selon Lucie Fréchard, l’utilisation et  le déroulement d’une séance de travail en labo est si simple qu’il n’y a pas à hésiter. Elle se souvient de son ancien laboratoire à cassettes où ses élèves devaient enregistrer leur production en fichier « .wav » avant de l’envoyer à l’enseignant, «autant vous dire que je n’en récupérais pas beaucoup sur une classe», souligne t-elle.

    Le travail est donné aux élèves en début de cours et chacun peut ensuite le réaliser tranquillement de manière autonome. L’enseignant surveille « à distance » ; il peut tout de suite voir et écouter sur son ordinateur de contrôle les élèves qui ont des problèmes, sans avoir besoin de se déplacer dans la classe.

    «Avant on pouvait avoir dix mains qui se levaient en même temps et passer une heure à régler les problèmes, sans pouvoir répondre à tous les élèves correctement et surtout sans que les élèves aient le temps de faire leur enregistrement».

    L’individualisation du travail est donc un atout indéniable. Non seulement cela permet aux élèves de bien s’entrainer en réalisant le travail à leur rythme, mais le professeur peut également individualiser ses corrections et ses conseils à l’élève pour améliorer sa production.

    Le labo de langues, motivant pour l’enseignant mais aussi pour l’élève

    Des élèves motivés et disciplinés pour apprendre les langues, le « rêve » pour un enseignant ?
    Le fait d’avoir des « Mac » ne leur permet pas d’avancer plus vite, mais la qualité du son et l’isolement procuré par les casques adaptés, associé à l’ergonomie du logiciel KallyLang, les met plus facilement au travail.  «Les élèves ont envie de bien faire», souligne notre enseignante, ce qui n’était pas forcément le cas avant.

    Et des enseignants qui aiment travailler avec ce nouvel outil, au point d’assister à  un « surbooking » de la salle du labo…en à peine quelques semaines…Objectif atteint!

    Le labo multimedia, une vraie solution pour aborder l’enseignement numérique ?

    A priori, il semble être une solution pour apprendre les langues, mais comme les élèves de la classe de 1ère européenne l’ont suggéré, pourquoi ne pas utiliser ce labo multimédia dans d’autres matières comme en français ou en histoire-géographie pour s’entraîner aux oraux du bac par exemple ?

    De belles perspectives encore pour ce type de technologie!
    Rendez-vous dans un an pour voir les résultats…

  • Boostez votre anglais avec l’app iPhone « my4n-news Learner »

    Boostez votre anglais avec l’app iPhone « my4n-news Learner »

    L’actualité internationale, un intérêt toujours renouvelé

    Le service my4n-news Learner propose de travailler à partir d’un véritable service d’information en anglais alimenté en permanence par des dépêches et vidéos news du monde entier.
    Articles et vidéos authentiques sont mis à jour en temps réel en fonction de la situation internationale, maintenant ainsi l’intérêt et la motivation de l’apprenant.

    Terrain d’entrainement idéal pour enrichir son vocabulaire, la familiarité des sujets abordés et du contexte facilite la compréhension.

    Le Learner’s Kit simple et efficace : le dictionnaire intégré permet d’obtenir la définition en anglais du mot incompris en un seul clic sur l’écran. L’utilisateur peut alors constituer sa propre liste de vocabulaire.

    Une offre unique de vidéos sous-titrées pour la compréhension orale

    my4n-news Learner donne accès à une large offre de vidéos news sous-titrées en anglais, commentées par des journalistes aux accents et débits de parole différents, sur des sujets très variés. Exercée régulièrement, la compréhension orale de l’apprenant progresse rapidement en associant ainsi l’oral à l’écrit.

    Le Learner’s Kit simple et efficace : des vidéos news sous-titrées (VOST) pour améliorer la compréhension orale.

    L’iPhone, idéal pour une immersion « à volonté » en m-learning

    70% des apprentissages se font de manière informelle nous rappellent les chercheurs en pédagogie. Le service mobile my4n-news Learner prend le relais de l’enseignement en dehors des salles de cours et des bureaux, en proposant une immersion «à volonté», sous forme de contenus texte, audio et vidéo de quelques minutes, à découvrir entre deux rendez-vous ou dans les transports.

    C’est au travers d’une pratique régulière de «grains pédagogiques» que le m-learning entend s’inviter dans nos vies.

    Le Learner’s Kit simple et efficace :
    •    un quiz de compréhension valide la compréhension écrite ou orale d’un document
    •    un espace personnel de révision permet de sauvegarder liste de mots, scores et favoris

  • Le soutien scolaire par abonnement sur Lingueo.fr

    Il n’est pas évident de devenir bilingue dans une classe de 30 personnes !

    Les abonnements annuels de soutien scolaire Lingueo permettent de pallier au manque de pratique des langues à l’oral. Le professeur particulier mettra rapidement à l’aise l’enfant, même le plus timide, et l’encouragera à pratiquer la langue pour que son usage devienne naturel.

    Cet abonnement permet d’offrir au collégien tout le soutien nécessaire pour progresser et mieux préparer son entrée au lycée. Il vise à doter le collégien d’un outil de communication à la fois à l’oral et à l’écrit.

    Cette formation a pour objectif de permettre à l’élève decomprendre une intervention brève si elle est claire et accessible, d’interagir de façon simple avec un débit adapté, decomprendre des textes courts et facile à comprendre et d’écrire des énoncés simples et brefs.

    Afin de motiver l’étudiant et le changer des habitudes trop scolaires qui peuvent devenir lassantes, le professeur l’implique dans des situations de communication motivantes grâce à des exercices oraux et écrit de compréhension, d’expression et de grammaire à travers des enregistrements audio et vidéo, des nouvelles, romans, textes économiques, musique ou images…

    Cette formule a pour but de rendre l’élève capable de dialoguer avec différents intervenants, de comprendre  des messages oraux (débats, exposés, radio, films…), de présenter, reformuler, expliquer et défendre son opinion de manière construite à l’écrit ou à l’oral.

    Les points forts Lingueo.fr et de la visioconférence dans le soutien scolaire :

    • Des professeurs natifs et expérimentés sélectionnés par Lingueo
      • Le professeur particulier propose à chaque élève, à l’issue du premier cours destiné au bilan des compétences, une pédagogie sur-mesure adaptée à ses propres besoins et lacunes. Les cours se font en parfaite cohérence avec le programme scolaire.
        • Opter pour des cours de soutien scolaire en visioconférence sur Lingueo.fr permet aux parents soucieux de la réussite scolaire de leur enfant de bénéficier de cours particuliers de langues avec un professeur particulier natif et expérimenté, parlant également français pour mettre à l’aise les collégiens débutants.
          • Une progression suivie en direct par les parents et un dialogue de visu avec l’enseignant.

    «Le suivi en temps réel et le dialogue avec le professeur rassurent les parents et témoignent d’un réel professionnalisme et d’une réelle transparence dans l’évolution de la formation de l’étudiant», poursuit Guillaume le Dieu de Ville.

    Pas de contrainte de temps ni de lieu

    Prendre des cours particuliers de soutien scolaire en visioconférence permet de passer outre les temps et les coûts de déplacement pour se rendre chez le professeur ou dans un centre de formation.

    L’élève ne perd pas de temps pendant et après sa journée au collège ou au lycée et ses diverses activités extrascolaires… et peut prendre à tout moment son cours : pause déjeuner ou entre deux cours, à la maison ou sur son lieu de vacances… et cela toute la semaine, dimanche inclus, en journée comme en soirée.

    Un simple ordinateur, une connexion Internet et une webcam suffissent à l’élève pour travailler avec son professeur particulier. Lingueo s’adapte à l’emploi du temps de l’enfant pour rendre cette formation encore plus motivante.

    A propos de Lingueo
    Créée en 2008 par Guillaume Le Dieu de Ville, Arnaud Portanelli, et Johann Querne, Lingueo est un organisme de formation français qui propose sur  Lingueo.fr des cours particuliers en visioconférence de plus de 10 langues avec des professeurs natifs du monde entier.
    Comptant plus de 10 000 utilisateurs, Lingueo à reçu le Label européen des langues, prix récompensant les projets les plus innovants favorisant l’apprentissage des langues étrangères décerné par la Commission Européenne.

  • ITOP éducation rachète Educ-Horus

    ITOP éducation rachète Educ-Horus

    ITOP

    En complément de l’ensemble des fonctions collaboratives de l’ENT (cahier de textes, messagerie, forums, disques partagés, annuaire…), la brique Educ-Horus vient apporter une gestion complète de la vie scolaire, entièrement Web : absences (gestion des absences, relevés, envoi de courriers / mails / sms…), notes (notes, bulletins, module conseil de classe, appréciations…), discipline (sanctions, punitions).

    Educ-Horus intègre encore un module performant de gestion des stages et un autre pour le suivi du socle commun. Il s’agit d’un logiciel web éprouvé, avec plus de huit ans d’existence et plus de 400 000 utilisateurs en ligne. C’est également le seul logiciel du marché à s’adresser spécifiquement aux établissements agricoles (interfaces Libellule et gestion des modules formatifs et certificatifs).

    En proposant une intégration forte des deux produits, ITOP éducation vient couvrir de manière native et performante le spectre entier des besoins des établissements scolaires, tant sur le volet métier que sur le volet d’échange et de communication. Lorsqu’un enseignant saisit ses notes ou son cahier de texte, il peut également adresser un message à ses collègues, déposer des documents à destination des élèves sur un espace dédié, participer à un forum, poster un article dans son blog. Ces opérations sont effectuées au sein d’un logiciel unique et au travers de son navigateur, quel qu’il soit, depuis n’importe quel poste et sans plus aucun besoin de gérer des serveurs au sein de l’établissement.

    ITOP éducation a également intégré les équipes du produit Educ-Horus pour avancer rapidement vers une intégration très poussée des deux produits, qui pourra être proposée dès la rentrée prochaine sur l’ensemble des ENT ITOP Education.

    À propos d’ITOP éducation :
    Spécialisé dans la maîtrise des nouvelles technologies au service de solutions innovantes pour l’éducation, ITOP éducation conçoit, développe et édite des ENT (Environnement Numérique de Travail) pour les écoles, collèges et lycées. Leader sur le marché des ENT avec plus de 2 millions d’utilisateurs actifs, ITOP éducation est également éditeur de contenu pédagogique multimédia et propose des outils et ressources pédagogiques numériques, depuis le rachat des catalogues Jériko et Carré Multimédia. ITOP éducation consacre depuis sa création plus de 20 % de son chiffre d’affaires à la recherche et au développement.

  • Les serious games et l’apprentissage de l’anglais

    La raison est la suivante, l’apprentissage d’une langue étrangère est différent de tout autre apprentissage, car il combine l’apprentissage explicite du vocabulaire et des règles de la langue avec le développement inconscient de compétences liées à l’application des deux composantes précitées. Le fait donc d’être face à un Serious game dans la langue que l’on est en train d’apprendre n’est pas forcément chose aisée. La mise en situation et la création d’un univers de jeu dans lequel l’apprenant plonge devient difficile compte tenu de la difficulté d’y intégrer une langue qui fait elle-même partie du processus d’apprentissage.

    Nous retiendrons comme exemple, l’expérience menée par l’académie d’Amiens qui a développé un projet de village virtuel pour favoriser l’apprentissage des langues.

    La création de ce village virtuel avait comme objectif premier d’offrir un lieu favorable à la pratique orale des langues en mettant à profit l’outil numérique, et particulièrement les jeux virtuels qui sont créateurs d’une forte motivation chez les élèves. Plus concrètement, cet univers avait été conçu sous «Seconde Life» et accueillait des adolescents anglais, allemands et français qui étaient amenés à dialoguer entre eux, tout en suivant des parcours prédéfinis.

    Certes ce genre d’expérience peut permettre une pratique des langues avec des personnes dans le même processus d’apprentissage, mais les conversations croisées dans des langues différentes aboutissent rarement à un réel apprentissage de la langue. Il ne faudrait pas que la sophistication et la complexité du jeu et de l’univers virtuel soient trop en décalage avec les capacités actuelles du joueur car sinon celui ou celle-ci risque de passer à coté de l’essentiel, c’est-à-dire se focaliser sur les utilisations de la langue.

    Nicolas Chalons, directeur du marketing et des développements au sein de « YES – Your English Solution« , pense que le Serious Game a toute sa place dans la formation à l’anglais, néanmoins, il ne peut être utilisé comme unique méthode.

    A noter :
    Etude réalisée par YES – Your English Solution

  • Digital Publishing annonce la création de son Club Utilisateurs

    Digital Publishing annonce la création de son Club Utilisateurs

    Face à l’ampleur de la formation linguistique, les utilisateurs Digital Publishing ont décidé de constituer un Club Utilisateurs pour construire et avancer tout en échangeant leurs expériences

    Fort de son dispositif de formation en langues baptisé Corporate Language Training (CLT), Digital Publishing se positionne comme le spécialiste du blended learning (e-learning, tutorat par email et par téléphone, cours en face à face et classes virtuelles) grâce une offre multilingue et des contenus sur mesure adaptés et personnalisés aux besoins de chaque apprenant.

    Digital Publishing travaille depuis toujours en étroite collaboration avec les services de ressources humaines et les responsables formation des entreprises afin de cerner les besoins de leurs salariés et créer ainsi de nouveaux outils et services adaptés à ces attentes : la clé USB « Plug & Learn » lancée en avril 2010 est un parfait exemple de cette symbiose entre l’éditeur et ses utilisateurs.

    L’évènement s’est déroulé le 18 novembre au Petit Hôtel Bourrienne, dans le 10ème arrondissement de Paris, à deux pas des locaux de Digital Publishing. Au cours de ce petit déjeuner, Janes Kassis Henderson, responsable du département Langues et Cultures de l’ESCP-Europe et Christophe Passerieux de l’OPCALIA Iles de France, ont partagé leurs compétences et leurs expériences autour des thèmes de la formation linguistique professionnelle.

    Les clients présents, dont les représentants de Sanofi-Aventis, Gefco, La Poste, France Telecom, Manpower, Nexter Systems, Mori Seiki, GDF-Suez, ont pu découvrir en exclusivité les nouveautés Digital Publishing pour 2011 : de nouveaux contenus, de nouveaux formats, de nouveaux services.

    Enfin, les participants ont pu assister à des ateliers de bonnes pratiques autour de sujets pré-définis tels que la gestion du déploiement d’un projet de formation en France et à l’international, les indicateurs de retour sur investissement, les campagnes de communication interne mises en place autour de la formation ou encore les facteurs clés du succès d’une formation blended learning.

    « La création du Club Utilisateurs répond à deux besoins : d’une part, celui exprimé par nos clients, de partager leurs expériences avec leurs homologues, et d’autre part, celui pour nous d’être à l’écoute des tendances et des enjeux  de la formation linguistique professionnelle d’aujourd’hui. Nos clients ont parfaitement joué le jeu, les échanges ont été chaleureux et sincères, et toute l’équipe de Digital Publishing est très heureuse d’avoir initié la création d’un club fait pour durer » déclare Alan Nobili, Directeur Général de Digital Publishing

    A propos de Digital Publishing

    Crée en 1994, Digital Publishing est le leader européen dans le domaine le domaine du e-learning pour les langues. Grâce à un dispositif complet de formation qui intègre, selon les besoins, cours en ligne, tutorat par email et par téléphone et regroupement en classes virtuelles, près de 80.000 apprenants dans 500 entreprises, universités et institutions européennes suivent aujourd’hui les formations en ligne Digital Publishing en anglais, en allemand, en espagnol, en italien et en français.

    Pour plus d’informations, visitez le site : www.digitalpublishing.fr

  • L’académie d’Amiens développe un projet de village virtuel pour favoriser l’apprentissage des langues

    Après la présentation de la maquette développée sur Second Life au salon Educative en novembre 2008, le projet sera expérimenté jusque la fin de l’année scolaire dans quelques classes de BTS de l’académie d’Amiens. Ce test grandeur nature permettra d’évaluer les apports pédagogiques et d’apporter d’éventuels ajustements en vue d’une transposition sur une plate-forme dédiée et sécurisée à la rentrée 2009.

    Le concept pédagogique de village virtuel
    Ce village virtuel, aux similitudes graphiques fortes avec la ville d’Amiens (la cathédrale, les hortillonnages, l’établissement scolaire Robert de Luzarches…), propose un scénario pédagogique sur fond d’enquête historique et de parcours interactif de la WebQuest. Il côtoiera à terme un village construit par les partenaires internationaux de l’académie d’Amiens : l’Etat d’Oklahoma, le Comté de Durham, le Land de Thuringe.

    Il représente ainsi un lieu de promenade et de découverte conduites par des élèves picards à l’intention de leurs correspondants étrangers. Via leurs avatars, les élèves pourront échanger et travailler dans le cadre d’activités encadrées par le professeur de langues.

    Les possibilités d’un tel univers sont nombreuses : interactions avec les utilisateurs par écrit (chat) ou en synchrone (casque et micro), mises en situation virtuelles sur un sujet abordé en classe grâce à la multiplicité des décors, tests de connaissances générales ou spécifiques via des quizz virtuels, liaisons avec le monde réel par l’affichage de vidéos, d’images ou de liens… le tout dans la langue choisie en début de parcours (l’anglais dans un premier temps suivi ensuite par l’allemand et l’espagnol).

    L’académie d’Amiens c’est aussi des méthodes d’apprentissage novatrices
    De nouvelles méthodes se développent pour l’apprentissage des langues, notamment par l’utilisation de la visioconférence et par l’installation d’un « Espace langues » (à titre expérimental au collège d’Ailly-le-Haut-Clocher dans la Somme).

    A ce titre, les technologies de l’information et de la communication au service de l’enseignement jouent un rôle important et permettent aux élèves et à leurs enseignants d’atténuer les effets temporels et spatiaux tout en facilitant l’individualisation des apprentissages. L’académie d’Amiens, qui a conçu le projet d’être « l’académie du numérique », soutient les innovations dans ce domaines. De nombreuses initiatives sont encouragées dans les établissements.

    Pour mémoire : quelques projets 2008-2009 dans l’académie d’Amiens
    «Espaces langues» : tout en utilisant -mais pas exclusivement- l’outil TIC, ce dispositif impacte directement les pratiques pédagogiques au bénéfice d’ateliers autonomes proposant des parcours d’apprentissage différentiés (travail sur l’oral avec le podcast, sur l’écrit et la documentation via l’informatique, …).

    Les Conseils généraux de la Somme et de l’Oise, après expérimentation, en ont souhaité la généralisation au plus grand nombre.

    Visioconférence : le plan «1000 visioconférences» initié l’an dernier par le Ministre Xavier Darcos valorise les échanges en visioconférence entre les jeunes Picards et leurs camarades dans le cadre des jumelages développés par le Rectorat (avec le comté de Durham, l’état d’Oklahoma ou la région de Thuringe par exemple). Six écoles ont été retenues dans l’académie d’Amiens, sur les quarante premiers projets sélectionnés au niveau national : les écoles de Sagebien (80), de Sains-en-Amiénois (80), de Miannay (80), de Ham (80), de Feuquières-en-Vimeu (80) et de Cuffies (02). Le Conseil régional de Picardie a, pour sa part, mis en oeuvre une plate-forme de visioconférence permettant simultanément 40 échanges entre établissements du monde entier.

    Ressources numériques «natives» : il convient également de ne pas oublier ce que l’internet académique sécurisé offre en premier lieu : l’accès à des ressources médiatisées,voire didactisées, basées sur l’actualité des autres pays du monde, en direct, et dans la langue de ses locuteurs natifs. Ainsi, l’expérimentation «Innovating school» conduite par l’école Châteaudun d’Amiens, dans le cadre d’une opération initiée par Microsoft et qui concerne 12 écoles réparties sur les 5 continents, met en relation directe et permanente, de jeunes «digital natives» de toutes origines.

    Et aussi : la ballado-diffusion, la Webquest…

    Sources : visite de la rédaction à EDUCATICE et service communication de l’Académie d’Amiens