Étiquette : anglais

  • Pili Pop va plus loin dans sa promesse d’apprendre aux enfants à parler anglais

    Pili Pop va plus loin dans sa promesse d’apprendre aux enfants à parler anglais

    [callout]Pratiquer la langue au quotidien est nécessaire pour progresser.
    Aujourd’hui, le manque de pratique à l’oral est la première cause d’échec dans l’apprentissage des langues. Il est très difficile pour les enfants de pratiquer l’anglais au quotidien : les dessins animés en version originale sont très rares et l’heure et demi hebdomadaire de cours d’anglais qu’ils font à l’école n’est pas suffisante. C’est pourtant un élément décisif dans la réussite de l’apprentissage.[/callout]

    PiliPop1_061014Développée par des experts en langues, la méthode Pili Pop a pour objectif d’intégrer la langue anglaise dans le quotidien des enfants ainsi que de les motiver à l’écouter et à la parler le plus souvent possible. Plus la pratique sera régulière, plus vite ils deviendront à l’aise à l’oral et intégreront ces connaissances pour toute leur vie !

    une méthode innovante développée spécifiquement pour les enfants

     

    Des dizaines de jeux sont mis à la disposition des enfants pour les motiver à apprendre en s’amusant. Grâce à son moteur de reconnaissance vocale unique, Pili Pop se focalise sur l’oral en encourageant ses utilisateurs à s’exprimer et en les aidant à améliorer leur prononciation. Quel que soit leur niveau, ils peuvent jouer et dire leurs premiers mots dans la langue de Shakespeare sans même s’en rendre compte !

    Priorité à l’oral !

    Selon Emma, professeur d’anglais en France : “Le meilleur moyen pour faire progresser efficacement les enfants en anglais est de les faire parler ! C’est en s’exprimant à l’oral qu’ils seront à l’aise avec la langue.” Pili Pop est recommandée par de nombreux enseignants et a même fait partie d’expérimentations prometteuses dans plusieurs académies françaises.

    Une méthode d’apprentissage des langues qui fonctionne

    PiliPop2_061014Les progrès sont très rapides. À raison de 15 minutes de pratique de Pili Pop par jour, en quelques leçons à peine, un débutant sait compter jusqu’à 20, nommer de nombreux fruits et prononcer des phrases complètes. Si à l’école, il semble difficile de travailler son anglais au quotidien, avec Pili Pop, chaque enfant peut s’entraîner dès qu’il le souhaite. L’application se révèle être un complément efficace et pertinent à l’apprentissage en classe.

    Pili PoP pense aussi aux parents

    Grâce à un outil pratique, le Pili Report, les parents peuvent suivre de manière individualisée les progrès de leurs enfants et obtenir des conseils pour intégrer l’anglais dans leur vie de tous les jours.

    Plus d’infos : sur www.pilipop.com
    Pili Pop est disponible sur iPhone/iPad le 9 octobre 2014, dans plus de 150 pays, itunes.apple.com

  • Les Tutos de Huito : on se (re)met à l’anglais

    Les Tutos de Huito : on se (re)met à l’anglais

    Tutosdehuito2_071014Lancée en il y a de cela quelques mois par Stéven Huitorel (alias  Huito), professeur d’anglais dans un collège breton, cette chaîne avait, pour objectif initial,  de lutter contre l’échec scolaire en anglais : il s’agissait de permettre aux élèves décrocheurs de reprendre leurs bases en anglais, grâce à la vidéo.

    Plutôt que d’expliquer, et ré-expliquer des centaines de fois le même point, la vidéo permet d’expliquer une seule fois, mais d’être visionnée des centaines de fois, par de nombreux élèves.

    Voici ce qu’en dit le créateur de la chaîne : « Le concept est simple : aborder le maximum d’aspects de la langue anglaise, de la manière la plus claire et la plus ludique possible et permettre ainsi à mes élèves de revenir sur des points non acquis en classe. (les nombreux élèves en décrochage, qui me disent qu’ils ne savent pas comment faire pour refaire surface sauront désormais à quelle porte frapper !) »

    Mais très vite, et notamment grâce aux réseaux sociaux, les tutos de Huito ont été adoptés par un public beaucoup plus large, dépassant largement les frontières du collège. En passe de dépasser les 1000 abonnés, de plus en plus d’adultes s’y intéressent, et prennent plaisir à se remettre à l’anglais, peu importe leur âge, leur niveau scolaire de départ, ou leur profession : chaque capsule vidéo dure environ une dizaine de minutes, et aborde une nouvelle notion, avec précision, décontraction et une bonne dose d’humour.

    Le concept est simple mais très efficace, et prouve, s’il en était besoin, que quiconque est capable de progresser en anglais, à son rythme, en toute gratuité et dans la bonne humeur.

    Tutosdehuito3_071014Déjà plus de 10 épisodes sont disponibles sur la chaîne, n’hésitez pas à aller y faire un tour, à vous abonner, mais aussi et surtout, à partager les vidéos sur vos réseaux sociaux, pour faire connaître à vos contacts ce projet audacieux et utile.

    Plus d’infos :
    Les tutos de Huito sur Youtube
    Il existe aussi la page Facebook des Tutos de Huito

    Et également le compte Twitter : @lestutosdehuito

  • Utiliser Twitter en cours d’anglais pour favoriser la production écrite.

    Utiliser Twitter en cours d’anglais pour favoriser la production écrite.

    ACNantes_twitteranglais_310314Pour sa séquence de cours, Caroline a choisi les thématiques suivantes : la ville, le tourisme, les infrastructures urbaines ; la tâche finale de la séquence étant d’organiser un enterrement de vie de célibataire à Dublin et de présenter cet événement à la classe à l’oral avec un diaporama illustrant les propos.

    Les points clés de l’événement à traiter et à exposer lors de leur présentation orale :
    – lister les activités proposées au participants pendant le week-end
    – présenter les possibilités d’hébergement et de restauration sur place.
    – proposer les moyens de transport possibles
    – donner des conseils aux participants type « checklist ».

    Quels étaient les objectifs de cette utilisation de Twitter ?

    L’utilisation de Twitter avait pour objectifs :- de produire des écrits de 140 caractères au maximum en anglais pour faire l’état des lieux avec l’enseignante des recherches effectuées sur les 4 points clés du projet.
    – d’entraîner à la production d’écrits contenant des abréviations et langage type SMS/@ engendrés par la contrainte du format.
    – d’entraîner à la synthèse écrite.
    – de favoriser un suivi individualisé des élèves grâce à une correction personnalisée des productions de tweets. (ex : proposer des corrections de la langue, des conseils de recherches….)
    – d’offrir une base de stockage individuelle de tous les tweets sur lesquels les élèves se sont ensuite appuyés pour préparer leur présentation orale.

    Pourquoi le choix de Twitter ?

    Twitter a été choisi non seulement pour permettre un échange simplifié, rapide et individuel des recherches, des productions et de leurs corrections entre les élèves et le professeur mais aussi pour favoriser l’acte d’écriture en passant par un réseau social connu et parfois utilisé par les élèves autrement qu’à l’école.
    Twitter permet de faciliter le stockage individuel des productions. Les élèves avaient ainsi à leur disposition le déroulé de leurs recherches et le développement de leur exposé sur une seule interface.

    Les points positifs de cette expérience ?

    L’usage de Twitter a fait entrer les élèves dans l’acte d’écriture de manière plus rapide et motivée. Ils ont pu ainsi développer les compétences sous-jacentes à cet acte au fil des productions de tweets et de leurs corrections individualisées et personnalisées.Les élèves les moins motivés face à l’acte d’écriture se sont mis à faire des productions de plus en plus complètes comparées à celles qu’ils avaient pu faire sur un format papier. Le côté ludique du support a donc vraisemblablement remotivé certains élèves. Certains ont même été surpris de vouloir écrire plus que ce que permettait le format du tweet.La correction personnelle des tweets a encouragé les élèves à poursuivre le projet, l’approfondir, enrichir leurs recherches et renforcer leurs compétences de l’écrit.Le format restreint des tweets les a entraînés à aller à l’essentiel dans leurs écrits; compétences sur laquelle ils ont pu également s’appuyer lors de leur présentation orale.

    La dimension espace de stockage des tweets leur a aussi permis de réfléchir sur l’organisation du stockage de données en vue de la réalisation d’un exposé.

    Enfin, les relations entre les élèves et le professeur en ont bénéficié puisqu’ils ont été suivis individuellement. Les conseils et corrections étaient ciblés et donnés selon les problématiques et besoins de chaque élève, permettant ainsi à l’enseignante un suivi plus rapproché et efficace et une évaluation plus fine de leur travail et production.

    Le point faible

    La lecture et la correction des tweets ont été très chronophages pour l’enseignante.
    Plus d’infos :
    source article : retrouvez ce retour d’expérience ici
  • European Schoolnet Academy

    European Schoolnet Academy

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    European Schoolnet, réseau européen créé en 1997 réunissant acutuellement 30 Ministères européens de l’Education, a pour objectif d’encourager l’utilisation des TIC au sein des écoles, d’améliorer et d’augmenter la qualité de l’éducation en Europe et de promouvoir la dimension européenne dans ce cadre.

    L’offre de formation

    Deux cours pilotes en anglais vont débuter en mars 2014. Les inscriptions sont déjà ouvertes et la programmation d’autres supports de formation est également programmée. Les cours sont découpés en modules hebdomadaires regroupant des vidéos de présentation d’idées et de concepts clés, des activités de discussion d’une question ou de partage de ressources (plans de leçons, vidéos, images), un quizz sur les vidéos de chaque module.

    Le contenu des modules reste accessible jusqu’à la fin du cours permettant ainsi aux participants de travailler à leur rythme. Des webinaires sont également programmés pour encourager la communication synchrone. A la fin du cours les participants doivent créer une activité d’apprentissage qui est évaluée par le groupe. Les participants ayant réussi tous les quizzes et fait évaluer leur activité finale recevront un certificat de fin de cours.

    A suivre et à lire sur eduscol.education.fr

    Plus d’infos : http://www.cndp.fr/itec/wp-content/uploads/2014/02/EUN-Academy.pdf

  • ADL, les langues dès la maternelle

    ADL, les langues dès la maternelle

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    Le site est né d’un constat. Lorsqu’on recherche des livres étrangers il est particulièrement difficile de trouver les livres répondant aux besoins des enfants (Apprendre les rimes, la grammaire, etc.).

    Soit on connaît déjà le livre et n’importe quel libraire fera l’affaire, soit on n’a pas d’idée, et cela demande une quête longue et fastidieuse. De plus, il existe déjà énormément de sites qui proposent des méthodes pédagogiques, plus ou moins sur abonnement.

    L’idée du site « Apprendre Des Langues » est donc venue naturellement. Un site qui propose aux parents et aux enseignants d’acheter des livres étrangers ET qui renseigne sur les contenus pédagogiques.

    Ce qui rend ADL unique c’est la sélection des ouvrages (des livres plébiscités par les enseignants en langue vivante). Et la mise en avant du contenu pédagogique (des exploitations proposées par des académies et des professeurs).

    Ainsi par exemple, si vous souhaitez faire apprendre à un enfant de 5 ans les animaux, le site ADL vous proposera plusieurs livres sur ce thème, tel que le livre « Brown Bear, Brow Bear, What do you see ? » dont le contenu pédagogique est « Les animaux, les couleurs et savoir poser une question », le vocabulaire est : « Bear, Bird, Duck, Dog, Red, Yellow, White, Black ». De plus, le site pointe sur deux fiches pédagogiques mises au point par des enseignants du primaire.

    Apprendre Des Langues est bien plus qu’un site marchand, c’est aussi :

    – Une plateforme qui permet de trouver le livre que l’on cherche en fonction du thème, de l’enseignement ou du champ grammatical que l’on souhaite travailler. Accompagné de liens vers des exploitations pédagogiques qui ont été créés par des enseignants ou des pédagogues

    – Un espace qui permet de demander des conseils ou des livres bien spécifiques.

    La vocation du site Apprendre Des Langues est de devenir une référence dans le domaine des livres étrangers pour les enseignants et les parents d’élèves.

    Enfin, il faut savoir qu’Apprendre Des Langues est le fruit de l’intuition de deux jeunes étudiants lyonnais en Master Communication et Marketing qui au fil de leurs stages ont constaté qu’il y avait des livres formidable pour apprendre une langue mais qu’il n’existait pas de site qui les regroupe en donnant des informations sur les livres.

     Plus d’infos : www.apprendre-des-langues.fr

  • Apprendre l’anglais, c’est une question d’outils

    Apprendre l’anglais, c’est une question d’outils

    Un constat : les français sont plus que moyens en anglais

    Une très récente étude annuelle menée par Education First (EPI 2013) montre que la France et les français possèdent un indice de maîtrise de l’anglais plutôt faible (le pays se classe 35ème sur 60 pays concernés par l’étude). Quelle en est l’explication ?

    Les jeunes adolescents ne sont pas assez exposés à l’anglais et peinent à assimiler cette nouvelle langue ne pouvant compter que sur l’école. Quant aux nouveaux actifs, ils trainent un mauvais niveau tout au long de leur carrière. Faute de temps ils ne peuvent se replonger dans les études.

    Le tour d’horizon des outils d’apprentissage : le e-learning en passe de devenir la solution

    Les cours de langues en école ou institution.
    Retourner à l’école, suivre une formation d’anglais en groupe, dans une salle de classe pourquoi pas ? Cependant cette solution offre très peu de souplesse. Horaires contraignants, obligation de présence et de suivi de cours à heures fixes sans compter le coût (celui des cours et celui des transports et du temps perdu).

    Les voyages linguistiques.
    L’immersion à l’étranger est une solution éprouvée, sans doute une des plus bénéfiques mais elle suppose une longue période de temps libre et un certain budget. Cette solution souvent retenue par de jeunes étudiants n’est définitivement pas à la portée de tout le monde et surtout pas des salariés.

    Les applications basiques d’anglais.
    L’Apple store et autre Google regorgent de solutions amusantes et ludiques. Leur aspect est engageant, leur coût modique, mais leur efficacité est assez réduite. Elles sont à privilégier pour les enfants ou les débutants cependant elles n’offrent pas suffisamment d’atouts pour engager un réel processus d’apprentissage et ne s’avèrent pas suffisantes pour la pratique orale… On perd vite ses bonnes résolutions.

    Et le E-learning ?
    Une solution en ligne rassemble en effet beaucoup d’avantages à l’image du service offert par Englishtown sur PC et sur tablettes (iPad et Android) qui permet de rencontrer des professeurs, des outils d’apprentissage variés, une salle de classe virtuelle,le tout en un seul et même endroit disponible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. L’école en ligne offre 16 niveaux de cours allant de débutant à avancé et permet l’obtention d’un diplôme certifié par L’école de commerce international Hult à chaque unité validée.

    Andrew Wait, Président de EF Englishtown déclare :
    « Nous avons la ferme conviction que si vous voulez progresser en anglais et décrochez de nouvelles opportunités au travail, dans vos études ou dans votre vie personnelle vous avez besoin d’une véritable école à vos côtés. Une école qui vous permet d’interagir avec des professeurs dévoués, repousse vos limites et qui vous encourage à utiliser le langage dont vous avez besoin dans la vie réelle. Si vous avez simplement besoin de savoir commander un plat ou dire bonjour il existe une multitude de solutions basiques et petits jeux mais cela lorsqu’il s’agit de d’acquérir une réelle confiance à l’oral, cela ne sera pas suffisant ».

    Pourquoi le e-learning surpasse les solutions classiques ?

    Les solutions de e-learning seraient les plus efficaces comme en témoigne des spécialistes et des utilisateurs :

    Aurélien, blogueur sur Anglais 5 minutes pour est spécialiste du e-learning et cite :
     » Le gros problème des cours en présentiel c’est que lorsque les élèves en sortent ils ont l’impression qu’ils n’ont plus rien à faire jusqu’au prochain cours. Or, apprendre une langue ça demande d’en faire un peu tous les jours. Internet permet justement de le faire facilement, à temps choisi et en variant les exercices grâce à la grande diversité de contenu gratuit qu’on y trouve. C’est une révolution, et c’est ce qui m’a permis d’apprendre l’anglais, moi qui était un véritable « nul » en langues jusqu’à mes 24 ans.  »

    A la question : « En quoi les solutions de e-learning sont elles plus efficaces dans les cycles d’apprentissage, notamment dans l’acquisition d’une langue étrangère ? »

    Marie Prat, spécialiste du e-learning et auteur du livre « Réussir votre projet e-learning pédagogie, méthodes et outils de conception, déploiement, évaluation... » répond :

    « le e-learning place l’apprenant au coeur du dispositif de formation. Il permet une individualisation des parcours et une souplesse accrue dans les rythmes d’apprentissage.

    Pour ce qui concerne l’apprentissage des langues,  ce qui est important c’est l’écoute et la pratique de la langue, la distance permet de rendre les enseignants plus facilement accessibles pour les apprenants ».

    Quelques étudiants qui sont passés par l’apprentissage à distance évoquent les mêmes remarques :
    Sophie,
    Une école qui donne envie
    « 57 ans est un âge un peu avancé pour retourner sur un banc d’école. C’est cependant ce que j’ai fait en m’inscrivant à Englishtown. Tout est fait pour donner envie d’apprendre. Les cours sont assez ludiques. La méthode d’apprentissage est très au point. Le plus de la méthode, ce sont les cours particuliers : Un prof rien qu’à soit pendant 45 mn (par leçon) c’est le top ! Surtout ne pas hésiter à se lancer ».

    Plus d’infos et témoignages :
    www.trustpilot.co.uk

    www.englishtown.fr
     

  • Pour les collégiens : une appli gratuite « so fun » pour progresser en anglais

    Pour les collégiens : une appli gratuite « so fun » pour progresser en anglais

    App_anglaisaucollege_210114Avec 3 niveaux et près de 30 thèmes différents (« au restaurant », « shopping », l’histoire américaine, comparer, se présenter…), l’élève apprend de façon ludique et amusante, notamment grâce aux expressions sonores typiquement « british » !

    Le Plus : Un test officiel d’évaluation pour connaître son réel niveau d’anglais.

    Plus d’infos : sur www.nomadeducation.fr
    Editée par Nomad Education, en partenariat avec EF Séjours linguistiques

  • 155 petits Lorrains diplômés d’anglais grâce au test Cambridge English YLE

    155 petits Lorrains diplômés d’anglais grâce au test Cambridge English YLE

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    Cambridge English YLE : un test diplômant spécialement adapté aux enfants

    Une cinquantaine de centres d’examens en France proposent de passer les diplômes de Cambridge English Language assessment qui permettent de certifier un niveau d’anglais. Parmi eux, une vingtaine offre le Cambridge English Young Learners (YLE), une série de trois tests amusants spécialement conçus pour les enfants de 7 à 12 ans.

    Cette année, plus de 4000 enfants en France ont passé ce test, dont 155 en Lorraine par l’intermédiaire de l’association Pop English, dont les animateurs enseignent dans les locaux de l’association et dans les écoles primaires. Après avoir réussi le premier niveau du test (niveau Starters), les enfants se prépareront en 1 à 3 ans à la validation du second niveau.

    « Un petit examen d’anglais nous semble essentiel pour encourager l’enfant dans son apprentissage dès son jeune âge. Il permet de prendre conscience de ses capacités et c’est une motivation pour s’améliorer en anglais et passer au niveau suérieur », indique Cécile Loyer, responsable marketing et communication de Cambridge English Language Assessment.

    « Par exemple, un enfant entrant en 6ème pourra se sentir rassuré si au travers d’un véritable examen, il a déjà obtenu le niveau intermédiaire du Cambridge YLE correspondant au niveau A1 du CECR (Cadre Européen Commun de Référence pour les langues), attendu pour l’entrée au collège. »

    Et de poursuivre, au sujet des dernières études sur l’apprentissage des langues chez les jeunes enfants : « Il faut profiter de l’âge de l’école primaire pour rendre l’anglais familier de nos enfants. D’une part, l’ouverture à une autre langue leur permet paradoxalement de mieux connaître le français, et d’autre part, après 10 ans il est souvent devenu trop tard pour apprendre l’anglais car l’oreille n’est plus capable d’entendre les phonèmes spécifiques à cette langue
    Les jeunes Lorrains « speak good English » grâce à Pop English !

    « Pop English en Lorraine est agréé Centre d’examen Cambridge YLE depuis 2 ans. Nous sommes ravis que sur nos 2500 élèves, une bonne centaine passe déjà ce test avec succès » indique sa déléguée régionale Laëtitia Herfeld-Puissegur.

    « Il est très important que les enfants puissent montrer à leurs parents qu’ils progressent. Nous veillons tout particulièrement à ce que l’examen soit vécu par les enfants comme une expérience positive. Les examinateurs du Cambridge YLE sont bienveillants et prennent en compte que les progrès réalisés par l’enfant

    Cette année, le nombre d’enfants présentés au test Cambridge YLE par Pop English devrait sensiblement augmenter, d’autant que l’Association intervient maintenant pour des animations autour de l’anglais auprès des mairies ayant opté pour le changement des rythmes scolaires.

    A propos de Cambridge English Language Assessment

  • Les MOOC débarquent enfin en France

    Les MOOC débarquent enfin en France

    Une définition des MOOC

    Le MOOC, une définition ? Cet acronyme signifie : « massive open online course » éventuellement francisé sous l’appellation CLOM ou « Cours en ligne ouverts et massifs » mais la Ministre de l’Enseignement Supérieur Geneviève Fioraso (qui avait défrayé la chronique en annonçant que les cours universitaires pourraient se faire en anglais) préfère qu’on s’en tienne au terme international.

    L’histoire du phénomène

    Le MOOC découle du mouvement de l’OpenCourseWare dans lequel se sont engouffrées de nombreuses universités américaines dès les années 2000, avec en avant garde de la formation en ligne ouverte pour tous, le MIT et l’Université de Stanford. Cependant, l’interactivité entre étudiants et professeurs est assez faible dans les premières expériences.

    C’est en 2008 que la dénomination de MOOC apparaît avec les cMOOC, « c » pour « connectivisme ». Un cours auprès de quelques étudiants a été ouvert à plus de 2300 participants gratuitement  par l’initiative de Georges Siemens (Université d’Athabasca) et Stephen Downes (National Research Council). L’objectif étant de rompre avec l’esprit plus figé de l’OpenCourseWare et de dynamiser les relations entre professeurs et étudiants afin que le savoir soit transmis par interaction.

    De nombreuses plates-formes ont vu le jour (Udacity avec l’Université de Stanford, puis Coursera en 2012, edX par le MIT la même année puis bien d’autres établissements ont suivi et développé leurs propres plates-formes ouvertes). Aujourd’hui la plupart des Universités américaines proposent des cours ouverts en ligne.

    Les mêmes Stephen Downes et Georges Siemens ont finalement validé l’existence de deux types de MOOC distincts. Les cMOOC et les xMOOC. Les premiers étant plus axés sur la connectivité, où le savoir est généré par les étudiants en interaction et le second héritier des OpenCourseWare ou xMOOC privilégient le transfert des connaissances de manière magistrale donnant éventuellement lieu à un certificat de complétion.

    Sir John Daniel, un pionnier du e-learning expert des MOOC déclarait : « De fait, le première génération de MOOC ou cMOOC visait à maximiser les connexions entre apprenants. Cependant, dès 2012, les xMOOC émergent (avec coursera par exemple) et remettent en avant un enseignement du haut vers le bas, tel un cours magistral. Cependant la phase actuelle de l’évolution est marquée par la multiplication des initiatives et nous n’en sommes qu’au début. »

    Toujours d’après lui quand on lui demande quel est l’avenir des MOOCs : « Un processus assez sauvage de la sélection darwinienne va maintenant se mettre en place. La plupart des institutions qui utiliseront les MOOC uniquement pour un souci de relations publiques verront leurs projets tomber à l’eau, mais des acteurs sérieux mèneront les MOOCs dans le lit de l’éducation et secoueront le monde de l’enseignement supérieur. »

    Un cours en ligne de type MOOC est donc ouvert, gratuit et massif. De fait, des milliers de personnes peuvent suivre le même cours en ligne gratuitement. Qui n’a pas rêvé de suivre un cours universitaire à Stanford ou Harvard ? Néanmoins, pour faire reconnaître un certificat ou un diplôme il sera nécessaire de payer…

    Et la France dans tout ça ?

    Les Universités et les écoles de commerce sont plus en retard mais le mouvement semble s’annoncer clairement. La prestigieuse école de commerce HEC annonce la sortie de deux enseignements en ligne accessibles à tous début 2014 sur la plateforme Coursera (plateforme américaine) puis elle s’orientera ensuite sur le dispositif France Université Numérique.

    En effet, pour « ne pas rester à la remorque » des autres Mme Fioraso a récemment impulsé un vaste mouvement pour le développement de la formation ouverte visant 300 Moocs dans les trois prochaines années et ça commence dès octobre, tous les détails de cette révolution sont sur le site de France Université Numérique.

    Quel est le public des MOOC et du e-learning en général ?

    L’école de langue, EF Englishtown dispense des cours d’anglais à distance et en ligne depuis 1996, date de son partenariat avec Apple, et chaque mois ses étudiants y consacrent un million d’heures. D’une certaine façon, le e-learning est assez proche du phénomène des MOOC.

    Mélodie Laperdrix, Directrice Marketing pour EF Englishtown déclare : « Tout le monde s’attend à voir s’inscrire un public d’étudiants aux MOOC mais dans les faits il est intéressant de savoir que toute la société a un véritable intérêt à cette révolution de la formation en ligne. Nous constatons que notre public est très varié et désireux d’apprendre et de renforcer son savoir-faire ». En effet, Geneviève Fioraso souhaite que tous participent à ces cours et elle a déclaré :

    « France Université Numérique ne s’adresse pas seulement aux étudiants »

    EF Englishtown fait toute la lumière sur la composition de ses propres étudiants qui représenteront sans doute le même public que les MOOC :

    . 16 % des étudiants sont de jeunes adultes et actifs (hommes ou femmes), souvent célibataires et vivant dans les villes avec un profil d’âge de 22 – 45 ans. Ces derniers cherchent à améliorer leur anglais pour des raisons plutôt professionnelles.

    . 22 %, sont des parents de familles actives (homme à 72%), ayant généralement de jeunes enfants et vivant plutôt en marge des centres urbains. Ils apprennent l’anglais presque exclusivement pour leur carrière privilégiant un axe d’apprentissage lié à leur métier avec un profil d’âge entre 26 et 45 ans.

    . 11 % de cadres matures (autant de femmes que d’hommes), issus d’un milieu plutôt aisé et de haut niveau d’éducation cherchent à améliorer leur anglais pour s’élever dans leur carrière professionnelle, ils ont globalement entre 46 et 75 ans et résident en banlieue des grandes villes
    comme Paris, Lyon et Lille.

    . 36 %  de seniors (femmes à 68%) âgés entre 46 et 75 ans (souvent retraités) qui apprennent l’anglais pour leur travail lorsqu’ils sont encore en activité mais également pour le plaisir, le côté social ou les voyages.

    . 15 % ont un profil indéterminé  ne rentrant pas dans ces catégories.

    Plus d’infos sur : www.englishtown.fr

    Emmenez votre école partout et Une nouvelle manière d’apprendre l’anglais