Étiquette : Académie de Versailles

  • Gagner des heures de cours avec l’ENT

    Gagner des heures de cours avec l’ENT

    Adrien Lefranc, professeur de mathématiques et référent numérique et Arnaud Tilly, principal adjoint dans l’académie de Versailles, sont venus témoigner, sur les NetJournées 2017, de la mise en place de « l’agenda partagé » au service de la vie de l’établissement grâce à l’ENT.

    Sujet très spécifique et un peu « bateau » diraient certains, mais qui a son importance dans la gestion des 650 élèves et parents du collège.

    Retrouvez tous les articles et interviews en vidéo sur notre lien dédié NetJournées 2017.

  • « Raccrocher » les élèves et faciliter la transmission horizontale : un autre enjeu de la classe inversée

    « Raccrocher » les élèves et faciliter la transmission horizontale : un autre enjeu de la classe inversée

    Jean-Jacques Le Quémener est enseignant en physique-chimie en lycée technique dans l’académie de Versailles. Aujourd’hui membre de l’association Inversons la classe !, il avoue pratiquer la classe inversée depuis une vingtaine d’années…

    Sa réflexion a démarré alors qu’il y a vingt ans, il emmenait ses élèves à l’extérieur de la classe, « sur le chantier d’à côté, pour leur montrer les sujets techniques sur lesquels on allait travailler ». Il s’est rendu compte que ce contexte extérieur désinhibait les élèves les plus silencieux et il s’avérait même qu’ils étaient les plus pertinents dans leurs réponses.

    Jean-Jacques Le Quémener réalise alors qu’il a ouvert d’autres portes.

    Il constate également que depuis 10 à 15 ans, de plus en plus d’élèves ne sont plus accrocheurs à la transmission verticale du savoir.

    « L’enseignement inversé permet donc de les raccrocher, de leur apporter une ouverture et si ils y trouvent suffisamment de plaisir, ils ont envie de faire un effort supplémentaire et c’est là qu’on entre dans un cercle vertueux », explique t-il.

    Alors que peu de recherches peuvent attester des résultats de la pédagogie inversée sur la réussite des élèves, Jean-Jacques, lui, a le recul de vingt années d’expérience avec ses élèves pour dresser des constats.

    « Chaque fois que j’ai utilisé une approche, que l’on pourrait appeler aujourd’hui d’inversée, quand cela répondait à une problématique, cela permettait de résoudre la problématique ».

    Mais il avoue fonctionner sur la méthode essai-erreur ; cela ne fonctionne pas toujours mais il se pose toujours la question de savoir pourquoi. Il s’appuie aussi également sur les travaux dans le domaine des neurosciences pour l’aider à comprendre certains mécanismes d’apprentissage.

    Retrouvez l’intégralité du témoignage de Jean-Jacques Le Quémener dans la vidéo ci-contre.

     

     

     

     

  • ITOP éducation, leader des ENT sur l’Académie de Versailles

    ITOP éducation, leader des ENT sur l’Académie de Versailles

    [callout]Après les départements du Val d’Oise et des Hauts-de-Seine, c’est au tour du département des Yvelines d’avoir choisi ITOP éducation pour le déploiement de ses environnements numériques de travail, dans le cadre de son Plan Numérique pour les Collèges.[/callout]

    « En avril dernier,  le Département des Yvelines a lancé un plan numérique innovant pour ses 116 collèges. Parmi les axes de ce plan figure en bonne place le déploiement d’une solution ENT et des services de vie scolaire associés pour tous les établissements. A l’issue d’un appel d’offres, le Département a retenu l’offre présentée par la société ITOP éducation qui  a notamment fait des propositions innovantes, montrant ainsi son attachement à créer un véritable partenariat pour le développement de l’ENT et des usages du numérique », explique Gildas Rouault, Directeur de projets Plan Numérique Collèges.

    ITOP_Yvelines_061015Pour Hervé Borredon, Président du Groupe ITOP : « Avec ses 69 000 élèves concernés, le département des Yvelines est le troisième de l’Académie de Versailles à nous accorder sa confiance. C’est une satisfaction de savoir que nous pouvons permettre à la quasi-totalité des collèges de cette académie d’accéder à la performance de nos solutions qui intègrent à la fois des fonctions de communication, de collaboration et de vie scolaire. »

    À propos d’ITOP éducation

    ITOP éducation occupe une position clé dans le panorama de l’éducation. Présente depuis plus de dix ans sur ce secteur, elle produit une offre complète de logiciels innovants qui couvre tous les besoins des établissements scolaires, de la maternelle au lycée.
    Plus de quatre millions d’utilisateurs échangent au travers des Environnements Numériques de Travail ou accèdent aux ressources pédagogiques multidisciplinaires ITOP éducation et gèrent notes et absences grâce au module de vie scolaire Educ-Horus. Sur plus de quinze projets ENT en généralisation, ITOP éducation offre également ses services d’accompagnement, formation, hébergement et support.
    Pour développer les nouveaux usages et conduire une stratégie d’innovation volontariste, plus de 20% du chiffre d’affaires sont consacrés chaque année à la recherche et au développement. Depuis 2012, Hervé Borredon, PDG d’ITOP est élu président de l’Afinef, Association Française des Industriels du Numérique pour l’Education et la Formation. Cette nouvelle entité fédère et structure l’ensemble de la filière numérique éducative et assure l’interface entre industriels et institutionnels.

    Plus d’infos :

    www.itopeducation.fr           
    www.afinef.net

  • Le challenge NAO, un projet transdisciplinaire

    Le challenge NAO, un projet transdisciplinaire

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    Présentation du robot NAO

    NAO est un robot de 58 cm de haut pesant 5 kg développé par Aldebaran Robotics. C’est un robot entièrement programmable, autonome et interactif. NAO peut voir, entendre, parler, et communiquer.

    Le robot est pourvu de microphones et comprend plusieurs langues, ce qui lui permet de réagir aux paroles humaines. De plus, ces microphones permettent de localiser l’interlocuteur par triangulation. NAO écoute donc, mais il peut aussi parler grâce à un logiciel de synthèse vocale ! Il dispose de deux caméras ce qui lui permet de reconnaître son environnement grâce à la vision par ordinateur.

    Le contexte du challenge

    Le Challenge NAO est un concours qui été ouvert aux élèves de 4E1.

    Le challenge est simple : les élèves doivent concevoir un comportement pour NAO.

    Le challenge a eu lieu du 6 janvier au 2 février 2015. Les élèves ont présenté leur projet le mardi 3 février en présence d’un jury composé d’enseignants, de parents d’élèves et d’industriels.

    Pour concevoir un comportement, les élèves ont utilisé le logiciel de programmation lié à NAO « Chorégraphe ».

    Découverte des robots humanoïdes

    Lors d’une sortie scolaire à l’atelier Aldebaran les élèves découvrent les robots et s’initient à la programmation.

    L’usage pédagogique

    Le challenge NAO est transdisciplinaire avec l’intégration des disciplines suivantes :
    – le français,
    – l’espagnol,
    – l’anglais,
    – la technologie.

    Des axes de travail liés à chaque discipline ont été défini

    En français, c’est le thème de la poésie robotique qui a été retenu.

    Projet de travail :
    Nao est amoureux d’une joli(e) robot(e) qu’il a rencontrée chez Aldebaran.
    Il soupire, se lamente, voudrait la revoir et finalement se met à réciter un poème à la gloire de sa belle aux yeux lumineux.
    Travail prévu :
    . Mettre en scène la gestuelle de Nao en deux étapes : Tristesse de Nao, lamentations, soupirs etc. Déclamation du poème.
    . Travail sur une poésie décrivant les parties du robot.
    Travail sur le langage poétique mené en classe avec études de différents poèmes lyriques.

    En anglais, le thème retenu est le dialogue avec deux possibilités de travail en classe.

    La première possibilité est un jeu : « Who wants to be a millionaire ? »
    Les élèves pourront jouer le rôle des candidats et le robot sera le présentateur.
    Un petit dialogue a été mis en place avant de commencer le jeu : Savoir interroger sur l’identité du candidat : What’s your name ? Where are you from ? Who did you bring with you ? Who is watching you at home ?

    Interroger sur les sentiments du candidat : How are you feeling ? Are you alright ? Are you comfortable ? + le présentateur rassure le candidat : Relax ! Take a deep breath ! It’s gonna be okay !
    Demander ce que le candidat ferait s’il gagnait 1 million : What would you do with one million dollars ? / I would buy a car / travel all around the world …

    Questions à choix multiples avec possibilité de mettre des enregistrements de chansons : Who sang this song ? Who composed this song ? When was this song released ?

    La deuxième possibilité est une interview : « You’re a journalist who works for Rock Magazine ! Interview a rock star ! »
    Interroger le chanteur sur son parcours : When did you start singing ? What was your first album ? Did you get any awards ? Do you play any instruments ?
    ou sa dernière tournée : Where did you go ? When did your world tour start ? How many songs did you perform ? How many spectators were there ?…
    Le journaliste peut demander au chanteur (robot) de chanter un extrait de son dernier album et commenter son dernier album : It was awesome… The lyrics were repetitive… It made me cry… When I hear this song, I get…

    En Espagnol, c’est sur le champ lexical et l’expression orale en intégrant du travail réalisé en classe qu’a porté le travail.

    Objectifs lexicaux :
    – travail du champ lexical corporel sur NAO
    – réemploi des questions
    – réemploi des adverbes de lieu
    – introduction du vocabulaire et des verbes de mouvement

    Travail des compétences orales :
    Compréhension orale (vidéo) et expression orale dialoguée (interview).
    Réutilisation de ces éléments au moyen d’une interview de présentation sur les capacités et possibilités « robotiques » de Nao.

    Le travail réalisé en cours d’espagnol est présenté dans l’article ¡ Nao pasa en la televisión del Colegio de Sèvres !

    En technologie, c’est sur l’adaptation de NAO à son environnement que les élèves ont du se pencher.

    Les élèves devaient être capable d’identifier les modes et dispositifs d’acquisition de signaux, de données, d’identifier la nature d’une information et du signal qui la porte, repérer le mode de transmission pour une application donnée.

    A voir aussi « Conception d’un programme pour NAO » et « les gagnants du challenge NAO » dans l’article original réalisé par Franck Dubois www.clg-sevres.ac-versailles.fr où vous trouverez également toutes les étapes du projet en vidéos.

  • Le « tout ENT » pour un principal de collège, c’est quoi ?

    Le « tout ENT » pour un principal de collège, c’est quoi ?

     

     Il s’agit de gérer administrativement et pédagogiquement le collège.

    Cela se concrétise par plusieurs actions et notamment, depuis cette année, « les élèves n’ont plus de carnet de liaison et tout se fait par SMS ou par internet », explique Laurent Abécassis.

    Pour lui, le « tout ENT » facilite le fonctionnement pour les usagers, « c’est moins contraignant et il n’y a plus qu’un seul outil ». Ce principal sait de quoi il parle car avant le « tout ENT », il a connu la période où la communication se faisait à la fois via l’ENT et via le carnet de liaison et tout le monde s’y perdait.

    Il avoue que la charge de travail pour la Vie scolaire est plus importante car « ces personnels doivent collecter toutes les remarques faites par informatique et en faire une synthèse ; c’est aussi le CPE qui génère les SMS envoyés aux parents ».

    A chaque fois qu’un élève n’a pas fait ses devoirs ou a eu un souci de comportement par exemple, l’enseignant l’inscrit sur informatique pour que la Vie scolaire en ait connaissance et le diffuse automatiquement aux parents par SMS.

    « Trop d’ENT » ne conduit-il pas à une forme de « flicage » ?

    Il faut dire que ce sont toujours les mêmes parents qui reçoivent les SMS tandis que d’autres n’en reçoivent jamais, ironise Laurent Abécassis.

     

  • Le « défi des mots », une action pédagogique inter-degrés avec l’ENT

    Le « défi des mots », une action pédagogique inter-degrés avec l’ENT

    Notre action vise à décliner localement l’action culturelle nationale « dis moi dix mots »

    de manière à fédérer des établissements et à placer les élèves en situation de recherche autour de mots choisis librement.

    Placer les élèves en position de chercheurs au regard critique.

    Netjournees_defimots4Ce défi est avant tout un travail de recherche ; les élèves vont devoir mettre des informations en relation, s’entraîner à prendre la parole ou encore apprendre à élaborer et à utiliser des schémas heuristiques.

    C’est également un travail en littérature dans lequel les élèves vont partager une culture littéraire commune et lire des ouvrages de manière critique.

    Un projet où le numérique a toute sa place.

    Pour les élèves, le numérique intervient dans l’utilisation d’outils tels que tablettes ou ordinateurs mais également logiciels et applications ; c’est aussi la conception de documents multimédia partagés. On peut citer comme applications utilisés « Simple mind« , « Skitch » ou encore « Book creator« .

    Un travail de liaison école-collège via l’ENT Pivot.

    L’intérêt est que l’opération intéresse à la fois le premier degré et le second degré ; la communication inter-établissements se fait via un ENT appelé « ENT pivot ».

    Cette action se déroule dans le cadre de la liaison école-collège et l’ENT pivot va permettre aux enseignants de collaborer.

    Netjournees_defimotsTrois collèges de la ville de Clichy et les écoles qui y sont associées participent à ce projet et « nous avons environ 60 comptes utilisateurs premier degré créés sur l’ENT de l’établissement fictif, à cet effet », souligne Pierre Bézanger.

    Côté second degré, c’est l’ENT ITOP en place dans le département des Hauts-de-Seine qui est utilisé normalement par tous les membres : enseignants, élèves et parents ; côté premier degré, seuls les enseignants ont un accès pour l’instant, ce qui leur permet de collaborer avec leurs collègues du collège.

    Netjournees_defimots2Tous peuvent travailler sur ce projet au sein « d’un groupe de travail » dans l’ENT, ce qui permet de compiler les travaux afin de réaliser un corpus exploitable pour l’an prochain.

    Au-delà des objectifs pédagogiques, l’intérêt pour les élèves est d’avoir la fierté de présenter en fin d’année les travaux réalisés en classe au sein d’un événement organisé par la ville de Clichy ; une belle manière de les motiver, de leur apprendre à travailler ensemble et enfin, au niveau académique, d’afficher un projet concret dans la liaison école-collège.

    En savoir plus :
    Lire aussi l’article www.ent.ac-versailles.fr

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  • Mettre en place un atelier journal en s’appuyant sur l’ENT

    Mettre en place un atelier journal en s’appuyant sur l’ENT

    Netjournees_megaphoneLe principe est qu’un groupe d’élèves de tous les niveaux de classe du collège, de la 6ème à la 3ème, travaille ensemble pour réaliser un journal sur la vie de l’établissement.

    « Pour récolter les articles, nous utilisons un groupe de travail de l’ENT » ; l’ENT étant indispensable dans la réalisation de cet atelier, explique Franck Dubois.

    Sur ce groupe de travail, les élèves ont la possibilité de déposer les documents, leurs propositions d’articles  ; l’enseignante documentaliste, qui est la référente sur ce projet, a la possibilité de vérifier et de corriger les documents.

    « Le gros avantage d’utiliser l’ENT pour réaliser ce travail est que les élèves ont accès à leurs articles à n’importe quel moment et peuvent donc corriger ou modifier leurs articles de chez eux », ajoute Franck Dubois.

    Finies les impressions papier pour un journal : une fois réalisé, le journal, textes et photos, est déposé en format PDF sur le site du collège.

    Dans le courant du mois de juin, nous allons proposé un journal sous une forme plus interactive type Madmagz, ce qui permettra d’intégrer de l’audio et de la vidéo, notamment les interviews réalisées par les élèves.

    Dans le cadre de la semaine de la presse, les élèves ont également mis en place une webradio ; avec cette nouvelle forme de journal interactif, ils pourront tout à fait intégrer des séquences audio.

    Ce projet comporte environ trois à quatre parutions sur une année scolaire.

     

  • Pierre-Yves Duvoye, Recteur de l’académie de Versailles, témoin des NetJournées

    Pierre-Yves Duvoye, Recteur de l’académie de Versailles, témoin des NetJournées

    L’académie de Versailles pèse 10% de la France environ  avec un million d’élèves et 80 000 enseignants sur les 800 000 du territoire national ; c’est en cela, la plus importante académie de France.

    Le contraste est une des particularités de l’académie de Versailles.

    Le numérique a une déjà une longue histoire dans cette académie et dans les quatre départements qui la composent : Hauts de Seine, Essonne, Val d’Oise et les Yvelines.

    « Avec le CRDP et à sa tête Pascal Cotentin, nous avons développé beaucoup d’actions dans plusieurs domaines touchant au numérique : ressources, baladodiffusion, tablettes etc et aujourd’hui nous avons toujours un certain nombre d’expérimentations en cours ; sans oublier de nombreux enseignants dynamiques et engagés dans le numérique qui sont prêts à modifier leur manière d’enseigner« , souligne M. le Recteur.

    La présence de M. le Recteur sur la 6ème édition des NetJournées est d’autant plus cohérente tant l’académie est impliquée dans l’ENT, notamment sur les départements des Hauts de Seine et du Val d’Oise dont Pierre-Yves Duvoye a pu suivre une courte présentation, qui n’a fait que confirmer son intérêt pour l’outil comme il l’exprime : « je connaissais les contours de l’ENT ; je viens d’en voir la démonstration : elle est totalement exceptionnelle« .

    Et il tient à préciser qu’en cela, l’académie a déployé déjà beaucoup de moyens dans l’accompagnement des enseignants à ces outils.

    « Et je suis tout à fait déterminé à y mettre les moyens nécessaires pour qu’on puisse utiliser ces ressources de façon optimale et de plus en plus« , souligne t-il.

    Et lorsqu’on lui pose la question sur les deux autres départements, l’Essonne qui est en cours de déploiement (http://moncollege.essonne.fr) et les Yvelines, pas encore équipé, il s’avoue confiant, « fort d’ailleurs des deux expériences réussies des Hauts de Seine et du Val d’Oise« , conclut-il.

    Toutes les interviews réalisées sur les NetJournées sont à voir sur notre page plateau TV ici

     

     

  • Glup : un service en ligne pour créer des jeux sérieux

    Glup : un service en ligne pour créer des jeux sérieux

    Glup, un générateur ludopédagogique…

    Glup est un atelier qui vous permet de transformer vos exercices à base de textes en petits jeux sérieux. Nous vous proposons de visionner une vidéo enregistrée lors du Salon Intertice de l’académie de Versailles en février 2013 qui en présente le fonctionnement.

    Des jeux au format flash

    Grâce à Glup, vous générez des jeux au format flash (.swf) qui fonctionnent même sans connexion internet. Ces fichiers se lisent grâce à un lecteur flash ou directement dans un navigateur web. Vous pouvez aussi intégrer très facilement ces fichiers dans un site internet ou un blog.

    CDDP91_Glup_130114Pour vous donner envie de vous lancer, découvrez quelques exemples de jeux créés avec Glup dans différentes disciplines (mathématiques, sciences physiques, langues, lettres, etc.).

    La prise en main de Glup se fait rapidement et vous pouvez retrouver sur le site du CDDP91 un tutoriel sous forme de diaporama pour vous aider à créer vos propres jeux.

    Source : CDDP de l’Essonne, CRDP Académie de Versailles