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  • L’Académie de Toulouse venue en nombre à Ludovia#13 et bien représentée par sa rectrice, Hélène Bernard

    L’Académie de Toulouse venue en nombre à Ludovia#13 et bien représentée par sa rectrice, Hélène Bernard

    Ce sont plus de 150 enseignants de l’académie de Toulouse, soit un record, qui se sont déplacés pour cette 13ème édition de Ludovia à Ax-les-thermes. Cette année, Madame la Rectrice, Hélène Bernard, était présente pour l’inauguration officielle le mardi 23 août aux côtés de tous les partenaires institutionnels de l’évènement.

    Malgré un emploi du temps toujours chargé en cette rentrée, son séjour s’est poursuivi jusqu’au lendemain mercredi 24 août où elle a participé en matinée à une table ronde sur le thème « Innovations, Recherche et pratiques dans le numérique éducatif » aux côtés de Jean-Marc Monteil pour enfin ponctuer sa venue avec brillo en invitant sur l’après-midi, tous les chefs d’établissements de Haute-Garonne et d’Ariège et leurs adjoints, soit près de 400 personnes, pour une réunion de rentrée.

    Au passage, petit clin d’oeil à ces participants courageux qui ont bravé la chaleur de la salle de conférences du casino d’Ax-les-thermes, pas encore équipée d’un système de climatisation !

    Toute l’équipe de Ludovia nous a demandé de transmettre à Madame la rectrice leurs sincères remerciements pour son implication dans cette 13ème édition.

  • ENT et espaces plus « ouverts » : comment la complémentarité peut-elle s’opérer ?

    ENT et espaces plus « ouverts » : comment la complémentarité peut-elle s’opérer ?

    Ce fut la question posée lors de la table ronde « Espaces d’apprentissage » qui a eu lieu à Ludovia#13 le jeudi 25 août dernier.

    Rappel de la problématique

    Les exemples se multiplient qui montrent que les jeunes s’emparent de toutes les possibilités d’échange qu’offrent les réseaux sociaux (periscope, snapchat…).

    L’éducation nationale doit former les élèves à un usage responsable de ces nouveaux outils, pour en faire des acteurs du monde numérique et non des consommateurs. Pour cela, les ENT doivent donner accès à de multiples outils et services, dans un cadre respectueux du droit et propice aux activités pédagogiques.

    Comment les ENT évoluent et s’adaptent pour répondre à ces nouveaux usages?

    Pour y répondre, Christine Childs, enseignante en allemand AC Toulouse, Lionel Tordeux – IEN 1er degré dans l’académie d’Amiens, expert sur les dossiers ENT Premier degré et Internet responsable pour la DNE A3, MENESR , Martial Gavaland, enseignant en sciences-physiques AC Nantes,  Dominique Zahnd coordonatrice de la Délégation académique au numérique pour l’éducation (Dane) de Strasbourg  et Pierre Clot, conseiller pédagogique numérique du département du Tarn AC Toulouse ; autour de Pascale Montrol-Amouroux – DNE cheffe du département de la valorisation des usages et de la diffusion des pratiques DNE, MENESR qui a animé cette table ronde.

    La synthèse a été assurée par Jean-Marie Gilliot et Jennifer Elbaz de Brainpop.

    La thématique de cette table ronde est poser la question de comment est-ce que l’on va amener nos élèves à travailler dans le cadre des ENT (dit de confiance) à une Education aux Medias et à l’Information (EMI) pour leur donner les compétences nécessaires afin de pouvoir utiliser des espaces plus ouverts [comme Facebook, Twitter etc]. Comment est-ce que la complémentarité peut s’opérer ?

    Que représente l’espace d’apprentissage dont il est question ?

    Dominique Zahnd nous propose une analogie avec un randonneur.

    Espace : pour y entrer, encore faut-il trouver l’entrée. On peut y entrer librement ou pas. Une fois qu’on est entré dans l’espace regardons autour de nous : est-ce que quelqu’un peut nous aider à évoluer dans cet espace ? Est-ce qu’on peut se laisser aller, emprunter les chemins ou sentiers ou bien doit-on suivre un parcours balisé ? Qu’est ce qui nous est offert comme possibilité ?

    Apprentissage : visant à transmettre quelque chose, l’idée étant que l’élève ait de quoi apprendre, puisse évoluer avec sécurité dans l’espace, qu’il puisse trouver motivation, trouver quelque jeux de piste sur le chemin.

    Martial Gavaland, enseignant dans l’académie de Nantes dispose d’un ENT bien installé depuis 10 ans, institutionnel.

    Seulement voilà : les fonctionnalités ne lui permettent pas de mener son projet pédagogique comme il l’entend. De fait, il utilise alors Edpuzzle. C’est un logiciel ultra simple à efficacité pédagogique immédiate. La DANE lui pose la question de la teneur et respect des CGU vis-à-vis de la loi française. Martial se rend rapidement compte qu’il a outrepassé bon nombre de règles données. Quelles sont ses possibilités afin de maintenir son projet ? Contrat local ? Accord du chef d’établissement ?

    Christine Childs, enseignante dans un établissement privé sous contrat ne dispose pas d’un ENT. Dans le cadre de ses cours, elle a crée, avec ses élèves, une véritable entreprise. Cette année les élèves ont créé des tee-shirts pour les vendre. Ils utilisent alors un certain nombre de stratégies marketing, commerciales et communication et ouvrent une page Facebook, dans ce cadre. Ils se retrouvent sur un espace ouvert.

    Son rôle devient modérateur : expliquer aux élèves qu’ils sont responsables de leurs propos, qu’ils doivent respecter l’image des autres etc. A noter, elle bénéficie du soutien de son chef d’établissement. Elle fait donc le choix de l’éducation et la responsabilisation des élèves dans un cadre ouvert.

    La question qui est alors posée sur la table ronde : l’intérêt pédagogique est-il plus important que le cadre juridique ? Mais la réponse n’est pas apportée.

    Lionel Tordeux nous cite l’exemple d’une élève de CE1 ayant un compte Facebook découvert par son enseignante. L’ENT arrive dans l’établissement, l’enseignante décide alors de travailler sur le profil que chacun va mettre en place dans l’ENT. Conclusion : grâce à l’ENT, on pratique directement l’EMI.

    Lionel TORDEUX affirme que la volonté de l’institution dans l’écriture du schéma est bien la mise à disposition d’outils qui offrent des services autant au moins pédagogique que Facebook peut l’être.

    Pierre Clot entre autre formateur sur l’académie de Toulouse explique son cas : les outils extérieurs préalablement utilisés, remplacés par l’ENT : « on a gagné en sécurité et en tranquillité d’esprit ». Confirmant le gain en efficacité et précisant chaque élève identifié est mieux responsabilisé. Il y a eu aussi la mise en place d’une charte signée par les élèves et les familles, et des règles ont été mises en place en cas de dysfonctionnement.

    Il précise avoir enfin trouvé sur Educatice un ENT branché réseau social.

    En tant que formateur il confirme sa volonté de préférer ne pas laisser les collègues prendre des risques.

    Pascale Montrol-Amouroux pose alors la question : l’idée, c’est de comprendre comment l’ENT peut s’ouvrir vers les réseaux sociaux ? L’ENT a-t-il évolué et a-t-il su se mettre à jour ?

    Dans l’académie de Strasbourg, l’ENT existe depuis 2004 : les élèves pouvaient voir la liste des enseignants et leurs prénoms, ce qui était une révolution à l’époque. Les enseignants ont pris en main l’ENT puis au bout de quelques années ne trouvaient plus leur compte dans ses fonctionnalités. La DANE a donc fait en sorte que l’outil s’adapte aux besoins de l’enseignant et a décidé de tester Moodle en 2011. De nouvelles fonctionnalités ont été intégrées à l’ENT : le travail est devenu collaboratif. En observant le terrain une académie fait évoluer le projet.

    Christine fait remarquer que chez nos voisins anglais, Facebook n’est plus une question, en ayant construit et diffusé un guide « Facebook à destination des éducateurs ».

    Lionel Tordeux précise que de schéma en schéma directeur le produit a évolué. Les professeurs ont eu des commandes, des besoins, les industriels étaient à l’écoute ; on a maintenant des outils qui nous rendent service pour le 1er degré. Et pose la question : est-ce qu’il n’y a pas une méconnaissance des outils proposés ? Pour lui, la Classe inversée et les Twictées sont des dispositifs qui pourraient parfaitement utiliser les ENT.

    Un autre exemple venant de la salle démontre qu’on peut utiliser des forums dans un établissement et cite Babelio dans une perspective d’EMI.

    Est-ce qu’on doit interdire à nos élèves d’utiliser Facebook etc ou bien leur apprendre à utiliser Facebook ?

    Qu’est ce qui est à l’intérieur et qu’est ce qui est à l’extérieur ?

  • Quelles ressources numériques pour développer présence, attention et engagement en classe ?

    Quelles ressources numériques pour développer présence, attention et engagement en classe ?

    Voici un sujet intéressant posé par la table ronde « ressources, jeux & contenus » lors de l’Université d’été de Ludovia#13 avec la problématique ci-dessous.

    Problématique :

    Si l’on pourra s’interroger sur les formes de présence, d’attention et d’engagement des élèves et des groupes d’élèves ou des enseignants, nous demanderons aux intervenants d’indiquer quels points d’attention ils retiennent pour concevoir, développer, mettre à disposition et diffuser leurs ressources numériques pour l’École ou plus largement pour l’éducation ? Qu’est-ce qu’une ressource qui développe la présence, l’attention, l’engagement des élèves et de leurs enseignants ? Les mêmes à tous les âges ? Pour quels objectifs ? Quels équilibres rechercher entre la qualité des contenus et des services associés, l’ergonomie, les retours sur actions à travers la diversité des ressources (audio-vidéo, textes et images, jeux, etc.) ? Quels dispositifs pédagogiques, quelles évaluations et/ou indicateurs retenir ?

    Cette Table Ronde s’efforcera de confronter des expériences et des points de vue pour aller au-delà des constats de motivation ou de mise en action des élèves si souvent répétés, ou bien encore pour dépasser la simple invocation de l’élève acteur de ses apprentissages.

    Intervenants 
    : Milena Popova – Europeana, Alain Thillay -DNE, Ludovic Delorme – Professeur agrégé de SVT AC Montpellier et Géraldine Bridon – Professeur de SVT AC Paris.
    Modérateur : François Jourde
    Rapporteurs & synthèse : Stéphanie de Vanssay

    Les aventuriers de la ressource perdue

    « Quelles ressources numériques pour développer présence, attention et engagement en classe ? », thème récurrent chaque année à Ludovia, la question des ressources a évidemment fait l’objet d’une table ronde le mercredi 24 août. En débat : quelles ressources ? Quelles provenances ? Comment les trouver et les utiliser ?

    D’où viennent les ressources ?

    Les éditeurs privés en proposent mais aussi le ministère (Eduthèque par exemple), la commission européenne (Europeana), les enseignants eux-mêmes sans oublier les élèves !
    En effet, solliciter les élèves, tant sur la forme et les aspects techniques des ressources numériques que sur le fond de leur contenu, est un puissant moyen d’engagement. Être en position de contributeur, créateur, expert technique a l’avantage de motiver les élèves, d’être une entrée efficace pour asseoir des apprentissages et par la même occasion de faire gagner du temps à l’enseignant.

    Comment les trouver ?

    Tout d’abord il faut connaître leur existence… Nous avons par exemple été très nombreux ici à découvrir l’existence de la bibliothèque numérique Europeana(1). Ensuite une indexation claire et pertinente ainsi qu’un moteur de recherche permettant idéalement de chercher parmi plusieurs banques de ressources sont essentiels. Eduthèque(2) va très prochainement faire un premier pas en ce sens avec un moteur permettant de chercher des ressources chez tous les partenaires en une seule fois. Cela facilitera les recherches thématiques et permettra d’obtenir des résultats dans différents champs disciplinaires.

    Quelles sont leurs caractéristiques ?

    La ressource idéale est libre, gratuite et accessible, c’est-à-dire d’un accès facile en ligne mais aussi adaptée aux personnes en situation de handicap. Elle doit aussi être modifiable en fonction des besoins des élèves et aussi de la pédagogie de l’enseignant, partageable et téléchargeable pour une utilisation hors ligne. Enfin la ressource parfaite est « débrayable » pour une utilisation granulaire dans tout contexte où elle peut être utile et pertinente. Une ressource figée et non partageable risque fort d’être inutilisée car inadaptée ou pire carrément inconnue.

    Mais cela n’est pas simple, il y a des aspects juridiques à prendre en compte pour gagner la confiance des opérateurs et tenter de vaincre petit à petit les résistances à une diffusion plus libre et ouverte. Actuellement, la publication d’une ressource sur le blog personnel de l’enseignant reste trop souvent non autorisée.

    Or, tous les établissements ne disposent pas forcément d’un ENT (écoles primaires, enseignement privé) souvent nécessaire pour diffuser des ressources aux élèves et à ses collègues en respectant les conditions d’utilisation de celles-ci.

    Au delà de la mise à disposition de ressources, des services associés comme la scénarisation ou des exemples de projets sont appréciables.

    Comment les utiliser ?

    Au delà de l’aspect pédagogique “classique” de nombreuses ressources numériques produisent des traces pouvant servir à accompagner (repérer, différencier), à évaluer les élèves et aussi le projet lui-même. Cela pose la question de l’exploitation de ces traces : peuvent-elles/doivent-elles être toutes étudiées ? Qu’est ce qui est collecté comme données ? Dans quels buts ? Pour quelle utilisation ?   Les traces ne suffisent évidemment pas à tout apprécier mais elles se combinent à d’autres éléments sans s’y substituer, tout n’est pas automatisable.

    Les ressources, une fois incluses dans un scénario pédagogique, permettent des usages ludiques, collectifs, participatifs dans le cadre d’un projet. Elles peuvent aussi être accessibles en mobilité, dans plusieurs langues, sous plusieurs formes pour s’adapter à des contextes variés.

    Il ne faut pas hésiter à utiliser les compétences des élèves, à solliciter l’aide et les conseils de collègues (via les réseaux sociaux par exemple), se simplifier la vie en automatisant ce qui peut l’être, en cherchant des solutions sans complication. Les seules compétences indispensables pour utiliser les ressources sont les compétences pédagogiques pour le reste tout le monde est capable de se débrouiller.

    Enfin, il est important de faire des retours d’usage aux plateformes proposant des ressources numériques pour permettre l’amélioration du service.

    La quête des ressources numériques idéales est en cours ; les aventuriers qui produisent, cherchent, utilisent les contenus numériques ont encore un gros travail de défrichage à faire !

    Plus d’infos vers les liens ci-dessous :

    Europeana la bibliothèque numérique européenne

    Éduthèque avec bientôt un moteur de recherche dédié, parcours M@gistère en auto-inscription

    Banque de ressources numériques pour les cycles 3 & 4 (lancement 31 août avec 30 % des contenus puis enrichissement d’ici décembre 2016)

    Tactiléo Map, application de géomatique créée pour accompagner des sorties terrain

    Portail « Apprendre avec le jeu »

    Site de Géraldine Bridon

    MOOC bac2sciences créé par des profs pour aider les élèves à préparer les épreuves du bac

    Storify de la table ronde prise de notes en direct sur Twitter

  • La Région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées ou « Occitanie », fidèle partenaire de Ludovia

    La Région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées ou « Occitanie », fidèle partenaire de Ludovia

    Kamel Chibli, Vice-Président de la Région en charge des questions d’éducation et Président de la commission éducation à l’ARF, a dit quelques mots au micro de Ludomag lors de la journée d’ouverture de cette 13ème édition de LUDOVIA, mardi 23 août dernier.

    Le challenge de cette grande Région est de mutualiser les pratiques numériques déjà en place qui, de chaque côté, sont allées au-delà de leurs compétences initiales.

    Il est notamment question des deux dispositifs déjà en place comme « LoRdi » dans l’ex région Languedoc-Roussillon et « Ordilib » en ex Midi-Pyrénées. « Que faisons-nous maintenant de ces matériels au plan pédagogique« ? Kamel Chibli interroge l’Education Nationale et s’engage dans une phase de concertation sur le sujet.

    La nouvelle grande région encourage et accorde son soutien financier à l’université d’été de Ludovia.

  • L’Ariège, toujours partante pour porter le numérique à l’Ecole et son évènement Ludovia#13

    L’Ariège, toujours partante pour porter le numérique à l’Ecole et son évènement Ludovia#13

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    Henri Nayrou (et non Narou comme il est indiqué dans la vidéo enregistrée dans des conditions du direct, veuillez nous en excuser !), le Président du conseil départemental de l’Ariège, a donc répondu présent pour venir parler au micro de Ludomag sur le plateau TV de l’Université d’été Ludovia#13. Encore présente était aussi l’Ariège pour porter, soutenir et financer pour partie ce grand évènement qui ne cesse de performer et monter en puissance chaque année avec déjà +25% de fréquentation entre 2015 et 2016.

    Nous avons compris depuis très longtemps que l’avenir de nos enfants et de nos collégiens pour ce qui nous concerne, passait par l’investissement en équipements numériques.

    Cela vient avec ce qu’Henri Nayrou appelle « les autoroutes de l’information » puisqu’après une première vague en 2007 d’équipement en fibre optique (450 kms creusés), l’appel d’offre pour la 2ème vague a été lancé.

    Il consiste à ce qu’en 2020, les 84 000 lignes actives d’au moins 8MB soient au deux tiers en fibre optique jusqu’à l’abonné ; un investissement de 67 millions d’euros, « ce qui est tout à fait remarquable pour un petit département comme le nôtre« , ajoute Henri Nayrou.

    Crédit dessin : CIRE

  • BarCamp innovation & recherche : de beaux échanges à Ludovia#13 !

    BarCamp innovation & recherche : de beaux échanges à Ludovia#13 !

    Le Barcamp Innovation & Recherche se proposait de répondre à la question produite lors de l’intervention de Jean-Marc Monteil le matin même sur sa conférence et les questions réponses qui ont suivi. Pourquoi la recherche en éducation numérique, ou comment cette recherche, doit-elle irriguer ou pouvoir se développer au sein des établissements ?

    Les freins, les opportunités pour un développement de cette recherche, la mise en oeuvre.. Quelle place à la recherche fondamentale aux cotés de la recherche appliquée ? Quelle place pour les enseignants ? Quels manques ? De la méthodologie, une initiation à la recherche. Pouvons nous faire l’analogie avec le secteur de la santé ou ses chercheurs en biologie qui font évoluer et progresser la médecine ?

    Ce sont toutes ces questions qui ont été posées.. Certaines réponses ont été envisagées avec notamment la présence des Savanturiers et du CRI qui oeuvrent dans cette dynamique et cette relation « enseignants-chercheurs » . Une vingtaine de personnes et 2 heures d’échanges ont pu dégager cette carte mentale où l’on peut voir que les enseignants et chercheurs présents sur ce Barcamp voient les choses de manière duale voire multiple : la recherche au bénéfice de la classe et des enseignants ..mais aussi l’enseignant comme sujet d’observation pour la recherche en même temps que « acteur » de cette recherche.

    Il est certain que le « système » actuel ne favorise pas les initiatives car se « frotter » à la recherche n’est pas valorisé pour un enseignant et, de la même manière,  il est relativement compliqué pour un chercheur d’observer les enseignants dans leur pratique au quotidien. Ce qui est certain, c’est que chacun a besoin de l’autre pour faire avancer les choses : le programme e-Fran et les nombreux projets de recherche qui vont se développer pour les 4 prochaines années mettront-ils une pierre supplémentaire à cet édifice ?

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    Un BarCamp réalisé le mercredi 24 août à Ax-les-Thermes en partenariat avec Ludovia_Promethean_010916

  • Soirée Ludovia#13 autour d’un Pecha Kucha : on en parle encore !

    Soirée Ludovia#13 autour d’un Pecha Kucha : on en parle encore !

    Le Pechakucha ou Pecha Kucha (du japonais ペチャクチャ : « bavardage », « son de la conversation ») « est un format de présentation orale associée à la projection de 20 diapositives se succédant toutes les 20 secondes et de préférence sans effets d’animations (la présentation dure 6 minutes et 40 secondes au total). Cette contrainte impose à l’orateur de l’éloquence et un sens de la narration, du rythme, de la concision, mais aussi de l’expression graphique.

    (Définition source : Wikipédia)

    C’est autour de Jean-Marc Merriaux, Caroline Jouneau-Sion, Laurence Juin, Ninon Louise Lepage, François Jourde, Stéphanie de Vanssay, Jean-Paul Moiraud et Christophe Batier, que Ludovia#13 est entrée en scène avec sa soirée d’ouverture et son thème annuel : « Présence, attention et engagement en classe avec le numérique« .

    Ce sont sous différentes formes mais tous avec la même énergie que nos présentateurs volontaires ont animé un public venu en nombre mardi 23 août dernier à Ax-les-Thermes pour la 13ème édition de l’Université d’été Ludovia.

    Vous pouvez revoir l’intégralité des Pechakucha filmés sur Périscope (au passage, merci à Nicolas Le Luherne, Nadya Benyounes et Christophe Batier pour leur aide technique dans cette réalisation) sur la page dédiée : ludovia.org/2016

     

  • Coup de chapeau à Anaïs, Marius et Jérôme, les animateurs de la Ludo Radio Ludovia#13

    Coup de chapeau à Anaïs, Marius et Jérôme, les animateurs de la Ludo Radio Ludovia#13

    Ludovia_webradio_010916

    Anaïs, Marius et Jérôme ont eu l’occasion de participer à la 13ème édition de l’Université d’été de Ludovia. Rares pour ne pas dire absents sont les élèves qui viennent écouter les différentes conférences et autres ateliers proposés, période de vacances oblige ! Ces trois collégiens ont répondu présents à l’appel de leur enseignante professeur documentaliste, Claire Balas du collège tout proche, Mario Beulaygue, pour venir animer une webradio et réaliser plusieurs émissions pendant toute la durée de l’évènement.

    Ils remercient particulièrement l’atelier Canopé et le CLEMI de l’académie de Toulouse et de Montpellier qui leur ont prêté le matériel permettant la réalisation de ce programme.

    Plutôt que de longs discours, nous vous invitons à écouter leurs voix fraîches et pleines d’entrain lors des nombreuses interviews réalisées qui nous encouragent à penser que l’élève acteur, créateur et producteur de ressources, guidé et accompagné, est une voie toute tracée pour le numérique à l’Ecole.

    Voir toutes les émissions sur ludovia.org/2016/tag/ludoradio

    ET puis ils passent bien aussi devant la caméra….

  • FabCamp et LabCamp se partagent l’espace sous le grand chapiteau de Ludovia#13

    FabCamp et LabCamp se partagent l’espace sous le grand chapiteau de Ludovia#13

    Cette année, le colloque scientifique Ludovia prend de l’ampleur avec, comme traditionnellement, les communications scientifiques, mais aussi des conférences sur la recherche et l’innovation, un espace dédié à la recherche, le « Labcamp » de Ludovia où laboratoires, entreprises et institutions mettront en avant des points de convergence entre la Recherche, l’Ecole et les entreprises.

    Fier de son succès des deux années précédentes, l’espace « FabCamp » ou « Souk Numérique » proposera encore cette année de nombreux sujets de fabrication et de création où vous serez tous acteurs : construire des ressources, des contenus ou des outils ; échanger des astuces entre enseignants avec son matériel ; ou encore mettre en place des solutions peu onéreuses (liseuses « bricolées », ressources « maison »…).

    Sur cet espace, le « chapiteau de cirque de Ludovia« , vous retrouverez aussi des stands partenaires qui proposeront des ateliers pendant les trois jours de Ludovia, du mardi 23 août au jeudi 25 août au soir.

    Plus d’infos sur le programme du FabCamp

    Plus d’infos sur le programme du LabCamp

    Crédit photo : Dessin réalisé par CIRE