Elle consiste à écrire les pages en HTML -langage clair et efficace- en association avec des feuilles de styles ou CSS -Cascading Style Sheets-.
A l’aide de nombreux exemples illustrés, l’auteur explique comment :
→ Concevoir progressivement un site web complet en suivant deux études de cas
→ Simplifier les pages en séparant mise en forme CSS et contenu HTML pour gagner en clarté et en souplesse
→ Adapter le site à la consultation sur un smartphone ou une tablette
→ Comprendre l’imbrication et la hiérarchie des balises et maîtriser les structures du HTML → Apprendre à écrire efficacement une feuille de style CSS pour une présentation homogène
→ Changer sans peine la charte graphique du site, de la mise en forme des textes et images au positionnement des blocs
→ Illustrer des contenus avec des images, sons, vidéos et animations Flash ou CSS 3
Cette sixième édition prend en compte les dernières évolutions des navigateurs et des standards HTML 5 et CSS 3.
A propos de l’auteur : Ingénieur EFREI, Francis Draillard a exercé dans l’industrie, la recherche, la formation continue et l’enseignement supérieur. Il intervient comme professeur associé à l’EIGSI, école d’ingénieurs à La Rochelle. Concepteur web indépendant et conseil en entreprise, il contribue au site Framasoft dédié aux logiciels libres et à l’évolution de PluXml, système de gestion de contenu libre pour créer des sites modifiables en ligne.
Ouverte et attractive, cette Université Numérique de Côte dIvoire (UNCI) a trois objectifs :
. améliorer la qualité de l’enseignement dispensé par la production de contenus novateurs,
. moderniser le système en adoptant de nouvelles méthodes d’enseignement par le déploiement des Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Education (TICE),
. multiplier l’offre de formations pour faire face au nombre exponentiel d’étudiants grâce à la formation ouverte et à distance (FOAD).
Première pierre à l’édifice de cette université numérique, créée en décembre 2014, une mission d’évaluation visant à faire un audit de l’existant en matière numérique sur l’ensemble du pays.
Elle a été conduite entre le 19 et le 22 janvier 2015 par le professeur Jemaiël Ben Brahim, directeur du bureau Afrique de l’Ouest de lAUF.
Au programme de cette mission :
– une présentation par l’AUF de plus de 4000 ressources pédagogiques (cours, travaux dirigés, travaux pratiques ), correspondant à 3000 heures de cours.
– des visites dans les universités du pays notamment des Infrastructures du Réseau Ivoirien de Télécommunication pour l’Enseignement et la Recherche (RITER), Datacenter, salles multimédia de téléenseignement .
– l’identification, au sein de lUniversité Félix Houphouët-Boigny, de locaux pour l’enregistrement vidéo des cours et la numérisation des supports pédagogiques.
. d’établir un inventaire des cours gratuits en ligne, des formations à distance diplômantes et payantes, den sélectionner une partie pouvant répondre aux besoins ivoiriens puis d’apprendre aux enseignants à créer des parcours de formation ciblés à partir de ces cours sélectionnés.
. de créer une « fabrique à CLOM (Cours en Ligne Ouverts et Massifs) », pour la production de cours filmés, puis de former les enseignants à en réaliser.
. de concevoir une formation en informatique et internet pour les étudiants.
La formation ouverte et à distance n’est pas conçue comme une alternative au présentiel ; elle vient plutôt compléter le dispositif existant.
Les étapes futures consisteront à former enseignants et étudiants à ce nouveau mode d’enseignement : un appel international à candidatures pour la production des contenus d’un « Clom/Mooc certice » (certification des compétences en « TICE », Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Education) sera lancé dans les mois qui viennent.
Il sera suivi, entre mai et septembre 2015, par le développement de la plateforme pour l’intégration des contenus. Le lancement proprement dit de la « formation Certice » est prévu en septembre 2015.
« Ce partenariat avec l’AUF sinscrit dans la suite logique du soutien apporté par l’Agence aux universités ivoiriennes lors de la reconstruction du pays. Ce projet est déterminant pour le développement du système ivoirien denseignement supérieur. Il est l’aboutissement de l’investissement déjà ancien, tant de la Côte divoire, que de l’AUF, dans le numérique : dès 1995, la législation ivoirienne, dans sa loi n° 95-696, avait prévu le développement de cette forme d’enseignement. Quant à l’AUF, avec la création de ses campus numériques francophones dès 1990, elle s’est toujours montrée précurseur dans ce domaine. », indique Bernard Cerquiglini, Recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie.
[callout]Le collège Mendès France de Tourcoing a intégré le programme Collèges Connectés (dénommé CoCons) à la rentrée 2013 avec la spécificité d’appartenir au dispositif Eclair (aujourd’hui REP+).[/callout]
« Nous avons profité de cet environnement particulier pour partir sur deux axes essentiels : un travail avec des outils numériques “classiques“ au collège, comme les tablettes numériques par exemple, et avec l’équipe de la SEGPA, un travail autour de la solution BIC Education pour les élèves à besoins éducatifs particuliers », souligne Philippe Leclercq, Délégué Académique au Numérique de l’Académie de Lille.
Il est vrai que « l’incubation numérique » dans ce collège date de plusieurs années car, comme l’explique Jacques Melerowicz, le principal :
avant même de devenir Collège Connecté, les enseignants, du fait du public accueilli, se sont très vite tournés vers les outils numériques pour pouvoir mieux adapter leur enseignement.
Le collège avait notamment aménagé plusieurs « classes pupitres » (classes informatiques) et utilisait un Espace Numérique de Travail de fabrication « maison » comme solution de départ (depuis, l’ENT K-d’école « savoirs numériques 59-62 » déployé par la société KOSMOS est en marche pour tous les collèges et les lycées de l’académie).
Avec l’arrivée des outils nomades et notamment de la solution BIC Education, c’est la souplesse d’utilisation qui a séduit tout le monde.
Une fois passée la période de découverte et l’effet « Waouhh », serait-on tenté de dire, les potentialités du logiciel BIC Connect ne sont plus à démontrer.
Pour preuve, après un an et demi, tous les enseignants de la SEGPA utilisent les ardoises BIC et « nous avons élargi l’usage aux élèves allophones dans le cadre de l’UPE2A (Unité Pédagogique pour Elèves Allophones Arrivants) ; la classe “Co“, qui est une classe intégrée de l’IM Pro géographiquement voisin va prochainement démarrer le travail avec cet outil », souligne Jacques Melerowicz.
La réflexion s’engage également vers l’utilisation des ardoises BIC en classe-relais (élèves décrocheurs) et pour l’aide aux devoirs ; en fait,
il s’agit de le généraliser à tout type de public à besoins particuliers dans l’établissement
« car c’est pour nous, un outil de remédiation et de soutien car il permet l’individualisation des parcours », ajoute Jacques Melerowicz.
L’individualisation des parcours : une vraie plus-value du numérique pour enseigner à des publics à besoins éducatifs particuliers.
Pour ce qui est des élèves allophones, Estelle Guilmet, enseignante non convaincue au départ par le numérique, constate les différences d’apprentissage avec ou sans l’utilisation des ardoises.
Pour la compréhension et la lecture d’une phrase par exemple, l’écoute par le casque, que chaque élève peut répéter autant de fois qu’il le souhaite, l’aide à la prononciation. L’enseignante, qui ne sait pas comment expliquer ce phénomène, constate pourtant que
le fait qu’ils entendent et qu’ils lisent en même temps une phrase fait qu’ils la retiennent mieux et ils la prononcent mieux ; la lecture est plus fluide, audible et l’accent se gomme.
Si elle compare avec ses méthodes d’avant où elle lisait la phrase à voix haute au tableau et où chacun répétait après elle, elle doit avouer que cela fonctionnait moins bien ; et elle ajoute « ils sont capables même sans le son, avec l’écriture, de relire correctement la phrase ».
Pour des élèves non-lecteurs, comme c’est le cas des allophones, elle voit aussi un net changement avec les usages qu’elle pouvait avoir en salle informatique où elle passait « des heures » à expliquer aux élèves comment ouvrir leur session, etc.
Avec la prise en main par plusieurs enseignants et le développement des usages, le principal parle aujourd’hui d’une phase de généralisation de l’incubation.
Cette généralisation a été rendue possible, d’une part, par les constantes évolutions que permet le produit et qui ont été apportées par le constructeur, à l’écoute des enseignants et de leurs besoins durant ces 18 mois.
Pour exemple, l’évolution de la solution permet aujourd’hui de travailler avec des ardoises dans deux classes différentes, « ce qui permet de répondre à la demande des enseignants qui réservent, sur un planning en ligne, le nombre d’ardoises dont ils ont besoin sur tel créneau horaire », explique Jacques Melerowicz.
D’autre part, cette croissance des usages a également été rendue possible par la motivation de certains enseignants « pionniers », qui sont parvenus à convaincre leurs collègues, même les plus réticents à l’outil numérique. Ceux-ci n’ont pas eu besoin d’user d’une grande force de persuasion car la réactivité et la souplesse de l’outil ont rapidement séduit les plus réfractaires.
Ainsi, Estelle Guilmet qui n’a jamais eu d’affinités particulières avec le numérique, témoigne de cette simplicité d’action. « Comme j’ai eu une prise en main très rapide, en l’espace de deux jours et qu’avec les élèves, cela s’est très bien passé, j’en ai parlé à une collègue de mathématiques qui travaille avec les mêmes élèves que moi et aujourd’hui, elle a envie de s’y mettre aussi ».
Des usages avec les ardoises répandus comme une traînée de poudre : le fruit d’une collaboration solide entre enseignants.
Estelle avoue être toujours très encadrée par Patrick Vanhoutte, précurseur dans la prise en mains des ardoises numériques, pour se rassurer peut-être un peu, mais aussi pour pousser toujours plus loin les potentialités de l’outil. Leurs séances de travail sont régulières au cours desquelles Estelle pose à son collègue les soucis qu’elle a rencontrés et parle des séances qu’elle aimerait envisager.
Plus généralement, l’académie se sert des « mises en incubation », appelés communément expérimentations, pour étendre les usages numériques sur tout le territoire.
Au collège Mendes France, elle va notamment s’appuyer sur les équipes de SEGPA et leurs usages de la solution BIC dans une optique de mutualisation à d’autres établissements ; une mutualisation qui est facilitée avec BIC car, comme le fait remarquer Philippe Leclercq,
le produit donne aux enseignants un environnement de travail sous forme d’un écosystème intégré, ce qui en facilite l’usage et ne nécessite pas des efforts de formation extrêmement importants.
« C’est la politique du ministère d’utiliser les établissements comme lieux de formation en dépassant le cadre classique de la formation des enseignants », conclut Philippe Leclercq ; une politique nationale de formation par les pairs, intra-établissements, qui a l’air de bien fonctionner au collège Mendès France de Tourcoing qui, rappelons-le, fait état d’un contexte social parmi les plus difficiles de France (à découvrir dans un prochain sujet sur ludomag.com, « le numérique pour sauver des territoires en très grande difficulté sociale : une réalité dans l’académie de Lille »).
Du 1er au 31 mars 2015, tous les élèves et professeurs d’écoles primaires, de collèges et de lycées pourront bénéficier gratuitement de l’Offre Education de Madmagz, qui comprend :
le choix parmi une large sélection de plus de 20 maquettes différentes,
la création illimitée de journaux scolaires totalement interactifs (ajouts de liens Internet) et multimédias (ajout de sons, de vidéos, etc.),
la possibilité de télécharger gratuitement son journal scolaire au format PDF.
Les élèves journalistes pendant la Semaine de la presse
En permettant aux élèves d’endosser le rôle de journaliste et de créer individuellement ou collectivement leur propre magazine en ligne, Madmagz encourage :
l’éducation aux médias
l’apprentissage de la lecture et l’écriture
la responsabilisation des élèves
la collaboration
l’initiation aux technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE)
Louis Derrac, Responsable Éducation de Madmagz : “Avec la mise à disposition gratuite de notre Offre Education pendant le mois de mars, nous avons souhaité contribuer à l’élan citoyen de la Semaine de la presse en permettant à chaque élève et apprenant de se glisser, ne serait-ce que le temps d’une semaine, dans la peau d’un journaliste”.
Exemples de journaux scolaires :
Dans l’ordre d’apparition : Collège Les Rives du Léman (74)*, Lycée Antoine de Saint Exupéry (59), école française de New York.
Plus d’infos :
Pour bénéficier de l’offre, les élèves et professeurs devront remplir le formulaire sur la page dédiée.
A propos de Madmagz :Madmagz est le premier site internet qui permet à chacun de créer son magazine au format numérique ou papier, avec pour ambition que chacun puisse devenir éditeur de magazine en créant, diffusant et monétisant en quelques clics ses magazines. Madmagz compte aujourd’hui plus de 500 000 éditeurs professionnels, associatifs, scolaires, particuliers… depuis son lancement opérationnel en janvier 2010.
Madmagz compte déjà plusieurs milliers de professeurs parmi ses utilisateurs. Les applications pédagogiques de Madmagz sont nombreuses : journal scolaire, dossier, rapport de stage, TPE (Travaux Personnels Encadrés), travail d’étude…Pour plus d’information sur Madmagz, rendez-vous sur http://www.madmagz.com/fr.
On apprend l’anglais, le chinois, il faut apprendre à coder.
Une phrase d’Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique.
Fort de sa réputation d’éditeur de référence en informatique, il était légitime que les éditions Eyrolles lancent cette collection « Pour les Kids » dont les ouvrages d’initiation à la programmation s’adressent aux jeunes lecteurs de 8 ans et plus (et à leurs parents !).
Avec une approche très visuelle et colorée, ces livres ludiques mêlent code, puzzle, jeux et bandes dessinées.
Nos jeunes lecteurs apprendront non seulement à créer leurs propres jeux, à écrire des programmes informatiques, mais aussi et surtout à penser de façon créative, à bien raisonner, et à travailler en équipe. Des compétences essentielles pour s’épanouir dans le monde d’aujourd’hui.
Ce premier livre, « Scratch pour les Kids« , ludique et accessible explique aux enfants les bases de la programmation (variables, boucles, tests…) avec l’aide de Scratch, logiciel libre et gratuit.
D’approche très visuelle, fonctionnant par assemblage de briques de couleur, cet outil éducatif a déjà séduit des millions de débutants en programmation dans le monde. Avec cet ouvrage, les enfants seront amenés à réaliser différents projets, inspirés des classiques jeux d’arcade, afin de développer leurs aptitudes à raisonner, innover et travailler en équipe.
Enseigner la science informatique à l’École, pourquoi et pour quoi faire ?
À l’heure où François Hollande annonce la création d’une « grande école du numérique », le débat sur l’apprentissage du code informatique à l’école est plus que jamais d’actualité. L’enseignement de la science informatique est-il une composante essentielle, et avec quels objectifs ? Quels sont les outils et méthodes pertinents et quelle approche de la programmation faut-il proposer ? Comment aborder la question de la formation des enseignants ?
Plus généralement, si le besoin de former des scientifiques et des ingénieurs est au cœur des préoccupations, le propos est aussi de donner à tous quelques notions permettant de maîtriser l’informatique et mieux comprendre le fonctionnement de l’ordinateur, pour utiliser de façon pertinente l’information et les services qu’il propose.
Responsables d’éducation, professionnels de la formation, collectivités, chercheurs, enseignants, élèves et industriels échangeront pendant deux jours autour de cette thématique.
La table-ronde inaugurale de la manifestation, en présence d’Axelle Lemaire, secrétaire d’État déléguée au numérique, Philippe Mussi, vice-président du Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur délégué au développement du numérique, et de Gilles Dowek, chercheur à l’Inria, lui sera également dédiée : « Enseigner l’informatique, éduquer au numérique ? ».
Nouveauté 2015 : Le Lab, l’espace des créativités numériques
Les Rencontres de l’Orme se démarquent cette année en proposant un tout nouvel espace, Le Lab.
Rassemblant plusieurs acteurs autour d’une logique de projet et de learning by doing dans les domaines de l’éducation, de la formation et de l’innovation, Le Lab est un espace convivial de créativités, d’expérimentations et d’échanges.
Ce nouvel espace s’articule autour de 3 pôles qui proposeront une programmation spécifique :
. FabLab : ateliers de co-design et d’expérimentation, avec la possibilité de créer des objets inédits et novateurs ;
. LearningLab : présentation et manipulations des différents outils, objets et projets innovants ;
. LivingLab : laboratoire d’idées et espace de rencontres, avec la participation d’élèves, d’étudiants, de chercheurs et d’industriels.
Et toujours au programme : École communicante | ateliers et séminaires professionnels | stands et espaces thématiques (logiciels libres, édition numérique, villes numériques, projets européens) | programme IntégraTice (numérique et handicap) | salon des éditeurs scolaires.
A propos de Canopé académie d’Aix-Marseille
Canopé académie d’Aix-Marseille (« Réseau Canopé », nouvelle appellation du réseau SCÉRÉN [CNDP-CRDP] depuis février 2014) agit pour le développement des usages du numérique dans l’éducation. Dans le cadre de partenariats régionaux et nationaux, il observe et promeut les usages des TICE ; élabore et met en œuvre des solutions d’accès aux ressources ; fait connaître l’offre de produits et de services ; met en relation concepteurs, décideurs et usagers pour une meilleure adéquation entre les besoins et les offres.
Bachelors de France va simplifier la vie des bacheliers et des étudiants en reconversion, en classant et référençant les informations et les programmes bachelors disponibles en France, par région et par spécialité.
Sous l’appellation « Bachelors de France » se trouvent réunies une communauté digitale et une application mobile capables d’orienter les futurs bachelors dans le choix de la formation la plus adaptée à leurs besoins.
Véritable lieu d’informations, d’échanges, d’orientation, l’application mobile « Bachelors de France » c’est :
Un test personnalisé : il permet de trouver le bon programme bachelor en fonction du rythme scolaire souhaité, de la spécialité envisagée et de la localisation.
Une fiche par Bachelor : elle délivre des informations précises sur la formation envisagée, permet de rentrer en contact avec les futurs étudiants du bachelor et d’envoyer des messages à l’école.
Une messagerie : les étudiants qui ont mis les mêmes bachelors en favoris peuvent s’envoyer des messages. Ils forment la communauté des bachelors !
Une seule source d’information pour être tenu au courant de l’actualité des bachelors, des dates de concours, des JPO…
Vous pouvez télécharger l’application mobile ici : Android / iOS.
Aujourd’hui, près de 700 000 jeunes sont en grande difficulté scolaire en France. Environ 150 000 élèves quittent l’école à 16 ans sans aucune qualification. Face à cette réalité, de nombreux bénévoles souhaitent accompagner ceux qui décrochent. C’est pour les aider à se former dans ce rôle d’accompagnateur que ce MOOC a été réalisé.
Comment s’y prendre concrètement pour accompagner les jeunes dans leurs parcours de réussite scolaire?
Gratuit et interactif, ce MOOC, diffusé sur la plate-forme OpenClassrooms, propose de nombreux témoignages et reportages de bénévoles et d’acteurs de terrain. Les participants découvriront les bases de la pédagogie et de nombreux conseils pour progresser et faire progresser les jeunes qu’ils accompagnent. Des documents ressources, des liens vers des sites utiles, des quiz seront proposés tout au long de ces 4 semaines de formation.
Les thèmes principaux abordés seront : les missions d’un accompagnateur, comment choisir une association où s’engager, les différentes façons de conduire une séance individuelle ou collective, comment se perfectionner et élargir l’horizon, accompagner les projets professionnels et l’ouverture culturelle des jeunes, l’utilisation des outils numériques, etc. Un forum permettra de répondre aux questions des participants grâce à la participation de nombreux experts.
« PSB Paris School of Business » (anciennement ESG MS) propose l’obtention de 3 crédits U Discover pour tous leurs étudiants ayant obtenu la certification de ce MOOC.
Cette formation de quatre semaines, à raison de 3 vidéos par semaine, sera accessible sur le site d’OpenClassrooms à partir du 14 Avril.
Cette année, la semaine des arts se déroulera du 9 au 12 mars 2015 à Paris sur le campus. Créée par la classe préparatoire de la filière production de l’école ISCPA, Institut Supérieur des Médias, pour le Groupe IGS et le bureau des associations, cette édition s’articule autour de la diversité des arts.
Sur un campus totalement réinventé pour l’occasion, les étudiants de toutes les écoles et des CFAs du Groupe IGS participeront à des ateliers de photo, de peinture sur toile, de customisation de photos et de t-shirts…
Frédéric Bruneau, directeur des études filière production ISCPA précise que « l’objectif de cette semaine est qu’elle soit faite pour les étudiants et par les étudiants. Il s’agit pour nous de valoriser les talents de chacun, de se mettre au service de la passion et de créer le contexte pour libérer toute forme de créativité. »
Cette semaine permet de donner du sens, d’exposer les œuvres et de vivre en live les talents de chacun notamment remarqués tout de long de l’année lors des ateliers du pôle Arts, Culture et Sport (chant, théâtre, shadow boxing, soft karaté …) inscrits dans la charte pédagogique du Groupe IGS. La filière production dont le premier travail est d’organiser des lives et de produire des festivals, se charge de l’organisation de l’événement.
En amont de cette semaine, les étudiants ont organisé plusieurs sessions de castings musicaux afin de dénicher le groupe « star » de cette édition.
Sélectionné par un jury de 5 professionnels *, le lauréat jouera le jeudi 12 mars, lors d’une scène musicale, aux côtés des Milky way, le groupe vainqueur de l’édition 2014.
Cette semaine des arts accueille également la 7ème édition d’Urb’Art, un concours national de street art commun aux trois campus (Paris, Lyon, Toulouse). Urb’Art est né de la volonté de marier l’énergie des artistes à celle des étudiants des campus.
« C’est une bulle créative que l’on partage » commente Céline Blondiaux responsable développement et communication de l’ESAM Lyon.
Les artistes et les jeunes sont souvent de la même génération et partagent des univers graphiques similaires. Cela facilite les rencontres et les échanges.
« Urb’Art génère beaucoup d’émotion et notamment celle de réussir que je retrouve aussi dans les différentes étapes que je franchis en passant des diplômes. Urb’Art pourrait devenir un événement d’intégration autour de la réalisation d’une œuvre collective. Ce serait un beau projet. » témoigne Julia Vitu, ancienne du CIEFA IGS Lyon à propos de sa troisième participation à Urb’Art.
Comme le souligne Frank De Nebehay, le créateur d’Urb’Art, « l’art fait partie des valeurs du Groupe IGS comme l’acte d’entreprendre. Il est l’ADN des écoles du Groupe IGS. Ce travail pédagogique tout au long de l’année est associé aux cours académiques, et lié à une forte opérationnalité des étudiants. » Les lauréats du concours Urb’Art seront récompensés et félicités lors de la soirée Tremplin qui clôt la semaine, le jeudi 12 mars sur le campus du Groupe IGS Paris.
*Alain Lahana – Manager d’Iggy Pop & Patty Smith Laurent Bardainne – Fondateur et musicien du groupe Poni Hoax Arnaud Bassery – Tourneur du festival Boom Bap de Reims Christophe Crénel – DJ du Mouv’ Viviane Priou – Responsable relations stages/extérieur du Groupe IGS & ex directrice artistique de Sony Music
Les ateliers sont ouverts à tout participant.
A propos du Groupe IGS : Le Groupe IGS regroupe 9 filières de compétence et d’expertise métiers portées par des écoles et des centres de formation spécialisés ou généralistes, des centres d’insertion et d’orientation réunis autour du concept de l’Université Professionnelle Internationale. Acteur majeur de la formation, de l’emploi et du développement des compétences depuis 40 ans, présent dans tous les secteurs de l’éducation, le Groupe IGS bénéficie d’une triple implantation en France – Paris, Lyon et Toulouse – et à l’international – Dublin, Shanghai, Casablanca. Il forme chaque année plus de 14 000 apprenants dont 7 000 alternants et apprentis qui rejoignent ainsi un réseau de 54.000 anciens.
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