Offrant la notation mathématique standard, des tracés graphiques sophistiqués, des questions mathématiques à réponses libres, la correction intelligente des réponses, et bien plus encore, Maple T.A. apporte de vraies valeurs pédagogiques à l’évaluation automatisée.
Il s’intègre dans les infrastructures d’apprentissage en ligne (ENT, LMS, MOOCS, …) et prend en charge les stratégies éducatives mobiles permettant aux étudiants d’accéder aux exercices et devoirs depuis une tablette ou un portable.
Maple T.A. contribue à pérenniser les niveaux de réussite de l’INSA Lyon.
Afin de maintenir l’enseignement de haut niveau qui a fait la réputation de l’INSA de Lyon, la direction a mis l’accent sur l’importance de la maitrise du calcul et des connaissances de base.
Dans ce contexte et sa démarche d’innovation continue dans le domaine des TICE, l’INSA de Lyon s’est alors mis à chercher un outil de tests et d’évaluation automatique susceptible d’assurer une utilisation plus efficace de ses ressources.
« Lorsque nous nous sommes mis à la recherche du bon outil d’évaluations, nous voulions trouver un système prenant en charge l’évaluation des expressions mathématiques, une fonction cruciale pour nous en tant qu’école d’ingénieurs », explique Philippe Lonjou, professeur agrégé à l’INSA Lyon. « Nous avons trouvé que Maple T.A. constituait le meilleur choix ».
Maple T.A. supportant l’écriture des équations mathématiques complexes sous forme libre et l’évaluation intelligente des réponses, il est idéal pour l’enseignement des sciences et des mathématiques. Les enseignants peuvent y créer et personnaliser des milliers de questions à partir de leurs propres contenus ou de la banque de questions existante.
« Maple T.A. permet non seulement d’évaluer les expressions mathématiques, mais aussi de noter précisément les variantes d’une même question. On peut voir également les progrès accomplis par les étudiants dans différents cours et sujets et leur fournir des questions d’entraînement supplémentaires qu’ils peuvent résoudre à leur propre rythme », poursuit Philippe Lonjou.
Le temps normalement consacré à l’évaluation et à la notation des étudiants est désormais mis à profit pour enrichir et améliorer notre base de données de questions.
A propos de Maplesoft et ses solutions numériques pour l’enseignement :
Avec plus de 25 années d’expérience dans le développement de produits pour l’enseignement technique et pour la recherche, Maplesoft s’implique particulièrement dans les initiatives innovantes d’enseignement et de pédagogie numériques. Maplesoft a été un précurseur dans l’innovation pédagogique en introduisant un changement fondamental dans l’enseignement technique via son initiative « Mathématiques cliquables et interactives » dans Maple, le développement de Maple T.A. l’outil d’évaluation en ligne, le projet Möbius permettant la mise en ligne des cours de sciences et leurs contenus pédagogiques interactifs.
[callout]Le territoire des Landes fait encore parler de lui ! Après l’opération menée par le département « Un collégien, un ordinateur portable » et après avoir été précurseur en matière d’ENT dans le premier degré, c’est aujourd’hui le déploiement de près de 5000 tablettes, à terme, qui fait écho dans toute la communauté éducative.[/callout]
Pour nous conter cette histoire, deux témoins : Christophe Carayon, responsable de la mission numérique MACS, nous rappelle les aspects techniques de cette mise en œuvre ; et Betty Joie, conseillère pédagogique spécialisée dans le numérique à la mission TICE de l’Inspection Académique des Landes, témoigne des usages déjà observés dans les écoles de la région.
« C’est une stratégie à long terme, portée par le Président de l’EPCI, Eric Kerrouche, qui s’est petit à petit étoffée d’outils », explique Christophe Carayon.
Sur ce territoire des Landes Sud, regroupant 23 communes entre mer et campagne, qui se caractérise par une faible densité de population, une forte attractivité (+ 21,75 % de progression de la population entre 1999 et 2006) mais aussi une forte amplitude saisonnière (avec plus de 300 000 touristes par an), le pari du numérique était essentiel pour « tenter de gommer les inégalités sociales et les discriminations qui concernent les enfants dès le plus jeune âge »,
Ne pas griller les étapes et architecturer le projet autour d’un écosystème : la stratégie réfléchie de MACS.
De la phase de préparation des sites scolaires à la dotation des élèves en tablettes numériques, il y a eu plus d’une étape.
« Nous avons d’abord étudié le courant faible des écoles puis nous nous sommes concentrés sur l’équipement en WIFI des classes concernées par le projet à savoir le cycle 2 et le cycle 3 (CP au CM2)», détaille Christophe Carayon. A terme, toutes les écoles du territoire seront reliées à la fibre optique.
Le deuxième volet a concerné l’équipement des classes en écrans interactifs ; la dernière phase, qui est en cours actuellement, est l’équipement des écoliers et des enseignants en tablettes numériques.
A terme, ce sont 31 sites scolaires, 5000 élèves et 160 enseignants qui seront impliqués, sachant qu’aujourd’hui, plus de 2000 élèves et près de 90 enseignants sont déjà concernés par le projet.
« Le déploiement va se poursuivre en direction du cycle 2 d’une part, puis vers les cours préparatoires, mais dans un format un peu différent du cycle 2 et du cycle 3 », précise Christophe Carayon.
L’opération n’est pas expérimentale ; l’objectif final est bien une massification des usages du numérique à l’école, ce qui nécessite une réflexion globale de tout l’écosystème numérique du territoire.
Un tandem cohérent, entre volonté politique et compétences techniques : une spécificité du projet.
Ce projet vient s’appuyer sur la création d’un service informatique dédié à l’échelle communautaire ; un service qui va se transformer peu à peu en « Direction des Systèmes d’information » car c’est un métier qui « s’apprend », explique Christophe Carayon.
Au départ, il a été nécessaire de « garantir le fonctionnement de toutes les briques de services nécessaires à ce type de projet car faire de l’informatique n’est pas suffisant, il faut aussi penser les réseaux, faire des télécoms etc », poursuit Christophe Carayon.
Pour lui, cette étape n’est pas un détail, elle est une condition sine qua non, souvent « l’oubliée » des différents plans numériques, « la vocation première des collectivités territoriales n’étant pas de se doter de ce type de compétences ».
Aujourd’hui, après plusieurs mois de travail d’implémentation, c’est presque comme le commencement, explique Christophe Carayon :
les tablettes sont en effet les supports indispensables mais l’intérêt, ce sont maintenant les usages qui en sont faits ; nous entrons dans cette phase et c’est le début de l’histoire.
Une histoire qui avait déjà, à ses débuts, un partenaire incontournable : l’éducation nationale.
Betty Joie rappelle les débuts du projet où tous les enseignants ont vu débarquer dans leur classe, un écran interactif. « Cela a suscité beaucoup d’inquiétude chez les enseignants », précise t-elle.
Mais, très vite, ils se sont appropriés ces outils car ils se sont aperçus de l’enrichissement que cela apportait à leur pédagogie ;
un plus qu’ils ont eu l’occasion de percevoir, notamment au travers des six heures de formations dispensées par l’équipe TICE de l’inspection académique des Landes, après l’arrivée des écrans interactifs.
« Dans chaque formation, un moment était réservé à une présentation technique par les services de MACS, mais le temps global d’apprentissage était essentiellement axé sur la pédagogie », souligne Betty Joie.
Les tablettes numériques sont, à leur tour, arrivées en classe et distribuées aux élèves, parfois même avant que les formations ne soient dispensées, « ce qui a accentué l’inquiétude des enseignants au démarrage », précise Betty Joie.
Une inquiétude qui, après trois séances de trois heures, avait majoritairement disparu et où « les enseignants avaient vraiment trouvé un intérêt à l’usage de ces outils en classe ».
Des contenus et des supports ont dû être créés et cela a été assez chronophage, comme le rappelle Betty Joie, vantant le « mérite » des enseignants « qui ont passé beaucoup de temps sur ces outils ».
Pour exemples, au départ, des élèves arrivaient en classe avec leurs photos personnelles et les partageaient avec leurs camarades pendant les heures de cours ; afin de cadrer l’utilisation des tablettes en classe, une charte des usages de la tablette de l’élève a du être rédigée.
« Nous avons démarré à zéro et nous avons compris, dès le départ, qu’il fallait poser des règles, pour que toute cette nouveauté soit gérable ».
Plus largement, ces outils sont aujourd’hui particulièrement appréciés pour l’éducation aux usages d’internet et tout ce qui touche au B2i ; « le travail autour de ces thématiques en est facilité », souligne Betty Joie.
En termes de contenus, des applications, choisies par les équipes de l’éducation nationale et financées par la collectivité, ont permis d’agrémenter les tablettes et d’offrir des ressources aux enseignants.
Au bout d’un an, le pari de « 1 écolier, 1 tablette » semble réussi d’un point de vue intégration. Côté usages, il faut laisser le temps aux enseignants, aux élèves et aux parents de devenir coutumier de l’outil qui, de l’avis de Betty Joie, est « un outil formidable pour acquérir des compétences numériques, indispensables aujourd’hui comme le sont écrire, lire ou compter ».
Une réussite du projet que Betty Joie et Christophe Carayon attribuent en grande partie à l’entente et au partenariat étroit mis en place entre la collectivité et l’éducation nationale, et « au respect mutuel du rôle de chacun dans le projet », conclut Betty Joie.
ITOP éducation et l’Académie d’Alsace vous invitent à découvrir deux séances pédagogiques innovantes en immersion dans 2 classes du Collège Truffaut (labellisé REP+) à Strasbourg :
La Pédagogie inversée dans une classe de 6ème Dyslexie.
et
l’initiation à la programmation avec l’aide du programme SCRATCH dans une classe de 5ème.
Le voyage de presse sera suivi par la 7ème édition des NetJournées qui se tiendra au Bishenberg à Bischoffsheim.
Déjà + de 15 Académies et + de 10 collectivités inscrites à cette 7ème édition !
Plus d’infos sur l’invitation presse : Afin de prendre en charge votre participation (déplacement, hébergement, repas) et de vous accueillir dans les meilleures conditions, nous vous remercions de confirmer votre présence auprès de Yannick Joly (yjoly@itop.fr / 06 59 68 05 12).
A propos de NetJournées :
Développer les échanges, créer l’interactivité entre utilisateurs, recueillir leurs témoignages pour faire évoluer les solutions… Tels sont les objectifs de ces trois jours d’événement, qui ont réuni en 2014 près de 500 personnes. Académies, collectivités, professeurs, associations, industriels de l’éducation, élèves, parents d’élèves… Les NetJournées rassemblent tous les acteurs de la communauté éducative et créent la rencontre à travers plus de 130 ateliers pour qu’à tous les niveaux, les enjeux de l’Education numérique ne visent qu’un seul et même objectif : faire évoluer l’Ecole dans l’ère du numérique, pour la rendre toujours plus moderne et performante.
Le développement des usages numériques dans les établissements scolaires constitue un des axes prioritaires de la stratégie numérique du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
A cet effet, le secrétariat d’Etat au numérique a mobilisé, fin mars 2014, le plan France Très Haut Débit, plan dédié au déploiement des réseaux très haut débit sur l’ensemble du territoire, pour fournir une solution dédiée de raccordement rapide des écoles.
Ce programme « Ecoles connectées » est piloté par la mission Très Haut Débit, en collaboration avec la Direction du numérique pour l’éducation du ministère. Visant à garantir l’accès rapide à un haut débit de qualité aux établissements scolaires et écoles les moins bien desservis aujourd’hui,
l’appel a permis de sélectionner 56 offres d’accès, proposées par 18 opérateurs différents.
Dans ce cadre, près de 8 000 établissements sont éligibles à un soutien financier pour accéder à ces offres. Les critères d’éligibilité ont été établis en concertation avec les collectivités territoriales afin notamment de tenir compte des projets de déploiement de réseaux de communications électroniques en cours.
En souscrivant à l’une de ces offres, l’établissement ou l’école éligible bénéficie d’une prise en charge financière de l’État à hauteur de 80 % des frais d’installation, du matériel de réception, satellitaire et hertzien terrestre, et de la mise en service de l’équipement, dans la limite de 400 euros par site concerné. L’abonnement à un fournisseur d’accès Internet demeure à la charge de l’établissement ou de la collectivité territoriale compétente.
L’opération, qui prenait fin le 31 décembre 2014, est prolongée d’un an, jusqu’au 31 décembre 2015 pour que le plus grand nombre d’établissements puisse en bénéficier.
Pour toute information complémentaire, les chefs d’établissements peuvent s’adresser à leur délégué académique au numérique, et les élus locaux à leurs associations de collectivités, ou encore à la Mission Très Haut Débit (ecoles@francethd.fr).
NVIDIA a donc lancé, le 18 novembre dernier, GRID, son service de jeux vidéo à la demande, qui propose un catalogue de 20 titres. Ce panel est sur le point d’augmenter pour atteindre les 40 jeux disponibles.
L’objectif était d’offrir aux utilisateurs de la SHIELD, un large choix de jeux pour son lancement, c’est pourquoi les hits « Borderlands 2 » et « Dead Island » ou encore le désormais classique « Brutal Legend » ont été inclus dès le départ.
Depuis, NVIDIA ajoute de nouveaux jeux à son catalogue chaque semaine : des blockbusters comme « Batman: Arkham Origins« , des jeux familiaux de la gamme « LEGO« , ou bien des classiques comme « Psychonauts« .
Les utilisateurs ont fait part de leur désir de voir plus de jeux indépendants, ce à quoi NVIDIA a répondu en ajoutant « Stacking » et « Revolver 360 RE:Actor« , titres très bien notés par les joueurs.
NVIDIA a commencé le déploiement de 40 jeux supplémentaires, la semaine dernière, avec le hit indépendant « Brothers: A Tale of Two Sons« , ayant reçu plusieurs récompenses en 2013.
A ces titres s’ajoute cette semaine, « Saints Row IV » avec une note de 9.5/10 sur Destructoid qui rejoint « Saints Row the Third » sur la SHIELD.
Le 39e jeu sera « Alan Wake« , élu jeu de l’année en 2010 par le Time Magazine.
Enfin, le 40e titre sera « Metro Last Light Redux », noté 9/10 par la rédaction de GameSpot.
« Saints Row IV« , « Alan Wake » et « Metro Last Light Redux » compléteront donc la liste des 40 jeux sur NVIDIA GRID, jusqu’au GDC.
Flip PDF Pro est un logiciel de flipbook qui ne peut pas être ignoré dans l’enseignement moderne. Ils aident les professeurs à présenter les matériaux scolaires avec l’effet plus vivant et interactif, en convertissant leurs documents statiques PDF en livres numériques animés.
Les publications sont aisées à partager sur les réseaux sociaux, insérées dans les sites, uploadées vers le Cloud. Les étudiants peuvent les lire en ligne ou hors ligne avec n’importe quel appareil (PC, iPad, iPhone et d’autres tablettes et téléphones Android).
Ce rendez-vous incontournable de toute la communauté RH est « LA » plateforme d’échanges, de communication et de réflexion qui atteste à la fois :
– du dynamisme des leaders du marché dans le développement d’outils et services pour une meilleure efficacité de la gestion des Ressources Humaines
– de la motivation des visiteurs professionnels pour mettre en place, développer ou optimiser la Gestion Informatique de leur RH (SIRH), la gestion des Talents et du capital humain, la formation et l’e-learning, le conseil et le management, la protection sociale et la prévoyance… le coaching, le bien être au travail…des domaines qui seront au cœur de l’actualité de cette rentrée « réformes 2015 » et largement abordés lors de cette manifestation…
La synergie de 3 manifestations qui regroupera 250 sociétés exposantes et 7 300 visiteurs professionnels porteurs de projets (Responsables RH et Formation, Directeurs Informatiques/NTIC et Télécoms, Directeurs Généraux, Finances de PME et Responsables opérationnels concernés par la formation de leurs collaborateurs, réseaux de distribution, clients…).:
La 21ème Edition du Salon Solutions Ressources Humaines: le Salon des outils et Services dédiés aux dirigeants d’entreprises, aux responsables des Ressources Humaines, de la Formation et des Systèmes d’Information
La 3ème édition de Performance & Talents :Identifier les talents, développer les compétences, motiver les collaborateurs, optimiser la performance (Plateformes, Conseil, Coaching, Formation, Evaluation, Mobilité, Plan de Succession Collaboratif) tels sont les objectifs de cette manifestation dédiée au développement du capital humain de l’entreprise.
La 15ème édition d’E-Learning Expo : 1er salon professionnel du eLearning en France, et l’un des leaders en Europe : Le rendez- vous incontournable de la formation à distance et en ligne :
Plateformes eLearning (LMS et LCMS) – Contenus eLearning “sur étagère”- Serious Games – Formations Langues – Outils d’évaluation et de suivi – Classe virtuelle – Dispositifs de formation mixte (blended learning) – Tutorat et accompagnement – Gestion et diffusion de contenus – Outils et plateformes eLearning «open source» – Social Learning – Mobile Learning – Digital Learning…
Parallèlement à l’exposition se tiendront :
– Un programme de conférences/tables rondes et des ateliers qui abordera tous les sujets d’actualités. Plus de 3 700 auditeurs attendus obtiendront des informations pratiques et des retours d’expériences pour améliorer leurs connaissances et les compétences métiers de leurs collaborateurs.
– Un lounge « Conférences » : un lieu permettant aux auditeurs ayant assistés à une conférence d’échanger dans un endroit convivial avec les conférenciers.
– Le Plateau TV – organisé avec la web-tv collaborative http://hrchannel.com/salon-srh (spécialisée en RH). Lieu d’échange et de partages d’expérience pour que chacun puisse se tenir informé de l’actualité.
Rappelons que l’édition 2014 avait réuni 257 sociétés exposantes – 7 287 visiteurs et 3 600 auditeurs aux conférences
En 2014, un quart des habitants de la planète utilise un réseau social (environ 23 millions d’utilisateurs en France).
Le contenu de cette vaste jungle n’est pas toujours adapté aux enfants; arnaques, harcèlements, violences ou pornographie hantent souvent ces réseaux sociaux.
Le site www.MAXI18.com a été créé par Ynover Média, société toulousaine de multimédia qui, fort de ce constat, propose aujourd’hui un vrai réseau social, permettant ainsi aux enfants et aux adolescents de discuter, partager, apprendre et s’exprimer sur un équivalent à Facebook, Google+ ou Twitter, sécurisé, ludique, pédagogique et qui leur est réservé.
Grâce à Maxi 18, les plus jeunes pourront par exemple, apprendre à utiliser correctement un réseau social, protéger leurs vies privées et bien prendre conscience de leurs publications et de leurs destinataires.
Tout l’univers des 7-17 ans est présent sur www.maxi18.com; discussions, TV, cinéma, jeux vidéo, sport, révisions scolaires, etc. Le tout dans un espace sécurisé et modéré.
Maxi18 a notamment reçu dernièrement le label « Respect Zone » et s’engage et informe ses utilisateurs sur le cyber-harcèlement.
SNCF mène des actions de prévention et d’éducation auprès du public jeune, pour prévenir les risques d’accidents de personnes et limiter les incivilités et actes de malveillance en milieu ferroviaire.
SNCF a donc lancé début novembre 2014 la première édition du Concours Jeunes Créa’ destié aux collégiens et lycéens. Pendant 3 mois, les jeunes ont pu créer, grâce au logiciel « Pochetizer », leur pochette à billets de train sur les thématiques de sécurité et de citoyenneté ferroviaires, dans le but de sensibiliser d’autres jeunes.
Aux votes !
Du 16 février au 15 mars, les 78 pochettes seront mises en ligne sur la page Facebook de SNCF, via une application de vote dédiée.
Les 3 pochettes qui récolteront le plus de votes recevront les Prix du Public (1er, 2e et 3e Prix). Les élèves de chaque groupe lauréat pourront remporter jusqu’à 100 euros de bons d’achats SNCF par élève, ainsi que leur création imprimée comme une vraie pochette.
Les Prix du Public permettent également de soutenir une cause solidaire. Cette année, le Concours Jeunes Créa’ s’associe aux Restos du Cœur. Plus les jeunes participants collecteront de votes pour leur création, plus ils permettront aux Restos du Cœur de faire partir en vacances des jeunes défavorisés !
Une récompense pouvant aller jusqu’à 10 000 € en bons d’achats SNCF sera versée aux Restos du Cœur pour des départs en vacances et des journées de loisirs. En plus de cette dotation en nature, les 3 créations qui auront obtenu le plus de votes pourront faire gagner 10 000 € de dotation financière aux Restos du Cœur. Cette dotation sera répartie au prorata du nombre de votes entre les 3 associations départementales des Restos du Cœur des groupes lauréats.
Un jury de professionnels
En parallèle des votes du grand public, un jury national de professionnels se réunira début mars 2015 pour récompenser 6 groupes lauréats. Les élèves de chaque groupe lauréat pourront remporter jusqu’à 100 euros de bons d’achats SNCF par élève et le « Coup de Cœur du Jury » sera imprimé en 35 000 exemplaires et distribué en cadeau avec l’édition d’été du magazine L’Étudiant dans tous les kiosques de France.
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