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  • Tout savoir sur les solutions interactives et collaboratives Promethean

    Tout savoir sur les solutions interactives et collaboratives Promethean

    Promethean, société d’origine anglaise sur le marché depuis 1996, n’a cessé d’afficher une croissance sur ces vingt dernières années. Côté Education, toujours à l’écoute de ces utilisateurs, Promethean a su créer un vrai réseau d’échanges, de partages et de collaboration autour de contenus et de témoignages qui placent aujourd’hui l’entreprise en position de leader français sur le marché des solutions interactives pour l’Education.

    « Nous avons vendu plus de 2,5 millions de tableaux blancs interactifs et écrans interactifs et nous comptabilisons une communauté de 18 millions d’utilisateurs sur notre logiciel phare ActivInspire », explique Nathalie Génieux, Directrice Marketing & Alliances, France, Maghreb & Afrique Francophone.

    Promethean Planet a récemment fusionné avec Classflow, ce qui lui confère une base installée de membres utilisateurs de plus de 3,6 millions et près de 90 000 ressources francophones.

    L’entreprise a l’ambition d’être toujours à la pointe ; en juillet dernier, elle a intégré la société asiatique NetDragon Websoft Inc, ce qui va lui permettre de « démultiplier les investissements technologiques et notamment en R&D pour pouvoir offrir une offre globale toujours plus enrichissante en termes d’innovation », souligne Nathalie Génieux.

    Une opportunité pour Promethean plus que positive comme le fait également remarquer Ian Curtis, Directeur Europe, Afrique, Australie & Asie chez Promethean.

    « L’objectif pour Promethean, désormais intégrée dans la société NetDragon, est de créer la plus grande communauté mondiale d’apprenants ».

    La communauté d’apprenants, cela inclut bien évidemment les écoles, collèges et lycées mais aussi le monde de l’entreprise. Ian Curtis rappelle que leur développement ne se focalise pas uniquement autour des matériels ; il prend en compte toute la partie logicielle, les applications et tous les contenus et supports dont les apprenants peuvent avoir besoin.

    Cet environnement doit être adapté pour de l’apprentissage en présentiel, en classe par exemple, tout aussi bien qu’à la formation à distance.

    En ce sens, NetDragon possède déjà de nombreux atouts techniques qui vont servir ces objectifs : une plateforme elearning, des outils de réalité virtuelle ou de réalité augmentée ou encore des partenariats avec des entreprises spécialisées dans les techniques hologrammes…

    Déjà bien implantée sur le marché français de l’éducation en affichant des clients comme le Conseil Régional de Bretagne, le Conseil Régional de la Réunion, des villes comme Limoges, Avignon, Bordeaux ou encore Rennes, Promethean mise essentiellement sur les retours d’usages de terrain pour conserver sa place de choix sur le marché et répondre au mieux aux attentes de ses utilisateurs.

    « Cette force et cette confiance, nous les avons gagnées grâce à l’accompagnement et à l’usage que nous faisons de nos solutions dans les salles de classe ».

    Cette ambition se concrétise notamment par la mise en place d’un centre de formation, « Séquence+ », qui regroupe une quarantaine de formateurs issus du monde de l’enseignement et qui se déplacent dans les classes pour former aux solutions Promethean : la gamme des Tableaux Numériques Interactifs ActivBoard, des écrans plats ActivPanel Touch, ainsi que ses solutions logicielles ActivInspire et ClassFlow.

    Sur cette dernière, ClassFlow, lancée en 2015 sous la forme d’une plateforme d’apprentissage et d’enseignement Full Web, Promethean a fait le choix de la simplicité d’utilisation pour l’enseignant qui peut en disposer gratuitement.

    « Je peux l’installer sur n’importe quel écran dans ma salle de classe ; mes élèves l’installent sur leur tablette et c’est à ce moment que je vais pouvoir commencer à communiquer, échanger et partager », explique Nathalie Génieux.

    Travail en classe mais aussi hors la classe, ClassFlow donne aussi accès à une multitude de ressources sur son « Marketplace ».

    Dans ce domaine, Promethean va toujours de l’avant ; l’entreprise travaille aujourd’hui avec de nombreux éditeurs, des « petits » comme Tralalere ou les éditions Set ou des plus « grands » comme Hachette ou Editis pour intégrer toujours plus de contenus dans sa plateforme ClassFlow.

    En ce sens, c’est aussi tout naturellement que Promethean s’est rapprochée de la Direction du Numérique pour l’Education au Ministère de l’Education Nationale et a récemment intégré ClassFlow dans le nouveau portail Myriaé.

    Pour le futur, il est évident qu’au-delà des contenus et des aspects collaboratifs qui sont essentiels aujourd’hui pour les enseignants et les élèves, l’outil matériel tend à se transformer de plus en plus.
    Les Tableaux Numériques laissent place aux écrans interactifs ; en Grande-Bretagne, ils occupent déjà 90% des salles de classe !, comme le souligne Ian Curtis et le phénomène va se confirmer en France dans les prochains mois.

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  • Classe inversée : combler un manque et passer aux pédagogies actives !

    Classe inversée : combler un manque et passer aux pédagogies actives !

    Damien Scimeca, professeur de physique-chimie au lycée dans l’académie de Paris et membre de l’association Inversons la classe ! a adopté la classe inversée pour combler un « manque » dans son enseignement ; c’est ainsi qu’il le décrit dans la vidéo ci-contre réalisée sur le salon Educatec-Educatice.

    « La classe inversée, pour moi, était un outil pour faire autre chose ».

    Damien Scimeca a fait rapidement le constat que de dispenser un cours magistral à ses élèves les rendait extrêmement passifs. Il a donc cherché à adopter un modèle différent.

    Lorsqu’il a découvert la classe inversée au cours d’un reportage télévisé, il s’est rendu compte de la richesse de la méthode qui s’appuie sur le principe de faire réaliser les tâches cognitives simples de manière autonome aux élèves et tout ce qui est plus « complexe, mieux vaut le faire à plusieurs » ; sous-entendu, en classe.

    Damien Scimeca n’a pas simplement adhéré à « l’effet de mode » ; il a plutôt adopté un nouveau fonctionnement qui l’a aidé à mettre en place des pédagogies actives.

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    Sa méthode de classe inversée

    « Il y a plusieurs classes inversées », souligne t-il.
    Concrètement, Damien réalise ses capsules vidéo en amont et demande aux élèves de les visionner avant le cours ; une fois cette première étape réalisée, les élèves se rendent sur la plateforme d’autoévaluation Socrative, sur laquelle ils répondent à un QCM sur les notions vues dans les vidéos.

    « Cela leur permet de voir s’ils ont compris les notions détaillées dans les vidéos ou pas ». Parallèlement à ces exercices, Damien met aussi en place un texte à trous que les élèves peuvent compléter avec l’aide du manuel scolaire.

    L’enseignant peut ensuite consulter les résultats avant son cours ce qui lui permet d’adapter celui-ci et de faire de la remédiation dans ses séances.

    Réactions et sentiments des élèves

    « Certains de mes élèves ont été perturbés et généralement ceux qui sont perturbés sont les très bons élèves, ceux qui sont très scolaires », souligne t-il.

    A l’inverse, les élèves plutôt moyens, ont trouvé un grand intérêt et « ont eu l’impression de mieux apprendre », de leurs propres mots.

    Damien Scimeca a également modulé son espace classe de manière différente ; le travail en îlots permet aux élèves, tous niveaux confondus, de s’entraider et de collaborer.
    « Mon but est aussi de m’occuper davantage de ceux qui sont en difficultés ; je pratique tout simplement la différenciation pédagogique ». « On peut tout à fait faire de la différenciation pédagogique sans la classe inversée mais, de mon avis, c’est plus difficile », ajoute Damien.

    Damien Scimeca l’avoue aussi : cela demande plus de temps de préparation de mettre en place la classe inversée par la réalisation du plan de travail, des vidéos etc.

    « Par contre, cela me donne plus de temps en classe pour m’occuper de mes élèves ; ma pédagogie et mon enseignement sont beaucoup plus efficaces ».

    Ce sera la phrase de conclusion et n’est ce pas ce qu’il faut retenir ?…

    Plus d’infos :
    suivre Damien Scimeca sur Twitter : @Damscimeca

     

     

     

  • Minecraft en classe : quand le jeu colle parfaitement aux objectifs pédagogiques

    Minecraft en classe : quand le jeu colle parfaitement aux objectifs pédagogiques

    David Plumel, professeur de technologie au collège « Les Allières » de Saint-Pierre-le-Moûtier (58), utilise Minecraft depuis deux ans en classe de 5ème et de 3ème ce qui lui permet de travailler autrement en classe et hors la classe et d’avoir des projets beaucoup plus aboutis.

    « Minecraft est un bac un sable dans lequel on peut construire à peu près tout ce qu’on veut. C’est l’ouverture complète d’un univers gigantesque où le professeur va pouvoir amener aussi ce qu’il veut ».

    David Plumel utilise Minecraft pour de la construction ce qui lui permet d’aller au-delà de ce qu’il pratiquait avant avec ses élèves.
    « Là où avant, on allait construire une maison avec quelques centaines de blocs, aujourd’hui, je peux envisager des projets à 600 000 blocs voir 1 million de blocs », argumente t-il.

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    Au-delà du travail collaboratif entre élèves que l’usage de Minecraft développe, David Plumel a étendu cette collaboration auprès d’autres enseignants (français, SVT, langues) et auprès d’autres établissements avec des élèves de différents niveaux.
    Il note d’ailleurs que les échanges fonctionnent surtout bien avec des enseignants qui pratiquent la classe inversée, « car ils scénarisent beaucoup plus leur cours donc comme ils ont déjà un scénario, cela facilite l’immersion dans le décors de Minecraft ».

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    Aujourd’hui, David Plumel ne travaille qu’en mode projet car « plus on est en pédagogie de projet, plus les élèves adhérent », explique t-il. Et c’est cet objectif que David poursuit : que ses élèves s’engagent, soient acteurs de leurs apprentissages.

    Lui même joueur invétéré, David Plumel a toujours eu envie de faire entrer le jeu dans sa salle de cours, « mais faire entrer du jeu pour faire entrer du jeu, cela n’a rien d’intéressant ».

    Minecraft est arrivé pour lui comme le bon support au bon moment et qui correspondait bien aux programmes et aux projets pédagogiques qu’il envisageait.

    Plus d’infos :
    Retrouvez David Plumel:

    Sur Twitter: @P7i7Plum3
    Sur YouTube:
    davidplumel_minecrafthp

     

  • Twictée : défis orthographiques et collaboration dès le CP !

    Twictée : défis orthographiques et collaboration dès le CP !

    Laetitia Vautrin est enseignante à l’école de Pontiacq-Viellepinte dans les Pyrénées-Atlantiques. Elle adhère au dispositif Twictée qu’elle a mis en place dans sa classe de Grande Section-CP et elle nous explique concrètement comment cela se déroule.

    Les balises hashtags, adaptées aux non lecteurs.

    laetitiavautrin_twictee2Les élèves de Laetitia sont non lecteurs, du moins au début de l’année ; il a donc fallu adapter le dispositif Twictée. Pour créer des repères, l’équipe Twictée CP a donc créé des balises sous forme de bonhommes facilement repérables par les enfants avec des hashtags devant : #Majuscule, pour dire qu’il faut mettre une majuscule au mot, à un nom propre ou un prénom par exemple.

    Il y aussi #ponctuation, #lettreson etc.

    « L’enfant, grâce à la balise visuelle, peut expliquer une faute orthographique ; il peut donc se questionner, se justifier et argumenter l’erreur d’orthographe qu’il y a derrière ».

    Les Twoutils, c’est aussi au CP.

    Laetitia Vautrin utilise également les Twoutils, règles orthographiques en 140 caractères envoyées via Twitter par des élèves et pour des élèves.
    Un Twoutil CP, cela peut être par exemple : « Marie, ça s’écrit avec un M majuscule parce que c’est un prénom #Majuscule ».

    Le dico balises est adapté au CP et se transformera au fil des cycles pour s’étoffer des balises officielles de Twictée. Laetitia a créé des balises visuelles grâce à ses compétences en graphisme mais surtout à l’aide du #Dicobalises de Twictée officiel créé par la team CP pour catégoriser les différentes erreurs trouvées dans les différentes twictées.

    Le Padlet, ça donne ça :

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    Laetitia va plus loin dans le Twoutil puisqu’elle fait « parler » les balises au travers de capsules vidéo qu’elle réalise avec ses élèves. Chaque vidéo est accessible avec un QR Code que l’élève peut scanner pour avoir l’explication en images de la balise qu’il recherche.

    laetitiavautrin_twictee3laetitiavautrin_twictee4

     

     

     

     

     

     

     

    « Bonjour, je m’appelle hashtag majuscule. Je suis là pour te faire penser qu’il faut mettre une majuscule au début de la phrase », cite Laetitia comme exemple de texte récité dans une capsule vidéo.

    «  L’idéal est que le groupe classe construise lui-même son dico balises avec des petites vidéos afin que les élèves s’approprient le dispositif ».

     

    Twictée, une mise en pratique en plusieurs étapes.

    Au-delà des séances d’orthographe classique, Laetitia introduit la Twictée environ toutes les trois semaines, « car ça prend quand même du temps ».
    Il y a en effet plusieurs étapes : phase d’écriture individuelle, phase d’écriture négociée, phase de correction etc (retrouvez les étapes décrites dans la vidéo de Laetitia).

    « La phase de correction est très importante car elle permet de valoriser l’élève et de mettre en commun toutes les stratégies employées par les élèves pour réussir à écrire le bon mot », souligne Laetitia.

    Puis vient la phase de Twoutils et la correction de la classe « miroir ». En effet, le dispositif fonctionne toujours à trois classes : la classe Scribe qui envoie la dictée à la classe qui va les corriger « et la classe miroir à qui on envoie nos dictées et qui va nous corriger ».

    « Dans la Twictée, c’est cela qui est génial, c’est la coopération entre élèves d’une même classe et des élèves d’une autre classe qui participent au dispositif ».

    Ces échanges rendent les élèves très actifs et souvent très impatients de connaître avec qui ils vont travailler. La dernière fois, les élèves de Laetitia ont fait la Twictée avec une classe de San Francisco…

    « La Twictée ne développe pas que des compétences de communication écrite mais cela développe plein d’autres choses sur l’ouverture culturelle notamment », conclut Laetitia Vautrin.

    Plus d’infos :

    sur le blog de Laetitia : evolutionclasse.org
    La vidéo de Laetitia présentant la Twictée  sur www.youtube.com

    Le site officiel Twictée : www.twictee.org

    Les classes Aux Etats-Unis avec lesquelles travaille Laetitia sur Twitter.
    La classe de Laurence  à San Francisco sur Twitter.

    On en parle dans ludomag : tous les articles sur la Twictée

     

     

  • Décodons le code !

    Décodons le code !

    L’Apel a organisé le 24 novembre 2016 un petit-déjeuner débat sur l’apprentissage du code informatique à l’école en présence d’experts, de chefs d’établissements, de parents et d’élèves qui ont témoigné de leurs expériences au sein de l’Enseignement catholique.

    Depuis la rentrée 2016, le code a fait son entrée dans les nouveaux programmes de primaire et de collège. Un virage dans un système qui s’est longtemps fondé sur l’idée qu’il n’était pas nécessaire de comprendre ce qui se passe derrière les écrans et qu’il suffisait d’apprendre à les utiliser.

    Dans la continuité de sa réflexion sur la culture numérique, l’Apel souhaite  ainsi aborder ce sujet d’actualité à l’occasion de son petit déjeuner débat annuel au Sénat pour mieux expliquer et accompagner les parents à réfléchir et débattre ensemble aux enjeux sociaux, éducatifs, cognitifs et pédagogiques du codage à l’école.

    Il s’est déroulé le 24 novembre en présence de Gilles Dowek, chercheur à l’Inria, David Wilgenbus, astrophysicien et responsable des ressources pédagogiques de la Fondation la Main à la pâte et Virginie Tyou, philosophe de la culture numérique et créatrice de Clicky, l’énigme numérique.

    Des jeunes, des parents d’élèves, des chefs d’établissement, des enseignants ont également apporté leurs témoignages.

    Plus d’infos :
    www.apel.fr/actualites/les-petits-dejeuners-debat/decodons-le-code

    Source : APEL

     

  • Tonmondeatoi.fr : les enfants peuvent enfin imaginer leurs propres histoires et apprendre à aimer lire

    Tonmondeatoi.fr : les enfants peuvent enfin imaginer leurs propres histoires et apprendre à aimer lire

    Une histoire où l’enfant auquel elle est destinée serait le héros, un héros de moments magiques et, forcément, inoubliables : c’est le concept de Mon monde à moi, créateur d’histoires personnalisées pour les enfants, qui vient tout juste de lancer son nouveau site internet, Tonmondeatoi.fr.

    Mais un héros des temps modernes, personnage principal d’une histoire qui s’inscrirait sur différents supports, tels que des livres, des jeux, des musiques, des DVD et bien d’autres encore.

    Autrement dit, une idée de cadeau de Noël originale et sur mesure qui fera rêver l’enfant, lui donnera une formidable occasion, parce qu’il s’amusera, de lire, d’imaginer, de créer.

    L’enfant au cœur de son histoire.

    Catherine Bouhet Walker, fondatrice de Mon monde à moi, commente :

    Toutes nos histoires ont été développées en partenariat avec les enfants, les écoles dont les écoles Montessori, les experts du monde de l’enfance, à l’image des orthophonistes, de spécialistes du langage, sans oublier nos clients.

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    Quant à l’intérêt d’un tel concept, à l’heure où le marché de l’édition jeunesse compte une quantité infinie de livres pour enfants, et ce dès le plus jeune âge ?

    Donner le goût de la lecture aux enfants, stimuler leur imagination et leur curiosité, et leur permettre d’apprendre tout en s’amusant… en vivant de grandes aventures !

    Et pour rendre ces livres totalement uniques et personnalisés, ce sont plus de 10 éléments qui sont utilisés par l’équipe d’auteurs de Mon monde à moi, parmi lesquels les prénoms des copains et des copines de l’enfant, ceux de ses parents, grand-parents…, le tout avec de belles illustrations tout en couleurs.

    Mon monde à moi : valeurs et atouts

    10 ans d’expérience, une renommée internationale, une équipe d’auteurs et d’illustrateurs intégrées, des experts du monde de l’enfance, des nouveautés permanentes, des collections d’histoires aux thèmes variés, les licences Marvel (Disney) et Bisounours, engagement Eco-Responsable, faciliter l’apprentissage, éveiller et donner confiance en soi et développer l’imaginaire.

    A propos de Mon monde à moi

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    C’est en 2003, après la naissance de sa fille Eloïse, que vient à Catherine Bouhet Walker l’idée de créer des histoires personnalisées utilisant une technologie simple, intuitive et de pointe tout en adoptant une démarche éco-responsable. Elle confie :

    C’est en racontant des histoires à ma fille en utilisant son prénom pour rendre les lectures plus amusantes et pour l’impliquer davantage que sont nées les histoires personnalisées de Mon monde à moi. Les enfants s’accaparent et s’identifient rapidement à ces histoires où ils sont les héros avec, comme compagnons d’aventures, leurs frères et sœurs, leurs meilleurs copains…

    Plus d’infos : www.tonmondeatoi.fr

  • Classe inversée : casser les habitudes, c’est gagner en résultats !

    Classe inversée : casser les habitudes, c’est gagner en résultats !

    Carole Chamoun est professeur de SVT au Liban. Elle fait partie des membres de la sphère francophone de l’association Inversons la classe ! Et témoigne au micro de ludomag de son expérience « d’inverseuse » depuis 2009.

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    Sept années que Carole expérimente ce mode de fonctionnement et l’idée lui est venue un jour, en 2009, parce qu’elle voulait trouver une solution pour ses élèves en difficultés.

    « J’ai commencé d’une manière très douce en classe de 6ème avec des outils vraiment rudimentaires », explique t-elle.

    Ensuite, avec le numérique, sa méthode a évolué ; En 2012-2013, avec les nouveaux programmes, elle a mis en place cette nouvelle manière d’enseigner avec ses terminales S (section scientifique).

    « J’ai osé »

    dit-elle, malgré l’échéance du baccalauréat à la fin de l’année et face à des collègues enseignants assez dubitatifs sur les méthodes de Carole.
    Jusqu’à Noël, certains élèves étaient encore sur leurs réserves ; après, ils la remerciaient !

    « Si je veux parler de cette inversion de classe, ce n’est pas la méthode magique mais elle a beaucoup de points positifs ! ».

    A l’échelle de l’élève, Carole parle d’apprentissage de l’autonomie, du travail en groupe. Mais elle ne s’oublie pas quand elle évoque les points positifs de cette nouvelle manière d’enseigner ; pour elle, c’est une remise en question en tant qu’enseignante qui lui a permis d’atteindre son objectif premier : aider les élèves en difficultés.

    Pourquoi le fait d’inverser la classe aiderait-il les élèves en difficultés ?

    D’après elle, ces élèves ont besoin de temps, d’un rythme différent de celui de la classe ; tout en leur laissant de l’autonomie, elle encadre leur travail par des QCM, par exemple.

    Aujourd’hui, elle souligne qu’elle parvient à faire adhérer des profs « qui n’ont jamais eu le courage de changer ».

    Retrouvez l’intégralité de son témoignage dans la vidéo ci-contre.

    Suivre Carole Chamoun sur Twitter sur @mamicoci

    Plus d’infos :
    sur l’association Inversons la classe ! : www.laclasseinversee.com

    La suivre sur Twitter : @Classe_Inversee

  • Numérique et Boîtes /exposition : un nouvel outil d’éducation artistique et culturelle pour les classes

    Numérique et Boîtes /exposition : un nouvel outil d’éducation artistique et culturelle pour les classes

    Le CAPC du musée d’art contemporain de Bordeaux propose un nouvel outil d’éducation artistique et culturelle alliant numérique et arts : ce sont les boîtes/exposition auxquelles on ajouté des tablettes.

    Nous avons découvert ce projet lors du salon Educatec-Educatice en novembre dernier, soutenu par la Direction du Numérique pour l’Education et à destination des classes du premier degré qui sera disponible dans la première moitié de l’année 2017.

    Le Centre d’Arts Plastiques Contemporain du musée d’arts contemporains de Bordeaux regroupe 1200 œuvres ; Il est aujourd’hui labellisé « Musées de France » avec la vocation « depuis toujours, d’aller vers des publics d’enfants et d’apporter la culture vers ceux qui en sont le plus éloignés », souligne Véronique Darmanté, Professeur des écoles mise à disposition au CAPC.

    Pour ce faire, le CAPC a toujours eu la volonté de développer des outils pédagogiques et dès 1975, l’équipe a créé ce qu’ils appelaient les « Boîtes/exposition », à destination des enseignants en prêt gratuit pour une durée indéterminée.

    Aujourd’hui, ce dispositif de Boîtes/exposition touche près de 3600 enfants chaque année et cela fonctionne très bien.

    Aussi, afin de s’adapter aux nouveaux usages des jeunes et du quotidien, le CAPC a réfléchi à faire évoluer le dispositif.

    « Pour nous, l’intérêt était aussi de réfléchir autrement à la manière dont on peut accéder aux œuvres de la collection qui ne sont pas visibles de manière permanente dans le musée et de s’adapter aux nouveaux outils, aux nouveaux usages des enfants dans les classes et dans leur vie quotidienne », explique Julie Nio, médiatrice culturelle au musée d’Art Contemporain de Bordeaux.

    L’idée a été de développer un projet qui se sert de tous les supports susceptibles d’être présents dans les classes : le TNI, mais aussi 13 tablettes qui sont prêtées avec la mallette, dont une prévue pour l’enseignant.

    Le dispositif va être mis en place, pour sa partie matérialisée, sur la région Nouvelle Aquitaine (avec retrait des mallettes au Musée d’Art Contemporain de Bordeaux) ;

    « pour la version dématérialisée, on imagine toucher un public bien plus large mais c’est encore à l’expérimentation ».

    Ce projet est financé en majorité par du mécénat et il est soutenu et financé depuis peu par le Ministère de l’Education Nationale via sa commission numérique. Le projet est encore en phase de développement et sera déployé au 2ème trimestre de l’année scolaire en cours.

    Plus d’infos :

    Détails dans la vidéo ci-contre.
    et sur www.capc-bordeaux.fr/boitesexpositions

  • Accompagnement, formation et mise à disposition de ressources : les engagements de CASIO pour faciliter l’enseignement des mathématiques

    Accompagnement, formation et mise à disposition de ressources : les engagements de CASIO pour faciliter l’enseignement des mathématiques

    Au-delà des calculatrices, CASIO a développé plusieurs solutions pédagogiques à destination des professeurs : ressources, formations gratuites en ligne ou dans les établissements, émulateurs. Présentation de ce volet pédagogique par Camille Gaspard, déléguée pédagogique CASIO, dans la vidéo ci-contre.

    De la formation : l’exemple du Mode Examen CASIO.

    Plusieurs sujets intéressent les enseignants en mathématiques et particulièrement le mode examen qui, à partir de la session du baccalauréat 2018, sera obligatoire sur les calculatrices pour les épreuves scientifiques.

    « Le mode examen permet de bloquer l’accès à la mémoire de la calculatrice temporairement ».

    La manipulation est très facile pour entrer en « Mode Examen » et en ressortir sur les calculatrices CASIO . Cependant, il est nécessaire que les enseignants en connaissent les étapes. C’est pour cela que la marque propose des formations sur ce thème sur ses calculatrices Graph 25+E, Graph 35+E, Graph 75+E ainsi que la nouvelle fx-CP400+E.

    Il est également possible de recevoir des formations personnalisées et adaptées aux besoins pédagogiques des enseignants. Comme par exemple sur les notions de programmation, d’algorithmique, ou de statistiques, largement plébiscitées par les professeurs.

    Pour bénéficier de ce service, un formulaire d’inscription est disponible dans l’onglet formation sur le site casio-education.fr.

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    Des ressources pédagogiques produites par des enseignants.

    « Nous travaillons avec des professeurs de mathématiques qui produisent des ressources pédagogiques qu’ils utilisent eux-mêmes dans leur classe. Ce sont des activités faites pour le programme scolaire français ».

    Ces ressources sont ensuite publiées dans l’onglet « Ressources pédagogiques » du site Internet. Vidéos, exercices, sujets d’examen… cette bibliothèque digitale propose environ 350 ressources qu’il est possible de voir dans leur entièreté en s’inscrivant simplement sur le site.

    Il est également possible de consulter des vidéos tutoriels de quelques minutes sur la chaîne Youtube CASIO Éducation, portant sur la prise en main des calculatrices CASIO, le Mode Examen ou encore sur des retours d’expérience de professeurs utilisant les calculatrices de la marque.

    Enfin, des outils pratiques pour faciliter l’enseignement des mathématiques.

    C’est le cas, par exemple des émulateurs proposés par la marque qui permettent de montrer les fonctionnalités d’une calculatrice à toute la classe en la projetant sur un écran.

    Des versions d’essai gratuites sont disponibles sur le site CASIO sur les modèles fx-92 Spéciale Collège, Graph 35+E, Graph 75+E, fx-CG20 et fx-CP400+E.

    Ou encore l’application EDU+, qui permet de réaliser des graphiques avec la calculatrice fx-92 Spéciale Collège (qui n’a pas cette fonctionnalité), en utilisant un QR code

    que les élèves pourront flasher avec leur Smartphone ou leur tablette pour obtenir le graphique demandé, sur une plateforme web.
    L’application EDU+ est téléchargeable gratuitement sur iOS et Android.

    Ou encore de recueillir des données et des résultats de calculs provenant de différents élèves d’une même classe pour ensuite les comparer et les analyser.

    Plus d’infos :

    Rendez-vous sur le site www.casio-education.fr
    Ou sur la chaîne Youtube

     

     

     

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