Étiquette : lycées

  • Opération «MÉTÉO à l’École» : appel à candidatures 2015-2016

    Opération «MÉTÉO à l’École» : appel à candidatures 2015-2016

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    Le projet installe et anime un réseau de stations météorologiques à vocation éducative dans des collèges et des lycées répartis sur le territoire français.

    Dans la continuité de la dynamique des phases d’équipement précédentes, et dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), « Sciences à l’École » engage une nouvelle phase d’équipement.

    Un appel à candidatures est ouvert du 2 novembre 2015 au 15 janvier 2016. 25 stations météorologiques seront mises à disposition des équipes pédagogiques sélectionnées qui pourront ainsi mener, dans leur établissement, des projets liés à la météorologie.

    Plus d’infos :

    Site internet : http://www.meteoalecole.org/meteo-a-l-ecole/rejoindre-meteo-a-l-ecole
    Contact : mathieu.rajchenbach@obspm.fr

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  • Le lycée numérique, à l’orée de la mobiquité…Quel impact pour les régions ?

    Le lycée numérique, à l’orée de la mobiquité…Quel impact pour les régions ?

     

    Parmi ces intervenants, Gilles Balageas – directeur éducation région Midi-Pyrénées, Bernard Boluix – directeur éducation région Languedoc-Roussillon, Jean-François Cerisier – directeur du laboratoire TECHNE et vice-président de l’Université de Poitiers, Thierry Cagnon – directeur éducation région Aquitaine.

    Doit-on ainsi considéer le lycée numérique comme une « suite naturelle du collège » avec, comme le précise Thierry Canon, « son lot d’outils en téléservice pédagogique » ou un maillon vers l’université et le monde du travail ?

    Pour répondre à cette problématique, nous devons définir plus précisément les enjeux qui entourent le lycée.

    Les enjeux du lycée numérique

    Selon Gilles Balageas, le lycée numérique est donc inéluctablement à l’intersection, entre l’univers numérique désordonné du cadre familial et l’encadrement pédagogique du lycée, ainsi qu’un carrefour avant le supérieur, ou le monde du travail, dont les exigences techniques et les enjeux dépassent les fondamentaux acquis pendant ces années lycées.

    Il s’agit donc nécessairement de préparer les élèves à s’adapter à de nouvelles pratiques pédagogiques, ou des usages différents de leurs outils qu’ils rencontreront dans leur nouvel univers.

    Aujourd’hui, c’est l’usage du BYOD qui prédomine autant dans l’univers étudiant que dans le monde du travail : Pascale Luciani souligne la tendance vers une généralisation de la mobiquité, où l’on pourra se connecter de n’importe où, à partir de n’importe quel appareil.

    Outre les outils, le jeune fraîchement sorti du lycée, devra être plus autonome et surtout davantage livré à lui même, avec de nouvelles pratiques d’apprentissage. Selon Gilles Balageas, la pédagogie inversée, expérimentée dans certains lycées, constitue ainsi selon lui, une réponse concrète pour préparer nos jeunes à ces nouveaux contextes.

    Mais demain, outils, pratiques et usages sont encore voués à évoluer. .. Que faire donc pour l’Education Nationale et les régions ? Certes l’Education Nationale garde pour mission de préparer les jeunes aux usages innovants et former les enseignants.

    Les collectivités quant à elles, face à ces enjeux, doivent fournir les équipements que les jeunes rencontreront dans leurs futurs univers. Ce qui implique de déployer des infrastructures réfléchies et une continuité de service adaptée aux nouveaux usages, aux technologies innovantes, et aux expérimentations pédagogiques.

    Les régions doivent ainsi anticiper une adaptation de leurs cadres techniques aux évolutions à venir, tout en offrant un niveau de sécurité et de confiance optimal.

    Trouver des solutions pérennes

    Or, ce cadre technique constitue de lourds investissements, surtout depuis que la loi sur la refondation de l’école, a donné aux collectivités, la responsabilité et la prise en charge financière de la maintenance, comme des infrastructures et des équipements.

    Il s’agit donc de trouver des solutions les plus économiques qui anticipent les technologies et les usages à venir, au delà de la maintenance préventive et curative.

    Ce sont des investissements et des arbitrages à effectuer où les collectivités cherchent dans ce contexte à comprendre la pertinence des solutions choisies et à suivre les usages à travers des indicateurs. Car comme le souligne Pascale Luciani, au-delà du « est ce utilisé ? », les véritables questions sont à présent « est ce bien utilisé » et « cela sert-il la réussite scolaire et les objectifs poursuivis ».

    Car depuis plusieurs années, face à l’augmentation considérable des investissements, les collectivités ne veulent plus selon l’expression de Thierry Cagnon « rester les équipementiers de l’Education Nationale« .

    L’évolution connue à cet effet par la région du Languedoc Roussillon, en un est une parfaite illustration. Nous aurons l’occasion de revenir dans ces pages sur le témoignage de Bernard Boluix à cet effet.

    Vers un lycée numérique labellisé

    Se posent de ce fait les conditions, du nécessaire partenariat entre les régions et l’Education Nationale pour travailler autour d’une gouvernance structurée : une synergie d’action avec des objectifs et des responsabilités partagés, que Thierry Cagnon nomme « cercle vertueux » et que l’ensemble des intervenants reconnaissent fonctionner aujourd’hui dans leurs régions avec efficacité.

    Mais selon Jean François Cerisier, ces partenariats ne sauraient être des cercles vertueux, si autour des deux principaux protagonistes, n’étaient adjoints d’autres acteurs susceptibles de donner au lycée numérique les moyens de répondre à ses enjeux.

    A l’instar de ce qui a été mis en place en Poitou-Charentes, le lycée numérique éducatif aux portes de l’université et des entreprises, suppose une implication active de leviers au sein d’un territoire tel que des universités, d’autres opérateurs de l’Etat liés à l’éducation (le Cned, le Cnam, Canopé) mais aussi les entreprises du secteur éducatif.

    Ces dernières participent à une dynamique de recherche scientifique qui vise à définir un label autour du lycée numérique dont par exemple une recherche autour du développement des usages des manuels numériques, basé sur le volontariat des enseignants.

    La logique qu’inspire le lycée labellisé est de permettre à tous les acteurs, mais en particulier aux régions d’avoir une visibilité sur les choix d’arbitrage économiques, et aussi au sein des nouvelles dynamiques territoriales qui se dessinent, à l’aube du regroupement des régions.

    Par Marie -France Bodiguian Cabinet Amo-Tice

  • Un serious game pour former les jeunes générations au secourisme

    Un serious game pour former les jeunes générations au secourisme

    [callout]Édité par la start-up Abeilles Multimédia, SALVUM (« sauver » en latin) a été imaginé pour permettre au plus grand nombre de se former facilement et efficacement au secourisme. En effet, les accidents de la vie courante représentent à ce jour la troisième cause de mortalité en France avec 20 000 décès par an. Or, moins de 20% de la population française serait actuellement formée au secourisme.[/callout]

    Pierre Sabin, Dirigeant et Co-fondateur d’Abeilles Multimédia, explique : « Notre objectif en créant SALVUM, était de rendre plus accessible le secourisme afin de former davantage de personnes et ainsi, réduire le nombre de drames que certains vivent chaque année.
    Après un démarrage prometteur auprès des adultes, grand public et entreprises, nous souhaitons maintenant nous adresser aux plus jeunes. C’est pourquoi nous avons développé SALVUM ÉDUCATION, pour sensibiliser directement ceux qui pourront faire la différence dans le monde de demain
    ».

    SALVUM ÉDUCATION, c’est quoi ?

    SALVUM ÉDUCATION est une ressource multimédia dédiée au secourisme, conforme à la proposition 1 du référentiel interne de formation et de certification PSC1 de l’Éducation Nationale.

    Le principe est très simple :

    il s’agit d’apprendre aux élèves les réactions et gestes de premiers secours par l’expérience, en les faisant devenir acteur de leur propre formation.

    Face à une situation, l’élève va devoir l’analyser, puis agir. Il va commencer par réfléchir et non par essayer de mémoriser, contrairement aux formations classiques.

    Tour à tour, l’élève visitera des « villes » dédiées à des thématiques comme « Alerte », « Traumatisme », ou encore « Arrêt cardiaque ». Il lui faudra à chaque fois valider ses acquis sur une thématique avant de pouvoir passer à la suivante.

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    L’algorithme développé adaptera en temps réel le parcours de l’élève en fonction de l’évolution de son niveau tout au long de l’apprentissage, lui évitant ainsi de se désintéresser de la formation et de décrocher en cours de route.

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    A la fin de la formation théorique, un bilan sera édité pour chaque élève. Le professeur qui formera les élèves à la partie pratique aura également ces bilans à disposition et pourra ainsi adapter plus facilement l’apprentissage de chacun.

    SALVUM ÉDUCATION, une méthode qui a déjà fait ses preuves

    Avant le lancement de l’application SALVUM ÉDUCATION, sa méthode d’apprentissage a fait l’objet d’une expérimentation suivie par la Direction du Numérique pour l’Éducation, et financée par la Région Île-de-France. Ce sont 68 élèves du Collège du Vieux Chêne de Chessy qui se sont prêtés au jeu de février à juillet 2015.

    Divisés en 3 groupes, ils ont été formés ou se sont formés seuls aux premiers secours. A la fin de la période, les 68 élèves ont été soumis à un même questionnaire d’évaluation des connaissances, et les conclusions ont été sans appel.

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    Proposer une formation en autonomie aux élèves par le biais de SALVUM ÉDUCATION est ainsi la meilleure solution pour leur permettre d’apprendre les gestes qui sauvent, et surtout pour qu’ils les retiennent.

    SALVUM, c’est permettre à chacun de sauver une vie !  #JouerASauverDesVies

    Plus d’infos :  salvumeducation.org

  • Numérique pour l’Education : mise en œuvre et généralisation des équipements mobiles

    Numérique pour l’Education : mise en œuvre et généralisation des équipements mobiles

    Crédit photo de Marie Deroide : S.Hamon – Pole Communication de la DNE

    Ludovia_DNEMarieDeroide_110915« Dans un premier temps, nos actions sont essentiellement à destination des collèges avec des subventions équipement pour les élèves et leurs enseignants et des dotations en ressources », explique Marie Deroide.

    En complément, plusieurs chantiers nationaux visent à développer et faciliter la mise à disposition de ressources pédagogiques numériques pour le collège mais aussi pour le lycée et le premier degré, « mais l’effort d’équipement se porte bien sur les collèges et sur la généralisation à partir de septembre 2016 qui a été réaffirmée par le Président de la République ».

    Pour arriver à cette généralisation, la logique est celle de l’appel à projets. Basé sur un partenariat collectivités territoriales et Education Nationale et sur le volontariat des établissements et des équipes pédagogiques, un premier appel à projets a été lancé en mars dernier.

    Cet appel à projets a permis de sélectionner environ 220 collèges, et 350 écoles du réseau d’Education Prioritaire.

    Pour l’année 2016, dans une logique de généralisation, c’est à nouveau cette démarche basée sur le volontariat qui va être retenue, « car elle permet de respecter les prérogatives de chacun ».

    « Au sein de la DNE nous cherchons, au travers du programme mis en place autour du plan numérique, à travailler sur l’ensemble des axes en même temps, à savoir : équipements, ressources, formation, usages…Ce qui nécessite une forte mobilisation car de nombreux acteurs sont impliqués ».

     

  • Bachelors de France, l’application que tous les lycéens attendent !

    Bachelors de France, l’application que tous les lycéens attendent !

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    Bachelors de France va simplifier la vie des bacheliers et des étudiants en reconversion, en classant et référençant les informations et les programmes bachelors disponibles en France, par région et par spécialité.

    Sous l’appellation « Bachelors de France » se trouvent réunies une communauté digitale et une application mobile capables d’orienter les futurs bachelors dans le choix de la formation la plus adaptée à leurs besoins.

    Véritable lieu d’informations, d’échanges, d’orientation, l’application mobile « Bachelors de France » c’est :

    • Un test personnalisé : il permet de trouver le bon programme bachelor en fonction du rythme scolaire souhaité, de la spécialité envisagée et de la localisation.
    • Une fiche par Bachelor : elle délivre des informations précises sur la formation envisagée, permet de rentrer en contact avec les futurs étudiants du bachelor et d’envoyer des messages à l’école.
    • Une messagerie : les étudiants qui ont mis les mêmes bachelors en favoris peuvent s’envoyer des messages. Ils forment la communauté des bachelors !
    • Une seule source d’information pour être tenu au courant de l’actualité des bachelors, des dates de concours, des JPO…

    Vous pouvez télécharger l’application mobile ici : Android / iOS.

    Plus d’infos : http://www.bachelorsdefrance.com/

  • Le numérique en région Languedoc-Roussillon :  une question d’équité sociale et territoriale

    Le numérique en région Languedoc-Roussillon : une question d’équité sociale et territoriale

    « Depuis dix ans nous avons, d’une part, construit dix nouveaux établissements pour répondre à la croissance démographique ; puis nous nous sommes attelés à la restructuration d’un lot de bâtiments qui étaient plus anciens, datant d’autres siècles même pour certains », explique Karine Margutti, Vice-Présidente de la commission éducation et lycées.

    L’accroissement de la population en région Languedoc-Roussillon est en effet d’environ 30 000 personnes chaque année, ce qui, sur trois ans, représente l’équivalent d’une nouvelle ville de 100 000 personnes qui se crée, ce qui justifie ce type d’investissements.

    L’architecture informatique des lycées au cœur de la restructuration et des nouvelles constructions.

    Au cours de ces différents chantiers, le numérique n’a jamais cessé de faire partie des préoccupations des élus car comme le souligne Karine Margutti : « quand nous avons restructurés nos lycées, nous avons pensé câblage, WIFI, réseaux et aménagements qui pouvaient permettre l’entrée du numérique dans ces établissements ».

    Entre 2006 et 2014, la Région a investi 14M€ dans la réalisation de câblages de lycée (FO, capillaires, WIFI).

    Et elle ajoute « même si cela est plus compliqué d’aménager des bâtiments anciens et que cela s’avère beaucoup plus simple dans du neuf qui ne demande pas de modification du plan d’ensemble ».

    Des lycées structurés autour du numérique et des lycéens bien dotés.

    Pour aller plus loin dans la démarche numérique, la région s’est lancée en 2011, dans une vaste opération intitulée « LoRdi » : équiper gratuitement chaque élève entrant en classe de seconde d’un ordinateur portable.

    LoRdi, c’est le support majeur de la politique numérique de la Région.

    Aujourd’hui, après trois ans d’opération, ce sont près de 100 000 lycéens des 146 lycées de la Région qui bénéficient de cet outil dans leur quotidien ; une manière pour eux d’utiliser plus amplement toutes les possibilités pédagogiques qu’offre l’Espace Numérique de Travail. L’ENT est d’ailleurs un autre investissement d’envergure engagé par la Région en 2008 conçu en partenariat avec le Rectorat qui héberge le site et la Direction régionale de l’agriculture, de l’alimentation et de la forêt (en charge des lycées agricoles).

    A ces actions s’ajoute depuis 2005, la « gratuité des livres et matériels pour les lycéens » : la Région équipe gratuitement l’ensemble des jeunes qui entrent dans les lycées publics et privés d’enseignement général, technique et professionnel en manuels scolaires et premiers équipements pour les filières professionnelles.

    Des manuels scolaires qui deviennent de plus en plus « numériques » et viennent agrémenter LoRdi, comme nous l’a précisé Karine Margutti. Sortant de son champ de compétences, la Région a pourtant fait ce choix d’investissement en ressources, pour « boucler la boucle », pourrait-on commenter et ne pas se contenter de fournir un ordinateur « vide » à ses lycéens.

    Ce dispositif mis en place pour les manuels scolaires va dans le sens de la politique générale du Conseil Régional vis à vis des familles qui est de réduire les inégalités. Pour information, en 2013, l’opération « gratuité des manuels scolaires » a représenté une aide moyenne d’environ 283 euros par famille.

    LoRdi pour réduire la fracture numérique chez les jeunes.

    Dans le discours de Karine Margutti, c’est avant tout de cela dont il est question : donner les mêmes chances à tous les jeunes de la Région.

    « Nous le savons bien et cela a été encore démontré dans un récent rapport, que nous sommes dans une problématique d’inégalité et que la réussite n’est pas la même en fonction de la famille dont on vient ou du territoire dont on est issu. Avec des opérations comme nous les menons, nous souhaitons faire en sorte que tous les élèves aient les mêmes chances et les mêmes outils ».

    Avec le numérique, la Région a pris le parti de « coller aux besoins du 21ème siècle » mais également d’assurer une équité sociale au sein de son territoire.

    [callout]Informations complémentaires

    Six lycées ont déjà été ouverts entre 2005 et 2013 : Jean-Vilar à Villeneuve-lès-Avignon, Rosa-Luxemburg à Canet-en-Roussillon, Victor-Hugo à Lunel, Pierre-Mendès France à Montpellier, Jacques-Prévert à Saint Christol-lez-Alès, Georges-Frêche à Montpellier et Marc-Bloch à Sérignan (ouvert à la rentrée 2013).

    Sont également programmés à la construction : le lycée Emile-Combes à Argelès-sur-Mer, dont la première pierre a été posée le 2 décembre 2013 (ouverture rentrée 2015), le lycée Ernest-Ferroul à Lézignan-Corbières, dont l’architecte Rudy Ricciotti a été choisi et l’étude d’avant-projet sommaire lancée (ouverture rentrée 2016) et la relocalisation et la reconstruction du lycée Andréossy à Castelnaudary.

    Entre 2005 et 2012, les investissements ont ainsi représenté 368,1 millions d’euros pour les lycées neufs, 885,8 millions d’euros pour les réhabilitations et 4175,8 millions d’euros pour les équipements.

    La Région a programmé la construction de deux nouveaux lycées : l’un à Argelès-sur-Mer dans les Pyrénées-Orientales (2015), l’autre à Lézignan-Corbières dans l’Aude (2016).

    La Région a également signé un partenariat avec les cinq Départements pour mettre en place l’ENT dans les collèges qui est en place depuis la rentrée 2012. Il comprend l’ensemble des outils de vie scolaire : cahier de texte, notes absence ; des outils d’échange : actualités, messagerie, espace de stockage ; des ressources pédagogiques : MOODLE, SANKORE et des outils d’accompagnement éducatif : soutien scolaire, orientation, biblionisep.

    Enfin les Universités du Languedoc-Roussillon fonctionnent avec le même type d’espace numérique depuis 2006. Désormais, de la sixième à la faculté, beaucoup de jeunes surfent et étudient en toute logique sur ce cartable numérique.[/callout]

    crédit photos : Région Languedoc-Roussillon

     

  • Texas Instruments lance une nouvelle génération de calculatrice graphique tout en couleur pour le lycée

    Texas Instruments lance une nouvelle génération de calculatrice graphique tout en couleur pour le lycée

    Extra légère et extra-fine, elle dit adieu aux piles grâce à sa batterie rechargeable, elle est le compagnon idéal des élèves de lycée de la Seconde jusqu’au Bac.

    Des fonctionnalités attendues des enseignants font leur apparition, telles que l’affichage en valeurs exactes avec une touche dédiée (y compris dans la résolution graphique), la fonctionnalité MathPrint intégrée, l’accès aux fractions en direct, des applications mises à jour et en couleur et toujours la programmation en TI-Basic.

    Des maths plus ludiques !

    La compréhension des mathématiques devient plus facile grâce à l’écran couleur haute résolution et à l’importation de photos. Les enseignants et leurs élèves peuvent ainsi tracer des graphiques par-dessus les images et ainsi proposer une séance pédagogique plus ludique, innovante et captivante.

    Texasinstruments_150115Accompagner les enseignants dans l’usage de la calculatrice

    Texas Instruments met à disposition gratuitement des enseignants un logiciel émulateur compagnon pour calculatrice graphique TI : le TI-Smartview CE.

    Il permet à l’enseignant de projeter une calculatrice virtuelle pour une meilleure visualisation des manipulations par les élèves ainsi que la création de documents pédagogiques sur un logiciel de traitement de texte grâce à la capture d’écran.

    Une version monoposte du logiciel sera d’ailleurs disponible gratuitement sur le site Internet de Texas Instruments en Mai à l’adresse ci-contre : www.education.ti.com

    Idem pour le logiciel TI-Connect (CE) disponible gratuitement sur le site internet de Texas Instruments qui permet de produire et de transférer rapidement des programmes, des applications ou des données depuis un ordinateur.

     

    Texasinstruments2_150115La TI-83 Premium CE testée en avant-première en France dans 4 académies

    Plusieurs classes pilotes utilisent la TI-83 Premium CE depuis la rentrée dernière avec des premiers résultats positifs. Facile à prendre en main et intuitive pour les élèves, elle apparait également comme un aide précieuse pour les professeurs face à des élèves avec des difficultés en calculs.

     

     

    Vous pouvez visualiser le reportage de l’académie de Versailles à ce sujet.

    Plus d’infos :
    Vous êtes enseignant en mathématiques en lycée et souhaitez découvrir dès maintenant la TI-83 Premium CE ? Contactez votre délégué pédagogique Texas Instruments à l’adresse delegue-pedagogique@ti.com

    Plus d’informations sur les innovations Texas Instruments: education-france@ti.com

    A propos de Texas Instruments

    La Division  « Education Technology » de Texas Instruments, propose des solutions matérielles et logicielles innovantes pour l’apprentissage des mathématiques et des sciences. Les produits scolaires et les services de TI sont conçus depuis 20 ans en collaboration avec des enseignants chercheurs et des enseignants formateurs français du « réseau T3 » de façon à répondre parfaitement aux besoins spécifiques d’une utilisation en et hors classe. De plus amples informations sont disponibles sur http://education.ti.com/france 

    PUBLI-COMMUNIQUÉ

  • Intégrer les outils des enseignants dans un même espace numérique

    Intégrer les outils des enseignants dans un même espace numérique

    Au cours du salon Educatec/Educatice, EDULOG a mis en avant l’intégration des outils des enseignants dans un même espace numérique. En effet, de nombreux outils numériques sont en train d’émerger et sont proposés aux enseignants : ressources, manuels numériques, classes virtuelles et/ou inversées, blogs…

    Pour optimiser leur accessibilité, EDULOG propose un espace qui centralise tous ces outils avec un seul code pour les utiliser.

    Ces valeurs et cette expertise sont mises en œuvre au sein d’un nouveau partenariat qui associe des acteurs innovants de l’e-éducation :

    • EDULOG, dont les solutions facilitent et accélèrent les échanges numériques dans la communauté éducative.
    • BeeChannels, éditeur de Beebac.com, le réseau social éducatif francophone et de myBeeBac, un LMS social (Learning Management System) pour les établissements d’enseignement secondaire et supérieur. BeeChannels est membre fondateur de Viaeduc, le réseau social des enseignants.
    • Education&Numérique, la plateforme auteur libre pour créer cours et exercices interactifs dans toutes les matières à tous les niveaux. E&N propose aujourd’hui un catalogue de près de 1 000 ressources interactives

    A tous les enseignants, EDUSCOUADE propose de créer leurs propres ressources pédagogiques, de les mutualiser avec celles de leurs collègues, de puiser dans le catalogue d’activités interactives, de les soumettre aux élèves, de récupérer leurs notes… EDUSCOUADE instaure un lieu de création et de partage convivial et efficace entre les enseignants et les élèves autour du numérique pédagogique.

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    Plus d’infos :

     

  • +10% d’enseignants convaincus par le numérique en deux ans !

    +10% d’enseignants convaincus par le numérique en deux ans !

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    Devons-nous nous réjouir de ce résultat ?
    Toute évaluation allant dans un sens positif de la pratique du numérique à l’Ecole est bonne à prendre. Détaillons en quelques points ce qui a vraiment changé entre 2012 et 2014.

    Equipement personnel de l’enseignant : de plus en plus équipés et de plus en plus en outils mobiles

    Alors que la plupart des enseignants se tournent vers des appareils personnels mobiles (ordinateurs portables, tablettes, liseuses ou Smartphones) pour leur usage à la maison et en établissement, seuls 1% des enseignants déclarent n’avoir aucun outil informatique à domicile.

    La dotation par l’établissement ou la collectivité stagne ou décroit, souligne le rapport.

    En classe, les enseignants utilisent plus le numérique

    L’usage d’un ordinateur « enseignant » et d’un matériel de vidéo projection semble être passé dans les us et coutumes de la majorité des enseignants interrogés et ils admettent que l’accès à ces outils est facilité.

    Seuls 31% d’entre eux déclarent utiliser un matériel interactif (TNI ou vidéoprojecteur) ; pour les autres, une partie d’entre eux affirme que l’accès à ces matériels serait trop compliqué ou l’autre partie avoue n’avoir jamais utilisé ce type d’équipement.

    La ressource numérique : un des points noirs des usages du numérique en classe.

    Alors que certains déclarent ne pas avoir connaissance des ressources numériques disponibles, d’autres affirment que les enseignants en sciences humaines, sociales, de sciences et de production disposent de plus de ressources que les « littéraires » ; d’autre part, les lycées semblent un peu mieux dotés que les collèges.

    « Les exploitations plus novatrices du numérique, autres que la préparation des cours (56%), le renseignement du cahier de textes numérique (62%), la saisie des notes et/ou des absences (61%), le montage de séquences en classe sans manipulation des TIC par les élèves (35%), restent très faibles ou anecdotiques, voire inexistantes pour une très large majorité lorsqu’il s’agit par exemple de faire communiquer les élèves entre eux en dehors ou dans la classe ».

    Pourtant, collaboration, partage, coopération et échanges ne sont-ils pas les maîtres mots des débats, colloques et séminaires en tout genre lorsqu’il est question de numérique dans l’éducation ? Ces valeurs, que tous plébiscitent et annoncent comme « facilitées » par le numérique, ne sont, à priori, pas encore entrées dans l’enseignement « classique » ; est-ce faute de matériel suffisant ?

    Le volet « communication avec le numérique« , pourtant n°1 dans notre société à tous les niveaux, n’a pas « matché » non plus avec l’Ecole puisqu’il ressort que « des doutes persistent sur les apports dans la communication avec les parents » ; sous-entendu : il ne ressort pas clairement que le numérique ait joué un rôle déterminant, à ce jour, pour instaurer une meilleure communication en dehors des murs de l’établissement.

    Le numérique, profitable aux enseignants mais des freins à une pratique plus régulière subsistent

    Pour terminer sur une note positive, l’enquête dit aussi :

    plus de 90% des enseignants jugent le numérique profitable à leur enseignement.

    La volonté est donc bien là ; oui mais voilà, il y a encore les fameux « freins » que tout le monde connaît, qui ralentit leur course, à savoir : l’accès à internet et ses débits encore insuffisants (pour 42% des enseignants, c’est le facteur bloquant à l’usage du numérique) ; l’anticipation comme par exemple la réservation de matériel ou de salles fait aussi partie des freins pour 38% d’entre eux.

    « Arrêt sur image » sur la salle informatique, qui fait encore « la une » dans nos établissements.

    Comment se fait-il qu’on évoque encore cette question de la réservation de « salle informatique » ? Pourtant, nous sommes actuellement dans une logique de mobilité (sous-entendu un appareil mobile par élève) en classe et hors la classe, pour tenter de casser le modèle « tragique » de l’enseignement actuel comme le décrit Daniel Peraya, professeur en technologies de l’éducation à l’Université de Genève (TECFA), en référence aux règles de la tragédie classique à savoir une unité de lieu, une unité de temps, une unité d’action.

    Effectivement, la salle informatique a encore sa place car elle en dit long sur plusieurs années d’investissement des collectivités à qui il est recommandé, pour ne pas dire demandé, aujourd’hui de changer de modèle. Patience, le numérique est bien entrain « d’entrer » dans l’Ecole, du moins au collège et au lycée, et les enseignants sont de plus en plus convaincus, en référence à cette dernière enquête.

    Auteur : Aurélie Julien

    Source des passages cités : article issu de eduscol.education.fr avec accès à l’enquête.