Étiquette : enseignement superieur

  • APB, un bon produit qui a dysfonctionné. Pourquoi ?

    APB, un bon produit qui a dysfonctionné. Pourquoi ?

    Lors de la conférence de presse organisée par le syndicat des personnels de Direction de l’Education Nationale , Philippe TOURNIER, son secrétaire général, a évoqué plusieurs questions d’actualité : la suppression des contrats aidés, l’interdiction des portables dans les Écoles et les Collèges, la rentrée scolaire en musique et bien sûr les affectations des bacheliers dans l’enseignement supérieur.

    Sur ce dernier point le secrétaire général du SNPDEN a fait l’éloge d’APB .

    C’est à l’origine, a-t-il précisé, un produit horizontal qui a été construit par l’enseignement supérieur pour les seules classe préparatoires aux Grandes Ecoles pour éviter qu’il y ait des élèves sans place et des places vacantes. Ce produit partenarial était dirigé par un comité de pilotage qui fonctionnait sur le principe du consensus. Le produit a très bien marché (pour l’affectation post bac ) . Il faut remarquer que techniquement et pour une fois c’est même à notre connaissance le seul produit informatique national qui fonctionne et dont personne ne se plaint. Il a quand même réussi le tour de force de réunir dans un cadre unique, des procédures complètement différentes, des tas de gens qui n’avaient pas le même calendrier, toujours sur le principe du consensus et qui, on le dit, a considérablement assaini et moralisé l’entrée dans l’enseignement supérieur.

    Mais alors pourquoi un tel dysfonctionnement cette année ? Explications dans la vidéo ci-contre.

  • L’open-éducation dans l’enseignement supérieur

    L’open-éducation dans l’enseignement supérieur

    L’open-éducation consortium est un mouvement universitaire international. Sophie Touzé, expert pédagogique et numérique au ministère de l’enseignement supérieur et jeune Présidente du consortium est venu expliquer la philosophie de ce mouvement au micro de ludomag, sur le colloque écriTech’8.

    « L’open-éducation consortium est un mouvement qui a démarré il y a 10 ans au MIT et qui a pour objectif de libérer l’éducation pour la rendre accessible à tous ».

    La suite dans l’interview ci-contre.

    Plus d’infos :

    L’Open Education Consortium organise chaque année une conférence mondiale. Cet événement réunit des administrateurs, des décideurs, des professeurs, des étudiants, des chercheurs et d’autres professionnels du monde entier intéressés par la façon dont l’Open Education peut façonner l’avenir de l’éducation.

    Source image et infos sur : http://www.sup-numerique.gouv.fr

    Retrouvez toutes les interviews et articles d’écriTech’8 ici.

  • Comment le numérique transforme-t-il l’enseignement supérieur ?

    Comment le numérique transforme-t-il l’enseignement supérieur ?

    Mehdi Gharsallah, Conseiller stratégique pour le numérique à la Direction Générale de l’Enseignement Supérieur et de l’Insertion Professionnelle, est intervenu à EduSpot sur « Comment le numérique transforme-t-il l’enseignement supérieur?« .

    « Aujourd’hui, la transition numérique est à l’oeuvre dans beaucoup d’établissements du supérieur ».

    Les universités étant autonomes, le rôle joué par la DGESIP en matière de numérique est varié : « Nous pouvons être à la fois initiateurs ou incubateurs de certains projets, comme FUN (France Université Numérique) par exemple ou suivre des projets en cours d’incubation, comme PIX par exemple« .

    L’intégralité du propos de Mehdi Gharsallah dans la vidéo ci-contre.

    Tous les articles, interviews et vidéos EduSpot France 2017 sont à retrouver ici.

  • Importance de la donnée dans les nouveaux métiers de la communication et de l’information

    Importance de la donnée dans les nouveaux métiers de la communication et de l’information

    David Pucheu, enseignant chercheur au laboratoire MICA de l’université Bordeaux Montaigne est intervenu, lors du C2E 2016 organisé par le GIS INEFA de Poitiers, sur une table ronde sur le sujet de « comment former aux données ».

    David Pucheu est formateur dans les métiers de la communication et de l’information et depuis une dizaine d’année, avec l’arrivée des nouveaux médias, il réalise à quel point l’évolution vers de nouveaux métiers a été importante.

    « Une évolution qui va vers une fuite en avant en permanence, ce qui est lié à l’évolution technologique et à l’accélération fulgurante que le numérique a induit« , souligne t’il.

    Surtout très vite,  nous avons vu l’importance des données dans ces métiers-là et le community management, par exemple, s’est transformé.

    L’importance de la capacité à mettre en relation les données issues des utilisateurs peut être une nouvelle compétence, par exemple.
    Il est donc désormais indispensable aujourd’hui de former les étudiants au traitement et à l’analyse des données et à avoir un recul critique sur ce traitement.

    Un enjeu crucial pour ces nouveaux métiers est de développer une intelligence de la mise en relation des données car fondamentalement, ce sont ça les nouveaux « Business Model » d’aujourd’hui.

    Retrouvez l’intégralité de l’interview de David Pucheu dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

     

  • S’orienter vers les secteurs de l’informatique ou du numérique après son bac ?

    S’orienter vers les secteurs de l’informatique ou du numérique après son bac ?

    salonetudiantnumerique_210116Attractifs et porteurs, le secteur des nouvelles technologies, au sens large du terme, présente de sérieux atouts, à commencer par ses perspectives de recrutement et d’évolutions.

    Devant la large gamme de métiers de ce secteur en pleine croissance, et les différents cursus pour y parvenir, l’Etudiant propose la 9ème édition du Salon l’Etudiant Numérique & Informatique.

    Cet évènement, placé sous le patronage du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, se déroulera les 30 et 31 janvier 2016.

    Le salon du Numérique & Informatique est l’opportunité pour les lycéens et les étudiants de découvrir les métiers et les filières de formation spécialisées adaptées au monde professionnel.

    Les représentantes des organismes de formation, des institutions et des entreprises seront réunis sur le salon pour présenter et expliquer les filières, les cursus et détailler les emplois du numérique et de l’informatique.

    A la rencontre des exposants : découvrir les études et les métiers

    Les secteurs du numérique et de l’informatique ne cesse d’évoluer… et de séduire. La gamme de métiers qu’ils englobent est large et concerne tous les niveaux d’études.
    Durant les deux jours du salon, les représentants des établissements détailleront leurs offres de formation : généralistes ou spécialisées, en formation classique ou en alternance, cursus classiques ou innovants.
    Ils se tiendront à disposition des visiteurs pour leur expliquer les spécificités de leurs formations, la durée des études et les débouchés possibles.

    Filières techniques ou artistiques, cursus axés sur la programmation ou le commerce électronique, les jeunes vont pouvoir poser leurs questions et obtenir toutes les informations nécessaires pour définir leur projet d’études ou professionnel.

    Une occasion unique de faire le point sur les formations qui mènent à l’emploi et les métiers qui recrutent.

    Job IRL

    Qui mieux qu’un pro peut parler de son métier ?
    Les 15-25 ans retrouveront sur le stand de JobIRL des professionnels du numérique et de l’informatique qui répondront à leurs questions.

    JobIRL est le 1er réseau social professionnel pour l’orientation des 14-25 ans.

    Les professionnels répondent aux jeunes en ligne sur les forums, reçoivent les plus motivés, In Real Life, une heure sur leur lieu de travail. Des offres de stage de 3e et stages étudiants sont disponibles sur le site.
    JobIRL organise également des Happy JobIRL, rencontres entre jeunes et pros.
    Déjà 18 000 membres, rejoignez-les ! www.jobirl.com

    La librairie de l’Etudiant

    L’ensemble des publications de l’Etudiant sera proposé sur place : mensuels, hors-série, guides pratiques et guides métiers…. L’occasion pour les jeunes et leurs parents de faire le plein d’informations.

    Les conférences : pour aller plus loin

    En complément de leur visite, les jeunes pourront assister à un cycle de conférences. Chacune d’elles réunira des représentants d’écoles, d’universités ou d’entreprises, autour d’un journaliste de la rédaction de l’Etudiant.
    Grâce à ces conférences, les visiteurs pourront recueillir toutes les informations pratiques dont ils ont besoin et auront une idée plus claire du parcours d’études menant à la profession qu’ils souhaitent exercer. Les professionnels leur feront découvrir les métiers qui recrutent et leur parleront des filières qui mènent à l’emploi.

    Toutes les infos : www.letudiant.fr/etudes/salons/salon-letudiant-informatique-multimedia.html

  • L’ISG et EPITA s’allient pour créer un Executive MBA management et numérique

    L’ISG et EPITA s’allient pour créer un Executive MBA management et numérique

    Dispensé soit en mode mixte online-présentiel soit en mode full online, afin d’offrir le maximum de souplesse, cette formation de 620 heures se déploie sur deux ans et se distingue par la dimension d’excellence numérique que tout manager du 21ème siècle doit maîtriser.

    Un Executive MBA qui ouvre les portes de la « BusinessTech »

    Le programme s’appuie sur la maîtrise des fondamentaux du management en les revisitant à travers l’impact de la dimension numérique. Un seul objectif : permettre aux cadres à être au cœur de la transformation digitale des entreprises et de l’activité économique en leur donnant toutes les cartes pour être un « e-leader » : e-commerce, digital-marketing, gestion du système d’information, management digital…

    Une « Digital Learning Expedition » permet chaque année aux participants de s’envoler pour San Francisco, Tel Aviv, Singapour ou Shanghai pour rencontrer les Google, Linkedin, Facebook et autres acteurs qui créent le numérique de demain.

    Une option full online

    Afin de fournir le maximum de souplesse, la formation sera disponible soit en formule mixte online et présentiel (groupe de travail, master class un samedi par mois) soit entièrement en ligne.
    Dans tous les cas, la formation a été pensée pour que les professionnels puissent la suivre sans avoir à mettre entre parenthèses leur activité et leur vie personnelle : son approche permet aux participants de travailler chacun à son rythme.

    L’entrepreneuriat au cœur du programme

    L’Executive MBA s’appuie sur la pédagogie « learning by doing » et la méthode d’apprentissage par le projet développée par l’ISG et l’EPITA. Les participants seront amenés à réfléchir, entre autres, aux améliorations que le numérique peut apporter dans leur domaine à travers la simulation de création d’entreprises.

    Pour Anne Marie Rouane, directeur général de l’ISG, « nous vivons une renaissance extraordinaire de l’ensemble des modèles économiques. C’est pour répondre aux attentes des entreprises qui veulent évoluer que nous créons une formation Executive MBA adaptée au monde numérique. Pour nos alumni, pour tous les diplômés d’écoles de commerce, les managers qui veulent prendre le tournant du digital, c’est une opportunité formidable avec les deux expertises réunies ».

    Pour Joël Courtois, directeur de l’EPITA, « depuis plus de 30 ans, l’EPITA forme celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les innovations numériques, au cœur des entreprises comme dans notre vie de tous les jours.  Nous sommes convaincus que l’avenir appartient aux e-leaders, les managers de demain, maîtrisant la dimension numérique dans toutes les facettes de leurs métiers. »

     Plus d’infos :
    http://executive-mba.isg.fr et http://executive-mba.epita.fr
     

  • L’école d’ingénieurs CESI s’implante à Lille sur le campus de SKEMA

    Cette nouvelle implantation en métropole lilloise, la 25ème sur le territoire national, témoigne de la volonté du CESI, Groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, de répondre aux besoins exprimés par les partenaires socio-économiques de l’ensemble de la région

    Nord-Pas-de-Calais. Ces deux cycles préparatoires de 2 ans viennent compléter l’offre de formation du CESI déjà dispensée sur Arras où le Groupe est implanté depuis près de 50 ans.

    Deux cycles préparatoires pour révéler les talents

    Ces deux cycles préparatoires sont destinés aux bacheliers des filières scientifiques et technologiques. Accessibles au moment des choix d’orientation, ils permettent ensuite d’intégrer l’école d’ingénieurs CESI, soit en formation généraliste (ei.cesi), soit en spécialité informatique (exia.cesi).

    Pendant deux ans, les étudiants vont bénéficier d’un accompagnement individualisé optimisant leurs chances de réussite. Une pédagogie active est également mise en place à l’image de celle que l’on retrouve dans les cycles d’ingénieurs CESI. L’objectif est de rendre les étudiants acteurs de leur formation.

    Au cœur des tissus économiques des territoires, le CESI entretient des liens constants avec les entreprises. Il prépare, par le biais de son école d’ingénieurs, à des métiers qui recrutent dans les domaines du numérique, de l’industrie et des services. Il participe également au développement des compétences en région. Les cycles préparatoires ouverts à Lille en sont une parfaite illustration, dans la continuité de ce que fait déjà le CESI en Nord-Pas-de-Calais.

    A propos du CESI
    Groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, le CESI a toujours privilégié une présence locale forte. Il compte 25 établissements en France, organisés en 6 directions régionales dont la Direction Régionale Nord-Ouest.

    Dans le Nord-Pas-de-Calais, le CESI développe à Arras ses activités dans le cadre de son école d’ingénieurs (formations généralistes ou spécialité informatique), de son école supérieure des métiers (école 100% alternance) et de son organisme de formation professionnelle (offres inter-entreprises ou intra-entreprise).
    Il vient d’ouvrir à Lille deux cycles préparatoires : un cycle option Innovation Technologique et un cycle spécialité Informatique.
     
    Au niveau national, le CESI forme chaque année plus de 20 000 ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maitrise pour près de 6 000 entreprises. L’école d’ingénieurs CESI fait partie du Groupe d’enseignement supérieur et de formation professionnelle CESI qui accueille chaque année en France plus de 5 000 élèves ingénieurs dont plus des 2/3 en apprentissage.
    Pour plus d’informations, connectez-vous à www.cesi.fr
     
    A propos de SKEMA Business School
    Avec plus de 6 700 étudiants et 32 000 diplômés, SKEMA Business School est une école globale qui, par sa recherche, ses programmes d’enseignement, sa structure multi sites internationale forme et éduque les talents dont ont besoin les entreprises du XXIe siècle. L’école est présente sur 6 sites : 3 en France (Lille, Sophia-Antipolis, Paris), 1 en Chine (Suzhou), 1 aux Etats- Unis (Raleigh) et 1 au Brésil (Belo Horizonte). SKEMA est accréditée EQUIS et AACSB. www.skema-bs.fr

  • Le CESI choisit Kosmos pour sa transformation digitale

    Le CESI choisit Kosmos pour sa transformation digitale

    [callout]Une décision qui repose autant sur l’expertise de Kosmos et sur la qualité de ses solutions, que sur la confiance mutuelle qui s’est très rapidement installée entre les équipes des deux entreprises. Focus sur ce partenariat stratégique entre Kosmos et le CESI.[/callout]

    Le CESI, en marche vers un établissement numérique

     

    Le CESI, leader dans le domaine de la formation professionnelle et continue en France, décide de changer de dimension en s’appuyant sur une transformation de son système d’information d’entreprise vers un système axé sur les services et les clients.

    « Nous évoluons dans le monde de l’éducation. Opter pour un ENT nous a très rapidement paru évident. Inscrit au cœur de notre schéma directeur, l’ENT va nous permettre de communiquer plus efficacement avec nos collaborateurs, partenaires et apprenants, et de refléter également une image plus moderne, en adéquation avec les formations que nous proposons », indique Vincent Millet, Directeur du système d’information du Groupe CESI.

    Cinq objectifs ont au préalable été définis par le CESI, dans le cadre de la mise en place de l’ENT.

    Citons parmi eux la volonté du CESI de fluidifier la communication, d’accompagner de façon personnalisée les apprenants ou de fédérer la communauté autour d’un bouquet personnalisé de services.

    La mise en œuvre de procédures dématérialisées constitue également un des objectifs fondateurs du projet, accélérant ainsi le traitement des demandes entre tous les acteurs du CESI (administratifs, apprenants, tuteurs…).

    Un partenaire métier pour accompagner la transformation digitale du CESI

     

    Pour répondre à ses objectifs, le CESI recherchait un spécialiste du monde de l’éducation, véritable partenaire pour une relation dans la durée, avec une solution clé en main.

    « Dès nos premiers échanges avec Kosmos, durant l’appel d’offres, nous avons été séduits par la société et sa compréhension de nos besoins », précise Vincent Millet.

    Il poursuit : « Kosmos a élargi notre vision du service numérique et de l’ENT en nous montrant que l’outil allait au-delà d’un ensemble de services métiers tournés vers l’utilisateur. Nous souhaitions que l’ENT soit aussi un outil de communication et d’échange avec l’apprenant et l’environnement extérieur, ce qui répondait en tous points à nos attentes ».

    Les références de Kosmos dans le domaine de l’éducation, et tout particulièrement auprès des établissements d’enseignement supérieur, ont rassuré le CESI. « Le sérieux, l’expérience, la compétence et la connaissance métier de Kosmos ont largement influencé notre décision », ajoute Vincent Millet.

    D’autres éléments ont également été déterminants dans le choix rapide et en toute sérénité du CESI. Parmi eux, la maîtrise démontrée de Kosmos pour la mise en œuvre de bout en bout de la solution de par ses métiers d’éditeur et d’intégrateur.

    Les engagements de qualité de service proposés par Kosmos, ou encore la dimension open source de ses logiciels, ont joué en la faveur de la PME nantaise.

    Cette approche ouverte permettra aux équipes informatiques du CESI, mais aussi à certains apprenants, d’être impliqués dans le développement de nouveaux services numériques de l’ENT : une véritable opportunité pour les étudiants en ingénierie du CESI.

    « Kosmos va aussi accompagner notre équipe interne de développement pour la faire monter en compétences sur l’outil. Elle pourra ainsi prendre la main et développer différents nouveaux services au fil des besoins exprimés par les utilisateurs  », complète Vincent Millet.

    Vers un bouquet de services global

     

    Le projet a démarré très rapidement, pour que, dès le mois de janvier 2016, les premières promotions puissent bénéficier de l’ENT.

    Entre les mois de mars et de septembre, nous allons équiper les promotions des marques du groupe

    précise Eric Danion, Responsable de la BU enseignement supérieur chez Kosmos. « Ainsi, l’ensemble du réseau du CESI accèdera aux services majeurs de la vie scolaire via l’ENT (la gestion des notes, de l’emploi du temps et des absences) ainsi qu’à un ensemble de services numériques en mode authentifié et personnalisé (pédagogie, collaboratif…) », poursuit-il.

    Chaque usager disposera d’un accès Web à l’ENT et à l’ensemble de ses services.

    L’ENT développé pour le CESI aura une véritable fonction structurante dans l’entreprise. « Nous ambitionnons une montée en puissance de l’outil afin qu’il devienne un bouquet de services global et que les usages décollent », indique Vincent Millet. Il permettra par exemple d’augmenter l’interactivité entre les apprenants et leur équipe pédagogique ou bien encore d’accroître la qualité du service client.

    Une interface responsive design permettra à chaque usager d’accéder à son ENT depuis ses appareils mobiles.

    Pour Kosmos, le partenariat avec le CESI marque une nouvelle étape importante dans son développement sur le secteur de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle. Le spécialiste du numérique pour l’éducation va accompagner, dans sa transformation digitale, un acteur majeur de ce secteur en France, en déployant un ENT d’envergure nationale.

    A propos de la société Kosmos :

    Créée en 1998 à Nantes, Kosmos est spécialisée dans la mise en œuvre de solutions numériques pour l’éducation : portails web, e-portfolios, ENT, portails de ressources, solutions mobiles… Elle accompagne les acteurs de l’éducation en intervenant autour de quatre métiers : le conseil, l’intégration, l’infogérance et l’édition logicielle.

    Aujourd’hui, Kosmos compte quatre implantations : Nantes (siège social), Toulouse, Lyon et Montréal.
    Pour en savoir plus : www.kosmos.fr

    A propos du CESI:

    Le CESI a été créé en 1958 par de grandes entreprises industrielles françaises souhaitant faire évoluer et promouvoir leurs techniciens à fort potentiel. En France, le CESI développe sur l’ensemble du territoire une relation étroite avec les régions, les branches professionnelles et les entreprises, un portefeuille de marques leaders sur le champ de la formation professionnelle et de l’enseignement supérieur. Le CESI est une référence pédagogique s’agissant de la formation continue et de l’alternance. Fort de sa gouvernance paritaire, le CESI s’inscrit dans un engagement en termes de développement social pour répondre aux attentes des compétences de l’entreprise.

    Le CESI est également présent par ses filiales en Algérie et en Espagne. Il développe un partenariat de relations étroites avec les universités dans le monde entier. Le CESI, formant chaque année plus de 20 000 ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maitrise pour près de 6 000 entreprises, développe ses activités dans le cadre de 5 marques :

    • CESI : école d’ingénieurs formant des ingénieurs généralistes ou de spécialité par l’apprentissage, la formation continue ou sous statut étudiant. Elle accueille chaque année plus de 4 000 élèves en formation et diplôme près de 1 780 ingénieurs et mastériens.
    • CESI : spécialité informatique de l’école d’ingénieurs CESI forme des ingénieurs professionnels de l’informatique ancrés dans le monde de l’entreprise. Elle compte 1 250 étudiants en cours de formation et un réseau de 2 500 diplômés.
    • CESI entreprises : organisme de formation accompagnant les entreprises et les salariés dans leur évolution professionnelle en inter et en intra. Son offre de formations diplômantes et modulaires couvre les principaux besoins en compétences des entreprises. CESI entreprises forme chaque année près de 9 000 stagiaires (21 diplômes RNCP de niveau III à niveau I).
    • CESI alternance : cette nouvelle marque du groupe CESI abrite en son sein l’ensemble de ses parcours professionnalisant réalisés par la voie de l’alternance, à destination de jeunes titulaires de Bac à Bac+4, autour de filières d’excellences (Informatique, Ressources Humaines, Industrie et services et BTP), dans le cadre de son école supérieure des métiers. Cette école diplôme chaque année près de 2 500 alternants.
    • CESI certification : filiale du groupe Cesi, accréditée par le Cofrac dans le cadre de la certification de personnes des opérateurs en diagnostic immobilier, son activité est dédiée à la certification des personnes dans les domaines de l’immobilier, de la performance industrielle, de l’informatique et de la qualité-sécurité-environnement.

    Le réseau du CESI compte plus de 44 000 diplômés. Chaque année, il en accueille plus de 4 000 nouveaux et rivalise avec les plus grandes associations d’anciens élèves.

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  • Le projet « Puissance 3 », associe l’ESAG Penninghen, l’ISEP et Stanford

    Le projet « Puissance 3 », associe l’ESAG Penninghen, l’ISEP et Stanford

    Le travail interdisciplinaire, un incontournable dans le monde des technologies

     

    Le paysage technologique et les objets qui le constituent ainsi que le contexte professionnel afférent sont devenus d’une complexité galopante.

    Ainsi, les nouvelles générations d’ingénieurs, de designers et de marketeurs doivent savoir travailler ensemble, depuis la conception jusqu’à la réalisation et la mise sur le marché de ces objets hautement technologiques, ce qui pose bon nombre de défis au niveau des interfaces des métiers avec leurs caractéristiques et leurs langages propres.

    L’objectif de « Puissance» est d’agir en amont afin de faciliter la tâche de futurs cadre à relever ces défis :

    il s’agit de rapprocher des élèves issus de trois droits domaines bien spécifiques dans le cadre de leurs formations en constituant des équipes mixtes travaillant sur des projets collaboratifs innovants dans le domaine du numérique.

    Tout en développant les compétences propres à la formation d’ingénieurs ISEP (mêlant technicité, innovation et créativité) et en les faisant partager aux autres membres des équipes mixtes, les élèves ISEPiens développent aussi des aptitudes transverses cruciales pour leurs futures carrières d’ingénieurs du numérique. En effet, ils apprennent à travailler en mode projet dans un contexte structurellement comparable à celui vécu dans les entreprises, à être à l’écoute de l’expertise des autres élèves ainsi que de leurs contraintes, et à établir collectivement un langage commun pour gérer la complexité des objets numériques.

    Puissance 3 : trois expertises au profit de la conception et de la réalisation d’un objet numérique

     

    Les équipes sont formées d’élèves provenant des trois écoles associées.
    Il est d’abord demandé à tous les participants d’exposer l’ensemble des « idées » qu’ils ont pu imaginer ; ensuite séance tenante une sélection est faite ; enfin les équipes se lancent dans le travail avec des projets arrêtés. Au sein des équipes, chaque partie apporte au projet des connaissances et des savoir faire pointus afin de réaliser le produit (ISEP), de rendre son design « esthétiquement » viable (ESAG Penninghen) et d’en assurer la bonne dimension marketing internationale non sans participer à la réalisation technique (Stanford).

    Puissance3, c’est donc l’occasion pour les élèves de démontrer leur capacité à travailler en équipe en faisant preuve d’ouverture d’esprit, de créativité et de capacité d’adaptation.

    Ils bénéficient tout au long de ce semestre d’apports théoriques et pratiques sur le design numérique (dispensés à l’ESAG Penninghen) mais aussi sur la création d’entreprise (dispensés à l’ISEP) avec la perspective pour les équipes les plus entreprenantes de créer la leur et d’être reçues dans l’incubateur partenaires d’Arts et Métiers ParisTech.

    En outre, plusieurs états d’avancement sont organisés par les tuteurs suivant les équipes afin d’assurer la bonne évolution des travaux. Au final, les projets sont présentés devant un jury d’experts pour évaluation.

    Citons quelques projets novateurs : le concept de « bureau connecté intelligent » et de « banc public à énergie solaire » en 2015 ; le « robot assistant d’usagers handicapés de la SNCF » en 2014 et le « miroir intelligent » en 2013.

    « Offrir à des talents différents la possibilité d’œuvrer dans un champ ouvert de créativité et d’innovation technologique demeure l’objectif principal de « Puissance». C’est un moyen des plus efficaces pour préparer des ingénieurs compétents aptes à bien façonner le paysage numérique », Dieudonné Aboud, Directeur de l’enseignement à l’ISEP

    « Dans notre société en pleine mutation, le programme original « Puissance3 » prend pour leviers de réflexion l’innovation technologique, l’esprit d’entreprendre et la synergie du travail en groupe. Ce projet apporte à tous nos élèves, futurs dirigeants créatifs, une expérience unique dans la construction de leur avenir professionnel »,  Gérard Vallin Directeur adjoint de l’ESAG Penninghen, école supérieure de design d’art graphique et d’architecture intérieure.

    « La vraie découverte d’une culture ne passe pas uniquement par un changement d’horizon. Elle peut se produire surtout en travaillant avec autrui et en adoptant son regard. Le projet « Puissance3 » représente un véritable échange entre Américains et Français, entre designers et ingénieurs, tous voués à créer ensemble un objet innovateur pour la société de demain. Il s’agit d’une opportunité rare et précieuse pour les élèves de nos trois institutions », Estelle Halevi  Directrice du programme « Stanford in Paris » de l’Université américaine Stanford.