Étiquette : Educatice

  • Les DAN : les chevilles ouvrières du numérique en Académie

    Les DAN : les chevilles ouvrières du numérique en Académie

    « DAN », un acronyme de plus à mémoriser lorsqu’on évolue dans la sphère de l’éducation nationale ! Au-delà de ces trois lettres capitales, c’est un chantier quotidien qui attend ces ”chevilles ouvrières” des académies avec comme objectif commun : parvenir à ce que les usages du numérique deviennent monnaie courante dans les écoles, collèges et lycées du territoire national.

    Les Délégués Académiques au Numérique sont nés avec la stratégie nationale de Vincent Peillon de « faire entrer l’Ecole dans l’ère du numérique » ; leurs missions et nominations ont été statués en août 2014.

    « Ces délégués sont chargés de piloter la déclinaison de la stratégie numérique nationale dans leur académie et de coordonner l’ensemble des actions sur le terrain », explique Corinne Martignoni.

    La stratégie numérique nationale se décline notamment au travers de projets nationaux tels que Eduthèque, D’Col, Collèges Connectés (CoCons), etc.

    « Le cœur de leur métier reste d’être des pédagogues ».

    Les délégués, avec leurs équipes, accompagnent donc les enseignants à transformer leurs pratiques pédagogiques dans le but de meilleurs apprentissages pour les élèves et de l’acquisition d’une certaine autonomie.

    Pour mettre en place toutes ces actions, ils doivent coordonner les relations entre les différents acteurs comme les DASEN, les DSI, les CARDI (Les conseillers académiques en Recherche-développement, innovation et expérimentation) ou encore les organes de formation comme les ESPE (pour la formation initiale). Ils travaillent également avec un certain nombre de partenaires issus de l’industrie, des universités, des laboratoires etc.

    Ils sont aussi chargés d’élaborer les phases de diagnostic et d’expérimentation : c’est l’évaluation des usages qu’ils doivent mettre en place via un observatoire ; pour cela, ils sont accompagnés d’autres partenaires comme Canopé, par exemple.

    Le DAN est donc une cheville ouvrière de l’académie en matière de numérique et il faut souligner que son travail est avant tout collaboratif et qu’il implique de nombreux acteurs.
    Une mission basée sur la collaboration : cela semble pertinent car quand on parle de numérique, cet aspect est souvent mis en avant.

     

    Plus d’infos sur les DAN : eduscol.education.fr

    Crédit photo : Eduscol

     

     

  • Texas Instruments France présentait ses innovations 2015 à Educatice

    Texas Instruments France présentait ses innovations 2015 à Educatice

     

    Nouveauté de la rentrée 2015, la calculatrice graphique TI-83 Premium CE, programmable et tout en couleur.

    Elle était présentée avec son logiciel compagnon le TI-SmartView, logiciel qui permet aux enseignants de créer facilement des activités pour les élèves et de montrer les manipulations de touches directement sur une image projetée, quel que soit le support utilisé (TNI, VPI, etc.).

    Texas_visueldu031214La TI-83 Premium CE est actuellement testée dans plusieurs classes de lycée en France et les premiers retours sont encourageants tant sur ses fonctionnalités mathématiques, de programmation, que sur son ergonomie.

    En attendant sa mise à disposition vous avez toujours la possibilité en tant qu’enseignant de télécharger gratuitement les versions actuelles sur le site internet de Texas Instruments.

    photo : Logiciel émulateur TI-SmartView pour calculatrice graphique

    Autre temps fort du salon, la présentation de la TI-Primaire Plus, récemment primée par le « Label Approuvé par les familles »,

    TI7_3010114actuellement au cœur d’une expérimentation nationale pilotée par l’IFE est un instrument de calcul unique en son genre puisqu’elle réunit des possibilités de calcul demandés par les programmes scolaires à des exercices qui permettent à des élèves de résoudre des problèmes mathématiques tout en s’entraînant au calcul mental.

    TexasInstruments2_031214Déjà disponible à la vente sur Internet et en magasins, un site Web compagnon à destination des familles a été développé par Tralalère et est accessible à www.ti-primaire-plus.fr. Un logiciel émulateur PC/MAC de la TI-Primaire Plus est également accessible gratuitement pour les enseignants, ainsi que des cahiers de prise en main de la calculatrice, des vidéos tutoriels et des activités pour la classe.

     

     

    A propos de Texas Instruments

    La Division  « Education Technology » de Texas Instruments, propose des solutions matérielles et logicielles innovantes pour l’apprentissage des mathématiques et des sciences. Les produits scolaires et les services de TI sont conçus depuis 20 ans en collaboration avec des enseignants chercheurs et des enseignants formateurs français du « réseau T3 » de façon à répondre parfaitement aux besoins spécifiques d’une utilisation en et hors classe. De plus amples informations sont disponibles sur http://education.ti.com/france

     

     

  • Faut-il scolariser les tablettes numériques ?

    Faut-il scolariser les tablettes numériques ?

    tabletteDans le cadre d’une utilisation en classe au primaire, la tablette, selon Gaëlle Charcossset, nécessite un outil de pilotage collectif. En effet, le logiciel de pilotage des tablettes à distance est nécessaire car ainsi, le professeur peut envoyer une trame de cours, peut verrouiller les tablettes et récupérer les exercices effectués en classe facilement. Cet outil est indispensable selon elle surtout en classe de premier degré.

    D’un point de vue pratique, les avantages et usages sont multiples : elle a été amenée à diffuser des ressources via les tablettes et le « Manager » et ensuite les usages ont permis de produire et élaborer d’autres modes de réflexion avec notamment des modes coopératifs avec du travail à réaliser en groupes par les élèves.

    L’apport le plus important de la présence d’un manager est la possibilité de gérer la différenciation. En effet, on peut proposer des documents différents et des exercices différents aux élèves ou à un seul élève de la classe. (Ce qui n’a pas été dit c’est aussi l’aspect « confidentiel ou anonyme » de la différenciation qui est important grâce aux possibilités apportées par ce type d’outils numériques : l’élève n’est pas mis à l’index et le fait qu’il effectue un exercice différent peut rester « anonyme » ce qui n’est pas possible autrement.)

    Pour ce qui est des problématiques liées au langage, là encore, la dyspraxie ou la dyslexie, on peut avoir grâce aux tablettes, une production autre que l’écrit avec par exemple une production sonore avec un fichier son.

    La pédagogie par l’erreur est également un des points forts de l’utilisation de tablettes avec un manager. La correction est possible tout au long du cours, une analyse du parcours et des erreurs peut aussi être mesurée. Ainsi avec les tablettes associées à leur « gestionnaire », on peut travailler par tâche complexe, en fonction des difficultés des élèves.

    Une question principale est soulevée par Bruno Devauchelle sur l’avantage des tablettes  : on se demande si ces outils sont adaptés à tous les niveaux et si la tablette est utilisable dans tous les contextes.

    En guise de réponse, Yves Cohen qui a travaillé en maternelle pendant plusieurs années et aussi dans le primaire précise que la tablette, en tant qu’objet numérique, peut transformer notre attitude pédagogique comme d’autres objets numériques moins récents (un PC, un tableau numérique).

    La tablette par rapport aux autres objets cités, est très mobile ! Par contre, il n’est pas sûr que le Manager soit indispensable si l’enseignant prépare son cours et qu’il est assez directif… Là encore la question de « l’évasion » des élèves ou de leur motivation à se concentrer sur les exercices ou phases de cours proposées par l’enseignant pourra être envisagée…

    Par contre, Yves Cohen rejoint Gaëlle Charcosset sur la gestion de l’erreur qui est fondamentale dans l’utilisation du numérique. L’interopérabilité des systèmes utilisés est importante sans que l’on soit coincé par un modèle économique. Yves Cohen fustige un peu les plateformes ou « stores » fermés que l’on a tendance à vouloir mettre en avant aujourd’hui : ne pas être prisonnier d’un store quel qu’il soit, lui paraît indispensable !…

    Quoiqu’il arrive, précise t-il, on doit développer une culture numérique chez les enseignants ! Accompagner les enseignants pour qu’ils puissent devenir des contributeurs !

    Pour le niveau Lycée, Pierric Bergeron propose une expérience sur un projet pédagogique qui a fait appel au numérique. Sur le projet depuis sa création les outils ont été intégrés y compris le numérique. Il y a deux ans les tablettes numériques ont été intégrées dans le projet. Il y avait un blocage chez les enseignants, car les tablettes ne pouvaient pas intégrer les outils de gestion couramment utilisés par les établissements. Passé ce point clé, les expérimentations sont, pour la plupart, concluantes et la généralisation est en cours.

    L’autonomie des élèves dans le cadre du projet cité, n’impose pas de logiciel de type « Manager » comme dans le premier degré. D’ailleurs, la moitié du « contenu mémoire » des tablettes est utilisé dans un cadre personnel par les élèves (autorisé). Aujourd’hui la tablette remplace même, en phase de généralisation, les manuels papier.

    Les changements dans l’établissement après l’apparition des tablettes, sont l’apparition d’un déplacement des centres de connaissance : une moindre importance du centre de documentation qui n’est plus « le centre » à cause ou grâce à la mobilité des outils de type tablettes.. Chacun grâce à la tablette peut « récupérer » les ressources dont il a besoin sans se déplacer ; le Centre de documentation change de positionnement et d’intérêt !

    François Villemonteix revient sur la scolarisation et l’utilisation des tablettes, sujet de cette conférence. En effet une tablette, outil personnel avant tout, souhaite être utilisée dans un cadre scolaire et on s’aperçoit qu’il y a des usages mixtes scolaires/personnels dans les établissements où s’opèrent des expérimentations. De plus les tablettes sont des outils individuels qui sont utilisées dans un cadre collectif. Ce qui provoque un changement d’attitude à tous les niveaux.

    Une question qui revient souvent également dans le champs des études est s’il y a un besoin de tablettes « du commerce » ou de tablettes « dédiées» dans un cadre scolaire.

    La proposition politique récente de l’utilisation ou la dotation d’une tablette par élève (voir notre article sur l’annonce présidentielle) qui fait partie des projets du gouvernement n’est pas anodine car la plupart des études montrent que ce n’est pas en donnant une tablette par élève que l’usage numérique en classe se développe et que l’impact sur les apprentissages dans ce contexte n’est pas encore démontré clairement.

    En conclusion

    Selon François Villemonteix, les résultats des études montrent que les tablettes sont compatibles avec les instructions du ministère et l’objectif des programmes d’enseignement à atteindre. La difficulté de l’enseignant est par contre de gérer l’écosystème dans lequel il enseigne et donc les aléas qui interviennent dans l’usage des outils, sa capacité à gérer et à acquérir une compétence technique dans l’usage au quotidien de la tablette.

    La discipline et les problèmes techniques sont deux choses bien différentes dans le quotidien de la classe. Ainsi, on insistera sur l’accompagnement des enseignants (formation technique et culture numérique)

    Pierric Bergeron revient sur la notion de contrôle, on a le sentiment que le constat qui est fait est que le niveau de contrôle des élèves doit être décroissant ou peut être décroissant avec l’âge et le niveau scolaire, l’apprentissage de l’autonomie restant un des objectifs de l’enseignement. Ainsi les systèmes de type « manager » ou gestion de classe seront de moins en moins utiles plus on atteindra des niveaux supérieurs dans la scolarité.

    Pour Yves Cohen, dans les écoles le débit reste un frein budgétaire, et il reste encore persuadé que des ressources sur clé USB ou sur serveurs NAS locaux, doivent être utilisés pour pallier à ce problème de débit et de réseau. On parle de tablette tactile, mais le clavier reste indispensable dans un contexte de classe ! Donc il faudra privilégier des tablettes qui proposent des claviers comme les modèles hybrides.

    Il n’y a pas de réponses uniques sur les tablettes  ; ce n’est pas l’outil qui fait la pédagogie ou le maitre mais c’est ce qu’on en fait de toute façon !

     

    Intervenants de la conférence :

    Gaelle Charcosset enseignante qui expérimente la tablette Sqool, elle est référente numérique au rectorat de Dijon

    Yves Cohen ex-futur enseignant tombé dans la marmite du numérique

    Bruno Devauchelle Président du CaféPédagogique

    Pierric-Yves Bergeron prof du Lycée Pilote International à coté du Futuroscope

    François Villemonteix enseignant chercheur à Cergy Pontoise, auteur d’une étude sur l’utilisation des tablettes en école primaire.

     

  • Witigo, le contrôle parental adapté à l’éducation

    Witigo, le contrôle parental adapté à l’éducation

    100% développée en interne, la technologie ICE (Intelligent Content Evaluation) de filtrage de contenus en temps réel, qui équipe les solutions Witigo, est capable d’une analyse très fine (adresse, mots-clés, liens, images et sémantique) et de catégoriser à la volée le contenu d’une page Web. Cela permet de filtrer efficacement l’intégralité des sites Internet, y compris les sites nouvellement créés ou modifiés.

    Avec Witigo, la protection des enfants sur Internet est personnalisable (27 catégories) et paramétrable à distance depuis n’importe quel ordinateur et appareil connecté, grâce à une console d’administration hébergée dans le Cloud, commune à tous les appareils protégés par Witigo. La solution de filtrage Witigo Parental Filter pour Windows, en plus du filtrage Web, permet aussi de définir les activités de l’enfant sur l’ordinateur (plages horaires et forfaits temps pour Internet, le PC ou même pour des logiciels/jeux, etc.).

    Parfaitement adaptées à une utilisation familiale, les solutions Witigo sont également disponibles pour les établissements scolaires, notamment dans le cadre de programmes de mise à disposition de PC ou de tablettes aux élèves ainsi qu’en OEM  pour les fabricants de PC / tablettes ou smartphones souhaitant proposer des offres destinées aux enfants.

    educatice_witigo2La technologie de filtrage ICE est également proposée sous forme de SDK permettant par exemple à des éditeurs de sécurité ou des fabricants de routeurs, d’ajouter ce module à leurs produits.

    Witigo a de nouveau confirmé son statut de meilleur logiciel de contrôle parental du marché en se classant N°1 du test Filtra 2014 (Action Innocence) pour la 7ème fois depuis 2007 et a reçu récemment la certification « Approved Vendor » du KidSAFE Seal Program, pour l’ensemble de sa gamme de solutions de contrôle parental.

    Pour plus d’informations : www.witigo.eu

  • Nouveaux rythmes scolaires et le numérique … mariage heureux ?

    Nouveaux rythmes scolaires et le numérique … mariage heureux ?

    Educatice_conf1Numeriqueperiscolaire

    Pour introduire le thème de cette conférence, Jean-Pierre Archambault, Président de l’EPI (enseignement public informatique) retrace l’historique du numérique, anciennement « informatique ». Il dresse le constat que l’informatique est partout. Dans le monde, il y a plus de 30% de R & D qui sont consacrés à l’informatique (en Europe, 18 %).

    En 2012, l’arrivée de l’option informatique pour les Bacs scientifiques et aujourd’hui, la volonté de développer le code sur les temps périscolaires font avancer le débat.

    JP Archambault rappelle qu’au début du siècle dernier, les sciences physiques sont devenues une discipline scolaire car cela correspondait à des besoins dans la société.
    N’est ce pas le cas aujourd’hui avec le numérique ? N’a t-on pas besoin de cette culture générale du « numérique » pour évoluer dans la société ?

    « Ce qui est important c’est de fixer le cap », souligne t-il.

    Dans les projets de réforme de l’éducation, le gouvernement a récemment annoncé une sensibilisation au codage qui devrait prendre effet dès la rentrée 2015 sur les temps périscolaires. Comment cela peut-il se concrétiser ?

    Exemple d’un projet déjà en place dans les écoles de la ville d’Orléans : le code tout en s’amusant

    L’association Périscola a été retenue pour initier les enfants du CE1 au CM2 à la programmation ; en situation, ils utilisent comme outils, des tablettes et un robot. L’enfant doit écrire sur tablette, les commandes qu’il veut voir réaliser par le robot. Il apprend en s’amusant la logique informatique, « qu’est ce qu’une boucle », « qu’est une condition, ”si, alors” ».

    « L’enfant pratique le code sans s’en apercevoir, c’est du méta langage ; nous n’entrons dans aucune ligne de code », souligne Paul Farnet, Président de l’association Périscola.

    Sur le terrain, il y a quatre animateurs de l’association qui interviennent chaque jour sur les temps périscolaires. A Orléans, chaque animateur intervient avec une classe différente, soit 1h30 de codage par enfant par semaine.
    A terme, l’association envisage de créer des Fablabs pour que les enfants puissent créer des petits robots à l’aide de logiciels simples comme « Scratch » par exemple, pour « mettre un but dans l’informatique »

    Des parents sceptiques au départ sur l’approche des activités de l’association Périscola

    A la question sur la réaction des parents, Paul Farnet répond de manière honnête : « les enfants, de manière naturelle, expliquent à leurs parents qu’ils ont joué sur tablette avec un petit robot ; il est donc nécessaire d’expliquer aux parents qu’il y a vraiment un apprentissage derrière ce « jeu », même si l’activité reste ludique ».

    Combien ça coûte ?

    L’exemple de l’association Périscola donne un ordre d’idée du coût qui incombe à la commune pour entreprendre de telles activités.

    A Orléans, il est de 24 euros par séance (pour 1h30) ; l’objectif est de faire intervenir les animateurs le plus souvent possible dans les écoles car ces denriers sont embauchés en CDI par l’association.

    D’autres solutions existent ; tout dépend aussi de la motivation des élus pour entreprendre ce type d’activités.

    Témoignage d’un élu sur une petite commune rurale de l’Oise : comment voit-on le numérique aujourd’hui ?

    Sylvain le Chatton, Maire de Laincourt-Saint-Pierre (60), une commune de 600 habitants avec 97 enfants répartis en 4 classes de double niveau, s’occupe du numérique au sein de la communauté de communes (60 communes) et il est aussi chef d’entreprise dans le domaine numérique.

    Pour lui, le B2i ne suffit pas et il reste persuadé qu’un apprentissage du code ou de la programmation pourrait être utile ; avec la réforme des rythmes scolaires, il a été confronté à devoir occuper un temps de 45 minutes par jour pour chaque enfant. Sur ce temps, il a décidé d’embaucher un jeune en « contrat d’avenir« (à titre d’information, le coût est de 3000 euros par an pour la commune sur un emploi de ce type pour une rémunération au niveau du SMIC) et de le mettre à disposition des professeurs des écoles en classe sur le temps hors périscolaire (et faire profiter des compétences « numériques » de l’animateur sur le temps scolaire).

    Mais pour mettre en oeuvre cette mesure, il s’est heurté à la problématique de de faire entrer un intervenant extérieur dans les classes ; il a donc été nécessaire de former ce jeune au numérique, sa présence en classe pouvant être justifié et accepté dans la mesure où l’intervenant apporte « une spécificité ».

    Aujourd’hui, sur les temps périscolaires, les enfants de sa commune, dès l’âge de 4 ans, s’initient au code avec le logiciel scratch sur tablettes, encadré par le nouvel animateur.

     

  • Avec le « MassWIFI », jusqu’à 1000 connexions pour un seul équipement !

    Avec le « MassWIFI », jusqu’à 1000 connexions pour un seul équipement !

    Pour répondre aux problématiques liées au domaine de l’éducation, NOMOSPHERE s’appuie sur des technologies haute performance qui permettent aux écoles et universités de disposer d’un service répondant aux exigences de mobilité, contrôle d’accès et haute densité.

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  • NVIDIA dévoile «Les Mystères d’Athéna», le premier jeu SAAS pédagogique en 3D !

    NVIDIA dévoile «Les Mystères d’Athéna», le premier jeu SAAS pédagogique en 3D !

    Grâce à sa technologie de serveurs GRID pour le Cloud, NVIDIA fournit des solutions logicielles ludo- pédagogiques accessibles pour les élèves et les enseignants à tout moment, depuis n’importe où et sur tous types de terminaux (Smartphones, tablettes…).

    Educatice_Nvidia2Sur le salon Educatec-Educatice, les visiteurs ont eu l’occasion de découvrir le premier jeu 100% 3D conçu par les professeurs (Alpes-Maritimes) pour les classes de 6eme. Les Mystères d’Athéna, ancré dans le patrimoine du 06, offre une approche pédagogique de différentes disciplines (histoire des arts, lettres, arts plastiques, histoire- géographie, éducation musicale) et permet de rendre l’apprentissage plus ludique.

    Pour l’enseignant, c’est un changement fondamental qui permet aux élèves de travailler en apportant un scénario. Il pourra surveiller l’évolution dans le jeu, changer le défi par des quizz et des quêtes en fonction des situations et faire avancer les évènements vers le centre de l’échiquier.

    Ce jeu a été développé dans le cadre d’une expérimentation nommée « EDUCLOUD 06* » lancée en septembre dernier par NVIDIA, en collaboration avec le Rectorat de Nice qui a mis à contribution des professeurs et inspecteurs académiques, le Ministère de l’Education, plusieurs partenaires industriels, des Collectivités locales, l’Université de Nice-Sophia Antipolis ainsi que l’Académie de Nice et le Conseil Général des Alpes-Maritimes. L’objectif est de créer et déployer une plateforme de contenus éducatifs accessibles via le Cloud, à partir d’un portail 3D pour les élèves comme pour les enseignants, et sur tous types de supports (tablettes, Smartphones, PC,..).

    Plus d’infoshttp://nvidianews.nvidia.com et http://blogs.nvidia.com

    * Test limité dans une classe de 6e de 30 élèves du Collège de l’Eganaude

  • Spen : des solutions adaptées pour l’enseignement technique

    Spen : des solutions adaptées pour l’enseignement technique

    Basée à Dijon, la société SPEN est issue d’un groupe reconnu pour son savoir-faire industriel dans différents domaines : le contrôle et la vision, l’automatisme, l’électrotechnique, l’efficacité énergétique et le prototypage rapide.

    En puisant dans ces compétences, SPEN a pu ainsi développer un savoir-faire didactique à destination de l’enseignement et des centres de formation, et apporte des solutions pédagogiques pour l’enseignement grâce à son savoir-faire industriel.

    En s’appuyant sur son savoir-faire, SPEN conçoit et développe des systèmes didactiques dans différents domaines :

    Automatisme et technologies réseaux, contrôle et vision, supervision, entraînements, électricité et électrotechnique, bâtiment et Gestion Technique Centralisée (GTC), efficacité énergétique, prototypage rapide (conception et retro-conception)

    Des nouveautés didactiques adaptées aux besoins de l’éducation

    avec notamment un système de conditionnement de bouteilles « e-SAM » dédié aux BTS Maintenance des Systèmes (BTS MS), un système « e-Plateforme de positionnement » dédié aux BTS MS et CRSA, ou encore un système « e-Régulation Efficacité Énergétique » pour les BTS MS et Électrotechnique. Sans oublier la chaîne complète de prototypage rapide proposée par SPEN avec une nouvelle imprimante 3D.

    « BTS, IUT et écoles d’ingénieurs sont véritablement notre coeur de cible« , déclare Claude Bouchard qui fait la promotion des filières techniques dans l’enseignement, un peu trop « délaissé », constate t-il.

  • Retranscrire facilement des contenus audio et vidéo en texte avec Authôt.com

    Retranscrire facilement des contenus audio et vidéo en texte avec Authôt.com

    Retrouvez Olivier Fraysse, co-fondateur d’Authot.com, interviewé à Educatice 2014

    « Nous optimisons la retranscription textuelle de vos contenus multimédias, nous vous accompagnons dans l’indexation de vos vidéos sur internet, et nous favorisons la création de sous-titres pour répondre aux normes d’accessibilité numérique ! »

    TémoignagesEducatice_authot2

    « Le système de sous-tirage des cours en différé est mis en place depuis le début de l’année, et nous en sommes ravis. Nos étudiants en situation de handicap ont accès à la totalité du cours sur une plateforme facile d’accès.
    L’équipe d’Authôt est toujours disponible en cas de problème pour nos étudiants« , témoigne Claire SECONDE, Pôle handicap SciencesPo Paris

    « Authôt, l’équipe et l’outil pour valoriser nos informations de façon simple et efficace.
    Merci à vous » !, remercie Jessica RIVIERRE, Incubateur Arts et Métiers

    Plus d’infos :
    Essayez les services sur la plateforme en ligne: app.authot.com