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  • Les Temps d’Activités Périscolaires Numériques (TAP) : une innovation au service des enfants !

    Les Temps d’Activités Périscolaires Numériques (TAP) : une innovation au service des enfants !

    Elancourt_TAP_271015

    Un large choix d’activités

    La Ville d’Elancourt développe dans le domaine pédagogique une réelle expertise numérique. Forte de cette expérience, elle propose des activités sur cette thématique aux élèves des écoles élémentaires.

    Le programme est particulièrement riche : jeux éducatifs sur TNI ou tablettes, initiation à la programmation informatique avec le robot Thymio, prévention des risques d’Internet, atelier web radio, initiation aux techniques journalistiques, au montage et au traitement de l’image sont au cœur du dispositif.

    Ces animations, encadrées par un personnel municipal formé par des professionnels du secteur s’inscrivent en cohérence avec les projets d’école.

    Des animateurs municipaux formés aux NTIC

    Elancourt_TAP2_271015La Ville d’Elancourt a mis en œuvre un plan de formation aux pratiques numériques pour les animateurs municipaux. Ainsi, grâce à une coopération avec la DANE (Délégation académique au numérique éducatif) et l’Atelier CANOPE des Yvelines (lieu de création et d’accompagnement pédagogiques par excellence pour les enseignants du département), 42 animateurs bénéficiaires d’une formation accompagnent les enfants dans leur découverte des mondes numériques.

    Chaque animateur formé est doté du matériel, des ressources nécessaires et des locaux. Les travaux des enfants seront diffusés sur le site web de la Ville.

    Les Chiffres clé de l’Ecole Numérique

    L’Ecole Numérique d’Elancourt c’est :

    21 robots, 42 animateurs formés, 2200 tablettes, 150 Tableaux Numériques Interactifs, 240 applications pédagogiques, 500 auditeurs de visio conférences en anglais, 100 % d’écoles bénéficiant de la Fibre dès Novembre et 1 Médiapôle, centre de formation.

  • 2èmes Rencontres du numérique « digital savoir » dans le département du Loiret

    2èmes Rencontres du numérique « digital savoir » dans le département du Loiret

    Loiret_rencontrenumeriquesmai15_050515

    Une journée pour dessiner l’école et l’éducation de demain à l’ère du tout numérique

    Les départements façonnent, jour auprès jour, le quotidien de nos enfants. C’est pourquoi, le Loiret réunit les acteurs et les experts de l’enseignement et du numérique au sein de 3 groupes de travail thématiques, afin de débattre et de fixer les conditions nécessaires pour imaginer l’école du futur.

    Comment favoriser l’émergence de nouveaux modes de transmission des savoirs ? Comment favoriser la relation entre les élèves et les enseignants ? Comment optimiser l’organisation du temps et des espaces scolaires ? …

    Un espace interactif dédié aux nouveaux outils éducatifs

    Un showroom sera ouvert afin de présenter et de tester les innovations numériques pédagogiques qui sont déployées par le Département du Loiret à destination des élèves, familles et enseignants.

    Depuis 2013, le Loiret affirme son objectif de mettre en place un véritable « Collège numérique » pour favoriser la réussite scolaire et développer les usages numériques des élèves : plus de 20 collèges loirétains sont équipés en Très Haut Débit (THD), dont le collège de Meung-sur-Loire qui dispose également de tablettes numériques – CarTab’ – et qui est reconnu par le programme national « Collèges Connectés » ; l’appli Mod’J pour smartphone et la plateforme de soutien scolaire Mod’J à l’accès gratuit et illimité pour 30 000 Loirétains.

    Un Campus numérique inédit verra le jour en septembre 2015, et 2 autres projets innovants en matière d’e-éducation seront dévoilés au cours de cette journée.

    [callout]Programme du mercredi 27 mai 2015

    9h – Accueil café et point presse
    9h30 – Discours d’introduction Hugues Saury, Président du Conseil Départementale du Loiret et le Recteur Orléans-Tours

    10h – Conférence magistrale par M. Emmanuel DAVIDENKOFF, journaliste et auteur du Tsunami numérique

    11h – Table ronde « Le numérique, l’élève et l’enfant »

    . Laurence BEE, journaliste et rédactrice du blog Parents 3.0
    . Carole HELPIQUET, coordinatrice du réseau et de la formation du Centre de Liaison de l’Enseignement et des Médias d’Information (CLEMI)
    . Sylvie MERY, principale du collège de Saint AY

    12h – Buffet et visite du showroom, avec la participation de Dominique AUMASSON, Directrice de Canopé Orléans-Tours

    14h – Présentation de l’association Bleu Blanc Zèbre par M. François-Afif BENTHANANE, Président et fondateur de ZupdeCo,
    Intervention filmée d’Alexandre JARDIN

    14h30 – Table ronde « L’Education hors des murs »

    . Fabienne HEMERY, Présidente de l’association l’Ecole à l’Hôpital
    . Jérémy LACHAL, Directeur de Bibliothèque sans frontières
    . Véronique SAGUEZ, responsable éditoriale aux éditions Bordas

    15h15 – Table ronde « Expérimentation : et après ? »

    . Bertrand FALC’HUN, Expert TIC au sein du département Développement numérique des territoires pour la Caisse des Dépôts
    . Marie GAILLARD, Responsable développement marché éducation, ATOS
    . Éric GERARD, Maire de la commune de La Loupe (Eure-et-Loir)
    . Raphaël TAIEB, co-fondateur du Livrescolaire.fr[/callout]

    Plus d’infos :

    Je confirme ma présence aux « Rencontres du numérique » : cliquez ici
    Je souhaite être mis en relation avec les acteurs présents aux rencontres et les experts du Département du Loiret : cliquez ici

    Lieu : Université de La Poste- 2 rue du Brésil – 45000 Orléans

    crédit photo : D.Chauveau – Département du Loiret.

     

     

  • Et si l’expertise d’un A.M.O vous permettait de réussir votre Ecole Numérique ?

    Et si l’expertise d’un A.M.O vous permettait de réussir votre Ecole Numérique ?

    Par Marie-France Bodiguian Cabinet AMO-TICE

    MFBodiguianhomep_090315Pour vous assurer le succès de votre Ecole Numérique et trouver les réponses qui correspondent à votre territoire, pourquoi ne pas vous faire accompagner et bénéficier de l’expérience d’une Assistance à Maitrise d’Ouvrage (AMO) ?

    S’il a une expertise spécifique sur l’Ecole Numérique, votre AMO sera force de proposition sur des solutions budgétaires, techniques, organisationnelles voir pédagogique selon les cas.

    Voici les 5 valeurs ajoutées que peut vous apporter un AMO. Telle une cheville ouvrière, il vous accompagnera pour :

     

    Gagner du temps

    Avant d’équiper vos établissements, vos écoles ou vos centres de formation, il est essentiel de bâtir une stratégie sur le long terme. Or, aucune solution standard n’est applicable à l’Ecole Numérique : vous ne pourrez éviter l’état des lieux techniques et pédagogiques de chaque établissement, pour adapter les solutions proposées.

    Or, ce chemin prend du temps, surtout si vous n’avez pas de visibilité d’ensemble sur les expertises* nécessaires à la réussite de ce plan.

    Une Assistance à Maîtrise d’Ouvra respectera l’ensemble des étapes, mènera sa mission dans les délais impartis en vous proposant un calendrier d’actions qu’il respectera.

    Eviter le gâchis d’argent public, voir faire des économies

    MFBodiguian1_090315En ligne de mire : toujours et encore, trouver les solutions correspondants à vos besoins et à votre budget. Car au-delà des modes et des tendances, un AMO vous proposer les équipements et technologies, en phase la configuration des établissements et les besoins des acteurs impliqués à votre projet, qui seront au cœur de la conduite du changement.

    D’autre part le temps est à la baisse des dotations… une des missions de l’AMO peut être selon vos budgets de construire, à la lumière de l’audit détaillé, une stratégie pour redonner vie aux équipements déjà en place.

    Vous éviter les écueils

    Il est indispensable pour réussir votre Ecole Numérique d’ANTICIPER, ANTICIPER et ANTICIPER les évolutions de chaque poste, techniques, organisationnelles, pédagogiques, sur le long terme.

    Grâce à l’expertise d’un AMO, vous éviterez de nombreux écueils qui ont conduit au final tant d’enseignants ou formateurs à relayer les matériels au placard. Son rôle est de penser à tout, d’anticiper et vous faire bénéficier de l’expérience des autres projets, ainsi que de ses réseaux relationnels tant dans les rouages de l’Education Nationale à travers la France qu’auprès des constructeurs, éditeurs ou revendeurs afin de trouver la solution correspondant à vos besoins et à votre budget

    Bénéficier de l’expérience des autres territoires

    MFBodiguian2_090315

     

    Si votre Assistant à Maitrise d’Ouvrage est spécialisé dans l’Ecole Numérique, vous pourrez également profiter des retours d’expériences des autres territoires, collectivités, écoles ou centres de formation à travers la France.

    Depuis 2002, date des premiers usages des Tableaux Numériques Interactifs en France, puis des classes mobiles, nombreuses communes, départements ou régions ont lancé de multiples expérimentations, évaluations d’usages, bilan technique, etc.

    Votre AMO pourra ainsi vous faire partager ce vécu, afin que les conclusions positives ou négatives servent au succès de votre projet, et vous donne tous les éléments pour arbitrer.

     

     

    Trouver des sources de financement

    MFBodiguian3_090315Selon les enjeux  de votre projet, votre AMO vous peut vous aider à accéder à de nouvelle source de financement français ou européen. Pour cela il vous accompagnera dans la construction d’un projet éligible et la mise en place des indicateurs de suivi afin de donner aux organismes financeurs les garanties de l’efficience de vos futures actions

    Et vous, avez-vous choisi de vous faire accompagner dans votre projet d’Ecole Numérique ? Quelle en a été votre expérience ?

      *lié à l’informatique et aux réseaux, à l’organisation structurelle des écoles et pédagogique, aux spécificités des équipements et technologies, à la mise en scène de l’ensemble dans le cadre d’un budget

     

  • Jusqu’à 5000 tablettes pour les écoliers landais : le pari réussi de MACS

    Jusqu’à 5000 tablettes pour les écoliers landais : le pari réussi de MACS

    [callout]Le territoire des Landes fait encore parler de lui ! Après l’opération menée par le département « Un collégien, un ordinateur portable » et après avoir été précurseur en matière d’ENT dans le premier degré, c’est aujourd’hui le déploiement de près de 5000 tablettes, à terme, qui fait écho dans toute la communauté éducative.[/callout]

    Pour nous conter cette histoire, deux témoins : Christophe Carayon, responsable de la mission numérique MACS, nous rappelle les aspects techniques de cette mise en œuvre ; et Betty Joie, conseillère pédagogique spécialisée dans le numérique à la mission TICE de l’Inspection Académique des Landes, témoigne des usages déjà observés dans les écoles de la région.

    « C’est une stratégie à long terme, portée par le Président de l’EPCI, Eric Kerrouche, qui s’est petit à petit étoffée d’outils », explique Christophe Carayon.

    Sur ce territoire des Landes Sud, regroupant 23 communes entre mer et campagne, qui se caractérise par une faible densité de population, une forte attractivité (+ 21,75 % de progression de la population entre 1999 et 2006) mais aussi une forte amplitude saisonnière (avec plus de 300 000 touristes par an), le pari du numérique était essentiel pour « tenter de gommer les inégalités sociales et les discriminations qui concernent les enfants dès le plus jeune âge »,

    Ne pas griller les étapes et architecturer le projet autour d’un écosystème : la stratégie réfléchie de MACS.

     

    De la phase de préparation des sites scolaires à la dotation des élèves en tablettes numériques, il y a eu plus d’une étape.

    « Nous avons d’abord étudié le courant faible des écoles puis nous nous sommes concentrés sur l’équipement en WIFI des classes concernées par le projet à savoir le cycle 2 et le cycle 3 (CP au CM2)», détaille Christophe Carayon. A terme, toutes les écoles du territoire seront reliées à la fibre optique.

    Le deuxième volet a concerné l’équipement des classes en écrans interactifs ; la dernière phase, qui est en cours actuellement, est l’équipement des écoliers et des enseignants en tablettes numériques.

    A terme, ce sont 31 sites scolaires, 5000 élèves et 160 enseignants qui seront impliqués, sachant qu’aujourd’hui, plus de 2000 élèves et près de 90 enseignants sont déjà concernés par le projet.

    « Le déploiement va se poursuivre en direction du cycle 2 d’une part, puis vers les cours préparatoires, mais dans un format un peu différent du cycle 2 et du cycle 3 », précise Christophe Carayon.

    L’opération n’est pas expérimentale ; l’objectif final est bien une massification des usages du numérique à l’école, ce qui nécessite une réflexion globale de tout l’écosystème numérique du territoire.

    Un tandem cohérent, entre volonté politique et compétences techniques : une spécificité du projet.

     

    Ce projet vient s’appuyer sur la création d’un service informatique dédié à l’échelle communautaire ; un service qui va se transformer peu à peu en « Direction des Systèmes d’information » car c’est un métier qui « s’apprend », explique Christophe Carayon.

    Au départ, il a été nécessaire de « garantir le fonctionnement de toutes les briques de services nécessaires à ce type de projet car faire de l’informatique n’est pas suffisant, il faut aussi penser les réseaux, faire des télécoms etc », poursuit Christophe Carayon.

    Pour lui, cette étape n’est pas un détail, elle est une condition sine qua non, souvent « l’oubliée » des différents plans numériques, « la vocation première des collectivités territoriales n’étant pas de se doter de ce type de compétences ».

    Aujourd’hui, après plusieurs mois de travail d’implémentation, c’est presque comme le commencement, explique Christophe Carayon :

    les tablettes sont en effet les supports indispensables mais l’intérêt, ce sont maintenant les usages qui en sont faits ; nous entrons dans cette phase et c’est le début de l’histoire.

    Une histoire qui avait déjà, à ses débuts, un partenaire incontournable : l’éducation nationale.

     

    Betty Joie rappelle les débuts du projet où tous les enseignants ont vu débarquer dans leur classe, un écran interactif. « Cela a suscité beaucoup d’inquiétude chez les enseignants », précise t-elle.

    Mais, très vite, ils se sont appropriés ces outils car ils se sont aperçus de l’enrichissement que cela apportait à leur pédagogie ;

    un plus qu’ils ont eu l’occasion de percevoir, notamment au travers des six heures de formations dispensées par l’équipe TICE de l’inspection académique des Landes, après l’arrivée des écrans interactifs.

    « Dans chaque formation, un moment était réservé à une présentation technique par les services de MACS, mais le temps global d’apprentissage était essentiellement axé sur la pédagogie », souligne Betty Joie.

    Les tablettes numériques sont, à leur tour, arrivées en classe et distribuées aux élèves, parfois même avant que les formations ne soient dispensées, « ce qui a accentué l’inquiétude des enseignants au démarrage », précise Betty Joie.

    Une inquiétude qui, après trois séances de trois heures, avait majoritairement disparu et où « les enseignants avaient vraiment trouvé un intérêt à l’usage de ces outils en classe ».

    Des contenus et des supports ont dû être créés et cela a été assez chronophage, comme le rappelle Betty Joie, vantant le « mérite » des enseignants « qui ont passé beaucoup de temps sur ces outils ».

    Pour exemples, au départ, des élèves arrivaient en classe avec leurs photos personnelles et les partageaient avec leurs camarades pendant les heures de cours ; afin de cadrer l’utilisation des tablettes en classe, une charte des usages de la tablette de l’élève a du être rédigée.

    « Nous avons démarré à zéro et nous avons compris, dès le départ, qu’il fallait poser des règles, pour que toute cette nouveauté soit gérable ».

    Plus largement, ces outils sont aujourd’hui particulièrement appréciés pour l’éducation aux usages d’internet et tout ce qui touche au B2i ; « le travail autour de ces thématiques en est facilité », souligne Betty Joie.

    En termes de contenus, des applications, choisies par les équipes de l’éducation nationale et financées par la collectivité, ont permis d’agrémenter les tablettes et d’offrir des ressources aux enseignants.

    Au bout d’un an, le pari de « 1 écolier, 1 tablette » semble réussi d’un point de vue intégration. Côté usages, il faut laisser le temps aux enseignants, aux élèves et aux parents de devenir coutumier de l’outil qui, de l’avis de Betty Joie, est « un outil formidable pour acquérir des compétences numériques, indispensables aujourd’hui comme le sont écrire, lire ou compter ».

    Une réussite du projet que Betty Joie et Christophe Carayon attribuent en grande partie à l’entente et au partenariat étroit mis en place entre la collectivité et l’éducation nationale, et « au respect mutuel du rôle de chacun dans le projet », conclut Betty Joie.

  • Le programme « écoles connectées » prolongé d’un an

    Le programme « écoles connectées » prolongé d’un an

    Le développement des usages numériques dans les établissements scolaires constitue un des axes prioritaires de la stratégie numérique du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

    A cet effet, le secrétariat d’Etat au numérique a mobilisé, fin mars 2014, le plan France Très Haut Débit, plan dédié au déploiement des réseaux très haut débit sur l’ensemble du territoire, pour fournir une solution dédiée de raccordement rapide des écoles.

    Ce programme « Ecoles connectées » est piloté par la mission Très Haut Débit, en collaboration avec la Direction du numérique pour l’éducation du ministère. Visant à garantir l’accès rapide à un haut débit de qualité aux établissements scolaires et écoles les moins bien desservis aujourd’hui,

    l’appel a permis de sélectionner 56 offres d’accès, proposées par 18 opérateurs différents.

    Dans ce cadre, près de 8 000 établissements sont éligibles à un soutien financier pour accéder à ces offres. Les critères d’éligibilité ont été établis en concertation avec les collectivités territoriales afin notamment de tenir compte des projets de déploiement de réseaux de communications électroniques en cours.

    En souscrivant à l’une de ces offres, l’établissement ou l’école éligible bénéficie d’une prise en charge financière de l’État à hauteur de 80 % des frais d’installation, du matériel de réception, satellitaire et hertzien terrestre, et de la mise en service de l’équipement, dans la limite de 400 euros par site concerné. L’abonnement à un fournisseur d’accès Internet demeure à la charge de l’établissement ou de la collectivité territoriale compétente.

    L’opération, qui prenait fin le 31 décembre 2014, est prolongée d’un an, jusqu’au 31 décembre 2015 pour que le plus grand nombre d’établissements puisse en bénéficier.

    Pour toute information complémentaire, les chefs d’établissements peuvent s’adresser à leur délégué académique au numérique, et les élus locaux à leurs associations de collectivités, ou encore à la Mission Très Haut Débit (ecoles@francethd.fr).

    Plus d’infos :
    et liste des écoles, collèges et lycées tenue à jour sur

    http://www.francethd.fr/ecoles-connectees/

  • Comment budgéter votre école numérique ?

    Comment budgéter votre école numérique ?

     Par Marie-France Bodiguian Cabinet AMO-TICE

    [callout]Le secret d’un bon budget : être en adéquation avec la réalité des besoins des acteurs impliqués, anticiper les variations budgétaires et, enfin, éviter les mauvaises surprises ![/callout]

    Pour construire votre budget en tenant compte de ces différents paramètres, mieux vaut effectuer en amont une étude détaillée afin d’anticiper les besoins des enseignants, projeter les équipements et les matériels correspondants aux besoins et inclure les contraintes inhérentes à l’évolution des infrastructures.

    Envisagez plusieurs scénarii et effectuez une estimation budgétaire par école

    MFBodiguian1_230115En fonction des attentes des enseignants – en termes de matériels comme d’usages – réalisez quelques scénarii organisationnels. Ils permettront une utilisation optimisée des matériels achetés.

    Voici pour cela quelques questions à vous poser :

    Côté matériel,

    . Que faire des ordinateurs des salles informatiques ? Les augmenter, et de combien ? Les distribuer dans les classes et acquérir des terminaux nomades et en quelle quantité ?
    Si vous optez pour les classes mobiles, vos calculs dépendront de la configuration des lieux (nombre d’étages, bâtiments, etc.).
    . Prévoyez-vous un ENT ? comme levier des usages ? là les prix vous sont donnés par classe et par an.
    . Tableaux Numériques Interactifs (TNI) ou Vidéoprojecteurs Interactifs (VPI) ? Quelque soit votre choix et les critères qui vous sont présentés dans notre dernier article, prévoyez un budget par classe car une solution interactive mutualisée dans une salle informatique reste inefficace.
    . Equipements légers mutualisables complémentaires : visualiseur, balado-diffusion, tablette/bras flexible, etc.), faites le point sur le nombre d’écoles à équiper.

    MFBodiguian2_230115Sans oublier :
    . les coûts des logiciels bureautiques (type pack Office) et pédagogiques (pour le TNI, application tablettes, visualisation).
    . les coûts de livraison, l’intégration, le paramétrage, la garantie, la maintenance du matériel (constructeur, revendeur)

    Ensuite viennent la projection des infrastructures inhérentes à ces nouveaux équipements, et les travaux à effectuer pour les mettre en place ; et pour chaque école et scénario envisagés.

    Là encore, une série de questions à vous poser :
    . Câblage, Wi-Fi ou Courant Porteur en Ligne (CPL) ?
    . Pensez aussi que au coût induit par l’évolution des infrastructures électriques ou autres types de travaux (par exemple, enlever des tableaux à craies pour les remplacer par des tableaux blancs type Véléda si vous projetez d’installer des outils type VPI).
    . Combien de bornes Wi-Fi à installer ?
    . Quelles solutions de stockage (comme un serveur Nas par exemple) adopter ?
    . Concernant la sécurité des matériels : quels types de travaux réaliser ? En régie ou externalisés ? La sécurisation de petits locaux dans les écoles permet de conserver les équipements en lieu sûr. La solution d’armoires fortes peut également être envisagée selon la configuration des bâtiments.
    . Quant à la sécurité des réseaux, antivirus et filtrage internet seront nécessaires au bon fonctionnement et à la pérennité du matériel et de son usage.

    Définissez votre plan d’investissement selon plusieurs critères

    [callout]Critère 1 : par cycle d’apprentissage dans toutes les écoles de votre commune[/callout]

    Étalonnez vos investissements en commençant par exemple par les cycles 3 de vos écoles. Pour la première année, ciblez toutes les classes de CM2, puis les classes de CM1 en année 2, et descendez chaque année, ainsi de cycle et de niveau jusqu’à atteindre les classes de CP.

    [callout]Critère 2 sur la base du volontariat, par école ou groupe scolaire pilote en vous basant sur celles présentant un projet pédagogique spécifique et qui témoignent d’une motivation particulière.[/callout]

    MFBodiguian3_230115Elles seront ensuite invitées à partager leurs pratiques avec les enseignants des autres écoles.

    Le choix peut être fait en fonction d’un principe de volontariat au sein d’un même établissement ou selon les projets périscolaires de la ville, exigeant une mutualisation des outils.

    Votre choix final sera basé sur un mix entre vos contraintes budgétaires, le calendrier de mise à niveau de vos infrastructures et les recommandations pédagogiques de votre animateur TICE,

    Projetez la maintenance et le renouvellement : des sujets qui ne fâchent plus… ou pas forcément !

    Cela a longtemps été un obstacle et, surtout, le souci des communes. Rassurez-vous : les matériels et les services ont évolué. Pensez alors votre projet dans une logique de long terme, dans un esprit d’engagement durable en faveur des TICE.

    Et pour bien faire, identifiez les variations budgétaires pour mieux les anticiper :

    Les jours d’engagement de SAV. Plus le délai d’intervention et de résolution de problème est court, plus votre budget en sera augmenté, car le prestataire prévoira l’achat dans ses entrepôts de matériels de secours pour vous satisfaire et ne pas subir de pénalité de retard.
    Des formules de maintenance, après délai de garantie.
    Le coût des consommables : encre, borne complémentaire, batterie portable, etc. Mais aussi stylet supplémentaire, lampe de vidéo projecteur – à garder en réserve en mairie, pour éviter aux enseignants d’être à court !

    Budgétez également le renouvellement des matériels :

    MFBodiguian4_230115En effet, de tels investissements se projettent sur une durée de 7 à 10 ans tant au niveau des infrastructures que celui du renouvellement de matériel. Il sera donc indispensable de planifier, chaque année, un budget pour l’acquisition de poste, ou autre supports de remplacement.

    Une alternative s’offre à vous : optez pour la virtualisation* des terminaux. Dans ce cas, plus de matériel à renouveler ! Vous vous simplifiez également la maintenance, concentrée alors sur le serveur virtuel.

    Autre solution : La location (leasing). Le prestataire vous loue le matériel, et vous le remplace si nécessaire, pour le même loyer mensuel. Mais attention cette prestation a un coût (frais de fonctionnement).

    Et maintenant… À vous de prendre la main sur une démarche réaliste et concertée ! N’hésitez pas à solliciter l’ingénierie de prestataires experts.

    Faites nous partager ci-dessous dans les commentaires, votre expérience, vos problématiques ou les solutions que vous avez envisagées pour votre budget d’Ecole Numérique.

  • Diversifier son économie avec le numérique : le pari du Vercors avec Vill@rdigital

    Diversifier son économie avec le numérique : le pari du Vercors avec Vill@rdigital

    Nous sommes frappés de plein fouet par les aléas climatiques et au moment où je vous parle, nous attendons la neige.
    C’est ainsi que Chantal Carlioz introduit son propos pour nous parler du dynamisme de son territoire et de la place, désormais incontestable, qu’occupe le numérique au sein de cette économie qui ne peut plus se contenter de l’or blanc.
    « Nous avons bien compris, depuis au moins 30 ans, que nous devions diversifier notre économie et notamment notre économie neige, même si celle-ci reste notre moteur« , souligne t-elle.
    Dans les années 90, le Vercors avait déjà misé sur « les autoroutes de l’information et de la communication » pour faire de Grenoble « non pas une menace, mais plutôt une chance« , précise t-elle.
    Grenoble, à seulement 35 kms de Villard-de-Lans, est en effet une manne d’étudiants, au nombre de 60 000 pour cinq universités, qui sont acteurs de cette révolution « silencieuse » d’internet, sujet au coeur de la réflexion de Chantal Carlioz et de ses collaborateurs.
    Elle espère pouvoir fonder un certain nombre de partenariats avec les universités grenobloises pour pouvoir développer, sur son territoire, des évènements comme Vill@rdigital et faire réfléchir les jeunes générations sur la société de demain autour des thématiques de l’enseignement, de la formation ou encore du monde de l’entreprise ; et dans le même temps, associer les entreprises et le secteur privé à cette réflexion, « pour permettre l’implantation de ces entreprises du futur sur notre territoire« , ajoute t-elle.
    Des entreprises qui n’auraient pas besoin d’accès routiers et qui évoluent dans un monde dématérialisé : voici le type de sociétés que Chantal Carlioz souhaiterait attirer à Villard-de-Lans.
    Pour que les gens puissent vivre et travailler au pays et pas seulement vivre au pays et travailler à Grenoble.
    En plus d’une réflexion « en altitude » et au grand sir, le pays de Villard-de-Lans ne manque pas d’atouts : avec une capacité de 20 000 lits, c’est une vraie station touristique été et hiver qui ne manquera pas de divertir les participants !
    Plus d’infos : www.villardigital.com

    A découvrir aussi les autres sujets de Vill@rdigital par Ludomag :
    Yann Echinard, enseignant à Sciences Po Grenoble :  « A l’Université aussi, les usages du numérique se heurtent à des obstacles »
    Christophe Batier, Directeur de l’ICAP Université Lyon 1 : « les nouveaux opérateurs de savoirs »
    Sylvie Mercier, « un espace de co-working à l’université : « le partage de compétences dans une mixité des genres« 

  • Vous avez dit gouvernance ?

    Vous avez dit gouvernance ?

    Cenon_Gouvernance

    Olivier Veillat, inspecteur Education Nationale TICE40 a rappelé les nombreux projets qui ont été mis en place dans le département des Landes (par exemple, l’opération « un collégien, un ordinateur portable » dont vous pouvez retrouver des retours d’usages en vidéo sur ludomag ) et les constantes qui ont permis leur réussite : mise en place d’un partenariat cadré (convention) pour connaître le champ d’intervention de chacun, pilotage, une communication partagée et la formation (acculturer les enseignants aux nouveaux matériels) ; enfin, un suivi de proximité pour une réaction rapide si nécessaire.

    Quelle évaluation pour ces dispositifs ? C’est, de l’avis d’Olivier Veillat, le prochain volet à mettre en œuvre qui doit entrer dans le cadre de la gouvernance.

    Anne-Marie Cocula, Vice-présidente du Conseil régional d’Aquitaine rappelle que le rôle du conseil régional d’Aquitaine est un rôle d’assemblage et de réponse par rapport aux établissements. Dans le cadre de ses compétences, elle souligne que la maintenance reste un point essentiel mais critique.

    Avec une pointe d’humour, elle fait remarquer qu’elle n’aime pas le terme « d’usagers » car elle ne sait pas si il faut l’écrire à la fin avec « ers » ou « és ».

    Pour elle, la gouvernance n’est pas de gouverner en tant que « chef » ; il faut s’attacher à préserver ce qui doit rester de liberté aux enseignants.

    Du côté du Conseil général de Gironde, le vice président en charge de la commission numérique, Alain Marois, définit la gouvernance comme la notion de partenariat conseil Général-Etat.

    « Il y a des domaines où nous n’avons pas la légitimité pour agir seuls, mais il y a aussi des domaines où nous avons nos responsabilités à prendre », rappelle t-il. La Gironde, c’est 104 collèges. Au moment où se pose la question de la massification des outils, le département s’est engagé dans la fibre optique.

    « Lorsque nous avons équipé en fibre optique (pour un coût de 57 millions d’euros), nous avons choisi les collèges comme « armature » ; ensuite s’est posée la question de l’architecture même des réseaux des collèges ».

    Autre témoignage avec le Lot et Garonne et ses 28 collèges, « où nous ne travaillons pas sur la même échelle que la Gironde », explique Valérie Duguet, chargée de mission projet éducatif global Conseil Général 47.
    « Cela nous permet, par exemple, de travailler plus proche des personnes « pilotes » au sein des établissements ».

    Le Conseil Général du 47 est encore au stade la réflexion pour savoir comment intervenir à un niveau qui atteint maintenant une dimension sociétale. Ils s’accordent à dire que le métier des enseignants change avec l’arrivée du numérique mais celui des personnes responsables d’organiser ce numérique à l’intérieur des Conseils Généraux change aussi ! Et c’est donc un vrai travail de restructuration.

    Pour elle, « l’assemblage « gouvernance partagée » est un mot « valise ». Aujoud’hui, que met-on dans la valise » ?

    Gardons nous des poncifs » tels que « l’Etat veut, les collectivités payent » et du côté des collectivités « imposeraient-elles leurs choix aux établissements ?

    Jacques Mikulovic, directeur ESPE Aquitaine part d’un constat pour introduire son propos : les inégalités scolaires grandissent et sont à l’image des inégalités sociales.

    Les enseignants ne peuvent plus être les seuls garants de l’environnement pédagogique qui, aujourd’hui, s’élargit aux parents et aux enfants eux-mêmes.

    Nous nous rendons compte que le temps imparti pour former ces enseignants ne suffira pas. « Concernant le numérique, nous n’avons même pas une classe tablettes pour former les enseignants qui vont devoir utiliser le numérique, nous sommes les « parents pauvres » car rattachés aux universités ».

    Et pour conclure, « nous n’avons pas les moyens de nos ambitions numériques ».

     

  • Débit Internet Part 2 : 12 clés pour booster vos écoles

    Débit Internet Part 2 : 12 clés pour booster vos écoles

     Par Marie-France Bodiguian du Cabinet AMO-TICE

    Après les 6 conseils de la partie 1 pour optimiser l’internet existant de vos écoles, voici 6 nouvelles pistes pour augmenter les débits  : 6 astuces ou technologies à étudier selon deux cas de figures.

    Exemples de quelques technologies de montée en débit :

    1. Doublez vos abonnements Adsl

    Amotice1_061014Si vous disposez déjà d’un bon débit Adsl, et que vous souhaitez améliorer simplement votre capacité de transfert, doublez vos abonnements Adsl, donc votre source d’arrivée internet. Comment ? Sur 2 fils, donc 2 flux ! Une solution particulièrement pertinente pour faciliter par exemple la visualisation d’une vidéo sur plusieurs postes, particulièrement gourmande en flux* de transfert simultané. Toutefois, cette solution n’améliorera pas le débit d’un flux* unique si votre débit initial est insuffisant.

    Le petit plus technique : Vous faites ici passer 2 flux dans 2 fils distincts, appelé  « doublement de liens », qui par ailleurs vous offrira un surcroit de sécurité. Vous aurez besoin d’un routeur, permettant plusieurs raccordements appelés « multiwan ». Un tel routeur vous permet en outre de raccorder plusieurs sources différentes internet (Adsl + fibre + 4G par exemple) et ainsi d’accroître votre débit.

    2. Complétez avec la 3G ou 4G

    Des clés 3G ou 4G peuvent venir compléter l’Adsl, mais… c’est souvent une alternative individuelle, avec un rayonnement peu fiable. Cette solution ne sera intéressante que dans les zones déjà bien desservies en débit internet. Pour cela, vous pouvez équiper vos écoles de petits routeurs wifi, appelés domino, munis de cartes SIM avec lesquels plusieurs appareils pourront être connectés via le wifi du domino pour utiliser la connexion 3G de la carte SIM.

    Ce n’est donc pas la technologie idéale pour booster le débit internet de vos écoles mais un complément ponctuel selon l’implantation des antennes sur votre territoire…
    Zoom sur le rayonnement 3G ou 4G dans votre collectivité avec www.cartoradio.fr

    3. Osez le Satellite !

    Amotice2_061014L’accès haut-débit par satellite n’est pas soumis aux contraintes d’éligibilité Adsl et a l’avantage de couvrir l’intégralité d’un territoire. . Cette technologie, souvent subventionnée par la plupart des conseils régionaux et conseils généraux, est généralement soumis à une tarification au volume de données. Elle fournit des volumes de données compris entre 10 et 100 Mgbits et nécessite la location ou l’achat d’un kit de connexion (une parabole, un modem et câbles coaxiaux), d’une valeur d’environ de 400 € et un abonnement mensuel (environ 40 €).  Pour en savoir plus, vous pouvez comparer les offres auprès des opérateurs existants (Alsatis, Nordnet, Wibox, etc.)

    D’ici la fin de l’année 2014, 9 000 écoles du primaire et du secondaire bénéficieront du haut débit, dans le cadre du Plan France Très Haut Débit.

    On ne peut que mettre en avant l’efficacité de cette technologie, mais attention… même en haut débit le temps de latence d’une connexion reste un peu plus long que celui connu sur ADSL, pour des raisons de liaisons satellitaires évidentes ! (de l’ordre de 600 millisecondes).

    4. Pensez au WiMax

    Amotice3_061014Vous connaissez ? Le WiMAX utilise les ondes radio, comme celles utilisées pour le téléphone portable. Les usages sédentaires et mobiles sont donc possibles sans installation supplémentaire.

    Pour connecter vos écoles en en haut débit grâce au WiMAX, vous devez être proche d’une antenne émettrice. Après avoir effectué un test d’éligibilité auprès de l’un des opérateurs du marché (ici par exemple : www.wibox.fr ou www.ariase.com et avoir souscrit à une offre, un installateur agréé pourra garantir une installation de qualité pour bénéficier du meilleur signal en fonction de votre situation.

    C’est une technologie encore peu utilisée mais également à étudier !

    Autre possibilité, construire un réseau Très Haut Débit pérenne :

    5. Créez votre Réseau Municipal Mutualisé

    À l’occasion de travaux d’infrastructures municipaux (que vous déployez seul ou dans le cadre d’une communauté de communes), vous pouvez faire passer de la fibre optique entre les bâtiments. L’avantage ? Vous pouvez héberger plusieurs réseaux virtuels sur le même « fil ». Il devient alors possible de mutualiser les coûts en alimentant en haut débit les divers bâtiments municipaux (réseau interne municipal), des structures publiques/privées (cinémas, salles de spectacles, gymnases, etc.), ou en proposant des accès (via un opérateur obligatoire) pour une distribution privative (TPE, Artisans, etc.).

    Amotice4_061014Un Réseau Municipale Mutualisé peut constituer une véritable colonne vertébrale de l’aménagement de votre territoire.

    Ici, un maillage de technologie pour des connexions haut débit pour tous, dont les écoles !

    6. Fibre optique : Êtes-vous intégrés à un Réseau d’Initiative Publique ?

    Si votre emplacement géographique est dense, et donc commercialement intéressant pour les opérateurs, vous êtes sûrement éligible à la fibre optique des opérateurs. Dans ce cas, vous êtes un privilégié ! Quittez cette page, nous nous retrouverons sur un autre sujet ! Des débits entre 100 à 250Mbps à la source permettent une utilisation presque sans limites du numérique. De quoi faire rêver !

    Sinon rapprochez-vous, si possible de votre département, qui, dans le cadre d’un Réseau d’Initiative Publique, a peut-être mis en place un projet pérenne de fibre optique pour effectuer des travaux et résorber les zones d’ombre d’ADSL. Vous intégrerez ainsi un groupement de commandes pour la réalisation de plusieurs Nœuds de Raccordement d’Abonnés et leurs liens de collecte optique. C’est l’expérience vécue par le regroupement de Communautés de communes du Pays de Caux-Maritime.

    Amotice5_061014Une technologie qui a permet d’obtenir des coûts réduits et de mutualiser le financement !

    De nouvelles solutions pour raccorder vos écoles vers de meilleurs débits internet vous sont à présent offertes. Il s’agit là de quelques propositions non exhaustives. À vous maintenant d’adapter votre stratégie en fonction des possibilités qu’offre votre territoire et aux besoins et usages des enseignants.