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  • WWEEDDOO lance la première plateforme de projets pour les 13-25 ans

    WWEEDDOO lance la première plateforme de projets pour les 13-25 ans

    wweeddoo.com est une plateforme web dédiée aux jeunes de 13 à 25 ans. Elle leur donne les moyens d’OSER lancer des projets individuels ou collectifs.

    wweeddoo active et fédère tous ceux qui les entourent pour les accompagner et les soutenir : amis, familles, associations, établissements scolaires et universitaires, entreprises, collectivités, c’est unique. wweeddoo donne confiance et montre aux jeunes qu’ils vivent dans un environnement qui peut leur être favorable.

    Accessible gratuitement pour les jeunes, wweeddoo propose une méthodologie simple (le QQOCP*). Les porteurs de projets peuvent recevoir bien sûr des soutiens financiers, mais aussi et surtout à la différence des plateformes de crowdfunding : des conseils, des contacts ou du matériel.

    wweeddoo est lauréat du Programme d’investissements d’Avenir avec la Caisse de Dépôts et Consignations en partenariat avec l’Education nationale 92.

    « C’est impressionnant l’énergie, la mobilisation, les moyens mis en œuvre pour donner confiance aux jeunes et en leur avenir. wweeddoo.com ose penser qu’en s’appuyant sur leurs projets, il est possible de les mobiliser, de les mettre en action. Et grâce au digital, il est possible de fédérer et valoriser toutes les énergies autour des jeunes : associations, éducateurs, professeurs, entreprises, collectivités… Nous lançons un défi positif et enthousiaste ! », expliquent Marie-Pia Lebarrois et Laurent Lescure, co-fondateurs de wweeddoo.

    wweeddoo : un projet en 5 clics

    Dès lors qu’ils ont un projet, les jeunes trouvent sur wweeddoo, un dispositif simple et adapté qui leur permet de le mener à bien et de le réussir. Pour cela, wweeddoo propose une expérience digitale rapide et structurée : le QQOQCP (*Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?).

    Sur le site, le porteur de projet suit un parcours en 5 étapes :

    • Je donne un titre à mon projet
    • Je le décris en quelques mots
    • Je choisis un thème (arts-culture, solidarité, projet professionnel, sport, loisirs, etc.)
    • Je m’inscris et me connecte à la communauté
    • Je poursuis mon projet QQOQCP et recherche des soutiens

    wweeddoo : une communauté qui OSE se mobiliser pour permettre aux jeunes d’OSER

    Autre singularité de wweeddoo, celle de mobiliser la communauté autour des jeunes : familles, amis, bien sûr mais aussi associations, aux acteurs du monde scolaire. Et surtout wweeddoo propose aux collectivités et aux entreprises des solutions clés en main pour leur permettre de se connecter concrètement en digital et en local avec les jeunes.

    Un modèle économique singulier : 1ère plateforme de projets 100% gratuite pour les jeunes, les associations et les établissements scolaires et supérieurs. wweeddoo est financé par les entreprises et les collectivités par le biais de micro-abonnements annuels (0,10 cts par habitant/an pour une collectivité et entre 500 et 30.000 euros/an pour les entreprises). Chaque partenaire dispose d’un espace personnalisé et peut créer ses Appels à projets, soutenir des jeunes et rendre son engagement visible.

    wweeddoo compte parmi ses partenaires pionniers : l’Éducation nationale, l’Académie des projets de vie, l’Institut Télémaque, AFM- Téléthon, la ville de Courbevoie, Scoléo, la Chambre des Métiers et Artisanat du 92, Groupe Bic, Exacompta …wweeddoo est soutenu par le Programme d’investissements d’Avenir avec la Caisse des Dépôts et Consignations.

    La maison des projets wweeddoo a ouvert ses portes le 23 mars à toute sa communauté

    • De 10h à 16h organisation d’ateliers projets avec des jeunes, l’Éducation nationale et des partenaires.
    • Ouverture des inscriptions à tous ceux qui souhaitent adopter wweeddoo
  • Et toi Nicolas, c’est quoi ta classe inversée en physique-chimie ?

    Et toi Nicolas, c’est quoi ta classe inversée en physique-chimie ?

    Au travers de cette rubrique « Classes inversées », nous tentons de relater l’expérience d’enseignants qui pratiquent une forme de classe inversée. Sur le salon EduSpot France, nous en avons rencontré plusieurs et notamment Nicolas Vossier, professeur de physique-chimie dans l’académie de Grenoble. Il nous parle de « sa classe inversée ».

    Je ne peux pas dire depuis combien de temps je fais de la classe inversée car ce n’est pas du jour au lendemain qu’on se dit « je vais faire de la classe inversée ». C’est un long processus qui se met en place dans la durée.

    Au départ, c’est son environnement proche qui lui a donné envie de faire de la classe inversée et notamment son épouse, pour ne pas la citer, qui travaille en pédagogie Freinet depuis plusieurs années.
    « J’ai passé une quinzaine d’années à la regarder faire et à me dire que c’était juste impossible de faire cela en lycée« .

    Cela lui paraissait insurmontable car il se disait qu’il fallait beaucoup de temps pour faire ça.

    Découvrez dans l’interview ci-contre comment il pratique « sa classe inversée » dans sa discipline, la physique-chimie.

     

  • Edu-Up : soutien à la production et à la diffusion des ressources numériques

    Edu-Up : soutien à la production et à la diffusion des ressources numériques

    Alain Thillay, chef du département ressources numériques à la Direction du Numérique pour l’Education, est venu présenter le dispositif Edu-Up lors de l’évènement EduSpot France du 08 au 10 mars dernier.

    « Edu-Up est un dispositif de soutien à la production et à la diffusion des ressources à destination plus particulièrement des starts-ups et des PME du numérique« .

    Quatre axes prioritaires ont été définis :

    . un axe sur la production d’applications mobiles en lien avec le Plan Numérique pour l’Ecole
    . un axe sur la politique d’Ecole Inclusive, sur le numérique et handicap
    . un axe dédié aux approches transversales, pluridisciplinaires, dans le sens de l’accompagnement de la réforme
    . un dernier axe autour des ressrouces qui permettent le travail collaboratif des élèves

    « Toujours avec des contenus et des services associés », précise Alain Thillay.

    Parmi les projets, pour ne citer qu’eux, il y a la plateforme Matilda, pour lutter contre les discriminations, l’égalité filles-garçons etc. Ou encore Ersilia sur l’éducation à l’image (voir aussi notre sujet en vidéo sur la plateforme Ersilia).

    Quelques projets soutenus :

    Plus d’infos sur Edu-Up : eduscol.education.fr

  • « Apprendre Demain » : une mission confiée à François Taddéi

    « Apprendre Demain » : une mission confiée à François Taddéi

    Apprendre Demain dont le slogan « Ensemble, préparons la Recherche et Développement de l’éducation », est une mission qui a été confiée par la Ministre de l’Éducation nationale, de la Recherche et de l’Enseignement supérieur à François Taddei, directeur du Centre de recherches interdisciplinaires (CRI). Nous l’avons reçu en interview lors d’EduSpot France.

    Cette consultation a pour objectif de recueillir, débattre et approfondir des propositions permettant d’organiser et coordonner des politiques de recherche et développement dans le domaine de l’éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie (1).

    « La première chose à dire c’est que tous les ministères se sont organisés pour s’appuyer sur la Recherche pour progresser et d’ailleurs, toutes les grandes entreprises aussi. Il n’est donc pas anormal que l’Education nationale s’intéresse aussi à la Recherche comme une des manières de, à la fois mieux comprendre le système mais à la fois mieux l’accompagner« , souligne François Taddéi en début d’interview.

    « Nous sommes tous des chercheurs ».

    Ce qui signifie que tout enseignant qui le souhaite, peut entrer dans une démarche de Recherche en s’appuyant sur un réseau d’autres qui sont dans la même situation.

    « La première leçon de la mission est donc de voir comment on invite tous les acteurs à s’emparer de ces questions de recherche et à partager, quelque soit leur statut, leur discipline ou leur niveau », explique François Taddéi.

    La mission est aussi « apprendre tout au long de la vie ».

    Plus de 200 entretiens ont déjà eu lieu dans le cadre de la mission et « nous avons rencontré tous les niveaux d’acteurs », précise François Taddéi.
    Sur la plateforme apprendredemain.fr, chacun peut venir contribuer ; au moment de l’interview, il y a déjà eu plus de 1000 contributions !

    (1) source http://apprendredemain.fr

  • Travailler sur Scratch en étant déficient visuel : c’est possible avec Sandrine Boissel !

    Travailler sur Scratch en étant déficient visuel : c’est possible avec Sandrine Boissel !

    Sandrine Boissel est enseignante spécialisée pour élèves déficients visuels dans l’académie de Grenoble pour des élèves de la 6ème à la terminale. Elle les fait travailler sur Scratch, de manière assez peu commune… Elle a témoigné de ces usages très novateurs au micro de ludomag, lors d’EduSpot France le 10 mars dernier.

    « Mes élèves doivent travailler en cycle 4 sur Scratch mais le problème est qu’ils ne voient pas ou très peu l’écran et qu’ils travaillent en braille ou en gros caractères ; ils ne voient pas non plus les couleurs, ce qui pose des problèmes sur Scratch« , décrit-elle.

    Pour pouvoir assurer cette formation obligatoire en cycle 4, Sandrine Boissel s’est adaptée.

    « J’ai fabriqué un dispositif avec des Légos et une plaque pour remplacer l’écran, donc un substitut d’écran tactile ».

    « J’ai repris toutes les commandes de Scratch ; j’ai conservé le plus possible les couleurs pour que le copain voyant ne soit pas perdu ; et pour les élèves non voyants, j’ai rajouté sur la tranche droite de chaque pièce une forme géométrique simple qui permet d’identifier les différents types d’instruction« .

    Une activité qui se fait aussi en collaboration entre voyants et non voyants : un formidable projet !

    Découvrez cette expérience novatrice avec Sandrine Boissel dans l’interview ci-dessus et quelques images du dispositif utilisé.

  • Concevoir un établissement innovant : avec des écrans interactifs dans toutes les écoles !

    Concevoir un établissement innovant : avec des écrans interactifs dans toutes les écoles !

    Pascal Barthomeuf est Directeur des Systèmes d’Information à la ville d’Avignon. Il a expliqué au micro de Ludomag sur EduSpot comment la ville d’Avignon a décidé d’avoir une politique volontariste d’équipement numérique dans ses écoles en installant un écran interactif sur roulettes par classe…

    Avec 58 écoles et près de 8000 élèves, Avignon a porté ce projet de manière collaborative « avec l’Education Nationale, le réseau Canopé, les enseignants, les élus... » « et nous avons fait le choix des écrans numériques interactifs pour des raisons de luminosité, de contrastes, car Avignon est une ville ensoleillée, mais aussi de coûts de fonctionnement moindres« , explique Pascal Barthomeuf.

    Le choix des écrans sur roulettes a été fait en concertation avec les enseignants qui y voient une facilité pour adapter la position de l’écran dans la classe en fonction des groupes de travail.

    « Chaque classe est équipée du même écran ce qui permet aux enseignants d’avoir des échanges entre eux ».

    Plus d’infos dans l’interview ci-contre.

     

  • Stop Motion « Bonhomme de Neige » en CE2

    Stop Motion « Bonhomme de Neige » en CE2

    Charlotte Billot est enseignante en premier degré à l’école St Thérèse à Toulouse. Elle nous a envoyé un résumé de son projet réalisé récemment au sein de sa classe en Ce2 qui allie l’histoire narrative, le vivre ensemble et le cinéma d’animation.

    Voici ci-dessous le message qu’elle a fait parvenir aux parents d’élèves de sa classe lorsqu’elle leur a communiqué la production finale .

    « Je pense que la démarche pédagogique et la mise en œuvre peuvent intéresser d’autres enseignants sachant qu il n a fallu qu’un seul outil, ici un iPod, même pas une tablette, pour le réaliser. »explique t’elle en s’adressant à vous, lecteurs de ludomag.

    Voici la production finale du projet de film d’animation réalisé en classe en novembre-décembre 2016.

    L’objectif était de créer une histoire sur le thème de la paix, du vivre ensemble et de les initier à la création d’un scénario et à la technique du Stop Motion.
    Par groupes, ils ont donc réfléchi à une histoire sur ce thème (dont la contrainte était d’inclure les acteurs principaux, à savoir leurs bonhommes de neige).

    Ces 8 histoires ont fait l’objet d’une présentation par chacun des groupes (scénario et dessins à l’appui) suivi d’une grande discussion collective. En est ressortie, une histoire commune reprenant les meilleurs éléments de chacun des groupes.

    A partir de là, un texte a été écrit (en collectif oral, dicté à l’adulte) qui a servi de support à un deuxième travail de groupe et individuel. Chaque enfant a rempli les cases de son propre scénario (trace dans le cahier de sciences) pour déterminer les scènes à « capturer en image ».

    Puis par groupe de 5/6, les enfants ont déplacé les personnages et les décors et pris chaque scène en photo avec l’aide de l’adulte.
    Au total :
    . 233 photos prises dont 166 retenues pour le montage,
    . 11 vignettes d’onomatopées,
    . 22 vignettes de narration ou dialogue,
    . 2 vignettes de générique.
    . Et beaucoup d’imagination et de création de la part des élèves !

    Le tout a été monté par mes soins en différé, après une première visualisation collective qui a permis d’effectuer quelques rectificatifs (analyse du lien texte-image, sélection des meilleurs photos, dynamique du rendu du film…)
    L’application de Stop Motion utilisée est « Animation en volume» de CATEATER, LLC , mais il en existe beaucoup d’autres.

    Vos enfants peuvent être fiers de leur projet qu’ils ont su mener à bien en écoutant les idées de l’autre et en partageant « la scène » avec 5 ou 6 copains, tout un apprentissage et chacun a progressé à son rythme dans le bon sens. Félicitations à eux !!

    Voici le lien de leur super production :  https://drive.google.com

    Soyez patients pour le téléchargement car le film dure 3 :46 et « pèse » 417 Mo donc en fonction de votre débit internet, cela peut prendre un peu de temps.

  • Partenariat pour Educatec-Educatice avec L’Etudiant et Educpros

    Partenariat pour Educatec-Educatice avec L’Etudiant et Educpros

    Le salon EDUCATEC EDUCATICE, le salon des professionnels de l’éducation et du numérique officialise son partenariat avec L’Etudiant et Educpros, Media des professionnels du supérieur et de l’écosystème de la Edtech française.

    Fort de leurs expériences dans l’organisation d’évènements sur l’éducation et de leurs connaissances de la Edtech , ils lancent le premier village interactif qui connectera les start-up de la « Edtech » et l’Enseignement scolaire et supérieur.

    Au cœur de la Paris Education Week et du salon de l’éducation, organisé par la Ligue de l’enseignement, EDUCPROS et EDUCATEC EDUCATICE réuniront les 15,16 et 17 novembre 2017 sur le salon EDUCATEC EDUCATICE

    porte de Versailles, des professionnels du supérieur et du scolaire , des institutions publiques et des acteurs privés, au sein d’ une grande « Tech room » centrale, dédié aux start up de l’éducation, de l’orientation et de la vie étudiante.

    Cet événement inédit aura pour point d’orgue la seconde édition de la Conférence « EdUp », une journée de débats et d’ateliers collaboratifs pour connecter établissements, Start Up et chercheurs, mettre en lumière la filière Edtech française, et formuler des solutions concrètes au challenge de la transformation numérique .

     

    A PROPOS DE WEYOU GROUP (ex-Tarsus)

    Groupe média et acteur majeur spécialisé dans l’organisation de salons et meetings BtoB (Heavent, Stratégie Clients, E-Marketing, Educatec-Educatice, Workspace, …).

    A PROPOS DE L’ETUDIANT et de EDUCPROS

    Media incontournable des professionnels du supérieur, Educpros réunit une communauté de 50 000 lecteurs décideurs. Fort de sa ligne éditoriale centrée sur l’innovation pédagogique, de sa communauté d’experts, de son offre de voyages et conférences spécialisées, Educpros est aujourd’hui au centre de l’écosystème de la Edtech française.

     

  • Mooc « Scratch au collège » sur FUN : au cœur de la réforme

    Mooc « Scratch au collège » sur FUN : au cœur de la réforme

    Le mooc « Scratch au collège » est destiné aux enseignants du second degré, mais aussi aux parents et jeunes, désireux de découvrir la programmation avec Scratch.

    Une nouveauté de la réforme du collège

    Dans les programmes de mathématiques, une nouvelle partie concernant l’algorithmique est apparue (thème E : algorithmique et programmation) et un besoin de formation s’est fait sentir de la part des professeurs. Ce mooc est l’occasion de découvrir et approfondir ses connaissances informatiques autour de la programmation avec Scratch et à l’aide d’activités débranchées.

    Scratch : qu’est-ce que c’est ?

    Scratch est un logiciel qui permet d’initier les plus jeunes à la programmation. Son système de blocs permet de construire un programme en évitant les erreurs de syntaxes propres à chaque langage : fini l’oubli du point-virgule qui empêche la compilation.

    Scratch est un projet du groupe Lifelong Kindergarten au MIT Media Lab et il est totalement gratuit.

    Présentation du mooc

    Le mooc commence début mai et il suffit de s’inscrire sur la plateforme FUN qui propose des mooc accessibles à tous en ligne et gratuitement :

    Et une petite vidéo de présentation :

    Bien sûr, le but de ce mooc est de renforcer ses connaissances en programmation, mais aussi de s’approprier des ressources directement exploitables en classe.

    Activités débranchées

    Votre ordinateur est en panne ? Il n’y a plus de courant au collège ? Oui, vous pouvez quand même faire de l’informatique, grâce aux activités débranchées ! En travaillant sur feuilles vous préparez ou approfondissez les notions informatiques de base (boucles, conditions, vrai/faux,…).

    Mais c’est aussi l’occasion de découvrir d’autres thèmes en lien avec le cours de mathématiques (binaire, triangulation, jeux sur les mots,…).

    Alors prêt à programmer ?