Catégorie : arts numériques

  • Lancement inédit du premier roman feuilleton sur téléphone mobile«Les aventures de Thomas Drimm de Didier van Cauwelaert»

    Grâce à l’application Java développée par SFR, ce roman sera accessible au plus grand nombre quelle que soit la génération de mobile utilisée pour la lecture.

    Conçus pour être lus sur écrans, les épisodes sont courts au service d’une histoire pleine de rebondissements et de suspense reprenant le concept des séries TV.

    « C’est une façon d’utiliser un outil moderne, le téléphone mobile, pour renouer avec une tradition littéraire qui consiste à frustrer le lecteur pour l’obliger à revenir. Mon boulot de romancier, c’est d’abord d’emmener le lecteur sur des chemins inattendus » précise Didier van Cauwelaert.

    Disponible en lecture ou en audio, on découvre le roman chez soi ou bien en extérieur, tout en écoutant sa musique préférée ou en se déplaçant dans les transports.

    Le héros, Thomas Drimm, est affublé d’un ange gardien très encombrant, il aura 10 épisodes pour s’en séparer.
    Un concours est organisé pour distinguer le ou les rédacteurs qui auront rédigé le 11ème épisode le plus étonnant, directement sur leur téléphone mobile.
    Les 10 premiers épisodes seront diffusés gratuitement, au fur et à mesure de leurs lectures, dans la limite d’un par jour pour entretenir l’intrigue.

    Comment cela fonctionne ?

    Les aventures de Thomas Drimm sont disponibles en consultation ou téléchargement depuis le 08 juin.
    · Avec un smartphone, les épisodes seront accessibles via la rubrique « Culture » du site mobile SFR.
    · Avec un téléphone classique, il suffit d’envoyer un SMS, au 31 000 avec le mot clé « Smartnovel » pour recevoir en retour une application qui permet d’accéder au roman.

    Cette application sera disponible également dans l’Application Store SFR et est compatible avec plus de 400 modèles de téléphones mobiles.

    · Pour tous les téléphones, les épisodes sont accessibles en Audio en appelant le 0800 971 700 et sont lus par Didier van Cauwelaert lui-même.

    Avec ce projet, SFR poursuit sa promesse de démocratisation des usages de l’internet, notamment autour de la lecture numérique. Après avoir lancé il y a près d’un an un pilote de lecture numérique sur e-book et lors du Salon du Livre un test de lecture de BD sur mobile, SFR propose aujourd’hui au plus grand nombre le premier roman feuilleton depuis un mobile.

  • Succès de la première expérience de salle virtuelle : 3 200 internautes ont assisté au concert des trois baudets sur paris.fr

    3200 internautes se sont connectés pour assister au spectacle de Cécile Hercule, jeune et talentueuse artiste de la chanson française qui se produisait pour la première fois sur cette scène prestigieuse. Une façon originale de démultiplier l’impact de cette soirée organisée dans cette salle de 250 places.

    Un chat couplé à la retransmission du concert a permis aux internautes en ligne d’échanger leurs impressions en direct, leurs commentaires, leurs traits d’humour.
    Du virtuel au réel, l’un d’eux après avoir visionné le spectacle en ligne et participé au chat, s’est ensuite déplacé pour rencontrer artistes et spectateurs et finir la soirée autour du bar des trois baudets.

    Julien Bassouls, directeur des trois baudets, terminait son discours d’inauguration en disant « il ne fallait pas me donner une salle de spectacle, maintenant il va tout le temps s’y passer
    des trucs
    ». Il est très heureux d’avoir pu filmer ce premier concert de Cécile Hercule, « il faut créer des archives autour de la chanson, aujourd’hui on a pas de vidéo de Baudelaire et
    c’est vraiment dommage. Dans 100 ans, on regardera Cécile Hercule à ses débuts avec étonnement
    ».

    Un extrait de la retransmission est consultable sur :
    http://www.dailymotion.com/mairiedeparis/video/x8c2xb_cecile-hercule-aux-trois-baudets_creation et le concert sera très prochainement accessible sur paris.fr TV.

    Cette expérience a été rendue possible grâce à l’implication d’AF 83, une start up parisienne située dans le quartier Numérique (Paris, 2e) et au soutien de SFR, partenaire de l’opération.

    La Ville souhaite réitérer cette initiative et offrir de nouvelles façons de goûter à la culture parisienne, en permettant à tous les publics d’y accéder de façon originale.

  • KOOGEI, une université polytechnique où Mangas, Jeux vidéo et films d’animation s’enseignent

    KOOGEI, une université polytechnique où Mangas, Jeux vidéo et films d'animation s'enseignent

    Nous avons conscience que l’étude des mangas et des jeux vidéo dans une Université est assez exceptionnel au Japon, la philosophie de l’enseignement de la faculté Jeux vidéo est de donner humanité, respects et intérêt pédagogique dans les jeux vidéo au cours du cursus de quatre années proposé. La gestion de projet, le design et la programmation sont  abordés progressivement tout au long de ‘enseignement. Chaque année, des groupes projets sont constitués pour réaliser des jeux vidéo en correspondance avec le programme proposé par les professeurs. «L’idée à KOOGEI est de développer des jeux à vocation humanitaire, des jeux utiles pour l’éducation ou la sensibilisation des publics à certaines problématiques sociétales» (ce que nous appelons aujourd’hui des Serious Games. La faculté de jeux vidéo à la chance d’être dirigée par Toru Iwatani qui est également créateur du jeu «Pac-man» diffusé entre 1981 et 1987 à raison de plus de 293 822 machines dans le monde entier.

    Le département jeux vidéo
    La faculté de jeux vidéo de KOOGEI utilise essentiellement la plateforme de développement XNA pour la conception des jeux réalisés par les élèves, avec un partenariat fort engagé avec Microsoft (ce qui est étrange au pays des Nintendo et autres fournisseurs de Play Station…). Cette plateforme de développement a été choisie notamment car elle permet grâce au partenariat des coût de développement moindre, voire faible. Les élèves peuvent utiliser  XNA gracieusement et l’Université dans le cadre du partenariat avec Microsoft a traduit le site de développement de XNA en Japonais.

    Les projets de jeux des élèves nécessitent 6 mois de développement, chaque promotion est composée d’une cinquantaine d’étudiants. La faculté est équipée d’un Centre de Ressources (médiathèque, collection de jeux et de machines de jeux avec plusieurs types d’interfaces, différents types de consoles,….) et d’un laboratoire de captation de mouvement (Motion Capture) équipé de caméra à infrarouge.

    Le département Mangas
    Ce département accueille une quarantaine d’étudiants et est dirigé par Mr Tanaka créateur de Mangas. Les premières années apprennent toutes les techniques de Manga, son histoire et réalisent des productions manga en s’inspirant des mangas existants. Les salles sont équipée simplement pour la réalisation es mangas traditionnels ; des tables à dessin afin de permettre des réalisations monocrhromes de mangas. Parmi les prootions à noter que 60 % sont des filles qui sont souvent plus performantes et motivées car plus mûres.

    Les mangas historiquement inspirés des Comics américains d’après guerre, ont été dans un premier temps des éditions «secondaires ou accessoires» des principaux éditeurs japonais depuis les années 60, puis progressivement les productions hebdomadaires ont jusqu’à dépassé les 6/7 millions d’exemplaires par titre vendu. Ils sont ainsi devenus les principales sources de revenus des éditeurs. L’age des acheteurs varie considérablement même si le premier lectorat a été longtemps les jeunes. Aujourd’hui, il y a des mangas pour tous publics et pour toute occasion, les mangas pour séniors, les femmes, les jeunes couples ou pour fille ont été par exemple développés. Les critères de qualité des mangas se situent par la facilité de lecture et de lisibilité des images et des textes et dans le caractère des personnages et leur personnalité ; s’il plait au public visé, il peut devenir un personnage important et pérenne qui permettra au créateur de manga d’être reconnu. Une fois populaire sur le papier, le manga pourra être porté à l’écran. Mais la difficulté du créateur est de ne pas tomber dans le stéréotype et ne pas s’enfermer dans un personnage ou un genre d’histoire. Il doit lui-même avoir une personnalité assez marqué qui lui permettra d’évoluer et de ne pas tomber dans la rengaine voire dans l’oubli.

    Les Mangas japonais sont pour la plupart bi-color ou noir et blanc, les élèves apprennent ainsi à réaliser dès la première année, les mangas traditionnels en Noir & Blanc, puis il sont amené à utiliser les outils grahiques pour porter leur manga et personnage sur support numérique. Les outils utilisés sont Photoshop, Comic Studio Pro et Painter. Plusieurs techniques sont utilisées comme la vectorisation des dessins après scan, la colorisation pour portage sur le web ou autre, Cette aport du numérique permet notament d’approcher les mangas en 2D/3D…

    Certains étudiants alimentent leur blogue avec Leur propre production.

    Le département Animation : rédigé ultérieurement

  • Arthur au Futuroscope !

    ARTHUR AU FUTUROSCOPE
    En l’occurrence, un mini film exclusif de 4 minutes, réalisé en 3D, projeté sous un dôme IMAX géant, synchronisé aux trépidations d’un simulateur et pimenté d’effets 4D pour un maximum de sensations.

    Fidèle à l’esprit du long métrage original – respect de la nature et découverte d’un univers inédit – l’attraction proposera de se glisser dans la peau d’un Minimoy le temps de vivre une aventure très proche de celle qui attend Arthur dans le deuxième opus d’une saga qui compte trois épisodes.

    Passé une balade bucolique qui le mènera aux portes de l’attraction, le visiteur prendra place à bord d’un simulateur. Doté de lunettes polarisantes à facettes, il pourra vivre à 100%  les émotions qui l’attendent dans sa plongée au cœur du monde Minimoy.

    LUC BESSON

    Au programme : aventures aériennes mouvementées, tête à tête avec une araignée, visite de Paradise Alley (véritable Las Vegas miniature), survol du village Minimoy et multiples rencontres avec des insectes géants. De quoi découvrir le monde à hauteur de Minimoy, et ressortir émerveillé de ce voyage on ne peut plus ludique !

    En accueillant cette attraction à la technologie avant-gardiste, le Futuroscope, 2e parc de loisirs français, réaffirme sa volonté d’associer à son développement le talent des plus grands noms du monde artistique pour le plaisir de ses visiteurs. Luc Besson, de son côté, offre à ses nombreux fans – 6,5 millions de spectateurs pour Arthur et les Minimoys – l’occasion de poursuivre l’aventure découverte au cinéma.