Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Wizzbe, infiniment simple

    Wizzbe, infiniment simple

    LogoSapience, l’éditeur de la solution pour l’école numérique Wizzbe, a eu le plaisir de vous accueillir stand E12 pendant toute la durée du salon EDUCATICE.

    Wizzbe, c’est notamment plus de 10000 nouvelles installations de la solution sur des tablettes et des portables élèves en 2015. Wizzbe a notamment été déployé dans plusieurs villes et dans 7 nouveaux départements pour les collèges préfigurateurs du Plan Numérique pour l’éducation.

    A l’occasion d’EDUCATICE vous avez pu découvrir les nouveautés 2016 de la solution Wizzbe à savoir :

    1. La nouvelle application pour Tablettes WINDOWS 10*
    2. Les statistiques multi-établissements de la gestion de parc centralisée
    3. Le portail d’autoformation et d’entrainement gratuit pour les enseignants : http://wtc.mywizzbe.fr
    4. La Wizzbe NANO2  intégrée dans un diffuseur de contenu pédagogique conçu par Intel

    Les apports de la solution Wizzbe sont autant pour les équipes techniques avec la gestion de parc multi-OS que pour les équipes pédagogiques avec toujours plus d’idées d’usages mis en œuvre.

    Wizzbe s’intègre parfaitement dans le cadre des projets d’équipements numériques en proposant toujours des outils et des ressources adaptés quel que soit le type et la taille de l’établissement.

    *Wizzbe est compatible Android, iPad et Windows

    Educatice_Wizzbe

    Plus d’infos :
    www.wizzbe.fr
    www.logosapience.fr

  • Les portails éducatifs open source accélèrent l’éducation numérique

    Les portails éducatifs open source accélèrent l’éducation numérique

    Sommés de répondre simultanément aux profondes mutations technologiques, organisationnelles, culturelles et pédagogiques actuelles, les environnements numériques de travail (ENT) sont soumis à des exigences sans précédent. Parfois décriés, car n’apportant pas toujours la plus-value métier nécessaire, ils apparaissent désormais comme la plateforme la plus indiquée pour centraliser, rationaliser et faire évoluer les systèmes d’information souvent fragmentés et hétérogènes des établissements. À condition d’en avoir la capacité…

    Depuis les premières versions souvent centrées sur la vie scolaire, les ENT ont accompagné l’évolution des établissements, s’enrichissant au fil des besoins de la communauté éducative. Mais les demandes sont désormais innombrables : on attend d’eux qu’ils fluidifient le partage de l’information et l’accès aux ressources, qu’ils aident le chef d’établissement à mettre en œuvre son projet, qu’ils appuient l’autonomie pédagogique du professeur, qu’ils facilitent le déploiement de la mobilité… L’ENT tend ainsi à devenir le socle partagé de l’e-éducation, structurant à la fois la collaboration entre les personnes et les connexions entre les systèmes.

    Pour devenir cette plateforme d’aiguillage, l’ENT doit par-dessus tout faire preuve d’agilité. Ce sont sa capacité à s’interfacer avec une multiplicité de technologies, et la facilité et la rapidité avec lesquelles il sera possible de développer de nouvelles fonctionnalités, qui vont déterminer l’aptitude de la solution à répondre aux enjeux actuels. Par son ouverture naturelle, son respect des standards, la capacité de mobilisation de sa communauté et la force de la mutualisation, l’open source apporte cette souplesse et cette vitesse nécessaires.

    L’open source n’est cependant qu’un principe au service de la stratégie et des priorités du maître d’ouvrage de l’ENT, et plusieurs approches sont possibles.

    On trouve ainsi en open source des progiciels complets, qui permettent de refondre totalement l’ENT et de disposer d’un environnement à l’état de l’art des technologies et des pratiques qui facilitera les développements ultérieurs.

    C’est par exemple le cas de la solution Esup, déployée par Atos pour le compte de quatre grandes collectivités.

    Une autre possibilité est de s’appuyer sur un socle prenant en charge la complexité fonctionnelle et réglementaire des ENT, et de bâtir autour, grâce à l’open source, un bouquet de services collaboratifs et métiers. C’est cette approche qui a été retenue par une large communauté de collectivités réunies au sein de l’association Open ENT. Baptisé Open ENT NG, leur projet a permis de développer, outre des fonctionnalités cœur classiques (annuaire, messagerie…), des applications novatrices comme une carte mentale, un mur collaboratif ou une frise chronologique multimédia.

    Enfin, on peut choisir, comme l’a fait une grande région, de se focaliser sur le développement de modules ciblés, favorisant la communication et la collaboration, avec une approche résolument tournée vers l’utilisateur, de façon à pouvoir adapter facilement les services aux besoins, et à accroître la valeur d’usage du portail éducatif pour tous les membres de la communauté éducative.

    Atos, qui a largement contribué aux projets cités, a donc une expérience large et approfondie des possibilités offertes par les ENT open source. Par leur maturité tant technique que fonctionnelle, et l’atout clé de leur agilité, ceux-ci s’imposent aujourd’hui comme l’accélérateur espéré de l’éducation numérique.

  • Lenovo : des solutions innovantes et adaptées à l’enseignement et l’apprentissage

    Lenovo : des solutions innovantes et adaptées à l’enseignement et l’apprentissage

    Le numérique, un enjeu clé dans le secteur éducatif

    C’est un fait, les technologies numériques font de plus en plus leur entrée dans les salles de classe et sont une véritable opportunité de réinventer les pratiques d’enseignement et l’apprentissage des enfants et étudiants.

    Preuve en est, en France, le ministère de l’éducation nationale s’est donné l’ambition d’équiper 800 000 élèves de 5e en tablettes et solutions numériques en 2016. A horizon 2020, l’objectif s’élève à plus de 3 millions d’élèves.

    L’éducation, un secteur stratégique pour Lenovo dans le monde et en France.

    Fort de ce constat, Lenovo a souhaité renforcer sa place dans l’éducation en travaillant sur :

    . Une organisation adaptée avec une la mise en place d’une direction au niveau mondial et la nomination d’un responsable de l’offre dans chaque pays prioritaire pour ce secteur. En France, l’offre commerciale est portée par l’organisation de Lionel Rafalowicz, directeur commercial grands comptes chez Lenovo.

    . Une stratégie commerciale dédiée qui s’appuie principalement sur le développement de partenariats commerciaux avec des fournisseurs de solutions scolaires complètes tels que Econocom, SCC, Computacenter, CFI, Quadria, Inmac…

    Des produits adaptés à l’apprentissage et l’enseignement

    Le salon Educatec Educatice sera l’occasion pour Lenovo de présenter ses dernières tablettes Lenovo, sous Windows ou Android, des ultraportables performants et même de puissantes stations de travail.

    Lenovo présentera notamment la nouvelle famille de produits X1 avec la ThinkPad tablet X1, la plus modulable des tablettes, le nouveau ThinkPad X1 Carbon, le plus fin des ultrabooks, le ThinkPad X1 Yoga, convertible à 360°, et le All-in-One ThinkCentre X1.

    Dans la catégorie des 2-en-1, ce sera également l’occasion de voir et toucher le Yoga 900, le convertible le plus fin du monde, un véritable bijou sous vos doigts.

    Dans la catégorie tablettes : les tablettes sous Windows et les tablettes sous Android se disputeront la vedette, avec d’un coté la MIIX 310 et la MIIX 700 et de l’autre, la TAB3 10 qui vient d’être annoncée au MWC à Barcelone.

    Différents formats de PC complèteront cet éventail de produits : du format Tiny de moins de 1L au All-in-One 23″.

    Enfin, coté station de travail, avec la P70, vous conjuguerez portable et station de travail.

    Trois jours d’ateliers de démonstration pour se familiariser avec les solutions proposées

    Le stand Lenovo accueillera des partenaires parmi lesquels Intel, dont les derniers processeurs équipent nos ordinateurs et qui s’attache à faciliter l’accès au numérique dans le monde, en particulier dans l’éducation, afin de contribuer à l’émergence de solutions intégrées et adaptées à l’enseignement.

    La coopération entre Intel et Lenovo illustre notamment l’intérêt de l’innovation au service de la pédagogie : par exemple, la technologie Intel Real Sense, intégrée dans les ordinateurs Lenovo hybride et deux-en-un offre de nouvelles possibilités pour expliquer, démontrer en 3D et capter l’intérêt des élèves.

    Lenovo accueillera également LEGO Education avec des solutions innovantes basées sur une implication active des élèves, Soti, LANDesk, Leba Innovation, Script&Go…

    Durant ces 3 jours de nombreux ateliers de démonstration ont été mis en place :

    • Lego Education a proposé des démonstrations de son produit phare, WeDo 2.0, pour apprendre les principes de fonctionnement de la mécanique.
    • LEBA Innovation a présenté ses solutions de stockage et de rangement.
    • LANDesk a montré ses solutions de gestion de parc hétérogène
    • La fililale de Lenovo, Stone-Ware, a proposé son logiciel, LanSchool, qui permet à l’enseignant de prendre le contrôle de différents types de systèmes dans une classe pour collaborer, communiquer et surveiller. Désormais les ordinateurs Lenovo vendus dans l’Education sont livrés avec une licence LanSchool gratuite.
    • Script&Go a proposé un logiciel IntuiScript qui permet aux tous petits d’apprendre de façon ludique et efficace à tracer les lettres et écrire, un projet soutenu par l’académie de Rennes et la Région Bretagne.
    • Avec Soti et Mobicontrol vous avez découvert comment contrôler, gérer et sécuriser vos tablettes.

     

     

  • L’après-colloque « Pédagogies, neurosciences et numérique », de la suite dans les idées!

    L’après-colloque « Pédagogies, neurosciences et numérique », de la suite dans les idées!

    [callout]À cette occasion, le premier Prix de l’i-novation pédagogique 2015 a été remis. Devant le succès rencontré et pour continuer à contribuer au renouvellement des approches pédagogiques à l’égard des jeunes en difficultés scolaires, Apprendre et Réussir prolonge l’exercice : travaux inter-colloques, ouverture des candidatures pour le Prix de l’i-novation 2016, en attendant l’organisation d’un nouveau colloque au printemps 2017.[/callout]

    Un colloque réussi !

    Le colloque a mis en exergue devant plus de 150 participants les voies pédagogiques ouvertes par les avancées des sciences cognitives et par les perspectives du numérique.

    La matinée animée par Françoise Laborde était consacrée aux apports conceptuels. En dressant, lucidement et sans langue de bois, le diagnostic de notre système éducatif, les intervenants ont montré qu’aujourd’hui les outils existent pour prévenir le décrochage et réduire la fracture scolaire.

    Rappelons que chaque année, ce sont près de 150 000 jeunes qui décrochent du système scolaire en France.

    L’historien Fabrice d’Almeida a ouvert l’après-midi en animant une table ronde sur des thèmes sensibles comme les modes d’apprentissage, la notation ou la sélection, éclairés par les neurosciences et le numérique.

    Ensuite, six ateliers opérationnels ont permis des échanges constructifs et intenses entre participants et animateurs.

    Un prix de l’i-novation pédagogique

    A l’occasion du colloque, le « Prix de l’i-novation pédagogique », doté de 10 000 € a été décerné à Pierre Sabin président de « Abeilles Multimédia » pour son projet « Salvum », logiciel multi-supports de formation au secourisme, en particulier la partie théorique du diplôme PSC1. Nous en avions parlé dans ludomag : un-serious-game-pour-former-les-jeunes-generations-au-secourisme

    Le « coup de cœur du jury », doté de 5 000 €, a été attribué à Eric Hitier pour son projet « Azay augmenté » consistant à construire, avec ses élèves de CM1-CM2, des ressources numériques prodiguant une visite augmentée au visiteur du château d’Azay-le-Rideau.

    La vocation de ce prix est de valoriser les initiatives prises sur le terrain en matière d’innovation pédagogique. Le jury était présidé par Stéphanie Osmont, déléguée générale de « L’Envol, le campus de La Banque Postale ». Pour concourir, les projets présentés devaient être innovants, digitaux et transposables.

    Les prix ont été remis par Bruno Mettling, Directeur général adjoint du Groupe Orange et auteur d’un rapport, rendu en septembre 2015 à la Ministre du Travail et portant sur « Transformation numérique et vie au travail ».

    Apprendre & Réussir organisera, à l’automne prochain, le 2ème Prix de l’i-novation pédagogique.

    Des travaux inter-colloques… en attendant 2017 !

    Démarche originale, le fonds « Apprendre & Réussir » propose aux congressistes qui le souhaitent de poursuivre la réflexion, dans une approche opérationnelle centrée sur la classe et les défis que doit relever l’enseignant.

    Deux thèmes ont été retenus après échanges avec les participants au colloque du 26 novembre :

    • un atelier « Sciences cognitives et parcours différenciés » : comment adapter, concrètement, les enseignements à tous les élèves grâce à la différenciation pédagogique que facilitent les neurosciences ?
    • un atelier « Des outils pédagogiques aux pédagogies numériques » : comment passer, dans une classe, de la simple utilisation d’outils numériques à la mise en œuvre d’une vraie pédagogie numérique ?

    Afin de permettre la participation de personnes réparties sur tout le territoire, l’animation de ces groupes s’effectuera de façon numérique : blog spécifique, réseaux sociaux, web-conférences.

    Les conclusions et réalisations des ateliers seront présentées à l’occasion du prochain colloque qui aura lieu au printemps 2017.

    Plus d’infos :
    Retrouvez le colloque en vidéo ici.

    https://colloque-pedagogie-foyerdecachan.fr/ et http://www.foyercachan.asso.fr/

    Le fonds de dotation Apprendre & Réussir a pour vocation essentielle toute action d’intérêt général contribuant à soutenir la création, l’expérimentation et la diffusion de pédagogies et d’e-pédagogies innovantes pour aider les jeunes en difficultés scolaires à reprendre de processus d’apprentissage et à s’insérer dans la vie professionnelle.

    Il a été créé par Le Foyer de Cachan, association qui accueille, éduque, forme et insère des jeunes en difficultés    scolaires. Depuis 1915, il a permis à 40 000 jeunes d’atteindre « la réussite au bout du parcours ». Passé à l’ère du numérique, son lycée professionnel a expérimenté l’impact positif et dynamisant d’approches pédagogiques innovantes.

  • L’humain au défi du numérique, par Jacques-François Marchandise

    L’humain au défi du numérique, par Jacques-François Marchandise

    On a l’habitude de parler de numérique avec des grands mots comme “révolution“, par exemple ; moi, je n’utilise pas ces mots-là et je préfère souvent parler de transition.

    JF Marchandise pose la question des changements systémiques que provoque le numérique, « d’une transformation d’ensemble qui va changer le jeu d’acteurs ».

    Dans ce monde transformé par le numérique, JF Marchandise avoue n’être pas persuadé de la causalité numérique.

    « Je ne suis pas sûr que ce soit le numérique qui produise les transformations du travail, par exemple ».

    De la même manière, il est certain qu’à l’Ecole, les élèves n’apprennent pas comme avant, « mais le numérique outille des nouvelles façons d’apprendre ».

    Ce que constate JF Marchandise, c’est que le numérique n’agit pas toujours dans le même sens ; c’est pourquoi il déclare avoir un doute sur « le fait qu’il y ait des mutations numériques homogènes pour l’homme ».

    Un des défis de la Chaire est de trouver « sur quoi on a prise et sur quoi on peut agir pour définir les environnements de demain ».

    Le constat est fait que notre vision du numérique est très linéaire, que le numérique irait toujours dans un seul sens : « le sens du progrès et du toujours plus ».
    Il est possible que demain, l’Homme soit confronté à des grandes crises, politiques, économiques ou sociales liées au numérique et il faut s’y préparer en explorant d’autres chemins.

    Sur le sujet des grands acteurs américains du numérique, JF Marchandise est réservé pour dire que ce sont eux qui vont gouverner le monde.

    Aujourd’hui, ce ne sont pas les plus grandes armées qui remportent les plus grandes victoires, souligne t-il.

    Par rapport au pouvoir de la machine sur l’homme, la question qui se pose est celle de la réversibilité. JF Marchandise donne l’exemple de Google Map : aujourd’hui, j’utilise Google pour trouver mon chemin mais « serais-je capable de trouver mon chemin en demandant aux gens dans la rue et en regardant les panneaux » ?

    Il est donc indispensable que nous soyons capables de maîtriser nos propres outils, « parfois même d’ouvrir le capot » pour éviter ce qu’appellerait Bernard Stiegler « la prolétarisation » et subir la gouvernance des systèmes et plutôt faire en sorte qu’ils nous aident à gouverner.

    Notre part de liberté, elle s’exerce dans le fait de ne pas prendre le chemin le plus court que nous indique la machine.

    « La bonne nouvelle, c’est que le numérique n’est pas impeccable ; il tombe en panne, il est imparfait ».
    En d’autres mots, le numérique a besoin de l’intervention humaine.

    Enfin, sur le phénomène de : « il faut rattraper le retard » avec toujours une course en avant ; ce phénomène est, d’après lui, entrain de se calmer. Toute personne peut aujourd’hui se poser des questions car elle a un meilleur accès à la complexité du monde.

    « Il y a un début de “conversation“ » et c’est aussi un enjeu de la Chaire « est ce qu’on arrive à élaborer un peu plus profondément que d’habitude mais à restituer cela d’une façon prenable par tout un chacun », conclut-il.

    A propos de la Chaire numérique de recherche du collège des Bernardins

    Elle est consacrée pour la période 2015-2017 à une réflexion partagée associant des chercheurs des praticiens du Numérique d’une part et des philosophes, anthropologues, théologiens, sociologues, économistes, d’autre part.
    Cette recherche cartographie les principaux éléments de la culture numérique et surtout les principaux impacts sur l’Homme et la société et élabore un cadre de pensée qui permet de concevoir le développement des technologies numériques comme un progrès pour l’Homme et non comme un risque de négation de son humanité, un cadre permettant de faire naître un humanisme numérique.

    Plus d’infos sur la Chaire numérique

    http://www.collegedesbernardins.fr/fr/recherche/chaire-des-bernardins

    Plus d’infos sur la journée d’étude du 18 février 2016

    http://www.collegedesbernardins.fr/fr/evenements-culture/conferences-et-debats

     

  • Avec le formulaire de l’ENT Savoirs Numériques 5962, CPE, enseignants et élèves ont trouvé leur outil d’accompagnement pédagogique

    Avec le formulaire de l’ENT Savoirs Numériques 5962, CPE, enseignants et élèves ont trouvé leur outil d’accompagnement pédagogique

    Ludovic Poppe, professeur de SVT et référent pour l’ENT dans l’établissement sur les aspects pédagogiques, s’est plongé dès le début dans ce nouvel outil et a eu l’idée d’y investir ses élèves de 3ème « DP3 », option Découverte du monde Professionnel.

    Avec l’ENT, on va intégrer plus facilement les nouveaux élèves de 6ème.

    « Nous sommes partis de la problématique d’intégration des élèves de 6ème (…) et on a pensé que l’outil ENT était peut-être le plus adapté pour mettre en relations des élèves de 3ème et ces nouveaux 6ème », décrit Ludovic Poppe. Et il ajoute « Dans la découverte professionnelle, c’est aussi pour les élèves, un moyen d’apprendre à aller vers les autres, d’apprendre à communiquer ».

    Kosmos_ENTaccompagnement2_040316Encouragé par des élèves plutôt « moteur » dans sa classe de DP3, Ludovic Poppe a donc lancé la communication sous forme d’un sondage adressé aux élèves de 6ème via l’ENT.

    Le travail sur la construction du questionnaire s’est effectué par groupes ; les élèves ont d’abord couché sur le papier toutes leurs idées puis les questions à conserver ont été sélectionnées en classe ; enfin, le questionnaire a été mis en forme sur l’ENT par Ludovic Poppe via l’outil formulaire.

    « Nous avons retenu une dizaine de questions et avons préféré un questionnaire en mode anonymisé (…) ; ce qui laisse la liberté aux élèves de 6ème , de répondre sans à priori car on ne sait pas qui a répondu quoi, ce qui nous permet, nous enseignants, d’avoir des réponses plus fiables et plus de ressenti de la part des élèves », souligne Ludovic Poppe.

    Certains élèves de 6ème ont répondu à la maison ; d’autres l’ont fait sur leur temps libre au collège ou encore, sur une activité classe comme c’est le cas pour la 6ème option numérique où le professeur principal a organisé une séance de cours dédiée à compléter le questionnaire.

    Sur le premier trimestre, les élèves de 3ème ont comptabilisé 80% de réponses au questionnaire.

    Ce bon taux de réponses pourrait ainsi être attribué à la mise en place du caractère anonyme, inhibant toute forme de timidité.

    Mise en lumière des élèves en difficultés scolaires dès la 6ème grâce au questionnaire distribué via l’ENT.

    Kosmos_ENTaccompagnement_040316

    Les résultats ont permis d’identifier certains élèves, qui ont avoué eux-mêmes se sentir en difficultés dès le premier trimestre ou d’autres dont le nom a été dévoilé via le questionnaire par leurs camarades, « plus pour leur apporter leur aide et non pour les stigmatiser », souligne Ludovic Poppe.

    A la suite de ces mises en lumière, des actions immédiates ont été mises en place comme l’aide aux devoirs pour ces élèves comme l’explique Benjamin, élève en 3ème DP3 : « à côté du collège, il y a des aides aux devoirs donc nous avons pu inviter certains élèves de 6ème à y aller pour se faire aider ».

    Apprentissage de l’ENT de manière pratique pour les uns, travaux pédagogiques pour les autres.

    Au-delà de l’aspect d’intégration des nouveaux élèves du collège, cette méthode a permis également de « former » les élèves de 6ème à l’ENT et de faire travailler les élèves de 3ème à la synthèse et à la restitution des réponses à destination des professeurs principaux des classes de 6ème.

    Avec ce questionnaire, tous les élèves de 6ème sont concernés par la manipulation de l’outil ENT, ce qui leur permet un apprentissage par la pratique.

    Repérer les élèves qui peuvent, dès la 6ème, être en situation d’échec scolaire : là était aussi l’enjeu de la mise en place du projet questionnaire de Ludovic Poppe.

    Pour Virginie Delbaere, responsable du projet classes numériques dans le collège, l’ENT est aussi arrivé à point nommé.

    A la rentrée de septembre, sa classe de 6ème numérique comptait 20 garçons sur 28 élèves. Avec sa collègue CPE, Fatima Berkani et sa collègue d’EPS, Mme Navez, elles ont tout de suite senti des situations conflictuelles à l’intérieur de la classe.

    Communiquer pour désamorcer des conflits : avec l’ENT, la communication est facilitée et plus ouverte.

    « Certains élèves avaient des contentieux qui dataient de l’école primaire et il y avait également des contentieux entre certaines familles », explique Virginie Delbaere.

    Kosmos_ENTaccompagnement3_040316Elles ont donc décidé de désamorcer les conflits en travaillant sur une charte du « vivre ensemble ».

    « A partir du moment où la notion de vivre ensemble était partiellement intégrée, nous avons diffusé un questionnaire sur l’ENT avec deux questions seulement mais avec des mots soigneusement choisis car nous voulions encourager des réponses ouvertes », poursuit Virginie Delbaere.

    A la différence de l’expérience de Ludovic Poppe, ce questionnaire n’était pas du tout anonyme et « les élèves savaient qu’on récupérerait les réponses et qu’on aurait leur identité ».
    D’après Fatima Berkani, le caractère non anonyme n’a pas été un souci et « pour un élève en particulier, il est ressorti qu’il y avait une souffrance et un mal-être et ça je pense qu’il avait envie qu’on le sache ».

    Les premiers élèves à répondre ont été ceux qui posaient le plus de difficultés et le contenu des réponses s’est avéré très inquiétant « avec des propos comme “je ressens de la haine“, “j’ai envie de me venger“ » etc.

    Après avoir analysé les réponses et convoqué parents et élèves concernés, les enseignantes et éducatrices ont mis en place des dispositifs et « depuis, ça va beaucoup mieux ».

    L’utilisation de l’ENT pour cette démarche a été considérablement appréciée par les enseignantes du fait du gain de temps mais aussi par le fait que de passer par l’ENT « facilite la prise de parole des élèves ; ils parlent en totale liberté et il n’y a pas le jugement de l’adulte ni le jugement de la classe », souligne Virginie Delbaere.

    Les élèves ont vraiment joué le jeu et ont répondu de manière très libre, ajoute Fatima Berkani.

    Globalement, Virginie Delbaere note que cette forme de distance posée par le numérique entre l’enseignant et l’élève va désinhiber certains élèves plutôt discrets en classe. Sur l’ENT, « ils s’expriment beaucoup plus facilement sur ce qu’ils pensent » ; une idée qui rejoint l’expérience de Ludovic Poppe dans laquelle les élèves de 6ème semblaient aussi plus à même de s’exprimer sur l’ENT.

    Du point de vue de cette enseignante, avec l’ENT, tout est plus limpide et il n’y a pas de malentendus possibles car un simple conflit peut être géré rapidement via l’ENT par des échanges avec les parents. Elle est convaincue que l’ENT est un outil qui permet de maintenir un lien entre les enseignants, les élèves et les familles.

    L’ENT, un excellent outil de communication au quotidien pour les familles, tout simplement.

    Christine Leclerc, maman de quatre enfants et maman d’une élève de 3ème, constate l’évolution extrêmement favorable apportée par l’ENT.

    « En tant que parents, c’est surtout très intéressant pour consulter la vie du collège car le contenu est très riche ».

    Pour cette maman, pouvoir consulter des photos du voyage scolaire en direct, cela n’a pas de prix.

    Ce n’est pas du tout un moyen de « fliquer » sa fille mais elle peut vérifier les notes ou le travail à faire ou encore tout simplement communiquer avec l’administration de manière fluide et rapide.

    Des arguments dont le Conseil Départemental du Nord a bien conscience puisqu’il investit chaque année pour fournir un bon outil ENT à ses collégiens, comme le précise Mme Joëlle Cottenye, 2ème Vice-Présidente en charge de l’éducation et des collèges : « nous tendons davantage à ouvrir les établissements vers les familles et c’est un moyen tout à fait adapté pour faire en sorte que les informations soient transmises le plus rapidement possible vers les familles ».

    En termes d’amélioration, car il y en a toujours à apporter, Christine Leclerc serait très intéressée par le nouveau projet envisagé : payer en ligne sur l’ENT, pour la cantine scolaire, par exemple, « et qu’il n’y ait plus de chèques qui se promènent dans les sacs et qui soient perdus », souligne t-elle.

    En moins de six mois, l’ENT Savoirs Numériques 5962 a su se faire une belle place au collège de Lesquin ; au vu des usages déjà en place, l’investissement est une réussite !

  • LUDOVIA : l’appel à intervenants pour les ateliers est ouvert !

    LUDOVIA : l’appel à intervenants pour les ateliers est ouvert !

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    Les critères de sélection sont « ouverts » et ne souhaitent pas enfermer les retours d’expériences proposés dans « l’innovation »  mais s’attacheront plutôt à envisager une dynamique de classe, un renouvellement pédagogique ou un entrainement/impact au niveau de l’établissement.

    Procédure de soumission

    Soumettre au minimum, une page écrite et rédigée au format numérique (.doc ou autre format texte) présentant votre atelier et retour d’expérience, en liaison avec le thème de l’année :

    «  Présence, attention et engagement en classe avec le numérique  ».

    Vous pouvez proposer plusieurs sujets d’ateliers (pour l’espace FabCamp ou l’espace ExplorCamp) sur les quatre sessions (ressources, mobilités, codes & espaces d’apprentissage).

    Décryptage du thème 2016

    L’attention, la présence et l’engagement sont au cœur des débats concernant les problématiques de création et d’usage des objets numériques. La multiplication des sollicitations proposées par le monde numérique, ses dispositifs (ordinateurs, tablettes, smartphones, objets connectés) et ses applications mettent à mal l’attention profonde requise par les anciens médias (livre, cinéma).

    A celle-ci se substitue une « hyper attention » faite de dissémination entre des tâches et flux d’information multiples. Cette nouvelle condition met en lumière une nouvelle forme de ressource, « l’économie de l’attention» et encourage à aller vers une « écologie de l’attention »

    L’enseignant dans sa pratique au quotidien est très directement confronté aux modifications des attitudes attentionnelles.
    Comment obtenir un engagement des apprenants dispersés par les sollicitations multiples du numérique ? Le numérique est-il utile pour provoquer l’attention et à quelles conditions ? Quelles sont les nouvelles formes de présence et d’attention en classe, dans un contexte d’écrans connectés (tablettes, dans le primaire et le secondaire, d’ordinateurs personnels et téléphones portables dans le secondaire et à l’université) ? Peut-on tirer un parti pédagogique de ces nouvelles formes de présence ?

    En ouvrant la réflexion à l’éducation informelle (animation péri-scolaire, de vacances et de loisirs), quelles modifications entrainent la présence accrue des dispositifs numériques portables (téléphones, tablettes, objets connectés) ? Comment cette présence peut-elle être prise en compte ? L’enseignant est aussi confronté à la mise en place d’applications numériques : ENT, MOOC… qui permettent un apprentissage en autonomie.

    D’autres outils permettent des usages sociaux, tels que Tweeter ou Skype utilisés en classe. Comment ces outils permettent-ils la focalisation de l’attention et la mobilisation des apprenants ?

    Dans votre présentation il s’agira de mettre en lumière toutes formes d’usages mettant en avant des résultats ou des observations en classe sur ces sujets ; la prise en compte de ces contraintes nouvelles et comment vous parvenez à les gérer au mieux, quelles astuces, quelles attitudes pédagogiques vous permettent d’arriver à ces résultats.
    Les usages « détournés » ou « conventionnels » ont tout autant d’intérêt et nous souhaitons, via ces ateliers, afficher toute la diversité créative des enseignants et des élèves, de tout horizon et de tout niveau.

    [callout]Format du texte de soumission

    Titre du sujet : 140 caractères maximum
    Niveau scolaire concerné : Premier degré / second degré / enseignement supérieur (Non exclusif)
    Mots clés : 3 mots clés minimum / 10 maximum
    Problématique pédagogique : 10 lignes
    Apport du numérique ou présentation de la techno utilisée : 10 lignes au minimum
    Relation avec le thème de l’édition : 5 lignes
    Synthèse et apport du retour d’usage en classe : 10 lignes au minimum.[/callout]

    Si vous êtes sélectionné, ce texte sera mis en ligne sous forme d’article sur le média ludomag.com, afin que les futurs participants à l’université d’été puissent, avant événement, avoir un aperçu précis de tous les ateliers proposés et faire leur choix en amont. Une fois sur place, les participants à votre atelier auront donc déjà pris connaissance du sujet : une forme d’atelier « inversé ».

    Animation en ligne sur le Forum-Ludovia

    Comme l’an dernier, votre atelier pourra avoir une vie en ligne avant, pendant et après Ludovia. Dès sélection et récupération des documents demandés, votre atelier pourrait être mis en ligne sur le site de Ludomag ou celui de l’Université d’été. Les participants pourront s’inscrire en ligne à votre atelier et entamer les échanges avant, pendant et après les 3 jours de l’Université d’été, ce qui vous permettra d’intéresser un maximum de public à votre sujet (sous réserve de la mise en place du Forum Ludovia#13).

    Indiquez dans quelle session du programme 2016 vous souhaitez présenter votre/vos ateliers

    SESSION I : RESSOURCES, JEUX & CONTENUS
    SESSION II : MOBILITÉS & PRATIQUES PÉDAGOGIQUES (Cadres, projets d’établissements, ..)
    SESSION III : CODES & CULTURE NUMÉRIQUE (éducation aux média, programmation, formation,..)
    SESSION IV : ESPACES d’APPRENTISSAGE (La Classe, l’ENT, les MOOC, les LMS, …)

    Documents à fournir ABSOLUMENT lors de la soumission

    – une photo de vous en format .jpg aux dimensions 800×400 pixels (LxH) environ,
    – un texte de présentation (Bio) de l’intervenant / compétence / qui il est / expérience, liens vers ses activités liées au numérique…
    – un visuel en format jpg (800 pix de large minimum) évoquant le sujet de l’atelier
    – adresse email, établissement d’origine, académie, coordonnées professionnelles
    – autorisation de droit à l’image ou non pour toute la durée de l’évènement LUDOVIA (voir ci-après)

    Exemple : Ces documents seront mis en ligne sur le site de l’Université d’été pour présenter les intervenants, voir la page 2015 pour avoir un aperçu de la mise en ligne.

    Date de soumission

    Dernier délai : 30 avril 2016 minuit.
    Attention, les sujets présentés sont sélectionnés au fur et à mesure de leur réception ; le nombre d’ateliers étant limités, nous vous invitons à envoyer votre sujet le plus tôt possible.

    ->La réception de chaque proposition donnera lieu à un accusé de réception par mail.

    ->La sélection sur les espaces (explorcamp ou fabcamp) se fera en fonction de la cohérence de votre proposition ; tout atelier de « création » nécessitant une durée plus longue et une mise en pratique des participants, sera favorisé sur le FabCamp.

    ->Attention, toute proposition ne répondant pas au cahier des charges, notamment qui ne sera pas en lien avec le thème de l’année et tout dossier incomplet seront refusés.

    Sélection : Dernières réponses données le 15 mai 2016

    Définition de l’ExplorCamp

    Les Explorcamps de Ludovia sont des séances d’ateliers tournants qui se déroulent en simultané. Chaque atelier dure une heure organisé sous la forme de 30 minutes de présentation et 30 minutes de discussion autour d’une quinzaine de participants. Chaque atelier peut être répété 2 fois lors d’une même session (selon la disponibilité). Il y a 8 ateliers en simultané sur chaque session d’ExplorCamp.

    Matériel et infrastructure fournie : 1 grand écran Plasma 16/9 pour visualisation avec connectiques HDMI ou VGA ; connexion internet Wifi fournie gratuitement pour tous les intervenants.

    Définition du FabCamp

    L’objectif de cet espace, qui se tiendra tout au long des trois jours, sera de construire une ressource, un contenu ou un outil sur chaque session ; échanger des astuces entre enseignants avec son matériel ; ou encore mettre en place des solutions peu onéreuses (liseuses « bricolées », ressources « maison »…). Chaque atelier FabCamp dure environ deux heures.

    Matériel et infrastructure fournie : 1 outil de vidéoprojection

    NB : Aucun ordinateur ou tablette n’est disponible sur les ateliers explorcamp ou fabcamp– Nous vous invitons à amener votre matériel et surtout, prévoir votre connectique et adaptateurs. (notamment adaptateurs et câbles VGA et HDMI)

    Captation vidéo et droits à l’image

    Il est possible que votre atelier soit sélectionné pour être filmé et retransmis en streaming vidéo lors des 3 jours de Ludovia ; ce qui explique que vous vous engagez, dès lors que votre atelier sera sélectionné, à nous autoriser à utiliser votre contenu et nous autoriser des droits à l’image. Si vous ne souhaitez pas être filmé, merci de le faire apparaître dans votre lettre de soumission.

    Plus d’infos :
    Envoi de votre dossier complet à 
    aurelie.ludovia@gmail.com

     Nota : Si vous êtes retenu
    Prise en charge des intervenants : les intervenants sélectionnés auront leur transport pris en charge (et réservé par nos soins) à partir de la gare SNCF ou routière, ou aéroport le plus proche de leur domicile (ou en voiture particulière selon des règles établies communiquées ultérieurement).
    La prise en charge de leur séjour sur place, durant toute la durée de l’évènement à savoir hébergement (en chambre non mixte « partagée ») et restauration, est intégrale.

  • Play’n’Code, le jeu vidéo pour apprendre à coder en s’amusant !

    Play’n’Code, le jeu vidéo pour apprendre à coder en s’amusant !

    [callout]Play’n’Code a notamment reçu le 3e prix, parmi plus de 100 projets, lors de la 10ème édition des Epitech Innovative Projects, organisée par l’école de l’innovation de l’expertise informatique, Epitech, membre du groupe IONIS.[/callout]

    Qu’est-ce que Play’n’Code ?

    EpitechPlaycode2_050316Play’n’Code, comme son nom l’indique, est un jeu sur PC qui permet aux enfants de 8 à 12 ans d’intégrer les notions du code en s’amusant.

    Le personnage principal, TTY, accompagne le joueur dans une série d’aventures qui, immergé dans un univers magique, traverse différents mondes et tente de résoudre des énigmes grâce aux astuces fournies dans les tutoriels et les mini-jeux.

    Techniques innovantes et créativité

    EpitechPlaycode_050316Pendant deux ans, les 10 membres de l’équipe Play’n’Code ont élaboré ce projet grâce à des techniques innovantes dont :

    . le moteur jeu Unity 3D qui a la particularité d’utiliser un éditeur de script compatible mono, UnityScript.

    On le considère comme un mélange de VRML et de QuickTime, il permet entre autre d’importer de nombreux formats 3D et diverses ressources qu’il optimise par l’utilisation de filtres.

    . Le ScriptCS et le C# comme langage.

    Des progrès mesurables en temps réel

    Apprendre à coder permet aux enfants de mieux comprendre l’univers numérique dans lequel ils évoluent.
    Avec Play’n’Code, il s’agit d’enseigner progressivement à l’enfant les bases de la programmation. De leur côté, les parents peuvent consulter à tout moment les progrès de leur enfant grâce à une application mobile.

    Le jeu vidéo en 3D est disponible sur PC, Mac, Linux et prochainement sur tablette.

    « Nous avons déjà fait tester notre jeu à de nombreux enfants et ils ont vraiment envie de poursuivre l’aventure Play’n’Code. Grâce à l’incubation à la Creative Valley, nous allons créer notre start-up et accélérer le développement de notre jeu pour continuer à divertir intelligemment les enfants », déclare Christelle Plissonneau, chef de projet de Play’n’Code.

    Plus d’informations :
    sur Facebook et http://eip.epitech.eu/2016/playncode
     

  • MAÎTRISER les Sciences Économiques et Sociales pour PRÉPARER le #Bac 2016

    MAÎTRISER les Sciences Économiques et Sociales pour PRÉPARER le #Bac 2016

    [callout]L’application permet de réviser en profondeur les contenus du programme de SES. Les méthodes propres à la discipline sont expliquées en détail à travers des exemples précis. Enfin, certaines fonctions permettent d’articuler les cours en classe avec la puissance didactique d’une application numérique.[/callout]

    Réviser en solo

    Ecoquizz_040316Les utilisateurs travaillent à leur rythme sur les différents chapitres de l’année et sur les aspects méthodologiques.
    Il est possible d’ajouter des commentaires à une Séquence de question/réponse et d’envoyer cette Séquence sur son courrier électronique en mode texte ou en version PDF. C’est une façon de construire des fiches de cours en fonction des besoins.

    Réviser de façon ludique

    EcoQuiz offre un mode duel qui permet à deux élèves de s’affronter sur une série de questions.
    Cette pratique de respiration pédagogique s’inscrit dans une démarche de« gamification » adaptée à ce public. Des titres humoristiques, une note sur 20, des Nobels et un classement récompenseront l’utilisateur de ses efforts.

    Le pont pédagogique

    EcoQuiz est connecté dans sa proposition pédagogique à un site Web cousin qui héberge, entre autres, un blog proposant tous les jeudis un billet sur les SES ou sur le monde du numérique et de l’éducation.

    La genèse de l’EcoQuiz

    Frédéric Hervieu est le créateur du contenu et de l’architecture pédagogiques. Il a enseigné les SES pendant vingt ans.

    Sur cette période, il a été formateur en Nouvelles Technologies pendant deux ans à l’IUFM de Vannes puis a exercé douze ans durant la fonction de professeur détaché auprès de l’AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger) à Pondichéry et à Casablanca, assumant le rôle de coordonnateur d’équipe.

    Aujourd’hui en disponibilité pour se consacrer à l’écriture de roman, Frédéric Hervieu retourne régulièrement à Pondichéry – lieu de naissance de l’EcoQuiz – pour de multiples raisons dont la construction ambitieuse d’une série d’applications pédagogiques qu’il sait devoir remplir des missions essentielles dans le nouveau monde (éducatif) qui est le nôtre.

    Impressions : quelques commentaires d’utilisateurs…

    « Je viens de parcourir l’application en long en large et en travers et je la trouve vraiment très bien. Une bonne ergonomie et un accès direct aux infos clés. En plus elle un beau design. Je recommande ! », JAZZZ34

    « C’est un moyen efficace et ludique de travailler en profondeur notre discipline en vue de préparer le Bac », Pascal Roynel, enseignant les SES au Lycée Descartes à Rabat.

    Détails pratiques

    Application téléchargeable gratuitement sur :

    https://itunes.apple.com/app/id1033162660
    https://play.google.com/store/apps/details?id=fr.ecoquiz.ecoquiz.
    Lien universel: http://onelink.to/t3uv7n

    Mise à disposition gratuite du chapitre 1. Chapitre 2 déblocable à condition de partager l’application sur Facebook. Les quinze autres chapitres et les fonctions de l’application sont déblocables grâce à un achat intégré de 1.99€.

    POUR LES TESTEURS : merci de nous communiquer par mail le nom d’utilisateur et votre adresse courriel (utilisée pour Ecoquiz) afin que nous vous rendions l’accès totalement libre.

    Pour plus d’informations :

    Site Web : http://ecoquiz.fr/

    Facebook: https://facebook.com/ecoquizapp

    Twitter: https://twitter.com/ecoquizapp

    Courriel: fredhervieu@ecoquiz.fr