Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Village du Code : une nouveauté Educatice 2016

    Village du Code : une nouveauté Educatice 2016

    La Direction du Numérique pour l’Education et le Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, ont pris l’initiative sur le dernier salon Educatice de novembre 2016, de mettre à l’honneur le code et la programmation sur un espace dédié : le Village du Code, robotique et programmation au service des apprentissages.

    C’est tout naturellement que s’est mis en place cet espace, dans la continuité d’un certain nombre d’actions du Ministère sur le développement de la pensée algorithmique, comme le rappelle Josselyn Bellicaud, chef de projet à la DNE au département du développement et de la diffusion des ressources.

    « Le Village du Code a pour mission première de présenter un ensemble d’acteurs soutenus par le biais, pour certains, des programmes d’investissements d’avenir ».

    Surtout, ce sont des projets qui ont développé un certain nombre de ressources « qui permettent d’appréhender la programmation dans les apprentissages selon différents contextes ».

    En effet, comme le souligne Josselyn Bellicaud, les écoles n’ont pas les mêmes niveaux d’équipement et il est donc nécessaire de prévoir des ensembles de ressources divers.

    Des enseignants et acteurs de terrain étaient également présents sur le Village du Code, comme par exemple, l’initiative des Rob’o d’Evian, présentée par Frédérique Lazarotto, conseillère pédagogique et Marie-Christine Cosson, maître formateur et référente numérique dans la circonscription d’Evian.

    Dans cette circonscription, 17 enseignants se sont engagés dans des activités et des séquences de programmation dans les classes et ce, une année avant leur entrée dans les programmes officiels.

    Ces précurseurs utilisent toute sorte de matériel de robotique et de logiciels mais particulièrement le robot Thymio, « car il a vraiment des qualités qui permettent de l’utiliser de la maternelle jusqu’au lycée », précise Marie-Christine Cosson.

    Cette dynamique a donné lieu notamment le 29 avril dernier à un grand événement au palais des festivités de la ville d’Evian, « dans lequel 450 élèves ont pu montrer ce qu’ils avaient vécu en classe », souligne Frérique Lazarotto.

    Une initiative qui commence à essaimer dans la circonscription d’Evian et au-delà…

    Plus d’infos :

    . Le projet Rob’o d’Evian de la circonscription d’Evian dans l’académie de Grenoble.
    . Le festival à Evian le 29 avril dernier : la vidéo
    . Voir aussi la vidéo « A l’école du code »
    . La chaîne Youtube Rob’O d’Evian.

    . Sur le sujet Thymio : Langage et robotique avec le robot Thymio en éducation prioritaire

     

     

  • Les ceintures de compétences 2.0, de la maternelle à la 6ème : osez changer de pédagogie !

    Les ceintures de compétences 2.0, de la maternelle à la 6ème : osez changer de pédagogie !

    Le collectif « ceintures de compétences 2.0″ ou c2c viennent de remporter un prix aux Trophées du numérique au colloque e-éducation organisé en novembre à l’ESENESR de Poitiers, le « Coup de cœur du public » pour sa vidéo de présentation. Mais que sont ces ceintures de compétences 2.0 ? Décryptage avec François Lamoureux, enseignant en CE1-CE2 et témoignage de mise en pratique avec Laetitia Vautrin, enseignante en Classe Préparatoire.

    « Nous n’inventons rien avec les ceintures de compétences qui existent depuis plusieurs années dans la pédagogie institutionnelle », tient à souligner François Lamoureux.

    Il fait allusion à Fernand Oury notamment, qui avait tenté d’instaurer cette nouvelle forme de pédagogie dans les écoles urbaines (et se rapprochant en cela de ce qu’il avait découvert en adhérant au mouvement Freinet, mis en place à l’époque, plutôt en milieu rural)*.

    Avec plusieurs collègues, François Lamoureux décide alors d’échanger sur ce modèle et de voir en quoi les outils numériques pourraient être utiles pour démocratiser « les pédagogies actives ».

    Au départ avec l’objectif de balayer du CE1 au CM2, les c2c vont aujourd’hui de la maternelle jusqu’à la 6ème, avec les étoiles de compétences en maternelle puis les niveaux de ceinture, sur le modèle du judo, du CP jusqu’en 6ème (ceinture rouge !).

    « Ça change beaucoup le regard que les élèves portent sur l’école ».

    L’enseignant devient un guide. « Je ne suis plus devant toi mais à côté de toi », explique François Lamoureux.

    Il explique également qu’il est nécessaire de rassurer les parents sur la méthode qui peut se trouver assez « déroutante » par rapport aux « classiques » ; « mais passé un temps d’adaptation et de pédagogie avec les familles, les retours sont super bons ».

    Laetitia Vautrin, membre du collectif de 30 enseignants, a, quant à elle, mis en pratique les c2c dans sa classe de CP. Comme les élèves sont encore non lecteurs, le dispositif a été adapté afin de remplacer les écrits par des logos.

    Par exemple, pour la compétence « je suis capable de lire les prénoms de la classe », « on va faire une manipulation autour de jeux.

    « Ce n’est pas une évaluation avec tous les élèves de la classe ; c’est l’élève qui me demande à un moment donné de pouvoir passer l’essai s’il se sent prêt ».

    Et tout ce dispositif se fait avec une plus-value du numérique, comme l’explique Laetitia Vautrin. « Mes élèves apprennent leur poésie en scannant un QR code qui les amène sur l’enregistrement de ma voix récitant la poésie et quand ils sont prêts, ils me demandent de la réciter ».

    L’élève placé au centre de ses apprentissages, autonome, qui prend des responsabilités tout étant encadré ; mais aussi l’élève qui devient un tuteur pour ses camarades… autant de points positifs détaillés dans la vidéo ci-dessus.

    Le collectif c2c ne se décrit pas comme des formateurs mais plutôt comme des passionnés par ce qu’ils ont mis en place et parce qu’ils découvrent tous les jours. Tout le dispositif est réalisé dans le respect des programmes de l’éducation nationale.

    « Nous sommes des enseignants de la base ; nous avons une expérience que nous souhaitons partager pour discuter et apprendre des autres » et pour conclure :

    « Nous souhaitons montrer qu’il y a des choses différentes de possible ».

    Plus d’infos :

    *en savoir plus sur Fernand Oury et la pédagogie institutionnelle sur le site de Philippe Meirieu, par exemple,

    Retrouvez tous les lauréats des Trophées numériques du colloque e-éducation à l’ESENESR ici.

    Et la vidéo qui leur a permis d’obtenir ce Trophée :

  • Ressources numériques : avec Myriaé, facilitez-vous la vie !

    Ressources numériques : avec Myriaé, facilitez-vous la vie !

    Le portail Myriaé, Ressources numériques pour l’Ecole, a été présenté sur le salon Educatec-Educatice vendredi 18 novembre 2016 par la Direction du Numérique pour l’Education et le réseau Canopé. Sa mise en ligne effective est prévu début décembre. A suivre prochainement sur ludomag.com !

    Ce projet est né avec la mise en place du plan numérique pour l’Ecole lancé par le Président de la République.

    Ce portail d’identification des ressources numériques pédagogiques a pour but d’associer l’ensemble des acteurs, éditeurs privés ou publics, institutions ou encore productions de ressources par les enseignants issues des académies (EDU’base) « pour avoir en un même lieu une capacité à identifier très vite les ressources dont on a besoin », explique Alain Thillay, responsable des ressources numériques pédagogiques à la DNE.

    L’idée est bien de simplifier la recherche de l’enseignant dans l’univers du web qui connaît aujourd’hui une multitude de ressources, pas toujours adaptées à l’éducation. Myriaé a été conçu pour faciliter cette recherche et dans un souci de qualité de l’indexation, comme le précise notamment Jean-Marc Merriaux :

    « Le critère de pertinence de la recherche réside dans la qualité de l’indexation ».

    Un travail d’accompagnement est réalisé auprès de tous les acteurs présents dans Myriaé, comme les éditeurs, par exemple, pour qu’ils puissent indexer au mieux leurs ressources suivant un certain nombre de référentiels ScoLOMFR.

    « (…)Avoir un même langage commun et d’avoir, pour les éditeurs une remontée de leurs ressources dans le portail Myriaé et pour les institutions et associations, la possibilité d’être découverts (…) », souligne Alain Thillay et il ajoute :

    « Car ce n’est pas du simple référencement ; ce n’est pas une simple utilisation de moteurs de recherche qui ne sont pas spécialisés en éducation ».

    C’est une plateforme offerte à tout le monde. « Mais, bien sûr, les enseignants auront des fonctionnalités spécifiques et supplémentaires », précise Jean-Marc Merriaux.

    La première est celle de pouvoir faire apparaître ses propres ressources produites en tant qu’enseignant via EDU’base. « C’est à dire tout ce qui est produit en académie et tout ce qui est qualifié en académie et qui permet cette immense richesse de plusieurs milliers de scénari qui existent et que l’on doit faire mieux connaître », explique Alain Thillay.

    Et une deuxième fonctionnalité propre à l’enseignant est celle de pouvoir échanger, partager, collaborer sur Myriaé via le réseau Viaéduc.
    « L’enjeu pour nous est de dire : nous n’allons pas recréer des fonctionnalités sociales pour chacune de ces plateformes. Au travers de Viaéduc, on arriverait donc à un point d’ancrage pour l’ensemble des ressources pour créer de nouveaux parcours usagers », détaille Jean-Marc Merriaux.

    Avec Myriaé, c’est donc aussi, la mise à disposition de deux canaux : l’un, « de remontées de scénari de terrain qui ont été qualifiés » et l’autre, avec des retours d’enseignants via le réseau Viaéduc et assurément « de la création de groupes de besoins entre enseignants ».

    « Nous misons aujourd’hui sur différentes manières de faire remonter la ressource enseignante et de la faire connaître davantage » ; car ce sont les enseignants qui la produisent et qui en ont besoin « pour mieux enseigner et permettre aux élèves de mieux apprendre », conclut Alain Thillay.

    Plus d’infos :
    sur Eduthèque et Edubase

    sur Viaéduc

  • 22 lauréats e-FRAN et après ?

    22 lauréats e-FRAN et après ?

    Jean-Marc Monteil était au micro de Ludomag sur le salon Educatec-Educatice pour évoquer avec nous, la « suite des évènements » avec les 22 lauréats de l’appel à projets e-FRAN.

    « L’objectif du programme e-FRAN est de voir si l’outil numérique peut être asservi à des fins de l’amélioration de l’enseignement et des apprentissages« , résume Jean-Marc Monteil sur la mission qui lui a été confiée.

    Pour cela, une sélection de candidats a été lancé le 12 octobre 2015 pour la première vague de l’appel à projets qui a enregistré 66 candidatures déposées sur le site de la Caisse des dépôts et consignations, opérateur de l’action « Innovation numérique pour l’excellence éducative ». Des projets qui ont fédéré plus de 650 partenaires (écoles ou établissements scolaires, laboratoires de recherche, universités et établissements d’enseignement supérieur, ESPE, Canopé, entreprises de la EdTech, associations, collectivités territoriales).

    Aujourd’hui, 22 projets ont été retenus et « ces projets associent naturellement le modne de la Recherche qui est au coeur du processus, le monde de l’éducation et le monde « industriel », celui des « starts-up«  ».

    Il y a une grande diversité de projets dont Jean-Marc Monteil tente de décrire les différentes caractéristiques dans la vidéo ci-contre.

    Il évoque bien sûr l’objectif final de cette mission qui est de dynamiser la Recherche mais surtout de faire travailler des chercheurs au bénéfice de l’ensemble de la communauté éducative.

    « C’est un appel à projets compétitif à vocation solidaire ».

    jmmonteil_efraneducatice2

    Plus d’infos :

    voir aussi les articles à ce sujet : Appel à projets e-FRAN : neuf projets sélectionnés lors de la première vague.
    et sur le site de la caisse des dépôts Espaces de Formation, de Recherche et d’Animation Numériques (e-FRAN) où vous trouverez la liste des 22 lauréats.

     Source Visuel : Copyright Caisse des Dépôts

  • Educatec-Educatice : Ludovia y était !

    Educatec-Educatice : Ludovia y était !

    L’équipe de l’Université d’été de LUDOVIA et du magazine ludomag.com était présente sur le salon Educatec-Educatice pendant trois jours riches en rencontres et en discussions.

    Mercredi 16 novembre a eu lieu la conférence de synthèse Ludovia#13 et l’annonce des perspectives pour 2017.

    Le thème de la 17ème édition LUDOVIA tournera autour de « Partages, échanges et contributions »…

    Des premiers échos recueillis sur le salon, ce thème semblerait susciter un certain engouement et « transporteraient » déjà quelques-uns d’entre vous à Ax-les-thermes…

    Alors Rendez-vous est donné du 22 au 25 août 2017 dans l’Ariège sur le site mythique du « Learning village d’Ax » et de ses bains chauds naturels.

    photo_standequipeariegeLe Vice-Président en charge de l’éducation de la région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, partenaire de l’Université d’été, était présent vendredi pour participer à une conférence sur le salon et en a profité pour venir soutenir la « Team » Ludovia.

    Prochaines étapes dans la vie de ce Ludovia#14 : l’appel à communications scientifiques en décembre, le site web en janvier, l’appel à intervenants pour les divers ateliers en février et l’appel à intervenants auprès des collectivités locales pour le 9ème séminaire collectivités locales « Etablissement du XXIème siècle & numérique ».

    Toutes les interviews réalisées sur le salon par ludomag.com seront à suivre sur notre chaîne Youtube et sur ludomag.com dans les semaines à venir.

  • La Twictée et ses effets

    La Twictée et ses effets

    Dans le cadre de notre chronique sur Twictée, nous profitons d’une interview de Catherine Massicot, professeur des écoles et Christelle Prince, conseillère pédagogique au micro de ludomag interviewées par Christophe Batier pendant la dernière Université d’été de Ludovia, pour amener le sujet de la « Twictée et de ses effets ».

    Comme tout le monde le sait maintenant, la Twictée est la contraction entre Twitter et dictée. « C’est donc un grand défi orthographique entre plusieurs classes de la francophonie internationale« , comme aime à le souligner Christelle.

    Rappel : dans le dispositif Twictée, les élèves corrigent chaque erreur à l’aide d’une petite leçon orthographique qui s’appelle le « Twoutil« .

    Dans le cadre d’un mémoire de Master II qu’elles ont réalisé par validation des acquis, Christelle et Catherine ont tenté de savoir si les effets positifs constatés par les enseignants qui pratiquent la Twictée sur leurs élèves étaient réels ou non.

    Détails sur la méthodologie de ces « apprenties chercheuses » comme elles se nomment, et conclusions en visionnant la vidéo ci-contre.

     

    Et toujours plus d’infos sur : www.twictee.org

     

    Crédit Dessin à la une : équipe Twictée lors de l’université d’été Ludovia#12

     

  • Favoriser la compétence orale et l’échange interculturel grâce aux tablettes

    Favoriser la compétence orale et l’échange interculturel grâce aux tablettes

    Stéphanie Woessner est enseignante en langues et notamment en FLE en Allemagne. Elle est venue partager son expérience d’usages de tablettes en classe au micro de ludomag, interviewée par Christophe Batier lors de la 13ème édition de l’Université d’été.

    Elle met ses élèves en situation de mobilité dans la classe ou même à l’extérieur dans la cour de l’établissement par exemple ; c’est sur quoi elle trouve un énorme intérêt aux tablettes par rapport à des ordinateurs classiques.

    Stéphanie essaie beaucoup d’applis et beaucoup de nouveautés et c’est comme cela qu’elle se crée plusieurs expériences qu’elle se plaît à partager sur son blog ou via les réseaux sociaux.

    « Le partage m’a appris tout ce que je sais« , souligne t-elle.

    Plus d’infos :

    Sur le blog de Stéphanie www.petiteprof79.eu

    Source image : blog de Stéphanie

  • Mise en route d’un projet numérique dans votre discipline : les outils de base

    Mise en route d’un projet numérique dans votre discipline : les outils de base

    David Claude, enseignant en éducation musicale et chant choral, utilise de plus en plus le numérique dans son enseignement. Avec ses nouvelles pratiques, il a choisi de réfléchir à « irriguer » au-delà de sa discipline notamment au sein même de son collège en environnement rural à Airvault près de Partenay, dans l’académie de Poitiers.

    Ce qui est important, c’est de toujours raccrocher à des utilisations contextualisées.

    Dans l’établissement rural où il enseigne, il y a très peu d’équipements numériques. Il a donc commencé son expérience numérique  en utilisant les Smartphones des élèves mais s’est très vite rendu compte des problématiques que cela engendrait.

    Après avoir interrogé le CARDIE sur cette pratique, il a donc monté un projet et est parvenu à mettre en place un TraAM sur l’utilisation raisonné du numérique en classe et du BYOD.

    Dès la rentrée, tous les élèves de son établissement ont pu sortir leur Smartphone pour l’utiliser à des fins pédagogiques en classe en respectant une charte d’utilisation. Bref, un moyen astucieux et légal de déroger au code de l’éducation et de pallier au manque de matériel dans son établissement.

    Dans trois ans, David Claude et son chef d’établissement devront faire un bilan de cette expérience.

    Si vous souhaitez vous aussi commencer à utiliser le BYOD dans votre enseignement, n’hésitez pas à contacter David via Twitter : @davidlemusico79.

     

     

  • Le réseau social Facebook, un outil pour travailler avec ses élèves ?

    Le réseau social Facebook, un outil pour travailler avec ses élèves ?

    Christine Childs, enseignante en allemand et en économie au collège et lycée St Joseph de Lectoure dans le Gers, a choisi d’utiliser le réseau social Facebook dans son cours de PFEG pour les classes de seconde.

    Elle nous a présenté son expérience lors de l’Université d’été de Ludovia, 13ème édition.

    Dans cet enseignement d’exploration, elle a proposé à ses élèves de créer une association nommée « les entrepreneurs de St Joseph » dans le but de créer une entreprise pour les élèves, de A à Z jusqu’à la vente du produit.

    Ce projet a été mis en place également avec l’aide du programme « Esprit d’entreprendre-Schola Ingeniosa » de l’académie de Toulouse.

    En quoi le numérique intervient-il dans ce projet ?

    N’ayant qu’une heure et demi de cours dans cet enseignement par semaine, Christine Childs a décidé d’emprunter un outil dont les jeunes sont très familiers, à savoir Facebook et également le réseau Instagram. Ils ont été utilisés pour faire la promotion des produits, échanger sur leurs actions via Messenger, etc.

    « Le fait de sortir des murs de la classe, nous a permis d’avoir plus de temps que les traditionnelles heures de cours, pour finaliser ce projet« .

    Christine a endossé le rôle de modérateur. « Il y a bien eu des petits débordements et j’ai du faire le gendarme quelque fois« .

    Certains élèves avaient des comptes Facebook et d’autres non ; Christine souligne qu’elle n’a pas incité les jeunes à en créer un. Les retours sur l’expérience de la création d’entreprise ont été vraiment positifs. Elle avoue par contre que si c’était à refaire, elle prendrait la précaution d’en parler aux parents avant de se lancer.

    Plus d’infos :
    Schola Ingeniosa est un dispositif académique créé en 2010, dont l’objectif vise à développer l’esprit d’entreprendre chez les lycéens et lycéennes de l’Académie de Toulouse.

    La page Facebook « Rainbow Tees » créée par les élèves.