Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Elèves et numérique:comment canaliser les comportements « zappeurs »?

    Elèves et numérique:comment canaliser les comportements « zappeurs »?

    CabrilogArt5_1_2201114Réflexes très répandus quand les élèves ont la main et le contrôle sur la souris ou la tablette : le zapping, cette tendance à cliquer partout « pour essayer » avant de réfléchir.

    Inciter l’action réfléchie de l’élève

    Ces stratégies essai-erreur sont particulièrement présentes avec des ressources numériques basées sur de simples QCM (questions à choix multiple) ou sur des successions d’écrans graphiques dans lesquelles l’élève doit juste cliquer sur des boutons pour répondre à des questions et passer au stade suivant.

    La plupart des éditeurs de ressources sont conscients de ce problème pédagogique, et cherchent à freiner ce zapping au profit d’une démarche plus réfléchie de l’élève. C’est plus ou moins facile à réaliser, en fonction du moteur 2D/3D utilisé, du temps consacré au développement des activités et à la finesse des rétroactions créées pour l’élève.

    Un moteur interactif dédié

    En mathématiques, le tout dernier moteur Cabri LM a été conçu pour permettre à des auteurs pédagogues de réaliser eux-mêmes des contenus pleinement interactifs 2D ou 3D d’exploration, d’entrainement et d’évaluation couvrant tout le programme de mathématiques des 1er et 2nd degrés (numérique, géométrie).

    Depuis 2009, plusieurs équipes d’auteurs (France, Belgique, Suisse, Corée, Etats-Unis, Canada, Argentine, Colombie…) se sont approprié ce puissant outil qui ne cesse d’évoluer pour créer des bouquets de contenus avec lesquels l’élève doit toujours être dans l’action réfléchie : il manipule, construit, mesure, conjecture, résout des problèmes.

    CabrilogArt5_2_2201114L’une des illustrations initiales les plus marquantes de Cabri LM est la collection 1 2 3… Cabri, je fais des maths : cahiers d’activités interactifs couvrant les notions clés de mathématiques du primaire du CP au CM2.

     

     

     

     

     

    Forte de son succès dans le cadre du plan ENR (Ecole Numérique Rurale) puis du plan DUNE (Développement des Usages du Numérique Educatif), cette collection a suscité de nombreux de témoignages particulièrement positifs. Le plus récurrent : « les activités font réfléchir l’élève avant de cliquer, elles le mettent en permanence en situation active de manipulation ».

    Retour d’expérience dans un collège

    Vendredi 20 décembre 2013 dans un collège isérois, à la veille des congés de Noël.

    Journée avec des élèves de 6e et 5e consacrée à l’expérimentation- de la nouvelle solution numérique Cabri Factory
    – Les maths sur mesure
    , basée également sur le moteur interactif Cabri LM.

    CabrilogArt5_3_2201114Cette riche solution numérique est une innovation majeure. Elle propose un continuum allant de contenus prêts à l’emploi, largement paramétrables et adaptables aux besoins de la classe, des générateurs express de nouvelles activités incluant les mécaniques de suivi du travail de l’élève, jusqu’à des ateliers numériques et géométriques 2D/3D permettant des activités très ouvertes en classe comme à la maison.

    Pour l’enseignant, Cabri Factory apporte une réelle garantie de qualité pédagogique et un précieux gain de temps, aussi bien dans la phase de préparation que celle de la correction des devoirs. Riches paramétrages des activités et des générateurs proposés, création en une minute de vidéos d’aide dynamiques, mécaniques prêtes à l’emploi de suivi du travail de l’élève…

    Qu’en est-il pour l’élève ?

    Tout est fait pour qu’il reste actif et motivé et que son parcours avec le numérique lui apporte un enrichissement solide et durable : cycle de 3 essais, clips d’aide formative, solution dynamique à réinvestir, score motivant… Voici quelques retours spontanés recueillis en fin de séance.

    CabrilogArt5_4_2201114

    Fig.3 – Deux élèves face à la question : le patron est-il celui d’une boîte ? Ils ne pourront plier qu’après avoir répondu.

    Impressions par rapport aux logiciels déjà utilisés

    « C’est  différent des autres. Si on se trompe, on a une aide où aller pour s’aider qu’on n’a pas forcément ailleurs. » « On a plus envie d’y aller. » «  C’est joli. » « C’est fluide, très fluide. »

    Les énoncés et les messages

    Les observations convergent sur la précipitation des élèves à vouloir cliquer, utiliser des outils sans avoir lu l’énoncé. Il y a des énoncés à lire dans Cabri Factory car la compétence à lire un texte complètement sans « zapper » doit être développée au collège. Des élèves dépités d’avoir eu un mauvais score par lecture trop rapide recommencent pour avoir un meilleur score.

    « Il faut lire des textes » reproche un élève mais un autre rétorque : « C’est précis, il faut bien lire les messages et tout va bien. »

    Le passage du 2D au 3D et les manipulations en 3D

    «  Nickel le 3D. » «  Bien les figures 2D et 3D à la fois » « C’est amusant  de faire tout tourner. » « C’est mieux en 3D. On peut tourner pour voir la figure que l’on a créée. »

    Le score et le nombre d’essais : une motivation à se concentrer

    « Le score permet de savoir la différence par rapport à si on a tout juste et de savoir là où l’on est. »
    « Ça donne envie de s’améliorer. »
    « D’accord qu’une réponse fausse enlève une vie mais ça serait bien qu’une réponse juste redonne une vie
    « Quand j’ai compris ce que je devais faire, j’avais déjà perdu toutes mes vies. Si on prend le temps de bien réfléchir au début sans faire des essais au hasard, on n’a pas gâché ses chances.»

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    Ce dernier commentaire est très intéressant sur le caractère incitatif de la ressource numérique motivant l’élève pour bien lire l’énoncé et ne pas se lancer tête baissée en cliquant partout. L’élève a droit à trois essais, il considère qu’il s’agit de trois vies, comme dans un jeu vidéo. Et bien sûr il veut garder ses vies pour obtenir un score le plus élevé possible !

    CabrilogArt5_6_2201114Point important pour encourager l’élève : le score ne lui est donné qu’après qu’il ait reproduit lui-même la solution (avec des données d’énoncé différentes).

    Il peut ainsi rehausser son score à plus de 50%, même s’il avait eu des difficultés de compréhension en début d’activité, qui l’avait obligé à faire appel à l’aide puis à la solution dynamique.

     

     

     

    Plus d’infos :
    Découvrez Cabri Factory en vidéo sur www.cabrifactory.com
    A télécharger : la fiche produit, la table des matières, les tarifs promotionnels et prochainement des échantillons d’évaluation.
    La collection « 1 2 3… Cabri, je fais des maths », www.cabri.com/123cabri

    A propos de Cabrilog :
    Cabrilog est une PME grenobloise essaimée en l’an 2000 d’un laboratoire de recherche de l’Université Joseph Fourier et du CNRS. Elle conçoit, développe et commercialise des logiciels interactifs et ressources numériques de haute qualité didactique et pleinement interactifs en 2D et 3D pour l’apprentissage des mathématiques du CP à la Terminale. Ses logiciels font référence depuis 1987 dans les communautés éducatives, ils sont traduits en plus de 20 langues et diffusés chaque année dans plus de 50 pays.

  • Pour les collégiens : une appli gratuite « so fun » pour progresser en anglais

    Pour les collégiens : une appli gratuite « so fun » pour progresser en anglais

    App_anglaisaucollege_210114Avec 3 niveaux et près de 30 thèmes différents (« au restaurant », « shopping », l’histoire américaine, comparer, se présenter…), l’élève apprend de façon ludique et amusante, notamment grâce aux expressions sonores typiquement « british » !

    Le Plus : Un test officiel d’évaluation pour connaître son réel niveau d’anglais.

    Plus d’infos : sur www.nomadeducation.fr
    Editée par Nomad Education, en partenariat avec EF Séjours linguistiques

  • 2014 : dix bougies en 3D !

    2014 : dix bougies en 3D !

    Cabrilog1_210114

    Evolution ou révolution ?

    C’est lors de la conférence mondiale Cabriworld à Rome, réunissant plus de 1600 enseignants, chercheurs en didactique et science de l’éducation, inspecteurs, éditeurs, venant de plus de 50 pays que ce fameux logiciel Cabri 3D a été lancé.

    A l’époque, étaient pourtant déjà disponibles sur le marché des logiciels de CAO et de dessin en 3D de qualité. Alors où était l’avancée ? Elle tenait en fait en trois termes, reflets d’une triple expertise des équipes de Cabrilog animées par la passion de rendre les mathématiques dans l’espace accessibles à tous :

    1. Manipulation directe : l’élève peut par exemple créer à la volée n’importe quel solide de l’espace, par exemple un cube, l’ouvrir simplement en saisissant une face, tourner autour de la scène, comme s’il avait la boite devant lui, et même la sectionner. Plus besoin de passer vingt minutes à créer les coordonnées des points des sommets du cube, tout se fait de manière fluide en quelques secondes.

    2. Interface ergonomique ultra-intuitive orientée utilisateur : les experts parlent d’utilisabilité. Ce terme exprime bien toute la différence entre un logiciel qui nécessite un épais manuel d’utilisation, beaucoup de patience et de nombreux clics, et Cabri 3D immédiatement pris en main par les enseignants comme les élèves et permettant de faire des séances très riches aussi bien sur dix, vingt ou quarante minutes.

    3. Fiabilité du moteur de mathématiques dynamiques. Quand on déforme les figures, que l’on veut observer dans l’espace les équations d’une droite intersection de plans, le moteur reste fiable et sans surprise. C’est un facteur de confiance essentiel pour l’enseignant dans sa prise en main des TICE.

    Création d’un cube et de sa trisection en 3 pyramides de même volume.

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    Usage des outils géométriques, des outils Volume et Calculatrice de Cabri 3D. Niveau : à partir de la quatrième.

     

    Création d’un exercice de construction dans Cabri 3D de la hauteur d’un liquide dans un cylindre nécessitant l’usage de formules de volumes.

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    L’exercice permet de relier calculs et représentations géométriques et de les faire varier simultanément. Niveau : à partir de la cinquième.

    Cocorico !

    Cabri 3D est une technologie franco-française développée au sein de la société grenobloise Cabrilog par des chercheurs, ingénieurs et pédagogues à la triple expertise ci-dessus. Jean-Marie Laborde, l’un des pionniers des TICE en France, avait déjà apporté au niveau mondial le concept de géométrie dynamique avec le lancement de Cabri Géomètre en 1987.

    Cabrilog4_210114Cette deuxième révolution apportée en 2004 par Cabri 3D fait encore écho aujourd’hui. Au niveau mondial, plusieurs équipes de concepteurs logiciels dans le monde ont tenté de faire un outil similaire, y compris d’équipes russes et américaines qui étaient convaincues de pouvoir égaler et dépasser Cabri 3D. En vain, car c’est bien la combinaison des 3 critères ci-dessus qui apporte toute l’unicité de Cabri 3D et le plaisir qu’il procure à un enseignant et à un élève.

    De version en version jusqu’à la 2.5 actuelle, après sa consécration de meilleur logiciel du secondaire aux BETT Awards, Cabri 3D s’est dotée de fonctionnalités analytiques pour bien combiner les représentations géométriques et les expressions algébriques.

    Créer une droite ou un plan au moyen de leurs équations est certes intéressant ; cela devient carrément excitant quand on peut déplacer directement l’un des points ou l’un des coefficients des équations pour visualiser concrètement comment évoluent le système d’équations et sa représentation géométrique !

    Au service des pédagogies actives « kinesthésiques »

    Certes, avec Cabri 3D, les enseignants peuvent préparer des supports de cours en 2D et faire des démonstrations vidéo-projetées en 3D. C’est déjà énorme, simple et rapide.

    Mais c’est bien en faisant manipuler les élèves, en classe, en salle informatique ou à la maison, que le logiciel apporte toute sa dimension pédagogique. En manipulant, l’élève explore, conjecture, construit, déforme, mesure. Il acquiert ainsi une expérience sensorielle voire kinesthésique des maths. Il développe sa démarche d’investigation et ses capacités de raisonnement scientifique.

    Utilisé en chimie, physique, optique, mécanique, astronomie, architecture, l’outil apporte également des possibilités infinies de représentation et de modélisation du monde réel.

    Près de 3000 exemples concrets d’utilisation de Cabri 3D sur Youtube.

    Voici en vidéo des idées particulièrement efficaces d’activités interactives qui apportent un véritable enrichissement de la compréhension de l’élève, en complément aux manipulations physiques en papier-crayon.

    Le double escalier du château de Chambord (JJ Dahan, disponible sur Youtube)

    Construire et animer un manège en utilisant les propriétés mathématiques des objets. Les élèves croient jouer, ils font de la géométrie… (JJ Dahan, disponible sur Youtube)

    Bonnes résolutions en 3D pour 2014

    Les collèges et lycées qui ne l’ont pas encore adopté peuvent saisir ce 10ème anniversaire comme une opportunité ! Les licences proposées par Cabrilog débutent à 29 euros TTC par an pour un enseignant et 199 euros TTC pour tous les ordinateurs de l’établissement, y compris ceux personnels des enseignants.

    Réservez sur ce lien la version adaptée à vos besoins.

    NB : pour les déploiements collectifs au niveau d’une académie, d’un département ou d’une région, en complément ou non d’un ENT ou d’ordinateurs, Cabrilog offre non seulement des tarifs dégressifs particulièrement attractifs mais également un service d’accompagnement et de formation qui permet d’optimiser l’impact de l’investissement et de travailler dans la durée.

    A propos de Cabrilog
    Cabrilog est une PME grenobloise essaimée en l’an 2000 d’un laboratoire de recherche de l’Université Joseph Fourier et du CNRS. Elle conçoit, développe et commercialise des logiciels interactifs et ressources numériques de haute qualité didactique et pleinement interactifs en 2D et 3D pour l’apprentissage des mathématiques du CP à la Terminale. Ses logiciels font référence depuis 1987 dans les communautés éducatives, ils sont traduits en plus de 20 langues et diffusés chaque année dans plus de 50 pays.

  • Adieu Youtube et Dailymotion, place à Mediacad, la solution académique pour gérer vos médias

    Adieu Youtube et Dailymotion, place à Mediacad, la solution académique pour gérer vos médias

    L’idée de Mediacad (médiathèque académique) est venue du constat que les enseignants avaient certains besoins lorsqu’il s’agissait d’utiliser différentes sources médias à savoir, par exemple : comment mettre en ligne une vidéo, une photo ou une bande-son et comment les partager ? Et plus récemment, il est à souligner la naissance de nouveaux besoins en serveurs de livres numériques, utilisés sur les tablettes notamment.

    « Aujourd’hui, lorsqu’on est dans une salle de classe, on assiste souvent à la scène d’un enseignant un peu désemparé, qui prend une vidéo  sur youtube dont il ne sait pas réellement si il a le droit de l’utiliser et qu’il projette à l’aide d’un vidéoprojecteur ; dans ce cas de figure, il risque de se retrouver avec de la publicité plutôt encombrante », souligne Stéphane Carasco, chef de projet à la DSI du Rectorat de Bordeaux, lorsqu’il explique la genèse du projet.

    Médiacad est une application web qui permet l’envoi, l’encodage, le stockage, le partage et la diffusion (streaming, affichage et téléchargement) de médias (vidéos, sons, images et livres numériques) à visée pédagogique, de manière sécurisée.

    En réponse à des enseignants qui utiliseraient déjà le partage et l’indexation de vidéos sur la plateforme ilias de l’ENT ARGOS et qui ne verraient pas immédiatement l’intérêt de ce nouvel outil, Vincent Guédé, chargé de mission à la DSI du rectorat de Bordeaux et concepteur de Mediacad, met en avant certains « plus », comme par exemple, un partage possible du son et d’images et pas uniquement de vidéos et surtout, une application utilisable depuis tous types d’appareils : ordinateurs fixes ou portables, tablettes numériques, Smartphones, vidéoprojecteurs ou tableaux numériques interactifs.

    Enfin, Mediacad est massivement multi-établissements : elle permet le partage de médias à l’échelle de l’ensemble d’une académie.

    Dans le développement Mediacad, « il y a l’application, le stockage et l’encodage », précise Stéphane Carasco.

    Pour plus de renseignements :

    Médiacad est développée par la DSI du Rectorat de Bordeaux (plus particulièrement par Vincent Guédé) et le chef de projet est Stéphane Carasco (DSI rectorat de Bordeaux)
    ce.dsi@ac-bordeaux.fr

  • Signature d’un partenariat entre l’AC Nancy-Metz, les villes de Florange et Clouange et ITOP éducation

    Signature d’un partenariat entre l’AC Nancy-Metz, les villes de Florange et Clouange et ITOP éducation

    ITOP_signatureacnancy_210114Ce partenariat concrétise le début d’une phase d’expérimentation avec les écoles des villes de Florange et de Clouange, dont les équipes enseignantes se sont montrées particulièrement volontaires pour le projet.

    Cinq écoles pilotes seront alors équipées avec l’Environnement de Travail (ENT) NetEcole.

    Les ENT ont pour objet de fournir à tous les acteurs du système éducatif (élèves, enseignants, directeurs, parents, services de la ville, partenaires de proximité, …) un point d’accès unifié à un ensemble d’outils de communication, de contenus pédagogiques et de services numériques. La phase d’expérimentation est prévue jusqu’en juillet 2015.

    Les principaux enjeux de l’expérimentation sont :

    – la sensibilisation de toute la communauté éducative du territoire aux outils et services numériques,

    – le développement et l’usage de nouvelles pratiques pédagogiques

    – l’accès à différents contenus et ressources pédagogiques validés par l’Éducation nationale,

    – l’ouverture de l’école aux parents afin de permettre à ces derniers de s’impliquer davantage dans l’action éducative,

    – l’intégration dans le projet des partenaires locaux intervenant dans le domaine éducatif, en particulier les acteurs périscolaires et extra-scolaires,

    – la définition d’un modèle de gestion du projet et d’accompagnement des usagers.

  • 7ème édition pour Intertice 2014

    7ème édition pour Intertice 2014

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    Depuis plus de 8 ans, Intertice est un temps fort de réflexion et de bilan pour rendre compte de l’impact du numérique sur la transmission des savoirs et sur l’évolution de l’enseignement. Les acteurs de la communauté éducative y trouvent matière à s’informer et à échanger sur les usages pédagogiques du numérique grâce à des exemples concrets.

    Ateliers, animations et conférences sont autant d’occasions de se rencontrer et de partager sur les outils pédagogiques innovants. Cette année, la troisième journée sera dédiée à l’Éducation à la Sécurité Routière. Les 11 et 12 février, classes, groupes d’expérimentation pédagogique et partenaires vous présenteront les usages pédagogiques numériques d’aujourd’hui.

    Le centre du Salon sera dédié aux partenaires afin de proposer innovations, démonstrations et usages. Les partenaires institutionnels et les groupes d’expérimentation pédagogique, placés tout autour, offriront la mise en application pédagogique par des exemples concrets avec des classes.

    Intertice met ainsi l’accent sur les pratiques pédagogiques des enseignants avec leurs classes par des présentations en direct sur les stands.

    Pour la journée du 13 février, consacrée à l’Éducation à la Sécurité Routière, la majorité des stands sera réservée aux parcours ESR construits pour l’événement.
    Les espaces de conférences et les ateliers divers feront de cet Intertice 2014 une édition riche en contenus et propositions.

    Quelques chiffres :
    • 4 000 personnes sur trois jours en 2013
    • 7 salles de conférence
    • 5 salles de « classe partenaire »
    • 35 stands de parcours pédagogiques
    • 26 espaces partenaires

    Plus d’infoswww.intertice.fr

    A revoir, présentation d’Intertice 2013 en vidéo ici

  • Nouveau look pour Maskott.com !

    Nouveau look pour Maskott.com !

    Maskott_200114Maskott vous apporte une solution globale incluant l’ensemble des équipements multimédia nécessaires à votre projet : serveurs, ordinateurs individuels, tablettes numériques, classes mobiles, baladodiffusion, tableaux interactifs, infrastructures réseau, logiciels supports et logiciels pédagogiques …

    En cette rentrée 2014, Maskott revisite son site Internet, retrouvez :
    –        Tactice : l’offre tablettes numériques pour les écoles primaires Orange-Maskott  avec un bouquet de contenu en partenariat avec BrainPop, Edupad, MyBlee
    –        Tactileo : le projet APE2 (Appel à Projet E-Education du MEN) sur le tactile dans la classe, répondez à nos questionnaires ou devenez établissement testeur
    –        Edustart : l’offre tablettes et ordinateurs portables pour les Etudiants et les Enseignants Samsung-Maskott
    –        La classe immersive : développement de logiciels Maskott sur table tactile avec objets tangibles, sol interactif…
    –        Les offres matériels/logiciels Maskott : tablettes numériques, tableaux interactifs, tables tactiles, développement d’applications sur mesure…

    Et suivez l’actualité de Maskott sur les réseaux sociaux : Maskott_reseausociaux_200114
    www.linkedin.com, fr.viadeo.com, twitter.com, www.facebook.com

  • Et si le numérique entrait réellement à l’Ecole ?

    Et si le numérique entrait réellement à l’Ecole ?

    JFCerisier_EIDOS64_200114Après un quart de siècle et plus d’une douzaine de plans d’équipement des établissements scolaires, la place des technologies numériques à l’Ecole reste sujette à bien des controverses. Dans le même temps, ces technologies ont profondément et durablement transformé le comportement de tous.

    Elèves et enseignants ont modifié leur rapport à l’information, à l’espace, au temps et à autrui au point de remettre en cause la forme scolaire traditionnelle. Si la question des acteurs de l’Ecole portait il y a quelques années encore sur l’intérêt d’intégrer le numérique à l’Ecole, tous s’accordent aujourd’hui sur la nécessité d’imaginer et de construire l’Ecole de l’ère du numérique.

    Le numérique à l’Ecole, entre utopies et idéologies

    La sociologie des usages montre comment les usages s’inventent et s’organisent en fonction de représentations sociales et individuelles. Patrice Flichy a ainsi montré comment l’imaginaire technique des concepteurs d’internet s’est articulé avec celui des premiers utilisateurs pour élaborer un cadre d’usage grand public fondé sur des perspectives collaboratives et communautaires.
    Le point de vue des inventeurs d’internet était que leur réseau allait permettre une désintermédiation, c’est-à-dire la disparition de tout ou partie des intermédiaires humains.

    C’était l’utopie d’une technologie de réseau au service d’une nouvelle forme de démocratie établie sur un mode participatif.

    Le temps a passé et l’on sait que la désintermédiation annoncée s’est bien produite, d’autant plus que les 16 millions d’internautes de 1996 se sont transformés en 2,75 milliards au premier semestre 2013 (UIT) soit 38,8% de la population mondiale.

    Des intermédiaires humains ont disparu, beaucoup dans certains secteurs (librairies, magasins de musique, commerces de proximité … ), d’autres se sont transformés et beaucoup de médiation humaine a été transformée en une médiation instrumentale. Finalement, l’utopie ne s’est pas pleinement réalisée et internet a été mis au service d’idéologies diverses. Dans certains cas la démocratie en a bénéficié, dans d’autres c’est le contraire qui s’est produit.

    Ce qui est vrai de façon générale l’est aussi dans le champ de l’éducation. Les processus de désintermédiation et de médiatisation des activités sont à l’œuvre tant dans la gestion politique et administrative du système éducatif que dans les pratiques pédagogiques. On observe depuis longtemps la crainte, parfois excessive mais sans aucun doute légitime, que la désintermédiation dans l’éducation ne se traduise par le remplacement des enseignants par des technologies.

    C’est ainsi qu’au moment où l’on célèbre aujourd’hui en France les MOOC comme une révolution pédagogique, ils font l’objet de vives revendications aux Etats-Unis quand ils sont utilisés en remplacement de professeurs dans un contexte de coupes budgétaires.

    Certains stéréotypes, qui ont par définition la vie très dure, nous éclairent sur cet imaginaire collectif qui encadrent les usages éducatifs des technologies numériques dans le champ de l’éducation. L’expérience personnelle mais aussi des travaux de recherche comme ceux de Jacques Béziat et François Villemonteix, par exemple, nous renseignent sur ces stéréotypes à la fois très puissants dans leur pouvoir de conditionnement de l’action et parfois très contradictoires. Ils sont souvent aussi assez faux au sens où ils ne reposent ni sur une base empirique solide ni sur une base scientifique sérieuse, même s’ils traduisent fréquemment une part de vérité.

    En voici 5 :

    1) les technologies sont neutres (elles ne le sont pas et transforment autant les activités que leurs acteurs) ;

    2) les technologies changent tout et leur introduction induit l’innovation pédagogique (il ne faut pas confondre les innovations technologiques avec les innovations pédagogiques) ;

    3) l’innovation, c’est le changement et le changement est synonyme de progrès, notamment en termes d’efficacité pour les apprentissages ;

    5) les élèves sont très compétents dans l’usage des technologies numériques car ils sont des natifs numériques. Ce n’est pas le cas des enseignants sauf peut-être des plus jeunes d’entre eux ;

    6) les compétences des élèves sont extrêmement limitées et l’usage des technologies numériques conduit à une dégradation de leurs performances, en particulier en ce qui concerne la maîtrise de la langue française.

    Stéréotypes pédagogiques et numériques

    Il y a aussi les stéréotypes directement pédagogiques, c’est-à-dire des représentations sociales de la bonne façon d’enseigner. Des sortes de « prêts à penser » la pédagogie, notamment pour les enseignants. L’évolution de ces stéréotypes dans le temps est édifiante. On peut observer quatre grandes vagues dans le quart de siècle qui vient de s’écouler.
    Dans les années 80, c’est le paradigme béhavioriste qui était en vogue. Il fallait individualiser, aller du simple vers le complexe, multiplier les exercices.
    Dans les années 90, le paradigme constructiviste s’est imposé. Une approche qui subordonne l’apprentissage à sa confrontation de l’apprenant avec l’objet de son apprentissage, avec des activités de résolution de problèmes.
    2000, c’est l’apogée du stéréotype socioconstructiviste avec les activités de groupes, qu’elles soient collaboratives ou coopératives.
    La décennie 2010 s’ouvre sous le signe des neurosciences qui incitent à une meilleure prise en compte des processus cognitifs pour l’organisation des activités d’apprentissage comme le débat actuel sur les méthodes de lecture l’illustre.

    On observe deux corrélations troublantes avec ces stéréotypes pédagogiques, d’une part  avec les technologies numériques disponibles et d’autre part avec des déterminants politico-économiques.

    Le béhaviorisme des années 80 correspond à la fois à la disponibilité des premiers ordinateurs individuels et à une politique économique nationale en faveur d’une industrie française de l’ordinateur individuel et du logiciel éducatif. C’est le plan IPT de Laurent Fabius en 1985. C’est aussi la réécriture de tous les programmes scolaires et le discours institutionnel sur la valorisation de l’innovation pédagogique.

    Le constructivisme correspond, dans la décennie suivante, à l’accroissement des performances des ordinateurs, à l’arrivée de logiciels de productivité assez efficaces et bon marché et à la disponibilité de sources d’informations inédites avec les CD-ROM. C’est aussi en France, en 1997, le PAGSI et le soutien à l’industrie des CDROM éducatifs et culturels.

    2000 marque peu ou prou le début de l’accès pour tous à internet et ses promesses de communication. C’est aussi le point de départ de la constitution de véritables empires industriels avec l’essor de l’activité des grands opérateurs de télécommunication.

    Que dire des années 2010 ? Qu’elles sont celles des technologies nomades, personnelles et connectées, notamment avec les tablettes et les smartphones et que, sur le terrain, parmi une grande diversité de pratiques pédagogiques, on observe ici ou là un retour à des activités d’inspiration behavioriste, ce qui montre bien que ce n’est pas la technologie qui fait la pédagogique même si chaque type de  technologie représente un cadre fait à la fois de possibilités et de contraintes.

    Médiation instrumentale

    Revenons au rôle spécifique des technologies et à ces deux stéréotypes : elles ne changent rien versus elles changent tout. On sait depuis les travaux de l’anthropologue Leroi-Gourhan que l’instrumentation transforme l’action. On sait mieux, aujourd’hui notamment avec les travaux de Rabardel sur l’instrumentation et de Peraya sur la médiation instrumentale comment les technologies opèrent pour transformer nos actions et ce qu’elles transforment.

    Tracer un sillon à la houe, avec une charrue à traction animale ou un tracteur moderne produit bien un sillon mais pas le même. L’acte de labourer est transformé et cela a un impact aussi bien sur le labour que sur le laboureur. Il en va de même avec le numérique à l’Ecole. Utiliser internet en classe pour des recherches d’informations, un cahier de textes numérique pour mieux articuler les activités d’apprentissage entre le temps scolaire et le temps personnel, un logiciel de construction géométrique … entraîne des modifications sur les tâches proposées, sur leur réalisation sur les élèves, leurs apprentissages et leur comportement. C’est la médiation instrumentale.

    On peut observer ce sur quoi portent les transformations opérées par la médiation instrumentale. De façon générique, on identifie 5 types de changements :

    – notre rapport à l’information et aux connaissances (interactions conceptuelles)

    – notre rapport à l’espace et au temps (interactions spatiotemporelles)

    – notre rapport à autrui (interactions relationnelles) ;

    – notre rapport aux normes sociales (interactions sociales);

    – notre rapport à la création (interactions poïétiques).

    Ces interactions sont par ailleurs celles qui définissent le rapport de tout individu à son milieu c’est-à-dire la culture. C’est pourquoi l’usage des technologies fait évoluer notre culture et que plutôt que de parler de culture numérique, ce qui est commode bien sûr mais trompeur, on devrait parler de culture ou bien tout simplement où de culture à l’ère du numérique.

    Technologies numériques et formes scolaires

    Ces interactions ont aussi beaucoup à voir avec la forme scolaire. Celle d’hier qui reste encore presque inchangée aujourd’hui se caractérise par des connaissances et informations sélectionnées (les programmes) dont l’accès est organisé par l’enseignant, un temps contraint (le temps scolaire), des espaces dédiés (l’établissement, la classe), des normes sociales spécifiques (le contrat didactique) un rapport à la création particulier (produire des apprentissages scolaires).

    Rien d’étonnant à ce que l’usage massif et continu des technologies par les élèves, les enseignants et tous les acteurs de la communauté scolaire bouscule sérieusement cette forme scolaire : l’accès à l’information échappe en grande partie à l’organisation scolaire (manuels, parole de l’enseignant … ) ; les activités scolaires et personnelles se mêlent à l’Ecole et hors l’Ecole, durant les temps scolaires et personnels ; le rapport des élèves aux enseignants ou des parents aux enseignants est modifié … On observe combien la forme scolaire est remise en question par le numérique et, dans le même temps combien il est rassurant de chercher à la pérenniser grâce au numérique.

    Des dispositifs comme les ENT, par exemple, sont des tentatives de faire entrer le numérique à l’Ecole sans modifier la forme scolaire. L’ENT est une sorte de projection de la forme scolaire dans l’espace numérique.

    On sent bien que cette sorte d’assimilation du numérique au sein d’une Ecole héritée du 19ème siècle touche à ses limites et c’est bien une refondation de l’Ecole à l’ère du numérique qui est nécessaire, celle que beaucoup appellent de leurs vœux depuis longtemps, celle aussi qui est annoncée par le gouvernement actuel et dont on peut espérer que les réalités rejoindront les promesses.

    Qu’en disent les élèves

    Il n’y a pas que les technologies qui ont changé, les utilisateurs également même si l’on observe de grandes différences selon les âges, les milieux sociaux avec une grande variabilité individuelle. Au-delà des évolutions déjà signalées (rapports à l’information, au temps, à l’espace … ), l’analyse des représentations et pratiques des enfants mais surtout des adolescents permet de comprendre leur engouement pour les technologies numériques. Ils les mettent fortement à contribution pour toutes sortes d’activités identitaires.

    Ils trouvent avec le numérique des espace-temps de liberté que le monde des adultes leur refuse de plus en plus.

    Plus de temps pour eux tellement leurs activités sont planifiées, plus d’espaces pour eux tellement l’emprise de l’automobile et l’insécurité réduisent les lieux qu’ils peuvent investir. C’est pourquoi la tentation est grande de vivre à la fois dans le monde physique et le monde virtuel en parallèle. C’est aussi pourquoi les smartphones sont si souvent utilisés y compris en classe. Les smartphones et les tablettes qui sont des artefacts mobiles, connectés, puissants et personnels. Là où l’ordinateur du passé pouvait être à usage individuel, les smartphone et les tablettes sont à usage personnel.

    Pourtant, les élèves jettent un regard critique sur le numérique scolarisé. Ils distinguent à leur façon et souvent de façon très judicieuse quand le numérique est mobilisé pour instrumenter des activités qui ne nécessitent pas le numérique et quand le numérique a des apports spécifiques.

    Dans le premier cas, il est inutile de compter sur le rôle motivationnel des technologies numériques. C’est d’ailleurs systématique car ce qui est motivant, sauf lors de brèves étapes d’enthousiasme de la nouveauté, ce sont les activités elles-mêmes.

    Quid de l’utilité ?

    Difficile de penser la place des technologies à l’Ecole avec ses lourds investissements tant financiers qu’humains sans se poser la question de leur utilité. Si l’on mesure l’utilité en termes d’apprentissages au regard des attentes classiques du système scolaire, on peut être déçu. Différentes études dont une très récente, celle de Thierry Karsenti de l’Université de Montréal, montrent que les performances scolaires n’augmentent pas de manière significative et que l’on observe même des régressions. En fait et de façon schématique, on observe trois situations :

    – des activités où les technologies numériques n’apportent rien de neuf mais où elles consomment une partie de l’attention et des facultés cognitives des élèves ce qui entraîne une dégradation de leurs performances ;

    – des activités qui tirent parti du numérique au profit d’une augmentation des performances scolaires ;

    – des activités qui tirent aussi parti du numérique et qui permettent  des apprentissages qui ne sont ni attendus, ni mesurés ni valorisés par l’institution scolaire.

    Finalement quelles sont les responsabilités des enseignants et des équipes éducatives ?

    Les technologies numériques ont trois statuts différents et complémentaires.

    1) Les technologies numériques, leurs usages et leur impact culturel sont autant d’éléments anthropologiques à prendre en compte et ce, quels que soient nos avis individuels. On peut bien sûr imaginer une Ecole sans numérique mais cela ne changera rien au fait que le numérique existe dans la vie de nos élèves au point d’en transformer les comportements, les valeurs et les compétences.

    2) Les TN représentent en elles-mêmes un objet d’apprentissage. Leurs logiques d’usage ne sont pas toujours accessibles par l’expérience. Des apprentissages formels sont indispensables, surtout si l’on veut éviter de creuser les inégalités sociales. Le B2I a été une initiative utile à certains égards mais il a creusé la fracture numérique. L’Ecole porte une lourde responsabilité d’éducation aux médias et de formation aux sciences du numérique. Personne ne discute la nécessité d’apprendre à lire et à écrire. Il est très difficile d’apprendre seul. Il en va de même pour le numérique.

    3) Les technologies sont porteuses de véritables promesses pédagogiques. Elles permettent et facilitent certains apprentissages, si l’on veille à bien articuler leur potentiel avec une réflexion pédagogique et didactique sérieuse. Elle nécessite aussi que les élèves disposent de compétences solides dans l’usage du numérique. On peut apprendre avec le numérique mais à condition d’en avoir une maîtrise suffisante.

    Sur le terrain, la pression sur les enseignants est forte tant de la part des parents que de l’institution. On voit se stratifier ce stéréotype selon lequel on ne pourrait pas être un bon enseignant sans recourir aux TN en classe. Dans le même temps, ces injonctions sont générales (utiliser le numérique) et les enseignants restent en général très démunis quant à ce qui est attendu d’eux et quant à ce qu’ils peuvent faire.

    L’usage du numérique pour apprendre à l’Ecole est utile et même indispensable mais il est difficile. Mieux vaut quelques usages bien choisis et bien maîtrisés qu’une course en avant dans des pratiques incertaines.

     

    Jean-François Cerisier
    Professeur des universités
    Université de Poitiers
    cerisier@univ-poitiers.fr

  • 8 millions d’euros pour les MOOCs !

    8 millions d’euros pour les MOOCs !


    Ouverture de la plateforme FUN – France… par fr-universite-numerique
    C’était une volonté de Geneviève Fioraso, la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de développer les MOOCs en France.

    Depuis le 16 janvier, les étudiants, mais également les lycéens, les salariés, toutes les personnes désireuses d’apprendre et de se former, pourront suivre gratuitement, à leur rythme, des cours du Cnam, de l’École Centrale Paris, de l’École Polytechnique, de l’Institut Mines-Télécom, de SciencesPo., de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3, de l’Université Montpellier 2, de l’Université Panthéon-Assas – Paris II, de l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense, du Centre Virchow-Villermé (collaboration entre Sorbonne Paris Cité et Université La Charité à Berlin), et prochainement les cours de mathématiques de Cédric Villani.

    Ces cours portent donc actuellement sur six thématiques : management, juridique, numérique et technologie, relations internationales, sciences et enfin sciences humaines et sociales.

    Alors que l’offre mondiale de formations en ligne est en plein essor, cette plateforme expérimentale vise à héberger les MOOCs proposés par les établissements d’enseignement supérieur français afin de permettre à tous les publics d’accéder à des cours variés et de qualité où qu’ils soient dans le monde.

    Le lancement de cette plateforme France Université Numérique est une des 18 actions de l’Agenda du numérique, présenté le 2 octobre 2013 dernier par Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche.

    Plus d’infos :
    Toutes les infos sur www.france-universite-numerique.fr