Ce progiciel de gestion de contenus et de portails représente actuellement la solution la plus déployée au sein des établissements d’enseignement supérieur, avec plus de 50 universités, réseaux et grandes écoles à en être équipées. Avec cette V6, Kosmos amorce un tournant stratégique en rejoignant le cercle des éditeurs de logiciels libres.
Focus sur une solution présentée le 04 juillet au rendez-vous annuel des utilisateurs de la solution, le Club K-Sup.
Kosmos affiche ses ambitions sur un marché en pleine évolution
Porté par le plan ‘France Université Numérique’ du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et le projet de refondation de l’école du Ministère de l’éducation nationale, le numérique représente un enjeu croissant pour l’éducation.
Kosmos, pour qui cette problématique est au cœur des réflexions, fait donc constamment évoluer ses solutions.
« Nos projets sont toujours menés dans un soucis d’innovation, afin de répondre au mieux aux besoins de nos utilisateurs. Le passage au logiciel libre correspond à une étape d’évolution naturelle pour Kosmos, qui dispose à présent de la maturité nécessaire pour assurer une transition stratégique dans le libre», précise Jean Planet, Président de Kosmos.
Acteur global de l’e-éducation, Kosmos a su asseoir sa position de leader français en solutions numériques pour l’éducation, avec un fort ancrage dans l’enseignement supérieur, l’enseignement scolaire, la formation professionnelle et l’orientation. En passant sa solution en open source, Kosmos a l’ambition de faire de K-Sup la première solution CMS (Content Management System) et ENT pour l’enseignement supérieur et la recherche au niveau national et international.
Des adaptations majeures pour K-Sup avec la version 6
Avec le passage de K-Sup en open source, Kosmos peut dorénavant miser sur un mode de travail collaboratif.
« Notre communauté composée de membres de l’enseignement supérieur, représente un formidable réservoir d’expertise qui pourra mettre à profit les initiatives et les travaux portés par les laboratoires de recherche dans l’adaptation de services numériques performants pour faire évoluer les usages », rapporte Jean Planet.
La modularisation du socle technique K-Sup se trouve donc enrichie grâce à la contribution de l’écosystème de Kosmos. K-Sup intègre ainsi nativement le plus large catalogue d’extensions ‘métier’ dédiées à l’enseignement supérieur comme l’‘Offre de formation’, l’‘Annuaire Vie étudiante et Alumni’, ‘Recherche et Laboratoires’… qui pourront être enrichies de celles développées par les clients eux-mêmes, et mises à disposition de l’ensemble de la communauté.
Au-delà des innovations portées par le passage de la solution en open source, la V6 intègre également de nouvelles évolutions. Sur le plan des usages, la refonte ergonomique de l’outil contribue à une prise en main facilitée pour les contributeurs.
L’utilisation de cette nouvelle version de K-Sup s’avère, par ailleurs, particulièrement adaptée pour les universités souhaitant déployer des projets web de grande envergure. En intégrant, en outre, l’ensemble des outils de supervision et de pilotage de sites Internet, la solution offrira aux utilisateurs la possibilité de déployer aisément des centaines de sous-sites de manière autonome.
Présentation de la V6 à l’occasion d’un évènement fédérateur
C’est à l’occasion du 10ème rassemblement du Club K-Sup, qui se déroule cette année à l’Université Panthéon-Assas, le jeudi 4 juillet, que cette nouvelle mouture de K-Sup, proposée pour la première fois en libre, est présentée à la communauté K-Sup.
Le Club K-Sup se compose d’utilisateurs de la solution, aux profils très variés. Vice-présidents en charge des systèmes d’information, directeurs de la communication ou bien encore webmasters, se retrouvent chaque année pour échanger sur leurs usages, faire part de leurs retours d’expérience, partager de bonnes pratiques, discuter des nouveautés, etc. Les participants profitent également de l’évènement pour mettre en exergue leurs attentes sur les évolutions possibles de K-Sup, permettant ainsi à Kosmos d’agir en fonction.
« La sixième version de notre solution K-Sup, développée en open source, représente une évolution majeure, qui nous permettra d’asseoir véritablement notre position de leader sur le marché des solutions numériques pour l’éducation en France. Elle nous offre également l’occasion d’impliquer directement nos clients dans les évolutions du produit, et ainsi de renforcer les liens très forts existant déjà au sein de la communauté K-Sup, un point auquel nous tenons beaucoup », conclut Jean Planet.
Pour plus d’informations : http://www.k-sup.org