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  • De nouveaux écrans interactifs sous Android et de nouvelles solutions en ligne

    De nouveaux écrans interactifs sous Android et de nouvelles solutions en ligne

    A l’occasion du salon Educatec-Educatice 2016, Ludomag a reçu sur son stand Thierry Klein, Directeur de Speechi, qui parle, notamment, du développement des écrans interactifs dans l’éducation grâce à une puce Android et d’un logiciel novateur d’évaluation.

    De nouveaux écrans interactifs sous Android et de nouvelles solutions en ligne à Educatice

    Lors du salon Educatice, Thierry Klein, fondateur de l’entreprise Speechi, est revenu sur les dernières innovations technologiques qui investissent de plus en plus les classes et sur celles développées par Speechi, le spécialiste des solutions interactives.

    Des écrans interactifs et tactiles qui ont le vent en poupe

    La dernière nouveauté remarquée en cette année 2016, constate Thierry Klein, est le développement des écrans interactifs dans les secteurs de l’éducation et des entreprises.
    Un développement lié à deux choses : la qualité apportée par ces nouveaux écrans tactiles au niveau de l’interaction et l’innovation récente apportée par Speechi datant d’environ 15 mois, une architecture originale fournie par une puce Android intégrée dans les écrans interactifs.

    L’intérêt d’une puce Android interne ? L’écran interactif se transforme en tablette tactile géante et fonctionne de façon autonome, sans PC (même s’il reste possible d’en brancher un).

    Les écrans interactifs développés par Speechi se démarquent par leur réactivité et leur facilité d’utilisation exceptionnelles, par leurs applications Android pédagogiques sélectionnées dans leur propre magasin, le Speechi Store, utilisé à des fins pédagogiques par des enseignants.

    Thierry Klein dresse d’ailleurs le constat de la quasi disparition du tableau interactif et de la forte régression du vidéoprojecteur interactif sur le marché de l’éducation au profit des écrans tactiles avec une intelligence Android interne.

    L’équipe de Speechi s’efforce également de développer des logiciels pour rendre ces matériels plus faciles d’accès et donc dépasser les usages grand public. Un écran interactif apporte, en effet, beaucoup plus à l’enseignant qu’une simple tablette dans sa façon de manipuler, de préparer, de présenter les contenus et aussi dans la façon d’évaluer sa performance en classe.

    Je Lève La Main, un logiciel d’évaluation novateur

    Bien que connu avant tout pour ses solutions matérielles interactives, Speechi est au départ composé d’une petite équipe de développeurs de logiciels pédagogiques, d’où le nom éponyme de sa société qui est celui de son premier logiciel.

    L’équipe travaille depuis plusieurs années sur un logiciel d’évaluation radicalement nouveau.

    Ce logiciel dispose évidemment de fonctionnalités classiques qui permettent à un enseignant de poser des questions à sa classe, d’obtenir des retours des élèves et de les évaluer. Mais l’originalité de l’approche tient, avant tout, au fait que tous les quiz créés par l’enseignant se retrouvent dans le « nuage » (Cloud).

    Ainsi, lorsqu’un enseignant conçoit un quiz de maths à Lille, un autre enseignant à Marseille peut reposer le même quiz à ses élèves. Immédiatement, le logiciel, pour lequel l’équipe de développeurs a conçu des outils statistiques très puissants, va être capable de fournir des comparaisons de performance, de niveau, d’évolution de niveau, de méthodes pédagogiques très puissantes, que ce soit à un niveau très micro (l’enseignant – l’école), ou à un niveau macro (le département, la région, le niveau national).

    Le logiciel mis au point par Speechi est donc capable aujourd’hui de faire des statistiques à un niveau national par des processus d’évaluation très souples, très agiles, très peu coûteux et quasiment instantanés.

    Il est dès lors possible d’avoir des retours sur des politiques éducatives comme la réforme du collège ou des rythmes scolaires de façon très simple et très peu coûteuse. Ce logiciel nous fait entrer dans une approche dans laquelle la pédagogie qui était un art devient une sorte de science expérimentale où l’on peut tester plusieurs approches, déterminer celle qui fonctionne le mieux et améliorer ses pratiques au fur et à mesure.

     

  • Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    La société française Speechi, spécialiste des solutions interactives, lance la gamme de vidéoprojecteurs interactifs SPE-400W, premiers vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale pouvant fonctionner sans ordinateur : une tablette géante et connectée de 2,80m de diagonale.

    Quand le vidéoprojecteur interactif devient une tablette tactile géante et connectée

    Muni de son boîtier interactif Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400 devient une véritable tablette tactile géante. Il n’est plus nécessaire d’y brancher un PC, le boîtier Android est directement intégré au vidéoprojecteur, qu’il contrôle.

    L’interface Android simplifiée développée par Speechi est intuitive, elle convient aussi bien aux besoins dans la salle de classe qu’en entreprise. Le logiciel interactif d’annotation est notamment inclus, ce qui permet aux fonctions interactives habituellement réservées au PC ou au MAC d’être accessibles sur Android.

     interface android pour vidéoprojecteur interactif

    Pourquoi Android ? Autonomie, ergonomie, réactivité et applications.

    Le système Android embarqué avec ces nouveaux vidéoprojecteurs apporte des usages radicalement nouveaux. Les qualités de ces nouveaux vidéoprojecteurs sont nombreuses :

    • l’ergonomie ainsi obtenue rend le vidéoprojecteur aussi facile à utiliser qu’une tablette ;
    • la réactivité est parfaite, aucune latence n’est visible ;
    • l’ordinateur n’est plus obligatoire ;
    • les applications sous Android sont nombreuses. Speechi a développé un écosystème d’applications partenaires, sans publicité et gratuites, accessibles via le SpeechiStore, qui est fourni dans le boitier interactif Android.

    vidéo présentation vidéoprojecteur tactile speechiCliquez ici pour découvrir le vidéoprojecteur tactile et son boîtier Android en vidéo.

    La société Speechi a été précurseur dans l’utilisation du système Android pour du matériel interactif: elle est devenue en 2015 le premier constructeur français d’écrans interactifs fonctionnant sous Android. Cette année, elle intègre, pour la première fois, le système Android dans un vidéoprojecteur interactif.

    Un vidéoprojecteur tactile adapté au plan numérique « tablettes »

    vidéoprojecteur interactif androidLe vidéoprojecteur  SPE-400W est parfaitement adapté au nouveau plan numérique mis en place par l’Education Nationale, qui comprend entre autres l’équipement en tablettes tactiles des salles de classe. Le système Android du boîtier est compatible avec les tablettes des enseignants et des élèves, la communication entre les deux appareils se fait le plus naturellement du monde.

    Sans parler bien sûr de la simplicité d’usage : de nombreuses personnes utilisent déjà le système d’exploitation Android sur leurs tablette et smartphone personnels.

    La possibilité d’afficher l’écran sur une surface de projection allant jusqu’à 2,80m de diagonale et interactive permet aussi d’établir un rapport plus proche avec les élèves, qui peuvent lever le nez de leur tablette.

    Le vidéoprojecteur interactif idéal pour la présentation en classe ou en réunion

    Indépendamment des atouts du système Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400W est un formidable outil de présentation, à l’école comme en entreprise.

    videoprojecteur tactile multitouch pour la collaboration

    Plus d’ombre portée, qualité d’image supérieure et 3D Ready

    Grâce à son ultra-courte focale, aucune ombre portée ne vient perturber la présentation. L’image projetée est plus grande, plus nette et claire qu’avec un vidéoprojecteur classique, il n’y a plus d’éblouissement ni de reflet.

    L’interaction se fait comme sur une tablette tactile géante.

    Installation et calibration simplifiées

    Le principal problème du vidéoprojecteur tactile, toutes marques confondues, c’est la difficulté de la calibration initiale (lors de la première installation). Jusqu’à présent, le réglage du tactile se faisait en partie à l’aveugle, car la technologie tactile des vidéoprojecteurs interactifs est basée sur un rayonnement laser de fréquence invisible à l’oeil nu.

    C’est pourquoi l’installation d’un VPI tactile devait toujours être réalisée par un installateur spécialisé et formé.

    Avec cette nouvelle gamme de vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale, plus besoin d’être un spécialiste pour régler le vidéoprojecteur tactile :

     

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  • Appel à projets : Améliorez la pédagogie grâce à l’évaluation numérique

    Appel à projets : Améliorez la pédagogie grâce à l’évaluation numérique

    La société française Speechi, spécialisée dans les solutions interactives, lance un appel à projets d’évaluation numérique pour les enseignants du primaire et secondaire en France, via le système de réponse et de vote en ligne « Je Lève La Main ».

    Les principes et les objectifs de l’expérimentation

    Les évaluations actuelles (de l’élaboration au dépouillement) sont coûteuses, lourdes et longues à réaliser. Cet appel à projets vise à donner des résultats en quelques semaines, quelques mois au plus tard, en utilisant des techniques d’évaluation et d’analyses. Il s’agit aussi d’aider l’Etat et les collectivités locales à guider les politiques publiques, grâce à des retours d’expérience quantitatifs et fiables.

    Et c’est d’autant plus important dans le cadre du plan numérique actuel, qui comprend notamment l’introduction des tablettes à l’école.

    Pour participer à cet appel à projets, c’est facile et gratuit.
    Remplissez simplement le formulaire à cette adresse :
    https://www.speechi.net/fr/home/ecole-numerique/appel-a-projet-evaluation/

    Partagez le lien ci-dessus
    Si ce projet vous intéresse, nous vous remercions de diffuser le lien ci-dessus par tous moyens (Facebook, site Web, Twitter) de façon à ce que nous puissions entrer en contact avec un maximum d’enseignants.

    Quelques exemples de projets possibles :

    1. Test de différentes méthodes pédagogiques. Vous êtes professeur de langues. Vous gérez 2 classes, dont l’une a accès au labo de langues et l’autre apprend à partir d’un logiciel sur tablettes. Vous comparez la progression des deux classes en fonction des deux méthodes. (Des outils statistiques puissants vous permettent de comparer les progressions, de voir quelle méthode a été la plus adaptée, de voir aussi si, au sens statistique, les résultats observés sont significatifs).
    1. Evaluation des politiques publiques.Votre académie a équipé 20% des collèges en tablettes. Vous définissez un ensemble de quiz avant / après, selon les matières, pour voir si les collèges numériques progressent plus ou moins vite que les autres. En fonction des résultats obtenus, vous décidez de poursuivre ou de stopper l’expérience
    1. Enseignement supérieur. Vous dirigez une école supérieure de commerce et les cours de finance ont lieu soit à Nantes, soit à New-York. Toujours grâce à ce système, vous observez quels cours donnent les meilleurs résultats (et l’année prochaine, vous adapterez l’enseignement en fonction de ces résultats).
    2. Prise de niveau, cartographie locale ou nationale. Le même quiz est posé par différents enseignants à différents endroits (Lille, Lyon, Marseille, Paris). Les résultats à un test donné peuvent être comparés élève par élève, classe par classe, ou cartographiés sur l’ensemble de la population.

    Des outils d’analyses évolués instantanément disponibles

    Speechi2_170616Des outils statistiques très évolués permettent de comparer le niveau des élèves, des établissements ainsi que (grâce à la première fonction “de progression” décrite ci-dessus) leur progression. La carte de niveau peut se faire matière par matière, ville par ville ou même enseignant par enseignant. Des outils puissants de visualisation (sous forme de cartes ou de graphes) sont disponibles. L’ensemble est aussi extrêmement simple à mettre en œuvre.

    Les applications du logiciel sont infinies : vous pouvez évaluer toute méthode pédagogique ou comparer deux enseignements différents.

    « Je Lève La Main » : la solution d’évaluation en ligne pour améliorer l’enseignement

    Le logiciel d’évaluation « Je Lève La Main » permet de créer des quiz, sondages et donc des évaluations en ligne très facilement. Il a été principalement conçu comme un “tube à essai” numérique : son objectif principal est de recueillir des données permettant d’améliorer la pédagogie.

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    Présentation du logiciel d’évaluation “Je Lève La Main” : système de vote en ligne (vidéo).

    Ces données sont obtenues en interrogeant les élèves via des quiz qui permettent aussi d’animer les cours. Elles peuvent être recueillies au niveau de chaque élève, de chaque classe, de chaque école, mais aussi de chaque région et de chaque pays. Par nature, ces données sont stockées dans le cloud et disponibles pour toute analyse, quelle que soit la taille de l’échantillon observé.

    L’interface du logiciel (API) permet de créer un environnement de test pédagogique afin d’effectuer des analyses puissantes.

    « Je Lève La Main » intègre des techniques statistiques complexes qui n’étaient accessibles,  jusqu’à présent, qu’aux statisticiens professionnels. En simplifiant drastiquement l’accès aux analyses, cet outil donne à chaque enseignant la possibilité d’évaluer ses propres pratiques et d’effectuer ses propres enquêtes, tout en laissant aux autres enseignants la possibilité de valider ou comparer les données obtenues dans leur propre pratique.

     

    En savoir plus sur la société Speechi : leader national des solutions interactives pour l’enseignement.

     

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  • Tableau interactif eBeam Edge +, pour révolutionner vos présentations à l’école

    Tableau interactif eBeam Edge +, pour révolutionner vos présentations à l’école

    Au fil du temps, les termes « eBeam » et « tbi mobile » sont devenus synonymes en France. L’eBeam est le tableau interactif le plus vendu en France. C’est une solution mobile parfaitement adaptée à l’utilisation à l’école notamment qui équipe plus de 60 000 salles de classe dans toute la France.

    Le TBI mobile eBeam est composé d’un capteur interactif fin et aimanté, qui s’accroche tout seul sur votre tableau blanc ; et d’un stylet interactif permettant d’interagir sur la surface de projection. Il s’adapte à tous les vidéoprojecteurs et ordinateurs (Windows, Mac OS ou Linux).

    Le tableau interactif qui capte des deux côtés, sur plus de 5 m.

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    C’est la nouveauté la plus marquante de l’eBeam Edge Plus : il est désormais possible d’utiliser la partie interactive digitale (avec stylet interactif) d’un côté du capteur interactif, et la partie prise de note physique (avec marqueur) de l’autre, pour une surface interactive de plus de 5 m de long.

    Il devient ainsi facile de jongler entre tableau interactif et tableau physique, avec le même tableau interactif eBeam Edge +.

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    100 grammes de simplicité dans un monde de brutes


    La simplicité d’utilisation du tableau interactif mobile
    eBeam qui a fait son succès, avec plus de 60 000 utilisateurs en France. Le tableau interactif eBeam Edge transforme votre salle de classe (ou de réunion) en salle interactive très facilement, en s’adaptant à votre matériel existant (ordinateur, tableau blanc et vidéoprojecteur).

    L’eBeam Edge est de plus très léger, il se transporte et s’échange entre collègues sans problème. Ce qui en fait une solution interactive très simple, puissante, partageable et, ce qui ne gâche rien, très économique.

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    Découvrez le tableau interactif eBeam Edge Plus en vidéo

    De nouvelles fonctionnalités pour un tableau interactif plus mobile, plus simple et plus performant

    Par rapport à l’eBeam Edge, l’eBeam Edge Plus est plus précis, plus rapide, plus intégré et dispose d’un nouveau logiciel plus pratique, permettant l’usage du feutre.

    Un nouveau stylet fin et rechargeable 

    Speechi4_190416Le stylet interactif est maintenant rechargeable via prise USB sur ordinateur. Il est ainsi possible d’écrire avec pendant 15 heures, soit environ un mois d’usage normal. La batterie du stylet de son côté ne nécessite que 3 heures de charge.

    Un capteur rechargeable sans fil (8 heures d’utilisation continue)

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    Le TBI eBeam Edge Plus sans fil dispose de sa batterie intégrée, lui permettant d’être utilisé sans fil jusqu’à 8 heures en continu.

    Plug and play, le tableau interactif eBeam Edge peut être utilisé partout, sans aucun fil qui traîne

    Une précision améliorée, un logiciel plus accessible

    Le tableau interactif est devenu plus précis que jamais : latence et précision de l’interaction sont améliorées de 30%. Ce qui veut dire que les erreurs de positionnement sont devenues négligeables et ne sont ainsi plus visibles.

    Le logiciel qui accompagne l’utilisateur du TBI eBeam a été également amélioré. Il est maintenant disponible sur Windows, Mac OS, Android, Chromebook et Linux. L’interface a été également améliorée, pour rendre l’interaction toujours plus simple.

     

     

    A propos de Speechi

    Depuis 2004, Speechi développe des solutions interactives (tableaux blancs interactifs ou TBI, vidéoprojecteurs interactifs, écrans interactifs…), des logiciels innovants et brevetés pour la communication interactive à l’école et en entreprise, ainsi que la formation à distance.
    A ce jour, les solutions Speechi équipent plus de 60 000 salles de classe en France, ce qui fait de Speechi le leader national des solutions interactives. 

    Speechi est aussi la première entreprise au monde à avoir adopté les statuts du Capital Altruiste : elle réserve 10% de son capital à une ONG, l’International Gorilla Conservation Programme. L’ONG dirigée par Eugène Rutagarama effectue un travail considérable de conservation des gorilles des montagnes au Rwanda.

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  • DSTI, l’école supérieure d’application de la Data Science et du Big Data signe un partenariat industriel avec Speechi

    DSTI, l’école supérieure d’application de la Data Science et du Big Data signe un partenariat industriel avec Speechi, la société éditrice du logiciel d’évaluation « Je lève la main ». Ce partenariat a pour but d’améliorer le confort des étudiants et des professeurs en mettant à leur disposition des solutions de travail innovantes.

    Premier volet de ce partenariat, l’installation d’écrans tactiles, ou écrans interactifs dans les salles permettront aux élèves assistant aux cours à distance de suivre le programme en même temps que leurs camarades en classe et aux absents d’avoir accès aux cours en téléchargement dès la fin de ceux-ci. « La mise en place de ces smartboards permet à DSTI de développer ses offres de cursus en proposant par exemple à présent des formations OFF Campus, aux étudiants n’ayant pas la capacité d’assister aux cours sur les campus de Paris et Nice » détaille Léo Souquet DG Relations Extérieures.

    Deuxième outil de ce partenariat, “Je Lève La Main” est un logiciel d’évaluation qui permet au professeur d’animer, interroger évaluer et sonder les élèves. Disponible sur un grand nombre de supports numériques (tablettes, smartphones, ordinateurs…) le logiciel permet à un intervenant de programmer ou composer en direct des questions qu’il soumet aux élèves afin de monitorer leurs résultats : affichage du nom des participants, taux de réussite…

    « Cet outil va dans le sens de la démarche initiée par DSTI, offrir un enseignement moderne de qualité. « Je lève la main » va permettre à nos intervenants de surveiller la compréhension de chacun des étudiants et de déceler leurs lacunes et points forts via des outils de monitoring pointus » nous explique Sébastien Corniglion, DG Enseignement et Recherche.

    « Le cursus DSTI est focalisé sur les Big Data et notre plateforme d’évaluation « Je Lève La Main » dispose justement des fonctionnalités les plus avancées pour recueillir et analyser des données pédagogiques d’évaluation. L’objectif est de se servir des données pour améliorer la pédagogie et cette démarche va nous permettre de faire évoluer nos solutions et d’en faire la promotion dans l’enseignement supérieur comme pour l’enseignement classique. » développe Thierry Klein, président de Speechi.

    Plus d’infos :
    https://www.speechi.net
    https://www.jelevelamain.fr
    https://www.datasciencetech.institute/fr

  • Le tableau interactif a échoué : c’est mérité

    Le tableau interactif a échoué : c’est mérité

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    Interview de Thierry Klein, le président de la société Speechi, spécialisée dans les solutions interactives. Il fait un constat lucide de la situation actuelle des constructeurs de tableaux interactifs et des enjeux cruciaux liés à l’éducation. Quelles sont les raisons de cet échec des TBI en France ? Quelles solutions ?

    Vous avez créé la société Speechi en 2004. Après plus de 10 ans d’activité, quel constat faites-vous de l’état actuel de l’industrie du TBI ? 

    Thierry Klein : Le constat est plus qu’édifiant : les plus grandes marques de TBI qui existaient déjà quand j’ai créé Speechi en 2004 ont soit disparu, soit été rachetées à cause de la faiblesse de leurs résultats, celles qui restent recherchent un acquéreur pour des raisons similaires.

    Même eBeam, marque de tableaux interactifs mobiles notamment, pour laquelle j’ai évidemment beaucoup d’affection [Speechi est revendeur exclusif des TBI eBeam en France, ndlr], n’a pas réussi au niveau mondial comme cela a pu être le cas en France, où notre part de marché est de l’ordre de 30 %.

    Quelles sont alors pour vous les raisons de cet « échec » du TBI en France ? 

    TK : Il y a quatre raisons principales à mes yeux : un manque de vision technologique, un modèle économique à court-terme, une vision de l’éducation inconsciente des enjeux et le peu d’avantages apportés par la technologie.

    Tableaux interactifs ou autres vidéoprojecteurs interactifs n’ont jamais révolutionné l’enseignement, comme la plupart des constructeurs ont tenté (et tentent encore) de nous le faire croire. Un tableau interactif est resté un simple moniteur branché sur un PC. Depuis 2012, rien n’a été fait (ou si peu !) pour permettre aux enseignants de donner cours à partir de leur tablette, sans fil. J’ai l’impression que l’industrie dans sa globalité s’est montrée peu impliquée, voire fainéante.

    Concernant le modèle économique, les principaux leaders du tableau interactif étant financés par du capital risque ou par la bourse, parfois par les deux, le manque de « patience » a été fatal. Ce modèle aide certes le développement des entreprises mais il souffre aussi d’une vision à court terme, d’une trop grande pression sur les résultats immédiats de l’entreprise. Inutile de dire que le modèle est peu stable quand le marché se retourne, ce qui a été le cas en 2011 / 2012. L’industrie du TBI est peut-être une industrie morte d’avoir eu trop d’argent, trop tôt.

    Pouvez-vous en dire plus sur ce que vous appelez « une vision de l’éducation indigne des enjeux » ? 

    TK : L’objectif initial était – et reste ! – d’utiliser les technologies numériques pour améliorer le niveau des élèves, mais les études montrent aujourd’hui que les tableaux interactifs n’améliorent pas le niveau des élèves. Les tablettes numériques, souvent utilisées par les élèves comme des consoles de jeu, ne font probablement que baisser leur niveau. Ce qui n’empêche pas les gouvernements d’investir, un peu partout, dans de coûteux programmes d’équipement des élèves en matériel électronique divers et varié. Mais jamais adapté.

    Tout ceci n’empêchant évidemment pas l’industrie du numérique de continuer à s’auto-féliciter, de se présenter comme indispensable et de multiplier les promesses éducatives. Des promesses qui depuis 10 ans ne sont tout simplement pas tenues.

    Le fait d’échouer n’est pas honteux. Ce qui est plus grave, et même parfois honteux, c’est que l’industrie numérique ne s’est pas donnée les moyens de ses ambitions.

    Elle a utilisé des moyens de lobbying très agressifs, allant sans doute jusqu’à la corruption dans le cas des tableaux blancs interactifs au Canada. Les techniques employées (débauchage de membres de cabinets ou de fonctionnaires influents) n’ont d’ailleurs pas été limitées au seul Canada.

    Elle a systématique caché la faible valeur ajoutée des TBI et pire, a financé des études favorables, comme ont pu le faire l’industrie du tabac ou du médicament.

    Paradoxalement, elle ne s’est jamais dotée d’indicateurs fiables permettant d’évaluer sa performance. Ce qui démontre clairement qu’elle n’en a pas grand-chose à faire.

    Autre point qui me dérange, les arguments mis en avant. Comme les tableaux interactifs ne pouvaient pas se justifier d’avoir un intérêt pédagogique, l’industrie a plaidé « la fin de l’ennui » et « la modernité dans les écoles ». Des arguments qui ne veulent rien dire mais qui sont visiblement bien acceptés politiquement, du même type que ceux que le gouvernement a avancé pour justifier la réforme du collège. L’industrie s’est noyée dans le ludique et les prétendues avancées technologiques au détriment du savoir. Cela continue d’ailleurs avec l’introduction des tablettes.

    Justement, pourquoi pensez-vous que les tableaux numériques n’apportent pas grand-chose sur le plan technologique ? 

    TK : Les principes techniques sur lesquels reposaient la technologie des tableaux interactifs fixes étaient simples et les points clés compliqués à protéger. Depuis 2005-2010, les usines chinoises produisent des TBI qui ont été d’abord de médiocres copies, puis se sont largement améliorées. La majorité des TBI que l’on voit aujourd’hui, même quand il s’agit de marques européennes ou nord-américaines, sont produits en Chine. Et on assiste donc au paradoxe suivant, pour moi désolant, que je vous laisser méditer :

    « Alors que leur plus-value pédagogique est le plus souvent nulle – ou difficilement observable, les sommes dépensées par les Etats occidentaux dans des réformes et autres plans numériques (plans tablettes, vidéoprojecteurs interactifs) ont contribué au développement de l’industrie et de la « recherche et développement » chinoise. »

    Que faudrait-il faire alors selon vous pour que le TBI se démocratise en France ? Et ainsi peut-être « sauver » l’industrie du TBI ? 

    TK : En fait, il faudrait faire quasiment tout le contraire.

    Premièrement, penser le TBI comme un module autonome, doté de son propre système d’exploitation. Pas comme un simple périphérique PC. Un peu comme le fait déjà Luidia avec le tableau interactif mobile eBeam, même s’il reste des efforts à faire.

    Arrêter de s’auto-congratuler et donc être enfin critique vis à vis de ses propres productions. On me reproche souvent d’être trop négatif. C’est sûrement le cas, mais je préfère la critique à l’auto-satisfaction systématique. Cela permet souvent de faire avancer les choses.

    Cesser le mélange entre intérêts privés et intérêts publics. Ce n’est pas le chemin pris ces derniers temps si j’en crois les dernières annonces concernant les partenariats Microsoft / Education Nationale par exemple ou même si j’analyse l’origine des intervenants lors des conférences organisées au récent salon Educatice.

    Enfin, avant tout se doter d’indicateurs fiables. Pas un euro ne devrait être investi dans le numérique sans évaluation associée et préalablement définie.

    Pensez-vous que c’est réalisable ?

    On n’en prend clairement pas le chemin. Et pourtant, malgré tous ces problèmes, ces erreurs, ce manque de clarté et de vision, il n’y a aucun doute pour moi : le numérique va changer profondément l’éducation dans les années à venir et je pense que ce sera vraiment pour le meilleur.

    Merci pour vos réponses.

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  • Nouveaux écrans interactifs tactiles SpeechiTouch : des tablettes tactiles géantes, sous Android

    Nouveaux écrans interactifs tactiles SpeechiTouch : des tablettes tactiles géantes, sous Android

    Ces nouveaux écrans tactiles sont incroyablement réactifs et très faciles d’emploi, on y écrit comme sur un tableau noir. Tout effet de latence, si fréquent sur les tableaux interactifs traditionnels, disparaît lorsqu’on écrit.
    Ils sont évidemment multitouch, permettant de nombreuses interactions sous forme de gestes afin de rendre l’utilisation toujours plus intuitive. Les gestes pour interagir sont naturels, fluides : d’un revers de la main ou en appuyant avec 2 doigts…

    ecran interactif tactile : vidéo des gestes à retenir
    Cliquer ici pour découvrir le nouvel écran tactile sous Android en vidéo

    Remplacer les tableaux interactifs et vidéoprojecteurs interactifs traditionnels

    écran interactif Android SpeechiTouch

    Les nouveaux écrans interactifs sous Android sont aux matériels interactifs conventionnels (tels que les TBI fixes ou autres vidéoprojecteurs interactifs fixes) ce que l’iPhone a été aux téléphones mobiles d’antan. Quand vous y avez goûté, le retour à l’ancienne génération n’est tout simplement plus possible.

    Les tableaux et les vidéoprojecteurs interactifs fixes avaient un certain intérêt, mais ne se sont jamais réellement imposés en France. Ils sont toujours restés limités techniquement : un PC est absolument nécessaire, le vidéoprojecteur est un matériel sensible au temps et à la poussière, la durée de vie de sa lampe est limitée, il génère toujours une certaine ombre portée et un certain éblouissement…

    Avec sa durée de vie presque illimitée, sa qualité d’image inégalable (la résolution peut atteindre les 4K/UHD), la solidité de sa dalle et la précision du toucher, avec surtout sa simplicité exceptionnelle d’utilisation, l’écran tactile interactif SpeechiTouch constitue une solution interactive révolutionnaire.

    Sans compter qu’ils sont, la plupart du temps, moins coûteux à l’heure d’usage que les TBI fixes et qu’ils ne nécessitent aucun matériel supplémentaire.

    Des écrans interactifs adaptés au nouveau plan numérique « tablettes » de l’Education Nationale…

    L’Education Nationale prévoit d’équiper tous les élèves de 5ème en tablettes numériques à la rentrée 2015. Elle admet cependant que ce plan ne peut réussir que si les enseignants sont impliqués.

    Les nouveaux écrans interactifs SpeechiTouch, de par leur technologie Android, permettent de disposer d’une tablette géante dans chaque salle de classe, tablette autour de laquelle les élèves peuvent échanger, présenter, collaborer, apprendre.

    Les élèves utilisent déjà de fait ce type d’écran, avec la démocratisation des tablettes et des téléphones tactiles, notamment avec l’interface Android. En effet, en 2015, plus de 74% des solutions mobiles vendues (tablette et smartphone réunis) fonctionnaient sous Android.

    L’ajout d’un PC intégré dans la tranche de l’écran (en option) permet de multiplier les possibilités, si l’on souhaite utiliser un programme précis sur Windows, par exemple.

    L’écran tactile SpeechiTouch est livré avec son propre logiciel pour écran interactif Ioalos, permettant de présenter son contenu, de l’éditer, de l’annoter, sous Android comme sous Windows.

    Plus d’infos :

    Les nouveaux écrans interactifs SpeechiTouch sont disponibles dès aujourd’hui chez Speechi ou via son réseau de revendeurs agréés.

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    A propos de Speechi, le spécialiste des solutions interactives

    Depuis 2004, Speechi développe des solutions interactives (tableaux blancs interactifs ou TBI, vidéoprojecteurs interactifs, écrans interactifs…), des logiciels innovants et brevetés pour la formation à distance, la communication interactive pour les écoles et les entreprises.

    A ce jour, les solutions Speechi équipent plus de 60 000 salles de classe en France, ce qui fait de Speechi le leader national des solutions interactives.

     

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  • Ils envoient leurs enfants dans des écoles sans aucun ordinateur

    Ils envoient leurs enfants dans des écoles sans aucun ordinateur

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    Une année dans une des prestigieuses Waldorf Schools californiennes coûte entre 13 000 € (école primaire) et 19 000 € (secondaire). Ces écoles sont littéralement remplies des enfants des cadres supérieurs des entreprises high-tech de la Silicon Valley (le Directeur Technique d’eBay, un grand nombre de cadres d’Apple, de Google, de Hewlett-Packard y envoient leurs enfants).

    Ce qui distingue ces écoles ? Les ordinateurs, ainsi que toutes leurs déclinaisons (IPAD, Smartphone…) sont interdits dans les salles de classe. (Et l’usage en est déconseillé à la maison).

    Quelles sont les raisons profondes qui poussent les parents – parmi les plus savants au monde en matière de technologie, on ne peut donc parler de “manque de connaissance” ou de “non prise en compte des enjeux de demain”… – à payer si cher pour mettre leurs enfants dans ces écoles ?

    Il y a bien sûr la conviction, étayée maintenant par de nombreuses études, que la technologie n’améliore pas, ou pas beaucoup, le niveau des élèves.

    Mais le facteur clé qui justifie cet ostracisme est la conviction qu’ont les parents que non seulement la technologie n’est pas utile en classe, mais divertit les élèves, les détourne du savoir.

    Celui qui va sur Internet – ou qui utilise un IPAD – rentre dans une entreprise de distraction, au sens premier du terme, qui est celui de détournement. Au bout de quelques minutes, il a toutes les chances de se retrouver à faire autre chose que de la recherche (lire la bourse, les résultats sportifs, chatter sur MSN…).

    Les concepteurs des machines que sont Google, l’IPAD ou encore eBay sont parfaitement conscients du phénomène d’addiction qu’ils créent et veulent en préserver leurs enfants. C’est d’un cynisme génial.

    C’est aussi un point de singularité de l’histoire du monde. Quand Marx décrivait la religion comme un opium du peuple, il décrivait essentiellement un phénomène de structure, inconscient chez les classes dirigeantes mêmes – puisque leurs enfants étaient traditionnellement élevés dans le cadre d’une église. D’inconscients chez Marx, les oppresseurs sont devenus conscients aujourd’hui, mais cette prise de conscience n’empêche nullement le phénomène de se propager.

    La politique éducative en matière de technologie numérique, le “projet” numérique au sens noble du terme, doit avoir pour but unique de réduire le décalage que entre “la promesse marketing des technologies” (leurs avantages potentiels tels qu’ils sont vantés par Apple, Google et les sociétés qui développent ces technologies) et l’utilisation réelle, moyenne, statistique, des technologies numériques (aujourd’hui, un usage addictif, qui abêtit élèves et parents).

    En référence à ce sujet : www.nytimes.com/2011/

  • Speechi lance Alexandra, première plate-forme collaborative dédiée au monde de l’enseignement

    Les élèves peuvent ainsi consulter les diaporamas sonorisés en ligne ou sous forme de podcast/vidéocast (flux RSS). Au-delà de cet aspect, les élèves peuvent interagir laissant la place à un véritable outil collaboratif. Une révolution dans le monde de l’enseignement. www.icole.fr

    Alexandra : le YouTube de l’enseignement, sans la publicité

    Alexandra est une plateforme hébergée dans les nuages permettant de charger presque tous les types de documents (PowerPoint, Word, pdf, Open Office) ou d’image, et de les synchroniser avec une vidéo ou du son.

    L’idée est de permettre à tout professeur de créer facilement ses cours et de les mettre instantanément à disposition en ligne.

    L’outil collaboratif de l’enseignement

    Chaque professeur dispose de sa propre page personnelle publique. Toutes les présentations qu’il publie sont disponibles, s’il le souhaite, à partir de cette page personnelle. Les cours ainsi obtenus sont consultables publiquement ou de façon privée (selon la volonté du professeur)

    Les élèves ont un accès direct aux différentes parties grâce au sommaire entré par le professeur. Ils peuvent ensuite commenter les cours diffusés et ainsi les enrichir. Ces notes peuvent ensuite être partagées entre élèves et/ou modérées par le professeur. De là naissent des interactions permanentes, faisant d’Alexandra un réel outil social et collaboratif. http://www.speechi.net/fr/index.php/2010/09/23/alexandra-premiere-presentation-de- demo/

    Un modèle économique qui ne fait pas appel à la publicité
    Alexandra est un service sans aucune publicité, son modèle économique va à contre- courant de tout ce qui se fait aujourd’hui sur Internet. Comme l’explique Thierry Klein, Fondateur de Speechi :  «Nous souhaitons sortir du business model classique : Internet qui va de pair avec publicité. Ce modèle n’est pas adapté pour la transmission du savoir car le consommateur passe avant l’élève. Avec Alexandra, le professeur règle une redevance mensuelle et en contrepartie, l’élève n’est pas soumis à la perturbation publicitaire.

    A propos de Speechi « Les solutions nomades »
    Speechi (www.speechi.net) est la première société focalisée à 100% sur le développement et l’intégration de solutions nomades interactives pour l’enseignement.
    Elle élabore des solutions innovantes qui permettent d’enseigner, d’interagir socialement avec les élèves, de travailler avec un tableau interactif, que l’audience soit physiquement dans la salle ou en ligne, sur Internet.

    La philosophie de Speechi se décline ainsi dans son offre : une approche nomade, un souci du partage et une simplicité d’utilisation.
    Ses solutions sont aujourd’hui utilises dans plus de 20 000 établissements et dans 28 pays.
    Basée dans le Nord de la France, Speechi est reconnue comme une entreprise innovante Ç travers l’obtention de nombreux prix prestigieux régionaux, nationaux et internationaux (European Business Awards, Deloitte Fast50, Demo, Capital IT, Bestinnov, Oseo, Nord Entreprendre, LMI…).
    Les solutions mobiles interactives eBeam (tableaux blancs interactifs mobiles) sont exclusivement distribués en France par Speechi et son réseau de distribution agréé.
    En savoir plus : www.speechi.net