Étiquette : Primaire

  • Twitter pour faire écrire les élèves

    Twitter pour faire écrire les élèves

    L’équipe de Ludomag a le plaisir de vous présenter, en vidéo et au travers d’un court résumé en quelques lignes, plusieurs intervenants du colloque écriTech’7 qui s’est déroulé à Nice les 18 et 19 mai 2016.

    Alexandre Acou et Jean-Roch Masson, professeurs des écoles, ont fait de Twitter un outil du quotidien dans leur classe ; pour quels vertus pédagogiques ?

    « A la base, c’est une idée toute simple : celle de faire produire au quotidien nos élèves sur la vie de la classe », rappelle Jean-Roch Masson. « Au début de l’année, je leur dis : vous serez les petits journalistes de la classe et vous allez raconter ce qui se passe », ajoute t-il.

    Le but pédagogique est de les faire rentrer dans l’écrit dès la classe de CP et découvrir la lecture par l’écrit. Souvent, on apprend d’abord aux enfants à lire puis à produire. Jean-Roch Masson a fait le choix inverse.

    Pour Alexandre Acou, c’est aussi une forme de mini-blog sur la vie de la classe qui l’a animé pour utiliser Twitter. «  Et pour des enfants de CM1-CM2, il est intéressant de débloquer l’écrit personnel ».

    Chaque Twitt est signé et il y a donc une dimension individuelle et une responsabilité.

    Passée la nouveauté et après six ans d’utilisation, Jean-Roch présente Twitter en classe « au même titre qu’un outil traditionnel comme les cahiers ou les crayons ». « avec une richesse qu’on ne trouve pas ailleurs, celui de l’instantanéité où le Twitt est aimé, retwitté etc ».

    Retrouvez le témoignage de ces deux enseignants dans la vidéo ci-contre.

    Toutes les interviews et articles réalisés sur écriTech’7 sont à découvrir ici.

  • REMIE et le projet « de films en textes » pour un vrai travail rédactionnel au primaire

    REMIE et le projet « de films en textes » pour un vrai travail rédactionnel au primaire

    L’équipe de Ludomag a le plaisir de vous présenter, en vidéo et au travers d’un court résumé en quelques lignes, plusieurs intervenants du colloque écriTech’7 qui s’est déroulé à Nice les 18 et 19 mai 2016.

    Karine Sadran, MAI dans la circonscription de Grasse, a présenté son projet « de films en textes » qu’elle a mis en expérimentation au travers de la plateforme REMIE.

     

    « De films en textes » est en fait une ressource granulaire disponible dans le classeur REMIE que Claude Pouget a bien voulu expérimenter à l’école de Cabris. Cette ressource consiste à proposer aux élèves à partir de petits films type courts-métrages, un travail de maîtrise de la langue, en partant du film pour aller vers de la production d’écrits.

    A l’intérieur de la ressource sont proposées des pistes de production d’écrits, soit intactes soit que nous pouvons modifier avec le maître.

    Plus de détails sur l’expérience menée par Claude Pouget avec l’aide de Karine Sadran, dans la vidéo ci-contre.

    Toutes les interviews et articles réalisés sur écriTech’7 sont à découvrir ici.

  • L’utilisation de Twitter pour développer l’envie et le plaisir d’écrire

    L’utilisation de Twitter pour développer l’envie et le plaisir d’écrire

    L’équipe de Ludomag a le plaisir de vous présenter, en vidéo et au travers d’un court résumé en quelques lignes, plusieurs intervenants du colloque écriTech’7 qui s’est déroulé à Nice les 18 et 19 mai 2016.

    Guillaume Bourgin est enseignant à l’école Paul Langevin à Vallauris près de Cannes et utilise Twitter dans sa classe depuis trois ans à différents niveaux. Il nous explique comment…

    « J’étais moi-même utilisateur du réseau social Twitter et je voyais passer beaucoup de Twitts concernant des Twittclasses ».

    Guillaume Bourgin a suivi cela avec attention pendant toute une année et beaucoup échangé avec des enseignants qui pratiquaient Twitter en classe.
    Il s’est ensuite lancé dans l’aventure Twitter en classe à l’occasion d’une classe de mer avec ses élèves, « pour pouvoir communiquer avec les parents ».

    Devant l’enthousiasme des parents, des enfants et le mien, nous avons décidé de poursuivre et de développer l’usage qu’on en avait au départ.

    Aujourd’hui, Twitter est devenu un outil du quotidien en classe, car comme le souligne Guillaume Bourgin, « c’est un outil qui est assez souple et qui s’adapte facilement au rythme de la classe ».

    J’ai retrouvé à chaque fois, une grande motivation des enfants à écrire et à transmettre leur message et à partager ce qu’ils avaient à dire.

    Découvrez tous les avantages que décrit Guillaume en termes pédagogiques en primaire dans la vidéo ci-contre.

    Toutes les interviews et articles réalisés sur écriTech’7 sont à découvrir ici.

  • Et si jouer en primaire n’était plus tabou ?

    Et si jouer en primaire n’était plus tabou ?

    Lors du salon Educatice à Paris en mars dernier, Christèle Ramaugé, professeur des écoles en CM2, maître formatrice à l’école Jean Jaurès du Pré St Gervais en Seine-Saint-Denis dans l’académie de Créteil a fait une démonstration de comment elle utilise les jeux numériques en classe.

    Le contexte

    « Mon usage du numérique en classe est plutôt parti de la mairie qui nous a proposé du matériel et un peu comme une aventurière, j’ai décidé d’essayer et j’ai fait des recherches sur ce qu’on peut faire avec le numérique en classe et comment on s’y prend », explique Christèle Ramaugé.

    L’école Jean Jaurès bénéficie d’un très bon équipement depuis plusieurs années à savoir un Tableau Numérique dans chaque classe, des ordinateurs de fond de classe dont un relié à internet et une salle informatique, « ce qui me laisse la possibilité d’utiliser le numérique comme je l’entends », souligne Christèle Ramaugé.

    Elle avoue avoir tout de suite changé sa manière de voir les choses et sa façon d’enseigner. Quand elle a commencé à tester des jeux numériques en classe, c’est par tâtonnement qu’elle s’est lancée dans l’aventure.

    Des jeux numériques intégrés au programme scolaire et au socle commun des connaissances.

    « Quand on commence, on est un peu timide ; on a même un peu peur car on a toujours le côté très traditionnel de la maîtresse qui nous dit qu’il faut bien faire, être dans les programmes, très cadré etc ».

    Et finalement on se rend compte que les élèves, au lieu de bavarder ou faire autre chose, ils sont là, entrain de travailler, face à leur écran.

    Le numérique ne l’a pas du tout fait sortir du « cadre » et lui a permis de travailler sur la mémoire et la faculté d’invention, sur le raisonnement et l’imagination, sur l’attention et l’apprentissage de l’autonomie, sur le respect des règles et l’esprit d’initiative et enfin sur l’acquisition du socle commun de connaissances et de compétences.

    Elle fait remarquer d’ailleurs à propos de l’esprit d’initiative « qu’un élève qui ne prend aucune initiative n’avancera pas dans son jeu ».

    D’après elle, avec le jeu numérique, « ça avance tout seul et l’enseignant est juste là pour guider ».

    Mise en pratique avec « Mission Zigomar » et « Brain Pop »

    Dans sa démonstration, elle présente notamment le jeu « Mission Zigomar » qui met en lumière les collections de la ville de Paris sous forme de musée et, parmi d’autres avantages que Christèle souligne dans la vidéo ci-contre, développe notamment la curiosité des enfants.
    Elle prend l’exemple d’une fois où les élèves sont allés au musée et ont découvert des œuvres qu’ils avaient déjà vues dans le jeu et « ils sont contents de voir les choses pour de vrai », souligne Christèle Ramaugé.

    Sur un autre exemple comme l’utilisation du jeu Brain Pop, où les élèves sont fans des personnages et trépignent à l’idée de les retrouver avant même de savoir sur quoi va porter la séance, Christèle Ramaugé avoue avoir réussi à « enrôler » ses élèves.

    J’arrive plus facilement à les mettre rapidement au travail en projetant l’interface de Brain Pop au TNI plutôt que mon ancien tableau vert et noir qui n’était pas forcément très accueillant.

    Ils jouent mais travaillent-ils vraiment ?

    Souvent, on pose la question à Christèle : « est ce qu’ils apprennent vraiment quelque chose tes élèves en jouant » ?

    Elle précise bien que le jeu est un support de cours et comme toute leçon, chaque élève va en ressortir un pourcentage d’apprentissage différent. Soit elle utilise le jeu en guise d’amorce pour d’autres séquences derrière, soit elle le met à profit sur une séance de réinvestissement de connaissances.

    « C’est comme une leçon apprise en classe, je ne me dis pas : « j’ai fait la leçon, c’est bon, ils savent ». Avec le jeu numérique, c’est pareil ; on fait le jeu mais ce n’est pas suffisant pour qu’ils aient acquis des connaissances à 100% ».

    Et l’enseignant dans tout ça, doit-il plus travailler ?

    En termes d’investissement en temps pour l’enseignant, Christèle Ramaugé ne cache pas que c’est très chronophage ; c’est aussi pour cela qu’elle encourage les enseignants motivés comme elle « à débroussailler le terrain », « ce qui va permettre aux enseignants un peu plus frileux ou qui ont moins de temps » de recevoir quelques conseils sur l’utilisation de tel ou tel jeu.

    Maintenant, elle reconnaît que de nombreux outils existent et qui apportent une aide précieuse et font gagner du temps ; elle cite notamment le portail Eduthèque ou encore le nouveau portail « Apprendre avec le jeu numérique ».

    Christèle Ramaugé ne détourne pas beaucoup de jeux à des fins éducatives ; d’abord, parce que c’est aussi très chronophage et aussi parce qu’elle se sert principalement de jeux ludo-éducatifs « qui sont dans un esprit d’apprentissage ».

    « Surtout qu’avant, c’était déjà tabou de dire : « il joue en classe, il ne travaille pas« . Aujourd’hui, on joue et on travaille« .

    Alors peut-être que maintenant, on va plus se permettre et oser avoir recours à des jeux qui ne sont pas issus du ludo-éducatif pour les détourner et les utiliser en classe, conclut-elle.

     

  • Au défi de la programmation en maternelle et en primaire avec Bee-Bot et Blue-Bot

    Au défi de la programmation en maternelle et en primaire avec Bee-Bot et Blue-Bot

    A l’occasion des NetJournées 2016 à Bischoffsheim dans l’académie de Strasbourg, nous avons rencontré Karine Sadran, maître animateur informatique sur la circonscription de Grasse. Elle nous a fait une parfaite démonstration des usages possibles des deux robots « abeilles » que sont la Bee-Bot et la Blue-Bot, sur le stand de la société Easytis.

    Karine Sadran intervient dans les classes de la petite section de maternelle au CM2. Elle a proposé les projets liés à la robotique à l’ensemble des classes de sa circonscription et notamment en lien avec la Bee-Bot et la Blue-Bot « ayant trouvé cette petite bestiole à la bouille fort sympathique ».

    Ce robot a notamment reçu un très bon accueil dans les classes de maternelle et de CP dans lesquelles Karine a eu l’occasion d’intervenir.

    La Bee-Bot, le compagnon indispensable des maternelles

    Avec la Bee-Bot, il suffit de programmer un trajet avec les boutons qui sont sur son dos et d’appuyer sur « Go », le bouton vert, pour la faire démarrer. Les enfants peuvent voir immédiatement le résultat de leur programmation et « cela les motive énormément », souligne Karine.

    Cette activité va permettre notamment de travailler sur tout ce qui est organisation spatiale, « repérer un objet par rapport à soi, repérer la gauche et la droite etc ».

    Pour ce qui est du tapis, il est possible pour l’enseignant de fabriquer son propre tapis en y inscrivant ce qu’on veut dessus. Karine donne l’exemple d’un tapis qu’elle a conçu en lien avec la phonologie pour les CP ; pour les classes de maternelle, elle a utilisé un tapis d’une “ville“ avec différents magasins.

    « On avait déterminé la maison de l’abeille puis on a tiré une carte qui disait “aujourd’hui, Bee-Bot va chez le coiffeur“ donc il fallait trouver le salon de coiffure, déterminer un trajet, expliquer par où on allait passer et une fois qu’on était arrivé, dire “je suis bien arrivé au salon de coiffure“ ».

    Ce genre d’exercice aide les enfants à verbaliser ce qu’ils font, à les faire travailler à l’oral.

    « Ça a permis de dédramatiser la prise de parole ; certains enfants qui étaient des petits parleurs se sont engagés volontiers dans l’activité », souligne Karine.

    Avec la Blue-Bot, on va encore plus loin dans la programmation.

    La Blue-Bot est en liaison Bluetooth, soit avec la barre de programmation, soit avec la tablette.

    Pour la barre de programmation, on utilise des cartes qui indique la direction à prendre ou l’action à réaliser (tout droit, tourner etc).
    Lorsque le trajet a démarré, les élèves peuvent suivre sur la barre de programmation où en est l’abeille sur le tapis et vérifier si cela coïncide.
    « Les enfants sont très attentifs à ce que programment les autres et sont très enclin à indiquer une erreur éventuelle ou proposer une correction ».

    C’est aussi très intéressant de voir les interactions élèves.

    Avec la barre de programmation, on peut entrer dans de la véritable programmation avec la possibilité de créer des boucles et de comprendre le fonctionnement des boucles, en utilisant moins de cartes, « puisque quand on programme, on se doit d’économiser les signes », précise Karine.

    Encore un autre stade de programmation en utilisant Blue-Bot et son application sur tablette.

    C’est la dernière étape de programmation que Karine propose aux classes à partir du CE1 où on va utiliser la Blue-Bot avec son application dédiée sur tablette.
    « Il sera possible de créer des programmes beaucoup plus longs avec l’application ».

    « Au niveau de la compréhension spatiale, on passe sur un support complètement virtuel donc cela ne met pas en jeu les mêmes choses pour les élèves par rapport à la visualisation de l’espace », ajoute Karine.

    Et si on faisait un défi à plusieurs abeilles ?

    Enfin, Karine propose aux classes de CM2 qui maîtrisent déjà bien la programmation de la Bee-Bot ou de la Blue-Bot, de créer des défis à plusieurs abeilles, « qui vont permettre un vrai travail de résolution de problèmes ».

    Par exemple, elle va donner trois Blue-Bot aux élèves avec trois points de départ différents sur le tapis mais le même point d’arrivée. La consigne est d’arriver en même temps mais de ne pas se tamponner.

    « Cela va supposer de trouver un parcours, de se mettre d’accord avec les autres pour ne pas se tamponner, éventuellement utiliser le bouton pause pour permettre à l’abeille de s’arrêter et de laisser passer une autre concurrente pour arriver correctement au point final sur le tapis ».

    Plus d’infos :
    Ne manquez pas les démonstrations de Karine en images en regardant la vidéo ci-contre.
    Encore un doute ou des questionnements ?
    N’hésitez pas à contacter la société Easytis qui distribue ces matériels : www.easytis.com

  • « NEIGE », une ressource pour cycles 2 et 3

    « NEIGE », une ressource pour cycles 2 et 3

    Ce DVD comprend le film d’animation Neige produit par le studio Folimage, à l’origine de plusieurs longs métrages plébiscités par le public et les critiques ces dernières années (La prophétie des grenouilles, Mia et le Migou, Une vie de chat, Phantom Boy…).

    Dans ce film de 28 minutes, les réalisateurs, Antoine Lanciaux et Sophie Roze, proposent une histoire en tissus et papiers découpés qui traite de la différence avec finesse et émotion.

    La neige, personnage à part entière, poussera les jeunes héros à braver le danger dans des conditions extrêmes.

    Synopsis du film :

    Canope_neige2_210416Après le départ de Prune en classe de neige, une incroyable tempête de neige s’abat sur la ville. Son frère Philémon et ses parents vont découvrir une famille d’Inuits, installée sur un rond-point. Cette étonnante rencontre marquera le début d’une merveilleuse aventure, peuplée d’animaux sauvages et d’imprévus.

    Outre ce film d’animation, le DVD intègre de nombreux compléments :

    Neige, histoire(s) d’animation, un documentaire de 12 minutes qui présente le travail de création : la naissance du projet et la technique d’animation employée ;

    Neige, histoire(s) d’Inuits, un documentaire de 11 minutes qui présente trois œuvres de la culture inuite par des médiatrices du musée des Confluences ;

    ▪ un livret pédagogique, qui vient développer les questions sur la technique d’animation employée et sensibiliser les élèves à une culture riche et méconnue ;

    ▪ une galerie d’extraits vidéos et d’images ;

    ▪le fichier audio de l’histoire adaptée du film parue dans le magazine Les belles histoires (Bayard).

    A noter : la version audiodescription et la version sous-titrée du film d’animation Neige.

  • Une première approche de la musique en classe avec Juliette !

    Une première approche de la musique en classe avec Juliette !

    Au cours de cette histoire, Juliette essaiera de « redonner » le sourire au soleil par la musique.

    Cahiersmusical_120416

    Elle fera découvrir aux lecteurs des instruments comme le piano, la guitare, le saxophone, la batterie ou encore l’harmonica. Ce livret est au format électronique (PDF) afin de faciliter les copies pour les élèves de la classe.

    De plus, le livret permet de télécharger les sons des instruments au format MP3, ce qui est toujours bien utile en classe. L’auteur a également pensé à ajouter les images de l’histoire au cas où l’enseignant voudrait projeter les images via un vidéo-projecteur ou un tableau numérique tout en narrant l’histoire.

    Pour aller encore plus loin, nous venons de lancer une version vidéo / audio de cette histoire. C’est-à-dire que 2 voix off racontent l’histoire accompagnées de musique, d’instruments et de bruitage.

    Résultat : une vidéo de 7 minutes à diffuser en classe avec les images du livret qui défilent.

    Ce livret est déjà bien utilisé dans les classes où les enseignants sont soucieux de faire « découvrir » la musique aux plus jeunes.

    Pour en savoir un peu plus sur ce livret et sa vidéo:
    www.mon-eveil-musical.com/

    Quelques avis d’enseignants en maternelle et en primaire…

    Lydie Soddu
    Très bonne initiative, c’est très rare d’avoir une histoire pour inviter les élèves à aimer la musique. J’ai une classe de 8 autistes de 6 à 14 ans, j’essaie de les éveiller à la musique… Tout est bien pené. Merci de nous avoir facilié la tâche. L’histoire est super bien faite. Mille fois merci.

    Sandrine Lognard
    Je suis institutrice en 1e année.  Apprendre un chant , ce n’est pas compliqué mais les initier à la musique, c’est autre chose. Et le faire via une histoire, je dis oui.

    Myriam Loukili
    Je vous remercie… Je suis étudiante en dernière anée et je trouve que la musique n’est pas assez exploitée à l’école. Ce livret me sera très utile en tout cas.

    Marie Poulets
    Merci beaucoup pour ce travail et ce partage. Je suis en dernière année donc cela me sera très utile pour commencer ma carrière.

    Catherine Azzini-Lebrun
    Bonne idée pour faire découvrir la musique à mes élèves qui adorent écouter des histoires.

    Coralie Rogge
    La musique a toute sa place à l’école. Les enfants sont d’ailleurs ravis lorsqu’on leur en propose…

    L’idée est super chouette… moi qui encourage les chants dans les classes. La musique n’est pas du temps perdu mais une acquisition de rythmes, sonorités, connaissance, histoire et surtout plaisir partagé…

    Elodie Lopez
    Bonjour, enseignante de deuxième primaire, j’adore ces moments de découvertes musicales avec mes petits. Je suis très heureuse d’avoir reçu votre livret pour ainsi le faire partager dans ma classe! La musique est un des éléments indispensables dans l’éducation des enfants et dans ma vie personnelle elle y joue un grand rôle. Je vous remercie.

     

  • Easytis, des solutions pour tous pour développer les usages numériques à l’Ecole

    Easytis, des solutions pour tous pour développer les usages numériques à l’Ecole


    Société française spécialisée dans les objets connectés à usage pédagogique, EASYTIS est née le 21 mars 2014 de la rencontre de Patrice ULLES, Laureen TORDEUX et Olivier MICO qui ont décidé de conjuguer leurs talents en créant leur propre entreprise, après un passage commun dans monde des TBI. EASYTIS montrait ses solutions sur le salon Educatice avec un succès certain !

    Dans le nom EASYTIS, vous comprendrez la démarche des créateurs : rendre le numérique en classe, les T.I.C.E (Technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement) à la portée de tous, sans que ce ne soit ni compliqué ni onéreux.

    EASYTIS développe avec ses partenaires des outils dédiés à l’apprentissage du codage informatique, compétence transversale intégrée dans les nouveaux programmes dès la rentrée 2016, et il est important de disposer de bons outils pour l’enseigner aux élèves. Des outils faciles à prendre en main et qui ne soient pas trop onéreux, ce que propose EASYTIS aujourd’hui, à la fois en vente directe (en ligne notamment) et à travers des revendeurs, sur tout le territoire français.

    Un des produits phare de la société est le Beebot, un robot programmable ressemblant à une abeille.Le capital de sympathie du petit robot en fait un facteur de motivation important pour les élèves.

    Mais les professeurs voient rapidement les plus-values pédagogiques de cet outil. Ainsi, une enseignante proche des 3 créateurs de l’entreprise était franchement réfractaire aux TICE … jusqu’à croiser la route d’un Beebot. Depuis, elle utilise quotidiennement cet équipement, notamment pour la remédiation et en est devenue la représentante auprès de son inspectrice.

    D’autres solutions sont bien sûr disponibles sur notre site, comme des outils autour du langage, des tablettes, de la vidéo-projection etc ! rdv sur www.easytis.com et à l’occasion des nombreux salons à venir !
    Educatice_easytis

  • EDSMILE : l’assistant numérique innovant pour les enseignants

    EDSMILE : l’assistant numérique innovant pour les enseignants

    [callout]EDSMILE présente l’assistant numérique innovant dédié à la préparation de cours des enseignants et au pilotage pédagogique.[/callout]

    Selon plusieurs enquêtes françaises et internationales, un enseignant du primaire passe en moyenne plus de 8 heures par semaine à préparer ses quelques 900 heures de cours par an.

    Il utilise souvent un simple traitement de texte ou un tableur pour organiser sa pédagogie et navigue dans un nombre toujours croissant de sites Internet pour identifier des ressources pédagogiques appropriées.

    EDSMILE assiste l’enseignant en lui permettant de créer très simplement et efficacement tous ses documents de préparation : progressions pédagogiques, fiches de prep’, emploi du temps, journal de classe etc…

    Grâce à une interface pratique et intuitive, l’enseignant peut adapter sa préparation à la réalité de sa classe, et ainsi gagner en temps, en flexibilité et pertinence. EDSMILE analyse les documents de préparation de l’enseignant et lui recommande des ressources (cours, exercices, vidéos…) en recherchant sur Internet celles qui sont adaptées à ses choix pédagogiques.

    L’ensemble du travail de l’enseignant est synchronisé automatiquement, peut être partagé en équipe et devient accessible à tout instant depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone.

    EDSMILE est un service pour tous les enseignants du primaire, quel que soit leur niveau de maitrise des TICE.

    La plateforme a été imaginée et conçue par Michael Ramassamy, professeur des écoles pendant 13 ans, qui a obtenu le soutien de la BPI, de deux incubateurs et a été reconnu « Projet innovant » par le Ministère de l’Education Nationale.

    Plus d’infos :
    Soyez parmi les premiers en France à découvrir EDSMILE, la plateforme pédagogique qui va donner le sourire aux enseignants 2.0 ! Rejoignez edsmile sur www.edsmile.com et bénéficiez de l’offre SMILE gratuitement pendant 1 mois.