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  • Pierre-Yves Duvoye, Recteur de l’académie de Versailles, témoin des NetJournées

    Pierre-Yves Duvoye, Recteur de l’académie de Versailles, témoin des NetJournées

    L’académie de Versailles pèse 10% de la France environ  avec un million d’élèves et 80 000 enseignants sur les 800 000 du territoire national ; c’est en cela, la plus importante académie de France.

    Le contraste est une des particularités de l’académie de Versailles.

    Le numérique a une déjà une longue histoire dans cette académie et dans les quatre départements qui la composent : Hauts de Seine, Essonne, Val d’Oise et les Yvelines.

    « Avec le CRDP et à sa tête Pascal Cotentin, nous avons développé beaucoup d’actions dans plusieurs domaines touchant au numérique : ressources, baladodiffusion, tablettes etc et aujourd’hui nous avons toujours un certain nombre d’expérimentations en cours ; sans oublier de nombreux enseignants dynamiques et engagés dans le numérique qui sont prêts à modifier leur manière d’enseigner« , souligne M. le Recteur.

    La présence de M. le Recteur sur la 6ème édition des NetJournées est d’autant plus cohérente tant l’académie est impliquée dans l’ENT, notamment sur les départements des Hauts de Seine et du Val d’Oise dont Pierre-Yves Duvoye a pu suivre une courte présentation, qui n’a fait que confirmer son intérêt pour l’outil comme il l’exprime : « je connaissais les contours de l’ENT ; je viens d’en voir la démonstration : elle est totalement exceptionnelle« .

    Et il tient à préciser qu’en cela, l’académie a déployé déjà beaucoup de moyens dans l’accompagnement des enseignants à ces outils.

    « Et je suis tout à fait déterminé à y mettre les moyens nécessaires pour qu’on puisse utiliser ces ressources de façon optimale et de plus en plus« , souligne t-il.

    Et lorsqu’on lui pose la question sur les deux autres départements, l’Essonne qui est en cours de déploiement (http://moncollege.essonne.fr) et les Yvelines, pas encore équipé, il s’avoue confiant, « fort d’ailleurs des deux expériences réussies des Hauts de Seine et du Val d’Oise« , conclut-il.

    Toutes les interviews réalisées sur les NetJournées sont à voir sur notre page plateau TV ici

     

     

  • ITOP éducation reçoit le Prix de l’Innovation du Salon des Maires et des Collectivités Locales

    ITOP éducation reçoit le Prix de l’Innovation du Salon des Maires et des Collectivités Locales

    ITOP_prix innovation_291113Yannick Joly, Directeur Associé du Groupe ITOP, recevant le Prix de l’Innovation

    C’est l’Environnement Numérique de Travail NetEcole, plateforme pédagogique en ligne, combinaison d’outils de communication entre les parents et les écoles et d’outils périscolaires pour les Mairies, qui a retenu l’attention du jury.

    77 dossiers avaient été retenus et classés en 11 catégories. Ce prix récompense les produits, matériels, systèmes, services ou techniques innovants. Développés par les fournisseurs de biens et services du secteur des collectivités locales, ces innovations apportent des réponses concrètes aux problématiques actuelles qui se posent aux décideurs locaux.

    Le jury, présidé par Jacqueline Gourault, vice-présidente de l’AMF (Association des Maires de France), sénateur-maire de La-Chaussé-Saint-Victor, s’est réuni le jeudi 31 octobre afin de délibérer.

     

    À propos d’ ITOP éducation

    ITOP éducation occupe une position clé dans le panorama de l’éducation. Présente depuis plus de dix ans sur ce secteur, elle produit une offre complète de logiciels innovants qui couvre tous les besoins des établissements scolaires, de la maternelle au lycée. Plus de quatre millions d’utilisateurs échangent au travers des Environnements Numériques de Travail ou accèdent aux ressources pédagogiques multidisciplinaires ITOP éducation et gèrent notes et absences grâce au module de vie scolaire Educ-Horus. Sur plus de quinze projets ENT en généralisation, ITOP éducation offre également ses services d’accompagnement, formation, hébergement et support. Pour développer les nouveaux usages et conduire une stratégie d’innovation volontariste, plus de 20% du chiffre d’affaires sont consacrés chaque année à la recherche et au développement.  Depuis 2012, Hervé Borredon, PDG d’ITOP est élu président de l’Afinef, Association Française des Industriels du Numérique pour l’Education et la Formation. Cette nouvelle entité fédère et structure l’ensemble de la filière numérique éducative et assure l’interface entre industriels et institutionnels,  www.afinef.net

    Le groupe ITOP fête ses 10 ans ! Rendez-vous sur le site dédié : http://www.itop.fr/10ans/

  • NetEduc pour le secondaire : une innovation ITOP éducation

    NetEduc pour le secondaire : une innovation ITOP éducation

    Conçu pour répondre à la demande des enseignants, des académies et des collectivités, NetEduc propose :

    – des ressources granulaires, multidisciplinaires et organisées par ensembles pédagogiques, indexées sur les programmes officiels, utilisables sur tous supports (ordinateurs, tablettes, tableaux blancs interactifs…).

    – des outils de personnalisation et de suivi : création de parcours, création de nouvelles données, gestion du suivi.

    – un modèle économique favorisant les usages : abonnement pour l’ensemble de l’établissement avec usage possible depuis le domicile des élèves et des enseignants.

    – une offre de contenus personnalisable « à la carte » pour répondre aux différents besoins des collectivités ou académies en fonction de leurs projets ou thématiques prioritaires.

    Plus d’infos : www.itop.fr      
    ITOP est membre de l’AFINEF, www.afinef.net

     

  • Enjeux et formes de déploiement massif d’un ENT primaire

    Enjeux et formes de déploiement massif d’un ENT primaire

    Une forme de « coopérative de l’ENT » pour permettre à tous d’accéder à l’outil numérique

    Dans la Somme, Yves Landos, animateur TICE de la DSDEN nous explique comment l’ENT premier degré s’est installé massivement dans 154 écoles et 494 classes, naturellement et sur l’engagement volontaire des enseignants.
    Aujourd’hui, ce sont 9700 comptes élèves qui sont enregistrés.

    La mise en place du projet a été portée par un syndicat mixte, « Somme Numérique », qui a notamment pour mission d’aider les collectivités dans le développement de la e-éducation.
    Les collectivités font le choix ou non d’adhérer à « Somme Numérique ».

    L’intérêt, en ce qui concerne l’ENT, est d’avoir la possibilité d’accéder à cet outil à un coût raisonné ; en effet, le principe est que la collectivité paie en fonction du nombre d’élèves (la facture s’établit sur la base des comptes élèves ouverts).
    De cette façon, les communes, même les plus petites, ont la chance de pouvoir intégrer un ENT dans leurs écoles.

    Une base de groupement « coopératif » qui s’avère efficient pour ce territoire, au regard des chiffres annoncés de comptes élèves opérationnels.

    Un groupement de commandes pour intégrer l’ENT de manière progressive

    Du côté de Nantes, le choix du modèle s’est porté sur la création d’un groupement de commandes pour permettre aux communes d’accéder aux services d’un ENT.

    Alain Couëffé, ancien Conseiller TICE premier degré auprès du Recteur de Nantes, aujourd’hui à la retraite, nous donne quelques points clés du projet.

    « Le projet vient d’une volonté forte du recteur d’opter pour une solution unique et d’inscrire l’ensemble des élèves dans un continuum numérique car l’ENT est déjà en place dans le second degré dans les collèges et lycées ».

    Le recteur de l’académie vise une solution simple mais évolutive à but essentiellement pédagogique de manière à contribuer à améliorer les conditions d’apprentissage, la maitrise des connaissances et des compétences du socle.

    Le financement sera double : d’une part, par l’académie pour tout ce qui est formation et donc non intégrée dans la solution ; d’autre part, par les collectivités qui paieront un abonnement puisque c’est le mode SaaS* qui a été retenu.

    Le groupement de commandes a démarré avec 150 communes, sans obligation d’impliquer toutes leurs écoles en même temps, comme l’explique Alain Couëffé : « compte tenu de la taille de certaines collectivités, on peut comprendre que l’engagement d’une collectivité ne soit pas total au départ. Pour exemple, une commune comme Nantes qui regroupe plus de 60 écoles, ne peut pas, sur une seule année, engager l’ensemble de ses élèves ; c’est pourquoi nous leur avons proposé d’engager quelques écoles puis, à partir du moment où elles sont membres du groupement de commandes, elles peuvent plus tard, intégrer plus d’écoles ».

    Dans certaines communes, seulement une ou deux classes se sont engagées au départ puis les autres suivront.

    La solution juridique du groupement de commandes s’avère bien adaptée ; le seul bémol qu’émet Alain Couëffé est que c’est une entité fermée à savoir qu’une fois créée avec ses membres, aucune nouvelle commune ne peut adhérer, si ce n’est pas le biais d’une création d’un autre groupement de commandes. Il indique que le GIP (groupement d’intérêt public) aurait été plus ouvert mais le délai de sa mise en œuvre est long et cela ne pouvait pas convenir au vu des échéances politiques de 2014.

    Une bonne entente entre les partenaires, un gage de réussite d’implantation d’un ENT primaire

    Quelque soit le modèle, Alain Couëffé rappelle l’importance d’une bonne entente entre les deux partenaires que sont l’éducation nationale et les collectivités locales.
    « Nous avons constaté qu’il y avait des volontés des écoles qui n’étaient pas forcément partagées par les communes et inversement, des communes qui étaient partantes et des écoles mal préparées à recevoir cet outil, ce qui débouchait sur un refus, soit de la collectivité, soit de l’école ».

    Il insiste sur la communication qui doit s’établir à l’attention des différents partenaires pour que chacun comprenne ce qu’est un ENT et ses enjeux.
    « En général c’est par un déficit de communication que les projets de déploiement n’aboutissent pas », conclut-il.

    *Le mode SaaS (Software as a Service) est un concept assez récent qui permet aux entreprises de s’abonner à un logiciel à distance au lieu de les acquérir et de devoir les installer sur leur propre matériel informatique.

    Interviews réalisées au cours des NetJournées d’ITOP éducation.

  • Continuité du numérique à l’école : une priorité du Val d’Oise

    Continuité du numérique à l’école : une priorité du Val d’Oise

    Le Conseil Général, en partenariat avec l’Education Nationale et la Région Ile de France, joue, depuis une dizaine d’années, la carte du numérique et pas seulement dans ses collèges ; investir dans les écoles pour permettre une continuité numérique est aussi un des challenges que s’est lancé le département, au-delà de son champ de compétences.

    Continuité et partenariat sont les deux maîtres mots qui pilotent l’arrivée du numérique dans les collèges et les écoles du Val d’Oise.
     
    Cela se matérialise par la mise en place d’équipements numériques tels que les TNI, dans les classes de CM2 des écoles rattachées aux collèges concernés par le Plan Numérique des Collèges.De plus, l’accès aux ressources d’ANPER95 (une plateforme numérique proposant des contenus éducatifs) a été étendu aux élèves, enseignants et parents du primaire. Marie-Christine Cavecchi, Vice-Présidente du Conseil général en charge de l’Education et de l’enseignement supérieur et premier adjoint à la mairie de Franconville tient à souligner l’ambition du département de mettre en place cette continuité éducative.

    « Le département a équipé en tableaux numériques des classes de CM2 des écoles de Franconville qui envoyaient les enfants dans des collèges qui étaient déjà équipés en numérique afin qu’il y ait une liaison pour les enfants et que les enseignants puissent aussi travailler ensemble ».

    Elle ajoute que ce continuum a été rendu possible par les liens étroits que le département entretient avec les services de l’éducation nationale.

    L’ENT arrive, après un déploiement massif de différents équipements, comme un point d’honneur, « comme une cerise sur le gâteau », pourrait-on dire.

    70 collèges sont déjà équipés et parmi eux, le collège Lucie Aubrac d’Argenteuil, où le dynamisme de sa chef d’établissement, Mme Kerioui, et de son équipe, a rendu possible un développement permanent des usages.

    « L’environnement numérique de travail, ça change la vie », déclare t-elle « et cela nous permet de créer une véritable continuité éducative ».

    Continuité, il en est aussi question pour faire le lien entre l’école et la maison et c’est un des objectifs de l’ENT, comme le souligne Pascal Cotentin, Conseiller TICE auprès du Recteur de l’académie de Versailles, « l’ENT permet de faire sortir l’école de la classe et de l’établissement ».

    Remotiver les élèves par le numérique, c’est aussi un des enjeux de ce vaste plan car « face à la jeunesse la plus déprimée du monde, il faut bien redonner le goût à l’école », poursuit-il.

    Au collège Lucie Aubrac d’Argenteuil, les élèves que nous avons rencontré ont pris conscience des avantages du numérique dans leur classe notamment de l’ENT ; ils se comparent à certains collèges voisins  qui ne l’ont pas encore, comme le souligne Vincent, élève de 6ème, « au collège Ariane par exemple, ils n’ont pas d’ENT et lorsqu’un prof est absent, ils ne sont pas au courant à l’avance alors que nous, ça nous évite une heure de permanence ; en allant sur l’ENT, on sait quel prof ne sera pas là le lendemain ».

    On observe une dynamique de pratique, souvent insufflée par le chef d’établissement ; c’est le cas au collège Lucie Aubrac où Mme Kerioui a totalement adopté l’outil et ajoute même avoir dépassé le stade de l’utilisation de l’ENT comme outil de vie scolaire et « entrer maintenant dans une phase qu’elle décrit comme le cœur des ENT ».

    Il s’agit maintenant pour elle de travailler avec cet outil de manière pédagogique (enseigner à distance, utiliser des ressources…), pour entrer dans un temps de collaboration ; une collaboration à l’intérieur de son établissement, avec les parents mais aussi avec les équipes du primaire qui peuvent avoir accès à l’ENT et participer à des commissions, par exemple.

    A l’école Jules Ferry de Franconville, l’ENT arrive comme un  « jeune premier ». Installé depuis février 2013, les enseignants, déjà de gros consommateurs de numérique notamment par l’utilisation quotidienne du TNI, l’ont accueilli à bras ouverts.

    « Avec l’arrivée du TNI, nous avons constaté une réelle dynamique chez les enseignants », souligne Mickaël Prigent, le directeur de l’école. Il pointe du doigt le fait que les travaux des enseignants peuvent être partageables entre tous car le TNI laisse une trace ; une habitude qui pourra être d’autant plus facilitée avec l’ENT.

    Le numérique permet une discussion entre enseignants. « Il est vrai que le TNI, nous l’avons totalement approprié ; l’ENT, pas encore et il va faire l’objet de nombreuses conversations entre enseignants, élèves et parents ».

    Pour Mickaël Prigent, le contact que l’ENT va créer avec les parents lui semble un des atouts principaux.
    « Nous avons déjà des relations très étroites et apaisés avec les parents et nous pensons que l’ENT peut encore favoriser ces relations ».

    Des débuts prometteurs puisque dès les premiers jours, le directeur enregistrait un nombre de connexions important, « autour de 500 connexions sur les 3 premiers jours ».

    Reportage réalisé au cours d’un voyage de presse pendant les NetJournées d’ITOP éducation.

  • Une 5ème édition des NetJournées riche en contenus et en émotions

    Une 5ème édition des NetJournées riche en contenus et en émotions

     

    Hervé Borredon nous a présenté de manière synthétique les enjeux de cette nouvelle édition qui proposait pas moins de 200 ateliers sur 14 espaces thématiques : démonstrations d’usages, présentation d’innovations, forums, formations… autour des ENT, ressources et outils pour l’enseignant et la vie scolaire tout au long de la journée du mercredi.

    Au cours de cette édition, ITOP a affiché ses nouveautés. Parmi elles,
    –    NetEduc, un portail évolutif et ouvert de ressources et d’outils numériques au service de la classe
    –    la V3 pour le primaire ou le secondaire
    –    La Simply Digital School qui a pour but de montrer une mise en situation de toutes les technologies disponibles, l’interaction qu’elles peuvent avoir entre elles et le rôle central de l’ENT dans ces interactions.

    Hervé Borredon ajoute que cette 5ème édition a lieu dans un contexte très favorable et dynamique notamment par les annonces de Vincent Peillon dans le projet de Refondation de l’Ecole et la place que devrait occuper le numérique dans ce changement.

    Il constate que les choses évoluent en matière de numérique.

    « Nous avons remarqué que de plus en plus  d’utilisateurs ne cherchent plus l’innovation en termes d’usages et que nous avons maintenant des usages quotidiens du numérique ; cela devient presque banal d’utiliser le numérique et les ENT dans certains établissements et ce nombre, de plus en plus important, ne cesse de progresser », conclut-il.

  • Les industriels du Numérique dans l’Education et la Formation créent leur association

    L’AFINEF a pour mission la valorisation, la promotion et le développement économique de la filière numérique de l’éducation et de la formation professionnelle continue en France et à l’international.

    Elle a également pour objectif de rassembler de façon large, de fédérer et de structurer l’ensemble des entreprises de la filière afin d’assurer l’interface de la profession avec les autres acteurs présents sur ces secteurs (Ministères, collectivités territoriales, partenaires sociaux, OPCA, associations et fédérations d’acteurs de l’enseignement, instances européennes, autres associations professionnelles et internationales…).

    Enfin, l’AFINEF ambitionne de développer une puissante industrie numérique éducative « à la française », au travers d’une démarche collective d’innovation technologique, économique, sociale et pédagogique.

    Rassemblant, sous l’égide du pôle de compétitivité CAP DIGITAL, PME, start-ups, grands groupes et associations, les 26 membres fondateurs, , témoignent de la diversité des acteurs du secteur : 4n Media Group, Alterway, Educaweb, eInstruction, Encyclopaedia Universalis, GEDEM, GIE lesite.tv, Ilobjects, Itop Education, Jeulin, Kosmos, KTM Advance, Logica qui fait maintenant partie de CGI, Microsoft, Milliweb, myBlee, PM Conseil, Promethean, Simple IT, SNE (Groupe Education), TELLMEMORE, Texas Instruments, Tralalère, Unowhy, Viforma, WebServices Pour l’Education.

    Plus d’information sur http://www.afinef.net

  • ITOP éducation devient S.A.S. au capital d’1 million d’euros

    Accompagnées d’une augmentation de capital de 880 000 euros, ces évolutions valorisent l’image de la société mais ne modifient pas le mode de gestion de l’entreprise. Le nouveau statut permet à ITOP éducation de conforter sa position majeure sur le marché des Environnements Numériques de Travail et des ressources et outils numériques pour l’éducation.

    Il correspond davantage à l’importance financière de la société qui a généré en 2011 un chiffre d’affaires de plus de 2 millions d’euros. « Le passage en S.A.S nous permet notamment d’accroitre la confiance de nos clients, de nos banques et de tous nos partenaires », explique Hervé Borredon, Président du Groupe ITOP.

    Plus d’infos :

    www.itopeducation.fr