Étiquette : EPITA

  • 4e édition de l’exercice DEFNET 2017 : l’EPITA au cœur du combat numérique

    4e édition de l’exercice DEFNET 2017 : l’EPITA au cœur du combat numérique

    Depuis 2 ans, le ministère de la Défense propose aux écoles d’ingénieurs de s’entraîner aux côtés des armées dans le cadre de l’exercice interarmées DEFNET. Pour cette 4e édition, 240 étudiants de 12 écoles ou établissements d’enseignement supérieur de la région parisienne et de Bretagne dont l’EPITA ont répondu à l’invitation de l’état-major de cyberdéfense.

    Participation renforcée pour l’EPITA

    Forte du succès rencontré auprès des étudiants lors de la session 2016, l’EPITA renoue cette année avec l’entraînement de cyberdéfense DEFNET : cette année, 37 étudiants de la majeure Systèmes-Réseaux-Sécurité feront l’exercice le 20 mars et pour la première fois, 14 de nos étudiants en apprentissage le feront le 29 mars. Ce sont donc 51 étudiants qui s’entraîneront avec un encadrement de militaires au sein de l’école.

    Joël Courtois, Directeur Général de l’école, précise : « Cet exercice est particulièrement adapté à nos étudiants. Il leur permet d’acquérir des savoir-faire complémentaires à leur cursus et de renforcer leurs connaissances sur les bonnes pratiques en matière de cyberdéfense. »

    À terme, ils pourront participer activement à la résilience de la Nation, en s’engageant dans la réserve ou dans la filière « combattant numérique ».

    DEFNET 2017 : mettre l’accent sur la formation

    Créé en 2014, DEFNET est un exercice interarmées annuel. Il met en œuvre l’ensemble du dispositif de réponse à une crise cyber majeure en s’appuyant sur les capacités humaines et matérielles des différents acteurs de la chaîne cyber : armées, industriels et monde de l’enseignement. Au total : 150 militaires, 240 élèves, 12 établissements –universités et grandes écoles s’entraînent pendant deux semaines, partout en France, à la résolution d’une quarantaine d’incidents.

    Cet exercice met en lumière les nécessaires synergies entre tous les acteurs, et l’effort de formation et de recrutement à mener dans les années à venir. La numérisation croissante de nos sociétés rend en effet, primordiales la sensibilisation et la montée en compétences cyber de nouveaux profils, à identifier notamment au sein des réserves.

     

  • Mieux comprendre les enjeux de la Smart City avec l’EPITA

    Mieux comprendre les enjeux de la Smart City avec l’EPITA

    Le mardi 31 janvier 2017, l’EPITA organisait une grande conférence sur la thématique de la Smart City. Animée par le journaliste Cédric Ingrand elle réunissait plusieurs personnalités intéressées par ce concept de la ville nouvelle : Eric Charreyron, directeur de la prospective chez Keolis, Jérôme Coutant, responsable numérique au sein de la direction de la valorisation du patrimoine de la Société du Grand Paris, Jean-Luc Estienne, directeur de STMicroelectronics Montrouge, Carlos Moreno, scientifique humaniste, expert international sur le sujet et envoyé spécial de la Maire de Paris sur la question de la Smart City ainsi qu’Emmanuel Schneider, Country Digitization Acceleration Director à Cisco.

    En préambule à une table-ronde réalisée en compagnie des différents invités, la parole a été donnée à Carlos Moreno.

    Très heureux d’être présent à l’EPITA, école où il a pu donner des cours par le passé et recruter des collaborateurs pour son ancienne activité entrepreneuriale, ce penseur de la Smart City en a profité pour rappeler les enjeux d’un tel projet de vi(ll)e.

    « Ma vision de la problématique urbaine est simple : il n’y a pas de modèle défini. En effet, chaque ville possède son propre contexte. D’ailleurs, les villes sont vivantes : chacune se développe avec son propre métabolisme urbain. Or, on a du mal à connaître ces métabolismes. Pour les comprendre, il faut se plonger dans les villes, leur histoire, leur évolution, leurs besoins. Surtout, il faut bien avoir en tête qu’on est dans la ville pour vivre et avant tout partager. C’est l’essentiel. Améliorer une ville, en la faisant devenir intelligente, c’est donc mettre l’humain et ceux qui partagent ce territoire au centre des préoccupations. Ce sont des projets politiques, sociétaux, culturels : on façonne une ville en fonction de ce que nous voulons donner à ses habitants. »

    L’ère des mégalopoles

    Pour l’expert, le sujet de la Smart City coïncide aussi avec une prise de conscience sur l’environnement (« Ces derniers mois, nous avons tout de même vécu l’accord de la COP 21, la COP22 à Marrakech et la tenue de la conférence Sustainable Developpement Goals avec un accord mondial sur le développement durable »), mais surtout la nouvelle place occupée par les métropoles au 21e siècle.

    « Le monde a changé. En 70 ans, nous sommes passés de 2 à 6 milliards d’habitants. Des villes comme Tokyo, Mexico, Bali et Jakarta possèdent chacune environ 30 millions d’habitants. D’autres, comme Canton et Shanghai sont plus proches des 50 millions d’habitants. Désormais, une région mégalopolitaine équivaut à un pays : le PIB d’une ville pouvant même être supérieur à celui de l’État. Si le 20e siècle était le siècle des nations et qu’avant, c’était le temps des empires, le 21e siècle sera celui des villes et métropoles. Ces dernières deviennent des points de repère, des remparts, et rentrent désormais dans une course d’attractivité entre elles. »

    Évidemment, Carlos Moreno n’oublie pas non plus l’évolution technologique, avec en premier lieu l’hyper connectivité, renforcé par l’essor de l’Internet of Things, qui bouleverse les habitudes.

    « Les gens n’ont plus besoin de se déplacer pour acquérir des connaissances. Cela change la donne en matière d’innovation et de développement. »

    « Ce phénomène ubiquitaire, associé au phénomène urbain, amène une nouvelle dimension : certaines villes du Sud n’ont plus à envier d’autres villes du Nord. Cela change aussi le rapport entre gouvernants et gouvernés. Les règles du jeu de la vie urbaine ont changé. »

    Vers la Happy City

    La Smart City qui arrive devra donc savoir relever de nombreux défis, pas seulement technologique (mise en œuvre des solutions, choix des outils), écologique (augmentation des émissions de CO2 et qualité de l’air, stress hydrique…) et sanitaire (nouvelles maladies urbaines, gestion des canicules).

    « Il faut une convergence de cohésion sociale, pour mieux vivre ensemble. Cela passe également par la réinvention des infrastructures urbaines : suppression du diesel, créations de parcs, d’espaces verts, d’espaces publics et penser les nouveaux paradigmes de la mobilité. Pour passer de la Smart City à la Happy City, il faut garantir la sécurité, la santé, l’accessibilité, la prospérité, la sociabilité connectée, une vie culturelle à la hauteur… »

    Un bon exemple selon Carlos Moreno ? Le concept de ville nouvelle imaginé par Rob Adams et Boyd Cohen (voir ci-dessous).

    Électronique et données au cœur du processus

    Organisée à la suite de l’intervention du scientifique, la table-ronde a permis d’entendre d’autres points de vue sur ces villes d’un autre genre.

    Pour Jean-Luc Estienne, l’aspect technologique de la Smart City s’associe à d’autres approches intelligentes destinées à transformer l’environnement, comme le smart driving, le smart grid ou les smart industries. Fort de l’implication de STMicroelectronics sur ces questions, l’invité a estimé que ces avancées ne pouvaient se faire sans l’apport de l’électronique et ses quatre piliers fondateurs : le calcul des données, le traitement de l’énergie, le développement des capteurs et l’inter-connectivité.

    « Pour donner lieu à la Smart City, il faut être pragmatique, rester très agile et ne pas se freiner car, en France, on est très fort pour trouver des raisons pour ne pas agir, précisait-il. Surtout, il faut qu’on applique ces solutions chez nous afin de pouvoir ensuite les proposer à l’international. Si la France les utilise elle-même, cela représente un gain de crédibilité, un gage de sérieux. »

    Selon Emmanuel Schneider, la clé réside dans la capacité à exploiter les données récoltées au sein de la métropole.
    « Pour traiter ces données, il faut aussi tout repenser. Désormais, on imagine de pouvoir les traiter de partout, directement depuis nos vélos, nos voitures… Un autre aspect important est celui de la sécurité informatique. C’est un enjeu capital. »

    Pour le représentant de Cisco, les mégalopoles ne sont pas les seules concernées par cette tendance de la cité augmentée. « Comme on commence à atteindre un niveau de maturité sur les solutions, notamment en matière de cloud, cela devient également abordable pour les villes plus petites souhaitant se lancer dans cette aventure. »

    Enfin, cette révolution ne pourra pas se faire sans l’accord et la volonté des habitants qui, faut-il le rappeler, en seront les acteurs et les premiers bénéficiaires.
    « La technologie peut aider l’aménagement urbain. Prochainement sera lancée une expérimentation sur une grande place de Paris, la place de la Nation, pour justement voir comment les habitants, riverains et travailleurs s’approprient un lieu, l’utilisent. De toute façon, nous avons besoin d’idées : nous passons d’un monde très « technopush » – on a une solution à vos problèmes – à une participation active des citoyens afin de créer de nouvelles solutions. »

    Une évolution à visage humaine

    L’intégration du riverain-utilisateur et de ses habitudes est au cœur même de la réflexion menée par la Société du Grand Paris et les services de Jérôme Coutant.
    « Le simple fait de créer un réseau de transport pour rallier une banlieue à une autre banlieue de Paris, c’est déjà une innovation qui va contre la construction radiale longtemps pratiquée en France, estimait l’intervenant. Le mot « transport » fait désormais place au mot « mobilité » : on ne prend plus un seul transport, mais plusieurs. »

    Quant à la place du numérique dans un projet tel que celui du Grand Paris, elle doit être pensée « dès la construction du réseau, comme avec, par exemple, l’implémentation de la fibre optique ou imaginer l’insertion de capteurs de toute sorte. Il faut rendre possible la révolution numérique, qui ne cessera pas d’accélérer, de manière collaborative avec des opérateurs télécom, des industriels, des acteurs du transport, de grands acteurs de la ville, de l’énergie, etc. »
    Enfin, pour Eric Charreyron, la construction de la Smart City ne doit pas se faire en se focalisant uniquement sur certaines pratiques.
    « Il y a le côté technique et le côté réflexion globale. Par exemple, on ne parle jamais de la marche à pied, sous-estimée, alors que c’est le moyen de déplacement le plus « démocratique », dans le sens où c’est celui du plus grand nombre. Ainsi, 40 % des déplacements sur la région parisienne se font sur moins d’1 km ! »

    Le risque principal serait surtout d’oublier plusieurs pans de la population.
    « Oui à la Happy City, doit mais pour tout le monde et pas que les habitants des grandes villes ! Aujourd’hui, on gère les villes comme des flux. Pourtant, il y a des personnes derrières ces flux et on ne les voit pas ! Il faut donner du sens aux données et éclairer les collectivités pour permettre aussi d’individualiser les raisonnements. Sans cela, impossible de renforcer l’inclusion sociale, d’intégrer les gens. Il faut enfin s’imprégner de la diversité des citoyens, des vécus. Il connaître les gens. Tous n’ont pas tous la même appétence pour la technologie. En France, 20 % de gens sont encore offline en 2017. D’autres ne possèdent pas de smartphone ou en ont un usage très limité. Il faut arriver à penser cette différence et permettre à ces gens de s’exprimer, pour répondre à des attentes très diverses. Si j’ai bien un conseil à donner aux futurs ingénieurs qui travailleront sur la Smart City, c’est celui-ci : n’oubliez pas l’invisible ! »

     

    Source : EPITA

    Légende photo :
    De gauche à droite : Emmanuel Schneider, Jean-Luc Estienne, Carlos Moreno, Jérôme Coutant et Eric Charreyron

     

  • L’EPITA, acteur majeur contre la cybercriminalité

    L’EPITA, acteur majeur contre la cybercriminalité

    Pour cette nouvelle édition du FIC, Forum International de la Cybersécurité, les 24 et 25 janvier 2017,  le challenge organisé par l’EPITA a rencontré un franc succès. L’épreuve a rassemblé deux fois plus de candidats par rapport à l’an passé, soit plus de 30 équipes participantes comptant 150 profils étudiants ou professionnels.

    Au Forum International de la Cybersécurité, le challenge EPITA a réuni plus de 150 participants !

    Passionnés par les métiers liés au forensic (investigations numériques) et à la lutte informatique défensive, tous s’étaient donné rendez-vous pour participer au plus important challenge de France en la matière.

    Cette réussite marque non seulement le plein essor du marché de la cybersécurité mais aussi l’engagement fort de l’école dans cet univers en constante évolution, à la recherche perpétuelle de nouveaux talents qui feront de demain un monde plus sûr.

    Ce 25 janvier, les concurrents avaient pour objectif de résoudre en 4 heures un maximum d’exercices d’analyse forensic dans douze thématiques différentes (virologie, outils de production, Android, Tor, DDOS, phishing, etc.). Ces exercices ont été développés par les étudiants de la Majeure SRS de l’EPITA dans le cadre de leur projet de fin d’année.

    Chargés de concevoir, préparer des scénarios et réaliser les attaques en laboratoire, puis d’en extraire des faisceaux d’indice afin de concevoir un challenge d’analyse post-mortem, les étudiants ont pu compter sur l’accompagnement du capitaine de réserve (RC) Sébastien Bombal, responsable de la Majeure, et de Pierre-Olivier Mercier (EPITA promo 2014), ingénieur R&D à Qarnot Computing et enseignant auprès des EPITéens.

    Cette année le 1er prix a été remis à l’équipe Claranet, composée de Maxence Dunnewind, Christopher Amiaud et James Allardice. En haut du podium, elle a su résoudre un maximum des challenges d’investigations numériques lors du FIC.

  • L’ISG et EPITA s’allient pour créer un Executive MBA management et numérique

    L’ISG et EPITA s’allient pour créer un Executive MBA management et numérique

    Dispensé soit en mode mixte online-présentiel soit en mode full online, afin d’offrir le maximum de souplesse, cette formation de 620 heures se déploie sur deux ans et se distingue par la dimension d’excellence numérique que tout manager du 21ème siècle doit maîtriser.

    Un Executive MBA qui ouvre les portes de la « BusinessTech »

    Le programme s’appuie sur la maîtrise des fondamentaux du management en les revisitant à travers l’impact de la dimension numérique. Un seul objectif : permettre aux cadres à être au cœur de la transformation digitale des entreprises et de l’activité économique en leur donnant toutes les cartes pour être un « e-leader » : e-commerce, digital-marketing, gestion du système d’information, management digital…

    Une « Digital Learning Expedition » permet chaque année aux participants de s’envoler pour San Francisco, Tel Aviv, Singapour ou Shanghai pour rencontrer les Google, Linkedin, Facebook et autres acteurs qui créent le numérique de demain.

    Une option full online

    Afin de fournir le maximum de souplesse, la formation sera disponible soit en formule mixte online et présentiel (groupe de travail, master class un samedi par mois) soit entièrement en ligne.
    Dans tous les cas, la formation a été pensée pour que les professionnels puissent la suivre sans avoir à mettre entre parenthèses leur activité et leur vie personnelle : son approche permet aux participants de travailler chacun à son rythme.

    L’entrepreneuriat au cœur du programme

    L’Executive MBA s’appuie sur la pédagogie « learning by doing » et la méthode d’apprentissage par le projet développée par l’ISG et l’EPITA. Les participants seront amenés à réfléchir, entre autres, aux améliorations que le numérique peut apporter dans leur domaine à travers la simulation de création d’entreprises.

    Pour Anne Marie Rouane, directeur général de l’ISG, « nous vivons une renaissance extraordinaire de l’ensemble des modèles économiques. C’est pour répondre aux attentes des entreprises qui veulent évoluer que nous créons une formation Executive MBA adaptée au monde numérique. Pour nos alumni, pour tous les diplômés d’écoles de commerce, les managers qui veulent prendre le tournant du digital, c’est une opportunité formidable avec les deux expertises réunies ».

    Pour Joël Courtois, directeur de l’EPITA, « depuis plus de 30 ans, l’EPITA forme celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les innovations numériques, au cœur des entreprises comme dans notre vie de tous les jours.  Nous sommes convaincus que l’avenir appartient aux e-leaders, les managers de demain, maîtrisant la dimension numérique dans toutes les facettes de leurs métiers. »

     Plus d’infos :
    http://executive-mba.isg.fr et http://executive-mba.epita.fr
     

  • Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    EPITA

     

    Dans le cadre des Projets de Fin d’Études pour l’Entreprise (PFEE) de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) de l’EPITA, les étudiants (par équipes de 3) développeront les projets sélectionnés de juin à décembre 2011.

    En 2015, plus de 50% des accès à Internet devraient se faire via des périphériques mobiles (smartphones, tablettes…). Le développement de la mobilité en entreprise et chez les particuliers est en pleine croissance notamment avec l’accès rapide à l’information et à la facilité d’accès aux données.

    Dans ce contexte, pour la cinquième année consécutive, l’EPITA lance son appel à projets innovants, qui donnera naissance à des solutions qui encouragent la mobilité.

    L’an passé, plus de 15 projets ont été réalisés par les étudiants en collaboration avec :
    –        des entreprises : SAP/BO, Omniture, BrainSonic, Alti…
    –        le gouvernement : Direction Générale de la Modernisation de l’État, Cellule internet de l’Elysée, Service d’Information du Gouvernement,
    –        l’hôpital Broca,
    –        des start-up et petites entreprises : Chapatiz, HotSpotYou, Askhall…

    Les innovations couvraient des sujets allant du développement de jeux à destination des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un projet de diffusion de vidéo en ligne et sur mobile, en passant par la création d’une application mobile intégrant un réseau social et un widget de sondage.

    Plus d’infos :
    Les projets sont à envoyer avant le 28 avril 2011, à Cyril Reinhard, cyril.reinhard@epita.fr, responsable de la majeure MTI.
    – le formulaire en français
    – le formulaire en anglais

    A propos de l’EPITA :
    Créée il y a 26 ans, l’EPITA est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC.