Étiquette : emploi

  • « Embauche-moi si tu peux » : un jeu sérieux au service de l’orientation des collégiens co-créé par Grenoble Ecole de Management

    « Embauche-moi si tu peux » : un jeu sérieux au service de l’orientation des collégiens co-créé par Grenoble Ecole de Management

    Afin d’aider les collégiens à prendre leur orientation en main, l’équipe Serious Game de Grenoble Ecole de Management – en collaboration avec un groupe de collégiens de Saint-Chef, le Département de l’Isère, des chefs d’entreprises, et une association étudiante spécialisée – a créé un jeu sur mesure ; « Embauche-moi si tu peux ».

    Un an après le lancement du projet, le jeu a été officiellement présenté à l’Hôtel du Département de l’Isère vendredi 13 octobre en présence du Président du Département, Jean-Pierre Barbier.

    L’aboutissement d’un projet initié il y a un an

    Novembre 2016, un projet autour de la thématique du “savoir-être en entreprise” facilité par un Serious Game est lancé par le Département de l’Isère avec le Playground de Grenoble Ecole de Management (GEM).

    Ce Serious Game leur sera directement utile dans leur recherche de “stage d’observation de troisième”, d’alternance ou d’un futur emploi. Le but du Serious Game, réalisé en coopération avec eux, est de leur faire prendre conscience, de manière ludique, des bons réflexes et comportements à avoir. Il permet l’émergence d’un certain nombre de savoir-être.

    La contribution d’une association étudiante et de chefs d’entreprises

    L’équipe s’agrandit avec l’arrivée de l’association étudiante Enjeu qui supervise les sessions de game design auprès de huit collégiens de Saint-Chef et deux de leurs professeurs. Trois chefs d’entreprises locales apportent également leur expertise afin que le Serious Game développé prodigue aux élèves une première approche de la vie en entreprise.

    Un an plus tard, le Serious Game Embauche-moi si tu peux est prêt à être diffusé et utilisé dans différents collèges du Département.

  • Dans l’industrie, ce sont les collégiens et lycéens qui refont le monde !

    Dans l’industrie, ce sont les collégiens et lycéens qui refont le monde !

    16 collèges et lycées de l’académie de Montpellier, accompagnés par FACE Hérault, FACE Aude, FACE Gard ont relevé le défi TEKNIK le 11 mai à l’IUT de Montpellier.

    Relever le défi Académique TEKNIK : c’est ce à quoi ont participé 24 groupes de collégiens et de lycéens de 16 établissements de l’Académie de Montpellier, le 11 mai, de 8 à 13 heures, à l’IUT de Montpellier.

    Ce challenge met en compétition les « objets connectés » crées par les élèves, durant les séances de créativité, dans le cadre du programme TEKNIK.

    Durant l’année, ils ont bénéficié de l’intervention de professionnels venus présenter leur métier et secteur industriel tel que l’aéronautique, les énergies renouvelables, l’informatique, l’agroalimentaire, l’environnement, l’électricité… Autant de secteurs qui recrutent dans la région. Autant de métiers d’avenir boudés par les 15-25 ans, pour qui l’industrie évoque le travail à la chaîne (85%), les métiers pénibles (81%), non-mixtes (89%) ou mal rémunérés (68%)[1].

    Après délibérations du jury, les prix ont été remis à 12h par Armande LE PELLEC-MULLER, recteur de la région académique Occitanie, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités, Mattéo VALENZA, directeur de l’IUT de Montpellier, Clare HART, présidente de FACE Hérault, Gaëlle ALBARIC, directrice de FACE Aude, Julien ROUYAT, directeur de FACE Gard.

    A l’heure où 1 jeune Français sur 6 quitte le système éducatif sans diplôme, TEKNIK sensibilise les élèves de la 4e à la 1e aux métiers techniques et industriels, via des séances des médiations innovantes déployées en classe avec la participation de collaborateur.rice.s d’entreprises et des enseignant.e.s.

    Pour la première fois en France, ce programme fait le lien entre 3 univers :

    • les acteurs de l’orientation scolaire et professionnelle
    • les experts de la culture scientifique, technique et industrielle (CSTI)
    • les entreprises.

    Ce challenge s’inscrit ainsi parfaitement dans la dynamique de l’académie de Montpellier visant à élargir le champs des possible des élèves en matière d’orientation, à leur ouvrir un maximum de perspectives de formations ou de carrières.

    Ces rencontres sont une nouvelle occasion de se mobiliser pour renforcer l’estime de soi des élèves afin que chacun puisse s’orienter vers le niveau de qualification le plus ambitieux.

    ouronnement de la créativité des collégiens et des lycéens, ces prix sont aussi des tickets pour l’édition nationale du défi TEKNIK. Car l’aventure ne s’arrête pas là…

    Avec l’appui de la Fondation TEKNIK, les meilleurs projets de collégiens et lycéens de 15 académies se confronteront le 30 mai 2017, à Paris, en présence de partenaires nationaux tels ENGIE, REXEL, ENGIE HOME SERVICE, DASSAULT…

    Créée en avril 2015, par Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Gérard Mestrallet, Président de FACE, la Fondation TEKNIK prévoit de sensibiliser 100 000 jeunes bénéficiaires et de mobiliser 3 500 collaborateur.rice.s d’entreprises dans 14 champs industriels, ces cinq prochaines années.
    Cette mobilisation nationale porteuse d’avenir s’adresse en 2017 à 25 000 bénéficiaires dans toute la France, dont 2000 élèves au total accompagnés par les clubs FACE Hérault, FACE Aude, FACE Gard, plus particulièrement dans les établissements des Réseaux d’Education Prioritaire (REP et REP+).

    TEKNIK bénéficie du concours du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), porté par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et des entreprises membres de la fondation TEKNIK et du soutien du Ministère de l’Éducation nationale.

    « Trop souvent stigmatisé, le secteur de l’industrie a été délaissé par les jeunes générations mais aussi par les structures scolaires, en particulier lors des phases d’orientation. Pourtant, il représente un vivier d’emplois important et un levier majeur d’insertion sociale et professionnelle pour les jeunes.

    Le projet TEKNIK a pour rôle de redonner goût à cette culture et de gommer les stéréotypes liés à ces métiers, notamment sur les questions d’égalité des chances et de mixité. Avec la participation des acteurs de l’orientation scolaire, les experts de la culture scientifique (CNAM, musée des Arts et Métiers), technique et industrielle, les petites et grandes entreprises et en cofinancement avec le Programme d’Investissement d’Avenir (PIA), TEKNIK ouvre de nouvelles perspectives d’orientation aux élèves en créant de nouvelles vocations professionnelles », souligne Vincent Baholet, Délégué Général de FACE.

    [1] IFOP-Institut Lilly (2013), « Les jeunes et les métiers de l’industrie »

  • Les salons étudiants virtuels prennent de l’ampleur !

    Les salons étudiants virtuels prennent de l’ampleur !

    Pour trouver son job par alternance les étudiants ont de plus en plus recours aux e-salons. Cette année, c’est la deuxième édition du e-Salon Scholis ouvert à tous et les organisateurs attendent deux fois plus de monde qu’en 2016.

    Bilan du précédent salon

    L’année passée, le e-salon de l’alternance a été un beau succès.
    1127 offres en alternance ont été proposées aux 6700 personnes qui se sont connectées à la plateforme.
    2547 candidatures ont été envoyées aux entreprises.
    La e-salon a comptabilisé 16760 connexions et 14181 visiteurs uniques entre le 1er mai et le 30 juin dernier.

    Cette année, les organisateurs misent sur 20 000 visiteurs et offrent des conférences ouvertes à tous.

    Le e-salon Scholis de l’alternance 2017 propose toujours plus de 1000 offres en alternance et surfe sur le succès de la première édition afin d’attirer encore plus de monde puisque le salon n’est pas réservé aux seuls étudiants du réseau Scholis, mais à tout le monde.

    6 conférences seront proposées entre le 3 et le 5 mai :

    – E.Magister : Ce que l’on a appris de plus d’un million d’étudiants (3 mai à 15h)

    – Les métiers de l’immobilier qui recrutent (3 mai à 17h)

    – Le MBA (4 mai à 15h)

    – Les clés de l’entretien (4 mai à 17h)

    – Faire ses études à l’étranger (5 mai à 15 h)

    – Les métiers Banque-Finance-Assurance (5 mai à 17h)

    Les partenaires entreprises sont nombreux DECATHLON, SOCIETE GENERALE, GROUPAMA, PROMOD, THALES, BOULANGER FNAIM, CASTORAMA, GESTIMPACT, GUY HOQUET, IMMO FAR, ENEDIS…

    Comment ça marche ?

    Ce salon est ouvert à tous les candidats à un diplôme de l’enseignement supérieur, c’est un point important. Il est accessible gratuitement sur PC et mobiles (tablettes, Smartphones). SCHOLIS souhaite proposer ce service à tous les étudiants de France et présenter les écoles de son réseau.

    Le salon est aussi ouvert aux étudiants qui souhaitent s’informer auprès des écoles, connaître les différents cursus de formation, leurs débouchés, rencontrer via Skype les conseillers,  se préinscrire et bien entendu postuler aux offres.

    A partir du 24 avril un millier d’offres d’emplois en alternance ou de stage sont ouvertes sur le e-salon de l’alternance Scholis et les étudiants peuvent venir déposer leur profil sur la plateforme Seekube.

    Du 3 au 5 mai les étudiants sélectionnés obtiennent un rendez-vous avec leur conseiller école et entreprise pour passer un entretien qui pourra se prolonger par un recrutement en alternance ou en stage.

    Calendrier :

    Depuis le 18 avril et jusqu’à la fin du salon : Les entreprises confient leurs offres d’emploi.
    Le 24 Avril  : ouverture de la page d’inscription pour les étudiants et visiteurs
    Du 24 Avril au 5 Mai: ouverture du site du e-salon, les étudiants complètent leur profil et déposent leurs CV et prennent connaissance des écoles
    Du 25 Avril au 5 Mai : Les  écoles sélectionnent les profils et prennent des rendez-vous pour le e-salon
    Du 3 au 5 Mai : les étudiants découvrent les rendez-vous qu’ils ont décrochés avec les écoles qui les mettront en contact avec l’entreprise qui recrute.
    Du 3 au 5 mai : tout le monde peut assister aux conférences en ligne

    …et après : le salon reste ouvert jusqu’à fin juillet et les étudiants peuvent postuler sur des offres qui seront actualisées au jour le jour.

    Tous les étudiants et visiteurs pourront rencontrer gratuitement les écoles présentes via la plateforme, envoyer leur candidature aux entreprises partenaires.

    Les chiffres clés :

    70 000 personnes invitées ! 20 000 personnes invitées dans le réseau Scholis et 50 000 étudiants en lien avec tous les partenaires.
    1 000 offres d’emploi par alternance.
    Des centaines d’entreprises partenaires accessibles via les écoles du réseau Scholis.

    À propos de SCHOLIS : Premier réseau d’écoles indépendantes en France

    Le réseau Scholis est une association (loi 1901) créée en 2012 qui regroupe 38 établissements d’enseignement supérieur indépendants dans toute la France. SCHOLIS est un label qui offre des standards importants de qualité quant au niveau d’enseignement dispensé, aux moyens mis en œuvre et au sérieux de chaque établissement. Chaque adhérent du réseau est engagé sur des valeurs communes et sur une charte de qualité.  

    SCHOLIS a développé un réseau professionnel accessible à ses membres (écoles, étudiants, anciens et entreprises) permettant ainsi à ses étudiants et diplômés de faciliter leur accès à l’emploi et aux entreprises de bénéficier d’un service gratuit et efficace pour trouver les bons profils professionnels issus des écoles du réseau.

  • La Région Occitanie, l’Etat et les partenaires sociaux s’engagent pour l’emploi

    La Région Occitanie, l’Etat et les partenaires sociaux s’engagent pour l’emploi

    Pascal Mailhos, préfet de la région Occitanie, Carole Delga, ancienne ministre, présidente de la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Armande Le Pellec Muller, recteur de la région académique Occitanie, recteur de l’académie de Montpellier, chancelier des universités, et les représentants des partenaires sociaux, ont signé le Contrat de plan régional de développement des formations et de l’orientation professionnelles (CPRDFOP) ce jeudi 16 mars 2017.

    C’est un engagement majeur qui vient d’être pris en faveur de la formation et de l’emploi en Occitanie.

    Le nouveau contrat de plan régional de développement des formations et de l’orientation professionnelles (CPRDFOP) signé ce jour vise en effet à adapter l’appareil de formation aux réalités économiques et sociales pour favoriser l’accès, le maintien et le retour à l’emploi des femmes et des hommes sur l’ensemble du territoire régional. Il doit également assurer aux entreprises de la région les compétences nécessaires à leur développement.

    Elaboré par la Région en étroite collaboration avec l’Etat et l’ensemble des partenaires sociaux dans une démarche quadripartite exemplaire, le CPRDFOP est l’aboutissement de près d’un an de concertation. L’ensemble des acteurs de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelles (Rectorats, chambres consulaires, Pôle Emploi, Missions locales,….) ont été associés à ce travail partenarial qui a permis de définir 4 grandes orientations pour les 5 années à venir,

    – augmenter le taux d’emploi des actifs,

    – déployer une offre de formation de proximité contribuant à l’égalité des chances,

    – garantir un service public régional de l’orientation performant,

    – impulser une nouvelle gouvernance.

    Ces orientations seront déclinées en 33 actions concrètes.

    « Au-delà des sigles et des acronymes qui ne parlent pas personne, je veux réaffirmer que l’engagement que nous prenons aujourd’hui, c’est est avant tout du concret avec un seul objectif : l’emploi, toujours l’emploi ! Le CPRDFOP est notre socle commun, le cadre de notre stratégie en matière de formation professionnelle, mais il doit très concrètement permettre à chaque personne entrée en formation de trouver un travail à la sortie. Pour faire de cet objectif une réalité pour nos jeunes, pour nos entreprises, pour l’ensemble de nos concitoyens, nous devons avancer en pack. C’est en continuant de nous mobiliser ensemble, autour d’objectifs partagés, que nous gagnerons la bataille pour l’emploi », a notamment déclaré Carole Delga à cette occasion.

    « L’Education nationale, après avoir été étroitement associée au travail de définition des orientations stratégiques, entend tenir toute sa place dans les développements qui s’engagent désormais » a affirmé Armande Le Pellec Muller.

    Christophe Lerouge, représentant M. le préfet de région, a indiqué aux partenaires et signataires du CPRDFOP : « vous pouvez compter sur l’engagement total des services de l’Etat pour vous accompagner tout au long de la réalisation du contrat de projet ».

     

    crédit photo : Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

  • Le 1er test universel de culture numérique présenté à Marseille le 21 janvier

    Le 1er test universel de culture numérique présenté à Marseille le 21 janvier

    En partenariat avec le Crédit Agricole Alpes Provence, le TANu, premier test universel de culture numérique, sera présent sur le Salon du lycéen et de l’étudiant de Marseille le samedi 21 janvier. Il présentera plusieurs ateliers sur le thème : « TANu, Klout et SSI, boostez votre CV avec des indicateurs numériques » : l’occasion d’insister sur l’importance, lors d’une recherche de stage ou d’emploi, de mettre en avant ses capacités à aider son futur employeur à effectuer sa transition numérique et ainsi de proposer de vrais arguments de différenciation vis-à-vis d’autres candidats.

    Le TANu est le premier test en ligne qui permet de diagnostiquer et d’évaluer – selon un même référentiel – les connaissances numériques d’un collaborateur ou d’un candidat potentiel en informatique, internet, réseaux sociaux, technologie et économie numérique.

    Il se présente sous la forme d’un QCM de 90 questions, avec 3 réponses possibles, à réaliser dans un temps imparti de 30 minutes. Les questions posées de façon aléatoire dans une base de données de 1400 questions sont revues régulièrement en fonction de l’actualité numérique. A l’issue du test, le candidat peut visualiser son score global (notifié par une note sur 100), ainsi que son score pour chacun des 5 domaines de connaissance. Il reçoit également par e-mail un « passeport» avec un commentaire sur le score réalisé, téléchargeable en version pdf, et qu’il peut rendre accessible en ligne.

    A l’invitation de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Alpes Provence, le TANu sera présent sur le Salon du lycéen et de l’étudiant de Marseille le samedi 21 janvier.

    Pour l’occasion, l’équipe du TANu proposera plusieurs ateliers tout au long de la journée sur le thème : TANu, Klout et SSI, boostez votre CV avec des indicateurs numériques.

    L’occasion de voir qu’il est important lors d’une recherche de stage ou d’emploi :
    -de mettre en avant ses capacités à aider son futur employeur à effectuer sa transition numérique
    -de proposer au recruteur de vrais arguments de différenciation vis à vis des autres candidats

    Bien entendu les visiteurs qui assisteront aux ateliers pourront par la suite passer le test TANu.
    Retrouvez le TANu toute la journée du 21 janvier sur le stand  V4 (Village 15-24 ans) du Crédit Agricole Alpes Provence qui utilise le TANu depuis quelques mois déjà dans le cadre de sa transformation numérique.

    Plus d’infos :
    Sur le TANu : Développé par l’agence Immersive Lab, le 1er test de culture numérique TANu permet d’accompagner les TPE, PME et grandes entreprises, dans le cadre de leur transformation numérique. Le test peut être utilisé par les services des ressources humaines lors d’un processus de recrutement : il permet de s’assurer qu’un candidat possède une culture numérique suffisante pour faire face aux enjeux de l’organisation. Il permet aussi détecter les besoins en formation de collaborateurs et/ou futurs collaborateurs et d’y apporter une réponse adaptée. Enfin, le test est l’occasion de détecter au sein des équipes les profils agiles, susceptibles d’aider leurs collègues, ou de porter des projets internes de transformation numérique. Pour organiser des sessions de test TANU, les entreprises peuvent se connecter sur la plateforme Saas www.tanu.io. @tanu_rh
     

  • Innovation et emploi au cœur du programme RADI – RAF 2016 à Angoulême

    Innovation et emploi au cœur du programme RADI – RAF 2016 à Angoulême

    La 8e édition des Rencontres Animation Formation (RAF) se déroulera à Angoulême les 17 et 18 novembre 2016. Organisée par le Pôle Image Magelis, cette manifestation est soutenue par le CNC, le SPFA, la CPNEF Audiovisuel, l’AFDAS, AUDIENS et la FICAM (1).

    Ces journées seront précédées par la seconde édition des Rencontres Animation Développement Innovation (RADI) le 16 novembre. Les RADI sont organisées par le Pôle Image Magelis avec le soutien du CNC et de la CPNEF Audiovisuel.

    Elaboré par René Broca, le programme éditorial des deux manifestations a pour objectif de mettre en lumière les enjeux de la filière Animation autour de problématiques de formation mais également sociales, techniques et d’innovation.

    RADI 2016 : l’innovation en pointe

    polemagellis2-171016Fort du succès rencontré par l’édition 2015, les Rencontres Animation Développement Innovation proposent un programme de conférences mettant en lumière études de cas et présentation d’outils novateurs, tous deux tendus vers le même objectif d’optimisation des processus de production d’œuvres d’animation.

    La Recherche & Développement au sein des studios sera illustrée par le retour d’expériences de Studio 100, Studio Hari et de Supamonks.

    Le temps réel, longtemps cantonné au seul jeu vidéo, prend peu à peu sa place dans le secteur de l’animation. Outre la présence du moteur de jeu multi-plates-formes Unity, plusieurs studios feront part de leurs approches et des passerelles possibles avec la production de séries d’animation.

    L’Open Source et le logiciel libre sont de plus en plus au cœur des réflexions des studios qui y voient de nouvelles opportunités pour leurs productions. Des logiciels comme Blender feront l’objet de présentations et d’études de cas, menées par Normaal Animation ou encore Les Fées Spéciales.

    Depuis plus de 30 ans, le dispositif CIFRE – Convention Industrielle de Formation par la Recherche – subventionne toute entreprise de droit français qui embauche un doctorant pour le placer au cœur d’une collaboration de recherche avec un laboratoire public. Anne-Laure George-Molland, Maître de conférences ATI à Montpellier, détaillera ce dispositif et ce qu’il peut apporter aux studios d’animation.

    Le Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique (LaBRI) apportera un éclairage bienvenu sur un sujet mal voire pas du tout appréhendé dans les studios : la qualité logicielle et la dette technique, ou comment gérer son code source pour améliorer les performances logicielles, garantir robustesse et sécurité de la production.

    Enfin, les RADI offriront aux développeurs et créatifs la possibilité de présenter durant des sessions de 15’ leurs dernières innovations. Les sociétés déjà confirmées à ce jour :

    • Eisko : service en ligne de Blendshapes et Rigging à la Demande
    • Bleank : Black Ink (logiciel de peintures à base de brosses)
    • Les films du Poisson Rouge : MOE (logiciel Mode Of Expression)
    • LaBRI: outils développés par le Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique
    • BlueSpirit Lab : Simone (logiciel de gestion de production)

    RAF 2016 : priorité Emploi

    Les Rencontres Animation Formation se font chaque année la chambre d’écho des évolutions des métiers, des nouveaux enjeux de formation et d’emploi. Ecoles de cinéma d’animation, entreprises du secteur et institutionnels se retrouvent pour échanger, débattre et proposer autour des grandes évolutions du secteur.

    Ainsi, la session inaugurale consacrée aux chiffres du secteur présentés successivement par le CNC, le SPFA, Audiens et l’Afdas permet de mieux cerner ce marché en constante mutation. Au fur et à mesure des éditions des RAF, un corpus de connaissances sur le secteur se constitue progressivement au bénéfice des salariés et des employeurs pour une photographie de plus en plus fine du marché de l’emploi.

    Accès à l’emploi : vers de nouvelles voies ?

    Intitulée « L’emploi, état des lieux », la première table ronde réunira Jacques Bled (Illumination MacGuff), Gilles Gaillard (Mikros Image) et Jean-Michel Spiner (2 Minutes). Au cœur des échanges, les questions de l’embauche, des profils recherchés et de leur nombre dans une dynamique de recrutement positive depuis plusieurs mois.

    Cette table ronde sera suivie par une session de témoignages de recruteurs au sein de studios comme TeamTO, Illumination MacGuff, Cube Creative ou encore Normaal Animation.

    Mise en place à Villeurbanne lors de l’installation du studio Xilam en 2016, la préparation opérationnelle à l’emploi sera détaillée par Camille Wiplier, directrice du studio Xilam. Comment, avec l’aide de l’Afdas, « monter » une équipe de près de 100 personnes, opérationnelle rapidement, pour la production de séries TV ?

    Pédagogie : des synergies à mettre en place

    La formation dans le jeu vidéo et l’animation intègre de plus en plus d’éléments communs : outils de production, processus de fabrication, emploi. Pour parler de ces interrelations, Gilbert Kiner (ArtFX), Thierry Brionnet (Isart Digital) et Azad Luzbaronian (Rubika) présenteront leurs approches pédagogiques.

    Après l’école MOPA en 2015, qui détaillera cette année son module de gestion administrative Schoool, ce sera l’école Emile Cohl, représentée par son directeur adjoint Aymeric Hays-Narbonne, qui exposera sa pédagogie, ses différents cursus et sa stratégie internationale.

    Actualités sociales : le point

    Les RAF donnent l’occasion d’avoir les plus récents éclairages sur l’actualité sociale du secteur de l’animation. La question de l’intermittence demeure une nouvelle fois centrale au regard d’un secteur qui tend à pérenniser l’emploi. La nouvelle convention collective du secteur de l’animation sera également l’un des sujets phares de cette discussion.

    Jack Aubert (SPFA), Laurent Blois (SPIAC-CGT) et Christophe Pauly (CFDT-Médias) interviendront pour faire le point sur ces dossiers.

    Enfin, la fabrication du long métrage « Ma vie de courgette », réalisé par Claude Barras en salles le 19 octobre 2016, sera dévoilée. Cette étude de cas permettra de mieux appréhender le pipeline de production du film ainsi que les compétences nécessaires au sein des équipes. « Ma vie de courgette » a reçu le Cristal du long métrage et le Prix du Public au Festival International du Film d’Animation d’Annecy ainsi que le Valois de Diamant au Festival d’Angoulême en août 2016.

    Plus d’infos :

    sur : www.rencontres-animation-formation.org

    Les Rencontres Animation Formation et les Rencontres Animation Développement Innovation sont accessibles gratuitement mais sur inscription. Les deux événements ne sont pas ouverts aux étudiants.

    (1) : Centre National de la Cinématographie et de l’image animée, Syndicat des Producteurs de Film d’Animation, Commission Paritaire Nationale Emploi et Formation de l’Audiovisuel, AFDAS, AUDIENS, Fédération des Industries du Cinéma, de l’Audiovisuel et du Multimédia

  • S’orienter vers les secteurs de l’informatique ou du numérique après son bac ?

    S’orienter vers les secteurs de l’informatique ou du numérique après son bac ?

    salonetudiantnumerique_210116Attractifs et porteurs, le secteur des nouvelles technologies, au sens large du terme, présente de sérieux atouts, à commencer par ses perspectives de recrutement et d’évolutions.

    Devant la large gamme de métiers de ce secteur en pleine croissance, et les différents cursus pour y parvenir, l’Etudiant propose la 9ème édition du Salon l’Etudiant Numérique & Informatique.

    Cet évènement, placé sous le patronage du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, se déroulera les 30 et 31 janvier 2016.

    Le salon du Numérique & Informatique est l’opportunité pour les lycéens et les étudiants de découvrir les métiers et les filières de formation spécialisées adaptées au monde professionnel.

    Les représentantes des organismes de formation, des institutions et des entreprises seront réunis sur le salon pour présenter et expliquer les filières, les cursus et détailler les emplois du numérique et de l’informatique.

    A la rencontre des exposants : découvrir les études et les métiers

    Les secteurs du numérique et de l’informatique ne cesse d’évoluer… et de séduire. La gamme de métiers qu’ils englobent est large et concerne tous les niveaux d’études.
    Durant les deux jours du salon, les représentants des établissements détailleront leurs offres de formation : généralistes ou spécialisées, en formation classique ou en alternance, cursus classiques ou innovants.
    Ils se tiendront à disposition des visiteurs pour leur expliquer les spécificités de leurs formations, la durée des études et les débouchés possibles.

    Filières techniques ou artistiques, cursus axés sur la programmation ou le commerce électronique, les jeunes vont pouvoir poser leurs questions et obtenir toutes les informations nécessaires pour définir leur projet d’études ou professionnel.

    Une occasion unique de faire le point sur les formations qui mènent à l’emploi et les métiers qui recrutent.

    Job IRL

    Qui mieux qu’un pro peut parler de son métier ?
    Les 15-25 ans retrouveront sur le stand de JobIRL des professionnels du numérique et de l’informatique qui répondront à leurs questions.

    JobIRL est le 1er réseau social professionnel pour l’orientation des 14-25 ans.

    Les professionnels répondent aux jeunes en ligne sur les forums, reçoivent les plus motivés, In Real Life, une heure sur leur lieu de travail. Des offres de stage de 3e et stages étudiants sont disponibles sur le site.
    JobIRL organise également des Happy JobIRL, rencontres entre jeunes et pros.
    Déjà 18 000 membres, rejoignez-les ! www.jobirl.com

    La librairie de l’Etudiant

    L’ensemble des publications de l’Etudiant sera proposé sur place : mensuels, hors-série, guides pratiques et guides métiers…. L’occasion pour les jeunes et leurs parents de faire le plein d’informations.

    Les conférences : pour aller plus loin

    En complément de leur visite, les jeunes pourront assister à un cycle de conférences. Chacune d’elles réunira des représentants d’écoles, d’universités ou d’entreprises, autour d’un journaliste de la rédaction de l’Etudiant.
    Grâce à ces conférences, les visiteurs pourront recueillir toutes les informations pratiques dont ils ont besoin et auront une idée plus claire du parcours d’études menant à la profession qu’ils souhaitent exercer. Les professionnels leur feront découvrir les métiers qui recrutent et leur parleront des filières qui mènent à l’emploi.

    Toutes les infos : www.letudiant.fr/etudes/salons/salon-letudiant-informatique-multimedia.html

  • « Défi Ingénieurs » un jeu pour recruter, par SNCF

    « Défi Ingénieurs » un jeu pour recruter, par SNCF

    Le 24 septembre, SNCF lance « Défi Ingénieurs », un Serious Game destiné à faire découvrir les métiers d’ingénieurs SNCF, aux étudiants, jeunes diplômés et ingénieurs expérimentés.

    SNCF et TBWA Paris imaginent un concept expérientiel online qui invite les jeunes ingenieurs à découvrir d’une manière ludique et exigeante les métiers d’ingénieurs SNCF.

    Cette opération a pour objectif de communiquer sur la richesse des métiers au sein de SNCF, mais également de recruter de nouveaux talents en les mettant face à des situations que rencontrent au quotidien les femmes et hommes du groupe.

    Sous forme de challenges imaginés par les ingénieurs SNCF eux-mêmes, les participants doivent résoudre des situations complexes auxquelles ils seraient confrontés durant leur carrière : construction d’un viaduc, gestion des circulations ferroviaires sur une même ligne, ou encore savoir réagir efficacement face à une alerte météorologique.

    « Défi Ingénieurs » est un Serious Game entièrement social qui encourage les joueurs à adopter un esprit de compétition en confrontant les étudiants issus des écoles d’ingénieurs et universités françaises. À terme, le jeu déterminera qui sera « à la hauteur des ingénieurs SNCF ».
    Les 5 premières écoles remporteront un « World Trip SNCF », un voyage à travers le monde à la rencontre des femmes et hommes qui rendent les performances SNCF possibles. Les joueurs peuvent aussi participer à titre individuel pour tenter de remporter des voyages et week-ends pour 2.

    SNCF est l’un des premiers groupes mondiaux de mobilité et de logistique, avec une présence dans 120 pays, 32,6 milliards d’euros de CA et 245 000 collaborateurs en 2011. Chaque année, SNCF doit recruter 1000 ingénieurs et cadres supplémentaires. C’est une mission ambitieuse quand on connaît la pénurie de jeunes ingénieurs en France et y compris en Europe. L’entreprise SNCF est reconnue dans le monde entier pour son expertise et sa performance technique, et pourtant, les métiers de l’ingénieur de l’entreprise sont globalement mal ou peu connus.

    Pour jouer à « Défi Ingénieurs » : defi-ingenieurs-sncf.com

  • Bring your own device

    Bring your own device

    Le phénomène du Bring Your Own Device (BYOD) est à la mode. Il est estimé que plus d’un milliard de personnes auront une tablette ou un smartphone d’ici 2016. Selon Forrester Research, un tiers des terminaux mobiles personnels sera utilisé à des fins professionnelles en 2015. Un marché juteux, qui se transforme en champ de bataille pour des acteurs comme Google, Microsoft et Apple qui cherchent tous à obtenir leur part du gâteau. Les technologies et les modèles se multiplient ce qui implique de nouvelles pratiques à mettre en place pour les entreprises qui doivent également prendre en compte les attentes des employés dans la gestion des ressources informatiques et des données.

    Comment les employés utilisent-ils leur appareils mobiles personnels à des fins professionnelles ? Que signifie ce phénomène en termes de sécurité des données et quel est son impact sur la culture d’entreprise ?

    LifeSize présente trois profils types d’employés face au BYOD et explique ce que les entreprises doivent mettre en place pour répondre à leurs attentes :

    Le Geek
    Il est à la fois un pionnier et un stimulateur. Passionné par les dernières nouveautés, la « mise à jour permanente » est sa devise. Il surfe sur la vague technologique et sait quelles sont les marques et modèles tendances. Avoir le dernier appareil en vogue le jour même de son lancement est pour lui une question de fierté. Or, cela est beaucoup plus compliqué pour les départements informatiques car la compatibilité avec les solutions existantes doit toujours être vérifiée lors de l’acquisition de nouveaux appareils.

    Les entreprises doivent donc s’appuyer principalement sur des logiciels ouverts et interopérables prenant en charge le plus grand nombre de plates- formes et appareils mobiles possibles. Alors que l’utilisateur classique sélectionne généralement son ordinateur portable entre Windows et Apple, la liberté de choix dans les applications pour tablettes et smartphones est extrêmement grande. C’est le cas notamment des outils de gestion du temps, des solutions de partage de fichiers ou des applications de communication telles que les solutions de messagerie instantanée et de conférence vidéo.

    L’Insouciant
    Que ce soit un rapport confidentiel ou ses photos de vacances en famille, il sauvegarde tout sur son appareil mobile sans se poser de question. Le « backup » est un concept qui lui est étranger, il ne connaît pas les problèmes de sécurité et n’accorde aucune valeur auxprocess de contrôle. Avec lui, le phénomène du BYOD signifie que le contrôle de l’entreprise diminue. Une chose utile pour l’utilisateur peut se révéler être un piège pour les responsables informatiques puisqu’ils n’ont pas plus d’influence sur l’équipement acheté ou utilisé au travail. En conséquence, les coûts d’exploitation, d’administration, et de support explosent et cela nécessite une politique d’entreprise claire sur la protection des données. Des directives codifiées sur l’utilisation des appareils mobiles au travail doivent être créées.

    La bonne gestion des équipements est aussi importante que la politique mise en place. Que doit administrer le service informatique ? Comment les applications peuvent-elles être gérées ? Quelles sont les informations de sécurité indispensables ? Qu’advient-il des données sensibles si un périphérique est perdu ou volé ? L’équipe informatique et le personnel doivent être tous deux conscients des risques et enjeux. C’est bien souvent le facteur humain qui est à l’origine des problèmes de sécurité. Il peut même s’avérer plus dangereux encore qu’une tentative d’hameçonnage d’une solution informatique protégée.

    Le Conservateur
    La prudence et les anciennes méthodes de travail tiennent à cœur du conservateur. Cela se traduit par une utilisation des dispositifs de l’entreprise, même s’ils sont pour le moins obsolètes. Cependant, les patrons et les employés bénéficient de la même technologie. Les appareils mobiles offrent des conditions de travail souples, indépendamment de l’emplacement et de l’heure. Si, par exemple, des solutions de communication vidéo en haute définition sont utilisées, elles doivent être accessibles partout dans le monde et permettre un échange productif. Les conservateurs ont tendance à oublier ce point clé et ils peuvent alors être à l’origine de coûts plus élevés, en obligeant leur entreprise à investir dans une multitude de solutions. La formation sur place ou sur Internet peut remédier à la situation, combattre les préjugés et rendre l’entreprise plus efficace : les employeurs sont alors perçus de manière positive, comme des novateurs.

    Dans la pratique, ces trois profils très répandus en entreprise ont des besoins et des attentes qui diffèrent. Or, pour mettre en place une politique de BYOD efficace, la première étape est d’identifier précisément quels en sont les usages. Cependant cela ne doit pas être le seul rôle du département informatique. Une coopération à tous les niveaux est nécessaire afin d’être sûr de prendre en compte les spécificités de chacun tout en protégeant l’entreprise et ses données.

    A propos de LifeSize
    LifeSize est un pionnier et un leader mondial de la collaboration vidéo en Haute Définition. Sa gamme complète de systèmes basés sur des protocoles standards est conçue pour rendre la vidéoconférence universelle. Elle s’appuie sur des technologies de pointe compatibles qui permettent de garantir une interaction vraiment naturelle, quelle que soit la distance. Fondée en 2003 et rachetée par Logitech en 2009, LifeSize reste fidèle à son engagement d’innovation, et permet à tous de bénéficier de la meilleure qualité de vidéoconférence. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site http://www.lifesize.fr/