Étiquette : élèves

  • ERSILIA-ARTE : le duo gagnant sur la plateforme de ressources EDUTHÈQUE

    ERSILIA-ARTE : le duo gagnant sur la plateforme de ressources EDUTHÈQUE

    Ersilia est une plateforme numérique et collaborative d’éducation à l’image éditée par Le Bal, lieu d’exposition, de réflexion, de pédagogie et d’édition consacré à l’image contemporaine. La Fabrique du Regard, son pôle pédagogique qui existe depuis dix ans, propose aux jeunes des ateliers d’éducation à l’image. Depuis peu, Ersilia s’est associée à ARTE.

    « Fort de ces dix ans d’expérience, nous avons décidé de retranscrire la méthodologie de la Fabrique du Regard dans un outil numérique qui s’appelle Ersilia« , explique Sophie Briquet, responsable du projet Ersilia. S’associer à ARTE était presque une évidence puisqu’ils se sont rendus compte que leurs contenus étaient tout à fait complémentaires : « par exemple, Ersilia propose la présentation d’une oeuvre du photographe américain Lewis Baltz et ARTE propose le témoignage de Lewis Baltz dans son intégralité sur l’offre ARTE-Eduthèque« .

    Au-delà des ressources proposées, Ersilia propose aussi différentes manières de travailler : les enseignants ont la possibilité de choisir le mode collaboratif avec leurs élèves, « en leur demandant de faire des exercices directement sur la plateforme, de réaliser des parcours subjectifs par exemple« , précise Sophie Briquet.

    Pour cela, les élèves peuvent se connecter sur le compte classe sur Eduthèque et ils retrouveront alors toutes les ressources et parcours de leurs enseignants pour un travail soit en classe, soit chez eux.

    ERSILIA s’adresse aux enseignants, jeunes et professionnels intervenants dans un contexte pédagogique. Désormais, enseignants et élèves peuvent aussi se connecter à ERSILIA via la plateforme Eduthèque.

    Plus d’infos : Retrouvez tous nos articles et reportages à propos d’Eduthèque ici.

     

     

  • HugoDécrypte la présidentielle 2017 pour le Monde des Ados

    HugoDécrypte la présidentielle 2017 pour le Monde des Ados

    Le 1er mars, Le Monde des ados et le jeune youtubeur HugoDécrypte (19 ans ) ont lancé une série vidéo « La présidentielle expliquée aux ados », conçue et réalisée en partenariat.

    Première vidéo de la série : « Mode d’emploi de l’élection ». Elle sera suivie de 6 autres qui expliqueront simplement aux collégiens l’importance de cette échéance, les positions des candidats sur les grands thèmes qui les touchent au quotidien : éducation/collège, environnement/développement durable, Europe, vivre-ensemble, précarité/inégalités sociales, sécurité…

    Que les ados soient fans de politique ou pas, HugoDécrypte leur donne les clés pour comprendre la campagne et ses enjeux. Avec Le Monde des ados, il participe ainsi à l’éducation des citoyens de demain.

    Plus d’infos :

    SÉRIE “ LA PRÉSIDENTIELLE EXPLIQUÉE AUX ADOS ” À SUIVRE SUR :
    • le site du Monde des ados : www.lemondedesados.fr/category/election-2017
    la chaîne YouTube d’HugoDécrypte

  • Repenser l’espace classe avec les élèves pour reconquérir leur attention

    Repenser l’espace classe avec les élèves pour reconquérir leur attention

    Bruno Vergnes est enseignant en français au collège Innovant Pierre Emmanuel de Pau. Il a participé au projet d’un nouvel espace d’apprentissage et de travail, en collaboration avec les élèves. Ce reportage vidéo a été réalisé dans le cadre des journées EIDOS 64 du 25 janvier 2017.

    « L’idée, c’était d’impliquer les élèves dans la construction d’un nouvel espace de travail ».

    En accueillant ses deux classes de 6ème en début d’année, il a tout de suite constaté un fort manque d’attention de la part de ses élèves et a donc décidé de réorganiser l’espace classe.

    « J’ai fait le pari que l’espace pouvait être un vecteur pour reconquérir l’attention ».

    Il s’est notamment inspiré de la méthode de travail des Savanturiers en suivant un de leur MOOC.
    Comment questionner les élèves ? Comment les impliquer dans cette recherche-là.

    Dans la vidéo ci-contre, vous pouvez suivre les témoignages d’Antoine et de Mohamed sur la façon dont ils se sont engagés dans la réflexion aux côtés de leurs camarades.

    Différencier l’espace de travail, un des axes de réflexion de Bruno Vergnes.

    Comme il le décrit très bien, il y a, dans une classe, tous les profils : les élèves peu attentifs sont placés devant ; les élèves autonomes sont placés au fond de la classe et peuvent s’auto corriger en utilisant des outils numériques mis en place par leur enseignant (QR code etc).
    Les élèves qui se situent entre les deux, sont positionnés en îlots, par quatre, « qui peuvent s’entraider ».

    Une fois que les élèves autonomes ont réalisé le travail, ils vont aller aider les plus en difficultés.

    Enfin, la communauté a également créé un sas que Bruno Vergnes appelle « le coin lecture ».
    Il permet d’isoler certains élèves énervés ou agressifs, d’aller se calmer dans ce sas pour un court moment.

    « Faire en sorte d’offrir à cet élève-là, un sas de décompression mais petit à petit, le ramener dans les apprentissages qui sont prévus dans la séance », explique t-il.

    « C’est aussi avoir une attitude un peu différente avec lui : aller lui parler calmement et se mettre à son niveau ».

    Le « mange-debout » fonctionne aussi assez bien car il permet aux élèves qui ont du mal à se tenir assis pendant une durée prolongée, de pouvoir bouger un peu.

    Ces élèves « un peu plus toniques que les autres », pourrait-on dire sont aujourd’hui de moins en moins nombreux car, comme le souligne Bruno Vergnes, « cette salle a vraiment permis de reconquérir de l’attention ».

  • Décloisonner l’Ecole et la pensée des élèves pour enseigner et apprendre autrement

    Décloisonner l’Ecole et la pensée des élèves pour enseigner et apprendre autrement

    Mila Sainte-Anne est enseignante en histoire-géographie en collège dans l’académie de Rouen. Dès l’apparition du numérique, elle est « tombée » dedans et l’a aussi amené tout naturellement dans sa classe. La pédagogie inversée a suivi…

    Mila Sainte-Anne a connu les salles informatiques et a même assuré la maintenance à l’époque où elle était responsable informatique ! Aujourd’hui, elle avoue préférer se concentrer sur les aspects pédagogiques, son vrai cœur de métier.

    Sa classe inversée à elle, « c’est un élément de sa palette pédagogique ; ce n’est pas quelque chose que je vais utiliser systématiquement », décrit-elle.

    « Je vais utiliser la classe inversée parce que j’ai l’idée pédagogique qui va avec ».

    Elle n’utilise plus les salles informatiques car elle ne veut pas « faire du numérique » mais « utiliser le numérique en histoire-géographie ». Aujourd’hui, elle préfère que les élèves utilisent leur Smartphone, dans un but pédagogique, « et je préfère qu’ils l’aient à la main pour chercher sur Wikipédia plutôt qu’ils l’aient dans leur sac à essayer de faire des photos de leurs camarades sous la table » !

    Mila dépose tous ses cours sur un blog à destination des élèves ; ses vidéos sont hébergées sur le site du rectorat.
    Elle demande aux élèves de visionner la vidéo, de compléter un questionnaire de compréhension mais également de donner leur avis sur ce qu’ils ont vu « pour qu’ils apprennent à sortir du domaine scolaire », explique t-elle.

    Pratiquer la classe inversée, c’est une des manières d’enseigner autrement pour Mila Sainte-Anne.

    Et ce n’est pas le matériel qui pose problème mais bien le cloisonnement de la pensée des élèves qui sépare le monde de l’école du monde de la « vraie vie ».

    C’est sur ce point qu’il faut encore travailler…

    Plus d’infos :
    retrouvez Mila Sainte-Anne Sur Twitter

     

     

  • Classe inversée : combler un manque et passer aux pédagogies actives !

    Classe inversée : combler un manque et passer aux pédagogies actives !

    Damien Scimeca, professeur de physique-chimie au lycée dans l’académie de Paris et membre de l’association Inversons la classe ! a adopté la classe inversée pour combler un « manque » dans son enseignement ; c’est ainsi qu’il le décrit dans la vidéo ci-contre réalisée sur le salon Educatec-Educatice.

    « La classe inversée, pour moi, était un outil pour faire autre chose ».

    Damien Scimeca a fait rapidement le constat que de dispenser un cours magistral à ses élèves les rendait extrêmement passifs. Il a donc cherché à adopter un modèle différent.

    Lorsqu’il a découvert la classe inversée au cours d’un reportage télévisé, il s’est rendu compte de la richesse de la méthode qui s’appuie sur le principe de faire réaliser les tâches cognitives simples de manière autonome aux élèves et tout ce qui est plus « complexe, mieux vaut le faire à plusieurs » ; sous-entendu, en classe.

    Damien Scimeca n’a pas simplement adhéré à « l’effet de mode » ; il a plutôt adopté un nouveau fonctionnement qui l’a aidé à mettre en place des pédagogies actives.

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    Sa méthode de classe inversée

    « Il y a plusieurs classes inversées », souligne t-il.
    Concrètement, Damien réalise ses capsules vidéo en amont et demande aux élèves de les visionner avant le cours ; une fois cette première étape réalisée, les élèves se rendent sur la plateforme d’autoévaluation Socrative, sur laquelle ils répondent à un QCM sur les notions vues dans les vidéos.

    « Cela leur permet de voir s’ils ont compris les notions détaillées dans les vidéos ou pas ». Parallèlement à ces exercices, Damien met aussi en place un texte à trous que les élèves peuvent compléter avec l’aide du manuel scolaire.

    L’enseignant peut ensuite consulter les résultats avant son cours ce qui lui permet d’adapter celui-ci et de faire de la remédiation dans ses séances.

    Réactions et sentiments des élèves

    « Certains de mes élèves ont été perturbés et généralement ceux qui sont perturbés sont les très bons élèves, ceux qui sont très scolaires », souligne t-il.

    A l’inverse, les élèves plutôt moyens, ont trouvé un grand intérêt et « ont eu l’impression de mieux apprendre », de leurs propres mots.

    Damien Scimeca a également modulé son espace classe de manière différente ; le travail en îlots permet aux élèves, tous niveaux confondus, de s’entraider et de collaborer.
    « Mon but est aussi de m’occuper davantage de ceux qui sont en difficultés ; je pratique tout simplement la différenciation pédagogique ». « On peut tout à fait faire de la différenciation pédagogique sans la classe inversée mais, de mon avis, c’est plus difficile », ajoute Damien.

    Damien Scimeca l’avoue aussi : cela demande plus de temps de préparation de mettre en place la classe inversée par la réalisation du plan de travail, des vidéos etc.

    « Par contre, cela me donne plus de temps en classe pour m’occuper de mes élèves ; ma pédagogie et mon enseignement sont beaucoup plus efficaces ».

    Ce sera la phrase de conclusion et n’est ce pas ce qu’il faut retenir ?…

    Plus d’infos :
    suivre Damien Scimeca sur Twitter : @Damscimeca

     

     

     

  • La Box Super-Julie « Ça t’apprendra ! » : la box qui donne envie d’apprendre

    La Box Super-Julie « Ça t’apprendra ! » : la box qui donne envie d’apprendre

    Ah les devoirs à la maison qui riment avec « leçons »… Rares sont les sujets ayant fait couler autant d’encre depuis aussi longtemps ! Car s’il est vrai qu’officiellement, les devoirs à la maison écrits sont interdits depuis 1956, il n’en demeure pas moins que la plupart des élèves de primaire rentrent chez eux le soir, épuisés par une longue journée d’école…
    …. avec des devoirs à faire pour le lendemain !

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    Remettre du plaisir dans le fait « d’apprendre »

    Pour autant, dans un monde idéal où les parents auraient le temps d’aider leurs enfants à faire leurs devoirs en toute sérénité, et où les enfants seraient de bonne volonté, les devoirs à la maison présentent un réel intérêt !
    Outre ce moment de partage parents-enfants, c’est aussi une façon de suivre la progression de son enfant et de cibler ses éventuelles difficultés.

    Sauf que… dans la vraie vie, les parents ont rarement le temps, l’énergie et la patience pour faire de ce moment un moment agréable pour tous. Et les enfants ont, pour la plupart, un peu de mal à se convaincre du bien-fondé de ce travail que leur demande leur instituteur/trice.

    Mais c’était compter sans Super Julie et ses box « Ça t’apprendra », conjuguant jeu et enseignement pour que les leçons deviennent enfin un jeu d’enfant !

    Julie Kuhn, à l’origine du projet, commente :
    « Le problème des leçons est intimement lié à ce qu’elles sont intrinsèquement, à savoir des leçons ! Avec tout ce que cela comporte de négatif et de souffrance dans notre imaginaire. Mais elles sont pourtant indispensables à la suite des apprentissages« .
    Proposées sans abonnement, autrement dit « à la demande » et selon les besoins de l’enfant, ces box destinées aux enfants de 5 à 12 ans ont pour objectif de dédramatiser les moments de révision, de travail à la maison et d’aide parentale aux devoirs.

    Comment ? Tout simplement en respectant un équilibre entre le digital et le réel pour qu’enfants et parents puissent tirer parti de ces moments.

    En les enrichissant par le jeu, ces moments stimulent l’envie d’apprendre et font oublier qu’il s’agit de notions scolaires.

    Pour que les leçons soient comme des bonbons : « Ça t’apprendra » en bref

    superjulie_img1Les box mises au point par Julie contiennent :
    . entre 1 et 3 codes d’applis
    . un jeu de manipulation en bois ou autre (s’il s’agit de cartes par exemple)
    . un livre lié à la notion à comprendre
    . un livret de 10 à 15 pages en format A5 proposant un parcours ludique entre tous les supports d’apprentissage et rappelant les notions essentielles à connaître en rapport à la notion traitée. Livret émaillé de rubriques « Frimer dans la cour de récrée » qui a pour but de nourrir la culture générale des enfants

    Ainsi, le véritable avantage de ces box réside dans ce livret unique recueillant conseils et parcours pour un amusement certain et une notion qui s’inscrit dans la mémoire de l’enfant car elle a été apprise de manière ludique et avec beaucoup d’intérêt. Il est bien connu que ce qui nous a passionné est retenu durablement.

    Zoom sur la boîte de numération

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    Concernant la mesure des quantités et les compléments à 10, cette box comprend un jeu, conçu pour manipuler les quantités et les compléments à 10 ; un livre, pour permettre de pratiquer les apprentissages en jouant ; ainsi qu’une application primée qui donnera envie de jouer avec les nombres et pour finir, le livret d’accompagnement décrivant parfaitement comment passer d’un support à l’autre et comment les utiliser de différentes manières.

    Par ailleurs, elles seront proposées en remédiation personnalisée en fonction de besoins précis de l’enfant.

    Ces box s’adressent à tous les enfants, quel que soit leur mode d’apprentissage, qu’ils aient une mémoire auditive, kinesthésique ou visuelle.

    Julie ajoute à ce titre :
    « Les box sont conçues pour « nourrir » tous les types de mémoires : auditive / kinesthésique / visuelle. Il s’agit de la mémoire dite « sensorielle » (du très court terme => 200 millisecondes à 3 sec). Et cette mémoire se transforme en mémoire de travail traitant les données et les dirigeant vers la mémoire à long terme, à condition toutefois que ce qui a été appris a été jugé suffisamment stimulant, intéressant, pertinent pour rester longtemps stocké dans des neurones« .

    A propos de la super institutrice masquée
    Super-Julie, c’est Julie Kuhn, institutrice internationale pendant 12 ans, reconvertie dans la sélection d’applications de qualité pour enfants.
    Son moteur dans la vie ?
    Faire avancer les enfants vers le savoir mais sans douleur, dans le bonheur et la bonne humeur. Le tout en liant les ingrédients idéaux tel que le digital au jeu de manipulation, à un livre idéal et un parcours intégrant les notions essentielles.

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  • Qu’est-ce que MyMentor ?

    Qu’est-ce que MyMentor ?

    MyMentor est une plateforme de mise en relation qui permet à chaque élève recherchant des cours particuliers de trouver l’enseignant idéal grâce à un outil de recherche sur mesure qui lui permet d’évaluer ses besoins.

    MyMentor est le fruit d’une intime conviction : chaque élève a un talent à révéler, il suffit juste de la bonne rencontre au bon moment pour lui donner le déclic de la réussite scolaire ! Pour permettre cette rencontre qui peut changer un destin, nous avons travaillé deux ans avec plus de 200 familles pour développer un outil capable de trouver le bon mentor à chacun ! Sans engagement et sans frais MyMentor propose avant tout un service personnalisé grâce à une équipe entièrement dédiée à votre accompagnement.

    Comment vous est venue l’idée ?

    Avant MyMentor, nous avons accompagné une centaine de familles en essayant de trouver l’enseignant parfait en fonction de leurs critères. Une famille voulait un professeur autoritaire, une autre quelqu’un d’empathique, une autre un profil qui redonne confiance en soi.

    Nous faisions cela manuellement étant donné le nombre de famille, mais notre activité se développant nous nous sommes rendu compte qu’il fallait développer un outil nous permettant de personnaliser au mieux ce choix d’enseignant. Notre algorithme nous permet désormais d’inclure beaucoup plus de critères que nous ne pouvions pas gérer seulement manuellement et d’être le plus précis possible, tout en gardant l’excellente qualité et la rapidité du service.

    Est-ce que c’est cher ?

    MyMentor n’intervient pas sur la tarification des cours. Ce sont les enseignants eux-mêmes qui évaluent leurs prestations. L’algorithme MyMentor s’adapte ensuite à votre budget en vous proposant les meilleurs profils.

    Avec MyMentor, les professeurs sont rémunérés en moyenne 1,5 à 2 fois plus qu’en agence alors que les cours que nous proposons sont 30% moins chers pour les familles.

    Comment ça marche ?

    L’élève réalise sa demande en ligne en répondant à un questionnaire sur sa personnalité et sa façon d’apprendre. Il choisit son niveau et la matière, ainsi que le lieu où il souhaite que les cours se déroulent. Nos mentors répondent à un questionnaire similaire sur leur méthode d’enseignement.

    Suite à cela, l’algorithme va présélectionner, sur 1 500 enseignants, les trois meilleurs profils, en fonction des critères pédagogiques de l’élève. La famille n’a plus qu’à choisir son enseignant préféré, sur des critères plus personnels.

    MyMentor s’engage à accompagner les familles pour s’assurer du bon déroulement des prestations et automatise toutes les démarches pour permettre à l’élève et l’enseignant de se focaliser uniquement sur leurs cours.

    Comment recrutez-vous vos professeurs et qui sont-ils ?

    Chez MyMentor nous estimons que chacun est capable d’enseigner. Pour recruter nos enseignants, nous avons mis en place un processus de recrutement complet par lequel nous certifions les diplômes et confirmons l’expérience pédagogique ainsi que la motivation de chaque candidat afin de garantir la qualité des prestations.

    Parmi nos enseignants beaucoup ont des parcours d’excellence et sont dans les meilleurs établissements de formation de France ou issus du corps professoral agréé et capé.

    MyMentor est conscient que la pédagogie passe à travers l’humain et donc par la qualité de l’enseignant. Ainsi nous faisons tout pour garder nos enseignants motivés et investis dans les cours qu’ils dispensent :

    • En leur offrant les meilleures rémunérations du marché
    • En facilitant leur travail par le développant de nouveaux outils
    • En récompensant la qualité de leur pédagogie

    Quelle est la portée sociale de MyMentor ?

    L’objectif de MyMentor est de proposer des cours particuliers à 2 euros de l’heure !

    Nous travaillons depuis 6 mois pour mettre en œuvre le projet « Un mentor pour tous » pour offrir des cours collectifs à des élèves issus de milieux modestes et leur permettre d’avoir un enseignement particulier d’excellence et sur mesure à très faible coût !

    Durant ces cours collectifs nous regroupons 6 élèves avec nos mentors, en fonction de leur niveau et façon d’apprendre, et leur donnons accès à un coaching et une pédagogie adaptée pour les aider et les remotiver.

    Les cours seront lancés début 2017, en collaboration avec des associations et collectivités locales pour déployer ce projet rapidement à l’échelle régionale puis nationale.

    Plus d’infos :
    Comment démarrer avec MyMentor?
    Pour vous inscrire, c’est simple : rendez-vous sur www.mymentor.fr/candidature
    Twitter :  @_Mymentor
    Facebook :
    https://www.facebook.com/MyMentor.fr

     

    source : MyMentor

  • Le Cartable Fantastique : ressources et info pour faciliter l’inclusion scolaire des enfants dyspraxiques

    Le Cartable Fantastique : ressources et info pour faciliter l’inclusion scolaire des enfants dyspraxiques

    Le Cartable Fantastique propose un site d’information sur la dyspraxie et un centre de ressources pédagogiques en ligne gratuites pour faciliter l’inclusion scolaire.

    Le Cartable Fantastique, association sans but lucratif, met gratuitement à disposition des enseignants et des familles des outils de compensation du handicap, des exercices adaptés pour les élèves dyspraxiques, disponibles au téléchargement sur son site www.cartablefantastique.fr .

    La dyspraxie, aussi fréquente que la dyslexie, perturbe la coordination des gestes.

    Les enfants dyspraxiques ont une écriture manuscrite non fonctionnelle et un trouble de l’organisation du regard qui gêne l’accès au contenu des livres et des manuels scolaires.

    Pour que les enfants dyspraxiques puissent développer leur potentiel scolaire, leur déficit de l’écriture manuscrite doit être compensé et leurs livres et manuels scolaires doivent être rendus accessibles.

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    Trop souvent, l’absence d’adaptations appropriées des supports scolaires et du mode de recueil des réponses conduit ces enfants d’intelligence normale vers un échec scolaire. Cette absence s’explique par la difficulté à comprendre ce handicap invisible, et par l’expertise technique que nécessite l’adaptation des supports tels que les manuels scolaires.

    Le Cartable Fantastique, partenaire du Ministère de l’Education Nationale (adaptation des évaluations nationales, création des Fantastiques Exercices), propose des solutions qui permettent aux enfants de réussir à l’école sans être gênés par leur handicap.

    Retrouvez sur leur site un centre de ressources en ligne gratuites pour faciliter l’inclusion scolaire.

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    Ressources scolaires adaptées

    • Exercices numériques téléchargeables ou à réaliser en ligne, notamment :

    > Les Fantastiques Exercices, étude de la langue, cycles 2 et 3

    > Les manuels Sésamath adaptés, 6ème et cycle 4

    • Manuels scolaires
    • Livres de littérature jeunesse

    Outils pour compenser, utilisables à l’école comme à la maison :

    • Gabarits pour opérations, tableaux de conversion et de numération…
    • Ruban Word incluant les outils du Cartable Fantastique

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    Outils pour adapter les supports pour les élèves

    • Les Cahiers Fantastiques : plateforme en ligne de création d’exercices numériques adaptés
    • Ruban Word et barre Libre Office, pour rendre textes et exercices accessibles

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    Plus d’infos :
    www.cartablefantastique.fr

  • Les ceintures de compétences 2.0, de la maternelle à la 6ème : osez changer de pédagogie !

    Les ceintures de compétences 2.0, de la maternelle à la 6ème : osez changer de pédagogie !

    Le collectif « ceintures de compétences 2.0″ ou c2c viennent de remporter un prix aux Trophées du numérique au colloque e-éducation organisé en novembre à l’ESENESR de Poitiers, le « Coup de cœur du public » pour sa vidéo de présentation. Mais que sont ces ceintures de compétences 2.0 ? Décryptage avec François Lamoureux, enseignant en CE1-CE2 et témoignage de mise en pratique avec Laetitia Vautrin, enseignante en Classe Préparatoire.

    « Nous n’inventons rien avec les ceintures de compétences qui existent depuis plusieurs années dans la pédagogie institutionnelle », tient à souligner François Lamoureux.

    Il fait allusion à Fernand Oury notamment, qui avait tenté d’instaurer cette nouvelle forme de pédagogie dans les écoles urbaines (et se rapprochant en cela de ce qu’il avait découvert en adhérant au mouvement Freinet, mis en place à l’époque, plutôt en milieu rural)*.

    Avec plusieurs collègues, François Lamoureux décide alors d’échanger sur ce modèle et de voir en quoi les outils numériques pourraient être utiles pour démocratiser « les pédagogies actives ».

    Au départ avec l’objectif de balayer du CE1 au CM2, les c2c vont aujourd’hui de la maternelle jusqu’à la 6ème, avec les étoiles de compétences en maternelle puis les niveaux de ceinture, sur le modèle du judo, du CP jusqu’en 6ème (ceinture rouge !).

    « Ça change beaucoup le regard que les élèves portent sur l’école ».

    L’enseignant devient un guide. « Je ne suis plus devant toi mais à côté de toi », explique François Lamoureux.

    Il explique également qu’il est nécessaire de rassurer les parents sur la méthode qui peut se trouver assez « déroutante » par rapport aux « classiques » ; « mais passé un temps d’adaptation et de pédagogie avec les familles, les retours sont super bons ».

    Laetitia Vautrin, membre du collectif de 30 enseignants, a, quant à elle, mis en pratique les c2c dans sa classe de CP. Comme les élèves sont encore non lecteurs, le dispositif a été adapté afin de remplacer les écrits par des logos.

    Par exemple, pour la compétence « je suis capable de lire les prénoms de la classe », « on va faire une manipulation autour de jeux.

    « Ce n’est pas une évaluation avec tous les élèves de la classe ; c’est l’élève qui me demande à un moment donné de pouvoir passer l’essai s’il se sent prêt ».

    Et tout ce dispositif se fait avec une plus-value du numérique, comme l’explique Laetitia Vautrin. « Mes élèves apprennent leur poésie en scannant un QR code qui les amène sur l’enregistrement de ma voix récitant la poésie et quand ils sont prêts, ils me demandent de la réciter ».

    L’élève placé au centre de ses apprentissages, autonome, qui prend des responsabilités tout étant encadré ; mais aussi l’élève qui devient un tuteur pour ses camarades… autant de points positifs détaillés dans la vidéo ci-dessus.

    Le collectif c2c ne se décrit pas comme des formateurs mais plutôt comme des passionnés par ce qu’ils ont mis en place et parce qu’ils découvrent tous les jours. Tout le dispositif est réalisé dans le respect des programmes de l’éducation nationale.

    « Nous sommes des enseignants de la base ; nous avons une expérience que nous souhaitons partager pour discuter et apprendre des autres » et pour conclure :

    « Nous souhaitons montrer qu’il y a des choses différentes de possible ».

    Plus d’infos :

    *en savoir plus sur Fernand Oury et la pédagogie institutionnelle sur le site de Philippe Meirieu, par exemple,

    Retrouvez tous les lauréats des Trophées numériques du colloque e-éducation à l’ESENESR ici.

    Et la vidéo qui leur a permis d’obtenir ce Trophée :