Étiquette : Educatice 2017

  • Gamme PLUG-IN – De l’innovation au service de l’éducation numérique

    Gamme PLUG-IN – De l’innovation au service de l’éducation numérique

    L’intégration du numérique dans les projets éducatifs est désormais une nécessité majeure des établissements scolaires et ce, tout au long du parcours des élèves.

    Démocratiser l’éducation numérique passe par l’optimisation de trois variables indépendantes : L’espace, les outils et le budget…

    La société QBS – « Quetzal BuroSystem » répond à ces exigences avec sa nouvelle gamme PLUG-IN. Cette gamme est une évolution significative dans le monde du mobilier car elle est configurable et adaptable à tous les outils numériques existants aujourd’hui dans l’éducation.

    Des tablettes tactiles jusqu’aux grands écrans 27 pouces, en passant par la connectivité de chaque poste ou l’intégration de prises électriques sur les plans de travail : l’objectif est d’offrir de la polyvalence et de l’ergonomie aux espaces de formation.

    QBS a voulu répondre par l’innovation à des demandes qui pourraient être considérés comme antagoniques :

    • Minimiser l’encombrement du mobilier dans les salles de formation
    • Maximiser les tailles des écrans
    • Apporter de la connectivité jusqu’au plan de travail
    • De l’innovation française à portée de tous (3 brevets d’invention déposés dans cette gamme)

    Un produit français, accessible, adaptable, modulable, évolutif et respectueux de notre environnement.

    Pour plus d’information, rendez-vous sur le site www.qbs.fr.

     

    CONTENU SPONSORISÉ DANS LE CADRE DU PARTENARIAT AVEC LE SALON EDUCATICE

  • Archicl@sse : impact du numérique sur l’architecture des écoles et des établissements

    Archicl@sse : impact du numérique sur l’architecture des écoles et des établissements

    Anna Maria Casella, enseignante en italien, témoigne au micro de ludomag sur le salon Educatice, de la mise en place de l’Archicl@sse au lycée Thierry Maulnier dans l’académie de Nice.

    « Ce qui m’a poussé à trouver une solution pour changer la structure de la classe, c’est le fait que je pars du principe qu’on ne peut pas enseigner en 2017 comme il y a 100 ans, donc il faut trouver d’autres stratégies »

    Pour Anna Maria Casella, l’enseignement frontal est devenu désuet. Au début, elle déplaçait toutes les tables à chaque cours en les positionnant en rectangle où l’enseignant se retrouve à l’intérieur du rectangle avec les élèves ; la posture de l’enseignant évolue déjà. « Le rectangle me permettait de mettre en place une interactivité avec les élèves« , explique t-elle.

    Ensuite, elle demandait aux élèves de re déplacer les tables pour démarrer des ateliers. « Toute cette mise en place est bruyante et prend du temps donc à partir de là, il m’a fallu trouver un mobilier qui s’adaptait aux pédagogies que je souhaitais mettre en oeuvre« .

    Puis a démarré une nouvelle « aventure » pour Anna Maria Casella, après avoir eu la déception de ne pas être reçue à un appel à projets. C’est finalement la région PACA qui lui a permis le financement de cette nouvelle architecture scolaire…

    Je n’ai plus d’élèves au fond de la classe ; tous les élèves sont au même niveau. Vous entendez tout ce qui se passe et vous avez la possibilité de relancer l’élève.

    L’intégralité du témoignage est à retrouver dans la vidéo ci-contre.

    Plus d’infos sur eduscol

    NB : Archicl@sse et non @rchiclasse comme cela apparaît dans le titre incrustée sur la vidéo, pardon pour cette erreur sur la vidéo réalisée dans des conditions du direct.

  • Repenser la forme scolaire à l’heure du numérique

    Repenser la forme scolaire à l’heure du numérique

    Catherine Becchetti-Bizot était notre invitée sur le plateau TV de Ludomag au salon Educatec-Educatice. Nous l’avons interrogée sur cette problématique à savoir « repenser la forme scolaire à l’heure du numérique », titre du rapport que Catherine Becchetti-Bizot a rendu au ministre au printemps dernier sur les pédagogies actives et qu’elle a ainsi reformulé.

    « Cette idée m’est venue car c’est vraiment un sujet auquel on aboutit toujours quand on va dans les classes rencontrer les enseignants et qu’on parle avec eux de leurs pratiques avec le numérique et de l’évolution de leur travail et de leur pédagogie« , explique t’elle.

    « Il faut que je réorganise l’ensemble de mon enseignement ».

    Phrase redondante que Catherine Becchetti-Bizot a entendu plusieurs fois lors de ses différentes visites. Il ne s’agit pas simplement de l’aménagement de la classe ou bien de la relation aux élèves. « Cela a un impact sur les espaces et temps d’apprentissage, les rythmes, le type d’activités et l’organisation des activités« , poursuit-elle.

    Pour notre inspectrice, le système normalisé et codifié auquel nous sommes habitués depuis des siècles, qui instaurait une manière d’apprendre, avec des outils, des meubles, un aménagement « en autobus », est à questionner aujourd’hui ; d’autant que ce modèle des Frères des écoles chrétiennes auquel l’École de la République s’est attachée, a coexisté avec d’autres modèles, comme Catherine Becchetti-Bizot l’explique dans la vidéo ci-contre : méthode simultanée ou modèle mutuel qui mettait en oeuvre la coopération et où le « maître » n’était qu’un chef d’orchestre…mais qui n’a pourtant pas été retenu par l’École de la République alors qu’on savait déjà, à l’époque, qu’il était plus efficace pour les apprentissages.

    Il y a donc une double problématique dans la forme scolaire :

    « Qu’est ce qui explique la résistance de ce modèle même aujourd’hui à l’heure du numérique ? »

    « Pourquoi faudrait-il changer de méthode si elle convient, paraît-il, aux enseignants ? »

    Le numérique devrait remettre tout cela « à plat »… Ce n’est pas si simple. C’est ce qu’explique Catherine Becchetti-Bizot dans la suite de l’interview.

     

     

     

     

  • Genrimages : représentations sexuées et stéréotypes dans l’image, soutenue par Édu-up

    Genrimages : représentations sexuées et stéréotypes dans l’image, soutenue par Édu-up

    Genrimages est une plateforme dédiée à l’analyse des représentations et des stéréotypes sexués dans l’image développée par le centre audiovisuel Simone de Beauvoir. La plateforme, au travers des outils et ressources qu’elle contient, a obtenu le soutien de l’Education Nationale via la commission Édu-Up et également le soutien de la mission hommes-femmes du ministère. Cette plateforme, revisitée, a été présentée sur le stand du ministère pendant le salon Educatec-Educatice.

    « L’image est aujourd’hui la première pratique culturelle chez les jeunes « , rappelle Laetitia Puertas, chef de projet sur le site Genrimages au centre audiovisuel Simone de Beauvoir.

    Le site contient donc tout type d’images : images et films analysés, des images fixes ou animées à annoter ou encore des ressources complémentaires qu peuvent être des vidéos, des sites, des liens, des articles etc, « pour appuyer l’analyse d’images » et permettre d’approfondir sur un sujet donné.

    La question des stéréotypes a été choisie car, comme le rappelle Laetitia Puertas, « c’est un enjeu essentiel de mixité, d’égalité et de prévention des comportements sexistes ».

    Dans Genrimages, ce sujet est abordé par l’image pour une pédagogie qui croise éducation à l’image et éducation à l’égalité filles-garçons.

    L’application concrète pédagogique se fait très facilement sur le site qui propose de nombreux outils aux enseignants : travailler sur l’image dans le détail grâce à la fonction annotation, par exemple. Il existe plusieurs modes de travail.

    « On peut rentrer dans l’image pour aller chercher les détails et comment chaque détail renvoie à un autre pour composer et faire sens« , explique Sophie Laurent, rédactrice des contenus pédagogiques chez Genrimages, lors de la démonstration proposée sur le salon Educatice.
    Cette fonctionnalité d’annotations est d’ailleurs possible à proposer directement aux élèves pour qu’ils puissent, eux-mêmes, commenter et travailler sur l’image.

    Le site Genrimages existait déjà avant d’être soutenu par le Ministère et Édu-Up et est connu des enseignants. Son outil d’annotations et les scénarios pédagogiques qu’il contient, lui donnent aujourd’hui une vraie valeur ajoutée.

    L’association du centre audiovisuel Simone de Beauvoir propose des formations aux enseignants, dans le cadre du Plan Académique de Formation, principalement sur le territoire d’Ile-de-France et Auvergne Rhône-Alpes, mais avec vocation à s’étendre au-delà.
    Les enseignants intéressés peuvent contacter l’équipe de Genrimages pour plus d’informations.

     

     

     

  • Retour sur le salon Educatec-Educatice

    Retour sur le salon Educatec-Educatice

    Retour sur le salon Educatec-Educatice et bilan « à chaud »avec Ghislaine De Chambine, directrice du salon ; interview réalisée sur le dernier jour de l’évènement…

    Retrouvez tous les articles et interviews du salon sur notre page dédiée : Educatice 2017

  • Devoirs faits : plus simple avec Edumalin !

    Devoirs faits : plus simple avec Edumalin !

    Edumalin est une initiative lancée en septembre 2016 par 3 professeurs d’EPS de l’académie de Paris, épaulés par un collectif d’une vingtaine de collègues et professionnels de la santé. Ce projet alliant numérique, pédagogie, neuro-sciences et métacognitions a pour ambition de permettre à chaque élève de construire des outils méthodologiques nécessaires à sa réussite, l’exercice de son autonomie et son épanouissement.

    Pour ce faire, nous avons élaboré des plateformes dédiées aux collèges hébergeant des méthodes de travail transversales, déclinées à partir des dernières données en neuro-sciences cognitives. Nous sommes focalisés sur le travail personnel de l’élève et travaillons sur 4 grandes thématiques au collège.

    Apprendre à : s’organiser, apprendre ses leçons, faire ses exercices, préparer ses contrôles. Apprendre à apprendre est pour nous un enjeu essentiel de l’éducation au XXIe siècle.

    L’objectif est de permettre à chaque élève de construire au quotidien des méthodes actives d’apprentissage, ciblées et favorisant la réussite et la construction de la confiance en soi, de manière personnalisée. Ce jeune projet présente la particularité de proposer des contenus vidéo pour chaque méthode et des outils spécifiquement élaborés pour les parents, les intervenants du dispositif devoirs faits (AED, services civiques…) et tout autre dispositif de type AP en lien avec le domaine 2 du Socle (méthodes et outils pour apprendre). Nos fonctionnalités sont également pensées pour se mettre « dans les pas » des équipes pédagogiques.

    Plus d’infos:

    Vous pouvez accéder à une version de démonstration à l’adresse suivante : https://demo.edumalin.fr
    Les codes d’accès en tant qu’élève/parent et en tant que prof/encadrant se situent en bas de la page d’accueil dans la rubrique « Récupérer les éléments de connexion ? ».

     

     

    CONTENU SPONSORISÉ DANS LE CADRE DU PARTENARIAT AVEC LE SALON EDUCATICE

     

  • TeachReo : pourquoi choisir les classes virtuelles ?

    TeachReo : pourquoi choisir les classes virtuelles ?

    TeachReo était pour la première fois au salon Educatec-Educatice ! Retour sur ce projet et le futur.

    Pourquoi Teachreo ?

    Pour que tous les cours soient assurés ! Récemment un enseignant ne pouvant pas se rendre dans son établissement pour dispenser son cours, n’a pas hésité à utiliser TeachReo pour faire cours de chez lui à sa classe, les élèves ont apprécié cet échange au sein d’une classe virtuelle.

    C’est exactement pour répondre à cette problématique que nous avons pensé et développé TeachReo. Notre objectif est de permettre une continuité pédagogique lorsque des heures de cours ne peuvent pas être assurées et ainsi simplifier la vie et la gestion de nombreux établissements.
    Nous cherchons d’ailleurs à mettre en place un partenariat avec l’Éducation Nationale pour les accompagner sur cette problématique. (cf la Cour des comptes : https://www.ccomptes.fr/fr/publications/gerer-les-enseignants-autrement-une-reforme-qui-reste-faire)

    TeachReo, c’est également une opportunité pour le dispositif « devoirs faits » où l’on constate qu’il est parfois très compliqué à mettre en place dans les petits établissements, ou en province.

    Avec TeachReo il est possible de rentrer en relation avec quelqu’un de disponible pour aider les élèves.

    Qu’est ce que TeachReo ?

    C’est une plateforme de classes virtuelles qui permet à des enseignants, des professionnels, des associations de partager de façon gratuite ou rémunérée des connaissances avec des élèves.

    Le gros avantage, c’est que l’outil permet d’échanger par le biais de la visioconférence, avec un outil de tchat, un tableau blanc, bref tous les outils nécessaires en classe.

    La visio ce n’est pas nouveau ! Oui et non. Effectivement Skype par exemple existe depuis longtemps mais n’est pas dédié à la salle de classe, de plus il ne permet pas de connaître les disponibilités d’un enseignant quelque soit sa position géographique. C’est ce plus qu’apporte TeachReo. La possibilité de mettre en relation un enseignant avec quelqu’un qui souhaite apprendre à un instant T.

    Autre avantage, il est possible de revisionner le cours grâce au replay du cours intégré sur la plateforme avec également le tchat, tableau blanc, …

    Et sinon ?

    Nous sommes dans l’observatoire EdTech de Cap Digital, nous sommes membre du EdFab et de la FrenchTech.

    Aujourd’hui nous avons pour projet de lancer le premier collège 100 % en ligne, un peu à l’image de ce qui se fait déjà avec l’enseignement du code. Avec ce collège nous prévoyons de venir en aide à tous les enfants déscolarisés pour diverses raisons (phobie, maladie, homeschooling, EIP, …), pour tous ceux pour qui le système actuel n’est pas adapté. Alors oui, il y a le CNED mais avec ce dispositif les élèves sont isolés.

    Ce que nous proposons avec ce dispositif, c’est de mettre en place des cours en petits groupes supervisés par un véritable enseignant, pas une vidéo, un MOOC, ou quelque chose d’asynchrone mais bien une « vraie » classe. L’autre point fort de ce système est que cela permet à l’élève de pouvoir mettre en place un enseignement mutuel, comme ce que propose Vincent Faillet dans son livre : La métamorphose de l’École quand les élèves font la classe, mais transposé au numérique.

    Plus d’infos : www.teachreo.com

     

    CONTENU SPONSORISÉ DANS LE CADRE DU PARTENARIAT AVEC LE SALON EDUCATICE

  • Klassroom, le cahier de liaison digital

    Klassroom, le cahier de liaison digital

    Klassroom est une application mobile et web qui réinvente la communication entre les professeurs et les parents.

    Avec Klassroom, les professeurs peuvent en quelques clics partager avec les parents d’élèves des informations sur la classe, des photos, des vidéos, des documents ou encore des événements (sorties scolaires, etc.). Les parents reçoivent alors instantanément l’information.
    De leur côté, les parents peuvent prévenir le professeur d’une absence, d’un retard, poser une question ou faire une demande de rendez-vous.

    L’application est non intrusive : ni les professeurs ni les parents n’ont besoin d’échanger leurs coordonnées pour communiquer. Les parents ne peuvent solliciter le professeur que pour des raisons bien cadrées.

    L’application est très simple d’utilisation : que ce soit les professeurs ou les parents, tout le monde sait déjà utiliser Klassroom!
    Pour les enseignants, la version web et la version mobile (android ou iPhone) de l’application sont gratuites.

    Pour les parents : la version web (accessible d’un smartphone, d’une tablette ou d’un ordinateur) est gratuite. La version mobile nécessite l’offre premium proposée aux communes ou aux coopératives au tarif de 0,99€/élève/mois. Les parents peuvent aussi décider s’ils le souhaitent de souscrire à l’offre premium (si leur commune ne prend pas en charge) au tarif d’1,99€/élève/mois.

    Une application sécurisée qui respecte les règles de l’éducation nationale : Klassroom respecte les règles imposées par l’Education Nationale notamment en matière de conservation et de stockage des données personnelles. Klassroom est déclarée à la CNIL. Il n’y a aucune exploitation des données personnelles à des fins commerciales et aucune publicité dans l’application.


    Pour plus d’information sur Klassroom, vous pouvez consulter le site internet : http://klassroom.fr ou visionner ce petit reportage de 2 minutes pendant l’émission Télématin.

    CONTENU SPONSORISÉ DANS LE CADRE DU PARTENARIAT AVEC LE SALON EDUCATICE

  • Hackeo : le jeu de piste en réalité augmentée

    Hackeo : le jeu de piste en réalité augmentée

    Depuis Septembre 2016, Hackeo le jeu de piste en réalité augmentée, permet de donner une autre dimension, virtuelle, à toutes les formations ou séminaires que vous organisez !

    Outil pédagogique innovant, il rend vos présentations interactives en fournissant un ensemble de fonctionnalités de gamification, grâce aux nouvelles technologies telles que la réalité augmentée et l’internet des objets. La société Augmenteo, à l’origine du produit, nous en dit plus sur le principe d’Hackeo.

    La solution fonctionne grâce à une application mobile (Android et iOS) et une plateforme web en ligne. Les participants à votre événement ou votre formation téléchargent l’application gratuite et récupèrent le contenu que vous avez préalablement enregistré en ligne. L’application consiste en un scanner de marqueurs physiques, qui ressemblent à des « QR Codes 2.0 », envoyés par la poste, dans une box. Posez vos marqueurs, configurez votre contenu et démarrez votre animation en quelques clics !

    Choisissez le contenu que vous souhaitez : quizz, vidéos, images, sons et… réalité augmentée ! L’originalité de la plateforme web provient du fait que vous pouvez importer des images ou des modèles 3D en réalité augmentée pour ajouter une touche novatrice à votre animation. Une erreur dans le contenu ? Aucun problème, corrigez votre erreur et la mise à jour est instantanée chez tous vos participants.

    « La réalité augmentée, c’est quoi ? » Cette technologie vous permet de rajouter une information, une image, une vidéo en transparence sur le flux caméra de n’importe quel téléphone ou tablette !

    Lorsque la formation ou l’événement est terminé, consultez les résultats des réponses aux questions, les profils de vos participants, leur historique de parcours grâce à la plateforme. Besoin de les challenger ? Hackeo vous donne accès en temps réel aux scores d’équipes !

    Si vous avez une problématique liée à des flux de visiteurs, des courses d’orientation, des serious game en intérieur, Augmenteo propose également des bornes de localisation Bluetooth fonctionnant avec n’importe quel smartphone ou tablette, vous permettant d’envoyer des notifications automatiquement aux participants lorsqu’ils entrent dans le champ d’action de la borne.

    Alors, êtes-vous prêts à rejoindre le jeu de piste du 21ème siècle ?

    Fondée en Juillet 2017 par Charlotte LANDRY (Graphiste) et Quentin Warnant (Développeur web) et basée à la Plaine Images de Tourcoing, la startup Augmenteo développe des animations technologiques innovantes à destination notamment des secteurs éducatif et culturel. Aujourd’hui composée d’une équipe de 7 personnes, Augmenteo possède plusieurs cas concrets de déploiement à son actif : Polytech Lille pour l’accueil des nouveaux élèves, La Banque de France pour les Journées du Patrimoine, Le Cube à Paris pour l’Happy Cube Day, la Mairie de Tourcoing pour une exposition augmentée, l’Opéra de Lille pour ses journées portes ouvertes, et la société DEF pour le lancement digital et innovant d’un nouveau produit.

     

    CONTENU SPONSORISÉ DANS LE CADRE DU PARTENARIAT AVEC LE SALON EDUCATICE