Étiquette : éditeurs

  • Universalis Edu : une refonte totale du site pour la rentrée 2017 !

    Universalis Edu : une refonte totale du site pour la rentrée 2017 !

    NOUVEAU DESIGN, NOUVELLES FONCTIONNALITÉS, NOUVEAUX OUTILS… Pour la rentrée scolaire 2017, l’éditeur de la fameuse encyclopédie française Encyclopædia Universalis vous présente sa toute nouvelle version du site Universalis Edu dédié aux lycées et à l’enseignement supérieur.

     

    Comment mieux répondre aux besoins numériques de l’éducation ?

    Cette réflexion portée par nos équipes nous a mené à parfaire notre site Web, avec un contenu numérique toujours certifié et qualifié, dans une nouvelle interface ergonomique encore plus adaptée aux usages pédagogiques. La recherche documentaire, plus simple, est agréable, autant pour les professeurs que les élèves.

    Ce qui va changer : 

    Une nouvelle interface intuitive. Adapté aux ordinateurs, aux smartphones comme aux tablettes pour un confort de lecture assuré, le site est optimisé pour une utilisation en classe, au CDI et à la maison.

    De nouveaux modes de recherche simples et performants. Ces développements délivrent des résultats plus précis pour une recherche plus efficace, tels que :
    – Carte mentale : élargir sa recherche de manière ludique et interactive.
    – Recherche par auteur : consulter l’encyclopédie à partir de la signature de ses contributeurs.

    Et de nouveaux outils afin de rendre fluide et accessible à tous l’utilisation de la ressource et la compréhension des articles :
    – Un dictionnaire que l’on ouvre accessible par un double-clic sur n’importe quel nom commun.
    – Un espace personnel utilisable aussi bien par les professeurs que les élèves.
    – Une fonction audio, pour écouter le texte des articles, qui favorise l’accessibilité.

    Les nouveautés seront mises en place pour la rentrée scolaire 2017.

    Plus d’info :
    Suivez l’actualité d’Encyclopædia Universalis sur Twitter

    CONTENU SPONSORISÉ

  • Lib Manuels, la nouvelle application bibliothèque commune aux manuels numériques

    Lib Manuels, la nouvelle application bibliothèque commune aux manuels numériques

    Lib Manuels, la nouvelle application bibliothèque commune aux manuels numériques enrichis de Belin Éducation, des éditions Magnard, Delagrave, Vuibert, Lanore, et BPI.

    Depuis 2013, Belin Éducation comme les éditeurs scolaires du groupe Albin Michel (Magnard, Delagrave, Lanore et Vuibert) et les éditions BPI utilisent le format et les applications du Lib
    pour la production et la diffusion de leurs manuels numériques enrichis.

    Afin d’améliorer l’expérience utilisateurs et la rapidité d’accès aux contenus, Edulib propose de découvrir à compter du 29 mai 2017 une nouvelle version du Lib : Lib Manuels.

  • Edu-Up : soutien à la production et à la diffusion des ressources numériques

    Edu-Up : soutien à la production et à la diffusion des ressources numériques

    Alain Thillay, chef du département ressources numériques à la Direction du Numérique pour l’Education, est venu présenter le dispositif Edu-Up lors de l’évènement EduSpot France du 08 au 10 mars dernier.

    « Edu-Up est un dispositif de soutien à la production et à la diffusion des ressources à destination plus particulièrement des starts-ups et des PME du numérique« .

    Quatre axes prioritaires ont été définis :

    . un axe sur la production d’applications mobiles en lien avec le Plan Numérique pour l’Ecole
    . un axe sur la politique d’Ecole Inclusive, sur le numérique et handicap
    . un axe dédié aux approches transversales, pluridisciplinaires, dans le sens de l’accompagnement de la réforme
    . un dernier axe autour des ressrouces qui permettent le travail collaboratif des élèves

    « Toujours avec des contenus et des services associés », précise Alain Thillay.

    Parmi les projets, pour ne citer qu’eux, il y a la plateforme Matilda, pour lutter contre les discriminations, l’égalité filles-garçons etc. Ou encore Ersilia sur l’éducation à l’image (voir aussi notre sujet en vidéo sur la plateforme Ersilia).

    Quelques projets soutenus :

    Plus d’infos sur Edu-Up : eduscol.education.fr

  • ViaScola, la classe interactive : un nouvel acteur numérique au service de la pédagogie.

    ViaScola, la classe interactive : un nouvel acteur numérique au service de la pédagogie.

    [callout]Issue de la collaboration étroite entre des éditeurs de renom (les éditions Bordas, Nathan et Retz) et une start up, co-construite avec les enseignants, testée pendant quatre ans, ViaScola s’inscrit dans le nouveau paysage de l’École, une École numérique où la technologie est au service des contenus et de la pédagogie.[/callout]

    Educatice_Viascola2ViaScola est un environnement d’apprentissage au service d’une pédagogie active, collaborative et différenciée. C’est une solution simple d’utilisation, totalement sécurisée, fonctionnant en ligne et hors ligne, interfaçable avec les ENT et l’ensemble des dispositifs en place dans les établissements.
    Des contenus et des ressources conçus par les éditions Bordas, Nathan et Retz sont adossés à des services de pilotage et d’animation de classe.

    Après quatre années de travail et d’expérimentations, nous apportons une solution complète à l’enseignant qui, suivant les recommandations du ministère de l’Éducation nationale, a le souci de diversifier ses parcours pédagogiques.

    Riche des manuels d’éditeurs, gages de qualité mais aussi de respect des programmes et du droit d’auteur et de la neutralité des approches, ViaScola propose aussi des cursus de cours et de révisions et une base d’exercices autocorrectifs associé à un outil de pilotage à distance.

    ViaScola, la classe interactive met la pédagogie au cœur de l’activité enseignante.

    « Aujourd’hui la personnalisation des apprentissages est fondamentale or, ce que nous disent les enseignants c’est que la facilité et l’efficacité pédagogique de ViaScola leur permet de suivre en temps réel la progression de leurs élèves et de remédier ainsi, sans délai, à leur difficulté » précise Sylvain Fayol, Directeur du développement du Pôle Éducation et Référence d’Editis.

    « ViaScola propose à l’enseignant d’intégrer ses propres cours et d’enrichir les parcours prédéfinis. L’élève quant à lui pourra apprendre et se perfectionner sur une plateforme dont le design et l’ergonomie ont été pensés pour lui » a déclaré Catherine Lucet, Directrice du Pôle Éducation et Référence d’Editis.

    ViaScola, la classe interactive met enfin le meilleur de la technologie au service de toutes les pédagogies, comme la classe inversée.

    ViaScola est aussi accessible à la maison permettant à l’élève de retrouver ses cours et ses devoirs et aux parents de suivre l’évolution de leur enfant.

  • Ressources numériques : l’offre des professionnels de la filière répond-elle vraiment aux besoins d’innovation pédagogique ?

    Ressources numériques : l’offre des professionnels de la filière répond-elle vraiment aux besoins d’innovation pédagogique ?

    Educatice_confressources

    Faire entrer les ressources numériques dans l’Ecole : l’offre n’est plus le problème

    Alain Laurent, Président du GEDEM, est formel : l’offre actuelle de ressources, qu’elles soient éditoriales ou produites par les enseignants, est suffisamment étoffée pour répondre aux besoins des enseignants.
    Pour répondre à la question posée par cette table ronde, « l’offre des professionnels de la filière répond-elle vraiment aux besoins d’innovation pédagogique ? », Alain Laurent exprime son scepticisme par rapport au terme « d’innovation ». D’après lui, l’innovation ramène à l’expérimentation.

    Cela fait 25 ans que nous expérimentons ; aujourd’hui, la question est celle de la généralisation, déclare t-il.

    Jean-Marc Merriaux, Directeur général de Canopé, parlerait davantage d’initiatives pédagogiques que d’innovations pédagogiques.

    Les enseignants, des producteurs de ressources ? Mais cela suffit-il vraiment ?

    « Aujourd’hui, l’ensemble des outils doivent permettre de renforcer l’initiative pédagogique, et donc valoriser la liberté pédagogique de l’enseignant. Cette pratique pédagogique change les habitudes, par exemple, la posture de l’enseignant dans la classe est différente ».

    Pour lui, le principe de granularité est encore à développer de même que la question de l’indexation de la ressource afin de permettre qu’elle soit utilisée par l’enseignant comme il le souhaite.

    L’enseignant est un éditeur, souligne t-il.

    « Il est amené à produire des contenus, il est un agrégateur de contenus ».

    Un autre point fondamental que Jean-Marc Merriaux soulève est qu’une ressource aujourd’hui, quand elle est pensée, doit intégrer une dimension par rapport à des fonctionnalités.
    « Jusqu’à présent, les ressources ont été pensées « enseignant centrées ».

    Il signifie par cette remarque que la ressource numérique doit aussi être « élève centrée », afin de pouvoir être utilisée en autonomie par l’élève.

    Véronique Saguez, responsable éditoriale aux éditions BORDAS mais aussi enseignante a l’avantage d’être de chaque « côté de la barrière ».
    Quoique le terme de « barrière » soit un peu caricatural, force est de constater que le dialogue éditeurs-enseignants ne saute pas aux yeux à première vue.

    Pour elle, l’enseignant ne peut se suffire des contenus qu’il produit. D’une part, parce qu’il a très peu de temps pour cette production et d’autre part, « parce que tout simplement, ce n’est pas notre métier ».

    La majorité des enseignants a besoin de parcours tout faits et c’est le rôle des éditeurs que de créer ces contenus.

    Les enseignants sont-ils capables de se retrouver dans ce marché foisonnant de ressources ? Et surtout sont-ils formés pour cela ?

    C’est sur ce point que Véronique Saguez étend son propos ; en effet, bien que les ressources soient de plus en plus « innovantes », la formation des enseignants reste une part non négligeable à prendre en compte pour une équation parfaite.

    Véronique Saguez propose la formule suivante :
    4 euros pour l’école = 2 euros pour l’équipement, 1 euro pour la formation et 1 euro pour les ressources. Et elle ajoute qu’aujourd’hui, « on est loin de cette équation ».

    Enfin, elle définit les besoins concrets pour un enseignant en classe : des ressources agrégeables, compatibles avec tous les environnements et libres de droit.

    Sur les questions d’ordre économique, Hervé Borredon, Président de l’AFINEF apporte quelques précisions.

    Le manque de visibilité économique ne motive pas les industriels du secteur à investir dans des ressources dites « innovantes ».

    Au sujet de l’offre, le constat est clair : elle est plus importante pour le second degré que pour le premier degré.

    « Au delà de ce constat, on pourrait penser que le premier degré a besoin de moins de ressources parce qu’ils n’ont pas de matériel mais cela amènerait à un raccourci un peu rapide ».

    Hervé Borredon explique que la difficulté à laquelle se heurte les éditeurs du premier degré, ce sont les investissements très importants qui doivent être engagés pour produire ces nouvelles ressources (il faut compter sur un investissement de 2-3 ans pour pouvoir obtenir une ressource « innovante »).

    La mise sur le marché est aussi très compliquée ; les produits peuvent être attractifs et plaire aux enseignants mais les réponses auxquelles se heurtent les éditeurs sont qu’il n’y a pas de budget.

    Pour investir, il faut avoir des perspectives de retombées économiques et trouver un équilibre financier au projet, rappelle Hervé Borredon

    « La filière manque cruellement de visibilité sur les budgets d’investissement et ce défaut de visibilité sur les budgets est encore plus prégnant sur le premier degré », ajoute t-il.

    La problématique gratuit-payant est-elle encore au coeur du débat ? Les enseignants deviendraient t-ils des concurrents du secteur privé ?

    Pour Alain Laurent, la cohabitation est tout à fait possible. Il rappelle l’expérience de Sésamaths, une action totalement collaborative qui a dépassé les ambitions premières des créateurs. Il explique qu’à un moment donné, Sésamaths a été confronté à une production des enseignants à grande échelle ; la question de trouver un éditeur s’est alors posée.

    La société Génération 5 a alors travaillé avec Sésamaths.
    « nous sommes tout à fait complémentaires ; nous avons apporté des compétences éditoriales (la relecture, la correction par exemples) tout simplement », souligne Alain Laurent.

    Pour lui, l’éditeur a une réelle plus-value à apporter c’est pourquoi il a sa place dans le « paysage »,

    A la question qui est posée par l’animateur de la table ronde, Eric Fourcaud, directeur de publication Ludomag, sur des enseignants qui fabriquent leur propre manuel numérique, Alain Laurent répond qu’il ne voit aucun mal à cela. Pour lui, ce sont des cas isolés.

    « Cela demande beaucoup de temps de créer son propre manuel. Je préfère me concentrer sur le suivi et les pratiques de mes élèves », ajoute Véronique Saguez, en appuyant le propos d’Alain Laurent.

    Enfin, Alain Thillay, chef du département du développement et de la diffusion des ressources numériques à la Direction du Numérique pour l’Education donne son point de vue sur les éléments qui ont alimenté le débat.

    « Au delà de la production, il y a aussi à clarifier la distribution et la diffusion des ressources ».

    L’élément perturbant est qu’aujourd’hui, il est question de contenus associés et plus seulement de ressources physiques. Le rôle de l’Etat est de donner des cadres (notamment par rapport aux règles sur les données personnelles, par exemple).

     Les enseignants sont des producteurs, c’est vrai ; mais ils ne sont pas des éditeurs de ressources, ils veulent les partager dans leur univers professionnel.

    Alain Thillay réaffirme la position du Ministère quant au dialogue engagé avec les éditeurs pour arriver à « ce point d’équilibre ».

    « Le rôle du Ministère est aussi d’avoir une approche de soutien à l’ensemble de la filière e-éducation », ajoute t-il.

     

     

  • Plan Numérique : les industriels du secteur poussent pour un démarrage en septembre 2015

    Plan Numérique : les industriels du secteur poussent pour un démarrage en septembre 2015

    [callout]C’est avec optimisme que les industriels du secteur ont accueilli l’annonce d’un grand plan du numérique par François Hollande qui vient en relais de ce qui avait été annoncé début juillet par les Ministres de l’époque, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon et la Secrétaire d’Etat au numérique, toujours membre du gouvernement, Axelle Lemaire.[/callout]

    Le volet e-éducation, qui va faire partie des 34 plans de relance de la France industrielle, a été largement approuvé par toute la filière, notamment du fait qu’il intègre l’ensemble des besoins de l’Ecole (équipements et infrastructures, ressources éducatives, environnements numériques, formation, accompagnement et maintenance).

    Les ressources et contenus pédagogiques ne seront pas les « oubliés » de ce nouveau plan numérique.

    C’est en effet un des aspects positifs retenus par les industriels : la reconnaissance de l’importance pour ne pas dire de l’indispensable nécessité de prévoir un budget pour les ressources ; largement laissées pour compte dans les précédents plans, ils mettent l’accent sur le fait qu’elles constituent une garantie pour le développement des usages et l’utilisation efficiente des équipements. Des investissements qui, rappelons-le, sont presque en totalité réalisés par les collectivités locales, elles-aussi devenues « frileuses » au fil des années, car peu ou pas informées des résultats engendrés par leurs engagements financiers.

    Des collectivités locales mises dans la boucle ; concertation et coordination pour la mise en oeuvre de ce plan.

    Le groupement des industriels met également en avant dans ce courrier l’intérêt de la Refondation de l’Ecole qui a permis d’impliquer davantage les collectivités locales dans les réalisations et usages du numérique dans leurs établissements. En effet, cette loi de Refondation « a permis de clarifier les domaines de compétence de l’État et des Collectivités territoriales et notamment pour les infrastructures, les équipements et leur maintenance« .

    En résumé, le courrier rappelle trois points essentiels aux yeux des industriels du secteur pour oeuvrer à la réussite de ce plan à savoir :

    • des contenus pédagogiques de qualité, produits par des professionnels du secteur en accord avec les instructions officielles du Ministère de l’Éducation Nationale afin de garantir un usage massif, fiable et pérenne de l’ensemble du dispositif ;
    • des services numériques permettant de doter chacun des élèves et des enseignants d’outils assurant le support de leur travail au quotidien ;
    • d’un dispositif complet de formation des enseignants et des autres personnels aux outils numériques et à leurs usages pour l’enseignement.

    Malgré l’adhésion des professionnels du secteur, des inquiétudes subsistent.

    En premier lieu, le report de deux ans pour le démarrage du plan prévu pour la rentrée 2016, les laisse perplexes. En effet, compte tenu de l’arrêt des plans nationaux d’acquisition de ressources, combiné à la baisse importante des crédits de fournitures pédagogiques des établissements, le chiffre d’affaires du secteur affiche une baisse d’environ 40% ; c’est un secteur en souffrance qui pourrait difficilement se permettre une attente d’encore deux années pour redémarrer. Et ils ajoutent que :

    deux ans d’attente, ce sont aussi deux ans de rupture avec ce qui a déjà été engagé dans les établissements!
    L’AFINEF, le GEDEM et le SNE proposent donc :
    -> d’engager dès la rentrée 2015 une première phase du plan consacrée à l’équipement en ressources, en capitalisant sur les équipements existants ;
    -> de porter une attention particulière à l’école primaire, fondement de la scolarité mais encore mal lotie en ce qui concerne le numérique éducatif.

    N’ayant aucune visibilité à court ou moyen terme, les industriels du secteur doivent reprendre confiance ; C’est aussi cela qui leur permettra d’investir et de relancer l’économie de la filière du numérique en France pour redevenir compétitifs sur la scène internationale, notamment face à des acteurs anglo-saxons toujours vigoureux.

    Auteur : Aurélie Julien, inspirée par la lettre de l’AFINEF, GEDEM et SNE adressée à François Hollande en date du 23 septembre 2014.

  • Tablettes à l’école : la quête du contenu

    Tablettes à l’école : la quête du contenu

    [callout]L’objectif de l’évènement est de rassembler les mondes de l’enseignement, de l’entrepreneuriat et des collectivités pour faire le point sur la question clé du numérique à l’école : le contenu. Au-delà du déploiement des équipements dans les classes, de nouveaux usages et de nouvelles pédagogies naissent[/callout].
    L’édition 2013 coïncidait avec la publication du rapport du ministère de l’Education nationale : « Structuration de la filière économique du numérique éducatif, un enjeu pédagogique et industriel majeur pour la France ». L’élan était alors donné pour une introduction prioritaire des tablettes numériques dans les écoles. Le chef de l’Etat lui même a rappelé lors la rentrée scolaire, le 2 septembre dernier, la mise en application prochaine d’un grand plan sur le numérique à l’école (voir un de nos articles à ce sujet).

    Les décideurs des collectivités locales, les enseignants, les ministères de l’Education Nationale et du Numérique pourront, le 24 septembre, rencontrer la communauté des éditeurs de contenus innovants et des éditeurs évoluant vers le numérique et faire ensemble le point sur un axe majeur de modernisation de l’école.

    Partenaires de renom

    « Tablettes à l’école, la quête du contenu 2014 » est soutenu par Gobelins, Canopé , Cap Digital, Le Labo de l’édition, el@b, La Caisse des Dépôts, Microsoft Education et Stantum ainsi que par des partenaires presse les éditions Weka, La Souris Grise, Educavox, Ludomag et La Gazette des communes.

    L’édition 2014 prend ses aises sur une journée entière. Deux tables rondes permettront de donner la parole aux acteurs de la filière : institutionnels, enseignants, entreprises et collectivités confronteront leurs expériences.
    La journée sera aussi rythmée par des pitchs, des temps courts de présentation d’applications innovantes par des éditeurs.

    Les temps forts de la journée

    • Ouverture : Catherine Becchetti-Bizot, directrice du numérique pour l’éducation au Ministère de l’Education Nationale ouvrira la matinée.

    • La table ronde du matin, « Du projet pilote à la tablette pour tous« , relatera des expériences de projets pilotes ou d’équipements généralisés et détaillera la question de l’accès des établissements aux ressources numériques innovantes, les usages des enseignants et les apports pédagogiques du numérique.

    Ce temps d’échange réunira Jean-Michel Perron, directeur de la recherche et du développement sur les usages du numérique éducatif de Canopé (ex-CNDP), Daniel Gillard, inspecteur adjoint au directeur académique, direction des services départementaux de l’Education nationale de la Gironde, Jérôme Brault, directeur général des services du Perray (Yvelines) et Christophe Carayon, chargé de mission numérique auprès du président de la communauté de communes Marennes Adour Côte Sud (Landes).

    • La table ronde de l’après-midi, « Start-up numérique Jeunesse : de la vocation au business-model« , débattra du modèle d’accès des start-up du numérique jeunesse au marché des établissements scolaires et dressera un portrait de l’entrepreneuriat éducatif de la French Tech.
    Cette table ronde rassemblera Sophie Pène, du Conseil National du Numérique, pilote de la saisine « Education », Jérôme Serre, co-fondateur d’eduPad, Benjamin Viaud, directeur associé de Beneylu School et Déborah Elalouf, présidente de Tralalere.

    • Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat à l’économie numérique, clôturera l’après-midi. En pratique

    Plus d’infos :
    Tablettes à l’école, la quête du contenu est un événement gratuit, accessible sur inscription qualifiée.
    Il se tiendra de 9h30 à 17h30 à Gobelins, l’école de l’image au 73 boulevard Saint-Marcel 75013 Paris.
    Le déjeuner de networking – une option payante – se tiendra sur le lieu même de l’évènement.
    Le site de l’évènement détaille le programme et permet l’inscription.

    A propos
    Le Crak, Cercle des éditeurs d’applications pour les Kids, est une association loi 1901 qui a pour objet de rassembler les marchés et acteurs du numérique Jeunesse, de faire connaître les talents des éditeurs francophones, de mener une prospective active sur le secteur et de participer à la valorisation de la qualité. Lancé en mai 2013, le Crak a pour partenaires Le Labo de l’édition, MO5, NovaCHILD et les Wouap Doo Apps Jeunesse.
    Les 36 membres adhérents ont signé une charte de qualité qui rappelle les règles d’une application adaptée et respectueuse des usages des enfants.
    Le bureau du Crak est géré par Laure Deschamps (société ScreenKids), Vanessa Kaplan (société Kiupe) et Antoine Vu (société Atomic Soom). Les adhérents Crak sont basés en France, Belgique, Espagne, Québec, Norvège et Brésil.
    Pour en savoir plus : www.crak.biz

    Crak_journeedu2409

  • La plateforme BIC Connect, une bibliothèque de ressources à intégrer à ses propres séances

    La plateforme BIC Connect, une bibliothèque de ressources à intégrer à ses propres séances

    Des interlocuteurs impliqués dans le projet en témoignent aujourd’hui

    Tentons de résumer en trois phrases  – car nous savons que l’enseignant est pressé et qu’il a peu de temps ! – ce qu’il peut faire avec la plateforme Ressources BIC Connect:

    –       Je peux récupérer facilement tous mes documents personnels qui représentent de nombreuses heures (plusieurs années ?) de travail ;

    –       Je peux partager facilement mon travail avec d’autres enseignants qui utilisent comme moi BIC Education et échanger avec eux sur leur manière d’aborder ce nouvel outil ;

    –       Je peux m’appuyer sur des ressources variées et choisies pour l’enseignement en premier degré, qui sont indexées sur des points du programme, facilement intégrables dans mon cours.

    Développons quelque peu ces trois notions essentielles à porter à la connaissance de l’enseignant, « nouvel utilisateur » de la solution…

    Récupérer son « capital pédagogique » très facilement

    « BIC Education, qui s’est construit sur la base du HTML5, donc d’un  format ouvert, peut accueillir nativement des contenus qui viennent du web, des PDF, des fichiers MP3 et, d’une manière générale, tous les documents “à plat“ (images, textes…) que les enseignants ont sur leur ordinateur », décrit Anne Lechêne, responsable des partenariats de BIC Education.

    L’enseignant peut très facilement, à l’aide d’une clé USB, importer la totalité de son « patrimoine » pédagogique de plusieurs mois ou de plusieurs années et donc réutiliser des séances, des images, des fichiers sonores sur la solution BIC.

    Des ressources variées pour étoffer ses séances de cours

    Sur la plateforme BIC Connect, l’enseignant peut choisir entre : des applications multimédia riches en interactivité, des ensembles qui vont davantage ressembler à des livres numériques avec un accès à un « sommaire », mais aussi des ressources plus granulaires qui pourront être intégrées facilement à une séance.

    Certains éditeurs retenus pour intervenir sur la plateforme ont transposé leurs ressources existantes dans une version numérique ; d’autres ont créé des ressources spécifiques pour l’environnement HTML.

    On retrouve une variété de « taille » de ressources ce qui permet à l’enseignant de faire « son marché ».

    Comme le précise Anne Lechêne, « BIC Education n’a pas vocation à être un censeur en matière de ressources pédagogiques ; nous travaillons avec des éditeurs connus et reconnus, mais nous sommes aussi ouverts à rencontrer de nouveaux éditeurs, notamment dans le domaine des applications interactives».

    Comme exemples de ressources, on peut citer, entre autres, le module « Halte aux déchets » 100% multimédia proposé par Terra Project (présent également dans la base du CCR), les éditions Sed qui proposent des activités de différenciation pour l’étude de la langue ; ou encore les éditions Accès et leurs activités interactives de logique et de situation problèmes sur la base de Sudoku animaux, qui permettent de travailler sur des compétences d’organisation et de gestion des données.

    Les enseignants vont-ils pouvoir modifier ces supports éditoriaux ?

    A ce propos, Anne Lechêne apporte quelques précisions : « il n’y a pas d’altération de la ressource de l’éditeur puisque c’est lui qui aura défini le niveau de “granularité“ auquel il propose son contenu éditorial » et elle ajoute que « c’est en revanche une vraie ouverture à la liberté pédagogique : l’enseignant se saisit de ce contenu et l’intègre à ses propres créations de séances ».

    Des ressources rapportées aux points du programme officiel de l’éducation nationale

    Toutes les ressources sont indexées en fonction des points du programme de l’éducation nationale.

    « L’enseignant peut très facilement les rapprocher de ses objectifs pédagogiques et insérer tel ou tel élément fin dans ses propres séances », souligne Anne Lechêne.

    Pour certaines ressources, plus complexes, les éditeurs fournissent même un guide pédagogique qui propose à l’enseignant des pistes possibles d’exploitation des contenus,  en fonction des programmes.

    Une tarification conçue pour l’école

    Contrairement à un produit grand public, la solution BIC exclusivement conçue pour l’éducation, a adopté naturellement un modèle de tarification pour l’ensemble d’une école. Ainsi, il a été permis aux éditeurs de pouvoir calculer leurs tarifs sur la base de 6, 15, 30 ardoises ou pour l’ensemble des stations présentes dans l’école.

    « La pratique courante dans le secteur marchand grand public, de vendre des licences individuelles, n’a pas lieu d’être dans l’éducation et s’avère même très handicapante », souligne Anne Lechêne pour justifier ce choix.

    Anne Marleix, Présidente de Strass Productions, éditeur de Terra Project et qui propose l’application « Halte aux déchets » sur la plateforme Ressources BIC Connect rejoint ce propos.

    Pour elle, les « stores » sont des passages incontournables, commercialement parlant, mais ne sont pas du tout adaptés au monde de l’éducation.

    « Avec la difficulté que les enseignants ont pour trier dans cette multitude d’informations, les « stores » ne sont pas une solution pour l’éducation. La démarche originale de BIC en cela est intéressante parce qu’elle est ciblée pour le secteur éducatif et que les ressources sont sélectionnées et qualifiées ».

    Sur la question des mises à jour, Anne Lechêne précise que ce facteur a été pris en compte dès le début, de manière à ce que celles-ci soient faites de manière centralisée et « qu’on ne passe pas des nuits à synchroniser des contenus », ajoute t-elle.

    BIC Connect, un agrégateur de contenus

    Les enseignants qui le désirent peuvent publier leurs contenus sur la plateforme BIC Connect, afin de les partager avec des collègues, sous la forme qu’ils le souhaitent et même partager des séances « clé en main » accompagnées d’un descriptif.

    En ce sens, l’ambition de BIC est bien de se positionner comme un « agrégateur de contenus », « en toute modestie », comme le précise Anne Lechêne.

    La plateforme a bien vocation de « dépasser » le stade du catalogue où l’enseignant trouvera, ou pas, ce qu’il recherche ; l’idée est d’enrichir l’espace Ressources par du contenu réalisé par des pairs. Les enseignants vont pouvoir « faire leur marché » et s’approvisionner dans une bibliothèque de ressources d’une part, puiser dans leurs stratégies pédagogiques d’autre part.

    « C’est en réalité ce que font déjà les enseignants et ce qui est très important c’est que les enseignants aient la possibilité de puiser, selon leur objectif pédagogique dans telle ou telle ressource, chez tel ou tel éditeur ou en s’inspirant de productions de collègues, pour créer leur propre contenu », conclut Anne Lechêne.

    Cette fonctionnalité a séduit Fabienne Pétiard, IEN de la circonscription de Clichy qui déclare :

    « Il y a des enseignants qui ont besoin de séquences “clés en main“ ; d’autres sont plus ouverts à construire quelque chose. La solution BIC éducation répond à ces deux niveaux d’attente. De plus, l’option de partage et de modification de séquences me paraît tout à fait intéressant car il faut l’avouer, le problème de l’édition papier est que le contenu est fermé et non modifiable ».

    Pour ce qui est des droits d’utilisation des contenus produits par les enseignants, ces ressources sont toutes en Creative Commons, identifiées avec une origine, modifiables et partageables pour une utilisation non-commerciale.

    En ayant intégré cette fonctionnalité d’agrégation, BIC éducation espère coller au mieux aux attentes des enseignants, pour qu’ils évoluent sur un terrain qui leur est familier.

    C’est en tout cas un bon moyen de les rassurer : un atout quand on sait que l’appréhension est un des principaux facteurs rebutants des usages du numérique à l’école…

  • Lancement de « Little Croissant »

    Lancement de « Little Croissant »

    LittleCroissantLogo_281013Le tout nouveau site www.littlecroissant.com répond à cette double demande : proposer à prix doux chaque vendredi des offres de jeux, produits culturels et outils d’apprentissage réellement adaptées aux plus jeunes.

    Des éditeurs francophones de talent

    Little Croissant présente chaque vendredi l’offre d’éditeurs francophones Jeunesse de qualité. Le marché des applications pour les enfants, hautement compétitif, est composé de nombreux éditeurs et l’offre francophone a parfois du mal à être repérée parmi les milliers d’applications proposées.

    Tous les éditeurs participants à Little Croissant ont adhéré à la charte de qualité du Crak qui rappelle les règles d’une application adaptée à un jeune public.

    Crak : cercle du numérique Jeunesse

    Little Croissant est lancé par le Crak, le Cercle des éditeurs d’applications pour les Kids, qui rassemble les éditeurs francophones innovants. Ce cercle d’affaires, lancé en mai 2013, vise à rassembler les professionnels du numérique Jeunesse francophone de qualité dans une même communauté. Afin de leur donner une visibilité accrue au niveau national et international mais également pour aider le secteur à échanger et prospérer.

    Le Crak a organisé le 25 septembre avec Gobelins, Cap Digital, le Labo de l’édition, et Microsoft Éducation un grand événement sur les Tablettes à l’école et la quête du contenu (#educrak).

    La Souris Grise

    Le Crak et Little Croissant sont tous deux portés par la société ScreenKids, également éditrice du site média La Souris Grise. Depuis octobre 2010, La Souris Grise repère et conseille en toute indépendance des applications Jeunesse à ses lecteurs, parents et professionnels de l’enseignement ou de la médiation.

    La Souris Grise est le partenaire presse de Little Croissant : ce service répond aux demandes de ses lecteurs, de bénéficier, en plus d’un choix éclairé sur les applications Enfant, d’offres à petits prix mais de qualité.

    Plus d’infos :
    Le site Little Croisssant
    Le site du Crak
    Le site de La Souris Grise