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  • La Box Super-Julie « Ça t’apprendra ! » : la box qui donne envie d’apprendre

    La Box Super-Julie « Ça t’apprendra ! » : la box qui donne envie d’apprendre

    Ah les devoirs à la maison qui riment avec « leçons »… Rares sont les sujets ayant fait couler autant d’encre depuis aussi longtemps ! Car s’il est vrai qu’officiellement, les devoirs à la maison écrits sont interdits depuis 1956, il n’en demeure pas moins que la plupart des élèves de primaire rentrent chez eux le soir, épuisés par une longue journée d’école…
    …. avec des devoirs à faire pour le lendemain !

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    Remettre du plaisir dans le fait « d’apprendre »

    Pour autant, dans un monde idéal où les parents auraient le temps d’aider leurs enfants à faire leurs devoirs en toute sérénité, et où les enfants seraient de bonne volonté, les devoirs à la maison présentent un réel intérêt !
    Outre ce moment de partage parents-enfants, c’est aussi une façon de suivre la progression de son enfant et de cibler ses éventuelles difficultés.

    Sauf que… dans la vraie vie, les parents ont rarement le temps, l’énergie et la patience pour faire de ce moment un moment agréable pour tous. Et les enfants ont, pour la plupart, un peu de mal à se convaincre du bien-fondé de ce travail que leur demande leur instituteur/trice.

    Mais c’était compter sans Super Julie et ses box « Ça t’apprendra », conjuguant jeu et enseignement pour que les leçons deviennent enfin un jeu d’enfant !

    Julie Kuhn, à l’origine du projet, commente :
    « Le problème des leçons est intimement lié à ce qu’elles sont intrinsèquement, à savoir des leçons ! Avec tout ce que cela comporte de négatif et de souffrance dans notre imaginaire. Mais elles sont pourtant indispensables à la suite des apprentissages« .
    Proposées sans abonnement, autrement dit « à la demande » et selon les besoins de l’enfant, ces box destinées aux enfants de 5 à 12 ans ont pour objectif de dédramatiser les moments de révision, de travail à la maison et d’aide parentale aux devoirs.

    Comment ? Tout simplement en respectant un équilibre entre le digital et le réel pour qu’enfants et parents puissent tirer parti de ces moments.

    En les enrichissant par le jeu, ces moments stimulent l’envie d’apprendre et font oublier qu’il s’agit de notions scolaires.

    Pour que les leçons soient comme des bonbons : « Ça t’apprendra » en bref

    superjulie_img1Les box mises au point par Julie contiennent :
    . entre 1 et 3 codes d’applis
    . un jeu de manipulation en bois ou autre (s’il s’agit de cartes par exemple)
    . un livre lié à la notion à comprendre
    . un livret de 10 à 15 pages en format A5 proposant un parcours ludique entre tous les supports d’apprentissage et rappelant les notions essentielles à connaître en rapport à la notion traitée. Livret émaillé de rubriques « Frimer dans la cour de récrée » qui a pour but de nourrir la culture générale des enfants

    Ainsi, le véritable avantage de ces box réside dans ce livret unique recueillant conseils et parcours pour un amusement certain et une notion qui s’inscrit dans la mémoire de l’enfant car elle a été apprise de manière ludique et avec beaucoup d’intérêt. Il est bien connu que ce qui nous a passionné est retenu durablement.

    Zoom sur la boîte de numération

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    Concernant la mesure des quantités et les compléments à 10, cette box comprend un jeu, conçu pour manipuler les quantités et les compléments à 10 ; un livre, pour permettre de pratiquer les apprentissages en jouant ; ainsi qu’une application primée qui donnera envie de jouer avec les nombres et pour finir, le livret d’accompagnement décrivant parfaitement comment passer d’un support à l’autre et comment les utiliser de différentes manières.

    Par ailleurs, elles seront proposées en remédiation personnalisée en fonction de besoins précis de l’enfant.

    Ces box s’adressent à tous les enfants, quel que soit leur mode d’apprentissage, qu’ils aient une mémoire auditive, kinesthésique ou visuelle.

    Julie ajoute à ce titre :
    « Les box sont conçues pour « nourrir » tous les types de mémoires : auditive / kinesthésique / visuelle. Il s’agit de la mémoire dite « sensorielle » (du très court terme => 200 millisecondes à 3 sec). Et cette mémoire se transforme en mémoire de travail traitant les données et les dirigeant vers la mémoire à long terme, à condition toutefois que ce qui a été appris a été jugé suffisamment stimulant, intéressant, pertinent pour rester longtemps stocké dans des neurones« .

    A propos de la super institutrice masquée
    Super-Julie, c’est Julie Kuhn, institutrice internationale pendant 12 ans, reconvertie dans la sélection d’applications de qualité pour enfants.
    Son moteur dans la vie ?
    Faire avancer les enfants vers le savoir mais sans douleur, dans le bonheur et la bonne humeur. Le tout en liant les ingrédients idéaux tel que le digital au jeu de manipulation, à un livre idéal et un parcours intégrant les notions essentielles.

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  • Lancement du défi national de mathématiques, EurêkaMaths

    Lancement du défi national de mathématiques, EurêkaMaths

    Pour sa onzième édition, le concours Math’Isère, désormais national, devient EurêkaMaths !

    Lancé en 2006 sous une autre appellation, qui trahissait son origine iséroise, EurêkaMaths connaît depuis un succès croissant, avec plus de 3000 classes inscrites en moyenne lors des trois dernières éditions.

    Ce concours national de mathématiques est gratuit et s’adresse aux classes de CM1, CM2 et 6e. Il est ouvert à tous les établissements de France ainsi qu’aux établissements francophones du monde entier.

    L’intérêt pédagogique pour les élèves est multiple :
    ▪ développer le travail en autonomie ;
    ▪ développer les compétences transversales ;
    ▪ coopérer autour de la résolution de problèmes ;
    ▪ argumenter pour confronter leurs résultats.

    visuel_eurekamathsLe concours comprend cinq épreuves réparties sur l’année scolaire, d’octobre 2016 à mai 2017 : trois épreuves d’entrainement, une demi-finale qualificative et une finale. Une classe peut s’inscrire jusqu’à la demi-finale.

    Lorsqu’une épreuve est mise en ligne sur le site du concours, et à la condition de s’être inscrite au préalable, chaque classe peut télécharger et imprimer l’énoncé de l’épreuve. Celle-ci est déclinée en deux versions : CM (pour les CM1 et CM2) et 6e.

    Elle se présente sous la forme d’un défi mathématique de dix exercices, avec un barème de points. Les élèves disposent alors d’une heure pour les résoudre et aboutir à une réponse unique pour toute la classe.
    Ils peuvent recourir à tous les documents et matériels qu’ils souhaitent mais ne doivent recevoir aucune aide de leur enseignant ni aucune aide extérieure.

    Depuis le début du concours, certains ateliers Canopé, ont fait le choix d’organiser dans leurs locaux une finale départementale réunissant les meilleures classes de leur territoire.

    Plus d’infos :
    Site du concours : http://www.eurekamaths.fr
    #EurêkaMaths

    Teaser de présentation :


    Eurêka’Maths Teaser from Canopé production AURA on Vimeo.


     

     

  • Décodons le code !

    Décodons le code !

    L’Apel a organisé le 24 novembre 2016 un petit-déjeuner débat sur l’apprentissage du code informatique à l’école en présence d’experts, de chefs d’établissements, de parents et d’élèves qui ont témoigné de leurs expériences au sein de l’Enseignement catholique.

    Depuis la rentrée 2016, le code a fait son entrée dans les nouveaux programmes de primaire et de collège. Un virage dans un système qui s’est longtemps fondé sur l’idée qu’il n’était pas nécessaire de comprendre ce qui se passe derrière les écrans et qu’il suffisait d’apprendre à les utiliser.

    Dans la continuité de sa réflexion sur la culture numérique, l’Apel souhaite  ainsi aborder ce sujet d’actualité à l’occasion de son petit déjeuner débat annuel au Sénat pour mieux expliquer et accompagner les parents à réfléchir et débattre ensemble aux enjeux sociaux, éducatifs, cognitifs et pédagogiques du codage à l’école.

    Il s’est déroulé le 24 novembre en présence de Gilles Dowek, chercheur à l’Inria, David Wilgenbus, astrophysicien et responsable des ressources pédagogiques de la Fondation la Main à la pâte et Virginie Tyou, philosophe de la culture numérique et créatrice de Clicky, l’énigme numérique.

    Des jeunes, des parents d’élèves, des chefs d’établissement, des enseignants ont également apporté leurs témoignages.

    Plus d’infos :
    www.apel.fr/actualites/les-petits-dejeuners-debat/decodons-le-code

    Source : APEL

     

  • Tonmondeatoi.fr : les enfants peuvent enfin imaginer leurs propres histoires et apprendre à aimer lire

    Tonmondeatoi.fr : les enfants peuvent enfin imaginer leurs propres histoires et apprendre à aimer lire

    Une histoire où l’enfant auquel elle est destinée serait le héros, un héros de moments magiques et, forcément, inoubliables : c’est le concept de Mon monde à moi, créateur d’histoires personnalisées pour les enfants, qui vient tout juste de lancer son nouveau site internet, Tonmondeatoi.fr.

    Mais un héros des temps modernes, personnage principal d’une histoire qui s’inscrirait sur différents supports, tels que des livres, des jeux, des musiques, des DVD et bien d’autres encore.

    Autrement dit, une idée de cadeau de Noël originale et sur mesure qui fera rêver l’enfant, lui donnera une formidable occasion, parce qu’il s’amusera, de lire, d’imaginer, de créer.

    L’enfant au cœur de son histoire.

    Catherine Bouhet Walker, fondatrice de Mon monde à moi, commente :

    Toutes nos histoires ont été développées en partenariat avec les enfants, les écoles dont les écoles Montessori, les experts du monde de l’enfance, à l’image des orthophonistes, de spécialistes du langage, sans oublier nos clients.

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    Quant à l’intérêt d’un tel concept, à l’heure où le marché de l’édition jeunesse compte une quantité infinie de livres pour enfants, et ce dès le plus jeune âge ?

    Donner le goût de la lecture aux enfants, stimuler leur imagination et leur curiosité, et leur permettre d’apprendre tout en s’amusant… en vivant de grandes aventures !

    Et pour rendre ces livres totalement uniques et personnalisés, ce sont plus de 10 éléments qui sont utilisés par l’équipe d’auteurs de Mon monde à moi, parmi lesquels les prénoms des copains et des copines de l’enfant, ceux de ses parents, grand-parents…, le tout avec de belles illustrations tout en couleurs.

    Mon monde à moi : valeurs et atouts

    10 ans d’expérience, une renommée internationale, une équipe d’auteurs et d’illustrateurs intégrées, des experts du monde de l’enfance, des nouveautés permanentes, des collections d’histoires aux thèmes variés, les licences Marvel (Disney) et Bisounours, engagement Eco-Responsable, faciliter l’apprentissage, éveiller et donner confiance en soi et développer l’imaginaire.

    A propos de Mon monde à moi

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    C’est en 2003, après la naissance de sa fille Eloïse, que vient à Catherine Bouhet Walker l’idée de créer des histoires personnalisées utilisant une technologie simple, intuitive et de pointe tout en adoptant une démarche éco-responsable. Elle confie :

    C’est en racontant des histoires à ma fille en utilisant son prénom pour rendre les lectures plus amusantes et pour l’impliquer davantage que sont nées les histoires personnalisées de Mon monde à moi. Les enfants s’accaparent et s’identifient rapidement à ces histoires où ils sont les héros avec, comme compagnons d’aventures, leurs frères et sœurs, leurs meilleurs copains…

    Plus d’infos : www.tonmondeatoi.fr

  • L’Agence universitaire de la Francophonie partenaire de la 29e édition du Prix ROBERVAL

    L’Agence universitaire de la Francophonie partenaire de la 29e édition du Prix ROBERVAL

    L’Agence universitaire de la Francophonie est partenaire du Prix ROBERVAL qui a récompensé samedi 10 décembre, comme chaque année, une sélection d’oeuvres littéraires, audiovisuelles ou multimédia, réalisées en langue française dont le sujet est consacré à l’explication de la technologie.

    Ce partenariat s’inscrit dans une démarche de promotion de la diversité culturelle et linguistique, en faveur de la francophonie et plus particulièrement de la recherche scientifique francophone.

    Le renforcement de l’espace de recherche francophone et la promotion de la science en français sont au coeur de la mission de l’AUF. A ce titre, l’Agence apporte son soutien aux projets et réseaux universitaires et scientifiques qui démultiplient la coopération francophone, et contribuent à son rayonnement international.

    Intimement liée à la mission de formation des universités, l’activité de production et de partage des savoirs est plus que jamais encouragée par l’Agence universitaire de la Francophonie, dans la perspective d’un appui au développement des sociétés. C’est pourquoi l’AUF apporte son soutien à l’organisation de concours et à l’attribution de plusieurs récompenses valorisant l’espace scientifique francophone et ses acteurs.

    L’AUF est l’initiatrice de deux prix scientifiques francophones : le « Prix El Fasi », qui couronne l’ensemble de l’œuvre d’une personnalité scientifique marquante des réseaux de la Francophonie, et le  « Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs » .

    L’AUF soutient également d’autres récompenses qui assurent le rayonnement de la communauté scientifique francophone à l’international, tels le concours « Ma thèse en 180 secondes », dédié à la vulgarisation de la recherche, et le Prix Louis d’Hainaut qui récompense la meilleure thèse de doctorat en technologie éducative.

    A propos de l’AUF
    L’Agence universitaire de la Francophonie est une association mondiale d’universités francophones créée il y a plus de 50 ans. Elle regroupe plus de 800 établissements universitaires sur les cinq continents dans plus de cent pays. Elle est également l’opérateur de la Francophonie pour l’enseignement supérieur et la recherche. Elle a pour mission de promouvoir une francophonie universitaire dynamique impliquée dans le développement économique et social des sociétés. Pour conduire ses actions, l’AUF développe des partenariats avec différentes organisations (UNESCO, UE, ONG, entreprises du secteur privé…).
    Pour plus d’informations : www.auf.org

     

    Source : AUF

  • Classe inversée : casser les habitudes, c’est gagner en résultats !

    Classe inversée : casser les habitudes, c’est gagner en résultats !

    Carole Chamoun est professeur de SVT au Liban. Elle fait partie des membres de la sphère francophone de l’association Inversons la classe ! Et témoigne au micro de ludomag de son expérience « d’inverseuse » depuis 2009.

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    Sept années que Carole expérimente ce mode de fonctionnement et l’idée lui est venue un jour, en 2009, parce qu’elle voulait trouver une solution pour ses élèves en difficultés.

    « J’ai commencé d’une manière très douce en classe de 6ème avec des outils vraiment rudimentaires », explique t-elle.

    Ensuite, avec le numérique, sa méthode a évolué ; En 2012-2013, avec les nouveaux programmes, elle a mis en place cette nouvelle manière d’enseigner avec ses terminales S (section scientifique).

    « J’ai osé »

    dit-elle, malgré l’échéance du baccalauréat à la fin de l’année et face à des collègues enseignants assez dubitatifs sur les méthodes de Carole.
    Jusqu’à Noël, certains élèves étaient encore sur leurs réserves ; après, ils la remerciaient !

    « Si je veux parler de cette inversion de classe, ce n’est pas la méthode magique mais elle a beaucoup de points positifs ! ».

    A l’échelle de l’élève, Carole parle d’apprentissage de l’autonomie, du travail en groupe. Mais elle ne s’oublie pas quand elle évoque les points positifs de cette nouvelle manière d’enseigner ; pour elle, c’est une remise en question en tant qu’enseignante qui lui a permis d’atteindre son objectif premier : aider les élèves en difficultés.

    Pourquoi le fait d’inverser la classe aiderait-il les élèves en difficultés ?

    D’après elle, ces élèves ont besoin de temps, d’un rythme différent de celui de la classe ; tout en leur laissant de l’autonomie, elle encadre leur travail par des QCM, par exemple.

    Aujourd’hui, elle souligne qu’elle parvient à faire adhérer des profs « qui n’ont jamais eu le courage de changer ».

    Retrouvez l’intégralité de son témoignage dans la vidéo ci-contre.

    Suivre Carole Chamoun sur Twitter sur @mamicoci

    Plus d’infos :
    sur l’association Inversons la classe ! : www.laclasseinversee.com

    La suivre sur Twitter : @Classe_Inversee

  • Numérique et Boîtes /exposition : un nouvel outil d’éducation artistique et culturelle pour les classes

    Numérique et Boîtes /exposition : un nouvel outil d’éducation artistique et culturelle pour les classes

    Le CAPC du musée d’art contemporain de Bordeaux propose un nouvel outil d’éducation artistique et culturelle alliant numérique et arts : ce sont les boîtes/exposition auxquelles on ajouté des tablettes.

    Nous avons découvert ce projet lors du salon Educatec-Educatice en novembre dernier, soutenu par la Direction du Numérique pour l’Education et à destination des classes du premier degré qui sera disponible dans la première moitié de l’année 2017.

    Le Centre d’Arts Plastiques Contemporain du musée d’arts contemporains de Bordeaux regroupe 1200 œuvres ; Il est aujourd’hui labellisé « Musées de France » avec la vocation « depuis toujours, d’aller vers des publics d’enfants et d’apporter la culture vers ceux qui en sont le plus éloignés », souligne Véronique Darmanté, Professeur des écoles mise à disposition au CAPC.

    Pour ce faire, le CAPC a toujours eu la volonté de développer des outils pédagogiques et dès 1975, l’équipe a créé ce qu’ils appelaient les « Boîtes/exposition », à destination des enseignants en prêt gratuit pour une durée indéterminée.

    Aujourd’hui, ce dispositif de Boîtes/exposition touche près de 3600 enfants chaque année et cela fonctionne très bien.

    Aussi, afin de s’adapter aux nouveaux usages des jeunes et du quotidien, le CAPC a réfléchi à faire évoluer le dispositif.

    « Pour nous, l’intérêt était aussi de réfléchir autrement à la manière dont on peut accéder aux œuvres de la collection qui ne sont pas visibles de manière permanente dans le musée et de s’adapter aux nouveaux outils, aux nouveaux usages des enfants dans les classes et dans leur vie quotidienne », explique Julie Nio, médiatrice culturelle au musée d’Art Contemporain de Bordeaux.

    L’idée a été de développer un projet qui se sert de tous les supports susceptibles d’être présents dans les classes : le TNI, mais aussi 13 tablettes qui sont prêtées avec la mallette, dont une prévue pour l’enseignant.

    Le dispositif va être mis en place, pour sa partie matérialisée, sur la région Nouvelle Aquitaine (avec retrait des mallettes au Musée d’Art Contemporain de Bordeaux) ;

    « pour la version dématérialisée, on imagine toucher un public bien plus large mais c’est encore à l’expérimentation ».

    Ce projet est financé en majorité par du mécénat et il est soutenu et financé depuis peu par le Ministère de l’Education Nationale via sa commission numérique. Le projet est encore en phase de développement et sera déployé au 2ème trimestre de l’année scolaire en cours.

    Plus d’infos :

    Détails dans la vidéo ci-contre.
    et sur www.capc-bordeaux.fr/boitesexpositions

  • Accompagnement, formation et mise à disposition de ressources : les engagements de CASIO pour faciliter l’enseignement des mathématiques

    Accompagnement, formation et mise à disposition de ressources : les engagements de CASIO pour faciliter l’enseignement des mathématiques

    Au-delà des calculatrices, CASIO a développé plusieurs solutions pédagogiques à destination des professeurs : ressources, formations gratuites en ligne ou dans les établissements, émulateurs. Présentation de ce volet pédagogique par Camille Gaspard, déléguée pédagogique CASIO, dans la vidéo ci-contre.

    De la formation : l’exemple du Mode Examen CASIO.

    Plusieurs sujets intéressent les enseignants en mathématiques et particulièrement le mode examen qui, à partir de la session du baccalauréat 2018, sera obligatoire sur les calculatrices pour les épreuves scientifiques.

    « Le mode examen permet de bloquer l’accès à la mémoire de la calculatrice temporairement ».

    La manipulation est très facile pour entrer en « Mode Examen » et en ressortir sur les calculatrices CASIO . Cependant, il est nécessaire que les enseignants en connaissent les étapes. C’est pour cela que la marque propose des formations sur ce thème sur ses calculatrices Graph 25+E, Graph 35+E, Graph 75+E ainsi que la nouvelle fx-CP400+E.

    Il est également possible de recevoir des formations personnalisées et adaptées aux besoins pédagogiques des enseignants. Comme par exemple sur les notions de programmation, d’algorithmique, ou de statistiques, largement plébiscitées par les professeurs.

    Pour bénéficier de ce service, un formulaire d’inscription est disponible dans l’onglet formation sur le site casio-education.fr.

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    Des ressources pédagogiques produites par des enseignants.

    « Nous travaillons avec des professeurs de mathématiques qui produisent des ressources pédagogiques qu’ils utilisent eux-mêmes dans leur classe. Ce sont des activités faites pour le programme scolaire français ».

    Ces ressources sont ensuite publiées dans l’onglet « Ressources pédagogiques » du site Internet. Vidéos, exercices, sujets d’examen… cette bibliothèque digitale propose environ 350 ressources qu’il est possible de voir dans leur entièreté en s’inscrivant simplement sur le site.

    Il est également possible de consulter des vidéos tutoriels de quelques minutes sur la chaîne Youtube CASIO Éducation, portant sur la prise en main des calculatrices CASIO, le Mode Examen ou encore sur des retours d’expérience de professeurs utilisant les calculatrices de la marque.

    Enfin, des outils pratiques pour faciliter l’enseignement des mathématiques.

    C’est le cas, par exemple des émulateurs proposés par la marque qui permettent de montrer les fonctionnalités d’une calculatrice à toute la classe en la projetant sur un écran.

    Des versions d’essai gratuites sont disponibles sur le site CASIO sur les modèles fx-92 Spéciale Collège, Graph 35+E, Graph 75+E, fx-CG20 et fx-CP400+E.

    Ou encore l’application EDU+, qui permet de réaliser des graphiques avec la calculatrice fx-92 Spéciale Collège (qui n’a pas cette fonctionnalité), en utilisant un QR code

    que les élèves pourront flasher avec leur Smartphone ou leur tablette pour obtenir le graphique demandé, sur une plateforme web.
    L’application EDU+ est téléchargeable gratuitement sur iOS et Android.

    Ou encore de recueillir des données et des résultats de calculs provenant de différents élèves d’une même classe pour ensuite les comparer et les analyser.

    Plus d’infos :

    Rendez-vous sur le site www.casio-education.fr
    Ou sur la chaîne Youtube

     

     

     

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  • Design Thinking  et esprit créatif : peut-on former une génération d’innovateurs ?

    Design Thinking et esprit créatif : peut-on former une génération d’innovateurs ?

    Éducatice/Éducatec est passé. Vous avez la tête pleine de rêves, de projets et peut-être même avez acquis de nouveaux « jouets » numériques pour vos écoliers. Le Design Thinking est-elle l’approche pédagogique que vous recherchez pour insuffler un vent de nouveauté à votre enseignement ?

    Centré sur l’usager plutôt que sur les objets ou les technologies, design thinking est un processus pour conduire des projets innovants, pour résoudre des problèmes. Cette façon d’imaginer des solutions, initialement développée pour le milieu des affaires, s’appliquerait-elle à l’école? Peut-on initier nos élèves et nos collègues à trouver des solutions novatrices aux problèmes quotidiens?

    Appliquer le Design Thinking aux écoles exige une mise en œuvre adaptée à cette clientèle.   Deux modèles s’adressent particulièrement au milieu scolaire parce qu’ils ont été développés avec des écoles et des enseignants.

    Stanford d.scholl design thinking

    bootcamp, bootleg, la boîte à outils du Design Thinking de la Stanford d.scholl design thinking, introduit l’esprit particulier du Design Thinking, où il est bon de montrer, plutôt que parler, s’appuyer sur des valeurs humaines, communiquer avec précision et simplicité, être actif et collaborer.

    ninonlouise_designthinking3_131216

     

    On y trouve une description des cinq modes successifs de ce modèle :

    • faire preuve d’empathie ;
    • définir le besoin ;
    • rechercher des idées ;
    • protyper des solutions ;
    • tester les solutions.

    La troisième partie de l’ouvrage propose et commente diverses méthodes applicables au processus, en voici quelques unes :

    • adopter l’esprit du débutant, c’est-à-dire mettre nos préjugés de côté et s’ouvrir à la démarche de conception avec un oeil neuf ;
    • quoi ? comment ? pourquoi ? pour observer le contexte avec plus de finesse et sensibilité ;
    • photo-reportage utilisateur, permet de mieux connaître l’utilisateur à qui s’adresse le projet ;
    • plus de 23 autres exemples de procédures sont conseillés, dont le brainstorming.

    IDEO Design Thinking for Educators.

    Le design thinking pour les enseignants est un guide de 81 pages que vous pouvez télécharger à partir du site de SynLab.

    La question de la première page est « Comment repenser ma classe pour qu’elle réponde au mieux aux besoins de mes élèves ?» Ceci est un exemple « d’initiative de l’enseignant ». Mais les initiatives peuvent aussi bien s’appliquer non seulement à la classe mais aussi à l’école, au quartier ou à la communauté.

    Le modèle IDEO Design Thinking for Educators. comprend cinq étapes, partant de l’identification du problème, du défi à résoudre jusqu’à la mise en oeuvre de la solution.

    1- La découverte demande de comprendre le problème.

    2 – Être en mesure d’interpréter correctement la question.

    3- Conceptualiser une solution.

    4- Expérimenter la solution conçue.

    5 -Évolution : comment puis-je faire évoluer mon projet ?

    L’annexe met à la disposition du lecteur un exemple de planification de démarrage d’un projet.

    Le Guide du design thinking pour les enseignants cherche à aider les éducateurs à apporter des solutions nouvelles et créatrices à divers enjeux auxquels ils font face dans leur quotidien. En voici quelques exemples :

    • les élèves ne sont pas intéressés par la grammaire ;
    • je n’arrive pas à communiquer avec les parents de mes élèves ;
    • mes élèves ne sont pas attentifs ;
    • il n’y a aucune communication entre les enseignants et l’administration dans mon école ;
    • les résidents du quartier se plaignent du chaos à la sortie des élèves ;

    À vous de jouer

    La pensée Design exige l’application de certaines compétences :

    • savoir faire preuve d’empathie pour cerner avec exactitude le problème à résoudre;
    • savoir coopérer et partager nos idées pour résoudre le problème;
    • savoir imaginer ou construire un prototype qui représente la solution choisie par le groupe;
    • tester le prototype ;
    • reprendre la démarche suite à un retour critique.

    Si vos élèves sont de sérieux lycéens ou si vous proposez d’initier vos collègues à la «pensée design», les problèmes suggérés par cette activité d’initiation les feront peut-être douter du sérieux de la démarche. Je conseille de préciser au moment de la promotion que le processus d’initiation Ready, Set, Design a été élaboré par le très sérieux Cooper-Hewitt, National Design Museum du musée Smithsonian de Washington, USA et qu’il est utilisé par des entreprises reconnues telles la Bank of America, Apple, Miele, Deutsche Bank, Coca-Cola, pour n’en nommer que quelques unes.

    Pour initier écoliers ou collègues à ce processus, titiller leur esprit, commençons par une activité toute simple qui s’inspire des défis proposés par le projet Ready, Set, Design du Smithsonian Cooper-Hewitt, National Design Museum ! et par The Extraordinaires® Design Studio.

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    Procurez-vous des matériaux de bricolage semblables à ceux de la photo. Ils seront utilisés par les participants pour créer leurs prototypes. Exposez dans le local une banderole ou écrivez sur un tableau les trois étapes du processus.

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    Formez des équipes de trois à cinq participants. Pour pousser ces derniers hors de toute zone de confort, les quatre ou cinq problèmes proposés au choix des participants sont habituellement irréels et farfelus. En voici quelques uns, mais vous pouvez en imaginer d’autres :

    • LalaBée est une fée bien malheureuse. Ses ailes ont perdu leur imperméabilité. Elle ne peut plus quitter son logis quand il pleut. Comment l’aider?
    • Jaco qui a neuf ans est immobilisé dans une fermette isolée. Vous n’avez que du papier, de petits gobelets et des pailles à boire. Fabriquez un jeu pour le distraire.
    • Le vieux dragon est sourd. Imaginez un dispositif qui lui permet de savoir quand quelqu’un entre dans sa caverne.
    • Cinq familles vivent en autarcie en Amazonie à grande distance les unes des autres. Inventez un objet qui leur permettra de communiquer entre elles.

    Je souhaite que tous seront séduits par cette activité. Malgré l’aspect ludique, le participant s’initie à la collaboration avec ses pairs. Cet esprit de collaboration sera utile pour résoudre certaines difficultés avec ses élèves dans sa classe, au sein de son école, son quartier ou sa communauté. Ce processus inculque aux écoliers l’idée qu’ils peuvent collaborer à la résolution de problèmes communs.

    Le Design Thinking peut-il contribuer à changer nos systèmes d’éducation et leur permettre de devenir plus innovateurs, plus créatifs?

    Plus d’infos :
    Pour aller plus loin
    Jean-Pierre Leac, Qu’est-ce que le design thinking ? Cahiers de l’innovation, 10 octobre 2016
    Thot Cursus

    En anglais :
    An Introduction to Design Thinking PROCESS GUIDE

    Un document PDF du Design studio The extraordinaires

    Crédits :
    Cet article m’a été inspiré par : Design Thinking in Schools: Building a Generation of Innovators par Rafiq Elmansy , publié dans Designorate le 16 septembre 2016, avec la permission de l’auteur.

    Photo de la Home Page : Pixabay
    Schéma : Stanford d.scholl design thinking