Catégorie : Loisirs numériques

  • Le Yearbook ou l’alternative originale à la photo de classe traditionnelle !

    Le Yearbook ou l’alternative originale à la photo de classe traditionnelle !

    Il y a maintenant six ans, leur diplôme en poche, Romain Hill, Hubert Dalstein et Cédric Brogard font le triste constat qu’ils ne garderont pas de souvenir tangible de leurs années d’études. S’inspirant du Yearbook américain, cet album photo où tous les événements de l’année scolaire sont recensés, les trois amis d’enfance décident d’importer ce concept en France.

    Oubliez cette photo de classe où chacun a l’air bien trop sage, les mains délicatement posées sur les genoux, un sourire figé aux lèvres. Chacun sait qu’une photo unique n’est pas le reflet de toute une année scolaire !

    Un yearbook en quelques clics !

    Pour rendre le projet aussi attractif qu’innovant auprès des établissements scolaires et universitaires, les fondateurs décident de mettre l’accent sur l’automatisation. Ainsi, 1Year1Book a développé un réseau social privatif, où les élèves peuvent échanger du contenu : photos, citations, textes, sondages… et qui par un système de Likes génèrera automatiquement l’album souvenir de leur année.

    En plus du réseau social, un graphiste est dédié à chaque projet afin d’aider les promotions à imaginer une couverture et une trame intérieure à l’image de leurs souvenirs et de leur institution.

    Écoles primaires, collèges, lycées, Grandes Écoles, universités, à chaque âge son yearbook ! L’idée est avant tout de fédérer les élèves et les professeurs autours de ce projet commun et qu’ils puissent construire en classe le livre de leur année avec plaisir et en quelques clics !

    Même les entreprises s’y mettent !

    En soufflant sa sixième bougie, 1Year1Book se félicite d’avoir créé un lien avec près de 50 000 étudiants et réalisé plus de 100 000 impressions ! La startup est également leader sur le marché en France est s’étend de plus en plus sur les pays européens frontaliers.

    Fort de son succès, la startup s’est lancé depuis quelques temps sur un nouveau marché : celui des entreprises. En quelques mois c’est près d’une cinquantaine de firmes, d’associations ou d’organismes de manifestations sportives qui ont édité leur livret de communication, leur rapport d’activité, leur livre d’or et même… leur Yearbook Pro !

    Plus d’infos : www.1year1book.com

    Plusieurs liens de liseuses numériques qui vous font découvrir les produits :
    Ecole primaire : demo.1year1book.com
    Collège / Lycée : demo.1year1book.com
    Grandes Ecoles: demo.1year1book.com
    Des exemples de couvertures: demo.1year1book.com

    Compte Twitter : @@1Year1Book 

  • Muzéo, des photographies et des oeuvres d’art « à la maison »

    Muzéo, des photographies et des oeuvres d’art « à la maison »

    Muzéo.com, artisan 2.0 propose d’accueillir chez soi de l’art contemporain. Choisissez l’œuvre à partir d’un catalogue de plus de 200.000 choix et sélectionnez le support sur lequel vous souhaitez le voir apparaître (abat-jour, un coussin, papier peint ou simple cadre).

    Hopper, Hukosai, Vermeer ou Monet, laissez vous tenter. Muzéo.com conçoit toutes les reproductions depuis ses ateliers parisiens.

    Muzéo, leader français de la reproduction d’œuvres d’art propose le TOP 5 des œuvres d’art les plus vendues et les plus déclinées par ses clients. Mélange d’art moderne, d’art abstrait, d’art nouveau ou encore du réalisme, cette sélection ouvre au plus grand nombre la possibilité d’habiller et d’apporter l’art au sein des espaces de vie et des intérieurs de chacun.

    Plus d’infos :
    Les oeuvres d’art sont disponibles sur Muzéo.com

    source : Muzéo.com

  • Museomix, le premier « marathon culturel » repart en campagne pour la 6ème année

    Museomix, le premier « marathon culturel » repart en campagne pour la 6ème année

    Nod-A, co-fondateur de Museomix et à l’origine du Makestorming, s’engage pour un musée plus ouvert, connecté et participatif. Museomix aura lieu du 11 au
    13 novembre 2016, dans dix musées à travers le monde. Pour que le savoir-faire français en termes d’innovation sociale et de « faire ensemble » s’exporte.

    Créé en 2011 et réalisé notamment grâce aux techniques de makestorming conçues par Nod-A, une société française créée en 2009 par Stéphanie Bacquère et Marie-Noéline Viguié, l’événement international Museomix, propose aux musées de s’ouvrir à une communauté de passionnés de culture, de technologies et d’innovation. Tous partagent l’envie de musées ouverts, connectés et participatifs et oeuvrent pour les faire évoluer dans ce sens.

    Museomix : une communauté, des musées et 3 jours de « marathon créatif »

    Museomix est un mouvement, une idée en marche, qui a pour objectif d’engager le changement dans les musées. Museomix adopte une “orientation-visiteur” et se focalise sur son expérience, son vécu. Un moyen de mieux prendre en compte ses motivations de visite au musée. Quand on sait qu’aujourd’hui les millenials, très consommateurs de réseaux sociaux, préfèrent découvrir l’art par ce biais (étude Invaluable), cet exercice prend tout son sens.

    Le principe de Museomix : des passionnés de tous horizons (médiateurs, bricoleurs, designers, développeurs, graphistes, communicants, artistes, écrivains, scientifiques…) se réunissent pendant trois jours pour faire émerger de nouvelles idées et de nouveaux projets et proposer à tous d’être acteurs de notre culture commune.

    Ces personnes travaillent ensemble dès la conception des projets pour apporter plus de créativité par le croisement de leurs façons de faire et de voir. Cette diversité de talents est une des spécificités de la communauté Museomix, qui en fait toute la richesse et l’originalité.

    Répartis par équipe, les participants partageront leurs idées, travailleront sur leurs projets et proposeront des scénarios réels de parcours, des mises en situation de visites, les plus proches de la réalité possible. Chacun sera installer et tester par les visiteurs le troisième jour.

    Au terme de ces trois jours, la pérennisation des projets est encouragée et accompagnée tant que possible. Ce sont généralement les équipes elles-mêmes qui travaillent avec le musée, ou de façon indépendante, pour faire évoluer leurs prototypes vers une solution stabilisée.

    Pour aider la communauté à travailler et à développer ses projets, Nod-A, co-fondateur de Museomix, créé des temps collaboratifs pour co-concevoir, développer et implémenter l’innovation.

    En 2015, ce sont près de 1 000 participants qui ont participé à Museomix dans 10 musées et 5 pays différents.

    A propos de nod-A

    Fondée en 2009 par Stéphanie Bacquere et Marie-Noéline Viguié, nod-A a pour mission de transmettre les nouvelles cultures de la collaboration et du travail issues du monde numérique aux grandes organisations publiques et privées. nod-A a développé le Makestorming, une approche qui place le « faire » et la co-création au cœur des projets ; et pratique le « corporate hacking ». nod-A développe une vision du travail concrète, pragmatique et ambitieuse, diffusée avec plus de 200 sprints à travers le monde, et propose des outils de travail innovants pour prototyper et promouvoir des projets concrets.

    Plus d’informations sur http://makestorming.com/

  • Le remède pour être immortel a enfin été trouvé !

    Le remède pour être immortel a enfin été trouvé !

    Que sont devenues nos photos ?

    Avec le temps qui passe et la montée en puissance de l’ère digitale, nos souvenirs et nos photos sont de plus en plus dématérialisés. Jusqu’au début des années 2000, il était habituel de prendre des photos avec son appareil et de se rendre chez le photographe pour les faire développer. Ces dernières étaient ensuite soigneusement classées et rangées dans des albums au fond de notre armoire.

    Depuis l’arrivée des nouvelles technologies (téléphone, réseaux sociaux, ordinateurs), nos photos sont, dans la plupart des cas, stockées dans nos appareils et consultées assez rarement. De plus, ces outils ne sont pas toujours fiables à 100% et il n’est malheureusement pas impossible de voir nos souvenirs s’envoler à cause d’une panne inconnu, un virus, une casse ou encore un vol. Et la ! C’est le drame !

    Les photos de nos plus belles vacances, de nos soirées conviviales ou encore de nos enfants supprimées à tout jamais !

    Comment allons-nous faire pour montrer à nos proches ou à nos (futures) enfants toutes ces belles aventures ?

    Il s’agit là d’un problème de taille…

    Heureusement que nos parents et grands-parents n’ont pas eu « la chance » » d’avoir tous ces moyens à disposition pour stocker leurs photos. Grâce à eux, nous connaissons « une infime » partie de leurs vies qui nous donnent la larme à l’œil en les regardant.

    Un autre aspect qu’il est très intéressant de soulever est celui de la confidentialité qui n’est pas (ou très peu) respecté sur la toile. En effet, beaucoup de personnes n’hésitent pas à poster des photos de famille, d’amis, d’enfants ou de proches sans penser au fait qu’elles soient visibles par des centaines et des centaines de personnes !

    Rassurez-vous, un secret existe (que je vous dévoilerai dans la suite de l’article) pour palier à ces problèmes et pour faire en sorte de regrouper nos plus belles photos au même endroit, de manière sécurisée et confidentielle !

    Et si je pouvais connaître la vie de mes ancêtres ?

    Un beau jour, nous nous sommes tous posés la question suivante :

    « Mais qui étaient mes arrière-grands-parents ? Que faisaient-ils dans la vie ? A quoi ressemblaient leur regard et leur voix ? »

    Malheureusement, il ne nous reste pas grand-chose de leur histoire, si ce n’est des photos en noir et blanc ou des récits venus tout droit de la bouche de nos parents ou grands-parents.

    Mais quelle est la solution alors ?

    Et bien non ! Je ne suis ni magicien, ni un professionnel de la généalogie !

    Cependant, il est possible depuis peu d’utiliser la magie d’internet pour donner la chance à nos descendants de faire découvrir notre enfance, notre jeunesse, nos émotions et sentiments de la vie ! En résumé, de RETRACER NOTRE VIE et de la transmettre de génération en génération!

    Imaginez le sourire de vos arrière-petits-enfants en voyant votre visage, votre voix ou encore votre sourire.

    De la magie à l’état pure !

    Et s’il m’arrivait quelque chose ?

    Aujourd’hui, nous sommes tous envahis par la routine. On se lève le matin, douche, petit-déjeuner, trajet pour le travail, boulot, repas, boulot, transport, maison, repas et dodo. Tout cela, plus de 300 fois par an ! Durant ces journées, tout peut arriver. Imaginez-vous dans votre véhicule sur la route que vous prenez habituellement, fatigué par cette journée de travail, un soir d’hiver et que par surprise un véhicule vous percute violemment ne vous laissant aucune chance…

    Avez-vous pensé à vos proches et à votre famille face à ce drame ? Il est vrai que vous êtes jeunes, prudents et que cela n’arrive qu’aux autres. Malheureusement, il suffit d’ouvrir un quotidien quelconque pour se rendre compte que des personnes de votre âge ont connu ce type de drame.

    Avez-vous pensé à laisser une lettre ou une vidéo de précaution à vos proches ? Si la réponse est non, il est grand temps de changer de mentalité et de se pencher sur la question.

    Vous laissez ainsi une trace de vous sur terre à tout jamais. Votre message n’aura aucun prix aux yeux de vos proches dans cinq, dix ou vingt ans…

    Le remède pour être immortel

    Il existe depuis très peu un concept qui permet de transmettre un véritable patrimoine sentimental à ses descendants de génération en génération.

    Il permet d’insérer les photos les plus importantes, de retracer l’histoire de sa vie et de créer un message de précaution. Il suffit de désigner un bénéficiaire qui sera en charge de transmettre ce patrimoine.

    La seule solution pour être immortel et laisser une trace de son passage sur terre s’intitule Monflashback.com.

    Simple, sécurisé et confidentiel !

    Avant de penser à léguer votre patrimoine immobilier ou financier, pensez à transmettre votre patrimoine sentimental.

    En savoir plus sur Monflashback.com

  • Fitch et Epitech développent une application en réalité virtuelle pour l’exposition STAR WARS l An Art Odyssey

    Fitch et Epitech développent une application en réalité virtuelle pour l’exposition STAR WARS l An Art Odyssey

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    Organisée par le Café Pixel en partenariat avec Acme Archives Ltd., le Poster Posse et avec le soutien de la ville de Marseille, cette exposition gratuite ravira les fans de l’univers créé par Georges Lucas. En cette période de fêtes de fin d’année, la quarantaine d’illustrations originales disponibles à la vente satisferont les fans en quête du cadeau de Noël idéal.

    À l’initiative du Café Pixel, l’agence FITCH, qui assure la direction de création de l’exposition, a développé avec trois étudiants d’Epitech Marseille (l’école de l’innovation et de l’expertise informatique) une application de réalité virtuelle.

    Cette application interactive et inédite immerge les visiteurs dans une ambiance sensorielle hors du commun.

    Dans l’immensité interstellaire, les mouvements de tête et le regard déclenchent un voyage en hyperespace où les planètes s’alignent pour recréer des images à partir de particules d’étoiles ! Pour vivre cette expérience, uniquement accessible lors de l’exposition, il suffit d’un smartphone et de lunettes Cardboard créées par Google (l’ensemble est disponible sur place).

    Choisis pour leurs compétences techniques et leur capacité à s’adapter aux dernières évolutions technologiques, Tim Burdairon, Marvin Mottet et Fabien Borel en 3e année à Epitech ont participé au développement de l’application en bénéficiant de l’expertise et des compétences de développeurs seniors de l’équipe FITCH.

    Passionnés par l’univers de science-fiction, ces étudiants ont été séduits par l’idée de développer une technologie immersive disponible depuis moins d’un an : la technologie VR*.

    Depuis son lancement, l’application a déjà rencontré un vif succès auprès du public.
    Rendez-vous donc à l’Espace Villeneuve Bargemon jusqu’au 17 janvier 2016 !

    Crédit photos : Cyrille Choupas

    * VR : Virtual Reality / Réalité Virtuelle

  • Exposition « PERSONA, étrangement humain » au musée du Quai Branly

    Exposition « PERSONA, étrangement humain » au musée du Quai Branly

    [callout]Le chamane qui convoque les esprits à travers une statuette prenant les traits des dieux, l’enfant qui voue une passion à son doudou, tous ceux qui conversent avec l’animal de compagnie, ami commun du quotidien… partout, les frontières entre l’humain et tout ce qui l’entoure semblent de plus en plus perméables, soulevant des questions plus larges de cohabitation entre l’homme, l’objet, l’animal et la machine.[/callout]

    A l’heure des grands débats sur le transhumanisme et l’intelligence artificielle, le musée du quai Branly propose une exposition qui permet de comprendre les mécanismes par lesquels les cultures, des plus ancestrales au plus contemporaines, « injectent de la personne » dans les objets.

    ExpoMuseeQuaiBranly_171215À travers un ensemble exceptionnel de 230 œuvres : statues, amulettes, marionnettes, masques, robots, automates, l’exposition fait la lumière sur ces « étranges humains ».

    Analysant le processus de transformation de la matière inerte à l’objet incarné voir animé, elle explore les raisons contextuelles, les émotions provoquées (malaise, répulsion, fascination…), les relations tissées (solidarité, empathie, attachement…).

    Réunissant des objets de toute nature, souvent surprenants, parfois perturbants, l’exposition PERSONA, Étrangement humain devient un véritable laboratoire d’anthropologie, invitant le visiteur à une expérience de la rencontre, autant déstabilisante qu’enrichissante.

    Quand les arts premiers rencontrent la robotique

    L’un des domaines où les effets de personnification sont le plus discutés et où ils constituent une pièce majeure du débat est sans nul doute la robotique. De nombreuses questions se posent en effet à ceux qui cherchent à concevoir des créatures artificielles.
    Faut-il que nos artefacts nous ressemblent et jusqu’à quel point ? Sinon, de quelle manière doivent-ils différer ? Les robots sont-ils des personnes “non humaines” comme les autres ? La question vaut pour les robots, mais aussi pour toutes les créatures artificielles.

    L‘exposition PERSONA, Étrangement humain du musée du quai Branly propose de reprendre autrement ce débat sur les créatures artificielles, de l’élargir grâce à ce que nous savons de l’expérience d’autres cultures qui ont, au contraire de la nôtre, laissé proliférer les quasi-personnes ; car la question : « de quoi voulons-nous nous entourer ? » ne s’est jamais posée avec autant de force qu’aujourd’hui.

    « L’exposition décompose le problème des effets de perception de personne en s’interrogeant sur les paramètres qui font que l’on perçoit une personne plus qu’un objet dans tel ou tel artefact (sculpture, marionnette, robot, etc.) et que l’on peut développer avec elle une relation particulière ou personnalisée. L’objectif n’est pas seulement de donner à voir ces artefacts, mais de permettre aux visiteurs de se rendre compte par eux-mêmes de la manière dont on peut être conduit à attribuer à des objets une forme de personnalité, dès lors qu’ils possèdent certaines caractéristiques ou sont pris dans des dispositifs particuliers. », déclare Emmanuel Grimaud, Anthropologue, chargé de recherche au CNRS.

    Conseiller scientifique : Anne-Christine Taylor, Directeur de recherche émérite, CNRS

  • Nouveau : la tablette pour les loisirs créatifs en « fabrication augmentée »

    Nouveau : la tablette pour les loisirs créatifs en « fabrication augmentée »

    Qrokee_290915QroKee se présente comme une structure portante, où on trouve sur le haut une tablette numérique, l’écran vers le bas, au milieu un miroir semi-réfléchissant, et en bas le plan de travail sur lequel on place la feuille pour réaliser le dessin.

    En regardant à travers le miroir, on perçoit le reflet de l’écran de la tablette qui se forme exactement sur la feuille, sans lunettes spéciales et quel que soit le point de vue. Ce reflet holographique peut ainsi servir de calque pour le dessin. Un simple réglage de lumière permet de combiner ce reflet avec le dessin en train de se faire.

    Avantage décisif de cette technique : l’image-modèle reste toujours visible, sans déformation, même en dessous de la main et du crayon, ce qui permet de travailler très facilement, sans contorsions fastidieuses !

    QroKee, c’est le calque du Futur !

    En « solutionnant » les problèmes complexes de perspective et de proportions, QroKee encourage les personnes qui n’ont pas de formation particulière en dessin à prendre confiance en elles et à se lancer. Chacun peut alors expérimenter différentes techniques (crayons de couleurs, feutres, aquarelle,…) pour obtenir à la fin une oeuvre unique dont il pourra être fier !

    QroKee est compatible avec toutes les tablettes ou smartphones de 5″ à 12″. Une application dédiée sera disponible gratuitement.

    La machine QroKee est un projet Open-Source Hardware : tous les schémas et plans de fabrication seront partagés librement en ligne pour que chacun puisse réparer, modifier ou fabriquer lui-même localement sa
    propre version.

    QroKee a été présentée en avant-première au salon Maker-Faire Paris 2015, au salon Geekopolis 2015, sur le stand Intel, et au Village des Innovations de Futur En Seine 2015, avec des retours enthousiastes et très encourageants du grand public :
    • Les enfants de 3 à 10 ans sont des fans absolus de la machine, et les parents apprécient de les voir
    revenir un peu dans le monde réel et la matière !
    • Les ados peuvent s’entraîner à dessiner leurs héros de mangas ou customiser directement leurs tshirts
    avec de la peinture textile ;
    • Les adultes redécouvrent le plaisir de dessiner et les adeptes de loisirs créatifs disposent d’un outil
    unique de transfert de formes sur tout type de matière (carton, tissu, bois, pâte Fimo, …) ;
    • Les aînés sont motivés par une activité de motricité stimulante à contenu artistique.

    Plus d’infos :
    Vous pourrez retrouver QroKee et tester le dessin en réalité augmentée à la World Maker Faire 2015 à New-York du 26 au 27 septembre prochain, à la Mini Maker Faire de Grenoble du 3 au 4 octobre prochain et à Maker Faire Europe 2015 à Rome, du 16 au 18 octobre.
    Enfin, le projet va vraiment se concrétiser sous la forme d’une campagne de financement participatif qui a démarré le 26 septembre prochain sur la plateforme Kickstarter avec un lancement en direct depuis Centre de création numérique « Le Cube » de Issy-les-Moulineaux lors de l’événement du « Happy Cube Day ».

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  • Les Google Glass à la conquête des visiteurs du Grand Palais

    Les Google Glass à la conquête des visiteurs du Grand Palais

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    L’exposition Velázquez a ouvert ses portes il y a quelques jours au Grand Palais. Elle créé déjà l’évènement car c’est la première fois en France qu’une rétrospective est dédiée au “peintre des peintres”.

    Évènement dans l’évènement, le public pourra visiter l’exposition avec des Google Glass, et ce pour la toute première fois.

    La RMN – Grand Palais a choisi la plateforme GuidiGO, seule solution de ce type certifiée par Google Glass, pour offrir à ses visiteurs cette technologie innovante. Une expérience jugée bluffante par les premiers testeurs.

    Lorsque le visiteur muni des fameuses lunettes connectées s’approche d’une toile, celle-ci est identifiée grâce à la reconnaissance d’image. Il accède alors à un contenu, conçu par Acoustiguide, qui vient enrichir sa découverte de l’oeuvre.

    Ce contenu dynamique prend la forme d’une expérience non intrusive qui n’altère en rien sa relation directe avec l’oeuvre.

    Au fil du récit, et lorsque cela s’avère nécessaire au décryptage de l’oeuvre, des repères visuels guident l’oeil vers le détail évoqué dans le commentaire audio. Par moment, d’autres peintures apparaissent dans le champ de vision du visiteur, lui permettant de mettre en perspective et de comparer l’oeuvre exposée.

    Plusieurs commentaires vidéos du commissaire de l’exposition apportent également un éclairage approfondi. L’écran se met ensuite automatiquement en veille pour laisser le visiteur contempler librement l’exposition. Cet aspect ergonomique est un point clé pour Corine Barbazanges, Directrice Marketing de GuidiGO : “Notre application sur Glass a été conçue pour enrichir l’expérience du visiteur, et surtout pas pour s’y substituer. C’est un aspect que les équipes de la RMN – Grand Palais avaient particulièrement à coeur.”

    En février dernier, le musée avait réalisé une première expérimentation auprès de quelques heureux privilégiés lors de l’exposition “Niki de Saint Phalle”. Convaincu de la pertinence de l’expérience pour ses visiteurs et séduit par la simplicité et la fiabilité de l’application GuidiGO, le Grand Palais offre aujourd’hui au public la possibilité de profiter à son tour de cette visite pas comme les autres lors de l’exposition Velázquez.

    Pour les visiteurs, nul besoin d’être féru de technologie pour se lancer dans l’expérience.

    Toute personne sachant utiliser un smartphone est capable de suivre une visite sur Glass.

    Il suffit de quelques minutes pour se familiariser avec leur usage et acquérir les deux gestes simples pilotant l’application. On oublie rapidement le dispositif pour se laisser absorber, mains libres, par sa découverte des oeuvres. La visite devrait intéresser un public différent, probablement plus jeune mais pas seulement, notamment parmi les réfractaires aux traditionnels audio-guides.

    David Lerman, CEO de GuidiGO, conclut : “Ce nouveau mode de visite ouvre la voie à ce qui devrait être une tendance lourde de la médiation culturelle numérique dans les années à venir. Dès aujourd’hui, la plateforme GuidiGO permet à n’importe quelle institution culturelle de proposer ce type d’expérience, sans avoir à se soucier des aspects techniques et en se concentrant sur ce qui compte le plus pour elle : la qualité du contenu offert à ses visiteurs.”

    Plus d’infos :
    Vous souhaitez tenter l’expérience ? Réservez votre paire de Google Glass sur le site du Grand Palais : inscrivez-vous ici
    Exposition Velázquez – Grand Palais, Paris – du 25 Mars au 13 Juillet 2015

    Nous avions déjà parlé de Guidigo sur Ludomag.com.

  • Une plateforme web de géolocalisation pour soutenir des actions sociales et solidaires

    Une plateforme web de géolocalisation pour soutenir des actions sociales et solidaires

    Une jeune startup de l’économie sociale et solidaire répond à cette génération : “ Ma ville je t’aide, c’est l’engagement sans engagement ! ” comme le résume Nicolas Goudy, CEO & co-fondateur du projet.

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    Le concept

    Une plateforme web de géolocalisation qui permet aux citoyens de découvrir et soutenir en un clic les actions sociales et solidaires pour agir près de chez eux.
    Donner un coup de pouce à une association, participer à un événement près de chez soi, soutenir une action sur les réseaux sociaux… nombreuses sont les personnes qui veulent s’engager sans trop savoir où, quand ou comment.

    Et pourtant, on compte 1 300 000 associations en France (200 000 en Ile-de- France) dont 85 % qui ne fonctionnent qu’avec des bénévoles. Trop souvent, seules les grandes associations bénéficient de visibilité auprès du grand public si bien que se rendre utile peut vite devenir un parcours du combattant.

    Les petites et moyennes associations locales, quant à elles, agissent au quotidien avec peu de moyens, dans tous les domaines du social et du solidaire (60% des associations fonctionnent avec un budget annuel inférieur à 5 000 euros) et peinent donc à communiquer notamment sur le web.

    Le digital : un outil fédérateur de communautés solidaires

    L’idée est donc de connecter les associations locales avec les citoyens aux alentours afin qu’ils réalisent ensemble des actions de bénévolat selon leurs intérêts et disponibilités.

    Ma ville je t’aide ! est une plateforme web de géolocalisation, sur site internet et sur mobile, permettant aux citoyens de visualiser en 1 clic toutes les actions sociales et solidaires auxquelles ils peuvent prendre part à proximité. Simplifier grâce au web la prise d’engagement pour participer à des actions solidaires ponctuelles, ne nécessitant ni compétence particulière ni formation préalable.

    Et pour les plus « overbookés », il est même possible de soutenir en ligne en 30 secondes une cause ou une association grâce à la «e-solidarité», en partageant des actions sur les réseaux sociaux.

    Parisjetaide_1510143 clics pour un engagement citoyen : comment ça marche ?

    Faire du bénévolat, quand on peut et où on veut, rien de plus simple désormais. En se géolocalisant sur le site web, les citoyens peuvent visualiser en 1 clic toutes les actions sociales et solidaires auxquelles ils peuvent participer autour de chez eux. Ils peuvent, s’ils le souhaitent, filtrer selon leurs intérêts et leurs disponibilités et ainsi choisir la mission qui leur correspond (pins géolocalisation).

    En 2 clics, ils s’engagent moralement et virtuellement à donner de leur temps pour une action bénévole, en cliquant sur « Je participe ».

    Et en 3 clics, ils rejoignent la communauté en s’inscrivant via facebook ou un formulaire. Il est donc possible de voir tous ses amis facebook qui s’engagent également auprès d’une ou plusieurs associations, de partager des informations ou encore de recommander des associations ou des proches.

    Soyez les précurseurs et devenez ambassadeurs solidaires !

    Parisjetaide2_151014L’équipe d’entrepreneurs sociaux vient de lancer le site internet en commençant par la ville de Paris, avec l’objectif de se développer sur tout le territoire francilien.

    En savoir plus :
    Le site internet  www.mavillejetaide.org
    Le président & co-fondateur du projet : Nicolas Goudy, 27 ans  nicolas@mavillejetaide.org 07.60.91.98.79
    twitter @GoudyNicolas