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  • 3e édition de la Sumobot ESIEE Paris

    3e édition de la Sumobot ESIEE Paris

    La Sumobot, est une compétition annuelle de robots ouverte au public depuis 3 ans.

    L’objectif est de construire un robot autonome de petite taille qui doit trouver et pousser son adversaire en dehors du terrain de jeu circulaire, à l’image d’un combat de sumos. Les participants, de tous niveaux, seront séparés en deux catégories : 11 équipes « statut débutant » et 11 équipes « statut expert ».

    A ces équipes, s’ajouteront 8 équipes Texas Instruments (TI) dont les robots seront uniquement construits à partir de composants TI. Les robots seront jugés sur leur originalité et leur technicité. Les meilleures équipes recevront des prix (Chrono Watch, Bluetooth SensorTag, Launchpad, kit MSP CapTIvate MCU …) décernés par les sponsors.

    Au programme de la JPO :

    • Visites guidées du bâtiment et des laboratoires (informatique, salle de réalité virtuelle, systèmes embarqués, systèmes électroniques…) avec les élèves. Démonstrations techniques par les enseignants-chercheurs.
    • Informations sur les filières, le premier cycle, les échanges à l’international, renseignements pratiques sur les procédures d’admission, le logement, les bourses…
    • Découverte de la vie associative, des débouchés avec des anciens élèves et des entreprises partenaires.
    • Une présentation générale aura lieu en début de chaque

    L’école propose un cursus intégré en 5 ans directement après le bac ou l’entrée en cycle ingénieur pour 3 ans après un bac+2.

    En cycle ingénieur, ESIEE Paris offre 8 filières classiques : Informatique – Systèmes d’information – Data et réseaux – Systèmes embarqués – Systèmes électroniques – Génie industriel – Biotechnologies et e-santé – Énergie.

    Ainsi que 4 filières en apprentissage : Réseaux et sécurité – Informatique et applications – Systèmes embarqués – Génie industriel.

    Plus d’infos :

    www.esieespace.fr/sumobot-challenge/sumobot-2017-informations

  • Where is Kaligo? Kaligo is in London!

    Where is Kaligo? Kaligo is in London!

    Le 27 janvier dernier se tenait le Bett Show à Londres, l’un des grands salons mondiaux sur l’éducation. Kaligo n’a pas manqué l’occasion de s’exporter de l’autre côté de la Manche pour une démo in english auprès de visiteurs curieux sur le stand Samsung. En effet, le marché britannique est l’un des objectifs de l’entreprise.

    Très bientôt le prince George et la princesse Charlotte apprendront à écrire sur tablette grâce à Kaligo ! Ready, steady, write!

    Kaligo et les ministres, une grande histoire d’amitié

    Il semblerait que Kaligo soit l’application préférée des membres du gouvernement. Après la secrétaire d’Etat chargée du Numérique et de l’Innovation Axelle Lemaire et la ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Najat Vallaud-Belkacem, c’est au tour de Bernard Cazeneuve, Jean-Yves Le Drian et Thierry Mandon d’apprendre à écrire !

    A l’occasion de l’inauguration du pôle numérique de Brest, le premier ministre, le ministre de l’intérieur et secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ont pu découvrir le projet Intuiscript et tester les différents exercices de Kaligo, démonstration réalisée en partenariat avec l’Université Bretagne Loire et la région Bretagne.

    Gare à ceux qui n’écoutaient pas les consignes ! Il faut être studieux et appliqué pour réussir ses exercices. Impressionné par les capacités de l’application, Bernard Cazeneuve a déclaré que ce projet allait révolutionner l’enseignement et la formation.

    Plus d’infos :

    Kaligo, l’application née du projet Instuiscript, commence donc l’année sous les meilleurs hospices.

    Retrouvez la présentation de Kaligo sur ludomag.com.

     

     

     

  • GECO air, la 1ère application smartphone gratuite qui permet de réduire ses émissions polluantes

    GECO air, la 1ère application smartphone gratuite qui permet de réduire ses émissions polluantes

    Dans un contexte de pics de pollution, téléchargez GECO air la première application smartphone gratuite qui permet de réduire ses émissions polluantes !

     

    Le saviez-vous ? Le niveau d’émissions polluantes (oxyde d’azote, particules fines, monoxyde de carbone) d’un véhicule dépend, outre de sa technologie, du style de conduite et du type de trajet. Les essais réalisés à IFPEN ont démontré que, pour un même parcours et un même véhicule, les émissions polluantes peuvent varier d’un facteur de 1 à 4. Ce fait reste méconnu du grand public.

    Développée par IFP Energies nouvelles (IFPEN), avec le soutien de l’ADEME, GECO air, véritable baromètre de « mobilité propre », permet de sensibiliser ses utilisateurs à l’impact environnemental de leurs déplacements. L’objectif est de leur montrer comment, à leur échelle, ils peuvent agir et contribuer à réduire leurs émissions.

    GECO air : pour la première fois, une application pour réduire les émissions polluantes liées à ses déplacements

    Pollution atmosphérique, émissions de CO2… Chacun d’entre nous, à son échelle, peut réduire les émissions polluantes (oxydes d’azote, particules fines, etc.) liées à ses déplacements : en adaptant au quotidien son style de conduite (plus souple) et en privilégiant les modes de transport « doux » (vélo, transports en commun).

    GECO air incite ainsi l’utilisateur à agir de manière « écoresponsable » en faveur de la réduction des polluants :

    • En analysant les émissions liées à ses trajets, quel que soit le type de transport (voiture, vélo, transport en commun)
    • En le sensibilisant sur le caractère polluant de ses déplacements avec un « score mobilité » ,délivré chaque jour et après chaque trajet grâce à un outil de mesure objectif exprimé en Points Polluants (POP)
    • En l’aidant à améliorer sa façon de conduire par des conseils simples, pratiques et personnalisés après chaque trajet
    • En lui recommandant de privilégier les modes de transport doux comme le vélo quand c’est possible

    Les gains sont concrets : en optimisant sa conduite, les émissions de son véhicule peuvent être réduites de moitié !

    GECO air complète l’application d’écoconduite GECO lancée en 2014 par IFPEN et qui compte déjà plus de 22 000 utilisateurs !

    IFPEN avait lancé, à l’occasion du salon Futur en Seine 2014, l’application d’éco-conduite GECO qui permet de réduire la consommation de carburant par une meilleure conduite. Depuis, 22 000 utilisateurs ont parcouru plus de 500 000 kms en utilisant l’application. En offrant également la possibilité d’estimer et de réduire ses émissions polluantes, GECO « air » complète l’action initiée par IFPEN dans le domaine des services connectés avec GECO.

    Une première : l’algorithme de calcul de l’application permet de calculer les émissions d’oxyde d’azote, de particules fines, de monoxyde de carbone et de CO2 lors de chaque trajet.

    Avec GECO air, IFPEN met à profit son expertise scientifique dans le domaine de la modélisation des polluants et des motorisations.
    A propos d’IFPEN
    IFP Energies nouvelles (IFPEN) est un acteur majeur de la recherche et de la formation dans les domaines de l’énergie, du transport et de l’environnement. De la recherche à l’industrie, l’innovation technologique est au cœur de son action, articulée autour de trois priorités stratégiques : mobilité durable, énergies nouvelles et hydrocarbures responsables.
    www.ifpenergiesnouvelles.fr

  • Najat Vallaud-Belkacem aux côtés du « Safer Internet Day »

    Najat Vallaud-Belkacem aux côtés du « Safer Internet Day »

    Cette année, le coup d’envoi de la 14ème édition du Safer Internet Day a été lancé le mardi 7 février dernier au ministère de l’Éducation Nationale, en présence de Najat Vallaud-Belkacem.

    Une table ronde était organisée avec les membres du programme Internet Sans Crainte et de la société Tralalere qui opère le programme, ainsi que certains de leurs partenaires : Net Ecoute, Point de contact, FCPE, MAE, la CNIL, la ligue de l’enseignement, l’Agence du numérique, CLEMI, Canopé, Deci-dela, Non au Harcèlement, PEEP…

    Un atelier Vinz et Lou a également été organisé dans les locaux du ministère en présence de Madame la Ministre pour sensibiliser une dizaine d’enfants de CM2 aux enjeux du cyberharcèlement et des données personnelles.

    Le Safer Internet Day, journée mondiale pour un internet plus sûr a été célébrée dans plus de 110 pays dans le monde. En France, à l’occasion de cette journée, toute la communauté éducative a été mobilisée. 370 écoles, collèges, centres de loisirs et diverses structures éducatives se sont mobilisés et vont encore le faire jusqu’à la fin de mois de février, à travers des ateliers pour sensibiliser plus de 17 000 élèves à la citoyenneté numérique et au cyberharcèlement.

    Près de 40 acteurs, tels que Adblock, l’INRIA, Orange, Whaller se sont également investis à travers des événements, soutiens, relais… Un nouveau succès.

    A l’année prochaine pour la 15ème édition du Safer Internet Day qui sera célébrée le 6 février 2018 !

  • MÉDIALAB «Des histoires de mauvaise foi»

    MÉDIALAB «Des histoires de mauvaise foi»

    Participez à cette journée à destination des jeunes, des familles, des enseignants et des éducateurs pour découvrir les techniques des médias et comprendre la pratique, les enjeux de l’image et de l’information.

    Le MédiaLab, ce sont des ateliers, des conférences, des débats sur la thématique du complotisme.

    Pas de spectateurs, tous acteurs !

    Découvrez le programme par niveaux

    Inscrivez-vous aux ateliers et/ou conférences-débats.

    • De 9h00 à 12h00 : pour les classes

    – Pour les écoles élémentaires.
    – Pour les collèges.
    – Pour les lycées.

    Les inscriptions de groupe se font à l’adresse contact.atelier62@reseau-canope.fr.

    • De 14h00 à 17h00 : pour la communauté éducative

    Programme et inscriptions individuelles.

    À noter : les inscriptions de groupe se font à l’adresse contact.atelier62@reseau-canope.fr.

    • De 9h00 à 17h00 : pour tous

    Accès libre, avec accompagnement par les médiateurs Canopé.

    Découvrez des ressources sur la thématique ainsi que les outils numériques qui permettent de comprendre la fabrication d’un complot !

    Espace de création : retouche d’image
    – Recadrer une image.
    – Modifier l’arrière-plan.
    – Modifier la tête d’une personne.

    Espace de création : montage audio-visuel
    – Changer la bande son.
    – Insérer une image subliminale.
    – Couper des éléments de discours.

    Jouez et entrez dans la peau d’un journaliste avec le webdocufiction À la une !

    Quelles ressources et comment ?
    – Plateforme Développer l’esprit critique.
    – Vidéos du site.tv.
    – Exposition Dessine-moi la guerre.
    – Kit #Je dessine

    L’éducation aux médias et à l’information

    Elle permet aux élèves d’apprendre à lire, à décrypter l’information et l’image, à aiguiser leur esprit critique, à se forger une opinion, compétences essentielles pour exercer une citoyenneté éclairée et responsable en démocratie.

    Elle a également pour objectif d’accompagner la parole des élèves dans le cadre scolaire, pour les former à la responsabilité et à l’exercice de la liberté d’expression.

    MÉDIALAB : les autres dates

    • Amiens

    – Jeudi 4 mai 2017 (programme en cours d’élaboration) à l’Atelier Canopé 80 – Amiens.

    • Dunkerque

    – Samedi 29 avril 2017, sur le thème « Médias et citoyenneté », La Halle aux sucres, Dunkerque (inscription en ligne).

    Plus d’infos :
    Télécharger le flyer.

  • « Classe en entreprise »

    « Classe en entreprise »

    Du 13 au 17 février, 30 élèves de 1ère en Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable (STI2D) de l’Ecole lyonnaise LA MACHE, ont vécu une semaine au rythme du leader mondial des technologies de l’énergie et de l’automation, ABB. La rencontre de deux mondes dont les perspectives de synergies sont évidentes…   

    À la découverte du monde de l’entreprise

    Le concept est simple et original. Les élèves et leurs professeurs seront immergés toute la semaine à Chassieu, au cœur de l’un des sites de production de la division « Electrification Products » d’ABB France. Les cours traditionnels sont remplacés par des conférences et des visites préparées en collaboration entre les enseignants et les salariés de l’entreprise. Chaque séance est l’occasion de découvrir le monde de l’entreprise et de ses métiers.

    « Aider les élèves à trouver un sens à leurs études »

    « Ce projet est une réelle opportunité pour faire découvrir aux élèves les liens qui existent entre les enseignements qu’ils apprennent à l’école et les applications de ces mêmes notions dans le monde industriel. Des parallèles sont faits avec toutes les matières, mathématiques, histoire, géographie, anglais, français, physique, électricité, système informatique et numérique… Notre but est d’aider les élèves à trouver un sens à leurs études ! », commente Paul Charlois, enseignant en sciences physiques à l’Ecole La Mache et coordonnateur du projet. Pour ABB France, très investi dans le projet, l’expérience bénéficie également aux salariés qui n’ont pas coutume d’expliquer leur métier.

    « Cette immersion permet de donner une première image positive et concrète de l’entreprise, de ses métiers, et des personnes qui la constituent. Nos collaborateurs ont hâte de partager leur univers professionnel avec les jeunes de La Mache. Participer à une telle opération est particulièrement valorisant pour eux », complète Nicolas Fomisyn en charge de la coordination du projet chez ABB France.

    Revaloriser la filière industrielle

    L’attractivité des métiers techniques est un enjeu stratégique pour les entreprises industrielles. L’industrie, en pleine mutation, a besoin de collaborateurs compétents et bien formés pour relever les défis majeurs à venir, dont le développement durable fait partie. « Le dispositif de classe en entreprise permet de promouvoir auprès des élèves la richesse du monde industriel et de leur faire découvrir les possibilités infinies qu’offrent ses métiers. Au quotidien, nous renforçons les liens école-entreprises pour professionnaliser nos formations et favoriser l’employabilité de nos élèves diplômés », explique Olivia Laborde, Responsable Communication de la Fondation Ecole La Mache.

    En 2013, le projet « Classe en Entreprise » de l’Ecole La Mache a été primé dans le cadre d’un trophée Ressources Humaines sur la région Auvergne Rhône-Alpes et a également remporté un Prix de l’Industrie décerné par l’Institut Confluences.

    À propos de l’Ecole LA MACHE
     Située dans le 8ème arrondissement de Lyon, l’Ecole regroupe 1 150 élèves et étudiants autour de formations professionnelles et technologiques dans les métiers de l’industrie, du BTP, de l’informatique et des technologies nouvelles.       

    Chiffres clefs
    Plus de 93% de réussite aux examens quel que soit le niveau de diplôme
    92% des jeunes signent un contrat de travail dès la fin de leurs études
    Plus de 1 000 entreprises en partenariat avec l’Ecole parmi lesquelles, Alstom, Areva, Atos, Legrand, SNCF, Velan et Volvo/Renault Trucks.
    1 150 jeunes dont 50 supplémentaires cette année.
    Effectif : 300 personnes (120 professeurs et enseignants, 100 formateurs à temps partiel, 80 salariés).

  • Former à l’heure du numérique : le Greta Sud-Aquitaine fait confiance au TANu

    Former à l’heure du numérique : le Greta Sud-Aquitaine fait confiance au TANu

    Le centre de formation Greta Sud-Aquitaine a fait le choix du test de culture numérique TANu pour sélectionner ses candidats aux formations numériques.

    Utilisé également pendant et en aval du parcours de formation pour mesurer les progrès accomplis, il est par ailleurs proposé à d’autres stagiaires suivant des formations plus généralistes pour sensibiliser au numérique ou faire valoir des compétences spécifiques sur leur CV. Le milieu de la formation continue est, avec celui de l’enseignement supérieur, une cible stratégique de développement pour le TANu.

    Evaluer les pré-requis pour les candidats aux formations numériques

    Le Greta Sud-Aquitaine, membre du réseau des Greta d’Aquitaine vient de faire passer le TANu à 200 candidats potentiels aux formations du numérique sur les villes de Pau, Bayonne, Dax et Mont-de-Marsan. Patricia Hangar, Conseillère en Formation Continue du Greta Sud-Aquitaine nous en dit plus sur ce Pôle numérique et l’expérience qui a été faite du test.

    « Au-delà des formations communes à tous les Greta, nous avons développé au Greta Sud-Aquitaine un pôle numérique spécifique en lien avec les besoins des entreprises de notre territoire. Il est constitué de trois grandes familles de métiers : des « développeurs web », une famille « réseaux et télécommunications » et une famille « communication et multimédia ».

    « Par ailleurs, on propose depuis un an environ des formations beaucoup plus ciblées : un titre professionnel de « web designer », une formation de « UI designer » et une formation de « web marketer ». Ces formations et plus particulièrement les trois dernières ont été développées à la demande d’entreprises soit pour créer de nouveaux emplois, soit pour faire monter en compétence des salariés déjà en poste. Les entreprises sont de réels partenaires : soit parce qu’elles sont en recherche de stagiaires, soit parce qu’elles embauchent des alternants en contrat de professionnalisation, soit parce qu’elles font partie de nos équipes pédagogiques. Nous établissons également un partenariat avec les pôles technologiques tels que le pôle Izarbel à Bayonne, le pôle Hélioparc à Pau ou le pôle Pulséo à Dax.

    Or dans tous ces métiers-là, il faut que les personnes aient déjà des pré-requis, une culture, une veille, une curiosité. Et cela nous avions du mal à l’évaluer. Le TANu nous a donc servi de premier test de sélection préalable pour évaluer la culture numérique de nos candidats. On a ensuite adapté le reste de l’entretien d’admission en fonction du métier visé. Le TANU est en effet complémentaire et peut être associé à d’autres tests spécifiques. Ainsi les développeurs web ont passé le TANu ainsi qu’un test de logique ».

    Accompagner les stagiaires tout au long de leur formation

    Au-delà de cette utilisation en amont de la formation, le Greta Sud-Aquitaine compte intégrer le TANu dans tout le parcours du stagiaire. Il servira de repère pour mesurer les progrès acquis et/ou permettra plus largement de sensibiliser au numérique.

    Patricia Hangar : « Nous avons aussi voulu faire du TANu un outil qui mesure une évolution dans le parcours de connaissances : ainsi, pour les personnes qui ont pu intégrer les formations, nous avons gardé en mémoire les résultats des tests et nous les leur ferons repasser en fin de formation. Cela permettra aux stagiaires de se rendre compte des compétences acquises et leur servira d’évaluation finale. Par ailleurs, nous envisageons aussi le TANu comme un outil qui permette de montrer aux jeunes que dans ces métiers-là il faut être curieux. Tout bouge… et très vite. Le fait même que les questions du test évoluent en fonction de l’actualité est une façon de montrer qu’il faut être en veille permanente. Nous disons toujours à nos élèves qu’ils vont finir avec un diplôme mais que c’est à ce moment-là que tout commence. Si le développeur n’est pas curieux et qu’il n’a pas de veille, il est mort au bout de deux ans ».

    Servir d’élément de différenciation sur son CV… quel que soit le poste recherché

    Parallèlement aux formations de son Pôle numérique, le Greta Sud-Aquitaine compte utiliser le TANu sur d’autres formations, dans le tertiaire notamment, comme le BTS administratif. Une manière de montrer que la transformation numérique des entreprises impacte l’ensemble des fonctions et métiers, tout comme elle est une opportunité pour chacun de faire valoir des compétences bien identifiées :

    Patricia Hangar : « Concernant le BTS administratif qui forme à des assistants de gestion PME/PMI ou des assistants managers, nous souhaitons que les stagiaires puissent aussi l’utiliser pour valider leurs compétences en fin de BTS, les identifier et les valoriser sur leur CV lors de leur recherche de stage ou d’emploi. L’usage du numérique a une répercussion importante sur tout type de sujet et bien au-delà du numérique : sur la sécurisation des données, la circulation des dossiers, la réactivité d’un dossier. Cela peut amener à une autre organisation du travail, au télétravail. C’est donc important d’être identifié par rapport à des compétences bien précises, pour optimiser ses chances de trouver un emploi.

    Notre mission est d’être à l’écoute des besoins des entreprises, et pas uniquement des entreprises dites informatiques, mais de toute entreprise qui se trouve aujourd’hui dans une logique de digitalisation et qui a besoin de compétences nouvelles pour évoluer dans ses métiers, ses pratiques, ses produits et ses services. Il faut donc développer des offres de formation, numériques… ou pas, qui soient le plus adaptées possibles à leur demande et à leur marché. Mais il faut aussi que l’on mette très vite le stagiaire dans une position d’acteur : l’inciter à être en veille permanente,  à aller chercher l’info et à enrichir sa culture numérique. L’aider à le faire avancer vers de nouvelles compétences, pour qu’il soit opérationnel dans l’entreprise de demain »
    .

    Une offre spécifique aux établissements d’enseignement supérieur et une « Ecole TANu »

    Lancé fin 2015 par l’agence Immersive Lab, le TANu est un test en ligne de 30 minutes qui permet d’évaluer – selon un même référentiel – les connaissances numériques d’un collaborateur ou d’un candidat potentiel en informatique, internet, réseaux sociaux, technologie et économie numérique. Il permet d’accompagner les TPE, PME et grandes entreprises, dans le cadre de leur transformation numérique et ce, quelque soit leur secteur d’activité. Aujourd’hui 200 entreprises utilisent le TANu : entreprises de produits et services, centres de formation continue, ou encore établissements d’enseignement supérieur pour lesquels Immersive Lab a lancé une offre « éducation » dédiée.

    Autre actualité : forte de son succès, Immersive Lab élargira d’ailleurs bientôt son offre à des modules de formation et d’auto-formation. Elle lancera en mars l’Ecole TANu, un portail d’accès à de nombreuses ressources, soigneusement sélectionnées et classées pour permettre aux personnes ayant passé (ou pas) le TANu de s’auto-former.

  • Donnez envie aux jeunes français de faire des maths avec Navadra !

    Donnez envie aux jeunes français de faire des maths avec Navadra !

    Nous avons tous entendu parler du niveau scolaire français qui chute d’année en année et de la nécessité d’insuffler une nouvelle dynamique dans l’éducation. Mais rien ne vaut quelques chiffres de l’enquête OCDE de 2015 « PISA à la loupe » pour prendre conscience de la gravité du problème.

    73 % des jeunes français ont peur d’avoir de mauvais résultats en maths et 53% se déclarent tendus quand ils doivent faire leurs devoirs de mathématiques.

    Ainsi l’anxiété est sûrement en grande partie responsable des résultats médiocres en mathématiques. Ce qui nous apparaît beaucoup plus important c’est la vision de lui-même que le jeune va développer, l’érosion lente et inévitable de sa confiance en soi.

    Autocensure, repli vers soi et sentiment d’impuissance sont trois conséquences directes d’échecs scolaires à répétition.

    Dans ce contexte il est facile de comprendre que lorsqu’ils sont interrogés, les collégiens français sont 73% à répondre qu’ils n’aiment pas ou peu aller au collège. D’ailleurs, en 2014, l’OCDE place la France dans le dernier quart du tableau en ce qui concerne le plaisir d’apprendre.

    En 2017, L’Open University britannique cite les jeux vidéo pédagogiques comme une des 10 innovations pédagogiques au plus grand potentiel. Les jeux vidéo pédagogiques réussissent notamment là où les cours et les exercices en ligne échouent : ils motivent les jeunes !

    C’est pour combattre ce fléau qu’est l’anxiété et faire redécouvrir le plaisir d’apprendre aux jeunes que nous avons créé Navadra, afin de concilier un jeu qui plaise aux jeunes tout en les faisant réellement progresser.

    Nous avons créé un véritable univers et des mécaniques de jeu s’inspirant des jeux que les jeunes adorent (Pokémon, Dofus, World of Warcraft) plutôt que de se contenter de « gamifier » les maths.

    Navadra est une jeune startup créée par 3 passionnés de pédagogie et de jeux. Le projet, débuté en septembre 2015 est passé par plusieurs phases de tests et a entamé sa phase de « Bêta Ouverte » en octobre 2016. Il est accessible sur navigateur et a été développé en collaboration avec des parents, des professeurs et plusieurs centaines de collégiens.

    Le jeu met à la disposition des professeurs un outil dédié pour créer des classes dans le jeu, définir des créneaux d’utilisation en classe durant lesquels le contenu du jeu est illimité, et enfin visualiser les notions pratiquées par les joueurs.

    L’équipe de Navadra est intransigeante sur le fait que le jeu doit permettre de réels progrès au collège afin que les enfants puissent constater leur progression et regagner petit à petit confiance en eux. Le jeu est donc soigneusement articulé autour du programme scolaire.

    Par ailleurs, Navadra souhaite encourager « l’état d’esprit de développement » et l’esprit de collaboration des joueurs. Le jeu intègre donc les éléments suivants :

    Navadra, c’est aussi une application mobile qui permet de suivre précisément l’évolution du niveau de maitrise du joueur pour chaque notion mathématique travaillée dans le jeu.

    Au cours des tests effectués en classe, nous avons pu constater non seulement les élèves accrochent, mais ils en redemandent comme en attestent les témoignages des professeurs :

    « J’ai l’impression qu’en 1 heure de Navadra, certains élèves ont fait plus de maths que ces 15 derniers jours ! »
    Claude Oursel – Professeur au collège Jean de la Varende, Mont-Saint-Aignan

    « C’est incroyable, je n’ai jamais vu mes élèves aussi enthousiastes pour faire des maths ! »
    Moussa Kaddour – Professeur au collège de Guinette, Etampes

    Plus d’infos :

    Essayer Navadra
    Pour tester par vous-même :

    • Rendez-vous sur http://jeu.navadra.com
    • Cliquez sur « S’inscrire »
    • Renseignez le code de parrainage « LudoMag »

    Téléchargez l’application de suivi des joueurs ici

    Pour bénéficier de l’accès Prof dans le jeu : inscrivez-vous ici (nécessite une adresse professionnelle).

     

     

     

     

     

  • 1er dispositif de dématérialisation d’aide à la restauration scolaire pour les établissements de Haute-Garonne

    1er dispositif de dématérialisation d’aide à la restauration scolaire pour les établissements de Haute-Garonne

    Développement du tout 1er dispositif de dématérialisation d’aide à la restauration scolaire pour les établissements de Haute-Garonne. Dès juin 2017, les familles pourront effectuer leur demande d’aide à la restauration scolaire pour la prochaine rentrée scolaire directement sur un service numérique innovant et performant.

    Ce nouveau dispositif, développé par Kosmos, est destiné aux établissements publics et privés de Haute- Garonne. Il complète également le bouquet de services d’eCollège31 en rajoutant ce processus de dématérialisation d’aide à la restauration scolaire.

    Les démarches administratives sont ainsi simplifiées pour les familles, les établissements et le conseil départemental.

    L’aide à la restauration scolaire : un dispositif d’envergure

    Du dépôt des dossiers par les familles à l’établissement jusqu’à l’accord donné par le Département, de nombreux acteurs interviennent lors de cette procédure administrative.

    Chaque année, 24 000 dossiers d’aide à la restauration scolaire sont déposés dans les établissements et instruits par le conseil départemental. 20 500 dossiers sont acceptés. 1/3 des collégiens scolarisés dans le public bénéficient de cette aide.

    Pour l’année scolaire 2016-2017, le Conseil départemental prévoit un budget de 6 millions d’euros.

    Le numérique : levier pour un service public efficace et moderne

    Ce projet s’inscrit dans une démarche de dématérialisation de la demande d’aide et de son instruction. Il améliorera les échanges avec les familles et le pilotage de la mesure.

    Objectif : Simplifier la procédure et optimiser la gestion des demandes

    Les familles des élèves de plus de cent collèges publics et privés bénéficieront de ce nouveau service dès juin 2017.

    Toutes les démarches administratives et le traitement des dossiers de l’aide à la restauration scolaire s’effectuent directement en ligne. Grâce à des formulaires et des tableaux de bord ergonomiques à la navigation simple et intuitive, les demandes et l’instruction des dossiers s’effectuent en quelques clics.

    Un service numérique à la pointe des technologies du web

    Ce service numérique est développé par Kosmos à l’état de l’art des technologies du web : spring boot, HTML 5, CSS et javascript. Il fonctionne de manière autonome et se trouve intégré au bouquet de services (Portail web, intranet et collaboratif, pédagogie, vie scolaire et emploi du temps) proposés aux établissements par eCollège31.

    Ce nouveau dispositif est accessible et adapté aux différents terminaux (tablette, smartphone, ordinateur, etc.)

    Des bénéfices incontestables pour les familles, les établissements et le Département

    La dématérialisation apporte une meilleure qualité des informations, une diminution du temps de traitement administratif pour les familles, les établissements et le Département. Les familles peuvent suivre l’avancement de leur demande dont le délai de traitement est réduit. Leurs informations personnelles sont enregistrées d’une année sur l’autre, le renouvellement des demandes étant ainsi facilité.

    De plus, ce nouveau dispositif assure un suivi plus efficace pour le Département des repas consommés facilitant ainsi le calcul de la compensation financière due aux établissements.

    Grâce à la dématérialisation de l’aide à la restauration scolaire, le Conseil départemental rend ainsi un meilleur service aux usagers tout en capitalisant sur eCollège31 en tant qu’e-service public.

    Plus d’infos : kosmos.fr

    CONTENU SPONSORISÉ