Auteur/autrice : Aurélie Julien

  • Big data et Big Datathon : échanges et collaboration d’une nouvelle dimension au C2E du GIS INEFA

    Big data et Big Datathon : échanges et collaboration d’une nouvelle dimension au C2E du GIS INEFA

    Le C2E 2016 a eu lieu comme chaque année à Poitiers autour de nombreux partenaires, regroupés aujourd’hui en un groupement d’intérêt scientifique : le GIS INEFA. Autour du big data, thématique phare de l’évènement et thématique forte de notre quotidien, les publics ont pu échanger, débattre et collaborer pour donner ce qu’on pourrait communément appeler « un bon cru 2016 ».

    Le C2E existe depuis une dizaine d’années et s’est beaucoup transformé au cours de cette période. Au départ, plutôt lié à une formation universitaire et un master international, l’événement s’organise aujourd’hui autour et avec de nombreux acteurs de l’éducation et du numérique du territoire, anciennement Picto-Charentais et désormais Nouvelle Aquitaine.

    Ces acteurs se sont d’ailleurs regroupés autour d’un Groupement d’Intérêt Scientifique intitulé « GIS INEFA » pour « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages » afin d’engager, au-delà du Campus Européen d’été, une réflexion commune autour du numérique.

    Nouvelle dimension du C2E autour d’un nouvel organisateur : le GIS INEFA

    Le GIS INEFA se compose d’acteurs locaux mais aussi nationaux puisque, rappelons-le, Poitiers a la chance d’avoir sur son territoire des entités comme Canopé, le CNED ou encore l’ESENESR et des locaux telles que les entreprises et acteurs publics (rectorats, etc) et pas moins de cinq universités en Nouvelle Aquitaine.

    Le C2E est donc devenu en 2016 la manifestation du GIS INEFA, comme le précise également Vincent Rosseli, chef de projet ENT à la direction de l’éducation du conseil Régional Nouvelle Aquitaine et directeur du GIS INEFA.

    Une thématique d’envergure : le big data.

    Sur le choix de la thématique du C2E, le principe est le même chaque année à savoir que le comité de programmation réfléchit à un sujet dans le champ de la e-éducation autour de l’actualité scientifique, de l’actualité professionnelle – « ce qui se passe sur le terrain »- ou encore de l’actualité industrielle et économique.

    « Avec le choix du big data cette année, je crois qu’il est inutile de démontrer qu’il est d’une grande actualité », souligne Jean-François Cerisier, Directeur du Laboratoire Techné de l’Université de Poitiers.

    Sur une semaine, il a donc été question de big data autour de trois axes de réflexion principaux à savoir :

    . Comment utiliser la collecte et l’analyse de données pour mieux comprendre les apprentissages des élèves et mieux orienter leur trajectoire d’apprentissages, soit plus communément le « Learning Analytics ».

    . Comment utiliser les techniques, modèles et méthodes du big data comme des ressorts de nouvelles activités d’apprentissage.

    . Enfin, une dernière question essentielle, « à la fois parce qu’elle est très critique aujourd’hui », est : comment éduquer aux données et aux algorithmes qui évidemment sont associés à ces données.

    Une autre dimension pour un événement accueillant des participants de nouveaux horizons.

    L’originalité et une des richesses de l’événement repose aussi par la présence d’un public international, rappelant les origines de l’événement (autour du master international et du Consortium « Euromime », Master Erasmus Mundus en Ingénierie des Médias pour l’Education), et de retours d’expérience et présentation d’ateliers par des personnes « qui ne viennent pas nécessairement des pays auxquels on pense le plus spontanément quand on évoque le numérique » ( Pérou, Brésil, Chili, Mexique etc), mais qui font aussi toute la richesse de ces échanges, ce que relève Jean-François Cerisier.

    « Comment avancer sans échanger dans d’autres contextes économiques, culturels éducatifs » ?

    C’est aussi l’avis d’un habitué du C2E car faisant partie du consortium Euromime, Jacques Viens, directeur du département de psychopédagogie et d’andragogie de l’Université de Montréal.

    Le campus européen d’été C2E et le cadre d’Euromime se rejoignent dans le sens où ils permettent à des chercheurs, à des étudiants de contextes de vie différents, de regarder et de partager leurs expertises. Pour lui, « la recherche isolée qui n’est pas intégrée dans des situations réelles sert bien peu ».

    En effet, comme l’aime à le rappeler Jean-François Cerisier, la réflexion est indissociable de la pratique c’est aussi pourquoi le C2E programme, au-delà des traditionnelles tables rondes et conférences, des ateliers et autres formes d’engagement et de pratiques comme une CryptoParty (un rendez-vous convivial pour échanger sur les outils et les bonnes pratiques), par exemple.

    Nouvelle dimension donnée aux pratiques : l’exemple du hackathon pédagogique devenu « Big Datathon pédagogique ».

    C’est aussi dans ce sens qu’a été proposé l’année dernière le premier Hackathon pédagogique et qu’est né cette année le Big Datathon pédagogique, organisé sur une durée de 6 mois et dont le dénouement a eu lieu pendant la semaine du C2E dans les locaux de Canopé Poitiers, partenaire de l’événement au même titre que le SPN (Réseau Professionnel numérique Poitou-Charentes).

    « Nous avons eu la chance aussi de pouvoir l’organiser avec un partenariat très élargi à Grand Poitiers, à l’AUF, à l’OIF et au groupe des ambassadeurs francophones en France, ce qui nous a permis d’accueillir à distance et en présentiel 72 équipes de toute la francophonie en mai 2016 », rappelle Jean-François Cerisier.

    Des pays « dont on peut penser, à tort, que ce ne sont pas les premiers concernés » ont proposé plusieurs projets comme c’est le cas pour Madagascar, par exemple.

    Ce partenariat avec les acteurs de la francophonie a également permis de faire venir, pendant la semaine du C2E, pour participer à l’atelier « d’accélération », une équipe marocaine et une équipe du Gabon, lauréats parmi les 6 équipes sélectionnées à l’issu de la première étape.

    « L’atelier d’accélération consiste à aider les équipes sur trois jours, à partir de l’idée qu’elles ont eu et sur laquelle elles ont travaillé depuis le mois de mai, à transformer cette idée en un projet », explique Jean-Michel Perron, Directeur de la R&D sur les usages du numérique éducatif au Réseau Canopé.

    « L’idée du processus Big Datathon n’est pas seulement le hackathon lui même mais aussi la production de projets qui, nous l’espérons, seront diffusés d’une manière ou d’une autre et au travers de structures qui pourraient devenir des starts-up créées par les lauréats », souligne Jean-François Cerisier.

    Le C2E, un des résultats d’une collaboration vraiment partagée entre acteurs impliqués dans le numérique, dans un environnement à dominante rurale.

    C’est bien la synthèse que nous pouvons faire de cet événement « Campus européen d’été » ou « C2E » : la dimension multi-facettes qu’il affiche autour d’une dynamique commune.
    Et c’est ce que se plaît à rappeler Jean-François Cerisier, en fin d’interview : « nous avons la chance d’être dans une région à dominante rurale et qu’ici on peut se connaître très facilement et, si on a envie de travailler ensemble, c’est vraiment très simple ».

    Autour du GIS INEFA ou encore du label French Tech fraîchement obtenu en juillet dernier, très fédérateur, et enfin autour d’événements comme le C2E, les outils sont là pour collaborer, « avec une méthode de travail qui elle-même est génératrice de collaboration puisque tous les partenaires ne sont pas seulement ceux qui mettent la main au portefeuille pour financer une manifestation annuelle, ce sont des structures qui toutes se réunissent pour travailler tout au long de l’année sur ces sujets ».

    En effet, c’est bien habilement que Jean-François conclut sur cette image du « partenaire qui n’est pas uniquement là pour payer » et c’est aussi ça qui fait toute la différence…

     

     

     

  • Viaéduc : les analytics pour mesurer les usages !

    Viaéduc : les analytics pour mesurer les usages !

    François Catala, directeur du dispositif Viaéduc au réseau Canopé, est venu présenter à nouveau le réseau social conçu pour les enseignants dans un contexte de data, ou comment les données recueillies sur ce réseau pourraient aider à comprendre les évolutions du métier d’enseignant.

    Le réseau Viaéduc existe depuis 18 mois maintenant. « Il a été lancé pour répondre à une problématique qui était d’accroître la dimension collaborative du travail entre enseignants« , rappelle François Catala.

    Aujourd’hui, ce sont près de 40 000 utilisateurs qui évoluent sur le réseau et une des spécificités de Viaéduc par rapport aux réseaux privés que tout le monde connaît « est que, au regard des données personnelles, nous avons une politique extrêmement stricte ; nous ne nous servons pas des data à des fins commerciales« , argument François Catala.

    En revanche, ces données anonymisées doivent servir à comprendre comment les enseignants travaillent entre eux : « Qui vient, pour quoi faire, de quelle académie viennent-ils, quel comportement ont-ils sur Viaéduc etc » ; et c’est uniquement dans ce sens que les data du réseau peuvent être mises à profit.

    Grâce à ces données, déjà des constats se dressent que François Catala détaille dans la vidéo ci-contre.

    « Compte tenu du fait que Viaéduc doit devenir un « hub », soit un centre de socialisation pour d’autres plateformes, en s’interconnectant avec Myriaé, M@gistère, ou encore Canoprof, Viéduc va être une plateforme qui permet de socialiser les autres services ».

    En terme d’analytics, cela devrait permettre d’avoir aussi une vision sur l’utilisation des autres plateformes.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    Plus d’infos sur Viaéduc : www.viaeduc.fr

  • L’Edutainment : le projet du SPN lauréat de la French Tech en ex-Poitou-Charentes

    L’Edutainment : le projet du SPN lauréat de la French Tech en ex-Poitou-Charentes

    Fabien Audat est chargé de mission French Tech pour le SPN, le réseau des professionnels du numérique en ex-Poitou-Charentes. Le réseau, membre du GIS INEFA, a profité du C2E 2016 pour lancer le label French Tech, fraîchement obtenu le 25 juillet dernier à Laval.

    Le Cluster a candidaté pour l’obtention du label French Tech avec un projet intitulé « Edutainment », « qui est en fait « l’apprentissage de façon ludique avec la production de nouveaux contenus enrichis et attractifs« , explique Fabien Audat.

    Le SPN porte ce projet pour animer l’écosystème régional sur cette thématique avec les agglomérations d’Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers et tous les partenaires du GIS INEFA.

    « Une de nos grosses ambitions avec le label, c’est d’accompagner des entreprises qui sont déjà positionnées sur cette filière dans leur développement mais aussi de permettre à toute entreprise du numérique de se positionner sur ces nouveaux marchés en développant des technos en lien avec l’Edutainment« .

    Le Label est décerné pour une durée de deux ans. Le SPN l’a obtenu au même titre que 14 autres écosystèmes français, « ce qui veut dire que nous allons pouvoir établir des collaborations à l’échelle nationale et construire de nouveaux plans d’action qui seront favorables au territoire« .

    Sans parler de ce que cela apporte en terme de marketing territorial et d’image de marque ainsi que de l’aide consentie par le ministère de l’économie en matière d’outils d’internationalisation des entreprises, « afin de permettre que nos entreprises françaises soient en capacité d’aller chercher des marchés à l’international et si possible dans l’espace francophone« , a souligné Fabien Audat lors de la conférence qui a eu lieu sur le C2E et dont vous retrouverez un extrait dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    Plus d’infos sur le label French Tech : www.lafrenchtech.com/la-french-tech/utiliser-la-marque

  • Learning Analytics : des questions au coeur de la réflexion du NumériLab de la DNE

    Learning Analytics : des questions au coeur de la réflexion du NumériLab de la DNE

    Claudio Cimelli est responsable du NumeriLab, autrement dit la mission d’incubation à la Direction du Numérique pour l’Education au MENESR. Il a participé au C2E 2016 à Poitiers sur la thématique du big data et évoque lors de cette interview, le positionnement de la DNE par rapport à ces enjeux des Learning analytics.

    « La DNE s’intéresse aux learning analytics car elle s’intéresse aux apprentissages et à la manière dont on peut travailler sur les apprentissages« , souligne Claudio Cimelli.

    Il rappelle que dans les premiers appels à projets, il y a déjà eu des propositions de solutions faites par des éditeurs et des industriels de mise en oeuvre d’outils d’analytics « qui sont des outils au service des apprentissages ».

    La DNE se pose toutes sortes de questions sur le sujet et notamment l’intérêt de ces outils du point de vue des élèves et des enseignants.

    « Globalement les Learning analytics, c’est une façon d’analyser de ce qu’on est entrain de faire » ;

    « et de bénéficier de l’analyse de traces et de données d’apprentissage pour à la fois étayer soit l’élève, soit étayer l’enseignant pour qu’il puisse aider l’élève et puisse lui permettre de parfaire un parcours de formation ».

    Les questions que se posent le NumériLab sont surtout liées à l’évolution extrêmement rapide dans ce domaine notamment au niveau des solutions industrielles. Et Claudio Cimelli prend l’exemple des Etats-Unis où le phénomène est particulièrement étendu.

    Questions d’éthique, questions juridiques et questions de « est ce que cela sert vraiment à faire progresser les élèves ? »…

    Retrouvez la totalité de l’interview dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Infobésité et big data : faites parler les données!

    Infobésité et big data : faites parler les données!

    Stéphane Chauvin dirigeant de la société R2C System et de mydataball.com est venu témoigner de son point de vue en tant que représentant de la filière numérique, sur la thématique de cette année à savoir le big data. En effet, le c2E, au-delà des chercheurs, fait venir de nombreux intervenants extérieurs pour ouvrir les points de vue sur la thématique.

    « Nous sommes des industriels de l’analyse et nous avons une mécanique qui va prendre depuis les données jusqu’aux besoins des décideurs à transformer la donnée en connaissance utilisable et pertinente« .

    Exemples de ce travail et utilisation concrète de la data illustrés par le propos de Stéphane Chauvin dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

    A propos de mydatball.com : mydataball.com

     

  • L’enjeu des Learning Analytics

    L’enjeu des Learning Analytics

    Serge Garlatti est professeur à Télécom Bretagne et responsable du département informatique, membre du laboratoire LabSTICC, du CSV du pôle Images et réseaux, président de l’ATIEF et membre de l’AFIA.Il est intervenu sur le C2E sur l’un des volets de la thématique annuelle du big data à savoir l’analyse des données d’apprentissage. Il a utilisé quelques cas d’études dans le cadre du projet Hubble.

    « Cela fait maintenant environ 15 ans que je travaille à l’intersection des domaines de l’Intelligence Artificielle et des EIAH. Mes activités de recherche portent sur les domaines de la e-Education, de la E-Formation (apprentissage tout au long de la vie) et de la médiation culturelle pour des apprentissages formels et informels.
    Je m’intéresse à des problématiques de conception d’environnements d’apprentissages et de médiation culturelle fondés sur des démarches par investigation ou le connectivisme, en utilisant des média sociaux dans des environnements ouverts de type MOOC.

    D’un point de vue informatique, il s’agit de problématiques d’acquisition et de représentation de connaissances, de traces et d’analyses de ces dernières, de web sémantique et de Linked Data, de sensibilité au contexte et d’adaptation, de learning analytics, et de génération dynamique de tableaux de bord pour accompagner toutes les parties prenantes ».

    L’enjeu des Learning Analytics aujourd’hui est d’être capable d’analyser le comportement des apprenants sur des plateformes numériques, de plus en plus utilisées.

    « Le but est bien d’adapter, grâce à ce travail d’analyse, les outils à chaque apprenant ou à chaque groupe d’apprenant et il y aura de biens meilleurs résultats au niveau des apprentissages« , explique t-il.

    Retrouvez toute sa réflexion sur le sujet dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

     

     

  • Création du GIS INEFA et lancement du premier projet commun : REMASCO

    Création du GIS INEFA et lancement du premier projet commun : REMASCO

    Vincent Rosseli, chef de projet ENT à la direction de l’éducation du conseil régional Nouvelle Aquitaine, était présent sur le C2E en tant que représentant de la Région mais aussi en tant que directeur du GIS INEFA, nouvel organisateur du Campus Européen d’été.

    La présence de nombreux acteurs locaux mais aussi nationaux (Canopé, CNED, ESENESR etc) a fait naître le besoin de créer un groupement d’intérêt scientifique, GIS, intitulé INEFA pour « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages ».

    La vocation du GIS INEFA est de travailler ensemble pour apporter le savoir-faire de chacun et monter des projets qui répondront aux attentes de tous, sur le volet ressources et usages.

    Le premier projet fédérateur du GIS est le projet REMASCO, « réinventer le manuel scolaire au sens numérique« .

    Pour la région, l’intérêt d’appartenir au GIS est un levier d’innovation pour l’économie et l’emploi ; la dynamique autour de projets comme REMASCO entre bien dans ce champ de compétences puisqu’ils font appel aux savoirs-faire d’entreprises spécialisées dans le numérique.

    Explications avec Vincent Rosseli dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Le numérique à l’ESPE de Poitiers : une évidence

    Mario Cottron, directeur de l’ESPE de Poitiers et partenaire membre du GIS INEFA dans l’organisation du Campus Européen d’été, était au micro de Ludomag pendant l’évènement. Pour lui, faire partie de ce GIS est une évidence.

    En effet, dans les objectifs fixés à la création de l’ESPE, le numérique et spécialement le numérique éducatif, est une des quatre priorités.

    « Nous n’allons pas former les enseignants et n’enseigner demain qu’avec le numérique, cela serait stupide de penser ça ; penser qu’on peut aujourd’hui enseigner sans le numérique est tout aussi stupide », souligne t-il en début d’interview.

    Retrouvez Mario Cottron dans la vidéo ci-contre.

    Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici.

  • L’EMF de Poitiers, partenaire culturel incontournable du C2E 2016

    L’EMF de Poitiers, partenaire culturel incontournable du C2E 2016

    L’Espace Mendès France de Poitiers fait partie du GIS INEFA, Groupement d’Intérêt Scientifique « Innover avec le Numérique pour l’Enseignement, la Formation et les Apprentissages » ; déjà partenaire du Campus Européen d’été avant la fondation de ce groupement, c’est tout naturellement que l’EMF a accueilli l’évènement encore cette année sur une journée entière autour de deux sujets reliant la thématique 2016 du Big Data : « Quand l’art et l’engagement associatif questionnent le big data » et « Instaurer de nouveaux rapports aux données, entre nouveaux services, Droit et Art ».

    « Cette problématique du big data et plus généralement du numérique est traité toute l’année à l’Espace Mendès France au travers de nos activités autour des activités numériques, des cultures numériques, de l’information des publics, des ateliers de formation etc« , précise Thierry Pasquier, responsable communication à l’EMF.

    « Je pense que ce qu’on attend de nous au C2E est d’apporter ce regard décalé par rapport à la thématique, d’autant plus que le Campus européen d’été n’est pas réservé aux universitaires mais est ouvert à tout type de public« , ajoute t-il.

    Retrouvez l’intégralité de l’interview de Thierry Pasquier dans la vidéo ci-contre.