Étiquette : universités

  • Séminaire C2i à l’université de Perpignan : pour une nouvelle certification des compétences numériques ?

    Séminaire C2i à l’université de Perpignan : pour une nouvelle certification des compétences numériques ?

    C2i : vers une nouvelle certification des compétences numériques ?

    Rachel-Marie Pradeilles-Duval, chef du service de la stratégie des formations et de la vie étudiante à la DGESIP-MENESR rappelle les enjeux de cette nouvelle certification lors de son allocution en visioconférence : « un C2i rénové au service de la transition numérique de l’économie et de la société. Le dernier rapport du conseil national du numérique réinscrit et renouvelle le regard de l’impact du numérique sur notre société qui est économique, culturel et social ; d’où l’importance de former des spécialistes et aussi d’accélérer la révolution des usages ».

    Claude Bertrand, conseiller stratégique pédagogie DGESIP-MENESR, que nous avons interviewé a dressé le contexte et les grandes orientations de la refonte du C2i. Il rappelle que le C2i est un dispositif qui a été mis en place il y a douze ans « pour reconnaître les compétences numériques des étudiants ».

    Le projet de refonte part du constat que le C2i ne correspond plus aux besoins « que nous lui avions assignés à l’origine, notamment de donner aux étudiants une culture numérique ».

    Le processus est engagé depuis un an environ et le nouveau C2i devrait être efficient avant la fin de l’année 2016. Sans entrer dans les aspects techniques, Claude Bertrand souligne un point important qui est que dans la nouvelle certification, « on va différencier ce qui relève de l’évaluation des compétences de la formation ».

    L’enseignement supérieur ne concerne plus aujourd’hui que des étudiants en formation initiale mais accueille une diversité de publics. La préoccupation des compétences numériques des salariés dans une entreprise devient un enjeu fort et l’objectif est aussi que les nouvelles compétences acquises puissent être reconnues par le monde professionnel.

    Pour Sophie Pène, Professeur à l’université Paris Descartes et pilot du rapport CNNum Jules Ferry 3.0, le réseau des correspondants universitaires C2i est « une puissance humaine et le meilleur réseau de veille qui existe à l’Université ».

    Elle explique que ce sont des personnes qui savent à la fois combien il est utile de certifier, de valider et d’entrer dans le régime institutionnel et qui savent aussi combien ces questions dépassent la certification.

    Dans les conseils des universités, ils doivent trouver la ressource et l’énergie pour se faire écouter car ce sont des capteurs beaucoup plus en prise avec le monde étudiant que la majorité des enseignants, souligne t-elle.

    Plus d’infos sur la refonte du C2i : https://c2i.enseignementsup-recherche.gouv.fr/

     

  • Forum de recrutement virtuel des Ingénieurs  en Informatique de Lille du 12 au 19 octobre

    Forum de recrutement virtuel des Ingénieurs en Informatique de Lille du 12 au 19 octobre

    TelecomLille_131015

    Pendant une semaine, les étudiants pourront échanger avec les recruteurs de chez Atéos, Beijaflore, Chanel, CGI, LVMH, Modis, Orange, Solucom ….

    Pour participer ? Dès maintenant, et avant le 12 octobre : Inscrivez-vous ici : https://www.seekube.com/forums/362/telecom-lille-universite-lille-1

    Remplissez votre profil en moins de 10 min avec un maximum d’informations, consultez les profils des entreprises qui participent et demandez à les rencontrer, sélectionnez et postulez pour les offres qui vous intéressent.

    Dès le 12 octobre, commencez à échanger en ligne !

    Décrochez des RDV téléphoniques avec des recruteurs, échangez avec les recruteurs, assistez à des vidéo-conférences

    A propos de Télécom Lille

    Télécom Lille est une grande école d’ingénieurs du numérique placée sous la double tutelle de L’Institut Mines-Télécom et de l’Université de Lille. Habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieur, elle accueille 750 étudiants et diplôme chaque année 150 Ingénieurs en Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication (télécoms, informatique & réseaux, internet & multimédia, communications mobiles, management de projets, systèmes d’information).

    Télécom Lille est accessible aux bacheliers S (formation initiale en 5 ans, dont 2 ans de stages et projets en entreprises), aux classes préparatoires scientifiques (cycle ingénieur de 3 ans), aux Bac+2 (formation par apprentissage en 3 ans) et aux professionnels en activité (formation continue de 16 à 30 mois), pour un même diplôme.

    Installée sur 9000 m2 au cœur du campus de l’université Lille 1, Télécom Lille développe plusieurs axes de recherche dans les domaines de l’informatique, des réseaux et des communications.

  • Promouvoir et développer une offre francophone de Cours en Ligne Ouverts et Massifs

    Promouvoir et développer une offre francophone de Cours en Ligne Ouverts et Massifs

    AUF_MOOC_170214La convention de partenariat qui lie l’Agence universitaire de la Francophonie au Ministère français de l’Enseignement supérieur et de la Recherche depuis le lundi 27 janvier 2014, fait écho à la 17ème action de l’agenda numérique établi par le Ministère pour développer le numérique dans l’enseignement supérieur et la recherche française.

     

     

    Elle prévoit le déploiement d’actions spécifiques à destination de la Francophonie. L’AUF et le MESR s’entendent pour :
    – promouvoir la diffusion de l’offre française et francophone à travers leurs réseaux et sites Internet respectifs ;
    – faciliter les partenariats publics-privés pour développer l’offre de CLOMs ;
    – mettre en relation les établissements d’enseignement supérieur français et les établissements francophones du Sud pour conclure des partenariats permettant de construire des CLOMs ;
    – participer conjointement à l’élaboration d’une démarche qualité pour les CLOMs, notamment en matière d’organisation, de suivi pédagogique, de certification et de modèle économique.

    L’échange de compétences entre le MESR et l’AUF se traduit aussi par des actions communes telles que l’organisation des certifications proposées par les établissements français. De même, un CLOM destiné à former les enseignants pour la conception de cours en ligne est financé conjointement.

    L’AUF mobilisera ses campus numériques francophones (CNF ®) pour relayer l’offre française de CLOMs. L’Agence a également lancé début novembre 2013 un appel à projets destiné à ses membres du Sud pour la conception de CLOMs et de formations à distance. Il s’agit, là aussi, d’enrichir l’offre francophone en la matière.

    Ce partenariat confirme l’engagement de l’Agence universitaire de la Francophonie dans la modernisation des universités par le numérique éducatif.

    « L’AUF, qui entend partager ses compétences dans le domaine du numérique, collaborera activement avec le MESR. Car les CLOMs représentent un défi primordial pour l’université française et le monde universitaire francophone. L’Agence, vecteur de diffusion du savoir en langue française, contribue au rayonnement international de la communauté universitaire francophone, dans un contexte où l’on présente souvent l’anglais comme la seule langue de coopération », explique Bernard Cerquiglini, Recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie.

  • Les Moocs : un enjeu pour l’université française, la communauté universitaire francophone et la langue française

    Les Moocs : un enjeu pour l’université française, la communauté universitaire francophone et la langue française

    AUFetMOOC_030214Dans un contexte international, on présente souvent l’anglais comme la seule langue de coopération. Pourtant, avec le démarrage des offres de Moocs français et francophones, la langue française et le rayonnement des universités françaises et francophones pourraient connaitre un nouveau souffle.

    L’Agence universitaire de la Francophonie œuvre depuis toujours à la promotion et développement du français comme langue de connaissance et de savoir et comme tradition culturelle.

    Le démarrage des cours en ligne en janvier, lance à cet effet un signal fort  : pour l’université française, c’est une réponse à la multiplication des programmes anglophones et un outil d’attractivité, ainsi qu’un formidable vecteur de la langue française comme tradition culturelle et langue de savoir et de connaissance.

    Comme l’a rappelé, le MESR : « La révolution numérique ne se joue pas sur le seul terrain national. Le développement des MOOCs dans  les dix prochaines années redéfinira la carte universitaire internationale. C’est pourquoi la France a un rôle important à jouer, à la hauteur de la qualité de son enseignement et de sa recherche, à la hauteur aussi de son histoire universelle, en termes de coopération avec les pays en développement et les pays  francophones. La diffusion de cours en ligne, en français, demeure une expression forte de sa politique en faveur de la francophonie. » Dossier de Presse du MESR, du 14.01.2014

    La francophonie n’est pas un frein à l’internationalisation et à l’attractivité des universités françaises, elle est au contraire un atout. La francophonie permet aujourd’hui qu’existe en France un enseignement supérieur accessible, de qualité, et qui, partout dans le monde, incite des millions d’étudiants à faire le choix d’apprendre la langue française ou de s’engager dans des départements de français, classes bilingues ou filières francophones.

    Source : Agence Universitaire de la Francophonie

    L’Agence universitaire en bref :
    L’Agence universitaire de la Francophonie est une association mondiale d’universités francophones qui a pour objet de faire le lien entre les universités de langue française. L’association œuvre depuis plus de 50 ans dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle a vocation à former des professionnels aptes à contribuer au développement de leur pays. Elle regroupe près de 800 établissements universitaires sur les cinq continents dans une centaine de pays, dont 59 membres (ou observateurs) de l’Organisation internationale de la Francophonie. L’association a pour mission de soutenir les stratégies de développement des établissements membres, de faire émerger une nouvelle génération d’enseignants, de chercheurs, d’experts et de professionnels, acteurs du développement, de promouvoir la communauté scientifique francophone pour qu’elle devienne une référence internationale et apporte sa contribution aux enjeux mondiaux (changement climatique, pauvreté, agriculture, sécurité alimentaire, santé, droit,…). Pour conduire ses actions, l’AUF développe des partenariats avec les organisations internationales (UNESCO, UE, ONG, entreprises du secteur privé…).

    Pour plus d’informations : www.auf.org

  • Kosmos sur Éducatice : un acteur global du numérique éducatif

    Kosmos sur Éducatice : un acteur global du numérique éducatif

    Parmi eux :
    L’Université Paris-Ouest Nanterre la Défense pour leur dispositif web multi-sites.
    L’UPEC pour leur utilisation du Porte-Feuille d’Expériences et de Compétences, e-portfolio d’insertion professionnelle pour les étudiants.
    L’Onisep pour le nouveau portail de ressources numériques « Biblionisep » et le Webclasseur Orientation.
    Des échanges riches entre clients et référents du secteur ainsi que des démonstrations personnalisées ont vu le jour dans ce contexte.

    Une première pour Kosmos dans le monde des ENT : la solution K-d’école en version mobileKosmosvisuel_educatice13

    Kosmos a présenté sur le salon sa nouvelle solution mobile pour ENT.
    A la rentrée 2013, cette application a d’ailleurs été proposée à tous les lycéens de la Région Pays de la Loire.
    e-lyco est devenu ainsi un des rares Environnement Numérique de Travail mobile multi-supports à être déployé en France, permettant à terme à plus d’un million d’utilisateurs de la Région d’accéder à leur ENT depuis leur appareil mobile.

    Lancement du projet ENT des collèges et lycées du Nord-Pas-de-Calais

    Le lancement de l’ENT « Savoirs Numériques 59 62 » s’est fait en septembre 2013.
    Pour cette rentrée,en quelques mois, 200 lycées et une cinquantaine de collèges ont été déjà équipés. A terme, c’est plus de 560 établissements qui seront déployés.
    Un projet qui démarre sur les chapeaux de roue !

    Éducatice : un espace privilégié pour réunir les porteurs de projets et les utilisateurs

    Aujourd’hui, le dispositif de statistiques de la Caisse des dépôts et Consignation identifie environ 3800 établissements français équipés d’ENT. Tous les projets déployés avec K-d’école représentent à terme plus de 1800 établissements : c’est à dire environ 45% de la totalité en France.

    Ces projets réunissent donc de nombreux acteurs, fortement intéressés par le partage de meilleures pratiques et des innovations que Kosmos propose. Le salon Educatice a été ainsi l’occasion de les réunir dans un club utilisateurs axé sur les retours d’expériences.

    A PROPOS DE KOSMOS
    Créée en 1998 à Nantes, Kosmos est spécialisée dans la mise en œuvre de solutions numériques pour l’éducation : portails web, e-portfolios, ENT, portails de ressources, solutions mobiles… Elle accompagne les acteurs de l’éducation en intervenant autour de quatre métiers : le conseil, l’intégration, l’infogérance et l’édition logicielle.

  • «Ouvrir l’éducation» pour stimuler l’innovation et les compétences numériques dans les écoles et les universités

    «Ouvrir l’éducation» pour stimuler l’innovation et les compétences numériques dans les écoles et les universités

    Pour contribuer au lancement de cette initiative, la Commission a ouvert le 25 septembre dernier un nouveau site web, Open Education Europa, qui permettra aux étudiants, aux professionnels de l’éducation et aux établissements d’enseignement de partager gratuitement des ressources éducatives libres.

    Rapport_comissioneuro_260913Entre 50 et 80 % des élèves des États membres de l’UE n’utilisent jamais de manuels scolaires numériques, de logiciels d’exercices, d’émissions radiodiffusées/de podcasts, ni de jeux de simulation ou didactiques. La plupart des enseignants aux niveaux primaire et secondaire ne se sentent pas à l’aise avec les technologies numériques ni capables d’enseigner des compétences numériques de manière efficace, et 70 % d’entre eux souhaiteraient se former davantage à l’utilisation des TIC.

    Les élèves de Lettonie, de Lituanie et de République tchèque sont le plus susceptibles de disposer d’un accès à Internet à l’école (plus de 90 %), soit deux fois plus que ceux étudiant en Grèce ou en Croatie (environ 45 %).

    L’enseignement supérieur doit également faire face à un défi numérique: le nombre d’étudiants européens étant appelé à croître de manière significative au cours de la prochaine décennie, les universités doivent adapter les méthodes d’apprentissage traditionnelles et offrir un mélange de cours en présentiel et de possibilités d’apprentissage en ligne, tels que les MOOC (Massive Open Online Courses, cours en ligne ouverts et massifs), qui permettent d’accéder à des contenus éducatifs n’importe où, n’importe quand et à partir de n’importe quel équipement. De nombreuses universités ne sont cependant pas prêtes pour ce changement.

    «Ouvrir l’éducation», une initiative conjointe conduite par Mme Androulla Vassiliou, commissaire européenne à l’éducation, à la culture, au multilinguisme et à la jeunesse, et Mme Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission chargée de la stratégie numérique, se concentre sur trois aspects principaux:

    – la création de possibilités d’innovation pour les institutions, les enseignants et les apprenants;
    – l’utilisation accrue des ressources éducatives libres (REL), garantissant que les supports didactiques produits à l’aide de fonds publics soient accessibles à tous;  et
    – l’amélioration de l’infrastructure et de la connectivité des TIC dans les établissements scolaires.

    «Le monde de l’enseignement est en profonde mutation, de l’école primaire à l’université et au-delà: quel que soit l’âge des apprenants, les contenus éducatifs ouverts fondés sur les technologies seront bientôt incontournables et non plus simplement utiles. Nous devons accentuer nos efforts pour faire en sorte que les jeunes, en particulier, soient dotés des compétences numériques dont ils auront besoin pour leur avenir. Il ne suffit pas de comprendre comment utiliser une application ou un programme; nous avons besoin de jeunes capables de créer leurs propres programmes. Le programme «Ouvrir l’éducation» vise à ouvrir les mentalités aux nouvelles méthodes d’apprentissage, de façon à ce que nos citoyens soient plus employables, créatifs, innovants et entreprenants», a déclaré Mme Vassiliou.

    Et Mme Kroes d’ajouter : «Mon rêve est que chaque classe soit passée au numérique d’ici à 2020. L’éducation doit être connectée à la vie réelle; elle ne peut pas évoluer dans un monde parallèle. Les jeunes souhaitent utiliser la technologie numérique dans tous les aspects de leur vie. Ils ont besoin de compétences numériques pour décrocher un emploi. Toutes les écoles et universités, et pas seulement certaines d’entre elles, doivent tenir compte de cette réalité

    Les initiatives en rapport avec le programme «Ouvrir l’éducation» seront financées par Erasmus+, le nouveau programme de l’UE en faveur de l’éducation, la formation, la jeunesse et le sport, Horizon 2020, le nouveau programme en matière de recherche et d’innovation, ainsi que par les Fonds structurels de l’UE.

    Par exemple, Erasmus+ accordera un financement à des prestataires de services éducatifs pour faire en sorte que les modèles commerciaux soient adaptés à l’évolution technologique et pour contribuer à la formation des enseignants au moyen de cours en ligne ouverts. Tous les matériels didactiques financés par Erasmus+ seront mis gratuitement à la disposition du public sous le régime des licences ouvertes.

    Contexte
    Nous vivons dans des sociétés connectées, où un nombre croissant de personnes de tous âges se servent des technologies numériques dans leur vie de tous les jours. Toutefois, pour de nombreux enfants, l’école ne reflète pas cette réalité quotidienne.

    Le monde en ligne est en train de changer la manière dont l’éducation est conçue, dispensée et vécue. Au cours des dix prochaines années, le marché de l’apprentissage en ligne devrait, selon certaines estimations, être multiplié par quinze, atteignant ainsi 30 % de l’ensemble du marché de l’enseignement. Les avantages de ces évolutions devraient être mis à la disposition de tous les Européens.

    Cette transformation devrait être façonnée, plutôt que subie, par les professionnels de l’éducation et les décideurs politiques.

    Une récente enquête sur l’utilisation des TIC à l’école démontre que seul un quart des élèves de neuf ans fréquente une «école avec un équipement numérique performant» –  c’est-à-dire qui dispose d’un équipement récent, d’un accès à haut débit rapide (plus de 10 mbps) et d’une «connectivité» élevée (site web, adresse électronique pour les élèves et les enseignants, réseau local, environnement d’apprentissage virtuel).

    La moitié seulement des élèves de seize ans sont dans un de ces établissements dotés d’un «équipement numérique performant» et 20 % des élèves de l’enseignement secondaire n’ont jamais ou presque utilisé un ordinateur en classe.

    L’importance du programme «Ouvrir l’éducation» sera renforcée par des recommandations qui devraient être publiées l’été prochain par le groupe de haut niveau sur la modernisation de l’enseignement supérieur. Ce groupe, lancé par Mme Vassiliou et présidé par l’ancienne présidente irlandaise, Mme Mary McAleese, examine actuellement comment l’enseignement supérieur peut tirer le meilleur parti des nouveaux modes d’enseignement et d’apprentissage.

    Cette initiative est également liée à la grande coalition en faveur de l’emploi dans le secteur du numérique, un partenariat associant de nombreux acteurs qui s’efforce de remédier à la pénurie de compétences dans le domaine des TIC et de pourvoir aux quelque 900 000 postes vacants dans ce secteur.