Fabien Audat est chargé de mission French Tech pour le SPN, le réseau des professionnels du numérique en ex-Poitou-Charentes. Le réseau, membre du GIS INEFA, a profité du C2E 2016 pour lancer le label French Tech, fraîchement obtenu le 25 juillet dernier à Laval.
Le Cluster a candidaté pour l’obtention du label French Tech avec un projet intitulé « Edutainment », « qui est en fait « l’apprentissage de façon ludique avec la production de nouveaux contenus enrichis et attractifs« , explique Fabien Audat.
Le SPN porte ce projet pour animer l’écosystème régional sur cette thématique avec les agglomérations d’Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers et tous les partenaires du GIS INEFA.
« Une de nos grosses ambitions avec le label, c’est d’accompagner des entreprises qui sont déjà positionnées sur cette filière dans leur développement mais aussi de permettre à toute entreprise du numérique de se positionner sur ces nouveaux marchés en développant des technos en lien avec l’Edutainment« .
Le Label est décerné pour une durée de deux ans. Le SPN l’a obtenu au même titre que 14 autres écosystèmes français, « ce qui veut dire que nous allons pouvoir établir des collaborations à l’échelle nationale et construire de nouveaux plans d’action qui seront favorables au territoire« .
Sans parler de ce que cela apporte en terme de marketing territorial et d’image de marque ainsi que de l’aide consentie par le ministère de l’économie en matière d’outils d’internationalisation des entreprises, « afin de permettre que nos entreprises françaises soient en capacité d’aller chercher des marchés à l’international et si possible dans l’espace francophone« , a souligné Fabien Audat lors de la conférence qui a eu lieu sur le C2E et dont vous retrouverez un extrait dans la vidéo ci-contre.
De par leur activité, les établissements agricoles ont toujours été au fait de l’évolution des pratiques dans la société ; ainsi, le numérique ne fait pas exception à la règle et s’intègre parfaitement au paysage de l’établissement, comme le souligne Corinne Reulet, Directrice de LEGTPA** et proviseur du lycée : « nous avons toujours été sensibilisés aux nouvelles technologies et nous avons la chance d’avoir des personnels dédiés à l’accompagnement des utilisateurs », ce qui facilite l’appropriation.
Lorsque l’ENT LéA a été proposé par la Région, « nous avons tout de suite jugé que c’était une belle opportunité pour aller de l’avant, pour faire évoluer nos pratiques et développer nos relations entre enseignants, jeunes et parents ».
Un lycée très volontariste dans son engagement avec le numérique.
La possibilité d’accéder à des plateformes de ressources via l’ENT LéA a également séduit madame la directrice et, même si les pratiques restent encore marginales, elles tendent à se développer, comme en témoigne Pascal Chaumet, enseignant en biologie-écologie.
J’aime beaucoup utiliser les ressources numériques dont nous disposons dans la médiathèque via l’ENT LéA ; cela me permet d’accrocher les élèves et d’illustrer des notions qui sont parfois un peu théoriques.
Pascal Chaumet utilise notamment les ressources interactives en sciences fournies par Edumedia. Ce jour-là, il nous montre, grâce à une animation, le concept de sélection naturelle.
L’avantage qu’il voit aussi est que les élèves peuvent également accéder à la médiathèque de ressources, à la maison ou à l’internat, avec leur code d’accès à LéA.
Aujourd’hui, c’est principalement le cahier de textes qui est utilisé dans l’ENT LéA ; pour preuves, le cahier de textes version papier a totalement disparu « car j’ai jugé que si nous n’agissions pas de cette manière là, nous risquions de rester à mi-chemin », précise Mme la directrice.
Un cahier de textes numérique bien ancré et de nouvelles pratiques assumées.
Les enseignants ont peu à peu pris de nouvelles habitudes et s’approprient l’outil en organisant leur travail sur LéA, chacun à sa façon.
Pour Guillaume Lapeyre, enseignant en aménagement paysager, le travail sur l’ENT se fait principalement à la maison, surtout quand il s’agit d’assurer sa mission de professeur principal et de vérifier les notes que ses collègues ont déposées dans LéA.
Frédéric Poitout, enseignant en anglais, complète toujours le cahier de textes en classe, en présence de ses élèves. Pour lui, le cahier de textes numérique est un vrai progrès.
« Nous avons longtemps travaillé avec le cahier de textes papier qui se baladait de classe en classe et dans lequel on collait des documents ; donc les cahiers devenaient lourds, peu pratiques et parfois même, disparaissaient ».
Pour lui, l’outil fait partie de son quotidien d’enseignant et est devenu indispensable car il s’y retrouve vraiment pour faire travailler et progresser ses élèves.
Le fait de pouvoir donner les devoirs tout en joignant des documents supports visuels, audio ou audiovisuels est un atout ; quant aux élèves, ils peuvent reprendre les corrections d’exercices faites en classe, à la maison ou à l’internat ou encore produire leur propre document audio et le déposer sur l’ENT, « sans avoir à parler en anglais au sein du groupe classe, ce qui n’était pas toujours évident pour certains ».
Un enjeu de communication entre enseignants et élèves.
La communication qui s’établit aussi avec les élèves est un élément très important pour Frédéric Poitout :
ils savent qu’on pense à eux et qu’on les considère en tant qu’apprenant.
Du côté des usagers comme les parents par exemple, le cahier de textes fera bientôt l’unanimité. Et ils vont, pour certains, au-delà de la simple consultation des notes comme l’illustre Corinne Reulet en racontant une anecdote d’une grand-mère qui voulait aider son petit fils à réviser pour un devoir et qui interrogeait Madame la proviseure lors du dernier conseil de classe, sur la manière de procéder pour récupérer des éléments sur l’ENT.
« Pour moi, c’est un vrai progrès », conclut Corinne Reulet.
*Etablissement Public Local d’Enseignement et de Formation Professionnelle Agricole ** Lycée d’Enseignement général, technologique et Agricole
« Les collectivités ont beaucoup investi à la fois sur les réseaux, les équipements et les matériels ; et dans l’esprit des élus, nous avons toujours considéré que c’était un investissement ».
Les élus pensaient qu’une fois les investissements réalisés, comme cela a été le cas pour les routes ou pour le rail, l’opération serait terminée.
Or, on se rend compte très vite que nous ne sommes pas sur de l’investissement mais sur des budgets de fonctionnement.
En effet, le parc de machines nécessite un renouvellement à minima tous les cinq ans et que le budget de fonctionnement ne cesse de croître. Christophe Ramblière avait imaginé qu’au fil des années, les tarifs des matériels baisseraient mais en réalité, « le prix reste le même puisque le matériel augmente en compétences ».
Nous sommes aujourd’hui sur des demandes de budget des lycées qui sont trois fois supérieur à nos possibilités de financement.
Pourtant, le numérique interroge sur des sujets récurrents comme le poids du cartable qui pourrait être remplacé par une tablette ou encore que les élèves puissent utiliser leur appareil connecté personnel en classe…
A ce stade, la collectivité et l’éducation nationale doivent travailler de concert.
« Nous ne pouvons plus dissocier les deux ; que l’Education Nationale travaille d’un côté et que les collectivités investissent sans connaître les usages ».
Christophe Ramblière voit dans les ressources numériques, un frein évident au développement des usages et
les enseignants qui utilisent le numérique aujourd’hui sont ceux qui ont vraiment envie, donc il faut simplifier.
En ce sens, il n’accuse personne mais pointe néanmoins le sujet délicat des éditeurs qu’il juge encore « frileux » à passer au numérique.
Pas obligatoirement persuadé que le numérique va révolutionner l’enseignement, même si certaines études prouvent qu’il peut aider à réduire l’échec scolaire, Christophe Ramblière admet néanmoins que « si on parvenait déjà à avoir des ouvrages interactifs, des sacs moins lourds, une tablette par élève avec l’ensemble des données de cours… et si, en plus, on fait du collaboratif, on limite l’échec scolaire et on réduit les dépenses publiques, ce sera déjà tout gagné » !
Le BYOD, ou « amenez votre propre appareil connecté en classe », est une des réflexions que la région Poitou-Charentes souhaite mener, « même si la mise en application n’est pas pour maintenant », précise t-il.
« Ensuite, nous verrons pour les préconisations dans chaque établissement ». Demander d’avoir tel ou tel appareil connecté « comme on demande aux élèves d’avoir tel ou tel cahier », tout simplement.
Sur la question de la capacité financière de chaque famille à pouvoir fournir un outil informatique, la collectivité pourra tout à fait aider celles qui en ont le plus besoin. D’après lui, ce n’est donc pas un argument de contestation qui puisse être recevable.
Mettre en présence tous les acteurs de l’e-éducation : c’est l’enjeu que Christophe Ramblière insuffle pour pouvoir « booster » le numérique dans les établissements et envisager de nouveaux investissements, peut-être mieux réfléchis. Pour cela, le groupement d’intérêt scientifique a été créé ; il allie des chercheurs et plusieurs acteurs de la région comme le réseau Canopé, le CNAM, le CNED etc.
Le groupement d’intérêt scientifique va faire travailler conjointement tous ces acteurs afin d’obtenir des ouvrages numériques éducatifs pour l’ensemble de notre région et peut-être demain pour la Grande Région, conclut Christophe Ramblière.
Frédéric Rolland Porché, président d’Equilibre Games, un studio de jeux vidéos (création, développement et formation sur le logiciel Unity) basé à Angoulême, est venu présenté ce qu’il entend par « lesnouvelles formes de collaboration ».
Il s’est notamment associé à deux autres sociétés, « Studio Nyx » (jeux vidéos) et « Depuis 1977 » (webdesign) pour créer « La Flotille », pour travailler sur le projet lié à l’Hermione.
Il est aussi à l’origine des UUGA (Unity User Group Angoulême) dont le premier a eu lieu en juillet 2013.
Le UUGA est une soirée où on vient discuter d’un sujet autour des jeux vidéos.
Au départ, ces soirées avaient pour but de parler de « Unity » qui est un logiciel de création de jeu vidéo, « puis on a vite élargi à autre chose ».
Angoulême est une ville qui abrite de nombreux studios de jeux vidéos et certains d’entre eux n’utilisent pas le logiciel Unity « donc il était intéressant de s’ouvrir à d’autres sujets ».
Les sociétés peuvent choisir un sujet qu’ils souhaitent présenter lors de ces UUGA ; par exemple, la société OUAT Entertainement a proposé « les campagnes marketing sur Facebook » et Game Audio Factory « la sonorisation dans les jeux ».
Les UUGA ont eu un rayonnement géographique positif puisque des sociétés hors Poitou-Charentes sont venues faire des présentations (Auvergne, Rhône-Alpes etc).
Au-delà des présentations, les rencontres qui ont lieu après sont tout aussi importants et permettent les échanges de cartes de visites ou de « trucs & astuces », ce qui fait sens à la volonté de collaborer.
Ce sont des rencontres informelles, pas trop carrées ; c’est ce qui en fait aussi leur richesse.
Le dernier UUGA qui a eu lieu portait sur le thème du « game design cognitif » ; l’intérêt a été de faire participer en donnant un exercice de pratique sur la présentation qui venait d’être suivie par tous.
C’est vers ce type d’événement UUGA que Frédéric Rolland-Porché souhaite se diriger car cela rend tout le monde actif.
Avec Alexandre Jubien, fondateur de ThinkMobile, vous pouvez découvrir ce qu’est le Hackathon ou encore le Marshmallow Challenge.
« Ce sont surtout des synergies humaines qui font que quelque chose va réussir ». Dans son activité, il tente d’apprendre à replacer l’être humain au centre pour collaborer en équipe, avec ses partenaires ou avec ses utilisateurs.
[callout]Le jeu propose une exploration de L’Hermione en 3D complète. Le joueur rencontre les personnages sur la frégate et doit aider le Marquis de Lafayette dans sa quête. Il doit également résoudre des épreuves de chronologie, de géographie et de philosophie. Chaque épreuve est ponctuée par une récompense et du contenu pédagogique. L’élaboration du contenu délivré dans l’application a été l’objet d’une collaboration entre les développeurs du jeu et des enseignants.[/callout]
L’appel à projet régional
En juillet 2014 le Conseil Régional de Poitou-Charentes a lancé un appel à projet pour le développement d’application numériques à visée éducative autour du voyage de L’Hermione en 2015. L’appel à projet a été remporté par un consortium de trois entreprises, Studio Nyx (développement de jeu vidéo), Equilibre Games (développement de jeu vidéo) et Depuis 1977 (design graphique et communication), appelé la Flottille Numérique
La proposition du consortium est un bouquet de produits, certains gratuits, d’autres payants, réalisés en un temps record pour accompagner la traversée de l’Atlantique par L’Hermione.
Une quinzaine de personnes ont étés impliquées, au sein des équipes des trois sociétés, à la réalisation des produits de La Flottille Numérique.
Le projet L’Hermione
L’Hermione est un projet de grande envergure en deux parties :
› La reconstruction à l’identique d’une frégate de combat du XVIIIème siècle, le navire qui a transporté le Marquis de Lafayette pour son deuxième voyage aux Etats-Unis, pendant la Révolution d’Indépendance.
› Le voyage de L’Hermione vers les Etats-Unis, avec un départ le 18 avril 2015, et des escales le long de la côté atlantique américaine.
La reconstruction de L’Hermione sur le site de l’arsenal royal de Rochefort (Charente Maritime) a duré 17 ans. Le chantier, ouvert au public, a été visité par plus de quatre millions de personne, et a donné à la ville de Rochefort un fort regain d’activité touristique, artisanale, et de recherche scientifique. Le projet a été financé sur fonds privés et publics.
L’équipage de L’Hermione est composé de quelques marins chevronnés, mais aussi de volontaires de 19 à 50 ans ayant décidé de vivre une aventure unique. Ils sont sous la responsabilité du commandant Yann Cariou, qui a précédemment commandé le Belem.
Le jeu vidéo L’Hermione, la Traversée des Lumières
L’Hermione, La Traversée des Lumières est un jeu vidéo éducatif réalisé par le consortium La Flottille Numérique.
Le jeu propose une exploration de L’Hermione en 3D complète. Le joueur rencontre les personnages sur la frégate et doit aider le Marquis de Lafayette dans sa quête. Il doit également résoudre des épreuves de chronologie, de géographie et de philosophie. Chaque épreuve est ponctuée par une récompense et du contenu pédagogique. Les sujets traités sont le Siècle des Lumières, la Révolution Américaine, et l’implication décisive de la France dans l’Indépendance des Etats-Unis.
Réseau Canopé : L’Hermione, un Voyage pour l’Histoire
A l’occasion de la traversée de L’Hermione, le Réseau Canopé a mis en place sur son écosystème digital un espace dédié : L’Hermione, un Voyage pour l’Histoire. Les enseignants, élèves et parents sont invités à découvrir tout un ensemble de séquences pédagogiques originales et transdisciplinaires sur la thématique de L’Hermione.
Les ressources pédagogiques ont été développées en lien avec les produits de la Flottille Numérique. Elles visent à accompagner les nouveaux usages numériques en montrant comment utiliser un jeu sérieux en classe.
Plus d’infos : Le jeu L’Hermione, la Traversée des Lumières est disponible sur trois plates-formes.
PC : Sur le Windows Store, l’Amazon Store, ou directement sur le site de la Flottille Numérique. iPad : sur l’App Store Tablettes Android : sur le Google Play Store
« Territoires connectés » : cela évoque à Jean-François Macaire le rôle très important de la Région quant à la mise en place des réseaux de manière égalitaire sur le territoire.
Une notion d’égalité qui lui est chère, notamment pour l’accès à l’éducation, action qu’il poursuit dans les pas de sa prédécesseur, Ségolène Royal.
Dans le numérique, il voit des opportunités nouvelles et c’est une réelle volonté de la Région que d’approfondir le sujet : « est-il possible d’accéder, avec les technologies numériques, à une éducation plus individualisée qui permettrait enfin d’arriver à l’égalité des chances » ?
La Région attend beaucoup du monde universitaire en ce sens pour pouvoir faire émerger des procédures pédagogiques nouvelles. De même, le travail des chercheurs lui parait essentiel pour mettre en lumière les résultats d’usages numériques ; un recul qu’il est nécessaire de prendre pour pouvoir réaliser des investissements en cohérence avec les attentes des enseignants.
Investir face à l’enjeu du numérique ; voici aussi une des préoccupations de Christophe Ramblière. Sur la question du très haut débit, il est franc avec nous : cela ne fait pas partie des exigences premières du citoyen de Poitou-Charentes à l’heure actuelle, dont les demandes s’orienteraient davantage vers des nouvelles routes, autoroutes, une amélioration du réseau ferré ou encore davantage de sécurité.
D’après les retours qu’il en a, l’enseignant se contenterait même de ce qu’il a comme débit sans faire de demandes particulières.
Par contre, il reconnaît aussi que « plus il y a de débit, plus il y a d’usages et plus on crée de nouveaux services pour les enseignants ».
Le rôle de l’élu est bien de faire de la prospective et « nous sommes bien conscients que les besoins en débit vont et ont doublé depuis 10 ans».
Une anticipation nécessaire car il faut bien une réflexion globale d’aménagement du territoire, « afin de ne pas créer de rupture entre le monde rural et le monde urbain, par exemple ». Christophe Ramblière rejoint dans ces propos la notion d’égalité, précédemment évoquée par son Président.
Mais une anticipation qui reste délicate car « s’engager dans une démarche très haut débit du territoire demande beaucoup de volonté de la part des élus car il faut débloquer des moyens importants ».
et il ajoute que « lorsque la demande sociale n’est pas très marquée, le choix politique n’est pas facile à faire ».
Plus d’infos : le site du Campus européen de l’Univerisité de Poitiers ici
crédit photo : Manolo Guizar
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