Étiquette : livres numeriques

  • Des livres numériques pour les moins de 3 ans

    Des livres numériques pour les moins de 3 ans

    Concevoir et utiliser des livres numériques en classe passerelle (moins de 3 ans) pour pallier les diffcultés liées à la barrière de la langue, favoriser le langage, susciter l’intérêt des enfants pour la littérature de jeunesse et faciliter l’accès au sens et associer les familles : voici tout l’enjeu que s’est fixé Stéphanie Huguenotte, professeur des écoles en classe passerelle à Mulhouse.

    Elle a répondu à nos questions sur les NetJournées et a bien voulu partager, avec vous, une de ses réalisations avec les familles.

     

    Toute la démarche de Stéphanie dans l’interview ci-dessus.

     

    Retrouvez tous les articles et interviews en vidéo sur notre lien dédié NetJournées 2017.

  • Convertir vos documents PDF en livres numériques animés avec un logiciel!

    Convertir vos documents PDF en livres numériques animés avec un logiciel!

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    Flip PDF Pro est un logiciel de flipbook qui ne peut pas être ignoré dans l’enseignement moderne. Ils aident les professeurs à présenter les matériaux scolaires avec l’effet plus vivant et interactif, en convertissant leurs documents statiques PDF en livres numériques animés.

    Flipbuilder_020315Les publications sont aisées à partager sur les réseaux sociaux, insérées dans les sites, uploadées vers le Cloud. Les étudiants peuvent les lire en ligne ou hors ligne avec n’importe quel appareil (PC, iPad, iPhone et d’autres tablettes et téléphones Android).

    Plus d’infos :
    deux démos animés à voir ici et là 
    Le site web en français: http://flipbuilder.fr/

  • Lire sur un appareil numérique rend-il moins attentif ?

    Lire sur un appareil numérique rend-il moins attentif ?

    infobourg_dLeblanc_291014Beaucoup d’élèves utilisent des appareils numériques, comme des tablettes, pour lire dans un cadre scolaire. Or, une récente étude, dont le résumé a été publié dans le quotidien britannique The Guardian en août dernier, indique que les lecteurs ont davantage de difficulté à se remémorer une histoire, notamment les principaux éléments de son déroulement, lorsqu’ils l’ont lue à l’écran.

    S’étant déroulée en Norvège sous la supervision de la professeure Anne Mangen, l’étude en question a comparé la capacité d’élèves de 10e année (4e secondaire) à se remémorer certains éléments d’une courte histoire.

    Le premier groupe l’a lue en version papier, tandis que le second l’a lue en version numérique sur un appareil Kindle. Le livre comptait 28 pages. Par la suite, les deux groupes ont été évalués sur leur capacité à se rappeler les informations lues. Des questions portaient par exemple sur les objets ou les personnages de l’histoire. D’autres questions visaient à évaluer leur capacité à replacer les éléments du scénario en ordre.

    Les résultats indiquent que les élèves formant le groupe ayant lu l’histoire sur l’appareil Kindle ont moins bien performé à se remémorer certaines informations que ceux du groupe ayant lu l’histoire en format papier. Les lecteurs du premier groupe auraient notamment eu beaucoup plus de difficulté à remettre en ordre divers éléments du schéma narratif.

    La professeure Mangen, rattachée à l’Université de Stavanger, émet l’hypothèse que le sens du toucher pourrait en partie expliquer cet écart. Selon elle, le fait de tenir un document volumineux en format papier dans ses mains lors de la lecture permet de mieux se l’approprier, notamment car le toucher permettrait de sentir la progression du déroulement de l’histoire, et ce, en voyant les pages défiler sous ses doigts en les sentant passer de la droite à la gauche. Cela permettrait aux lecteurs de mieux associer des périodes du déroulement de l’histoire avec certaines textualités (au milieu du livre, vers les dernières pages, etc.) et, au final, mieux se l’approprier et mieux s’en souvenir.

    Les travaux de Mangen soulèvent des points intéressants.

    Si les appareils numériques sont sans contredit utiles pour différents scénarios pédagogiques, ils ne seraient par contre peut-être pas les plus appropriés pour effectuer des lectures prolongées et soutenues.

    Auteur : Dominic Leblanc, sur infobourg.com

    À propos de l’auteur Dominic Leblanc
    Diplômé en sociologie, Dominic Leblanc est conseiller pédagogique au Service des programmes et du développement pédagogique du Cégep régional de Lanaudière à L’Assomption.

  • Influence du logiciel libre dans l’histoire du jeu vidéo

    Influence du logiciel libre dans l’histoire du jeu vidéo

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    A travers un chapitre d’ouvrage, nous vous proposons d’étudier trois périodes particulières de l’histoire du jeu vidéo afin d’y déceler l’influence, plus ou moins marquée, de la philosophie du Libre :

     

     

     

    • Les débuts de l’histoire du jeu vidéo, où l’on verra que cette industrie aujourd’hui florissante doit indirectement sa naissance au logiciel libre, ou tout du moins à sa philosophie.

    • La pratique du « modding« , qui consiste à « libérer » partiellement des jeux vidéo commerciaux tout en conservant une rentabilité économique certaine.

    • La création amateur de jeu vidéo, elle aussi profondément marquée par l’open-source à ses débuts, et qui tente aujourd’hui de renouer avec ses racines par le biais du « Jeu 2.0 ».

     

    Intitulé « Influence du Libre dans l’histoire du jeu vidéo« , ce chapitre est publié dans l’ouvrage « Histoires et cultures du Libre. Des logiciels partagés aux licences échangées » , dirigé par Camille Paloque-Berges et Christophe Masutti, aux éditions Framabook. Cet ouvrage est téléchargeable gratuitement sur son site officiel, ou ici en lien direct au format PDF (14mo).

    Pour ceux qui en préfèrent une version papier, vous pouvez en également acheter un exemplaire sur EnVentelibre.

    Au delà du chapitre sur le jeu vidéo, vous trouverez dans les quelques 600 pages de cet ouvrage une véritable mine d’or sur l’histoire et la culture du Libre, au sens large. Si vous vous posez des questions sur l’origine historique du logiciel libre et des licences libres, sur le fonctionnement de ses modèles économiques, ou encore que vous souhaitez en savoir plus sur la naissance de Wikipedia ou de Firefox, ce livre est fait pour vous !

    Un livre gratuit ? non, un livre Libre !

    Un petit mot pour terminer sur le projet Framabook, dont la devise est « le pari du livre libre ». Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet éditeur est un projet de l’association Framasoft, ardent défenseur francophone du logiciel Libre. Framabook ne se contente donc pas d’éditer des ouvrages qui sont téléchargeables gratuitement (et légalement) sur Internet. Il publie des ouvrages qui sont tous régis par des licences dites « libres » (en l’occurence la licence « Creative Commons By-2.0 »), ce qui vous donne concrètement le droit de partager, remixer, ou même d’utiliser le contenu de cet ouvrage à des fins commerciales, tant que vous en citez les auteurs originaux.

    Dans un univers où la dématérialisation des contenus rime souvent avec « verrous numériques« , ce genre d’initiative est plus que bienvenue. Si vous avez apprécié cet ouvrage, n’hésitez donc pas à soutenir le projet, par exemple en achetant un exemplaire « papier » de l’ouvrage, ou encore en faisant un don à l’association Framasoft.

  • Quand des milliers de livres scolaires papier deviennent interactifs

    Cette solution permet de numériser des livres scolaires par milliers et de les publier sur tous les supports mobiles existants (Android, iOS, Windows 8, web, etc.). Elle rend par ailleurs les livres pleinement interactifs. Ainsi, l’ebook peut suggérer à un élève qui s’entraîne sur une tablette de répondre à d’autres exercices en fonction de ses résultats. Le livre scolaire est devenu véritablement personnalisable.

    Les éditeurs sont ainsi confrontés à une tâche d’ampleur considérable: numériser les quantités industrielles de livres qui constituent leur catalogue, tout en conservant la maîtrise du flux de production et des coûts associés. « Nous apportons une réponse à ce défi, cette réponse s’appelle MyEbookFactory » déclare François-Xavier Hussherr, CEO. Aucune solution n’existe à ce jour pour permettre l’industrialisation de la production pour des quantités massives de livres.

    Des entreprises comme Inkling, ou encore des logiciels comme IBooksAuthor permettent le développement d’ap, mais ces solutions ne font pas de la quantité de livre numérisable et de l’interopérabilité (iOS, Android, Windows 8) leur priorité.

    « MyEbookFactory est une solution à vocation industrielle qui permet de numériser plus de 1000 livres scolaires par mois (et 10 000 livres par mois d’ici deux ans), simultanément sur tous les supports ; et cela tout en développant un ensemble de fonctionnalités interactives autour du contenu. Il n’est plus besoin de mener des développements spécifiques pour chaque terminal : l’éditeur gagne du temps, économise de l’argent et internalise sa production digitale », précise le fondateur de l’entreprise.

    En partant du PDF imprimeur, MyEbookFactory structure informatiquement le contenu (XML), le stocke en base de données, permet à l’éditeur d’ajouter tous types d’enrichissements et l’exporte enfin vers tous les terminaux existants en quelques heures seulement.

    C’est la 1ère solution au monde qui permet aux éditeurs de pouvoir enfin numériser en interne leur fonds de milliers de textbooks, en gagnant en interactivité : « La véritable révolution numérique c’est que le livre commence tout juste à vivre une fois publié. Les livres publiés par MyEbookFactory peuvent se connecter à des bases de données appartenant à l’éditeur. Sur ces ebook, il est possible de faire des exercices interactifs et adaptatifs, d’annoter le contenu, et de l’enrichir », ajoute le CEO.

    Plusieurs indices, notamment la diminution du coût des tablettes, conduisent les acteurs de l’éducation à anticiper le remplacement imminent du manuel papier par le livre numérique.

    On sait qu’en 2015, la Corée du Sud aura définitivement abandonné les livres papier. Le Brésil compte acheter cette année 600 000 tablettes pour équiper tous les professeurs du pays. En Thaïlande, tous les élèves en première année de primaire et de secondaire vont recevoir une « tablet low cost« , soit 1,7 millions d’enfants. Au Chili, 1,2 millions de lycéens révisent déjà leur bac sur Internet ou sur téléphone mobile. Par ailleurs, on sait que le poids des cartables continue d’alarmer les parents, les gouvernements cherchent à diminuer leurs dépenses, le papier est onéreux.

    Le livre scolaire numérique personnalisable a donc de beaux jours devant lui.

  • Feedbooks, première plateforme indépendante de téléchargement de livres, renforce sa stratégie éditoriale

    Depuis sa création, la spécificité de Feedbooks est d’offrir un service de publication et distribution en ligne indépendant, connecté à un large écosystème de systèmes de lecture et de réseaux sociaux, sans recours aux formats propriétaires. Feedbooks est ainsi le premier libraire numérique à supporter dès 2007, le format EPUB, spécialement conçus pour les liseuses, aujourd’hui largement considéré comme étant le standard industriel pour le format des livres électroniques.

    Egalement pionniers dans le développement du livre numérique sur smartphone grâce à la création du protocole OPDS et des partenariats avec Stanza et Aldiko, Feedbooks distribue près des deux tiers de ses titres sur iPhone et Android. Feedbooks est pré-chargé dans plus de 20 applications, ce qui lui permet de toucher une base d’une dizaine de millions d’utilisateurs.

    Grâce à ce 1er tour de financement, Feedbooks compte poursuivre son développement et consolider son avance, principalement en renforçant ses équipes de libraires numériques, en charge d’assurer des sélections, de favoriser les découvertes et d’enrichir l’expérience des lecteurs. Ils couvriront les langues allemande, italienne, et espagnole.

    Feedbooks a été créé en juillet 2007 par Hadrien Gardeur et Loïc Roussel, deux ingénieurs passionnés par le domaine de la culture. Leur projet a remporté les concours OSEO en 2007 & 2008, ainsi que le Grand Prix « Internet et Services » du Tremplin Entreprise 2010 au Sénat.

    «Feedbooks mise essentiellement sur la qualité de son offre et l’extension de son service à de nouvelles langues/pays, afin de gagner de nouvelles parts de marché», déclare Loïc ROUSSEL, co-fondateur et président de FEEDBOOKS. «Afin de donner du sens à un catalogue numérique de plus en plus vaste, Feedbooks privilégie une approche basée sur le travail du libraire : l’ouverture et la classification du catalogue ainsi que la création de contenus comme des interviews d’auteurs, des recommandations ou les échanges avec les lecteurs».

    «Le marché du livre papier représente environ 70 milliards de dollars, soit six fois celui de la musique. La migration vers le livre numérique a commencé et prend de l’ampleur. Aux Etats-Unis, les ventes d’e-books ont connus en 2010 une hausse de 163% atteignant 600 millions d’euros», déclare Jean Michel Pimont, Directeur Associé chez A Plus Finance.

    «Nous sommes ravis de voir une jeune entreprise française faire jeu égal avec les géants du secteur informatique en privilégiant une approche qualitative de véritable libraire numérique. Fort de leur expérience, de leur expertise technologique et d’une base de plusieurs dizaines de millions d’utilisateurs dans le monde entier, nous sommes très confiants dans le développement et le potentiel de Feedbooks dans les années à venir».

    «Sans faire de bruit, ni faire parler d’elle jusqu’à aujourd’hui, Feedbooks peut se targuer :
    1/ d’être à l’origine d’une technologie innovante de distribution de livres électroniques, le protocole OPDS qui s’est imposée mondialement,
    2/ D’en animer le consortium,
    3/ d’opérer une plateforme de téléchargement de livres numériques qui dépasse les 3,5 millions de téléchargements de livres numériques chaque mois,
    4/ d’avoir une clientèle internationale avec plus des trois quarts de ses utilisateurs hors de France
    » déclare Christophe Chausson, Fondateur et Directeur de Chausson Finance.

  • livre numérique : un regard sur l’histoire de la bande dessinée.

    livre numérique : un regard sur l’histoire de la bande dessinée.

    A l’occasion de l’exposition Art Spiegelman, le musée privé, la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image et la société Néolibris s’associent pour éditer un livre numérique exceptionnel au format ePub.

    Le musée privé d’Art Spiegelman est un essai 100 % numérique sur l’histoire et l’esthétique de la bande dessinée.

Ce texte, inédit en France, est la synthèse des réflexions et considérations d’Art Spiegelman qui a participé, depuis trente ans, à de nombreuses conférences sur la bande dessinée à la San Francisco Academy of Art et à la School of Visual Arts de New York, ainsi que dans des colloques et symposiums, pour rendre hommage au patrimoine du Neuvième Art auquel il a, avec constance, montré son attachement dans son œuvre elle-même.

Cet essai est précédé d’un avant-propos et illustré par :
    – des fac-similés de 15 planches originales d’artistes admirés par l’auteur de Maus, présentées dans l’exposition ;
    – quatre interviews vidéo inédites d’Art Spiegelman (sous-titrées en français) sur quelques auteurs admirés : Rodolphe Töpffer, Richard Outcault, Chester Gould, Harold Gray, Harvey Kurtzman, Justin Green.

    Deux versions sont disponibles : en français et en anglais.

    Dans chaque langue, deux versions éditoriales :
    – pour liseuses (texte, illustrations noir et blanc)
    – pour iPad et iPhone (texte, illustrations en couleur et ajout d’extraits vidéo)

    Ces ouvrages sont disponibles en téléchargement sur iBookstore, Fnac et Amazon.

    Exposition : « Art Spiegelman : le musée privée »

    Cet ouvrage accompagne l’exposition Art Spiegelman : le musée privé qui rencontre un vif succès et qui se tient à Angoulême jusqu’au 6 mai 2012 : l’auteur de Maus a fouillé dans les fonds d’originaux et d’imprimés de la Cité de la bande dessinée, sollicité de prestigieuses collections américaines, afin d’installer au musée de la bande dessinée son propre « musée privé de l’histoire et de l’accomplissement de la bande dessinée », en toute subjectivité.

  • Une nouvelle liseuse électronique

    PocketBook présente sa nouvelle liseuse électronique E-Ink 611 Basic. Légère et compacte, avec un design minimaliste et une connexion Wi-Fi, elle offre toutes les conditions pour une lecture et des téléchargements simples.

    Cet appareil compact et multifonctionnel séduit par son design minimaliste et son prix abordable. Intégrant une connectique Wi-Fi et toutes les fonctionnalités basiques, il  offre une lecture simple et confortable, et la possibilité de télécharger de nouveaux livres à tout moment, dès que l’endroit propose une connexion Wi-Fi.

    Un design simple pour une lecture confortable
    Avec son écran de 6 pouces, ses 175 g et ses 122,6 x 176,38 x 9,7 mm,PocketBook 611 Basic est le modèle le plus fin et le plus léger de la gamme de liseuses électroniques PocketBook.

    Parce que la première prise en main d’une liseuse est déterminante, le modèlePocketBook 611 Basic offre une approche très agréable grâce à sa coque en plastique et à sa forme qui épaissit légèrement vers le bas pour plus de confort.

    Ergonomique, l’appareil tient aisément dans les mains, en laissant un libre accès à toutes les touches de contrôle.

    Idéal pour les amateurs de littérature et pour les débutants, l’appareil a été conçu pour devenir le compagnon idéal pour une lecture facile, confortable et de manière intuitive.

    Toutes les fonctionnalités basiques et module Wi-Fi intégré

    Comme son nom le suggère, le PocketBook Basic 611 inclut toutes les fonctionnalités principales d’une liseuse nécessaires à une lecture confortable : un logiciel multifonctionnel, la technologie E-Ink, la compatibilité avec de multiples formats, une excellente rapidité et un contrôle aisé.

    • 20 dictionnaires ABBYY Lingvo préinstallés sont disponibles pour traduire, par exemple, de l’anglais au français.
    • 1 000 livres gratuits sont déjà pré chargés sur la liseusePocketBook 611 Basic
    • L’appareil est équipé d’un navigateur web  et son autonomie est de 8 000 pages tournées.
  • La Souris Qui Raconte enfin sur l’AppStore

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    «Antiproblemus veut sauver la Terre» est donc le premier livre numérique d’une liste de 18 titres à être présent sur l’AppStore. La particularité de ce livre application est de se présenter exactement comme son homologue en ligne.

    Tous les éléments sonores, illustratifs, interactifs ont été recréés et composent ainsi un livre-machine, adapté aux nouvelles interfaces de lecture. Une prouesse technique lorsque l’on sait que tous les livres enrichis de « La Souris Qui Raconte » sont au format Flash, et que ce format n’est pas accepté sur la tablette Apple.

    A découvrir sans plus attendre dans tous les AppStore de la Galaxie !

    Rappel : Aujourd’hui, ce sont 18 livres numériques inédits (enrichis d’illustrations animées et interactives, sonorisés et lus par un conteur) à lire en ligne, dans 4 collections différentes :

    Histoires à lire
    Histoires à jouer
    Histoires à inventer
    Histoires d’écoles

    «Antiproblemus veut sauver la Terre» ouvre la voie d’une lecture multi support et multi format répondant ainsi aux nouveaux usages de lecture des «Digital Natives».

    Plus d’infos : la souris qui raconte en ligne