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  • Génération Z : pas si « réseaux sociaux » que ça…

    Génération Z : pas si « réseaux sociaux » que ça…

    Comment communiquent vraiment ces jeunes nés à partir de 1995 ? Quelles applications privilégient-ils ? Pour quels usages ? Avec qui ? Découvrez les révélations de l’étude Parole aux Jeunes « Génération Z : réseaux sociaux et communication », menée auprès de 3708 jeunes, par la première plateforme d’orientation en ligne, diplomeo.com.

    Véritable partenaire des jeunes, diplomeo.com a souhaité en savoir plus sur les habitudes et préférences de la génération Z sur leur smartphone grâce à une enquête inédite. 3708 jeunes ont dévoilé leurs habitudes… jusqu’aux plus insolites.

    Découvrez, entre autres, les réponses aux questions suivantes :
    => Quel est le réseau social préféré des 16-22 ans ?
    => Sur quels réseaux sociaux les jeunes communiquent-ils avec leurs parents ?
    => Les jeunes, plutôt écrit ou image ?
    => Filtre ou sans filtre ?
    => Les Z, tous futurs influenceurs ?

    Snapchat : passionnément… à la folie !

    Snapchat prend la tête du podium des réseaux préférés des jeunes de la génération Z, Facebook se hissant à la deuxième position, juste devant Youtube. Les Z aiment échanger sur les réseaux sociaux…et en priorité sur Snapchat ! 51% d’entre eux préfèrent Snapchat pour le partage de photos, et 56% favorisent le « fantôme jaune » pour l’envoi de vidéos. 3 jeunes sur 4 interrogés privilégient Snapchat pour la publication de stories… laissant Instagram sur le côté, emportant seulement 8% des préférences des jeunes.

    Les parents, alliés 2.0 des jeunes

    Qui a dit que les jeunes snobaient leurs parents sur les réseaux sociaux ?

    Non, les ados et jeunes étudiants ne veulent pas écarter leurs parents de leur sphère numérique.

    Alors que 77% des interrogés confient que leurs parents sont inscrits sur des réseaux sociaux, près de la moitié d’entre eux disent communiquer avec eux par ce biais ! 47% de ces sondés le font via Facebook (Messenger), 28% par Whatsapp et 22% par Snapchat ! Et pas question de mal considérer les adultes de leur famille : seulement 21% des jeunes interrogés disent avoir déjà jugé une publication de leurs parents gênante ou bien un peu honteuse ! Stop aux clichés : les Z sont ultra connectés, mais surtout ultra ouverts et décontractés !

    L’écriture, plus utilisée que les images

    Les Z affectionnent l’image, certes, mais ils ne sont pas pour autant allergiques au texte, bien au contraire ! En effet, 68% des jeunes interrogés utilisent très souvent le texte et seulement 22% font très souvent usage de l’image pour communiquer avec leurs amis. 46% des sondés appellent très souvent leurs parents et 42% leur envoient très souvent des messages. Seulement 6% des Z disent avoir recours très souvent à la vidéo pour correspondre avec leurs amis et 59% d’entre eux ne communiquent jamais via la vidéo avec leurs parents. C’est à se demander si les réseaux sociaux sont réellement essentiels aux Z dont 58% privilégient les SMS pour communiquer par écrit !

    Entre filtre, assiette et influence

    Pas de génération Z sans partage… Mais de ce côté-là, il semblerait qu’il y ait deux écoles !

    Non, les jeunes ne veulent pas tous maquiller leur image : pour le partage de photos, plus d’un jeune sur deux n’utilise pas de filtre. Ce sont les filles qui en usent le plus, à 61%, contre seulement 35% chez les garçons. Du côté du type de publications, plus de 3 filles sur 5 ont déjà publié une photo de leur assiette sur un réseau social, contre moins d’un garçon sur deux ! Et si les Z voient quelque chose d’insolite, 54% ont pour premier réflexe de le partager ! Les réseaux sociaux sont un moyen de communiquer pour les Z mais aussi de gagner en notoriété pour 1 jeune sur 5.
    De là à les considérer accro, il y a un monde…

    Toute l’infographie et résultats d’enquête disponibles ici : diplomeo.com

  • Les jeunes français de 12 à 25 ans et l’écriture manuscrite

    Les jeunes français de 12 à 25 ans et l’écriture manuscrite

    Une étude exclusive Ifop / Oxford révèle que les jeunes Français de 12 à 25 ans sont attachés à l’écriture manuscrite.

    L’étude Ifop / Oxford réalisée à l’occasion de la rentrée des classes nous enseigne que les jeunes Français sont attachés à l’écriture manuscrite. Jugée irremplaçable et créditée de nombreuses vertues, elle cohabite avec l’écriture sur clavier qui répond plutôt à des besoins pratiques.

    En France, l’école s’engage actuellement dans la voie des équipements numériques d’ici 2018, tandis que les États-Unis et la Finlande renoncent progressivement à l’apprentissage de l’écriture cursive au profit de l’écriture scripte et de la maîtrise du clavier. Pourtant, certains états américains comme la Louisiane et l’Arkansas font marche arrière et l’ont réintégrée dans les programmes scolaires. Cette étude montre que l’écriture a de beaux jours devant elle et reste une valeur forte de notre jeunesse !

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    Source : étude Ifop / Oxford

    Elle a été menée auprès d’un échantillon de 1004 personnes représentatif de la population française
    âgée de 12 à 25 ans du 4 au 7 juillet 2016. Méthode des quotas.

    Retrouvez aussi notre interview de Jean-Luc Velay, spécialiste de ces questions d’écriture manuscrite et numérique.

  • Les écrans, les jeunes et leur sommeil : un projet d’éducation aux usages numériques, par les pairs

    Les écrans, les jeunes et leur sommeil : un projet d’éducation aux usages numériques, par les pairs

    « Les 8-13 ans, les écrans et le sommeil », une enquête réalisée en décembre 2015 par la classe de 1ère STMG de Jeanne d’Arc à Colombes, auprès de 626 élèves du CE2 à la 4ème. Les 1ères étaient encadrés par Alexandra Audibert, professeur de management et Eric Andrade, expert en éducation numérique, en partenariat avec le Réseau Morphée (réseau de santé spécialiste du sommeil) et e-Enfance (sensibilisation des jeunes aux bons usages d’Internet).

    Les objectifs : prévention, éducation aux écrans, éducation par les pairs, usages numériques pédagogiques, initiation à la gestion de projet.

    Ce projet d’enquête et de sensibilisation à l’impact des écrans sur le sommeil , portés par deux chefs d’établissements, Mme Sylvie Chassang et M.Michel Boissin, s’inscrit dans la démarche globale de prévention et d’éducation de l’établissement. Il répond aux objectifs suivants :
    . prévention et éducation aux usages numériques responsables :

    2 faits avaient attiré notre attention sur les impacts des écrans sur le sommeil des élèves :

    . Au primaire, l’augmentation rapide du nombre d’élèves équipés d’un téléphone portable (l’enquête révèle que 28% des CM1, CM2 ont un portable, dont 60% un smartphone)

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    . Au secondaire, l’enquête réalisée en 2015 auprès des 4ème – Tle révélait que 72% consultaient les réseaux sociaux avant de dormir, et 13% la nuit > avec le rajeunissement rapide des usages numériques, nous voulions savoir ce qu’il en était des élèves du CE2 à la 4è

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    Enquetejeunesetsmartphones4_180416L’enquête permet d’impliquer des élèves de 1ère STMG dans la prévention, en valorisant leur connaissance de la réalité des usages numériques et en utilisant l’impact de la parole des lycéens auprès des primaires et des collégiens, dans un objectif d’éducation par les pairs.

    Les résultats permettent d’initier le débat à partir d’une réalité concrète avec toute la communauté éducative, élèves, parents, enseignants et éducateurs.

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    L’enquête et son analyse ont été réalisées en partenariat avec 2 associations : Le réseau Morphée, professionnels de santé spécialiste du  et l’association e-Enfance (Justine Atlan, Directrice Générale)

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    Pédagogie de projet et acquisition de compétences professionnelles numériques (learning by doing)

    Cette enquête a été l’occasion pour les élèves de 1ère STMG de réaliser un projet de A à Z, en mode collaboratif et en utilisant la plus-value des outils numériques :

    • Brainstorming pour la conception du questionnaire avec Freemind (cartes heuristiques)
    • Rédaction des questions par petits groupes, avec Word
    • Programmation du questionnaire sur un outil professionnel d’enquête en ligne: Kwiksurveys
    • Analyse et synthèse des résultats (626 répondants) avec Excel et Power Point

    Plus d’infos :
    Téléchargez les résultats complets : http://bit.ly/8-13ans-ecran-sommeil

  • Les Français et les Applications éducatives : quels usages ?

    Les Français et les Applications éducatives : quels usages ?

    68% des français ont déjà téléchargé une App éducative, la plupart pour apprendre une langue.

    Une récente étude réalisée par l’académie online ABA English parmi plus de 5 000 personnes dans 5 pays, révèle qu’en France :

    • Les Apps éducatives sont les plus utilisées après les applications dites pratiques
    • 70% des utilisateurs qui téléchargent des App éducatives le font pour apprendre des langues
    • 59% des Français utilisent des Apps de langues 1 à 5 fois par semaine

    On le sait, le Smartphone est le meilleur ami de beaucoup de Français. Avec le boom des nouvelles technologies, l’utilisation d’Apps pour Mobile Learning (apprentissage via dispositif mobile) est devenue une tendance à la hausse dans notre pays. C’est ce qui ressort d’une grande étude réalisée par ABA English, une académie en ligne avec plus de 5 millions d’élèves, qui a récemment lancé son Application pour apprendre l’anglais avec des films.

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    Prédominance des Apps pour apprendre des langues

    Etude_Appseducatives2Il n’a jamais été aussi simple d’apprendre une langue. Avec la multiplication de dispositifs mobiles, les Apps sont devenues des outils très utiles pour l’enseignement, à tel point que 68% des Français ont déjà téléchargé au moins une App éducative dans leur vie.

    Les Apps éducatives sont donc les applications les plus utilisées après celles dites « pratiques », suivies ensuite par les Apps de divertissement et de santé :

    • 82% utilisent une App pratique (navigation, maps, entre autres)
    • 54% des Français interrogés utilisent une App éducative
    • 33% utilisent une App de divertissement
    • 21% utilisent une App de santé
    • 9% utilisent une App pour enfants

    Parmi toutes les Applications éducatives téléchargées, 70% concernent l’apprentissage d’une langue étrangère (similaire au niveau mondial 72%).

    Amélioration du niveau de langue avec la App

    Beaucoup de Français considèrent que les Apps pour apprendre des langues sont un outil efficace: 76% des Français estiment avoir amélioré leur niveau de langue grâce à l’utilisation d’applications mobiles.

    La maîtrise d’une langue nécessite que nous y consacrions beaucoup de temps, ce que les Français ne rechignent pas à faire. 59% d’entre eux utilisent des Apps pour apprendre des langues 1 à 5 fois par semaine, et 18% les consultent au moins une fois par jour.

    Utilisation des applications en général

    Selon les données de l’étude, 72% des Français téléchargent une Application ou plus par mois, soit un pourcentage similaire à la moyenne mondiale estimée à 75%.

    Les Français restent néanmoins réticents à payer pour utiliser une application: 18% seulement se déclarent disposés à payer s’il n’existe pas de version gratuite (33% moyenne mondiale), tandis que 28% des interrogés n’hésitent pas à payer quand une application leur plaît (20% moyenne mondiale). Cependant, les Apps gratuites remportent une large adhésion, puisque 54% des sondés confessent ne jamais payer pour une application, un pourcentage supérieur de 8 points à la moyenne mondiale.

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    Par les temps qui courent, les Français réalisent l’importance de maîtriser une ou plusieurs langues étrangères pour leur carrière professionnelle ou leur développement personnel. Les technologies et méthodes de m-learning facilitent l’apprentissage de langues, de manière ludique et sans efforts, à l’image de la nouvelle App d’ABA English.

    Source : ABA English.
    Pour plus d’informations: www.abaenglish.com

  • Les jeunes et les réseaux sociaux

    Les jeunes et les réseaux sociaux

    Quels réseaux les jeunes utilisent-ils le plus ? Quelles sont leurs motivations ? Quel type de publication réalisent-ils ?

    Vous trouverez quelques éléments de réponse dans l’infographie ci-dessous.

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  • Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

    Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

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    Quel est le poids des investissements des collectivités territoriales dans les nouvelles technologies éducatives? Que coûte le renouvellement des matériels chaque année ?
    Quels choix stratégiques entre Tableaux Blancs Interactifs fixes ou mobiles, écrans plats interactifs, vidéoprojecteurs interactifs ou non ?
    Doit-on équiper des classes informatiques et classes mobiles ou équiper des élèves en ordinateurs portables ou tablettes numériques ?
    Que coûte à la collectivité le raccordement des établissements en haut débit et quels frais de fonctionnement et d’abonnement cela implique-t-il ?
    Combien d’établissements sont sur le point d’être connectés à l’ENT ?
    Le BYOD est-il une solution à terme pour la collectivité ?

    Voici quelques-unes des questions auxquelles la deuxième édition de cette étude tentera de répondre ce qui permettra de mettre au jour le poids du numérique dans l’éducation, au regard des investissements dans l’éducation globalement supportés par les collectivités (adaptation des établissements, modernisation des cantines scolaires, transports,…).

    Ces résultats doivent permettre d’apprécier le niveau d’investissement national, consenti chaque année par les collectivités territoriales et son évolution dans le temps, par élève, par Académie et par région administrative française.

    Au delà des aspects quantitatifs qui seront mesurés sur une période de 4 années (2010-2014), l’étude cherche à mesurer les écarts entre les politiques, les points de vues sur les méthodes de gouvernance et les limites à ne pas franchir ou à explorer en fonction des compétences, devenues de plus en plus précises, des collectivités.

    Des constructeurs et éditeurs ont souhaité s’associer à cette initiative en apportant leur soutien pour la réalisation effective de l’étude : MICROSOFT, INTEL deux entreprises leaders de l’informatique mondiale, PROMETHEAN et SMART Technologies, fabricants de Tableaux Interactifs et de solutions interactives pour l’éducation et SFR, fournisseurs de services de télécommunication et solutions liées à la téléphonie et à l’Internet pour l’enseignement scolaire.

    Les premiers résultats de cette grande enquête seront présentés et commentés en avant-première
    le 19 Novembre 2013
    lors d’un Afterwork et d’une table ronde sur le sujet : « Numérique à l’école, un enjeu partagé »
    qui aura lieu à Issy-les-Moulineaux, dans les locaux de Microsoft.

    Si vous souhaitez être invité à participer à l’Afterwork « Numérique à l’école, un enjeu partagé » et à la présentation des premiers résultats, veuillez contactez Aurélie à redaction@ludovia.com ou vous inscrire directement en ligne.

    Plus d’infos sur les partenaires de cette étude :


    L’Assemblée des départements de France : www.departements.fr

    L’Association des Régions de France : www.arf-regions.org

    L’Association des Maires de France : www.amf.asso.fr

    L’Association Nationale des Directeurs de Grandes Villes ANDEV : www.andev.fr

    Ludovia Magazine : www.ludovia.com

     

    Les partenaires industriels :

    MICROSOFT France www.microsoft.fr

    INTEL www.intel.fr

    PROMETHEAN www.promethean.fr

    SMART Technologies www.smarttech.com/fr

    SFR www.sfr.fr

  • Le numérique et ses bénéfices seront-ils à l’agenda des prochaines élections municipales ?

    Le numérique et ses bénéfices seront-ils à l’agenda des prochaines élections municipales ?

    A l’heure où la maîtrise budgétaire du secteur public est pointée du doigt, il est en effet tentant de mettre en avant le numérique comme un axe d’investissement générateur d’économies. Or, les retombées des projets numériques vont bien au-delà et peuvent aussi se mesurer sous l’angle citoyen, social et environnemental comme en témoignent la cinquantaine de décideurs de collectivités locales interrogés par MARKESS International dans le cadre de son étude.

    Interrogés quant à leur priorité en terme de retours sur investissement (ROI), plus d’un décideur sur deux de collectivités locales mettent en avant les projets numériques porteurs de valeur pour les citoyens et simplifiant leurs relations avec eux. Le ROI économique suit de près, avec deux tiers de ces décideurs le plaçant en première ou seconde position de leurs priorités : en 2013, la réduction des coûts reste une motivation clé en faveur du déploiement de tels projets.

    La relation citoyen, enjeu prioritaire de ROI du numérique pour les collectivités

     

    Etude_numeriqueetelectionsmunicipales_141013

    Deux autres ROI sont ensuite mis en avant. Il s’agit pour l’un de la dimension sociale des projets numériques ; ce ROI est le plus souvent associé à la capacité de la collectivité de mesurer l’évolution des conditions de travail des agents suite à l’introduction de nouveaux outils numériques. L’autre adresse la dimension environnementale des projets numériques qui peuvent être considérés comme un atout pour améliorer l’empreinte écologique de la collectivité.

    MARKESS International constate cependant que, malgré les priorités fixées, seul un tiers des décideurs de collectivités interrogés mesurent réellement les ROI et bénéfices des projets numériques qu’ils ont conduits.

    Parmi les chantiers numériques les plus susceptibles de générer un retour sur investissement, selon les décideurs de collectivités locales, figurent :

    • La dématérialisation de documents et de processus : elle est considérée par plus de 80% des décideurs comme pouvant générer de forts retours sur investissement. Sont évoqués plus particulièrement les projets de gestion documentaire et de GED, de gestion de courriers entrants, de workflow et de signature électronique. La dématérialisation de la facture figure aussi parmi les priorités des collectivités d’ici 2015 ;
    • Les services numériques pour les usagers avec plus de 70% des décideurs de collectivités les considérant comme générateur de valeur : les projets prioritaires ont trait avant tout à la gestion des flux entrants et aux services en ligne, intégrant notamment des services de paiement en ligne. L’axe de développement majeur est celui des services sur supports mobiles avec, comme objectif ultime, la volonté de fournir des informations contextualisées, géolocalisées et personnalisées pour chaque citoyen. Cette démarche implique pour la collectivité d’accroître sa connaissance des usagers via le déploiement d’applications de relation citoyen (CRM).

    Pour en savoir plus sur l’étude « Projets numériques des collectivités et bénéfices associés, France, 2013-2015″, commandez l’étude

  • Tablettes à l’école : 5 erreurs à ne pas commettre

    Tablettes à l’école : 5 erreurs à ne pas commettre

    09112012509d316350326Le 27 septembre dernier, l’article paraissait sur le site Edudemic. On y trouve 5 suggestions d’approches à éviter (et leur solution) dans le déploiement des tablettes pour l’éducation, tant au niveau primaire que secondaire. Vous y reconnaissez-vous?

    Erreur 1 : Se concentrer sur les applications à contenu spécifique

    Selon l’équipe d’EdTechTeacher, l’erreur la plus souvent commise par les enseignants est de chercher une application qui propose un contenu spécifique. Par exemple, un enseignant d’espagnol qui ne trouve pas d’application à son goût pour enseigner l’espagnol conclue que la tablette est inutile. « En faisant cela, plusieurs passent à côté de l’incroyable variété des possibilités offertes par les tablettes », peut-on lire dans l’article. L’équipe suggère par exemple d’employer une application d’enregistrement de la voix pour travailler la prononciation avec les élèves, une application permettant de créer des quiz, une autre pour construire un tutoriel sur un élément de grammaire, etc.

    Fait intéressant, l’équipe d’EdTechTeacher révèle utiliser 4 applications principales pour introduire l’outil à tous les niveaux, pour toutes les matières :
    – une application pour annoter;
    – une pour enregistrer les manipulations à l’écran;
    – une pour la création audio;
    – et une pour la création vidéo!

    Erreur 2 : L’absence de formation des enseignants

    La notion de formation ici va plus loin que d’apprendre à se servir d’une collection d’application. C’est plutôt la façon de passer d’une utilisation personnelle de l’outil à une utilisation pédagogique en classe. Sans formation, l’usage de l’outil peut facilement rester traditionnel.

    Quelques notions de base à maîtriser :
    – enrichir les activités de lecture, d’écriture, de conversation orale et d’écoute à l’aide d’applications et d’outils en ligne appropriés;
    – partager du matériel entre collègues et avec les élèves;
    – recevoir les travaux électroniques des élèves, les commenter et les noter;
    – comprendre la notion d’informatique en « nuage »;
    – comprendre comment différentes applications interagissent entre elles, la compatibilité entre les fichiers, les outils de conversion, etc.;
    – et évidemment retransmettre cela aux élèves.

    Pour connaître l’erreur 3, 4 et 5, retrouvez l’article sur www.infobourg.com

    et l’article original en version intégrale « 5 Critical Mistakes Schools Make With iPads (And How To Correct Them) ».