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  • Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

    Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

    Etude2013_ADFARFANDEV_151013
    Quel est le poids des investissements des collectivités territoriales dans les nouvelles technologies éducatives? Que coûte le renouvellement des matériels chaque année ?
    Quels choix stratégiques entre Tableaux Blancs Interactifs fixes ou mobiles, écrans plats interactifs, vidéoprojecteurs interactifs ou non ?
    Doit-on équiper des classes informatiques et classes mobiles ou équiper des élèves en ordinateurs portables ou tablettes numériques ?
    Que coûte à la collectivité le raccordement des établissements en haut débit et quels frais de fonctionnement et d’abonnement cela implique-t-il ?
    Combien d’établissements sont sur le point d’être connectés à l’ENT ?
    Le BYOD est-il une solution à terme pour la collectivité ?

    Voici quelques-unes des questions auxquelles la deuxième édition de cette étude tentera de répondre ce qui permettra de mettre au jour le poids du numérique dans l’éducation, au regard des investissements dans l’éducation globalement supportés par les collectivités (adaptation des établissements, modernisation des cantines scolaires, transports,…).

    Ces résultats doivent permettre d’apprécier le niveau d’investissement national, consenti chaque année par les collectivités territoriales et son évolution dans le temps, par élève, par Académie et par région administrative française.

    Au delà des aspects quantitatifs qui seront mesurés sur une période de 4 années (2010-2014), l’étude cherche à mesurer les écarts entre les politiques, les points de vues sur les méthodes de gouvernance et les limites à ne pas franchir ou à explorer en fonction des compétences, devenues de plus en plus précises, des collectivités.

    Des constructeurs et éditeurs ont souhaité s’associer à cette initiative en apportant leur soutien pour la réalisation effective de l’étude : MICROSOFT, INTEL deux entreprises leaders de l’informatique mondiale, PROMETHEAN et SMART Technologies, fabricants de Tableaux Interactifs et de solutions interactives pour l’éducation et SFR, fournisseurs de services de télécommunication et solutions liées à la téléphonie et à l’Internet pour l’enseignement scolaire.

    Les premiers résultats de cette grande enquête seront présentés et commentés en avant-première
    le 19 Novembre 2013
    lors d’un Afterwork et d’une table ronde sur le sujet : « Numérique à l’école, un enjeu partagé »
    qui aura lieu à Issy-les-Moulineaux, dans les locaux de Microsoft.

    Si vous souhaitez être invité à participer à l’Afterwork « Numérique à l’école, un enjeu partagé » et à la présentation des premiers résultats, veuillez contactez Aurélie à redaction@ludovia.com ou vous inscrire directement en ligne.

    Plus d’infos sur les partenaires de cette étude :


    L’Assemblée des départements de France : www.departements.fr

    L’Association des Régions de France : www.arf-regions.org

    L’Association des Maires de France : www.amf.asso.fr

    L’Association Nationale des Directeurs de Grandes Villes ANDEV : www.andev.fr

    Ludovia Magazine : www.ludovia.com

     

    Les partenaires industriels :

    MICROSOFT France www.microsoft.fr

    INTEL www.intel.fr

    PROMETHEAN www.promethean.fr

    SMART Technologies www.smarttech.com/fr

    SFR www.sfr.fr

  • L’équipe de l’IFSTTAR lance sa seconde enquête PERLE auprès des lycéens

    L’équipe de l’IFSTTAR lance sa seconde enquête PERLE auprès des lycéens

    logoPerle_220413Du lundi 8 avril au 1er juin 2013, les lycéens et apprentis de France métropolitaine et d’outremer seront invités à compléter le questionnaire en ligne à cette adresse.

    Cette enquête a pour objectif de mieux connaître les habitudes des lycéens sur la route selon leur personnalité.

    Ce questionnaire est anonyme conformément à la loi informatique et libertés. Les questions concernent à la fois votre comportement sur la route et en général.

    La participation n’est pas obligatoire et peut être stoppée à tout moment. Il faut environ 15 minutes pour compléter ce questionnaire. Un autre questionnaire sera proposé au début de l’année prochaine. Ceci permettra d’étudier l’évolution des opinions et des habitudes de sécurité routière des jeunes.

    L’équipe de l’IFSTTAR a besoin du maximum de réponses possible (la dernière enquête en octobre/novembre dernier a produit plus de 6000 réponses mais beaucoup n’étaient pas exploitables). Les résultats de ce projet permettront d’améliorer les axes d’actions dans les lycées et d’orienter les messages de prévention auprès des lycéens et apprentis.

    Plus d’infos :
    explications en vidéos 1 education-securite-routiere et 2 education-securite-routiere

  • L’aménagement des classes et l’équipement en TICE, une solution pour la réussite scolaire ?

    Les enseignants se disent confrontés à de nombreuses difficultés pédagogiques, notamment pour garantir un bon niveau de cours tout en intéressant les élèves en difficulté

    · Sur neuf domaines testés, les enseignants déclarent majoritairement rencontrer des difficultés importantes dans sept d’entre eux. Ils éprouvent surtout des problèmes importants pour intéresser les élèves en décrochage scolaire (80%) et maintenir l’attention des élèves durant toute la durée du cours (76%). La grande majorité des enseignants estime aussi avoir du mal à développer l’esprit critique des élèves (69%), améliorer l’acquisition des savoirs fondamentaux (67%) ou encore augmenter le niveau des cours (65%). Plus d’un enseignant sur deux déclare aussi éprouver des difficultés à les préparer à la vie professionnelle (55%).

    · Les deux seuls domaines, parmi les neuf testés, pour lesquels une majorité d’interviewés indique ne pas rencontrer de difficultés importantes concernent le fait de faciliter la compréhension des cours (53%) et de développer la participation des élèves (58%).

    · Dès lors, s’assurer que l’ensemble des élèves comprennent bien les cours (85%) et gérer les élèves difficiles (65%) constituent pour les enseignants les deux principaux défis qu’ils auront à relever dans les années à venir. Derrière ces chiffres se dessine un double impératif pour les enseignants : faire progresser la classe dans son ensemble, tout en gérant les cas les plus difficiles.

    Ce constat étant posé, comment les enseignants peuvent-ils surmonter ces difficultés et relever les défis auxquels ils sont confrontés ? Comment perçoivent-ils l’avenir ? Au-delà de la question des budgets alloués à l’école et des effectifs au sein des classes, comment réagissent-ils lorsqu’on évoque certaines évolutions envisageables dans la manière de dispenser les cours ?
    Les attentes des enseignants dans le domaine de l’aménagement des classes : pas de révolution, mais des évolutions nécessaires

    ·  Lorsqu’ils pensent aux moyens utilisés pour transmettre les connaissances aux élèves à l’école (matériel, mobilier, espace disponible, supports de présentation de cours, interactivité, aménagement des classes), 84% des enseignants estiment qu’il faut procéder à des aménagements mais en conservant l’essentiel.

    · C’est moins une modification radicale du mobilier existant que le fait de repenser la disposition de la classe qu’ils plébiscitent :

    o      L’amélioration de la réussite scolaire des élèves passe majoritairement selon eux par le fait de repenser la classe (en améliorant la disposition de l’espace et le mobilier) tout en intégrant l’usage des nouvelles technologies, le tout pour créer un meilleur environnement pédagogique (53%).

    o      Les enseignants estiment par ailleurs que pour améliorer la réussite scolaire des élèves, il faudrait avant tout repenser la façon dont les élèves sont répartis et travaillent dans la classe, en ayant davantage recours aux petits groupes (66%).
    Les enseignants utilisent de plus en plus les NTIC en cours et pensent que ces outils vont considérablement se développer à l’avenir

    · Les deux tiers des enseignants déclarent davantage utiliser les NTIC en classe que par le passé (69%). C’est particulièrement le cas dans le secondaire (79%), même si les enseignants en primaire s’y sont également mis (56%).

    Aujourd’hui, 52% des enseignants indiquent utiliser les NTIC dans leur classe de façon hebdomadaire (52%), notamment dans le secondaire (64%).

    · Ce recours aux NITC passe essentiellement par l’ordinateur (55% en utilisent un systématiquement ou souvent pendant leurs cours) et la connexion Internet (39%). C’est surtout dans le secondaire que les professeurs ont recours à ces technologies.

    · Ces deux outils sont appelés à considérablement se développer à l’avenir : une large majorité d’entre eux estime ainsi qu’ils les utiliseront probablement davantage dans les prochaines années (75% concernant l’ordinateur et 72% concernant Internet)

    · L’utilisation de tableau numérique interactif n’est pas encore très développée (19% des interviewés déclarent l’utiliser systématiquement ou souvent pendant leur cours) mais son usage devrait s’accroître massivement selon les interviewés : 63% estiment qu’ils utiliseront davantage cet outil à l’avenir.

    · Il est également important de souligner que seulement 4% des interrogés pensent que d’ici les 3 prochaines années les élèves viendront en classe avec leur propre matériel informatique (tablettes numériques, ordinateur portable…) contre 49% qui estiment que cela ne touchera qu’une minorité.

    Les principaux changements à venir à l’école : d’abord et avant tout l’utilisation des nouvelles technologies dans une classe réaménagée.

    · 52% de l’ensemble des professeurs estiment, que si les questions budgétaires n’entraient pas en ligne de compte, il faudrait développer à l’avenir un meilleur accès aux nouvelles technologies dans les classes et souhaiteraient développer du mobilier de classe plus innovant et plus ergonomique.

    · En définitive, pour près d’un enseignant sur deux (44%), l’utilisation des nouvelles technologies constituera le principal changement à l’école d’ici 50 ans, loin devant la manière d’apprendre des élèves (30%) ou encore la manière d’enseigner des professeurs (25%).

    * Ce sondage a été réalisé du 26 octobre au 6 novembre 2012 auprès d’un échantillon représentatif de 404 enseignants du primaire (hors maternelle) et secondaire, interrogés par internet sur commande Steel Case Education Solutions.

  • Les résultats de l’enquête AFDEL/SNJV : constat d’une réduction significative des investissements R&D

    L’Association Française des Editeurs de Logiciels (AFDEL) et le Syndicat National du Jeu Vidéo (SNJV) remettent aujourd’hui à Eric Besson, ministre de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie Numérique les résultats d’une enquête à destination des Start up du logiciel et du jeu vidéo pour mesurer l’impact de la réforme du dispositif Jeune Entreprise Innovante (JEI) issue de la dernière Loi de finances pour 2011.

    Un sujet que le Conseil National du Numérique (CNN) a également mis au rang des ses priorités par la voix de son Président Gilles Babinet qui a exprimé son souhait de consulter les organisations professionnelles.

    Cette réforme a impacté notamment le volet «social» du dispositif en instaurant un double plafonnement des rémunérations et des cotisations par établissement et en instaurant une dégressivité à partir de la 4ème année du dispositif. Une réforme qui affecte non seulement la filière numérique mais également d’autres secteurs innovants tels les biotechs.

    Sur la base de cette enquête remise à monsieur Eric Besson, les pouvoirs publics disposent désormais d’éléments tangibles et objectifs susceptibles de faire évoluer leurs positions. En effet, cette enquête démontre que la réforme, qualifiée récemment de «balle perdue de la Loi de finances» par le Président de la République Nicolas Sarkozy, a impacté les entreprises sur leurs investissements en R&D, leurs embauches et leur compétitivité.

    Ainsi, 80% des entreprises réduisent leurs investissements en R&D (Recherche et Développement), 54% des entreprises ont déjà limité leurs recrutements liés aux activités de R&D et 17% ont même licencié. Considéré comme un facteur majeur pour les décisions d’embauche, le dispositif a désormais moins d’attraits. Avec un coût moyen de 66 236 € par entreprise depuis le 1er janvier 2011, la réforme a créé de l’instabilité fiscale puisque 79% des répondants ont connu une modification de leur taux d’exonération en cours de route.

    Patrick Bertrand, Président de l’AFDEL et membre du CNN a déclaré «Le Président de la République a été clair sur le sujet. Nous avons donc bon espoir que ces éléments tangibles remis au ministre conduiront à une modification de la réforme du dispositif en faveur de l’innovation». Nicolas Gaume, Président du SNJV d’ajouter «Le dispositif JEI constitue l’un des atouts majeurs de notre pays en matière de soutien à la R&D. De par sa simplicité de mise en œuvre et son application immédiate, il joue un rôle crucial dans le développement des acteurs du Jeu vidéo en France dont la moitié en bénéficie. Nous souhaitons donc un réexamen du dossier sur la base de ces éléments dans le cadre de la prochaine Loi de finances rectificative ou à défaut de la prochaine Loi de finances».

    La discussion parlementaire du projet de Loi de finances rectificative pour 2011 en cours à l’Assemblée nationale devrait s’inspirer des conclusions de cette étude. Des amendements sont déjà en cours de dépôt, afin d’éviter que le coup de rabot sur l’innovation ne soit définitif.

    A propos :
    L’AFDEL regroupe 250 éditeurs de logiciels et le SNJV regroupe 160 acteurs du jeu vidéo en France.