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  • L’ENT d’ITOP éducation retenu par Yvelines Numériques pour toutes les écoles des Yvelines

    L’ENT d’ITOP éducation retenu par Yvelines Numériques pour toutes les écoles des Yvelines

    Depuis la rentrée scolaire 2017, Yvelines Numériques propose aux communes de bénéficier à travers sa centrale d’achats d’un catalogue de services dédié au numérique éducatif. Il comprend l’Espace Numérique de Travail (ENT) « NetÉcole V4 », édité par ITOP éducation.

    L’ENT « NetÉcole V4 » va donc être proposé à toutes les communes du département des Yvelines.

    L’objectif du projet est de mettre à disposition des élèves, des parents, des enseignants et des collectivités concernées un ENT permettant de :

    1/ Favoriser les apprentissages grâce à l’utilisation d’outils pédagogiques numériques performants

    2/ Donner un cadre de confiance pour sécuriser les échanges et les communications

    3/ Fournir un service intégré aux différents utilisateurs, non seulement à des fins pédagogiques, mais également pour être un centre de services citoyens communautaires

    4/ Rationaliser l’usage du numérique dans les écoles et dans le cadre de la réussite éducative des enfants

    Le projet concerne les écoles primaires du territoire yvelinois, pour les communes qui souhaitent s’équiper à terme d’un ENT, soit jusqu’à :

    972 écoles réparties sur 239 communes du département

    57 398 élèves de maternelle, 91 030 élèves d’élémentaire et 8 165 enseignants sur l’ensemble des 31 circonscriptions des Yvelines.

    Yvelines Numériques a choisi ITOP éducation pour son expertise de déploiement rapide à grande échelle, ainsi que pour les spécificités de son ENT pour le premier degré. La solution « NetEcole V4 » permet également de faciliter la liaison école-collège dans le cadre du nouveau cycle 3 (CM1, CM2, 6ème).

    Plus d’infos :
    À propos du Syndicat Mixte Ouvert « Yvelines Numériques »
    Créé en 2016, Yvelines Numériques est l’établissement public d’aménagement numérique du territoire qui réunit le Conseil départemental des Yvelines et les intercommunalités yvelinoises, pour porter les projets digitaux en synergie. Il a pour mission centrale de développer et de piloter de nouveaux services numériques innovants et mutualisés.

    A propos d’ITOP éducation
    Reconnu surdoué de la croissance 2017 par les Échos, ITOP éducation est le leader français des solutions logicielles globales pour l’e-education. 4,5 millions de Français possèdent un compte utilisateurs ITOP éducation et utilisent nos solutions pour suivre la scolarité de leurs enfants, évaluer les élèves, gérer les absences et les emplois du temps, partager des documents et réaliser des projets pédagogiques numériques.

    ITOP éducation travaille en collaboration avec les écoles depuis 2003 afin de développer les meilleurs outils pédagogiques en ligne pour les enseignants et les élèves, en investissant chaque année 25 % de son chiffre d’affaires en R & D.

     

    CONTENU SPONSORISÉ

  • Partenariats et concertations pour réussir l’entrée du numérique dans les écoles de Poitiers

    Partenariats et concertations pour réussir l’entrée du numérique dans les écoles de Poitiers

    La ville de Poitiers compte 45 écoles dont 24 écoles maternelles et 21 élémentaires soit 6200 élèves ; ces chiffres sont en constante progression.

    « Nous n’avions pas vraiment de plan numérique au départ et nous affichions un léger retard ».

    La ville de Poitiers a donc réagi face à ce retard ; depuis 2010, elle s’est lancée dans un projet éducatif global dans lequel le numérique est intégré.
    En premier lieu, elle a investi dans les Tableaux Numériques Interactifs avec un TNI par école, « aussi parce qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup d’enseignants volontaires, car la formation n’était pas acquise pour eux à ce moment-là ».

    Passée cette première étape de « mise en route », la ville de Poitiers a établi un partenariat avec l’éducation nationale et a réorienté ses choix.

    Il n’était pas question d’investir l’argent public dans du matériel qui ne serait pas utilisé c’est pourquoi nous nous sommes rapprochés tout naturellement de l’éducation nationale.

    Aujourd’hui, tous les enseignants qui souhaitent utiliser le matériel, reçoivent une formation ; et le partenariat va plus loin puisque le réseau Canopé y est aujourd’hui associé pour les contenus, entre autres.

    Malgré la bonne volonté affichée de la ville de Poitiers de « faire entrer le numérique dans leurs écoles », il reste encore un frein au développement, comme l’explique Laurence Vallois-Rouet :

    « Nos écoles ne sont pas encore toutes câblées et nous avons établi un plan pluriannuel pour pallier à cette contrainte d’ordre technique, mais aussi d’ordre financier ». En effet, les installations techniques font partie des investissements les plus importants à réaliser.

    Aujourd’hui, 14 écoles sur 45 sont équipées et le personnel du service éducation assure la maintenance.

    Avec l’objectif de développement que la ville envisage, un nouvel enjeu sera d’embaucher d’autres personnels pour assurer cette maintenance.

    La ville de Poitiers ne s’engage pas de manière passive sur les projets numériques et ses élus ont conscience qu’il faut suivre les évolutions.

    « Aujourd’hui, nous avons fait le choix de mettre à disposition des chariots mobiles dans les écoles élémentaires ; si demain nous sommes sollicités pour mettre des tablettes, nous pourrons l’envisager ».

    Pour suivre ces évolutions, la commune a mis en place un comité de pilotage qui se réunit deux fois par an et qui est composé de la communauté éducative (IEN, parents d’élèves, techniciens informatique et éducation de la ville etc) ; d’autre part, un comité technique se charge d’évaluer dans le temps les dispositifs mis en place par la municipalité.

    Les parents d’élèves ne sont pas oubliés et la mairie reçoit leurs représentants trois fois par an pour évoquer les projets dont le numérique fait partie. Et, au-delà de ces rencontres, la ville de Poitiers a également fait le choix des ENT pour ses écoles « car le lien avec la famille nous paraissait important ».

    La continuité éducative en dehors du temps scolaire est de notre compétence ; et donc permettre à des familles de s’approprier la scolarité de leurs enfants nous semblait essentiel.

    Laurence Vallois-Rouet est bien de ceux qui croient que les jeunes ont des facilités avec le numérique mais pour elle, c’est dans les familles que la fracture numérique est présente.
    « Il faut aussi éduquer les parents à ce qu’est l’outil informatique et ce qu’est le numérique ».

    Dans sa stratégie de développement du numérique dans les écoles, la ville de Poitiers entend bien impliquer l’ensemble de la communauté éducative.

     

  • TNI ou VPI : comment faire son choix ?

    TNI ou VPI : comment faire son choix ?

    [callout]Elus, que choisir ? Entre TNI ou VPI pour votre école numérique ?[/callout]

    Par Marie-France Bodiguian Cabinet AMO-TICE

    Dans la jungle des offres des industriels, étudions aujourd’hui deux équipements incontournables pour construire ou développer votre école numérique. Des outils très appréciés des enseignants ! Il s’agit du tableau numérique interactif (TNI) et du vidéoprojecteur interactif (VPI). Quelle différence ? Quels avantages ? Quelle efficience ?

    Dressons un état des lieux pour mieux vous aider à comprendre, puis à choisir en fonction de vos contraintes et des spécificités de vos écoles. Le « meilleur choix » ? Celui adapté à vos spécificités (configuration et niveaux des classes, budget, etc.).

    De quoi parle t-on ?

    Amotice2_181114Quelle que soit la solution choisie, le principe d’une solution interactive est de projeter sur un tableau numérique (TNI) ou sur un tableau blanc type Véléda ou toute surface blanche murale (VPI), l’image de l’écran d’ordinateur. L’enseignant pilote avec son doigt ou un stylet donc l’ordinateur depuis l’écran de projection et navigue  sur son écran comme si c’était un énorme tapis de souris. Son doigt ou le stylet ? Le pointeur de cette souris.

    TNI ou VPI : à l’enseignant d’intégrer à son cours des supports numériques, tels que des vidéos, des photos, du texte ou pages internet, etc. sur lesquels les enfants peuvent interagir.
    Plus précisément :

    OLYMPUS DIGITAL CAMERALe TNI, Tableau Numérique Interactif, associe un tableau numérique, tactile ou pas, à un vidéoprojecteur, relié à l’ordinateur.

    Le VPI, Vidéoprojecteur Interactif, lui, ne nécessite pas de tableau spécifique et peut donc être utilisé avec un tableau blanc traditionnel, type véléda en place ou tout mur blanc mat disponible. Le vidéoprojecteur rend les surfaces murales intelligentes en créant l’interactivité grâce à une caméra à infrarouge intégrée au vidéoprojecteur. C’est une excellente alternative pour les classes très encombrées et les salles petites et où il faut mutualiser les surfaces murales.

    Pourquoi intégrer des TNI ou VPI dans vos écoles ?

    Intégrer des TNI ou VPI dans vos écoles, c’est contribuer à rendre pour les enfants les séances plus vivantes, interactives et motivantes.

    Amotice3_181114Depuis 10 ans que cet outil est utilisé dans certaines écoles, on constate une meilleure attention des élèves, mieux canalisés grâce à des parcours pédagogiques collaboratifs que les enseignants mettent en œuvre. Ces séances favorisent l’épanouissement le développement de la créativité des élèves et leurs implications scolaires.
    Les solutions interactives permettent ainsi de favoriser le travail collaboratif et de faciliter les interventions simultanées à plusieurs, sur le tableau.

    Le premier critère à prendre en compte est lié à la politique de la ville, la place que doit prendre le numérique dans votre projet éducatif territorial et au budget que vous  souhaitez y consacrer.

    Mais un VPI ou TNI par école n’est-il pas suffisant ? Ce qui bien sûr réduirait considérablement vos investissements.

    En salle informatique ? Non ! Placer un tableau dans une salle polyvalente, c’est s’assurer que l’argent investi sera purement et simplement gâché.

    Car les solutions interactives ne sont en réalité réellement utilisées que dans les classes car les enseignants se les approprient.

    TNI Mobile* ou portable* donc mutualisable entre les classes? Là aussi, en primaire, non! D’expérience, les enseignants des petites classes ne prennent pas le temps, après l’enthousiasme du début, d’installer, paramétrer et l’équipement reste dans la salle initial ou dans le placard.

    Amotice4_181114Le deuxième critère : le prix, qui constitue l’un des principaux éléments qui fait la différence. Basiquement, un VPI affiche un prix moins élevé qu’un TNI.  Mais aujourd’hui les constructeurs de TNI  baissent leurs offres basiques qui, à l’honneur hier, font place à nouvelles technologies, toujours plus performantes.

    La question donc : les enseignants de votre circonscription ont-ils besoin du dernier cri ? Pas forcément, ou seulement si cela vient répondre à une des raisons de non-usages de leurs collègues.
    Attention !  N’oubliez pas de calculer l’ensemble des coûts inhérents à l’installation d’un VPI : si vos salles sont principalement équipées de tableaux à craies, vous devrez inévitablement compter les coûts de leurs désinstallations, l’achat de tableaux blancs type Véléda, ainsi que la désinstallation d’éventuels luminaires placés généralement en haut des tableaux à craies et qui gênent la fixation des vidéoprojecteurs.

    Le troisième critère essentiel relève de la configuration des classes :

    Où mettre donc le tableau numérique interactif ?

    Amotice5_181114Selon le matériel et l’infrastructure électrique et de câblage qui ne doivent pas être éloignés, déjà en place dans les classes, VPI ou TNI s’imposeront naturellement ; d’où l’importance d’effectuer un audit initial pour étudier leurs futurs emplacements dans les classes.

    Aussi, de part la définition même d’un TNI ou d’un VPI, la place consacrée au TNI sera plus importante que celle d’un VPI, qui peut, en un même lieu, servir de solutions interactives et de tableau effaçable à sec.

    Dans tous les cas, pas de craie à côté d’un vidéoprojecteur ! Si vous optez pour un TNI, celui-ci devra être placé à côté du tableau traditionnel ou sur le mur adjacent pour faciliter la gestion des élèves.

    Attention !  En postulat de départ, gardez en tête que l’enseignant a l’habitude d’utiliser son tableau à craie ou Véléda, et dans une large majorité des cas il continuera à rechercher cet usage.

    Quatrième critère : les logiciels.

    Vérifiez s’il existe d’autres tableaux dans l’école. Pourquoi ? L’homogénéité entre les différents modèles de tableaux permet de pallier les problèmes de compatibilité de logiciels et de leur mise à jour.

    Chaque marque de TNI a son logiciel, ce qui pose le problème de l’interopérabilité des logiciels.  Leur avantage est lié à une interface particulièrement étudiée pour le primaire : certains permettent également aux enseignants d’échanger leurs pratiques et leurs ressources sur des plateformes dédiées.
    Pour les VPI, des logiciels gratuits tels que Workspace ou Sankoré peuvent être utilisés.  Notons que, pour ce dernier, le réseau Canopé dans les académies (ex CRDP) a développé une large palette de ressources, qui permettront aux enseignants d’optimiser les usages du VPI ou du TNI et d’échanger sur leurs pratiques.

    Et vous, quelle solution interactive TNI ou VPI est-elle la plus adaptée à vos salles de classes et à votre budget ? Avez-vous effectué un audit des infrastructures et équipements de vos classes ? Quelles conclusions en avez-vous déduit ? Partagez-les avec nous !

  • Débit Internet Part 2 : 12 clés pour booster vos écoles

    Débit Internet Part 2 : 12 clés pour booster vos écoles

     Par Marie-France Bodiguian du Cabinet AMO-TICE

    Après les 6 conseils de la partie 1 pour optimiser l’internet existant de vos écoles, voici 6 nouvelles pistes pour augmenter les débits  : 6 astuces ou technologies à étudier selon deux cas de figures.

    Exemples de quelques technologies de montée en débit :

    1. Doublez vos abonnements Adsl

    Amotice1_061014Si vous disposez déjà d’un bon débit Adsl, et que vous souhaitez améliorer simplement votre capacité de transfert, doublez vos abonnements Adsl, donc votre source d’arrivée internet. Comment ? Sur 2 fils, donc 2 flux ! Une solution particulièrement pertinente pour faciliter par exemple la visualisation d’une vidéo sur plusieurs postes, particulièrement gourmande en flux* de transfert simultané. Toutefois, cette solution n’améliorera pas le débit d’un flux* unique si votre débit initial est insuffisant.

    Le petit plus technique : Vous faites ici passer 2 flux dans 2 fils distincts, appelé  « doublement de liens », qui par ailleurs vous offrira un surcroit de sécurité. Vous aurez besoin d’un routeur, permettant plusieurs raccordements appelés « multiwan ». Un tel routeur vous permet en outre de raccorder plusieurs sources différentes internet (Adsl + fibre + 4G par exemple) et ainsi d’accroître votre débit.

    2. Complétez avec la 3G ou 4G

    Des clés 3G ou 4G peuvent venir compléter l’Adsl, mais… c’est souvent une alternative individuelle, avec un rayonnement peu fiable. Cette solution ne sera intéressante que dans les zones déjà bien desservies en débit internet. Pour cela, vous pouvez équiper vos écoles de petits routeurs wifi, appelés domino, munis de cartes SIM avec lesquels plusieurs appareils pourront être connectés via le wifi du domino pour utiliser la connexion 3G de la carte SIM.

    Ce n’est donc pas la technologie idéale pour booster le débit internet de vos écoles mais un complément ponctuel selon l’implantation des antennes sur votre territoire…
    Zoom sur le rayonnement 3G ou 4G dans votre collectivité avec www.cartoradio.fr

    3. Osez le Satellite !

    Amotice2_061014L’accès haut-débit par satellite n’est pas soumis aux contraintes d’éligibilité Adsl et a l’avantage de couvrir l’intégralité d’un territoire. . Cette technologie, souvent subventionnée par la plupart des conseils régionaux et conseils généraux, est généralement soumis à une tarification au volume de données. Elle fournit des volumes de données compris entre 10 et 100 Mgbits et nécessite la location ou l’achat d’un kit de connexion (une parabole, un modem et câbles coaxiaux), d’une valeur d’environ de 400 € et un abonnement mensuel (environ 40 €).  Pour en savoir plus, vous pouvez comparer les offres auprès des opérateurs existants (Alsatis, Nordnet, Wibox, etc.)

    D’ici la fin de l’année 2014, 9 000 écoles du primaire et du secondaire bénéficieront du haut débit, dans le cadre du Plan France Très Haut Débit.

    On ne peut que mettre en avant l’efficacité de cette technologie, mais attention… même en haut débit le temps de latence d’une connexion reste un peu plus long que celui connu sur ADSL, pour des raisons de liaisons satellitaires évidentes ! (de l’ordre de 600 millisecondes).

    4. Pensez au WiMax

    Amotice3_061014Vous connaissez ? Le WiMAX utilise les ondes radio, comme celles utilisées pour le téléphone portable. Les usages sédentaires et mobiles sont donc possibles sans installation supplémentaire.

    Pour connecter vos écoles en en haut débit grâce au WiMAX, vous devez être proche d’une antenne émettrice. Après avoir effectué un test d’éligibilité auprès de l’un des opérateurs du marché (ici par exemple : www.wibox.fr ou www.ariase.com et avoir souscrit à une offre, un installateur agréé pourra garantir une installation de qualité pour bénéficier du meilleur signal en fonction de votre situation.

    C’est une technologie encore peu utilisée mais également à étudier !

    Autre possibilité, construire un réseau Très Haut Débit pérenne :

    5. Créez votre Réseau Municipal Mutualisé

    À l’occasion de travaux d’infrastructures municipaux (que vous déployez seul ou dans le cadre d’une communauté de communes), vous pouvez faire passer de la fibre optique entre les bâtiments. L’avantage ? Vous pouvez héberger plusieurs réseaux virtuels sur le même « fil ». Il devient alors possible de mutualiser les coûts en alimentant en haut débit les divers bâtiments municipaux (réseau interne municipal), des structures publiques/privées (cinémas, salles de spectacles, gymnases, etc.), ou en proposant des accès (via un opérateur obligatoire) pour une distribution privative (TPE, Artisans, etc.).

    Amotice4_061014Un Réseau Municipale Mutualisé peut constituer une véritable colonne vertébrale de l’aménagement de votre territoire.

    Ici, un maillage de technologie pour des connexions haut débit pour tous, dont les écoles !

    6. Fibre optique : Êtes-vous intégrés à un Réseau d’Initiative Publique ?

    Si votre emplacement géographique est dense, et donc commercialement intéressant pour les opérateurs, vous êtes sûrement éligible à la fibre optique des opérateurs. Dans ce cas, vous êtes un privilégié ! Quittez cette page, nous nous retrouverons sur un autre sujet ! Des débits entre 100 à 250Mbps à la source permettent une utilisation presque sans limites du numérique. De quoi faire rêver !

    Sinon rapprochez-vous, si possible de votre département, qui, dans le cadre d’un Réseau d’Initiative Publique, a peut-être mis en place un projet pérenne de fibre optique pour effectuer des travaux et résorber les zones d’ombre d’ADSL. Vous intégrerez ainsi un groupement de commandes pour la réalisation de plusieurs Nœuds de Raccordement d’Abonnés et leurs liens de collecte optique. C’est l’expérience vécue par le regroupement de Communautés de communes du Pays de Caux-Maritime.

    Amotice5_061014Une technologie qui a permet d’obtenir des coûts réduits et de mutualiser le financement !

    De nouvelles solutions pour raccorder vos écoles vers de meilleurs débits internet vous sont à présent offertes. Il s’agit là de quelques propositions non exhaustives. À vous maintenant d’adapter votre stratégie en fonction des possibilités qu’offre votre territoire et aux besoins et usages des enseignants.

  • Comment interpeller en 4 temps vos électeurs avec l’Ecole Numérique ?

    Comment interpeller en 4 temps vos électeurs avec l’Ecole Numérique ?

    AMotice2_110314Souvent premier budget des communes, l’école est placée plus que jamais, avec la réforme des rythmes scolaire, au cœur des questions locales comme l’une des problématiques phares de la campagne. Quant aux infrastructures numériques, elles sont devenues l’un des fers de lance de l’attractivité territoriale dont fait partie le numérique dans les écoles : il en va pour preuve l’accélération des programmes immobiliers ou l’augmentation du chiffre d’affaires des agences immobilières autour des écoles innovantes, comme le précisait déjà en 2005 un rapport du Ministère de la Ville.

    http://www.amotice.com/lecole-numerique-elus-engagez-vous

    Voici donc en 4 temps comment interpeller vos électeurs avec le numérique à l’école.

    1 / Quels bénéfices pour les enfants, les parents et les enseignants de votre commune ?

    Pour les enfants, le numérique à l’école leur apportera un contexte favorable à la lutte contre l’échec scolaire en intégrant un nouveau rapport au savoir, avec :

    • Plus de motivation, et de plaisir d’apprendre, grâce à des cours plus attractifs,
    • Plus de confiance en eux
    • Plus de concentration

    Pour les parents :

    • Le réconfort de savoir leurs enfants formés à des usages responsables d’internet,
    • Une meilleure transmission des informations sur la vie scolaire et une meilleure compréhension des démarches pédagogiques
    • Une réduction des inégalités grâce à l’accès à des contenus de qualité, en tous lieux et pour tous les élèves.
    • Des activités périscolaires attractives et des contenus éducatifs en continuité avec les contenus pédagogiques.

    Et pour les enseignants, des cours plus vivants, un suivi individuel renforcé, une meilleure participation des élèves, une validation du B2i facilitée etc. seront les ingrédients de meilleures conditions de gestion de leurs classes.

    2/ De quels outils et usages parle t-on ?

    En quelques vidéos, voici quelques exemples d’outils, que vous pourrez mettre à disposition des enseignants et des élèves de votre commune et leurs usages correspondants

    Tablettes ou ardoises numériques en école maternelle et primaire

    Tableaux numériques Interactifs

    )

    L’Espace Numérique de Travail

    Visioconférence et baladeur mp3 en anglais

     

    3/ Mais que proposer à vos électeurs ?

    Le mieux serait de construire un projet détaillé. Mais si le temps vous manque d’ici les élections, effectuez tout de même un rapide mais pertinent diagnostic de l’état de l’art des usages informatiques des écoles de votre commune, pour mieux orienter ensuite vos propositions !!

    Voici quelques questions à vous poser auxquelles votre inspection de circonscription de l’Education Nationale ou le CRDP de votre département vous apporteront des éléments de réponses.

    Y a-t-il déjà eu une ou des expérimentations de numérique dans vos écoles ? Quelles en sont les conclusions ? Vos écoles sont-elles équipées de salles informatiques ? Sont-elles souvent utilisées ? Si non, pourquoi ? De quelles infrastructures disposent vos école ? etc.

    Dans le Guide de l’Ecole Numérique pour Elus Néophyte, vous trouverez  également une boite à outils sur les différents équipements que vos pouvez proposer.

    Quoiqu’il en soit pour montrer votre engagement à Réussir votre école Numérique, je vous propose de signer la charte et de recevoir votre logo à apposer sur vos supports de communication.

    4/ Préparez-vous aux questions des parents

    Au-delà des outils et des atouts du numérique pour leurs enfants, les parents pourront vous exprimer certaines de leurs inquiétudes, qui reviennent souvent telles que :

    « Nos enfants seront-ils davantage exposés au wifi ? » et « le coût de ce projet sera-t-il impacté sur nos impôts locaux ? ».

    Pour la question du wifi, il est important de préciser que vous pourrez mettre en place une étude technique avec le CRIIREM , ou organisme similaire, qui pourra établir un premier bilan des ondes électromagnétiques dans vos écoles puis une simulation, selon les équipements envisagées.

    Si votre électorat est réfractaire au tout wifi, vous pourrez également étudier plusieurs scénarii d’usages, d’outils et d’infrastructures en fonction de solutions alternatives.

    Quant à l’affectation sur les impôts locaux, je vous propose de vous inspirer de l’expérience de certaines villes telles qu’une ville du département des Yvelines qui a essentiellement financé son l’école numérique, grâce aux économies effectuées en supprimant certaines cérémonies nationales dont le 14 juillet !

    Amotice_specimenelus Plus d’infos :
    Pour mieux appréhendez les atouts du numérique à l’école, téléchargez la brochure : Le numérique à l’école : Elus engagez vous ! dans le cadre de l’opération du même nom mis en place par AMO-TICE avec Intel.

    Et vous quel projet de numérique à l’école pensez vous proposer à vos électeurs ?

    Ou si vous avez des questions, posez-les en nous contactant via le formulaire « contacter la rédaction » et j’y répondrai dans les plus brefs délais.

  • La ville d’Illkirch-Graffenstaden innove par la création d’un portail internet pour échanger avec les directeurs d’école

    La ville d’Illkirch-Graffenstaden innove par la création d’un portail internet pour échanger avec les directeurs d’école

    villeillkirch_tropheeeducatice_111213Pour cette innovation, la Ville s’est vu remettre l’un des trophées des technologies éducatives avec Mention spéciale du jury dans la catégorie Collectivités au Salon Educatec-Educatice (salon professionnel de l’Education) le 21 novembre à Paris.

     

    Le fruit d’une année de travail

    Tout au long d’une année scolaire, le service scolaire/périscolaire et les dix directeurs d’écoles maternelles et élémentaires se transmettent des documents, transfèrent des fichiers et des dossiers qui nécessitent des envois de documents par courrier, des courriels d’information, des appels téléphoniques…. Ces procédures étant lourdes, lentes et se heurtant à des problèmes de mise à jour, le service scolaire/périscolaire a réfléchi à un nouveau procédé moderne. Il s’agissait de gagner en efficacité et de faire la part belle à la dématérialisation.

    WEB ECOLES a donc été pensé comme un lieu unique où sont centralisées toutes les informations et les ressources des directeurs d’écoles. Il permet de faire le lien vers différents services de la ville. Il a pour vocation d’être la boîte à outils des directeurs. Ce portail répond à leurs besoins et contraintes pour le bon fonctionnement de l’école. Il permet une recherche et un partage efficace des informations avec réactivité et fluidité d’utilisation ; il répond à la contrainte constante de mise à jour des informations.

    Cette plate-forme, réalisée en interne par Sylvain Giorgetti, webmaster au service communication de la Ville, a été conçue « sur mesure » en fonction des besoins de fonctionnement émis par le service scolaire/périscolaire lors de leurs échanges avec les directeurs.

    Catherine Revil-Baudard et Charlène Kolb, responsables de ce service ont décidé ensemble de la constitution de l’arborescence thématique. En résumé, le site se compose d’une page d’accueil permettant d’accéder aux actualités et à diverses rubriques (inscriptions scolaires, vie de l’école, logistique, informatique, FAQ). Les directeurs peuvent ainsi puiser toutes les informations et documents qui leur sont nécessaires comme les bons de commande, les factures, les circulaires etc.

    Les principaux objectifs et atouts du projet

    Le projet WEB ECOLES a permis d’atteindre les objectifs suivants :

    • Favoriser des échanges écoles-Ville efficaces et réactifs
    • Permettre un travail collaboratif (partenariats interne et externe) et interactif
    • Apporter un support au travail administratif des directeurs d’écoles
    • Permettre une recherche et un partage efficaces des informations
    • Simplifier les démarches administratives

    Une phase test avec deux directeurs d’école (l’un à la tête d’un groupe scolaire et l’autre nouvellement affecté sur la commune) est en cours depuis septembre 2013.

    Pour l’heure, les deux directeurs apprécient l’arborescence adaptée à leur fonctionnement, la facilité/rapidité avec laquelle ils ont pu prendre en main l’outil, et le gain en efficacité.

    De son côté, le service scolaire constate déjà une transmission des informations plus complète dans des délais mieux respectés, un traitement des informations reçues plus rapide, plus d’interactivité, et une mise à jour plus rapide, ce qui permet d’adapter en permanence le contenu.

    Pour tous, WEB ECOLES  présente plusieurs atouts :

    –  un accès à des documents régulièrement mis à jour, à des formulaires harmonisés pour diverses demandes au service scolaire
    –  un gain de temps pour le service scolaire/périscolaire et les directeurs d’école
    –  le partage des dates de sorties, de classes vertes, ou kermesses … Les services périscolaires sont ainsi prévenus.
    – le partage des expériences et des bonnes pratiques

     

    La phase test s’achèvera fin décembre 2013. Cette étape aura permis d’évaluer le dispositif et d’apporter d’éventuelles améliorations avant le lancement du projet sur l’ensemble des écoles en janvier 2014.

    Villeillkirch_projeteducatice_111213

    Source : service communication de la ville d’Illkirch-Graffenstaden

    Photo, de gauche à droite : l’équipe service scolaire de la Ville Charlène Kolb, Chantal Laeuli-Merle et Catherine Revil-Baudard

     

     

  • Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

    Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales

    Etude2013_ADFARFANDEV_151013
    Quel est le poids des investissements des collectivités territoriales dans les nouvelles technologies éducatives? Que coûte le renouvellement des matériels chaque année ?
    Quels choix stratégiques entre Tableaux Blancs Interactifs fixes ou mobiles, écrans plats interactifs, vidéoprojecteurs interactifs ou non ?
    Doit-on équiper des classes informatiques et classes mobiles ou équiper des élèves en ordinateurs portables ou tablettes numériques ?
    Que coûte à la collectivité le raccordement des établissements en haut débit et quels frais de fonctionnement et d’abonnement cela implique-t-il ?
    Combien d’établissements sont sur le point d’être connectés à l’ENT ?
    Le BYOD est-il une solution à terme pour la collectivité ?

    Voici quelques-unes des questions auxquelles la deuxième édition de cette étude tentera de répondre ce qui permettra de mettre au jour le poids du numérique dans l’éducation, au regard des investissements dans l’éducation globalement supportés par les collectivités (adaptation des établissements, modernisation des cantines scolaires, transports,…).

    Ces résultats doivent permettre d’apprécier le niveau d’investissement national, consenti chaque année par les collectivités territoriales et son évolution dans le temps, par élève, par Académie et par région administrative française.

    Au delà des aspects quantitatifs qui seront mesurés sur une période de 4 années (2010-2014), l’étude cherche à mesurer les écarts entre les politiques, les points de vues sur les méthodes de gouvernance et les limites à ne pas franchir ou à explorer en fonction des compétences, devenues de plus en plus précises, des collectivités.

    Des constructeurs et éditeurs ont souhaité s’associer à cette initiative en apportant leur soutien pour la réalisation effective de l’étude : MICROSOFT, INTEL deux entreprises leaders de l’informatique mondiale, PROMETHEAN et SMART Technologies, fabricants de Tableaux Interactifs et de solutions interactives pour l’éducation et SFR, fournisseurs de services de télécommunication et solutions liées à la téléphonie et à l’Internet pour l’enseignement scolaire.

    Les premiers résultats de cette grande enquête seront présentés et commentés en avant-première
    le 19 Novembre 2013
    lors d’un Afterwork et d’une table ronde sur le sujet : « Numérique à l’école, un enjeu partagé »
    qui aura lieu à Issy-les-Moulineaux, dans les locaux de Microsoft.

    Si vous souhaitez être invité à participer à l’Afterwork « Numérique à l’école, un enjeu partagé » et à la présentation des premiers résultats, veuillez contactez Aurélie à redaction@ludovia.com ou vous inscrire directement en ligne.

    Plus d’infos sur les partenaires de cette étude :


    L’Assemblée des départements de France : www.departements.fr

    L’Association des Régions de France : www.arf-regions.org

    L’Association des Maires de France : www.amf.asso.fr

    L’Association Nationale des Directeurs de Grandes Villes ANDEV : www.andev.fr

    Ludovia Magazine : www.ludovia.com

     

    Les partenaires industriels :

    MICROSOFT France www.microsoft.fr

    INTEL www.intel.fr

    PROMETHEAN www.promethean.fr

    SMART Technologies www.smarttech.com/fr

    SFR www.sfr.fr