Étiquette : collèges

  • Les chercheurs apportent leur expertise aux 36 collèges pilotes « La main à la pâte »

    Les chercheurs apportent leur expertise aux 36 collèges pilotes « La main à la pâte »

    S’inspirant des principes expérimentés depuis plusieurs années à l’école et au collège, la Fondation La main à la pâte et les Maisons pour la science ont lancé, au cours de l’année scolaire précédente, avec le soutien de la Fondation Bettencourt-Schueller et de la Fondation Schlumberger pour l’Education et la Recherche le réseau des collèges pilotes La main à la pâte.

    Ce réseau d’établissements innovants vise à favoriser au sein des classes, une pratique des sciences et de la technologie attrayante, créative, contemporaine et formatrice, en s’appuyant sur des relations privilégiées avec des chercheurs, des ingénieurs , des techniciens.
    Les établissements pilotes sont situés pour moitié d’entre eux en zone d’éducation Prioritaire ou en zone rurale.

    Ils sont considérés comme des prototypes où l’expérimentation pédagogique se nourrit des apports du monde scientifique et technique, dans l’esprit de la réforme du collège engagée en 2016.

    Les collèges pilotes dans l’académie de Bordeaux  

    Dans l’académie de Bordeaux ce sont deux collèges qui ont été volontaires pour rejoindre ce réseau.

    Le collège Auguste Blanqui se situe dans le quartier de Bacalan au nord de Bordeaux, quartier qui relève de l’éducation prioritaire. Depuis la rentrée scolaire 2013, le collège propose l’EIST (Enseignement Intégré des Sciences et de la Technologie) aux élèves de 6èmes et aux 6èmes et 5èmes depuis 2015.
    Des actions ponctuelles autour des sciences sont mises en place avec les écoles du réseau et un temps de valorisation des projets scientifiques a lieu chaque année au mois de juin : « la semaine de la science » permettant d’accueillir les élèves de CM2 du réseau et de travailler autour d’ateliers expérimentaux, les collégiens jouant le rôle de tuteur auprès des écoliers.
    Quatre professeurs de sciences sont impliqués dans le projet : 2 professeurs de physique-chimie, un professeur de SVT et un professeur de technologie.

    Le collège Pierre de Castelnau de Geaune est quant à lui situé dans les Landes au sud de Mont-de-Marsan, dans le Pays Adour-Chalosse-Tursan. Le collège qui vient de fêter ses cinquante ans accueille un public majoritairement rural de 225 élèves. L’EIST y est mis en place depuis 2008.
    Là encore, les professeurs impliqués dans le projet sont les 3 enseignants de physique-chimie, de Technologie et de SVT du collège qui a établi depuis de nombreuses années des liens forts avec les écoles du secteur. Les enfants des écoles y sont accueillis tous les ans en octobre lors de la fête de la science organisée par le collège.

    Ce sont à cette rentrée scolaire 36 collèges venant de 8 régions qui se sont lancés dans cette expérimentation.

    Dans chacun d’eux, « un noyau dur d’enseignants travaille à la mise en place d’un projet scientifique en collaboration avec des membres de la communauté scientifique » nous confie Katia ALLEGRAUD coordonnatrice de ce projet à la fondation la MAP dans la vidéo ci-dessus.

    Les professeurs de ces collèges travaillent en équipe en partenariat étroit avec des laboratoires et des entreprises de leur territoire, pour mettre en place des activités scientifiques dans leurs domaines et en interdisciplinarité sur plusieurs années. Celles-ci s’attachent à développer la curiosité, l’imagination, la créativité, les capacités de raisonnement et de discernement, d’expression et de communication des jeunes tout en les aidant à acquérir des connaissances solides.
    Il s’agit avant tout de “rendre l’élève acteur de ses investigations, de le rendre à même de s’emparer de questionnements qui le concernent et d’aller chercher par lui même des réponses” .

    Le dialogue entre les acteurs du projet se décline sous différentes modalités : accueil de professeurs dans les laboratoires, visite en classe de scientifiques et de personnels d’entreprise, défis scientifiques proposés par des professionnels, prêt de matériel, échanges à distance, projets collaboratifs entre élèves, initiation aux sciences du numérique, classes inversées, stages d’élèves dans les structures partenaires…

    Séminaire national du réseau des collèges pilotes la MAP

    Le premier séminaire national du réseau des collèges pilotes La main à la pâte réunissant les professeurs référents et coordinateurs régionaux s’est tenu au collège Guillaume Budé à Paris , les 5 et 6 juillet dernier. Cet établissement de l’Education Prioritaire depuis 2015 situé dans le 19e arrondissement est le collège pilote LMAP de l’académie de Paris .
    Nous avons pour l’instant une collection de 36 collèges pilotes, l’idée c’est que cette collection devienne un réseau avec des échanges de pratiques, avec des correspondances, avec des projets communs” ajoute Katia ALLEGRAUD . Leur nombre sera porté à 55 au cours de cette année scolaire.

    Au programme de ce séminaire, une conférence de Daniel ROUAN astrophysicien , membre de l’Académie des Sciences et président de la fondation La main à la pâte, des ateliers d’échanges de pratiques et de réflexion, des moments de partage et de co-construction avec des scientifiques, un atelier expérimental au cours duquel les enseignants en petits groupes devaient reproduire avec du matériel très simple une éclipse solaire totale et la modéliser pour ensuite partager démarche, observations et résultats.

    Deux journées riches de partage.

    Voir aussi l’interview de Daniel Rouan, Président de la Fondation la MAP :

  • Plan numérique : 1668 collèges et 1817 écoles concernés

    Plan numérique : 1668 collèges et 1817 écoles concernés

    Dans le cadre du plan numérique, Najat Vallaud-Belkacem était jeudi 13 octobre dans le Val-de-Marne au collège Jean Moulin de Chevilly-Larue, territoire pionnier grâce à l’expérience ORDIVAL. En ce début d’année scolaire 2016-2017, le plan numérique pour l’éducation se déploie dans 1668 collèges et 1817 écoles.

    Dans le département du Val-de-Marne, la totalité des 104 collèges publics ainsi que 9 collèges privés sous contrat et près de 90 écoles élémentaires sont déjà concernés par le plan numérique et c’était donc l’occasion de présenter à Mme la Ministre pour la première fois :

      • les ressources numériques, couvrant les nouveaux programmes du CM1 à la 3e (cycles 3 et 4), gratuites et à disposition de tous les enseignants, grâce à l’effort des éditeurs numériques notamment grâce aux banques de ressources numériques pour l’École (BRNE), contenus et services associés ;
      • le nouveau portail d’accès et de présentation des ressources numériques MYRIAé, construit par CANOPé : c’est le moteur de recherche de l’ensemble des ressources pédagogiques numériques, construites par des éditeurs et des enseignants.


    Myriaé, le portail de recherche des ressources… par EducationFrance

    A ces ressources numériques rendues accessibles à tous via le portail MYRIAé, s’ajoutent :

    • la plateforme lireLactu.fr qui permet une lecture gratuite et en streaming de 15 titres de presse, accessible à ce jour dans 80% des collèges et lycées et très rapidement pour la totalité d’entre eux ;
    • l’offre Eduthèque, qui recense des milliers de ressources de qualité sélectionnées par de grands établissements publics à caractère scientifique et culturel comme le Louvre ou la BnF, tout juste rejoints par l’Institut du Monde Arabe.

    S’agissant de l’effort de formation à destination des enseignants, le ministère s’engage à reconduire cette année le plan exceptionnel de trois jours de formation au numérique qui s’est déjà déployé l’an dernier. D’autre part, la plateforme de formation en ligne M@gistere continue à s’enrichir de nouveaux modules consacrés au numérique et à la pédagogie avec le numérique.

    Enfin, tout cela nécessite des équipements, qui sont distribués progressivement aux élèves et à leurs enseignants, selon les calendriers des collectivités territoriales.

    Afin d’amplifier le plan numérique pour l’éducation à la rentrée 2017, une concertation avec l’assemblée des départements de France permet de poser les grands principes du prochain appel à projets « Collèges numériques et innovation pédagogique » qui sera publié dans les prochains jours.

    Source et extraits de Actualité « Le Plan Numérique pour l’Éducation ». En savoir plus sur la formation des enseignants, les nouveaux programmes et les ressources pédagogiques numériques dans le cadre du Plan, rendez-vous sur la page www.education.gouv.fr

    Plus d’infos sur Myriaé : www.myriae.education.fr

    Plus d’infos sur Eduthèque : www.edutheque.fr/accueil.html

    Plus d’infos vers les banques de ressources numériques éducatives (BRNE) : eduscol.education.fr/primabord/
    et eduscol.education.fr/brne et ecolenumerique.education.gouv.fr/brne

  • Le concours Alkindi relancé par Animath et France IOI pour la seconde édition

    Le concours Alkindi relancé par Animath et France IOI pour la seconde édition

    Cette compétition porte sur la cryptanalyse, l’art de déchiffrer les codes secrets. Après le succès de l’édition précédente, plus de 17 000 participants, les organisateurs du concours ont décidé d’ouvrir la participation aux classes de troisième et quatrième, en plus des secondes.

    Aujourd’hui, les questions de sécurité des données sont des enjeux majeurs de notre société, que ce soit pour protéger les transactions bancaires ou garantir la protection de la vie privée. Tout cela est rendu possible grâce aux mathématiques et à l’informatique.

    A travers cette action, les associations souhaitent faire découvrir cette application très concrète des mathématiques, qui joue un rôle fondamental dans notre vie quotidienne.

    Ce concours doit permettre aux collégiens et lycéens de prendre du plaisir en faisant des mathématiques mais aussi de les sensibiliser à la question importante de la sécurité de l’information.

    Il rentre dans le cadre de la Stratégie mathématiques et du plan École numérique du Ministère de l’Éducation nationale.

    Organisation du concours

    Trois tours en ligne et une finale sont organisés. Les meilleurs de chaque tour se qualifient pour le tour suivant :

    • Du 5 au 16 décembre : le premier tour est une épreuve de 45 minutes sur ordinateur, à laquelle les élèves peuvent participer seul ou en binôme sous la surveillance d’un enseignant. Il s’agit d’une série de problèmes interactifs pour découvrir divers aspects de la cryptanalyse. Les exercices de l’année dernière peut être testée sur epreuve.concours-alkindi.fr.
    • Du 16 janvier au 4 mars : le deuxième tour est une épreuve ouverte pendant six semaines, à laquelle les élèves participent par équipes de 1 à 4 personnes, en classe ou chez soi. Plusieurs défis sont proposés, qui consistent en des messages secrets à décrypter.
    • Du 20 mars au 1er avril : le troisième tour les participants devront comprendre un message chiffré en une heure et demie, sous la surveillance d’un enseignant. Seule cette épreuve compte pour la sélection en finale.
    • Fin mai : une finale, réunissant une équipe de chaque grande académie, se déroulera à Paris et consistera en une épreuve de deux heures sur papier.

    Au terme du concours, certains participants auront la chance de visiter des laboratoires d’informatique/mathématique et de recevoir de nombreux lots.

    Plus d’infos :
    www.concours-alkindi.fr

  • Un séminaire d’une journée dédié aux collectivités locales à Ludovia#13

    Un séminaire d’une journée dédié aux collectivités locales à Ludovia#13

    Au cours des quatre jours de l’université d’été de Ludovia#13, et pour sa 8ème édition, un séminaire sur « L’établissement du XXIème siècle et numérique », étudié et validé avec les collectivités locales , aura lieu le mercredi 24 août à Ax-les-thermes

    Problématique du séminaire 2016

    Le numérique est utilisé depuis de nombreuses années dans les établissements scolaires dans tous les niveaux. La pratique est plus ou moins évoluée selon les établissements : Dans tous les cas, les collectivités ont répondu présent, pour la plupart, en matière d’équipement, de réseaux et d’adaptation aux besoins des enseignants et des programmes successifs initiés par le Ministère de l’éducation Nationale.

    Le dernier Plan Numérique et les appels à projets imposent une autre dimension : dans certains cas la réponse aux besoins ne doit plus se contenter d’être une réponse partielle qui s’adresse à un nombre restreint d’élèves et d’enseignants dans l’établissement, mais une réponse devant couvrir les besoins de tous les enseignants ou d’un niveau entier (la 5ème en outre) sur l’établissement. Quel impact sur les réseaux, la gestion et la maintenance des parcs de machines, les achats, le choix et les propositions durables apportées par la collectivité. Quid de la gestion des compétences ?

    Dans ce contexte, la ruralité, les zones de montagne et l’isolement géographiques des établissement sont aussi au cœur des problématiques liées au numérique ; ces établissements et avec elles les collectivités peuvent-elles répondre aux enjeux de généralisation et de massification des usages ? Quelles contraintes ? Quelles organisation et initiatives peuvent-elles mette en œuvre pour assurer un service équitable de l’éducation sur son territoire ?

    Ce séminaire qui aura pour vocation pour sa 8ème édition de réunir collectivités et établissements ayant déjà expérimenté le numérique dans leurs établissements du premier degré aux lycées se déroulera sur 2 journées en 3 sessions qui permettront par des analyses approfondies d’études de cas de mesurer quelles solutions, méthodes ont été mises en œuvre pour gérer la massification des besoins.

    Nota : Chaque session débute par une table ronde, elle est ensuite suivie de 1 ou 2 études de cas sur des territoires ou un établissement particulier.

    Des intervenants de qualité et d’horizons variés

    Du lycée de Font-Romeu avec le sujet du « numérique et sportifs de haut niveau », en passant par l’organisme le SMICA en Aveyron ou par la présence de la Région Nouvelle Aquitaine ou encore le déploiement de tablettes dans les collèges ariégeois, ce sont plusieurs témoignages et études de cas qui vont animer le débat et les réflexions des participants.

    L’animation de cette journée sera animée par Serge Pouts-Lajus du cabinet « Education & Territoires », avec le concours de Ludomag.com.

    Plus d’infos  : rendez-vous sur le programme en ligne

    Crédit photo : Dessin réalisé par CIRE

     

  • « Les Grands Prix Médiatiks », palmarès national : concours des médias scolaires et lycéens

    « Les Grands Prix Médiatiks », palmarès national : concours des médias scolaires et lycéens

    Organisé par le Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information (CLEMI) depuis 2013, Médiatiks est le plus important concours de médias scolaires et lycéens en France. Il est le seul à s’adresser à tous les élèves, du primaire au secondaire, et implique tous les supports médiatiques : journaux papier, webradios, webTV, sites et blogs.

    Cette année, la participation est en hausse avec 686 médias scolaires inscrits (+ 9%) : on note une légère diminution des journaux papier (429, soit -2,5 %) largement compensée par une forte progression des médias numériques (227, soit + 43,5 %).

    Des concours académiques de Médiatiks ont été organisés par les équipes du CLEMI en partenariat avec les acteurs et médias locaux afin d’être au plus près du terrain. Pour l’édition 2016, le CLEMI a souhaité valoriser à l’échelle nationale les médias scolaires préalablement primés dans chaque concours académique.

    Le 1er juin, le palmarès a été dévoilé en présence des élèves venant de cinq académies et de leurs enseignants. Le jury remettra aux lauréats huit « Grands Prix Médiatiks » par niveau (école, collège, lycées, autres) et type de support (papier/numérique).

    Médiatiks s’inscrit dans la mesure annoncée par Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation nationale, qui consiste à « mettre en place un média dans chaque lycée et dans chaque collège ». Ce concours encourage les pratiques et la production de médias scolaires et lycéens qui favorisent l’apprentissage de la liberté d’expression et la culture du débat citoyen.

    Le Palmarès est à découvrir ici

    source photo : CLEMI

     

  • ENT27 : Success story d’un changement d’ENT en un temps record

    ENT27 : Success story d’un changement d’ENT en un temps record

    Les besoins énoncés

    La solution précédente du département de l’Eure ne correspondait plus aux attentes des utilisateurs exigeant un ENT efficient, répondant aux pratiques et usages actuels et permettant l’accès à un bouquet de services étendus.

    L’enjeu était de déployer un ENT de qualité sur 56 collèges de l’Eure très rapidement, en intégrant l’ensemble des contenus de la solution logicielle abandonnée.

    La souplesse du nouvel outil devait pour les utilisateurs se traduire par une prise en main rapide, accompagnée par des sessions de formation. La performance de l’ENT en termes de stabilité et de temps de réponse étaient également un des enjeux du projet.

    Enfin, il était attendu pour la solution proposée d’être hébergée de façon sécurisée, d’être évolutive, adaptable et d’être appuyée par un service de conseil, d’assistance et de maintenance présent, réactif, et pédagogue.

    « Ce qui nous a fait trancher pour Kosmos face aux propositions concurrentes lors de l’appel d’offres sont le prix, la qualité de sa solution et sa couverture technique et fonctionnelle », déclare Sylvie Le Gratiet, directrice de l’éducation du département de l’Eure.

    Kosmos2_ENT27_020516

    Le projet

    Livré par Kosmos en moins d’un mois, l’ENT27 a été déployé en une seule fois avec une reprise des contenus de la solution ENT précédente.

    L’ENT des collèges de l’Eure propose un bouquet de services complet couvrant la scolarité (notes, absences, sanctions…), la pédagogie (cahier de textes, évaluation des compétences…), les ressources pédagogiques multimédia, les éditions de cours et les documents partagés.

    Il offre des fonctionnalités collaboratives et de communication avancée de type Web 2.0 aux élèves et à leurs parents, tous titulaires de comptes : accès à la messagerie, porte-document…

    Chacun des 56 établissements de l’Eure dispose d’un portail internet public et d’un espace privatif intranet sécurisé pour échanger avec la communauté éducative : procédures d’inscription, restauration scolaire, bourses, actions éducatives, etc.

    « Kosmos a été pour nous un ballon d’oxygène. Leur support N1 est d’une très grande qualité technique et humaine. La moindre difficulté est résolue dans la journée », souligne Frédéric Hamelin, enseignant en SVT, utilisateur de l’ENT27.

    La synthèse du projet

    100% des collèges de l’Eure dispose aujourd’hui d’un ENT performant. Déployé en un temps record et réalisé en étroite collaboration avec les utilisateurs et les représentants des institutions, le projet est un succès !

    Les parents et les élèves se sont réunis naturellement autour de la solution K-d’école grâce à une meilleure expérience utilisateur.

    La qualité technique et fonctionnelle de la solution K-d’école et l’accompagnement poussé des équipes de Kosmos garantissent aux collectivités la mise à disposition d’un ENT efficace auprès de la communauté éducative.

    Les points clés

    • REPRISE DES CONTENUS : reprise et migration des contenus existants
    • DÉPLOIEMENT RAPIDE : un projet réalisé en 1 mois seulement
    • FORMATION : un programme de formation sur-mesure réalisé par des consultants de Kosmos
    • SUPPORT N1 : un service d’assistance aux utilisateurs assuré par des interlocuteurs métiers de Kosmos

    Quelques chiffres

    • 56 collèges
    • 90 000 utilisateurs
    • 30 000 élèves
    • 80 % des utilisateurs se déclarent être satisfaits de l’ENT27

    « Le déploiement de l’ENT27 est une réussite. Nous constatons une véritable augmentation des usages : ce sont déjà 30% des parents et 54% des élèves qui se servent de l’ENT27 », ajoute Sylvie Le Gratiet, directrice de l’éducation du département de l’Eure.

    Plus d’infos :
    Lien vers le site ENT27 : projet.ent27.fr
    L’article sur le sujet sur kosmos.fr 

  • Grenoble INP, co-organisateur de la 5ème édition du concours international de robotique « FIRST Tech Challenge » pour les lycéens et collégiens

    Grenoble INP, co-organisateur de la 5ème édition du concours international de robotique « FIRST Tech Challenge » pour les lycéens et collégiens

    [callout]Cette compétition, challenge des équipes d’élèves du secondaire (lycées et collèges) en leur faisant résoudre une problématique par un robot qu’ils devront eux-mêmes imaginer et créer.[/callout]

    GrenobleINP_concoursrobotique

    Ce concours international de robotique est organisé par l’association FIRST (For Inspiration and Recognition of Science and Technology, créée en 1989 pour sensibiliser et impliquer le jeune public dans les sciences et techniques) et sponsorisé en Europe par PTC, société de logiciels de développement de produits.

    Il se déroule partout dans le monde (Etats-Unis, Inde, Singapour Russie, Corée, Espagne, Hollande, Allemagne, …).

    En France, Grenoble INP co-organise l’édition nationale du concours de robotique FIRST Tech Challenge (FTC2016), en partenariat avec la société PTC, la ville de Fontaine, Grenoble-Alpes Métropole, la Région Rhône Alpes et la fondation Grenoble INP.

    La robotique, un secteur d’avenir

    La robotique trouve un très grand nombre d’applications et joue un rôle crucial dans la société actuelle : chaînes de montage dans l’industrie automobile, humanoïde, exploration de planète (Curiosity) ou de comète (comme par exemple, le robot Philae et sa sonde Rosetta qui avait été pilotée par un ancien de Grenoble INP – Phelma), médecine, chirurgie, drone, aide aux personnes ou encore accompagnement social.

    Un projet avec de réelles contraintes d’ingénierie

    En début de projet, toutes les équipes peuvent, si elles le désirent, emprunter auprès de l’organisation du concours le kit matériel requis. Tout au long de l’année, les participants, assistés dans leur démarche par des étudiants et personnels d’écoles de Grenoble INP,  conçoivent, construisent, programment et testent leur robot.

    Un véritable projet pédagogique dans lequel les participants devront respecter des contraintes d’ingénierie bien réelles : cahier des charges et délais à tenir, travail en équipe et en mode projet,…

    Chaque projet est évalué par un jury qui récompense les meilleures équipes avec différents prix, tels que le Prix de la motivation et du Fair Play, le Prix du dossier technique, le Prix de l’Innovation, le Prix du meilleur Design…et selon des critères précis comme par exemple la qualité des figures et légendes, l’ingéniosité des solutions ou encore la fonctionnalité du robot…
    Le Prix du Jury sera décerné à l’équipe qui aura su répondre le mieux  à l’ensemble des critères et Le Prix du Concours sera remis à l’équipe qui aura obtenu le plus de points à l’issue des différents matchs.

    Qu’est-ce qui différencie le FIRST Tech Challenge d’une compétition de robotique « classique » ?

    Ce concours entre dans le cadre des dispositifs « ACE » (Aide Citoyenne aux Études), à l’instar de « Cordée de la réussite« , dont l’objectif est de favoriser l’accès à l’enseignement supérieur de jeunes quel que soit leur milieu socio-culturel, en leur donnant les clés pour s’engager avec succès dans les filières d’excellence.

    Outre une compétition de robotique entre élèves, ce projet est aussi un moyen pour Grenoble INP de faire la promotion des sciences et de l’égalité des chances dans l’accès aux formations d’ingénieur auprès des lycées et collèges. Bien que basé sur le principe ludique d’un concours de robotique, le FIRST Tech Challenge constitue pour les équipes des collèges et lycées, les professeurs encadrant et les tuteurs Grenoble INP, un véritable projet pédagogique.

    La sensibilisation aux sciences auprès du jeune public : enjeu crucial pour Grenoble INP

    On observe aujourd’hui une certaine désaffection pour les sciences auprès des jeunes élèves de collèges ou lycées et ce, malgré un besoin toujours plus fort d’ingénieurs de la part des entreprises. Le monde industriel et celui de la Recherche s’en trouvent ainsi pénalisés avec un appauvrissement de leur recrutement.

    Donner ou redonner le goût des sciences aux plus jeunes est un enjeu majeur tant Grenoble INP que pour l’Industrie et la Recherche.

    Pour recruter les étudiants qui deviendront les ingénieurs et les chercheurs de demain, Grenoble INP s’engage depuis toujours dans des actions envers les établissements du secondaire ayant pour but de sensibiliser les élèves aux métiers et au secteur de l’ingénierie. L’organisation du concours international de robotique FIRST Tech Challenge en est un exemple.

    Grenoble INP a également la volonté d’encourager les vocations féminines pour les carrières scientifiques et technologiques, à travers cette initiative.

    Plus d’infos :
    Chiffres clés en 2016
    20 équipes inscrites – plus de 200 participants
    Venant de la région Rhône Alpes Auvergne : Fontaine, Grenoble, Lyon, Decines (69), Aix-les-Bains, Gières, Portes-les-valences, Isle d’Abeau, Rives, mais aussi de Paris.
    2 arènes depuis 2014 (1 arène de jeu en 2012 et 2013)
    Participation active de plus de 50 bénévoles
     

  • Pilotage d’un collège préfigurateur dans l’académie de Versailles

    Pilotage d’un collège préfigurateur dans l’académie de Versailles

    [callout]Présentation par Franck Dubois, chargé de mission pour le pilotage des collèges préfigurateurs avec l’exemple du collège de Sèvres.[/callout]

    Ce collège a été doté de tablettes dans le cadre du Plan Numérique dès décembre 2015. Franck Dubois explique comment il accompagne les établissements à cette arrivée massive de matériels.

    La première phase consiste à équiper les enseignants et à les former puis dotations et élèves ; en parallèle, l’établissement a commencé à réfléchir à l’aménagement des locaux.

    A suivre sur la vidéo ci-contre :

    Retrouvez tous les articles et retours d’usages des NetJournées mars 2016 ici

  • Lancement de CLASS’CODE : initier les jeunes aux fondamentaux du numérique

    Lancement de CLASS’CODE : initier les jeunes aux fondamentaux du numérique

    Class’Code a l’ambition d’initier les jeunes de 8 à 14 ans à la pensée informatique en s’appuyant sur un parcours de formation libre et innovant destiné aux professionnels de l’éducation, enseignants et animateurs et aux informaticiens.

    Class’Code sera en place à la rentrée 2016 dans l’Education Nationale.

    L’objectif de Class’Code est de répondre au besoin de formation les professionnels de l’éducation, de leur apporter une compétence nouvelle et l’opportunité d’intervenir aux côtés d’animateurs pour partager leurs métiers liés à l’informatique.

    Il permet également  aux jeunes de comprendre le numérique, le maîtriser et en partager les fondements.

    Le parcours Class’Code pour les intervenants

    La formation Class’Code en ligne est simple d’utilisation, elle comporte 5 modules, sur un MOOC, pour s’initier à la pensée informatique et savoir la transmettre aux jeunes, pour débuter à programmer afin d’intégrer les fondements et les concepts clefs du numérique, et les enjeux sociétaux.

    Ces modules sont couplés à des temps de rencontres entre des professionnels de l’éducation et de l’informatique,
    pour apporter un accompagnement et un partage de bonnes pratiques. Chaque module comprend une dizaine d’heures réparties sur 3 à 4 semaines, permettant d’animer des premiers ateliers de découverte avec les jeunes, dans les temps péri ou extra scolaires : programmation créative, codage de l’information, robotique ludique et enjeux sociétaux liés à l’informatique.

    Class’Code aide les jeunes  à :
    ·         Comprendre le monde numérique dans lequel on vit
    ·         Disposer de nouvelles façons de créer des objets numériques
    ·         Maîtriser les usages, au-delà d’un simple mode d’emploi
    ·         Dépasser les dangers de ce que nous ne comprenons pas dans le numérique
    ·         Découvrir les métiers du numérique de demain

    Une expérience pilote est actuellement conduite en Provence Alpes Côte D’Azur et en Pays de la Loire, avec le soutien de la région.

    Plus d’infos :
    Sites d’information sur Class’Code : https://classcode.fr  et www.assopascaline.fr

    Les partenaires de Class’Code :
    Les mondes scolaires et périscolaires, les milieux industriel et académique, et ceux qui s’intéressent aux aspects techniques
    et sociétaux du numérique, se retrouvent au sein du projet Class’Code pour se former et échanger.

    Ce projet est soutenu par les associations professionnelles de l’informatique et des réseaux d’éducation réunis par la SIF.
    Il est porté par l’INRIA, Institut public de recherche en sciences du numérique. Les start-up Magic Makers
    et Open Classrooms qui en assurent respectivement la direction pédagogique et la production.

    Class’ Code fait partie du plan d’investissement d’avenir opéré par la Caisse des dépôts. Le déploiement sur les territoires s’effectue sous l’impulsion de l’Association « Les Petits Débrouillards », réseau national d‘éducation populaire à la science et par la science.