Étiquette : calcul

  • calcul@TICE : s’entraîner au calcul mental du CP à la 6ème !

    calcul@TICE : s’entraîner au calcul mental du CP à la 6ème !

    Conçue par les équipes TICE et mathématiques de l’académie de Lille, l’application calcul@TICE permet un entraînement régulier au calcul mental du CP à la 6ème et contribue à l’acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture.

    Plus simple et plus rapide, elle sera  disponible prochainement  sur tablette via les stores (Android, Apple et Windows).

    La tablette est un outil polyvalent qui permet de multiplier les usages de calcul@TICE en classe et en dehors de la classe, et avec deux types d’utilisation :

    . un accès libre hors connexion : l’élève peut choisir son niveau et ses exercices, pour le plaisir de calculer en jouant et pour améliorer ses performances.
    . un accès connecté pour une meilleure gestion de l’hétérogénéité des classes.

    L’enseignant peut préparer des parcours adaptés aux besoins de chaque élève. Les exercices proposés répondent aux exigences et attentes du socle et des programmes. L’enseignant et les élèves ont accès à l’historique des résultats, quel que soit le type d’accès utilisé, ce qui permet une plus grande autonomie des élèves dans leurs apprentissages.

    Source : eduscol

  • La TI-Primaire Plus, un instrument de calcul adapté aux nouveaux programmes de primaire

    La TI-Primaire Plus, un instrument de calcul adapté aux nouveaux programmes de primaire

    Les discussions entre les équipes des académies de Rouen, Lyon, Grenoble, Reims, Bordeaux et Paris se sont appuyées sur une brève présentation autour de quatre thèmes :

    • TexasInstruments3_art4_220915les apprentissages : la numération, la résolution de problème et les démarches mathématiques,
    • l’évaluation,
    • la liaison école-collège,
    • la gestion de classe.

    Six points essentiels ressortent des exposés. La calculatrice :

    1. renforce l’autonomie
    2. permet à travers ses rétroactions un dialogue avec les élèves
    3. est une assistante mathématique
    4. facilite l’évaluation formative
    5. facilite l’entrée dans le raisonnement
    6. est une source de motivation pour les élèves

    Thème 1 : Travail sur les apprentissages : la numération, la résolution de problème et les démarches

    Beaucoup des activités testées dans les classes ont été construites sur les propositions du recueil d’activités Hatier CM1-CM2 ou celui de 6ème-5ème.

    Par exemple, l’activité « un 0 ou un 9 de plus » demande aux élèves d’imaginer des additions qui vont, à chaque étape, rajouter un 0 (ou un 9) dans l’écriture décimale d’un nombre :

    par exemple 354 il n’y a pas de 0 dans son écriture décimale. 354 + 6 = 360 (il y a un zéro). 360 + 40 = 400 et il y a deux zéros. 400 + 600 = 1000 (3 zéros) ; etc.

    Les objectifs affichés (Connaître et utiliser la valeur positionnelle des chiffres et Calcul mental) obligent les élèves à s’interroger sur ce qu’ils doivent ajouter pour savoir sur quels chiffres agir afin d’avoir un zéro de plus que le nombre précédent.

    D’autres exemples peuvent concerner les différentes représentations d’une même fraction ; la calculatrice rétroagit avec les élèves (en l’occurrence à la question 1/2 = ?/?, la réponse de la calculatrice est “infinité de solutions”) et les engage dans une recherche plus approfondie.

    Mais des activités ont été aussi imaginées par les enseignants avec des objectifs de développement de l’autonomie dans des exercices de calcul mental où les élèves jouent à deux, la calculatrice prenant alors le rôle de juge arbitre.

    Thème 2 : Travail sur l’évaluation

    Des expérimentations ont été faites en classe et reposent sur le principe de l’évaluation formative s’articulant autour de trois moments cruciaux :

    • TexasInstruments2_art4_220915la prise d’information : où en sont les élèves ? Que savent-ils ? Quelles connaissances sont mobilisables et mobilisées ?
    • l’analyse de l’information en regard des compétences visées
    • le retour de cette analyse pour adapter l’enseignement aux besoins de chaque élève et pour chaque élève d’avoir l’opportunité d’adapter son apprentissage.

    La calculatrice a ainsi joué un rôle dans des séances spécifiquement pensées comme des séances d’évaluation formative mais aussi dans le cours de la classe ordinaire. Progressivement les connaissances mathématiques, en se stabilisant, permettent de se passer de l’outil et de recontextualiser les compétences à évaluer dans une évaluation sommative.

    Thème 3 : Travail sur la liaison école-collège

    Deux contributions ont présenté des activités à la liaison école-collège, en mettant soit l’accent sur les interactions et la rencontre entre les élèves de primaire et de collège autour d’activités avec la calculatrice, soit l’accent sur l’activité elle-même et sa déclinaison pour l’école ou le collège.

    Dans le premier cas, il s’agit d’une communication entre classes de CM2 et de 6eme autour de problèmes inventés par les élèves sur le thème de la numération. Les élèves ont cherché et soumis à leur binôme des problèmes qu’ils considèrent comme difficiles, tels que 846/286 = ?/858, comme dans la production d’Amyra et de Lina ci-contre.

    Dans le second cas, les élèves ne se sont pas rencontrés, mais ils ont travaillé sur des activités déclinées pour le CM2 et la 6e à partir du même point de départ.

    Il s’agit de chercher les couples de facteurs possibles pour obtenir 20 : ? x ? = 20.

    A l’école primaire, l’objectif est de travailler les décompositions d’un nombre entier en produit de deux ou plusieurs facteurs, les diviseurs d’un nombre et de proposer une première approche du concept de nombre premier.

    Au collège, le développement est différent à partir du même point de départ. Les élèves doivent trouver trois couples de solutions avec des contraintes successives (dans N, dans D, comment choisir le premier facteur,…).

    Thème 4 : Travail sur la gestion de classe

    La place des calculatrices

    Dans la majorité des cas en primaire la calculatrice reste dans la classe bien rangées, ou dans un carton à disposition des élèves ou sur leur bureau. Chacune de ces options peut être défendue par des choix pédagogiques et conduit à des usages pour lesquels la calculatrice ne joue pas le même rôle.

    L’organisation de la classe

    Là encore plusieurs organisations de classe répondent à des besoins spécifiques :

    • le travail différencié dans des groupes organisés par le professeur, ou dans la mise en place de rituels permettant une “différenciation discrète”,
    • le travail individuel permettant à chaque élève d’avancer dans une suite de tâches à son rythme ,
    • le travail collectif, utilisant le tableau ou l’émulateur sur un TBI pour mettre en commun ou découvrir la calculatrice ou certaines de ses fonctionnalités.

    Les usages de la calculatrice

    La distinction est faite entre les modes de la calculatrice :

    • le mode “normal” d’une calculatrice traditionnelle pour effectuer des calculs mais rapidement vue par les élèves comme possédant des touches “magiques” : répétition d’une commande (Op), décomposition d’une fraction en partie entière et rompu, écriture et simplification des fractions,…
    • le mode “exercice”, souvent piloté par le professeur, est utilisé pour approfondir, (donner du sens à la numération des entiers, comprendre les décimaux et du passage fractions/décimaux), pour repérer des difficultés (la calculatrice mettant en évidence des difficultés et permettant au professeur de prendre de l’information sur les connaissances des élèves) et pour différencier l’enseignement.

    Le questionnaire

    Un résultat marquant du questionnaire proposé aux enseignants ayant participé à l’expérience est le changement de point de vue vis-à-vis des calculatrices.

    TexasInstruments1_art4_220915

    Perspectives :

    • Les nouveaux programmes de mathématiques de l’école primaire et en particulier ceux du cycle 3 insistent sur les compétences majeures qu’il s’agit de développer chez les élèves : chercher, modéliser, représenter, calculer, raisonner et communiquer.

    Les premières expérimentations faites avec la calculatrice TI-Primaire Plus ont bien montré toutes les possibilités ouvertes pour proposer des véritables problèmes permettant de rentrer dans cette démarche conduisant à développer ces compétences.

    Par ailleurs, le développement de l’autonomie signalé comme essentiel dans ces programmes demande de mettre en place un milieu, au sens de la théorie des situations didactiques, permettant aux élèves de faire l’expérience de cette autonomie. Les rétroactions de la calculatrice peuvent constituer un environnement suffisamment riche pour faire entrer les élèves dans une démarche réflexive permettant d’acquérir cette autonomie.

    Le rôle du professeur et des situations mises en place seront bien sûr cruciaux pour permettre le développement de ces compétences.

    • En rentrant un peu plus dans les détails, on lit dans les démarches, méthodes et outils du programme l’importance des problèmes dans la mobilisation et l’exercice des connaissances vues précédemment et dans la construction des connaissances nouvelles ; dans ce cadre, les expérimentations conduites dans le cadre du projet CaPriCo pourront constituer des pistes de réflexion, comme l’utilisation du mode « exercice » qui a été souvent utilisé pour donner du sens à la numération des entiers, comprendre les décimaux et le passage fractions/décimaux, pour repérer des difficultés (la calculatrice mettant en évidence des difficultés et permettant au professeur de prendre de l’information sur les connaissances des élèves) et pour différencier l’enseignement.

    Plus d’infos :

    Le compte rendu complet peut être téléchargé en suivant ce lien.

     

  • Crapoks, maths & memory, une appli qui révolutionne le calcul mental

    Crapoks, maths & memory, une appli qui révolutionne le calcul mental

    App_calculmental2_280114
    Une méthode unique élaborée par des professeurs des écoles mixant jeux de mémoire et de réflexe pour être imbattable en calcul mental.
    Idéal pour les enfants à partir de 6 ans et aussi pour les parents !

    Plus d’infos :
    Une application éducative réalisée par le studio Français Pinpin Team
    Téléchargez dès maintenant cette application sur votre smartphone ou tablette sur Appstore et sur GooglePlay

  • Read Play, le serious game pour évaluer des ados en situation d’illettrisme ou décrocheurs scolaires

    Read Play, le serious game pour évaluer des ados en situation d’illettrisme ou décrocheurs scolaires

    Ce serious game innovant associe des séquences vidéo dynamiques de la vie professionnelle (métiers du bâtiment,  de la restauration…) à des épreuves d’évaluation du langage écrit et du fonctionnement cognitif.

    Gerip2_151013Le logiciel READ PLAY (support DVD PC/MAC)

    Read Play est un serious game d’évaluation des compétences clés pour des apprenants présentant des troubles de la lecture, de l’orthographe ou du calcul. Il permet, à l’aide de 20 épreuves d’évaluation contenant chacune 15 items (ou étapes) d’évaluer le niveau de langage oral et écrit ainsi que le profil cognitif d’un apprenant adulte.

    La passation complète de l’évaluation Read Play permet d’établir un positionnement de l’apprenant concernant son degré d’illettrisme sur une échelle de 1 à 4 (référentiel ANLCI) et surtout de cerner ses points forts et ses lacunes afin d’établir un projet de remédiation efficace et sur-mesure.

    Les épreuves cognitives et linguistiques ont été élaborées en s’appuyant sur des situations concrètes de la vie professionnelle.

    Gerip_141013Read Play utilise des séquences vidéo « métiers » et 300 items d’évaluation

    Le DVD Read Play s’appuie sur des séquences vidéo de gestes techniques liés à la vie professionnelle dans les domaines du bâtiment / transport /  voirie / restauration/ propreté et sur l’évaluation des fonctions cognitives et linguistiques (perception/attention/visio-spatial/mémoire/logique/langage oral/langage écrit/fonctions exécutives).

     

     

    En savoir plus :
    Gerip est une société spécialisée dans l’évaluation et la remédiations cognitives par des dispositifs numériques innovants
    pour les élèves à besoins particuliers : élèves DYS, décrocheurs scolaires, jeunes en situation d’illettrisme
    Plus d’infos : www.gerip.com

  • KameleoMath, une appli ludique pour apprendre le calcul mental

    KameleoMath, une appli ludique pour apprendre le calcul mental

    L’application propose des équations amusantes, pour apprendre le calcul mental dans les 4 opérateurs de base: l’addition, la soustraction, la multiplication et la division.

    En cas d’erreur, des pistes de réflexion leur permettent de visualiser graphiquement le calcul. Finies les longues séances de répétition avec les enfants, avec KameleoMath ils vont s’amuser et apprendre le calcul mental. Et c’est la tablette qui fait le travail, plus les parents ! Idéal pour la rentrée scolaire.

    Kamelomaths_170913Une méthode validée par un pédagogue spécialisé suisse

    KameleoMath a été élaborée en collaboration avec Eric Burdet, formateur en didactique des mathématiques au centre de formation des enseignants de l’école primaire à Genève,

    «Au-delà du juste ou faux, l’intérêt de KameleoMath est non seulement de faire répéter des calculs  de façon ludique, mais aussi de représenter graphiquement ces calculs ou de proposer différentes procédures de résolution pour développer des stratégies personnelles de calcul».

    Le concept

    L’application propose 3 niveaux de jeux (débutant, moyen et avancé) allant du calcul mental élémentaire au calcul plus complexe, ainsi que des graphiques sympas et amicaux, le tout dans divers univers amusants.

    Accompagné par « Kameleo» un petit caméleon rigolo, l’enfant devra résoudre, de manière distrayante, des opérations afin de nourrir son nouvel ami très gourmand. Les insectes représentent un des résultats possibles d’une opération. Si c’est la bonne réponse, le caméléon pourra manger l’insecte. Si ce n’est pas le cas, il ne sera pas content.

    La répétition, mais aussi des représentations graphiques pour mieux comprendre

    Le calcul mental repose sur une méthodologie complexe basée sur la distinction entre le « calcul automatisé » et le « calcul réfléchi » qui débouche sur des stratégies et des techniques de calcul que chacun de nous intériorise et développe sans s’en rendre compte.

    KameleoMath s’appuie sur ces 2 éléments fondamentaux pour proposer des calculs mentaux à résoudre.

    Kamelomaths3_170913KameleoMath propose également aux joueurs des pistes de réflexions s’ils sont en difficulté, qui leur permettent de progresser en visualisant, non seulement des solutions en écriture mathématique classique, mais également sous forme de représentations graphiques pour comprendre visuellement et intuitivement le rôle des opérateurs.

    Cette méthodologie, basée sur la répétition, peut s’exprimer à travers des temps de calculs qui varient selon le type d’équation et à travers des niveaux de progression adaptés.

    Kameleomaths2_170913KameleoMath propose trois niveaux pour chacun des opérateurs : “Souris” pour débutant, « Ours» pour moyen, et « Tigre» pour avancé.

    Le joueur (ou le parent/enseignant) peut sélectionner un ou plusieurs niveaux par opérateur. L’enfant peut avoir besoin de plus de répétition en multiplication qu’en soustraction.

    Pour la multiplication et la division, il peut également sélectionner les tables entre 2 et 12.

    Afin de bien choisir son niveau, une description précise est accessible dans l’écran de paramétrage des niveaux.

    La force du jeu réside aussi dans la précision des niveaux et leur découpage en 9 étapes (trois visibles -souris/ours/tigre- trois plus subtiles -les 3 étoiles-). Un effort particulier a été fait sur la génération des équations (niveaux pointus, progression graduelle des difficultés, 20% d’équations à trous, 10% maximum de présence du zéro)