Catégorie : mobile-learning

  • e-doceo dévoile SkillCatch, sa nouvelle application mobile permettant à chacun de transmettre son savoir

    e-doceo dévoile SkillCatch, sa nouvelle application mobile permettant à chacun de transmettre son savoir

    [callout]SkillCatch, la nouvelle application d’e-doceo, a pour but de rendre la formation accessible à tous et d’ouvrir les portes de la pédagogie dans la vie quotidienne. Skillcatch est une application pensée pour tous, professionnels aussi bien que particuliers, qui permet de capter les talents de chacun, n’importe où et n’importe quand.[/callout]

    Une app pour capturer les talents

    « Capturer un instant de talent, c’est par essence saisir quelque chose d’éphémère et qui peut se produire à tout moment. C’est de ce constat qu’est née l’application », explique Jérôme Bruet, directeur général d’e-doceo.

    L’objectif de cette innovation est d’apporter à quiconque détecte un talent, la capacité de le capturer sans attendre, de manière simple et rapide à l’aide de son smartphone ou de sa tablette.

    SkillCatch a été pensée pour capter le savoir et le transformer en séquences formatives (micro- formations) dans le but de le transmettre au plus grand nombre : c’est un outil qui aspire à généraliser la conception et la diffusion de formations interactives. C’est d’ailleurs dans cet état d’esprit qu’e-doceo a décidé de proposer gratuitement son application sur les plateformes de téléchargement App Store et Google Play.

    Un MOOC personnel pour partager ses créations

    Chaque utilisateur de SkillCatch dispose d’une plateforme d’échange personnelle inclue avec l’application, appelée « My MOOC » (My Massive Open Online Course). Celle-ci lui permet de stocker toutes les séquences pédagogiques (appelées des Skatches) qu’il crée depuis son mobile. Il peut ensuite inviter ses proches ou ses collaborateurs directement depuis l’application à suivre la formation. Ils recevront alors, par email, un accès immédiat à son MOOC.

    « Avec SkillCatch, nous lançons un produit qui va révolutionner la manière d’aborder les savoirs informels. Tout le monde peut créer un Skatch en moins de 5 minutes, soit sur son propre savoir, soit sur celui des personnes qui l’entourent. On ne parle pas d’une petite évolution mais d’une véritable étape dans la chaîne du savoir. C’est ce qui a séduit les responsables du CeBIT » ,  conclut Jérôme Bruet.

    Une annonce en grandes pompes

    Parce que c’est en effet sur la scène principale du CeBIT, le plus grand salon des technologies de l’information au monde, que Jérôme Bruet a levé le voile sur SkillCatch.

    Chaque année, le CeBIT (Centrum für Büroautomation, Informationstechnologie und Telekommunikation, salon des technologies de l’information et de la bureautique), qui se tient à Hanovre en Allemagne, sélectionne les innovations les plus remarquables afin de les mettre à l’honneur aux côtés des géants du web et des nouvelles technologiques tels qu’Alibaba, Cisco, Microsoft, et bien d’autres.

    La présentation de la nouvelle application d’e-doceo a donc eu lieu en grandes pompes devant un parterre de plus de 500 professionnels du secteur et a été suivie en direct par près de 30 000 personnes grâce à une retransmission vidéo dont l’enregistrement est disponible sur le site : www.e-doceo.net

    Simultanément, e-doceo réunissait journalistes et clients autour d’événements organisés dans la plupart de ses filiales à travers le monde, afin de présenter son innovation : Barcelone, Bruxelles, Mexico, Montréal, Lausanne, Paris, Rio de Janeiro et São Paulo. Une sortie mondiale à la hauteur de l’événement.

    Les liens de téléchargement de l’application mobile SkillCatch sont disponibles sur le site e-doceo.

  • Mobilité des corps dans l’espace réel ou mobilité dans les espaces numériques  ?

    Mobilité des corps dans l’espace réel ou mobilité dans les espaces numériques ?

    La problématique définie par les organisateurs étaient la suivante : « il y a dix  ans les premiers bricolages [1] arrivaient sur le marché, les ordinateurs et TNI sur roulette étaient invités ! Aujourd’hui, passées les expérimentations, de distribution de portables aux collégiens, les opérations tablettes, le BYOD. Et si la mobilité c’était les MOOC, les univers virtuels ou l’apprentissage à distance ? »

    J’ai choisi de ne pas assoir mon propos en décrivant les avantages réels ou supposés des tablettes numériques, j’ai préféré centrer ma réflexion sur la notion de mobilité pédagogique. Que recouvre le concept de mobilité ? Est-il un concept lié à l’arrivée des technologies numériques ? la mobilité est –elle celle des corps ou celle des espaces ? mobilité des corps, mobilité des ressources, mobilité des outils, mobilité des cloisons dans les établissements scolaires. Il est nécessaire de baliser ces champs.

    Définition

    Avant toute analyse il convient de s’interroger sur le sens des mots utilisés en pédagogie de façon générale [2], sur la mobilité en particulier, sur son étymologie. Il est assez fréquent que nous employions à longueur de billets, d’articles et de discussions des termes sans en cerner parfaitement les contours et les subtilités [3].

    Alors même que nous sommes enclins à envelopper la mobilité dans une gangue positive, l’étymologie nous invite à un peu plus de prudence :

    Dans le dictionnaire étymologique en ligne il est dit :

    « Le Dialoge Grégoire, éd. W. Foerster, p.92, 9); b) 1667 le définit ainsi « inconstance et instabilité » c’est aussi selon Bossuet, Premier sermon pour le dimanche de la quinquagésime, 1 ds Littré Add. 1872) la «facilité à passer d’un état psychologique à un autre» [4].

    Là où la technologie semble vouloir nous parler de libération des méthodes, l’étymologie nous engage à observer avec prudence le propos, nous aurons l’occasion d’interroger la notion d’état psychologique plus avant.

    L’introduction des tablettes et autres solutions mobiles nous fera-t-elle entrer dans l’ère de l’inconstance et de l’instabilité ? Ce n’est certes pas ma conclusion mais il est évident que la question mérite d’être approfondie. J’ai, à propos du temps de travail des enseignants, commencé à poser des jalons [5].

    Historiquement

    La tablette et la mobilité, à juste titre, ont été largement évoquées dans les débats et ont été associées à la nouveauté. Est-ce une évidence ? Ce n’est pas sûr, il suffit pour cela d’interroger l’histoire.

    JPMoiraud_180913La tablette est à la source de notre histoire, les sumériens écrivaient sur des tablettes d’argiles, le musée du Louvre nous donne l’immense joie de pouvoir les admirer. Certes, entre les tablettes contemporaines et les inscriptions sur argile existe un gouffre technologique mais la passerelle de la mobilité est un lien fort. Cela doit nous interroger.

    Je me plais très souvent à citer Alberto Manguel et son livre une histoire de la lecture. Il cite le cas de ce Prince Perse qui avait dressé ses chameaux (transportant ses ouvrages) à se déplacer selon l’ordre alphabétique : « Au Xème siècle, par exemple, le grand vizir de Perse, Abdul Kassem Isma’il, afin de ne pas se séparer durant ses voyages de sa collection de cent dix-sept mille volumes, faisait transporter ceux-ci par une caravane de quatre cents chameaux entraînés à marcher en ordre alphabétique [6]»

    Les moines Irlandais de Kells créaient des mini bibles pour le lecteur itinérant. Les exemples foisonnent car la mobilité et le savoir ont, me semble-t-il toujours été associés.

    De façon plus contemporaine, dans les années soixante, la génération du Baby-boom a appris la poésie, la musique classique grâce à la radio scolaire sous l’ égide de l’OFRATEME [7]. En raison de l’ajum de l’âge de l’obligation scolaire il fallait former en masse des instituteurs et des élèves. La radio scolaire s’est inscrite comme élément technologique fort pour la formation. Une mobilité réelle de savoirs via les ondes.

    La mobilité est donc bien inscrite dans notre histoire de l’enseignement et de l’apprentissage, le numérique lui a donné une tournure sans précédent, nous pouvons apprendre et enseigner « everywhere and anytime ». Le rapport Bardi-Bérard [8], en 2002, a mis en évidence le phénomène de porosité de l’espace éducatif. Nous sommes devenus mobiles, il est de bon ton d’être mobile, la mobilité est devenue une compétence exigée dans les fiches de poste des DRH, le contrat de travail peut prévoir une clause de mobilité [9]

    Mobile certes, mais s’agit-il de la mobilité du corps ou de la mobilité dans les espaces ? il s’agit bien de savoir si la mobilité influe nos pédagogies, si elle la rend plus efficace ?

    Mobilité des corps et mobilité dans les espaces

    La mobilité des corps

    Avec la généralisation des tablettes dans les classes, il est normal d’interroger le concept de mobilité. Il nous est loisible de nous déplacer et d’avoir accès en permanence au savoir, aux ressources pédagogiques. L’ère de l’informatique avait spatialement organisée le corps : un Homme assis devant un écran, lui-même installé sur un bureau.

    JPMoiraud2_180913Le numérique nous fait entrer dans l’ère des écrans multiples et de la mobilité des corps. Nous pouvons nous déplacer avec l’écran (tablettes, smartphones, lunettes),  poser notre corps dans des endroits protéiformes pour accéder aux informations, au savoir. Nous entrons dans un système où apparaît la posture de la consultation multi-écrans.

    Qui ne s’est pas allongé dans son canapé pour regarder la télévision tout en consultant sa tablette ?. Cela favorise-t-il la pédagogie [10] ? Nous sommes entrés résolument dans l’ère de la mobilité exacerbée, les espaces se diluent, le temps s’accélère.

    Cet ensemble de questions nous oblige à penser le corps mobile via divers prismes. Quelle architecture à l’heure de la mobilité, comment place t-on le corps des apprenants et des enseignants dans un environnement contraint par le numérique ?

    Le design social s’est emparé de cette question délicate en formalisant des scénarios [11]. Le corps dans la classe, le corps hors la classe expression de la mobilité est un sujet que nous ne pouvons plus ignorer.

    Cependant qu’elle est la plus-value pédagogique ? Le corps libéré des murs aide-t-il à mieux apprendre ?

    Cette question doit (devra) être menée par les collectivités locales qui ont en charge les bâtiments scolaires. Elles ont à mener une réflexion sur deux axes, les bâtiments à venir et les bâtiments existants.

    Il semble acquis, à l’aune des technologies existantes, que l’acte d’enseignement n’est plus seulement organisé sur le principe de la tragédie grecque (unité de temps et de lieu). Nous devons nous interroger sur la définition contemporaine à donner au concept d’ établissement scolaire.

    D’une certaine façon il faut libérer les corps de l’enceinte classe, le lycée d’Orestad [12] tente de donner des réponses à cette question.

    Dans la mesure où les technologies font voler en éclat les murs de la classe,  déconstruisent, d’une certaine façon, la conception traditionnelle de l’établissement, faut-il tenter de redéfinir ses contours ?

    L’établissement scolaire, à fortiori l’université, est-il uniquement délimité par des murs ? Le corps apprenant est il cantonné à circuler, apprendre dans un espace physique unique ? l’apprentissage en ligne (pour les apprenants et les enseignants) étend l’école à l’espace privé.

    On peut aprendre chez soi, le numérique n’est-il pas en train de professionnaliser l’espace privé en des temps déterminés ? L’espace public dans la sphère privée et la sphère privée dans l’espace public, [13].

    La vraie mobilité n’est-elle pas celle des espaces ? Nous disons fréquemment « accéder à internet », nous pénétrons de nouveaux espaces dans lesquels nous nous mouvons. Nous les nommons ENT, world of warcraft [14], second Life, cyber espace, e. mail …

    La mobilité dans les espaces numériques

    Il devient très difficile d’opposer le réel et le virtuel puisque notre activité sociale s’y exerce alternativement. Le numérique nous permet d’investir d’autres espaces dans lesquels nous circulons, nous nous socialisons [15].

    Je voudrais à ce titre, citer un passage du livre de Milad Doueihi [16] : « après une longue absence, le corps fait donc irruption dans notre environnement numérique. « « On ne peut penser et écrire qu’assis (Gustave Flaubert). – Je te tiens nihiliste ! Être cul de plomb, voilà, par excellence, le péché, contre l’esprit ! Seules les pensées que l’on a en marchant vâlent quelque chose. » Il semble que notre réalité numérique soit plutôt Nietzschéenne, mais au lieu de se promener dans la nature, on se balade dans les espaces urbains, investis par le numérique. C’est précisément ce mouvement continu vers la mobilité qui caractérise l’urbanisme virtuel au cœur de l’humanisme numérique » (Milad Doueihi page 21)

    Je pense que les tablettes et autres solutions mobiles ne sont que des artefacts qui nous ouvrent de nouveaux horizons pour explorer ce «far web [17]».

    Je pose la question (convaincu que je n’ai pas de réponses) : La vraie mobilité ne réside-t-elle pas dans la capacité des enseignants à élaborer des scénarios pédagogiques instrumentant le numérique [18] ?

    La tablette n’est mobile que si elle permet d’explorer les vastes étendues numériques. L’enseignant est un bâtisseur, il norme des espaces, il les agence, il donne à ses élèves une cartographie numérique, il plante des panneaux qui indiquent la direction de la coopération, de la collaboration et peut être de l’intelligence collective. Là est la vraie mobilité, en tout cas j’ai la faiblesse de le croire.

    Ce n’est, me semble t-il qu’à cette condition, que l’on peut commencer à penser la mobilité dans le monde réel.

    Les mondes virtuels qui structurent mes activités sont un bon exemple pour illustrer cette mobilité numérique [19]. Les scénarios qui se construisent  intègrent une réflexion sur le sens à donner aux espaces [20] (exemple, quel sens donner à une ville virtuelle), à la façon dont on se déplace, aux interactions qui s’y exercent. On doit imaginer comment le corps réel s’exprime sous sa forme métaphorisée de l’avatar [21].

    La mobilité en tant qu’objet d’analyse pédagogique doit dépasser le simple slogan fédérateur,  car elle engage des transformations profondes. Elle nous amène à penser le temps et l’espace et ses enjeux de scénarisation [22], à réintroduire des instruments d’interaction comme la voix [23].

    En conclusion de ce début de réflexion, je voudrais souligner le risque à s’engager dans une réflexion uniquement centrée sur un outil, même s’il représente un tournant technologique évident. Être mobile c’est plus une posture intellectuelle, qu’une adaptation à un outil. C’est probablement Stefana Broadbent qui jalonne le mieux ces enjeux pour la pédagogie (même si ce n’est pas son propos central) dans son livre l’intimité au travail [24]

    Nous devons poursuivre cette réflexion, car la mobilité est un enjeu fort pour les années à venir, des concepts émergent comme le BYOD (bring your own device), en fait ne s’agit-il pas plutôt du BYSE ? (Bring Your Space Everywhere)

     


    [3] C’est pour cette raison que j’ai tenté de cerner les  termes de coopération et de collaboration – http://moiraudjp.wordpress.com/2011/06/09/terminologie-cooperatif-collaboratif/

    [4] http://www.cnrtl.fr/lexicographie/mobilité

    [5] Le temps aveugle des enseignants  http://moiraudjp.wordpress.com/2011/07/08/temps-aveugle-des-enseignants/ et la perruque comme métaphore du temps de travail des enseignants http://moiraudjp.wordpress.com/2012/12/19/perruque-inversee/

    [6] Edward G. Browne, A literary historic of Persia, 4 vol. (Londres,  1902-1924)

    [8] Rapport Bardi – Bérard ( 2002) L’école et les réseaux numériques  http://www.epi.asso.fr/revue/docu/d0210b.htm

    [10]Ce qui est en train de se passer, explique-t-il, avec la montée en puissance des systèmes de sur-stimulation, de sur-attention, de sur-information, de sur-investissement, détruit l’appareil psychique de l’enfant et rend impossible le travail éducatif. Car ce dernier – et les pédagogues le savent depuis longtemps – travaille précisément sur le sursis à la réalisation immédiate de la pulsion, pour permettre l’émergence du désir dans la temporalité” in Philippe  Meirieux – “Quelle stratégie pour les militants pédagogiques aujourd’hui ?”  http://meirieu.com/ARTICLES/militants_pedagogiques.pdf

    [11]  La 27ème Région – Mon lycée demain : premiers scénarios – http://blog.la27eregion.fr/Mon-lycee-demain-premiers

    [12] Le lycée d’Orestad, Educavox,  http://www.acteurs-ecoles.fr/contact/le-lycée-d-orestad/

    [13] L’intimité au travail, Stefana Broadbent

    [14] Jean-Paul Moiraud – South Park et les mondes virtuels – http://moiraudjp.wordpress.com/2011/11/16/south-park-et-les-mondes-virtuels/

    [15] Les liaisons numériques –Antonio Casili

    [16] Pour un humanisme numérique, la librairie du XXI siècle, Seuil (2011)

    [18] Les scenarios de pédagogie embarquée (SPE)  – http://eductice.ens-lyon.fr/EducTice/recherche/scenario/spe

    [19] Le tutorat dans les monde virtuels Jean-Paul Moiraud et Jacques Rodet – http:// tutvirt.blogspot.com

    [21] Tutorat immersif et avatar – Jean-Paul Moiraud et Jacques Rodet – http://moiraudjp.wordpress.com/2013/01/08/e-learning-temps-et-espace-elements-de-reflexion-pour-une-scenarisaion-operationnelle/

    [22] Temps et espace pour une scénarisation opérationnelle – http://moiraudjp.wordpress.com/2013/01/08/e-learning-temps-et-espace-elements-de-reflexion-pour-une-scenarisaion-operationnelle/

    [23] Le numérique, la reconquête de la voix, la reconquête de l’espace – http://moiraudjp.wordpress.com/2013/04/04/le-numerique-la-reconquete-de-la-voix-la-reconquete-de-lespace/

    [24] Sefana Broadbent – l’intimité au travail, la vie privée et les communications personnelles dans l’entreprise , éditions FYP (2011). Voir notamment page 152 l’école.

  • le jeu de la petite marchande adapté sur iPhone et iPad !

    le jeu de la petite marchande adapté sur iPhone et iPad !

    Chocolapps annonce la disponibilité de sa nouvelle application ludo-éducative « Le Petit Marché ». Disponible sur l’App Store en 7 langues, « Le Petit Marché » revisite le jeu indémodable de la marchande en réunissant tous les ingrédients qui font de ce jeu un succès auprès des enfants : les différents étalages de produits, les marchands, des listes de courses, une balance, un panier, des pièces et des billets. « Le Petit Marché » a été sélectionnée par la rédaction de PARENTS et a obtenu le label  » PARENTS A CHOISI  » décerné pour la première fois à une application mobile.

    Faire les courses « comme les grands » ! 
    L’application « Le Petit Marché » propose en page d’accueil deux manières de jouer : un mode « jeu libre » et un mode « liste de course ». Le mode « jeu libre » offre à l’enfant la possibilité d’explorer le jeu à sa guise ; il peut ainsi acheter les produits et la quantité qu’il souhaite. Le mode « liste de course » quant à lui, permet de débloquer de nouveaux étalages. Pour y parvenir, l’objectif est de suivre à la lettre la liste de course fournie : sélectionner les aliments indiqués, respecter leur quantité, les ajouter au panier puis payer le marchand. L’enfant peut choisir, en fonction de son âge, une liste de course imagée ou écrite.

    Un jeu animé et interactif au service du loisir et de l’éducation 
    En tant qu’application ludo-éducative, « Le Petit Marché » propose un contenu riche et interactif. L’enfant peut ainsi découvrir une soixantaine d’aliments répartis sur 4 étals différents : la boucherie, la poissonnerie, la fromagerie et le primeur. Lorsque l’enfant touche un aliment, une voix lui indique son appellation. Pour accroître le sentiment d’implication, l’enfant se voit proposer au début du jeu un choix de 8 personnages, fille et garçon, qu’il peut nommer. Tout en s’amusant à faire « comme les grands », l’enfant apprend, au travers de cette application, à devenir responsable dans la pratique des tâches quotidiennes et accroit son autonomie et sa culture générale.

    Pour télécharger « Le Petit Marché » sur l’App Store.

  • Les solutions SMART pour l’entreprise équipent 16 Microsoft Technology Center dans le monde.

    SMART rejoint l’écosystème Microsoft et intègre le programme « MTC Alliance »

    Suresnes, 3 janvier 2012 — SMART Technologies Inc. (NASDAQ: SMT) (TSX: SMA), un des principaux fournisseurs de solutions collaboratives, annonce qu’il vient de rejoindre le « MTC Alliance », programme de partenariats des Microsoft Technology Center.

    Microsoft a invité SMART Technologies à rejoindre le programme « MTC Alliance » suite à l’installation de solutions matérielles et logicielles SMART dans le MTC de Irvine en Californie en 2010, et suite à la reconnaissance par les experts Microsoft de la contribution des solutions SMART de travail collaboratif pour améliorer la prise de décision en entreprise.

    Depuis, les solutions SMART pour l’entreprise, composées de l’écran interactif SMART Board™ 8070i, du système de tableau numérique interactif SMART Board 885ix et du logiciel SMART Meeting Pro™ , ont été installées dans 10 autres Microsoft Technology Center aux Etats-Unis et dans 5 centres internationaux, dont celui de Paris.

    Grâce à l’installation des solutions SMART dans les MTC, des milliers de clients Microsoft® peuvent désormais découvrir les fonctionnalités et les bénéfices des solutions SMART pour l’entreprise.

    Le programme « MTC Alliance » est une initiative mondiale qui regroupe les entreprises leader dans les domaines du matériel, du logiciel, et des services informatiques. Les Microsoft Technology Center ont pour vocation de permettre aux clients « Entreprises » d’accéder à la fois à des technologies innovantes et à des experts, pour les aider à mieux définir leurs besoins.

    « Le MTC parisien a ouvert ses portes depuis 5 ans et nous accompagnons ainsi plusieurs centaines de clients et de partenaires Microsoft chaque année, pour leur permettre de mieux appréhender les enjeux et défis technologiques d’aujourd’hui et de demain » déclare Frédéric Aatz, Responsable du Microsoft Technology Center de Paris. « La participation de SMART s’inscrit dans cet objectif ».

    « Faire partie de l’écosystème Microsoft grâce au  programme « MTC Alliance » représente une vitrine fantastique pour présenter nos solutions. C’est également l’opportunité de démontrer concrètement l’apport des technologies collaboratives à la productivité du travail en équipe » commente Richard Ramos, Directeur Général de SMART Technologies France.

    Témoignage sur l’utilisation des solutions SMART dans le Microsoft Technology Center de Paris,
    par Stéphane Goudeau, Architecte Microsoft :

    « L’un des principaux types d’engagement que propose le MTC Paris pour accompagner nos clients et partenaires dans l’adoption des technologies et produits Microsoft est l’ADS (« Architecture Design Session »). L’objectif d’un ADS est de permettre aux clients d’exposer leurs besoins fonctionnels et leurs contraintes techniques à un architecte qui les aide à bâtir un ou plusieurs scénarios pour y répondre. Au cours de cet exercice, les participants sont fréquemment appelés à réaliser des schémas illustrant l’existant ou l’application cible. Précédemment, ces schémas étaient photographiés en vue d’une retranscription électronique pour une intégration dans les livrables de l’ADS. En utilisant les tableaux interactifs SMART Technologies, nous pouvons maintenant intégrer ces schémas dans la présentation en cours de production : ils sont directement sauvegardés dans le fichier PowerPoint au format Ink ! L’ajout de notes manuscrites sur une capture d’écran est également fort pratique. Enfin, il est plus simple de garantir la confidentialité de nos échanges car les documents n’existent que sur le PC utilisé pour les produire (plus de tableau blanc à effacer ou de dossier papier à détruire). L’impact en terme de productivité est très significatif et c’est un atout supplémentaire pour construire des solutions avec nos clients et les convaincre de l’adaptation de  ces propositions à leurs besoins. »

    Vidéos (en anglais)
    Exemples d’utilisation des solutions SMART dans les MTC : cliquez ici
    Démonstrations du tableau numérique interactif SMART Board 885ix et de l’écran interactif SMART Board 8070i : cliquez ici

    Illustrations
    Photos de l’utilisation des solutions SMART dans les MTC : cliquez ici

    A propos des Microsoft Technology Centers
    Les Microsoft Technology Centers proposent une approche intégrée de l’entreprise faisant le lien entre l’efficacité personnelle et les logiciels métiers, pour permettre aux environnements informatiques de mieux s’adapter aux évolutions de l’entreprise. Microsoft dispose de 25 MTC dans le monde, dont ceux de Chicago, New York, Boston, Paris, Moscou et Tokyo. Environ 50 000 personnes visitent ces centres chaque année dans le monde. Pour plus d’informations sur les Microsoft Technology Centers, rendez-vous sur microsoft.com/mtc.

    A propos des solutions SMART pour l’entreprise dans les Microsoft Technology Centers
    Les solutions SMART pour l’entreprise sont installées dans 11 MTC aux Etats-Unis (Irvine, CA; Boston, MA; Detroit, MI; Minneapolis, MN; Mountain View, CA; Atlanta, GA; Chicago, IL; Dallas, TX; New York, NY; Reston, VA; and Philadelphia, PA) et dans 5 autres villes dans le monde : Mexico (Mexique), Munich (Allemagne), Paris (France), Thames Valley (UK), et Tokyo (Japon).

    A propos de SMART Technologies :
    SMART Technologies Inc. est l’un des leaders mondiaux des solutions collaboratives qui contribue à transformer la façon de travailler et d’apprendre à travers le monde. Nous pensons que le travail collaboratif et l’interactivité doivent être simples. Nous sommes le leader mondial des Tableaux Numériques Interactifs, et nous mettons plus de 20 ans de recherche et développement dans le domaine collaboratif au service d’une gamme de solutions simples et intégrées, qui libèrent les utilisateurs de leurs bureaux et de leurs ordinateurs pour rendre le travail collaboratif et l’apprentissage avec les ressources numériques plus naturels.

  • Le congrès M-Health dévoile les usages et les techniques de la santé mobile

    Les 15 et 16 novembre derniers, les grands acteurs de la santé mobile se réunissaient à la Maison de la Chimie à Paris pour la toute première édition du Congrès M-Health.

    Organisé par l’agence évènementielle Corp Events, le Congrès a offert un tour d’horizon des dernières innovations sur ce marché en plein essor alors que les premiers smartphones ont fait leur apparition il y a seulement quatre ans, suivis par les tablettes tactiles deux ans plus tard.

    La santé mobile en débats

    Quels usages, quel modèle économique, quelle réglementation sur les données, quelle maturité technologique ? Organisé sur deux jours, proposant douze tables rondes et un espace exposition, le Congrès M Health donnait la parole à l’ensemble des acteurs de la santé mobile afin de dresser le portrait le plus précis du marché et mettre en perspective ce que les nouvelles technologies de mobilité pourront apporter à la santé de demain.

    Les objectifs de cette première édition ont été atteints : les principaux acteurs de la santé mobile professionnels de santé et cadres hospitaliers, industriels des télécoms et des dispositifs médicaux, membres d’organisations publiques – ont pu se rencontrer, échanger et découvrir les dernières innovations en matière de M-Santé.

    Près de 200 participants étaient présents pour ces deux journées d’information et de discussions autour de la santé mobile. Parmi les intervenants : des représentants du monde de la santé (médecins, pharmaciens), des institutions publiques (Commission européenne, Parlement), des laboratoires pharmaceutiques et complémentaires santé, des créateurs d’applications et éditeurs de logiciels.

    Ensemble ils ont évoqué leurs stratégies pour développer l’usage des smartphones et tablettes tactiles au sein de l’hôpital et dans la médecine de ville, ainsi que les obstacles réglementaires, financiers et technologiques qu’ils peuvent rencontrer dans leur démarche.

    Des échanges riches qui ont permis de découvrir les toutes dernières innovations disponibles ou en phase de développement lors de la deuxième journée de table rondes.

    La santé mobile illustrée

    Au fil du Congrès, les participants ont pu découvrir de nombreuses applications représentatives des perspectives qu’offrent dès aujourd’hui smartphones et tablettes pour les patients et les professionnels.

    Parmi ces applications :
    un système qui permet aux diabétiques de type 1 de mesurer leur taux de sucre dans le sang – utile quand on sait que les malades doivent le mesurer quatre à cinq fois par jour!

    une application permettant aux femmes enceintes d’être suivies à distance par leur obstétricien, une officine virtuelle qui nous offre la possibilité de recevoir des conseils d’automédication et de posologie
    une application qui fournit au patient des informations sur le taux de pollen dans l’air afin de mieux gérer ses allergies, et bien d’autres encore…

    En facilitant la vie des malades chroniques et le travail des médecins, ces applications pourraient répondre aux défis qui se posent en matière de santé : éloignement des patients des centres de soins, pénurie de personnel soignant…

    Prometteuse, la première édition du Congrès M Health nourrit l’ambition de faire de cet évènement le rendez-vous incontournable des acteurs de la santé mobile afin d’anticiper et préparer la santé de demain !

  • Du Mobile Learning avec l’Ecole Nomade WapEduc

    Du Mobile Learning avec l’Ecole Nomade WapEduc

    230920114e7c8d6158126– De nombreux nouveaux cours rédigés exclusivement par des enseignants certifiés ou agrégés de l’Education Nationale.
    – Près de 200 podcasts et vidéos dans de nombreuses disciplines.
    – Une actualité très documentée en matière de santé et d’orientation.
    – Une version sur Iphone : Toolbac, qui annonce le premier environnement de travail mobile.

    Notre site Economie2000.com, dont les contenus sont également accessibles par téléphone portable, dédié aux étudiants de l’université et aux écoles de commerce, vient compléter la gamme des plates-formes gratuites de révision.

    Nous vous serions très reconnaissants d’essayer sur votre mobile www.wapeduc.mobi et d’informer vos collaborateurs que WapEduc, premier environnement de travail mobile, est la preuve vivante que le Mobile-Learning se développe en France.

    Nous sommes à la recherche de partenaires afin de développer le Mobile-coaching et le Portfolio mobile, deux concepts innovants et prometteurs dont nous sommes les créateurs en Europe.

    Plus d’infos : www.wapeduc.net, www.wapeduc.mobi, www.economie2000.com

  • LifeSize permet aux grandes entreprises de minimiser leur empreinte carbone

    LifeSize, une division de Logitech, publie aujourd’hui les résultats de l’étude menée par Forrester Consulting, démontrant l’impact économique et environnemental potentiel des solutions de vidéoconférence sur les entreprises classées dans Fortune 500. L’étude a montré que l’un des clients de LifeSize – la division européenne d’une entreprise japonaise dans le domaine de l’électronique grand public, également classée dans Fortune 500 – est parvenu à obtenir un retour sur investissement de 392% sur ​​5 ans et a réalisé des objectifs ambitieux de réduction des émissions de carbone.

    Avant de déployer les solutions de vidéoconférence LifeSize, l’entreprise choisie par Forrester Consulting n’était pas étrangère aux outils de collaboration vidéo. Celle-ci a découvert que sa solution de visioconférence était devenue rapidement obsolète et exigeait beaucoup de maintenance, conduisant le système à être largement sous-utilisé.

    Convaincue des avantages de la vidéoconférence, la société a cherché une nouvelle solution qui permettrait d’accroître la productivité de ses bureaux dans le monde, réduire le coût des voyages d’affaires lors du ralentissement économique et respecter ses engagements en matière de réduction des émissions de carbone de 90% d’ici 2050.

    Forrester Consulting a évalué les résultats que ce client a pu obtenir en déployant la solution LifeSize. Selon l’étude, «les coûts de maintenance et de support technique ont été divisés de moitié par rapport aux autres solutions de vidéoconférence considérées par le client. Le coût total de possession est ainsi réduit d’environ 24% comparé à celui des autres solutions».

    En outre, seulement un an après le déploiement du système LifeSize, la société a connu un retour sur investissement de 392%, plus d’1 million de dollars de réduction des coûts de voyage et une diminution de 12% de ses émissions de carbone. «[Nous] avons complètement gelé les voyages d’affaires… [et] nous en avons été capable uniquement parce que nous avions une nouvelle solution de vidéoconférence mise en place», a déclaré le client.

    «Pendant des années, le secteur industriel a cherché des solutions de vidéoconférence pour l’aider à réduire ses coûts mais aussi à devenir une organisation plus verte», a déclaré Craig Malloy, Directeur Général de LifeSize et Vice Président Senior de Logitech. «Jusqu’à présent ces solutions n’étaient pas suffisamment abordables pour parvenir à remplir ces deux objectifs. Nous pensons que l’analyse de Forrester et les cas clients sont les plus parlants. Ils montrent le vrai retour sur investissement (ROI) de nos solutions et prouve qu’il est possible de lier  implication écologique et business».

    Le client au centre de l’étude Forrester a obtenu ces principaux résultats en déployant les solutions HD de vidéoconférence LifeSize

    Coût total de possession le plus bas – entretien et support technique. En un an, LifeSize a permis à l’entreprise d’économiser plus d’1 million de dollars en frais de voyage d’affaires et a atteint un retour sur investissement (ROI) sur une période  de 9 mois. Les solutions LifeSize ont été beaucoup plus rentables en coûts de maintenance que celles de son concurrent le plus proche et ont offert à l’entreprise la plus haute qualité de vidéoconférence existant sur le marché tout en consommant une faible bande passante, et en éliminant tous les surcoûts supplémentaires liés au déploiement.

    Résultats sur le monde réel – des expériences de travail plus performantes et plus efficaces. L’utilisation de la vidéoconférence LifeSize a réduit les frais de voyage d’affaires de 46% dès la première année de déploiement, permettant ainsi aux employés de voyager moins et de rester près de leur domicile. La société a également bénéficié d’une interaction entre les employés et d’une collaboration globale plus efficaces grâce à une communication de meilleure qualité entre des collègues localisés dans différents bureaux.

    Respect de l’environnement – réduction des émissions de carbone. Le client a été en mesure de répondre à ses objectifs de réduction des émissions de dioxyde de carbone avec une diminution de 12%  clors de la première année de déploiement, éliminant plus de 800.000 tonnes de CO2 – un effet direct de la réduction des voyages. En un an, les voyages ont été réduits de 46%.

    A propos de l’étude: menée par Forrester Consulting pour le compte de LifeSize «L’impact économique total des solutions de vidéoconférence HD de LifeSize» (Mars 2011), cliquez ici www.lifesize.com

    À propos de LifeSize Communications :
    LifeSize est un pionnier et un leader mondial de la collaboration vidéo en haute définition. Sa gamme complète de systèmes basés sur des standards ouverts est conçue pour rendre réellement universelle la vidéoconférence. Elle s’appuie sur des technologies de haute qualité compatibles avec l’informatique pour garantir une vraie interaction humaine, quelle que soit la distance. Fondée en 2003 et acquise par Logitech en 2009, LifeSize reste fidèle à son engagement envers l’innovation, et continue d’élargir la vidéoconférence de la plus haute qualité, pour tous et partout.

  • Développer un projet innovant sur la mobilité en bénéficiant de l’expertise des étudiants de l’EPITA

    L’EPITA (l’école d’ingénieurs en informatique, membre de IONIS Education Group) lance un appel à projets auprès des entreprises et institutions qui souhaitent innover sur les thèmes de la mobilité et du cloud computing.

    Dans le cadre des Projets de Fin d’Études pour l’Entreprise (PFEE) de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) de l’EPITA, les étudiants (par équipes de 3) développeront les projets sélectionnés de juin à décembre 2011.

    En 2015, plus de 50% des accès à Internet devraient se faire via des périphériques mobiles (smartphones, tablettes…). Le développement de la mobilité en entreprise et chez les particuliers est en pleine croissance notamment avec l’accès rapide à l’information et à la facilité d’accès aux données.

    Dans ce contexte, pour la cinquième année consécutive, l’EPITA lance son appel à projets innovants, qui donnera naissance à des solutions qui encouragent la mobilité.

    L’an passé, plus de 15 projets ont été réalisés par les étudiants en collaboration avec :
    – des entreprises : SAP/BO, Omniture, BrainSonic, Alti…
    – le gouvernement : Direction Générale de la Modernisation de l’État, Cellule internet de l’Elysée, Service d’Information du Gouvernement,
    – l’hôpital Broca,
    – des start-up et petites entreprises : Chapatiz, HotSpotYou, Askhall…

    Les innovations couvraient des sujets allant du développement de jeux à destination des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un projet de diffusion de vidéo en ligne et sur mobile, en passant par la création d’une application mobile intégrant un réseau social et un widget de sondage.

    Plus d’infos :
    Les projets sont à envoyer avant le 28 avril 2011, à Cyril Reinhard, cyril.reinhard@epita.fr, responsable de la majeure MTI.
    le formulaire en français
    le formulaire en anglais

    A propos de l’EPITA :
    Créée il y a 26 ans, l‘EPITA
    est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC.

  • Devenez expert du eLearning à l´international ! Rejoignez les réseaux d´Online Educa Berlin 2008 avec Ludovia.com !

    Cette année, ONLINE EDUCA BERLIN désire placer VOTRE PARTICIPATION au premier plan !

    – Préparez-vous pour la Génération Y.

    – Prenez part à des discussions et à des débats axés sur les besoins d’une génération ayant grandi avec l’Internet !

    – Jetez un regard  pertinent sur le potentiel et les enjeux liés aux ressources éducatives en libre. Rencontrez des esprits innovateurs et participez à de nombreuses présentations d’initiatives pleines de promesses !

    – Reconsidérez votre opinion en matière de créations de contenus. Apprenez davantage sur les mondes virtuels et les contenus éducatifs produits par les utilisateurs eux- mêmes.

    – Prenez part au débat sur le Web 2.0 et le réseautage social.

    – Testez les nouvelles possibilités offertes par des systèmes sophistiqués d’administration de l’apprentissage.

    – Mettez vous à l’heure du mobile Learning et informez-vous sur des outils et des logiciels d’applications révolutionnaires.

    – Explorez l’emploi de méthodes narratives et audiovisuelles innovatrices, dédiées à l’éducation et à la formation.

    – Découvrez d’audacieux concepts du eLearning ludique.

    – Discutez face à face développement et prospective avec de nombreux experts et gens du métier.

    – Optimaliser votre veille et vos réseaux, dans une unité de lieu et de temps,  avec plus de 2100 experts venus de quelques 90 pays différents !

    – Inscrivez vous dès maintenant à ONLINE EDUCA BERLIN 2008 en rejoignant Ludovia.com qui vous permet de bénéficier… du  tarif association à € 600 au lieu de €790 pour les frais d´inscription aux conférences, les vols easyjet Paris ou Bruxelles-Berlin sont des plus compétitifs, les hotels berlinois bon marché!

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