Étiquette : VPI

  • Améliorez vos formations et vos classes avec les écrans interactifs

    Améliorez vos formations et vos classes avec les écrans interactifs

    Depuis toujours, l’éducation classique est représentée par une salle de classe composée d’un professeur et de ses élèves qui suivent le cours sur un tableau veleda et plus récemment, via un powerpoint projeté par un vidéoprojecteur.

    Cependant, il n’est pas nouveau de savoir que ces moyens de faire passer des connaissances ne vont pas sans inconvénients : le bruit du ventilateur du vidéoprojecteur, l’ombre portée, et surtout la perte de temps avec la mise en route du vidéoprojecteur ainsi que les branchements nécessaires avant de pouvoir lancer la leçon.

    Aujourd’hui, de nouvelles solutions interactives émergent afin de rendre l’apprentissage plus facile : les écrans interactifs.

    Plus précisément, dans le domaine de l’éducation se tiennent deux grands noms : SMART et Mimio.

    SMART : première solution éducative

    SMART Technologies est depuis longtemps une référence en termes de solutions interactives.

    Au Royaume-Uni, ils ont une grande part du marché, et une majorité des écoles possèdent un écran interactif de la marque SMART. La gamme SMART Board, série 6000 en France, est connue pour sa qualité composée de nouvelles technologies :

    • Technologie silktouch : un écran aussi doux que la soie, et qui permet d’écrire de façon très fluide, au doigt ou au stylet. Une surface tactile réactive, naturelle et précise pour une utilisation confortable et fiable pendant vos heures de cours.
    • Pen ID : une nouvelle technologie de reconnaissance de stylet qui permettra à deux élèves de pouvoir écrire en même temps sur le SMART Board, sans se gêner. En effet, l’écran interactif reconnaîtra les stylets comme deux couleurs différentes.
    • Object awareness : l’écran interactif reconnaîtra votre doigt, le stylet et la paume de votre main. Touchez, écrivez et effacez tout naturellement.

    Chaque SMART Board comprend la suite pédagogique de logiciels SMART pour aider les professeurs dans leur application à former leurs élèves. Cette suite pédagogique comprend :

    • SMART Notebook : utilisé par 2.4 millions d’éducateurs dans le monde, SMART Notebook a été étudié pour les professeurs et les élèves. Le logiciel propose des activités préparées et prêtes à être proposées aux élèves, des quiz pour évaluer les élèves, une galerie d’images, des widgets et une facilité d’accès aux autres logiciels.
    • SMART LAB : pour Lesson Activity Builder, propose des activités et des thèmes qui sont modifiables. Ces activités peuvent prendre la forme de jeux pour les enfants.
    • SMART Response 2 : ce logiciel permet de créer des quiz et questions afin d’assurer les professeurs que les élèves ont compris la leçon. Les élèves peuvent répondre via leur ordinateur, smartphone ou tablette.
    • SMART Amp : c’est un espace de partage pour les professeurs et les élèves, un espace de travail commun pour les projets de groupe ; SMART Amp propose le partage de médias et une messagerie instantanée. Les contributions des élèves sont enregistrées afin que les professeurs puissent suivre l’avancée du projet.

    A noter que le logiciel SMART Notebook fonctionne sur toutes les dalles interactives.

    Mimio : une solution complète

    La société Mimio s’est lancée dans la production de solutions interactives dès 1999, mais ce n’est qu’en 2014 qu’elle sort ses premiers écrans interactifs, MimioDisplay. Avec une gamme allant de 55 pouces à 84 pouces, Mimio propose d’équiper les salles de classe ou de formation avec un équipement spécialisé.

    Les dalles MimioDisplay sont à éclairage LED et de résolution Full HD. Il est possible d’utiliser à la fois le doigt et le stylet sur ces écrans interactifs. Ils possèdent l’interactivité Touch 360°, qui permet jusqu’à six utilisateurs simultanés, ou trois en double point de contact. Avec chaque écran MimioDisplay est proposé le logiciel pédagogique MimioStudio.

    Ce logiciel permet :

    • De créer facilement des leçons personnalisées, uniques, richement illustrées et en parfaite adéquation avec les programmes officiels. Les leçons ainsi construites peuvent être présentées par la suite à la classe de façon interactive : avec les fonctions rideau, annotation, déplacement d’images…
    • D’avoir accès à une galerie d’images.
    • D’utiliser une fonction paperboard pour faire des schémas ou prendre des notes.
    • D’utiliser des contenus déjà prêts.

    Le logiciel MimioStudio a été complété par l’application mobile, MimioMobile, en 2013. Grâce à cette application, le travail à partir d’appareils externes est possible : les élèves peuvent interagir à l’aide de leur ordinateur, tablette ou smartphone. MimioMobile contribue à améliorer la participation des élèves en cours, en facilitant notamment les travaux de groupe.

    A noter que le logiciel MimioStudio est aussi proposé avec les écrans Easypitch.

    Plus d’informations sur écran-interactif.net

    CONTENU SPONSORISÉ

  • Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    Le premier vidéoprojecteur interactif tactile sous Android : une tablette géante et connectée

    La société française Speechi, spécialiste des solutions interactives, lance la gamme de vidéoprojecteurs interactifs SPE-400W, premiers vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale pouvant fonctionner sans ordinateur : une tablette géante et connectée de 2,80m de diagonale.

    Quand le vidéoprojecteur interactif devient une tablette tactile géante et connectée

    Muni de son boîtier interactif Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400 devient une véritable tablette tactile géante. Il n’est plus nécessaire d’y brancher un PC, le boîtier Android est directement intégré au vidéoprojecteur, qu’il contrôle.

    L’interface Android simplifiée développée par Speechi est intuitive, elle convient aussi bien aux besoins dans la salle de classe qu’en entreprise. Le logiciel interactif d’annotation est notamment inclus, ce qui permet aux fonctions interactives habituellement réservées au PC ou au MAC d’être accessibles sur Android.

     interface android pour vidéoprojecteur interactif

    Pourquoi Android ? Autonomie, ergonomie, réactivité et applications.

    Le système Android embarqué avec ces nouveaux vidéoprojecteurs apporte des usages radicalement nouveaux. Les qualités de ces nouveaux vidéoprojecteurs sont nombreuses :

    • l’ergonomie ainsi obtenue rend le vidéoprojecteur aussi facile à utiliser qu’une tablette ;
    • la réactivité est parfaite, aucune latence n’est visible ;
    • l’ordinateur n’est plus obligatoire ;
    • les applications sous Android sont nombreuses. Speechi a développé un écosystème d’applications partenaires, sans publicité et gratuites, accessibles via le SpeechiStore, qui est fourni dans le boitier interactif Android.

    vidéo présentation vidéoprojecteur tactile speechiCliquez ici pour découvrir le vidéoprojecteur tactile et son boîtier Android en vidéo.

    La société Speechi a été précurseur dans l’utilisation du système Android pour du matériel interactif: elle est devenue en 2015 le premier constructeur français d’écrans interactifs fonctionnant sous Android. Cette année, elle intègre, pour la première fois, le système Android dans un vidéoprojecteur interactif.

    Un vidéoprojecteur tactile adapté au plan numérique « tablettes »

    vidéoprojecteur interactif androidLe vidéoprojecteur  SPE-400W est parfaitement adapté au nouveau plan numérique mis en place par l’Education Nationale, qui comprend entre autres l’équipement en tablettes tactiles des salles de classe. Le système Android du boîtier est compatible avec les tablettes des enseignants et des élèves, la communication entre les deux appareils se fait le plus naturellement du monde.

    Sans parler bien sûr de la simplicité d’usage : de nombreuses personnes utilisent déjà le système d’exploitation Android sur leurs tablette et smartphone personnels.

    La possibilité d’afficher l’écran sur une surface de projection allant jusqu’à 2,80m de diagonale et interactive permet aussi d’établir un rapport plus proche avec les élèves, qui peuvent lever le nez de leur tablette.

    Le vidéoprojecteur interactif idéal pour la présentation en classe ou en réunion

    Indépendamment des atouts du système Android, le vidéoprojecteur interactif SPE-400W est un formidable outil de présentation, à l’école comme en entreprise.

    videoprojecteur tactile multitouch pour la collaboration

    Plus d’ombre portée, qualité d’image supérieure et 3D Ready

    Grâce à son ultra-courte focale, aucune ombre portée ne vient perturber la présentation. L’image projetée est plus grande, plus nette et claire qu’avec un vidéoprojecteur classique, il n’y a plus d’éblouissement ni de reflet.

    L’interaction se fait comme sur une tablette tactile géante.

    Installation et calibration simplifiées

    Le principal problème du vidéoprojecteur tactile, toutes marques confondues, c’est la difficulté de la calibration initiale (lors de la première installation). Jusqu’à présent, le réglage du tactile se faisait en partie à l’aveugle, car la technologie tactile des vidéoprojecteurs interactifs est basée sur un rayonnement laser de fréquence invisible à l’oeil nu.

    C’est pourquoi l’installation d’un VPI tactile devait toujours être réalisée par un installateur spécialisé et formé.

    Avec cette nouvelle gamme de vidéoprojecteurs interactifs à ultra-courte focale, plus besoin d’être un spécialiste pour régler le vidéoprojecteur tactile :

     

    CONTENU SPONSORISÉ

  • Les six avantages de l’écran interactif en école

    Les six avantages de l’écran interactif en école

    Alors que de nombreux écrans tactiles interactifs remplacent les autres solutions interactives, les utilisateurs du secteur éducatif s’attendent à une surface d’écran utile et plug & play comparé aux vidéoprojecteurs interactifs.

    Les systèmes numériques sont de plus en plus présents dans les établissements scolaires comme dans les entreprises. Avec le plan numérique du gouvernement, de nombreux établissements scolaires ont déjà investis dans des tableaux numériques (TNI) et des vidéoprojecteurs interactifs (VPI). Or, avec la progression de l’ecran interactif, devenu de véritable appareil tout-en-un qui intègre toutes les commodités nécessaires pour les salles de classe, la tendance des établissements scolaires pour les dispositifs interactifs se voit changer.

    Pourquoi alors cet engouement pour l’écran interactif, et quels sont ses avantages face au vidéoprojecteur interactif ?

    d88b1661

    Le principe de base

    Dans les deux cas il s’agit de projeter sur un tableau numérique ou une surface blanche murale l’image d’un écran d’ordinateur. On pilote l’ensemble avec le doigt ou un stylet. Ces systèmes permettent de rendre les séances plus vivantes, plus motivantes. Ils favorisent le travail collaboratif et facilitent les interventions à plusieurs.

     

    L’écran interactif présente de très nombreux avantages face au vidéoprojecteur interactif. On peut lister au moins six raisons de choisir un écran interactif.

    ‘’Premier avantage : une durée de vie nettement plus longue’’

    Dans un vidéoprojecteur il y a différents composants dont une lampe indispensable. Cette lampe dégage une forte chaleur et s’use rapidement. Les filtres doivent être régulièrement nettoyés. Il faut la changer environ toutes les 2 000 heures pour conserver de bonnes performances. La durée de vie d’un écran interactif est dix fois supérieure avec 50 000 heures. L’écran interactif utilise la technologie Led. Ces lampes ne chauffent pas et sont nettement plus résistantes.

    On a donc moins de maintenance mais également une consommation énergétique réduite d’environ 50 %.

    ‘’Un fonctionnement silencieux’’

    Le deuxième avantage de l’écran tactile interactif sur le vidéoprojecteur interactif est son silence de fonctionnement. Lorsqu’il est en marche, ce dernier émet en permanence un bruit de fond. Le ventilateur qui limite la chaleur de la lampe tourne en continue ce qui est un facteur de stress et de fatigue pour tous les participants. Avec un écran interactif, les lampes Led ne dégagent pas autant de chaleur et la présence d’un ventilateur n’est pas nécessaire.

    Le fonctionnement est silencieux ce qui est beaucoup plus agréable.

    ‘’Une qualité d’image supérieure’’

    Avec un vidéoprojecteur interactif, la qualité de la présentation n’est jamais excellente. La luminosité perfectible, les couleurs mal rendues, l’image floue, les ombres portées sont très fréquentes avec ce type de projecteur. L’écran interactif a toujours une résolution qui est au moins Full HD avec 1 920 x 1 080 pixels.

    On a même de plus en plus souvent une résolution ultra HD ou 4K. La dalle graphique du grand écran interactif est ultra performante, très résistante et anti-reflets. La netteté est particulièrement bonne, les couleurs très réalistes ce qui permet d’obtenir une présentation plus dynamique, plus motivante et captivante. De plus, la taille de 70 pouces des écrans interactifs est une taille idéale parfaitement adaptée aux salles de classe et n’altère pas la vue des enfants.

    ‘’Un fonctionnement immédiat’’

    Quand on utilise un vidéoprojecteur interactif, il faut d’abord attendre que la lampe soit suffisamment chaude pour avoir l’affichage de l’écran de l’ordinateur connecté. Ce temps d’attente est inévitable. Avec un écran tactile interactif, l’utilisation est immédiate. L’écran est immédiatement opérationnel même quand on branche un nouvel appareil.

    La synchronisation est directe et il n’est pas nécessaire de rajouter un driver ou de procéder à une calibration.

    Cela donne un grand confort d’utilisation et pas d’attente pour des élèves.

    ‘’Cinquième avantage : la mobilité’’

    Un appareil facilement déplaçable est toujours un atout. Or, le vidéoprojecteur interactif est à courte focale. C’est-à-dire qu’il doit impérativement être installé de manière définitive au-dessus du tableau ou du mur d’affichage. Il est extrêmement difficile le passer d’une salle à l’autre. Dans un établissement scolaire, il faut donc que toutes les salles soient équipées ou que les classes tournent dans celle dédiée au vidéoprojecteur.
    Cela entraine une organisation compliquée.

    Avec un grand écran interactif, le problème ne se pose pas. Il est compatible avec différents types de supports qui peuvent être fixes ou mobiles.

    Dans le cas d’un support mobile, il est très simple de déplacer l’écran d’une salle à l’autre en fonction des besoins.

    ‘’Aucune ombre portée’’

    Avec un vidéoprojecteur interactif, l’ombre portée sur le tableau gêne la visibilité. Cette ombre est inévitable puisque l’intervenant se trouve obligatoirement entre la source lumineuse et l’écran. Avec un écran interactif, ce problème n’existe pas puisqu’il émet sa propre lumière. Quelle que soit la position de la main qui pointe un endroit de l’écran, elle ne se trouve jamais entre la lumière et l’écran. Il n’y a pas de gêne et tout le public peut suivre au mieux.

    De plus, la luminosité s’adapte aux différentes circonstances. Une utilisation prolongée n’entraîne pas de fatigue visuelle.

     

    Voici un résumé en vidéo illustrant les avantages de l’écran interactif :

    En conclusion, cette tendance enregistrée pour les écrans interactifs est très générale au niveau des marchés internationaux. La disponibilité des technologies alternatives avancées telles que les écrans plats interactifs avec plus de fonctionnalités et pas ou très peu de coûts d’entretien sont les principales raisons pour la croissance des écrans tactiles interactifs au détriment des TBI et VPI.

    Reste à savoir, comment choisir un écran interactif adapté à l’usage souhaité ? Plusieurs critères sont à prendre en considération …

     

    ARTICLE SPONSORISÉ

  • Tableau interactif eBeam Edge +, pour révolutionner vos présentations à l’école

    Tableau interactif eBeam Edge +, pour révolutionner vos présentations à l’école

    Au fil du temps, les termes « eBeam » et « tbi mobile » sont devenus synonymes en France. L’eBeam est le tableau interactif le plus vendu en France. C’est une solution mobile parfaitement adaptée à l’utilisation à l’école notamment qui équipe plus de 60 000 salles de classe dans toute la France.

    Le TBI mobile eBeam est composé d’un capteur interactif fin et aimanté, qui s’accroche tout seul sur votre tableau blanc ; et d’un stylet interactif permettant d’interagir sur la surface de projection. Il s’adapte à tous les vidéoprojecteurs et ordinateurs (Windows, Mac OS ou Linux).

    Le tableau interactif qui capte des deux côtés, sur plus de 5 m.

    Speechi1_190416

    C’est la nouveauté la plus marquante de l’eBeam Edge Plus : il est désormais possible d’utiliser la partie interactive digitale (avec stylet interactif) d’un côté du capteur interactif, et la partie prise de note physique (avec marqueur) de l’autre, pour une surface interactive de plus de 5 m de long.

    Il devient ainsi facile de jongler entre tableau interactif et tableau physique, avec le même tableau interactif eBeam Edge +.

    Speechi2_190416


    100 grammes de simplicité dans un monde de brutes


    La simplicité d’utilisation du tableau interactif mobile
    eBeam qui a fait son succès, avec plus de 60 000 utilisateurs en France. Le tableau interactif eBeam Edge transforme votre salle de classe (ou de réunion) en salle interactive très facilement, en s’adaptant à votre matériel existant (ordinateur, tableau blanc et vidéoprojecteur).

    L’eBeam Edge est de plus très léger, il se transporte et s’échange entre collègues sans problème. Ce qui en fait une solution interactive très simple, puissante, partageable et, ce qui ne gâche rien, très économique.

    Speechi3_190416

    Découvrez le tableau interactif eBeam Edge Plus en vidéo

    De nouvelles fonctionnalités pour un tableau interactif plus mobile, plus simple et plus performant

    Par rapport à l’eBeam Edge, l’eBeam Edge Plus est plus précis, plus rapide, plus intégré et dispose d’un nouveau logiciel plus pratique, permettant l’usage du feutre.

    Un nouveau stylet fin et rechargeable 

    Speechi4_190416Le stylet interactif est maintenant rechargeable via prise USB sur ordinateur. Il est ainsi possible d’écrire avec pendant 15 heures, soit environ un mois d’usage normal. La batterie du stylet de son côté ne nécessite que 3 heures de charge.

    Un capteur rechargeable sans fil (8 heures d’utilisation continue)

    Speechi5_190416

    Le TBI eBeam Edge Plus sans fil dispose de sa batterie intégrée, lui permettant d’être utilisé sans fil jusqu’à 8 heures en continu.

    Plug and play, le tableau interactif eBeam Edge peut être utilisé partout, sans aucun fil qui traîne

    Une précision améliorée, un logiciel plus accessible

    Le tableau interactif est devenu plus précis que jamais : latence et précision de l’interaction sont améliorées de 30%. Ce qui veut dire que les erreurs de positionnement sont devenues négligeables et ne sont ainsi plus visibles.

    Le logiciel qui accompagne l’utilisateur du TBI eBeam a été également amélioré. Il est maintenant disponible sur Windows, Mac OS, Android, Chromebook et Linux. L’interface a été également améliorée, pour rendre l’interaction toujours plus simple.

     

     

    A propos de Speechi

    Depuis 2004, Speechi développe des solutions interactives (tableaux blancs interactifs ou TBI, vidéoprojecteurs interactifs, écrans interactifs…), des logiciels innovants et brevetés pour la communication interactive à l’école et en entreprise, ainsi que la formation à distance.
    A ce jour, les solutions Speechi équipent plus de 60 000 salles de classe en France, ce qui fait de Speechi le leader national des solutions interactives. 

    Speechi est aussi la première entreprise au monde à avoir adopté les statuts du Capital Altruiste : elle réserve 10% de son capital à une ONG, l’International Gorilla Conservation Programme. L’ONG dirigée par Eugène Rutagarama effectue un travail considérable de conservation des gorilles des montagnes au Rwanda.

    CONTENU SPONSORISÉ

  • DSTI, l’école supérieure d’application de la Data Science et du Big Data signe un partenariat industriel avec Speechi

    DSTI, l’école supérieure d’application de la Data Science et du Big Data signe un partenariat industriel avec Speechi, la société éditrice du logiciel d’évaluation « Je lève la main ». Ce partenariat a pour but d’améliorer le confort des étudiants et des professeurs en mettant à leur disposition des solutions de travail innovantes.

    Premier volet de ce partenariat, l’installation d’écrans tactiles, ou écrans interactifs dans les salles permettront aux élèves assistant aux cours à distance de suivre le programme en même temps que leurs camarades en classe et aux absents d’avoir accès aux cours en téléchargement dès la fin de ceux-ci. « La mise en place de ces smartboards permet à DSTI de développer ses offres de cursus en proposant par exemple à présent des formations OFF Campus, aux étudiants n’ayant pas la capacité d’assister aux cours sur les campus de Paris et Nice » détaille Léo Souquet DG Relations Extérieures.

    Deuxième outil de ce partenariat, “Je Lève La Main” est un logiciel d’évaluation qui permet au professeur d’animer, interroger évaluer et sonder les élèves. Disponible sur un grand nombre de supports numériques (tablettes, smartphones, ordinateurs…) le logiciel permet à un intervenant de programmer ou composer en direct des questions qu’il soumet aux élèves afin de monitorer leurs résultats : affichage du nom des participants, taux de réussite…

    « Cet outil va dans le sens de la démarche initiée par DSTI, offrir un enseignement moderne de qualité. « Je lève la main » va permettre à nos intervenants de surveiller la compréhension de chacun des étudiants et de déceler leurs lacunes et points forts via des outils de monitoring pointus » nous explique Sébastien Corniglion, DG Enseignement et Recherche.

    « Le cursus DSTI est focalisé sur les Big Data et notre plateforme d’évaluation « Je Lève La Main » dispose justement des fonctionnalités les plus avancées pour recueillir et analyser des données pédagogiques d’évaluation. L’objectif est de se servir des données pour améliorer la pédagogie et cette démarche va nous permettre de faire évoluer nos solutions et d’en faire la promotion dans l’enseignement supérieur comme pour l’enseignement classique. » développe Thierry Klein, président de Speechi.

    Plus d’infos :
    https://www.speechi.net
    https://www.jelevelamain.fr
    https://www.datasciencetech.institute/fr

  • Handicap et numérique à l’Ecole

    Handicap et numérique à l’Ecole

    Anita Rollot est enseignante à la cité scolaire adaptée – EREA -LEA de Flavigny sur Moselle et intervenante DANE (Délégation académique pour le numérique éducatif) pour l’académie de Nancy-Metz.

    Par rapport à des élèves qui sont tous porteurs d’un handicap moteur, le numérique est vraiment primordial ; c’est une porte de sortie pour eux.

    Toutes les salles de l’établissement sont équipées de vidéoprojecteurs interactifs ou TNI « pour éviter qu’au niveau visuel, l’enseignant écrive de manière manuscrite ». Ils ont également pu bénéficier de l’acquisition d’ardoises BIC pour l’ULIS collège.

    Conscients de ce que le numérique peut apporter à ces élèves, chaque enseignant utilise, à des degrés différents, le numérique dans sa pédagogie comme l’explique Anita Rollot :

    Retrouvez tous les articles et retours d’usages des NetJournées mars 2016 ici

  • Le TBI pour une pédagogie interactive

    Le TBI pour une pédagogie interactive

    TSR_informatique_151214

    Un point de vue issu du témoignage d’une enseignante qui utilise le tableau blanc interactifen réponse à l’article « TNI ou VPI, comment faire son choix ? ».

    Les TBI : apports et contraintes

    une technologie nouvelle à maîtriser

    L’arrivée des TBI dans le monde de l’éducation est un événement important mais dans les faits, l’apparition d’une technologie nouvelle pose souvent quelques problèmes.

    Il faut d’abord souligner que le TBI coûte cher ! Il représente un réel investissement, ce qui peut souvent freiner voire bloquer son apparition dans certaines écoles.

    De plus, une grande partie du personnel enseignant se retrouve démunie face à cet outil ! Comment l’utiliser efficacement ? De quelle manière le mettre réellement à profit en exploitant toutes ses possibilités ? Il existe un réel manque de formation et la majorité des enseignants devra se former seule, au contact de l’outil ou avec le soutien de collègues plus expérimentés.

    Cependant, une fois que l’enseignant le maîtrise et qu’il parvient à le mettre efficacement en place au quotidien, le TBI se révèle être un outil précieux permettant un vrai gain de temps, une meilleure dynamique dans l’assimilation des savoirs, plus d’interactivité, de motivation…

    Un enseignement dynamique

    Les TBI permettent à l’enseignant de modifier ses pratiques. Il gagne d’abord du temps en classe : les devoirs à noter, les leçons à copier, les images à afficher… Tout est préparé en amont, il n’y a plus qu’à afficher au TBI ! Le temps de présence de l’enseignant peut alors être dédié réellement au soutien et à l’accompagnement des élèves.

    Ces nouvelles technologies apportent plus de dynamisme dans une classe. Les élèves ne sont plus tête baissée sur un support individuel, ils regardent tous ensemble dans la même direction. Les textes, les images s’affichent, sont déplacés, modifiés.

    Le support est en mouvement : il maintient l’attention et l’intérêt.

    Lors d’un exercice, la classe peut observer les étapes, participer à l’élaboration, venir modifier. Le support n’est pas figé, les erreurs ne sont pas inscrites définitivement, l’enseignant peut intégrer les remarques, les corrections… Autant d’aspects bénéfiques pour la motivation de chacun.

    Les TBI : quels bénéfices pour l’élève ?

    Ludique, créatif, interactif

    Le manque de motivation est un problème dans le quotidien de la classe. L’arrivée en classe d’un TBI apporte quelques solutions.

    L’interactivité entre l’enseignant et les élèves, mais aussi entre élèves amène ces derniers à être plus réactifs, plus impliqués. Les TBI permettent par exemple un support privilégié pour exposer un travail de recherches en groupe : les élèves peuvent y insérer des textes, des images, du sons, ou même des extraits vidéos… Ils sont alors bien plus investis dans leur présentation, et l’auditoire dans son écoute !

    Cela favorise le dialogue entre pairs, le débat, l’argumentation. Le travail collectif trouve un nouvel essor, gagne en efficacité.

    Un autre aspect du TBI le rend particulièrement ludique pour les élèves : le lien étroit qu’il entretient avec les TICE. Il permet à la classe de s’ouvrir plus facilement aux technologies numériques et d’effectuer par la même occasion un travail sur les traitements de texte, la recherche internet, la sélection d’informations… Autant de savoirs à intégrer dans le cursus scolaire des élèves.

    Être acteur pour mieux apprendre

    Ce dynamisme et ces interactions favorisés par les TBI rendent les élèves acteurs. En plus d’une meilleure écoute, d’une plus grande concentration, ils font preuve d’un investissement accru dans l’apprentissage.

    En agissant directement avec le TBI, ils comprennent mieux, assimilent mieux. Sont alors favorisés tous les processus entrant dans l’assimilation d’une notion : l’intérêt, l’écoute active, la mise en application, l’entraînement, la facilité de mémorisation…

    L’élève ne subit plus l’exposé magistral du professeur, il est actif, réactif, impliqué et investi, pour une plus grande efficacité et de meilleurs apprentissages au quotidien.

    Plus d’infos sur TBI Direct : www.tbi-direct.fr

    Source et crédit photo : TBI Direct

  • TNI ou VPI : comment faire son choix ?

    TNI ou VPI : comment faire son choix ?

    [callout]Elus, que choisir ? Entre TNI ou VPI pour votre école numérique ?[/callout]

    Par Marie-France Bodiguian Cabinet AMO-TICE

    Dans la jungle des offres des industriels, étudions aujourd’hui deux équipements incontournables pour construire ou développer votre école numérique. Des outils très appréciés des enseignants ! Il s’agit du tableau numérique interactif (TNI) et du vidéoprojecteur interactif (VPI). Quelle différence ? Quels avantages ? Quelle efficience ?

    Dressons un état des lieux pour mieux vous aider à comprendre, puis à choisir en fonction de vos contraintes et des spécificités de vos écoles. Le « meilleur choix » ? Celui adapté à vos spécificités (configuration et niveaux des classes, budget, etc.).

    De quoi parle t-on ?

    Amotice2_181114Quelle que soit la solution choisie, le principe d’une solution interactive est de projeter sur un tableau numérique (TNI) ou sur un tableau blanc type Véléda ou toute surface blanche murale (VPI), l’image de l’écran d’ordinateur. L’enseignant pilote avec son doigt ou un stylet donc l’ordinateur depuis l’écran de projection et navigue  sur son écran comme si c’était un énorme tapis de souris. Son doigt ou le stylet ? Le pointeur de cette souris.

    TNI ou VPI : à l’enseignant d’intégrer à son cours des supports numériques, tels que des vidéos, des photos, du texte ou pages internet, etc. sur lesquels les enfants peuvent interagir.
    Plus précisément :

    OLYMPUS DIGITAL CAMERALe TNI, Tableau Numérique Interactif, associe un tableau numérique, tactile ou pas, à un vidéoprojecteur, relié à l’ordinateur.

    Le VPI, Vidéoprojecteur Interactif, lui, ne nécessite pas de tableau spécifique et peut donc être utilisé avec un tableau blanc traditionnel, type véléda en place ou tout mur blanc mat disponible. Le vidéoprojecteur rend les surfaces murales intelligentes en créant l’interactivité grâce à une caméra à infrarouge intégrée au vidéoprojecteur. C’est une excellente alternative pour les classes très encombrées et les salles petites et où il faut mutualiser les surfaces murales.

    Pourquoi intégrer des TNI ou VPI dans vos écoles ?

    Intégrer des TNI ou VPI dans vos écoles, c’est contribuer à rendre pour les enfants les séances plus vivantes, interactives et motivantes.

    Amotice3_181114Depuis 10 ans que cet outil est utilisé dans certaines écoles, on constate une meilleure attention des élèves, mieux canalisés grâce à des parcours pédagogiques collaboratifs que les enseignants mettent en œuvre. Ces séances favorisent l’épanouissement le développement de la créativité des élèves et leurs implications scolaires.
    Les solutions interactives permettent ainsi de favoriser le travail collaboratif et de faciliter les interventions simultanées à plusieurs, sur le tableau.

    Le premier critère à prendre en compte est lié à la politique de la ville, la place que doit prendre le numérique dans votre projet éducatif territorial et au budget que vous  souhaitez y consacrer.

    Mais un VPI ou TNI par école n’est-il pas suffisant ? Ce qui bien sûr réduirait considérablement vos investissements.

    En salle informatique ? Non ! Placer un tableau dans une salle polyvalente, c’est s’assurer que l’argent investi sera purement et simplement gâché.

    Car les solutions interactives ne sont en réalité réellement utilisées que dans les classes car les enseignants se les approprient.

    TNI Mobile* ou portable* donc mutualisable entre les classes? Là aussi, en primaire, non! D’expérience, les enseignants des petites classes ne prennent pas le temps, après l’enthousiasme du début, d’installer, paramétrer et l’équipement reste dans la salle initial ou dans le placard.

    Amotice4_181114Le deuxième critère : le prix, qui constitue l’un des principaux éléments qui fait la différence. Basiquement, un VPI affiche un prix moins élevé qu’un TNI.  Mais aujourd’hui les constructeurs de TNI  baissent leurs offres basiques qui, à l’honneur hier, font place à nouvelles technologies, toujours plus performantes.

    La question donc : les enseignants de votre circonscription ont-ils besoin du dernier cri ? Pas forcément, ou seulement si cela vient répondre à une des raisons de non-usages de leurs collègues.
    Attention !  N’oubliez pas de calculer l’ensemble des coûts inhérents à l’installation d’un VPI : si vos salles sont principalement équipées de tableaux à craies, vous devrez inévitablement compter les coûts de leurs désinstallations, l’achat de tableaux blancs type Véléda, ainsi que la désinstallation d’éventuels luminaires placés généralement en haut des tableaux à craies et qui gênent la fixation des vidéoprojecteurs.

    Le troisième critère essentiel relève de la configuration des classes :

    Où mettre donc le tableau numérique interactif ?

    Amotice5_181114Selon le matériel et l’infrastructure électrique et de câblage qui ne doivent pas être éloignés, déjà en place dans les classes, VPI ou TNI s’imposeront naturellement ; d’où l’importance d’effectuer un audit initial pour étudier leurs futurs emplacements dans les classes.

    Aussi, de part la définition même d’un TNI ou d’un VPI, la place consacrée au TNI sera plus importante que celle d’un VPI, qui peut, en un même lieu, servir de solutions interactives et de tableau effaçable à sec.

    Dans tous les cas, pas de craie à côté d’un vidéoprojecteur ! Si vous optez pour un TNI, celui-ci devra être placé à côté du tableau traditionnel ou sur le mur adjacent pour faciliter la gestion des élèves.

    Attention !  En postulat de départ, gardez en tête que l’enseignant a l’habitude d’utiliser son tableau à craie ou Véléda, et dans une large majorité des cas il continuera à rechercher cet usage.

    Quatrième critère : les logiciels.

    Vérifiez s’il existe d’autres tableaux dans l’école. Pourquoi ? L’homogénéité entre les différents modèles de tableaux permet de pallier les problèmes de compatibilité de logiciels et de leur mise à jour.

    Chaque marque de TNI a son logiciel, ce qui pose le problème de l’interopérabilité des logiciels.  Leur avantage est lié à une interface particulièrement étudiée pour le primaire : certains permettent également aux enseignants d’échanger leurs pratiques et leurs ressources sur des plateformes dédiées.
    Pour les VPI, des logiciels gratuits tels que Workspace ou Sankoré peuvent être utilisés.  Notons que, pour ce dernier, le réseau Canopé dans les académies (ex CRDP) a développé une large palette de ressources, qui permettront aux enseignants d’optimiser les usages du VPI ou du TNI et d’échanger sur leurs pratiques.

    Et vous, quelle solution interactive TNI ou VPI est-elle la plus adaptée à vos salles de classes et à votre budget ? Avez-vous effectué un audit des infrastructures et équipements de vos classes ? Quelles conclusions en avez-vous déduit ? Partagez-les avec nous !

  • +10% d’enseignants convaincus par le numérique en deux ans !

    +10% d’enseignants convaincus par le numérique en deux ans !

    enquete_profetic_011014

    Devons-nous nous réjouir de ce résultat ?
    Toute évaluation allant dans un sens positif de la pratique du numérique à l’Ecole est bonne à prendre. Détaillons en quelques points ce qui a vraiment changé entre 2012 et 2014.

    Equipement personnel de l’enseignant : de plus en plus équipés et de plus en plus en outils mobiles

    Alors que la plupart des enseignants se tournent vers des appareils personnels mobiles (ordinateurs portables, tablettes, liseuses ou Smartphones) pour leur usage à la maison et en établissement, seuls 1% des enseignants déclarent n’avoir aucun outil informatique à domicile.

    La dotation par l’établissement ou la collectivité stagne ou décroit, souligne le rapport.

    En classe, les enseignants utilisent plus le numérique

    L’usage d’un ordinateur « enseignant » et d’un matériel de vidéo projection semble être passé dans les us et coutumes de la majorité des enseignants interrogés et ils admettent que l’accès à ces outils est facilité.

    Seuls 31% d’entre eux déclarent utiliser un matériel interactif (TNI ou vidéoprojecteur) ; pour les autres, une partie d’entre eux affirme que l’accès à ces matériels serait trop compliqué ou l’autre partie avoue n’avoir jamais utilisé ce type d’équipement.

    La ressource numérique : un des points noirs des usages du numérique en classe.

    Alors que certains déclarent ne pas avoir connaissance des ressources numériques disponibles, d’autres affirment que les enseignants en sciences humaines, sociales, de sciences et de production disposent de plus de ressources que les « littéraires » ; d’autre part, les lycées semblent un peu mieux dotés que les collèges.

    « Les exploitations plus novatrices du numérique, autres que la préparation des cours (56%), le renseignement du cahier de textes numérique (62%), la saisie des notes et/ou des absences (61%), le montage de séquences en classe sans manipulation des TIC par les élèves (35%), restent très faibles ou anecdotiques, voire inexistantes pour une très large majorité lorsqu’il s’agit par exemple de faire communiquer les élèves entre eux en dehors ou dans la classe ».

    Pourtant, collaboration, partage, coopération et échanges ne sont-ils pas les maîtres mots des débats, colloques et séminaires en tout genre lorsqu’il est question de numérique dans l’éducation ? Ces valeurs, que tous plébiscitent et annoncent comme « facilitées » par le numérique, ne sont, à priori, pas encore entrées dans l’enseignement « classique » ; est-ce faute de matériel suffisant ?

    Le volet « communication avec le numérique« , pourtant n°1 dans notre société à tous les niveaux, n’a pas « matché » non plus avec l’Ecole puisqu’il ressort que « des doutes persistent sur les apports dans la communication avec les parents » ; sous-entendu : il ne ressort pas clairement que le numérique ait joué un rôle déterminant, à ce jour, pour instaurer une meilleure communication en dehors des murs de l’établissement.

    Le numérique, profitable aux enseignants mais des freins à une pratique plus régulière subsistent

    Pour terminer sur une note positive, l’enquête dit aussi :

    plus de 90% des enseignants jugent le numérique profitable à leur enseignement.

    La volonté est donc bien là ; oui mais voilà, il y a encore les fameux « freins » que tout le monde connaît, qui ralentit leur course, à savoir : l’accès à internet et ses débits encore insuffisants (pour 42% des enseignants, c’est le facteur bloquant à l’usage du numérique) ; l’anticipation comme par exemple la réservation de matériel ou de salles fait aussi partie des freins pour 38% d’entre eux.

    « Arrêt sur image » sur la salle informatique, qui fait encore « la une » dans nos établissements.

    Comment se fait-il qu’on évoque encore cette question de la réservation de « salle informatique » ? Pourtant, nous sommes actuellement dans une logique de mobilité (sous-entendu un appareil mobile par élève) en classe et hors la classe, pour tenter de casser le modèle « tragique » de l’enseignement actuel comme le décrit Daniel Peraya, professeur en technologies de l’éducation à l’Université de Genève (TECFA), en référence aux règles de la tragédie classique à savoir une unité de lieu, une unité de temps, une unité d’action.

    Effectivement, la salle informatique a encore sa place car elle en dit long sur plusieurs années d’investissement des collectivités à qui il est recommandé, pour ne pas dire demandé, aujourd’hui de changer de modèle. Patience, le numérique est bien entrain « d’entrer » dans l’Ecole, du moins au collège et au lycée, et les enseignants sont de plus en plus convaincus, en référence à cette dernière enquête.

    Auteur : Aurélie Julien

    Source des passages cités : article issu de eduscol.education.fr avec accès à l’enquête.