Étiquette : numériques

  • Nouvelle version de PlanetNemo.fr

    Nouvelle version de PlanetNemo.fr

    PlanetNemo.fr évolue pour permettre une navigation plus fluide, une utilisation plus simple et une exploitation des contenus plus pertinente. Cette nouvelle version du site intègre trois nouveautés principales.

    Mise à disposition de fiches d’activités et de fiches d’accompagnement pédagogiques conformes aux nouveaux programmes de 2016.

    Réalisées par un enseignant et référent numérique départemental, elles enrichissent les modules d’apprentissage de l’anglais d’ABC Melody et les missions scientifiques du détective Jean Bon. Les fiches pédagogiques accompagnent les enseignants en proposant plusieurs séances de travail à partir de ces supports. Les fiches d’activités à destination des élèves varient le type d’actions et de compétences travaillées.

    Amélioration du repérage dans le site

    Grâce au nouveau sommaire, aux fenêtres pop-up décrivant le contenu des rubriques et aux indications de tranches d’âges, la navigation sur www.planetnemo.fr est plus facile et plus pertinente.

    Evolution du responsive design et de la compatibilité tablettes pour un meilleur usage multi-supports de PlanetNemo.fr : ordinateur, Tableau Numérique Interactif (TNI), tablettes.

    Pour Marc Boucharlat, éditeur de Planetnemo.fr,

    « A l’écoute des retours qui nous ont été faits ces derniers mois, nous présentons une nouvelle version de PlanetNemo.fr plus proche des usages. Les enseignants et animateurs y trouveront des outils pour faciliter l’utilisation de la ressource en groupe. »

    Plus d’infos sur planetnemointeractive.com :

    revoir l’article sur ludomag à ce sujet, en février 2016

    Prix et récompenses : MIM d’or à Montréal – Élu meilleurs site web de l’année par le magazine Broadcast – Prix Adélouzes – 1er Prix du Festival du Jeu Vidéo

     

     

  • Séminaire C2i à l’université de Perpignan : pour une nouvelle certification des compétences numériques ?

    Séminaire C2i à l’université de Perpignan : pour une nouvelle certification des compétences numériques ?

    C2i : vers une nouvelle certification des compétences numériques ?

    Rachel-Marie Pradeilles-Duval, chef du service de la stratégie des formations et de la vie étudiante à la DGESIP-MENESR rappelle les enjeux de cette nouvelle certification lors de son allocution en visioconférence : « un C2i rénové au service de la transition numérique de l’économie et de la société. Le dernier rapport du conseil national du numérique réinscrit et renouvelle le regard de l’impact du numérique sur notre société qui est économique, culturel et social ; d’où l’importance de former des spécialistes et aussi d’accélérer la révolution des usages ».

    Claude Bertrand, conseiller stratégique pédagogie DGESIP-MENESR, que nous avons interviewé a dressé le contexte et les grandes orientations de la refonte du C2i. Il rappelle que le C2i est un dispositif qui a été mis en place il y a douze ans « pour reconnaître les compétences numériques des étudiants ».

    Le projet de refonte part du constat que le C2i ne correspond plus aux besoins « que nous lui avions assignés à l’origine, notamment de donner aux étudiants une culture numérique ».

    Le processus est engagé depuis un an environ et le nouveau C2i devrait être efficient avant la fin de l’année 2016. Sans entrer dans les aspects techniques, Claude Bertrand souligne un point important qui est que dans la nouvelle certification, « on va différencier ce qui relève de l’évaluation des compétences de la formation ».

    L’enseignement supérieur ne concerne plus aujourd’hui que des étudiants en formation initiale mais accueille une diversité de publics. La préoccupation des compétences numériques des salariés dans une entreprise devient un enjeu fort et l’objectif est aussi que les nouvelles compétences acquises puissent être reconnues par le monde professionnel.

    Pour Sophie Pène, Professeur à l’université Paris Descartes et pilot du rapport CNNum Jules Ferry 3.0, le réseau des correspondants universitaires C2i est « une puissance humaine et le meilleur réseau de veille qui existe à l’Université ».

    Elle explique que ce sont des personnes qui savent à la fois combien il est utile de certifier, de valider et d’entrer dans le régime institutionnel et qui savent aussi combien ces questions dépassent la certification.

    Dans les conseils des universités, ils doivent trouver la ressource et l’énergie pour se faire écouter car ce sont des capteurs beaucoup plus en prise avec le monde étudiant que la majorité des enseignants, souligne t-elle.

    Plus d’infos sur la refonte du C2i : https://c2i.enseignementsup-recherche.gouv.fr/

     

  • Nomadisme et variété d’usages dans les Pyrénées-Atlantiques

    Nomadisme et variété d’usages dans les Pyrénées-Atlantiques

    Avec les outils numériques nomades, enseignants et élèves gagnent du temps de pratique

    Stéphanie Mirallès, enseignante en anglais, utilisatrice du TNI, des baladeurs Mp3 et de la salle informatique, a déjà la « fibre » numérique.  Elle se plaît à « tester » toute nouveauté dans l’établissement.

    Dans le cadre des Contrats Numériques, le collège Joseph Peyré de Garlin et son équipe enseignante a choisi de s’équiper en tablettes ; au moment de la prise en main, Stéphanie Mirallès a tout de suite compris les atouts de ce nouvel outil pour son enseignement.

    « Sur une heure, quand je sais que je vais avoir recours à des activités sur internet pendant un quart d’heure, je n’ai pas besoin de déplacer tous les élèves en salle informatique, tout simplement », souligne t-elle, en premier lieu.

    C’est bien l’aspect mobile de l’outil qui est pointé du doigt, comme véritable atout ; les tablettes peuvent aller de classe en classe et de discipline en discipline.

    CG64_1erephoto_240614Au collège Irandatz d’Hendaye, Hervé Landagaray, enseignant en mathématiques, dresse le même constat.

    « La classe mobile est désormais indispensable pour notre utilisation quotidienne lorsqu’on a besoin d’aller faire une recherche sur internet ou de faire manipuler certains élèves dans des groupes différenciés » et il précise « à n’importe quel moment, on a les outils à disposition sans déplacer toute la classe en salle informatique ; c’est un outil qui nous permet beaucoup de souplesse ».

    Nadia Sauvy, enseignante d’EPS au collège Irandatz d’Hendaye rejoint l’idée que le numérique fait gagner du temps de pratique aux élèves. Elle confie avoir « eu la chance » d’expérimenter le numérique dans l’établissement où elle exerçait précédemment ; elle avait à sa disposition, tout comme ses élèves, un ordinateur portable, ce qui l’avait motivé à changer quelque peu ses pratiques.

    Pour exemples, en acrosport, en gymnastique, en escalade ou en demi-fond, entre autres, elle a découvert les atouts des outils numériques comme la tablette pour sa discipline.
    En début de séance, elle peut faire l’appel rapidement sur la tablette ; autre atout : la possibilité de visionner mais aussi de prendre des photos ou de filmer. Pour la gymnastique par exemple, elle peut leur montrer des vidéos et « ils visualisent plus facilement ce qu’ils ont à faire ».

    Les élèves peuvent aussi se filmer eux-mêmes ; le côté mobile de la tablette joue pour beaucoup dans la réussite de l’intégration de l’outil dans les pratiques de Nadia et des ses élèves.

    « Cela apporte un vrai « plus » aux élèves car ils ont une connaissance immédiate du résultat et peuvent gagner du temps de pratique ; et qui dit pratique, dit réussite », souligne t-elle.

    Pédagogie adaptée et supports mobiles : facteurs de progrès et de résultats pour les élèves

    CG64_3emephoto_240614Sur les aspects pédagogiques, Stéphanie Mirallès est unanime : la tablette lui permet de travailler autrement ; par exemple, elle peut pratiquer la différenciation. Un travail de différenciation qui est également plébiscité par Hervé Landagaray, une différenciation qu’il avoue avoir eu des difficultés à mettre en place avant l’arrivée de la classe mobile.

    « Je peux diviser la classe en trois ateliers et sur chacun d’eux, appliquer un niveau de différenciation : un atelier tablettes, un atelier au TNI et un atelier expression écrite ; toutes les douze minutes, les élèves tournent », explique Stéphanie Mirallès.

    D’après elle, cette organisation est très motivante pour les élèves et elle note de réels progrès lors des évaluations.

    « L’outil tablette permet d’exposer encore plus les élèves à la langue et ils mémorisent mieux ; enfin, les élèves dyslexiques sont ravis d’avoir des activités sur tablette qui leur sont adaptées », poursuit-elle.

    Pour l’enseignant aussi, le numérique en mobilité est synonyme d’avancées ; faire cours avec des outils mobiles et individuels lui permet d’enregistrer le travail de chaque élève.

    Comme l’indique Nadia Sauvy, c’est aussi un moyen de « voir qui a travaillé », mais aussi de comparer la progression d’une séance à l’autre.

    Introduire les supports nomades de manière cohérente : un vrai travail de réflexion pour l’enseignant

    L’usage du numérique dans la classe de Stéphanie Mirallès n’est pas quotidien ; pour elle, il faut savoir « doser » pour être efficace et ne pas « lasser » les élèves.

    Nadia Sauvy est aussi de cet avis et souligne qu’il faut bien réfléchir aux moments où il est opportun d’utiliser le matériel numérique.
    « Je ne sors pas la tablette dès la première séance pour le cycle d’acrosport, par exemple ».

    Avant de les laisser s’enregistrer au moment des figures, Nadia a abordé en amont avec ses élèves, tous les aspects sécurité et placement, compensation de masses, les différents types de pyramide…

    « Je ne peux pas lancer le cycle directement avec les tablettes ; cela pourrait même être dangereux d’un point de vue sécurité ; car les élèves se concentrent sur la tablette et en oublient le reste », ajoute t-elle.

    Créer de la motivation chez les élèves en les « appâtant » avec des outils qui leur correspondent

    Du côté élèves, on se verrait bien utiliser les outils nomades tous les jours ! L’image et l’attrait que véhiculent ces matériels, notamment les tablettes, créent une vraie « magie », comme le souligne Monique Lacoustille, professeur-documentaliste au collège Joseph Peyré de Garlin.

    Ayant fait ce constat, elle cherche à mettre à profit l’arrivée des tablettes dans l’établissement pour atteindre certains objectifs, en utilisant des moyens détournés. Elle a mis en place ce qu’elle appelle « le kiosque numérique. » Le principe est de prendre des abonnements à des périodiques en ligne et de travailler, en priorité avec les classes de 6ème, lors du cours hebdomadaire « d’initiation à la recherche documentaire », sur « comment les intéresser à l’actualité ».

    « Ils ne sont pas toujours attirés par le papier et le fait de passer par la tablette rend l’activité un peu plus “magique “», décrit t-elle.

    Par ce biais, elle espère susciter l’intérêt des élèves pour la lecture et les conduire, à terme, à lire aussi de la presse écrite traditionnelle.
    En projet et en collaboration avec l’enseignante en histoire-géographie, elle aimerait faire créer des QR codes aux élèves sur les bâtiments de Garlin. Elle ne manque pas d’idées et elle avoue que le côté mobile de la tablette permet aussi beaucoup plus de choses qu’avec des outils fixes.

     

    Des matériels « de base » dans les salles de classe aux outils nomades, souvent plébiscités par les enseignants dans le cadre des Contrats Numériques, l’objectif du Conseil général de mettre le numérique à portée de tous les collégiens est atteint. Et c’est un doublé gagnant puisque les usages ont véritablement suivi les investissements.

    Une belle réussite donc qui ne devrait pas en rester là et qui, comme le rappelait Christiane Mariette, Vice-présidente du Conseil général en charge de l’Education et de la Jeunesse dans les deux premiers épisodes, est devenue possible grâce au partenariat étroit qui existe entre le Département et l’Education nationale.

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  • Après l’équipement, place aux usages dans les collèges des Pyrénées-Atlantiques

    Après l’équipement, place aux usages dans les collèges des Pyrénées-Atlantiques

    Comme nous l’avions expliqué dans le précédent épisode « Numérique et éducation : l’engagement des Pyrénées-Atlantiques qui s’inscrit dans la durée », le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques est un des pionniers en France en matière de numérique à l’Ecole. Le très haut débit dans les établissements et l’installation de TNI ou de vidéoprojecteurs dans les classes, est déjà de l’histoire ancienne.

    Avec les Contrats Numériques, qui permettent à chaque établissement de déposer un projet d’équipement, un cap a été franchi. Les enseignants qui ont exprimé leurs besoins au travers de projets, se sont donc vus attribuer des matériels répondant à leurs pratiques pédagogiques. En menant cette opération, le Conseil général s’assure de l’utilisation et du « retour sur investissement ».

    « Les enseignants sont les mieux placés pour déterminer ce qui leur est utile et ce qui fonctionne avec les élèves et leur créativité est un atout dont nous ne pouvons pas nous passer. Surtout, ce sont les expériences des enseignants eux-mêmes qui peuvent entraîner l’adhésion de leurs collègues et fournir des modèles à décliner dans les collèges », déclarait Christiane Mariette, Vice-présidente du Conseil général en charge de l’Education et de la Jeunesse en janvier dernier, lors de la journée EIDOS 64.

    Aujourd’hui, place aux usages !

    Des enseignants ravis de leur outil de travail pour des pratiques désormais quotidiennes

    CG64_usages2_100614D’après Pierre Zinniger, enseignant en sciences au collège Irandatz d’Hendaye, ce sont quasiment tous les enseignants qui utilisent le numérique dans son établissement et plus de la moitié se servent d’un TNI.

    Pour lui, ce qui fait la différence avec le TNI, c’est vraiment le côté interactif qu’il peut donner à son cours, « ce qui me permet d’enchaîner plus facilement et donc de gagner du temps ». Il donne l’exemple d’un exercice de Travaux Pratiques qui pouvait durer jusqu’à une heure et demi et qui, grâce au numérique, peut aujourd’hui se réaliser en une heure maximum.

    Cette interactivité est aussi rendue possible par l’amélioration des réseaux et surtout du débit dans l’établissement ; à ce sujet, il reconnaît qu’un gros travail a été fait par le Département pour rendre les conditions de travail avec le numérique tout à fait optimales.

    « Il peut nous arriver de devoir faire une recherche sur google « sur le vif » par rapport à une question d’un élève ».

    « Il y a quelques années, c’est vrai que réaliser une recherche sur le net prenait plusieurs minutes et maintenant, c’est quasiment instantané, ce qui favorise vraiment l’interactivité du cours et les échanges. C’est vraiment très agréable de pouvoir travailler dans ces conditions », souligne t-il.

    Du côté du collège Joseph Peyré à Garlin, Hélène Bacquet, enseignante en mathématiques, ne se voit plus faire cours sans TNI. Elle a complétement intégré l’outil dans ses pratiques pédagogiques.

    Interactivité, réactivité et traçabilité : trois mots pour résumer les atouts du numérique

    Notre enseignante en maths utilise le livre numérique comme base de travail pour réaliser son cours sur TNI ; c’est « sa première sélection ». Ensuite, elle va l’agrémenter de ressources qu’elle trouve ci et là sur des sites officiels ou dans ses documents personnels pour rendre son cours le plus interactif possible.

    « Je prends d’abord appui sur mon livre numérique et ensuite je vais aller compléter mon cours et mes exercices en fonction des besoins des élèves », explique t-elle.

    Grâce au TNI, elle peut aussi enregistrer tout ce qu’elle produit pendant ses cours, y apporter des améliorations et surtout permettre aux élèves de retourner les consulter, notamment sur l’ENT.

    « Pour un élève absent par exemple, c’est très pratique ; il peut retrouver tout le cours et les corrections réalisées sur le TNI ; c’est vraiment intéressant de pouvoir avoir cette trace informatique », décrit Hélène Bacquet.

    Pierre Zinniger voit aussi dans l’enregistrement des données, tout l’intérêt de l’outil TNI, comme il le décrit sur un exemple de classe : « grâce à cet outil, on va pouvoir photographier et garder en mémoire sur le cours un document et la fois d’après, continuer sur la séance tout en ayant pour comparaison, ce qui avait été fait les semaines précédentes ».

    « L’an dernier, pendant l’épidémie de grippe, j’avais déposé tous les cours sur l’ENT puisqu’un quart de la classe était absent, c’est aussi le côté pratique », ajoute t-il.

    Le numérique est aussi un atout pour les élèves en difficultés ; pour les travaux de géométrie avec des sections de solide dans l’espace par exemple, Hélène Bacquet note clairement que le TNI les aide à mieux visualiser. « Globalement, c’est quand même assez efficace ».

    Une réactivité que note particulièrement Pierre Zinniger dans ses classes de 6ème :

    « Depuis qu’il y a le Tableau Numérique, avec les 6èmes, les résultats sont très concrets : c’est fantastique au niveau de la participation ».

    Enfin, le numérique signifie aussi l’absence de photocopies et cela ne pose aucun souci à Hélène Bacquet, bien au contraire et « si les élèves n’ont plus de livre papier, cela ne m’empêche pas de faire cours ; il y a plusieurs élèves qui n’amènent jamais leur livre et qui suivent très bien en cours », ajoute t-elle.

    Et enfin, créativité et ouverture, deux compétences développées grâce au numérique

    Le numérique intégré en classe apporterait une ouverture d’esprit et une créativité, auparavant plutôt sous-estimée.

    Pour exemple, Pierre Zinniger rapporte une anecdote toute simple qui s’est produite en classe : « tout à l’heure on parlait des grues cendrées et les élèves ne savaient pas à quoi ressemblait une grue ; on est donc allé directement sur internet pour projeter au TNI une photo d’une grue cendrée ». D’après lui, sans ces outils, les élèves n’auraient même pas pensé poser la question.

    Nul doute sur le développement de ces deux compétences par les élèves, de l’avis de Frédéric Wojtiniak, enseignant en musique au collège Marracq de Bayonne. Avec le matériel de musique par ordinateur récemment déployé dans sa salle grâce aux Contrats Numériques, il note de vrais progrès chez ses élèves. Pour lui, à notre époque, il n’est tout simplement pas envisageable d’enseigner sans numérique car il est primordial d’initier les jeunes à ces nouvelles pratiques.

    « Pour des adolescents en 2014, il est important de connaître la pratique de la musique par informatique, d’une part pour leur permettre de créer sans prérequis musical, de solfège au autre et d’autre part, de développer leur esprit créatif et leur esprit critique par rapport aux musiques techno ou électro qu’ils entendent tous les jours ».

    Des enseignants presque devenus « accrocs » aux pratiques numériques, vous me direz, c’est un peu exagéré comme constat !

    A écouter Pierre Zinniger, par exemple, qui explique tout simplement que « cela fait six ans que j’utilise le TNI et pour être honnête, je n’arrive plus à faire sans », il semblerait que nous ne soyons pas si loin de la réalité…