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  • Formation des enseignants : la vérité sort de la bouche des enfants !

    Formation des enseignants : la vérité sort de la bouche des enfants !

    Clarisse Cardiveau, Garance d’Abreu-Jude et Paul Hershkovtic, respectivement élèves en primaire, collège et lycée vont nous répondre à différents degrés sur ce sujet.

    Clarisse, la plus jeune, se contentera d’amener quelques idées sur ce qu’elle voit d’utile dans le fait d’avoir un TNI en classe. Son professeur étant très compétent sur l’utilisation du TNI, ce qui ne reflète pas l’échantillon majoritaire parmi les professeurs du premier degré, Clarisse ne peut donner de retours sur une utilisation sous-exploitée du TNI par les enseignants.

    Pour elle, le TNI permet à son professeur de faire des choses plus précises que sur un tableau classique ; il permet également de réaliser plusieurs manipulations différentes, c’est un « tout en un ». « Sur celui-là, il y a plein de couleurs, on peut regarder des films, faire des exercices, c’est plus pratique ». « Il est mieux car c’est comme un ordinateur, mais quand on va au tableau, on utilise pas toujours le « Smart » mais aussi le « Velleda ».

    Garance, élève en 4ème rejoint les propos de Clarisse dans le sens où l’utilisation du TNI en classe par un professeur facilite la compréhension car il permet, entre autres, d’être plus précis.

    Elle avance également l’argument de la rapidité et contredit donc certains de ses professeurs qui ne souhaitent pas utiliser le TNI « parce que le temps de l’allumer, ils disent avoir le temps d’écrire toute une phrase sur le tableau classique ».

    D’autres ne savent tout simplement pas s’en servir, donc ne l’utilisent pas du tout. Certains demandent de l’aide aux élèves.

    Garance, qui est nouvelle dans l’établissement, a été agréablement surprise de voir toutes les salles équipées d’un TNI ; elle trouve donc dommage de voir que dans certaines matières, il reste éteint.

    Elle ajoute que c’est d’autant plus dommage que certains enseignants qui l’utilisent au quotidien trouvent que cette forme de « modernisme » joue positivement sur l’ambiance de la classe ; pour elle, cet argument de choix devrait encourager les autres à s’en servir.

    Quant au degré d’utilisation des autres enseignants, elle parle essentiellement de « sa prof de mathématiques, qui est géniale avec » !
    L’usage des autres professeurs reste visiblement restreint à l’écriture et à la projection de documents…
    C’est également ce que remarque Paul, élève en 1ère.

    Et si l’interactivité du numérique, c’était l’abandon de la posture frontale ? La formation des enseignants vue par Paul, élève de 1èreS

    Il donne quelques exemples du quotidien de ses professeurs sur l’utilisation de l’outil.
    Le tableau n’est pas utilisé comme interactif en tant que tel, mais beaucoup en projection, en multimédia pour regarder des films,  pour l’écriture ou encore pour présenter des Powerpoint.
    Il donne l’exemple de son professeur d’histoire-géographie qui, en « fouillant », a trouvé un logiciel spécialement dédié au TNI, « une sorte de Powerpoint interactif », comme il le décrit.

    Le récit de Paul est éloquent. D’après lui, il faudrait bien plus qu’une formation au TNI pour parvenir à former les enseignants au numérique et ils ne sont pas les seuls à devoir être formés : il faudrait également se préoccuper de la formation des élèves.

    Il prend l’exemple d’un travail de recherche qu’il effectue actuellement sur internet  pour un TPE. Il pense que les élèves devraient apprendre à naviguer dans ce vaste environnement, « car sans boussole on se perd ».

    Il considère qu’il y a deux ères du numérique : l’ère classique de la bureautique, et celle dans laquelle nous sommes maintenant. Et pour lui, pas de doutes, les élèves ne sont pas plus « digital natives » que leurs professeurs !

    Il poursuit ses explications : pour qu’un outil soit bien intégré en classe, il faut que la solution soit matériellement bien implantée ; ce qui signifie que les logiciels soient installés et mis à jour, que les tableaux fonctionnent correctement et qu’ils soient les mêmes dans toutes les classes, et il ajoute « cela aurait été plus pratique » !

    Une fois que matériellement tout est prêt, on peut passer à la formation.
    Mais pour lui, la formation seule ne suffirait pas, car pour que l’outil soit utilisé au mieux, il faudrait de l’interactivité avec les élèves.

    Le tableau interactif, ce n’est pas seulement un enseignant qui donne son cours en posture frontale mais bien un échange, une collaboration en classe entre enseignants et élèves…
    Tiens, il parle de collaboration en classe ? Et si la vérité sortait de la bouche des enfants ?

    Pour lui, cette interactivité pourrait par exemple être créée par un travail d’un élève réalisé à la maison qu’on puisse projeter en classe et commenter ensemble.
    « Le problème est bien qu’on a un outil numérique face à nous mais que nous n’avons rien dans la classe pour produire notre propre contenu ».
    Il conclut « dans l’état actuel des choses, un TNI isolé, c’est un tableau optimisé et ça s’arrête là ».

    Finissons par un rêve d’adolescent…
    « Peut-être qu’on peut imaginer un jour pouvoir mieux partager notre travail, pouvoir mieux le montrer aux autres, pouvoir faire notre travail de manière plus efficace et plus critique aussi ».
    Et si ce rêve devenait réalité ?

  • Apprendre à utiliser le numérique en classe : une formation suffit-elle ?

    Apprendre à utiliser le numérique en classe : une formation suffit-elle ?

    Pour atteindre cet objectif, il semblerait qu’ils aient plusieurs étapes à franchir, avec, comme ingrédient principal de la recette, beaucoup d’investissement personnel.

    Les premiers pas, la découverte

    Avant de se lancer dans l’aventure, l’idéal serait d’assister à plusieurs cours de collègues utilisant déjà le numérique.
    C’est en tout cas ce que conseille Bernard Chabrerie, enseignant en mathématiques, pour que le professeur débutant se rende compte par lui-même des apports du numérique.

    « Il va s’apercevoir qu’il y a une convivialité, une efficacité et une richesse du cours qu’il va pouvoir développer grâce au numérique et seulement après, l’enseignant peut aller voir un formateur ou un autre professeur pour se lancer dans un processus de formation ».

    Suivre une formation spécifique à un outil numérique

    L’intérêt que portent les enseignants pour une demi-journée de formation est certain, car ils avouent découvrir à chaque fois de nouvelles fonctionnalités, « des trucs et astuces » qui leur permettent d’être plus à l’aise devant leurs élèves.
    « Tout ce qui est interactif permet de mieux capter leur attention », souligne Nicolas Giudicelli, enseignant en mathématiques.
    et Panpan Chen, enseignante en chinois poursuit « dès qu’on ajoute des petites étoiles, des smileys ou autres gadgets, ils adorent ».

    Pour Bernard, L’idéal serait d’avoir une session par trimestre, soit sur des outils généralistes, soit par matière pour aborder spécifiquement tel ou tel aspect pédagogique.

    Pourtant, ce type de sessions de formation ne constitue pour eux qu’une base de départ pour la maîtrise du TNI ; « après, il faut pratiquer tous les jours, sinon on oublie tout », nous confient-ils.

    De l’autoformation en continu 

    L’obstacle majeur à leur perfectionnement est le manque de temps.  « Entre le moment où le prof est en cours, où il prépare ses cours et où il corrige les copies, cela lui laisse très peu de latitude pour s’entraîner ».

    Pourtant, c’est indispensable, car comme le souligne Nicolas  « s’entraîner pendant les cours, ce n’est pas terrible ». Il utilise par contre beaucoup plus le TNI lorsqu’il donne des cours de soutien dans lesquels le groupe d’élèves est restreint.
    « Même tout seul, cela m’est déjà arrivé d’aller dans une salle pour faire des tests et tenter de découvrir des choses ».

    L’idéal pour Panpan serait d’avoir un genre de « tutoriel » avec les fonctionnalités par discipline, « car il y a des choses qu’on utilise tous les jours », souligne t-elle. Cela lui permettrait de gagner du temps et de ne pas avoir à chercher dans ses notes.

    L’aspect chronophage de ce perfectionnement personnel est aussi abordé par Bernard qui souligne qu’il a « mis un certain nombre d’heures et de jours à mettre en place certains outils ». Pour lui, l’apprentissage des outils numériques se fait vraiment en continu, « j’ai toujours besoin d’être encore plus performant », ajoute t-il.

    La mutualisation entre enseignants, une forme d’apprentissage peu pratiqué mais pourtant si efficace

    Entre la découverte, la formation et l’autoformation, que se passe t-il ?

    Aujourd’hui, il ne se passe pas grand-chose, ce que regrettent les enseignants que nous avons interrogés ; ils trouveraient par exemple très utile des rencontres entre professeurs pratiquants pour échanger sur leurs usages, toutes disciplines confondues. Ce manque de mutualisation est évident et pourtant, ce travail collaboratif est le meilleur complément à un programme de formation.

    « Quand je vois quelqu’un travailler et m’apporter un outil efficace et rapide, je perçois tout de suite ce que je vais pouvoir en faire, ce qui me permet d’optimiser car je n’ai pas le temps d’aller tout lire, faire des recherches… (…). Apprendre du savoir-faire des autres est essentiel », affirme Bernard.

    D’après lui, ce modèle ne peut se mettre en place à cause de certaines barrières qu’il décrit ainsi : « cela demande à chacun d’entre nous une humilité, se dire « oui, je peux apprendre des autres, ma façon d’enseigner n’est pas forcément la meilleure, je peux l’optimiser »(…). Je pense que dans le monde de l’enseignement, c’est une remise en question qui doit se faire continuellement ».

    Avoir une ouverture d’esprit, la clé pour réussir à apprivoiser le numérique ?

    La conclusion de Bernard résume bien l’état d’esprit dans lequel chaque enseignant devrait entrevoir sa formation au numérique.

    « Installer des tableaux interactifs parce que ça fait bien, ça montre qu’on est une école à la pointe, ça n’a aucun intérêt (…). Donc la formation est essentielle mais tout aussi bien que l’investissement des enseignants. De toute façon, nos jeunes sont dans un monde complétement numérique donc il faut que les enseignants se forment et arrêtent de dire « je ne sais pas faire » (…).
    Ils peuvent avoir des connaissances mais s’ils ne savent pas les transmettre par les outils d’aujourd’hui, je crois pas que cela ne va pas les aider à asseoir une autorité devant les élèves (…).
    Il faut également que les enseignants apprennent à avoir une autocritique sur eux-mêmes et sur l’utilisation de ces nouveaux outils pour aider les jeunes à les prendre en main et les utiliser efficacement
     ».

    Une remise en question pour chaque enseignant sur sa manière d’enseigner, sur ses relations au sein de l’établissement et avec ses collègues pour acquérir de solides compétences en numérique seraient la clé de la réussite ?

    Cela pourrait s’appliquer, d’ailleurs, à d’autres compétences que le numérique dans le monde de l’enseignement…

  • Mode d’emploi pour réussir son accompagnement au numérique

    Mode d’emploi pour réussir son accompagnement au numérique

    Réfléchir… mais à quoi ?
    Aux équipements qui ont le vent en poupe ? La plupart des décideurs ont bien compris que l’enjeu du numérique n’est plus là.
    S’intéresser au cœur du métier d’enseignants et à leurs pratiques quotidiennes, les interroger sur leurs besoins et leurs envies constituent désormais un enjeu pour réussir tout projet d’intégration du numérique en classe.

    En ce sens, Motiv’solutions, revendeur de tableaux numériques pour l’école et les entreprises, a décidé de s’intéresser à ceux qui sont à la source,  les enseignants, en leur proposant un accompagnement à l’utilisation de ces nouveaux outils.
    Mikaela Helfferich, formatrice chez Motiv’solutions et titulaire d’un Master en ingénierie pédagogique, nous explique en quoi consiste son travail, qui va bien plus loin que deux heures d’apprentissage pour savoir « allumer et éteindre » un TNI !
    Elle détaille ce que devraient être, pour elle, un bon accompagnement au numérique.

    « Nous proposons plusieurs types de formation au moment de la vente du produit (…) Car nous savons très bien, de par notre expérience, que si nous ne formons pas les enseignants, le produit ne sera pas du tout utilisé (…) ».

    La formation dispensée par Mikaela comprend l’utilisation du tableau numérique mais également celle du logiciel associée et tout ce qui concerne la préparation des cours en amont.

    En formant, on explique l’intérêt de l’outil numérique

    L’arrivée d’un TNI dans une classe risque de bouleverser les habitudes de l’enseignant ; il ne va pas se rendre compte par lui-même des avantages qu’il peut en tirer si ce n’est un encombrement dans sa classe. Aujourd’hui, soyons honnêtes, un enseignant qui n’est pas « branché » numérique, ne va pas accepter d’ajouter encore une «complication » à son quotidien !

    La première mission d’accompagnement de Mikaela consiste donc à faire passer un message pour « positiver » le numérique.

    Echanger avec les enseignants en amont, une étape incontournable pour le formateur

    En tant que formatrice, Mikaela ne se sent pas de démarrer un programme de formation sans appréhender le profil de chaque futur stagiaire. Pour cela, elle organise une rencontre de « pré-formation », « qui me permet de faire un état de lieux sur ce qu’ils savent faire en informatique, de voir s’ils utilisent déjà un ordinateur ou même une clé USB ».

    Un moment de discussion qui donne la parole à chacun pour exprimer ses besoins mais aussi ses appréhensions sur l’arrivée de ce nouvel outil.
    Elle peut ensuite élaborer sa stratégie de formation et proposer du « sur-mesure » à son public.

    Un programme de formation tout au long de l’année : un choix à privilégier

    Motiv’solutions propose plusieurs durées de formation ; la demi-journée, la « base » pourrait-on dire, consiste à expliquer comment fonctionne le TNI, à quoi il peut servir, quelles sont les différentes fonctionnalités…
    « Cette demi-journée permet aux enseignants de pouvoir se projeter dans ce nouvel outil », souligne Mikalea.

    Mais cette formule « demi-journée » s’avère souvent insuffisante, car elle met les enseignants en « appétit » en leur présentant l’outil mais laisse très peu de temps pour de la pratique.

    « Nous préconisons de programmer plusieurs formations sur une année car dès la première séance, les enseignants n’auront pas forcément de questions puisqu’ils découvrent l’outil et c’est en l’utilisant avec leurs élèves que les questions vont émerger », argumente Mikaela.

    D’après son expérience, elle conseillerait donc 3 journées de formation à étaler sur une année.

    Prendre du recul sur l’outil pour mieux comprendre les usages

    Après une première demi-journée de formation, les enseignants vont pouvoir débuter en classe avec ce nouvel outil. Cette phase de découverte va leur permettre d’être confrontés à de vrais problèmes qu’ils pourront, dès la session suivante, discuter et solutionner avec les autres stagiaires et la formatrice.

    Ces phases transitoires sont essentielles pour que chaque enseignant mûrisse sa réflexion qui l’aidera à construire lui-même ses propres usages de l’outil.

    Pas de cours magistral, de la formation « action »

    Manipuler l’outil et partager les problèmes rencontrés sont les deux objectifs des formations dispensées par Mikaela.
    « A chaque session de formation, je fais passer les enseignants plusieurs fois au tableau pour qu’ils manipulent et réalisent les exercices que j’ai conçu pour eux ; c’est pourquoi je limite aussi le nombre de participants à quinze personnes par session ».

    Former sur place, dans l’environnement de l’enseignant

    Ne perdant pas de vue d’être au plus proche des réalités, Mikaela a fait le choix de se déplacer dans les classes et de former les enseignants avec leur propre matériel.
    « Si j’utilise mon matériel, ils vont me dire : très bien, ça marche chez vous mais est-ce que ça fonctionnera comme ça chez nous ».

    Pour conclure, la formation à l’utilisation des matériels devrait aller de pair avec l’acquisition ; pour Mikaela, c’est indissociable !

    Malheureusement, on constate aujourd’hui que ce n’est pas toujours le cas, pour des raisons financières peut-être ou bien « parce que les décideurs ne comprennent pas tout de suite l’intérêt d’un programme de formation », précise Mikaela.
    Et elle ajoute que « souvent, plusieurs mois après, ils reviennent vers nous car ils se rendent compte que les matériels restent au placard (…) ».

  • La première école de référence en France pour les solutions SMART

    SMART Technologies, fournisseur incontournable en matière de solutions collaboratives, a désigné l’International School of Paris (ISP) comme la première école de référence en France pour ses solutions. L’école a été choisie en raison de son usage exemplaire des produits SMART, notamment les tableaux interactifs SMART Board et le logiciel d’apprentissage collaboratif SMART Notebook.

    Implantée sur deux campus à Paris, l’ISP est la seule école anglophone en France à proposer les trois programmes du baccalauréat international. L’école compte près de 700 élèves représentant plus de 60 nationalités différentes et quelques 50 langues. Elle les accueille de la maternelle au bac, soit de 3 à 18 ans. Au sein de l’ISP, 46 classes sont d’ores et déjà équipées de tableaux interactifs SMART Board. D’ici la rentrée prochaine, les quatre classes restantes bénéficieront également de tableaux interactifs et d’une SMART Table, le centre d’apprentissage interactif de SMART, qui fera son arrivée pour les classes de primaire.

    « Si nous avons choisi d’installer des tableaux interactifs SMART Board dans nos salles de classe, c’est parce que nous avons constaté qu’ils apportent un réel « plus » à l’enseignement et à l’apprentissage », explique Paul Tagg, Directeur informatique de l’International School of Paris. « Nous avons tout particulièrement été séduits par le logiciel SMART Notebook. Il permet en effet aux enseignants de préparer des supports de cours depuis n’importe où, mais aussi de créer des contenus qui encouragent l’interactivité entre les élèves et le cours. Les séances sont ainsi plus attractives et plus riches ».

    Richard Ramos, Directeur Général France de SMART Technologies France, s’est félicité de l’intégration de l’ISP au programme d’établissements de référence SMART Showcase School : « La désignation de notre première école de référence SMART en France est la suite logique de l’important développement de nos produits dans le pays. De plus en plus d’écoles améliorent les résultats de leurs élèves en faisant appel à nos solutions pédagogiques. En choisissant l’International School of Paris, nous saluons son investissement dans le domaine de l’enseignement numérique et nous en faisons un exemple susceptible d’encourager d’autres établissements à adopter ces technologies innovantes ».

    « Chez Motiv’Solutions, nous sommes très heureux d’accompagner l’ISP depuis 2008 dans l’intégration des tableaux interactifs SMART Board au sein de l’école. L’adoption des technologies interactives à l’ISP a été possible grâce au dynamisme et à la motivation de l’ensemble des équipes pédagogiques. A l’ère du numérique, il est indispensable pour nous de proposer des solutions en adéquation avec les outils que nous utilisons tous de manière quotidienne » témoigne Guillaume Chatagnon, Directeur Général de Motiv’Solutions. « En devenant la première Showcase School en France, l’ISP prouve une nouvelle fois sa volonté de toujours innover dans la pédagogie ».

    Plus d’infos :
    Pour en savoir plus sur le programme SMART Showcase Schools, rendez-vous sur smarttech.com/showcaseschools.